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It's like forgetting, the words of your favorite song. [Eirik]

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MessageSujet: It's like forgetting, the words of your favorite song. [Eirik] It's like forgetting, the words of your favorite song. [Eirik] EmptyDim 15 Jan - 4:59

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Nous étions quel jour de la semaine? Je m’en foutais royalement. Depuis quand il était partit? Trop longtemps. Étais-je en train de mourir intérieurement? Totalement. Pouvais-je changer quelque chose? J’avais tenté, sans grand succès sinon de me retrouver de nouveau à pleurer dans les bras d’un Callum totalement pris au dépourvu. Étais-je en train de me foutre en l’air certains soir en allant l’oublier dans des bars où j’avais rencontré des gens qui me fournissait ce que j’avais de besoin pour cesser de souffrir quelques heures? Oui, mais avec modération. Avais-je un masque devant mon frère? Totalement. Il avait d’autre chat à fouette que ma peine d’amour. Avec sa petite amie qui venait de lui avouer son viol, il était normal qu’il s’éloigne de moi pour un moment. Avais-je peur que lors de nos quelques rencontres ensemble il me sorte le fameux «je te l’avais dis» face à Pacey? Je mourrais d’angoisse de ce moment. Étais-je en train de faire une crise de panique car je en savais pas quoi porter pour un souper avec mes frère? Totalement. Soupirant je regardais ma garde robe en pagaille plus que décourager. J’allai mettre de la musique sur laquelle je me mis à danser en sous-vêtement. «I just wanna daaaaance. I don’t reallly caaaaaare» chantais-je avant de m’écrouler sur mon lit. Fixant le plafond je soupirai. J’avais mal. Tellement mal. Mais j’essayais d’expulser toute cette douleur avant de voir Eirik et Sullivan. J’avais promis à Eirik que je devais être combative maintenant. Ce que j’essayais de faire. Oui je craquais. Souvent je pleurais. Mais devant lui, moins souvent. Il me savait malheureuse et triste, mais je ne le quémandais plus par téléphone pour me tenir compagnie même si j’en mourais d’envie. Premièrement, car la dernière fois j’avais dépassé une limite. Et la seconde raison, c’était par respect pour Payson. Il avait beaucoup plus a géré avec sa copine qu’avec sa sœur. Il était là pour moi, quand il le pouvait. Mais je ne pouvais lui tenir rigueur de son absence répété de l’appartement. J’étais égoïste. Mais pas a ce point. Alors, quand ça n’allait pas et que j’avais besoin de lui, ne serait-ce que pour un câlin, j’allais dormir dans sa chambre pour dormir. À quelque part, ca me calmait. Je soupirai en regardant mon portable. Toujours pas de message de Pacey. Oui, j’espérais toujours un sms où il me demanderait de revenir. Où il me disait qu’il voulait me revoir. Où il m’aimait. Et chaque silence et absence de message était la pire des douce tortures. Je soupirai de nouveau, toujours le regard planté dans le blanc de mon plafond. Qu’est-ce qu’il était en train de faire en ce moment? Maintenant qu’il était renvoyé, il avait surement plein de temps à se consacré. Il devait faire du cinéma. Ou lire. Pacey aimait lire. Surement écouter un film. Ou faire comme je faisais, trainer dans les bars pour tromper sa solitude. Hum. Je me relevai et remis la chanson, montant le son au maximum. Oublie Viktoria. Oublie. Et non! Retiens ses larmes. Pas le droit de pleurer. Pas en ce moment, il te reste deux heures pour te préparer et pas le temps de refaire six fois ton maquillage. M’occuper l’esprit, et vite. Je me remis la tête dans la garde robe. Quoi mettre.Après dix minutes, je fini par sortir une robe de cocktail. L’occasion était rare, il fallait se mettre belle et chic. Souper les trois enfants Pedersen ensemble. C’était la première fois depuis mon arrivée abrupte en Amérique. J’avais passé du temps avec Sullivan lorsqu’il m’avait empêché de partir suite à une dispute avec Payson et Eirik. J’avais soupé une fois avec lui depuis. Mais son emploi du temps était chargé. Alors je limitais ma relation avec mon frère ainé que par des appels téléphonique et des emails. Alors, la possibilité d’être les trois ensembles était quelque chose d’agréable. Pourquoi nous avait-il invités? C’était encore une question sans réponse pour moi. Mais je me doutais qu’Eirik lui avait surement glissé un mot sur ma situation amoureuse actuel et il avait voulu faire sa part dans l’espoir de me consoler. Et il fallait dire que ca marchait. La simple perspective de passer un repas avec les deux hommes que j’aimais le plus au monde avait réussi à me rendre un peu moins zombie aujourd’hui. Moins triste. J’avais même très bien performé en cours d’improvisation. Je n’avais pas encore pleuré de la journée. Une première depuis son départ.

Il me fallu une heure et demi, mais je fini par sortir de ma chambre dans une magnifique robe noir, des souliers à talon haut agencé. J’avais pris un temps fou à me coiffé et me maquiller, mais j’avais voulu ne pas être aussi négligé que ces derniers temps. Zombifié, je ne me maquillais que par nécessiter de ne pas montrer mon état épouvantable, et non par plaisir. Or ce soir, j’avais fais un effort. Et je m’étais trouvé belle. Je fini par enfiler mon manteau d’hiver et me rendre en bus chez mon grand frère. Ayant dormis une fois de plus chez sa copine, Eirik allait me rejoindre chez Sullivan. Lorsque je frappai à la porte de l’appartement, ce fut mon jumeau qui ouvrit. Étonnant, j’étais encore en retard. Je regardais ma montre. Non pourtant j’étais à l’heure convenue. Je fini par faire la bise à mes frère et l’apéro commença. Quel bonheur il était pour moi de pouvoir parler en Norvégien. Ma mélancolie m’avait poussée à avoir un mal du pays totalement horrible. Narvik me manquait horriblement. Et ne pas avoir à me forcer de parler dans une langue que je commençais a maitrisé pour m’exprimer dans ma langue natale, c’était le plus beau des cadeaux pour moi. J’avais l’impression d’être un peu plus moi ainsi. Nous parlâmes de tout et de rien, évitant très bien tout sujet qui concernait les couples. J’avais mal, je continuais à être triste et à souffrir. Mais pour mes frères, je devais garder la tête hors de l’eau. Et profiter de ce moment entre nous pour ne pas penser à lui et focalisé sur des gens qui m’aimaient, des gens qui ne m’abandonnaient pas; eux. Nous étions donc en train de manger du poisson comme maman nous le faisais cuire à Narvik, tout en nous racontant des banalités de la vie lorsque le biper de mon ainé sonna. Il s’excusa pour aller appeler le numéro alors que je servis une autre coupe de vin, prenant une grande gorgée, je pris la main de mon jumeau sous la table. J’avais besoin de lui, qu’il soit là. De le sentir là. Et ne serait-ce que ces doigts dans les miens empêchèrent de ne pas me sentir seule. Car c’était comme cela que je me sentais depuis ma rupture. Seule, et dans une incompréhension des plus totale. «Eirik, je veux un chat. » Dis-je en regardant. «Je suis allergique mais je m’en fou. Je prendrai des anti-allergènes. Je veux un chat. C’est tout et ca fait plein de câlin et d’amour. Et en plus quand tu regarde les vidéos, c’est si mignon. Leur petites pattes et tout. » Je pris une bouchée de poissons. «Ouais, je veux un chat. » En plus, ca me tiendrais compagnie. C’était ce que je pensais sombrement. Donner de l’affection à un animal m’empêcherait surement de retomber dans les bras d’un connard qui me briserait en mille morceaux. Deux ruptures en six moi. C’était du record ça, vraiment

Sullivan revint à la table, l’air totalement désoler. Je compris ce que cela signifiait. Et mon regard s’assombrit. «Urgence à l’hopital, je dois y aller. Je suis désoler» Lâchant la main de mon frère, je mis ma serviette de table près de mon plats. «C’est pas grave.» Mentis-je. Bien sur que ça l’étais. Moi qui avait espéré toute la journée passée une magnifique soirée avec mes frère, me voilà à me faire dire que je devais partir. Eirik allait surement retournée chez Payson et moi je serais seule encore à l’appartement. Callum travaillait de nuit aujourd’hui. Boah. J’appellerai Noah. Mais entre du sexe avec un junkie et une soirée avec ceux qu’on aime, le baume ne pense pas les mêmes plaies. «On va se reprendre promis.» Je souris à Sullivan alors qu’il m’embrassa sur le front. Je ravalai ma déception en ne disant rien. «On va partir alors.» Mon frère refusa. Il nous invita a terminer le repas qu’il avait fait pour nous et nous dit qu’il y avait des bonbons et du chocolat dans l’armoire qu’il avait acheté pour nous. Cela m’arracha un petit sourire. Sullivan nous connaissait bien plus que je ne le croyais. Après un autre baiser sur la joue de mon frère, je le regardai partir de son appartement. Je soupirai en regardant le repas avec peu d’appétit. La soirée était vraiment gâcher. Décidément, le karma avait décidé à ce que je ne sois pas heureuse en ce moment.
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MessageSujet: Re: It's like forgetting, the words of your favorite song. [Eirik] It's like forgetting, the words of your favorite song. [Eirik] EmptyDim 15 Jan - 13:12

Trois emplois du temps totalement différents étaient toujours plus difficile à concilier que lorsqu'on a la même façon de vivre. Viktoria allait mal et son jumeau le savait pertinemment, mais pour l'instant le problème le plus important était d'aider Payson à aller mieux. Il ne pouvait pas de dédoubler ni faire de miracles, alors, pour tenter de remonter un peu le moral de sa jumelle, il avait pensé à organiser un diner entre les trois enfants de la famille. Le plus dur maintenant était de trouver une date qui correspondrait à tout le monde, en fait, les jumeaux allaient certainement devoir s'adapter aux horaires de leur frère aîné. Le pauvre Sullivan était complètement débordé avec son travail à l'hôpital, le cadet se demandait comment est-ce qu'il faisait pour tenir à toute cette pression sur ses épaules tout en arrivant à coucher à droite à gauche et en étant en forme. Bref, autant dire que la vie du futur médecin était plus que bien remplie comparée à celle de ses cadets. Après avoir discuté pendant près d'une heure avec son frère il était arrivé à trouvé une date qui pourrait convenir parfaitement. Le jeune homme en profita pour expliquer très brièvement la situation de Viktoria à son aîné, mais il parla aussi de son couple. Enfin parler de son couple était un bien grand mit, disons plutôt qu'Eirik lui dit que Payson avait déménagé et qu'il habitait à présent plus ou moins avec elle. Bien entendu il ne lui parla du viol, ni de tout ce qui pouvait bien toucher autour, assez de monde était déjà au courant -dont sa jumelle- et cela devait être assez pénible comme cela pour la jeune femme. Les deux garçons ne tardèrent pas à raccrocher se fixant une heure de rendez-vous, Eirik avait pour mission de préparer le repas tandis que Sullivan ferait les courses et tout ce qui pouvait aller avec. Déjà parce que cela lui prendrait moins de temps, mais en plus, en toute logique, c'était bel et bien Eirik qui était le plus doué des deux pour la cuisine, enfin, du moins dans ses souvenirs. Si ça se trouve l'ainé faisait exprès de mal cuisiner afin que dans un domaine son petit frère soit meilleur que lui...

Le jour J, le garçon avait dormi chez sa petite amie et il devait également passer toute la matinée et son début d'après-midi avec elle avant de partir chez Sullivan. Il devait être près de seize heures quand le jeune homme arrivé chez son aîné. Il frappa à la porte espérant que son frère serait-là et lui ouvrirait. Une minute. Deux minutes. Toujours rien. Soupirant doucement, il se laissa glisser au sol. L'autre garçon devait toujours être en train de faire les courses et il n'allait pas tarder à arriver, ça ne pouvait être que ça, et effectivement ce fut le cas. Après avoir attendu moins de dix minutes sur le palier le plus jeune vit apparaître son frère chargé comme un bourricot. Au lieu d'aller l'aider, il le regarda grand sourire aux lèvres galérer avec tous ses paquets. Alors Sully on a perdu du muscle ?! plaisanta t-il gentiment.
Plusieurs heures avaient passé, les garçons avaient fini de préparer le diner, installer la table et tout ce qui allait avec. Pour le coup, ils utilisaient les quelques minutes qui devaient leur rester de libre pour parler du couple du plus jeune, Eirik avait dit à Sullivan qu'il vaudrait mieux éviter le sujet devant Viktoria. Ce n'était pas franchement le moment de lui foutre son bonheur à la tronche. Tout comme il n'avait pas dit à la jeune femme que c'était finalement lui qui allait cuisiner, comme cela elle s'attendrait sûrement à commander une pizza alors qu'au final non, c'était un vrai repas, comme ils auraient pu en faire en Norvège. Pour une fois la jeune femme était arrivée pile à l'heure, et ce fut son jumeau qui alla lui ouvrir. Pour une fois qu'ils se retrouvaient que tous les trois, sans personne autour ils pouvaient se permettre de parler leur langue natale, ce qui faisait quand même un peu de bien. Même si cela faisait moins d'un mois qu'il avait quitté son pays natal, ses amis restaient là-bas et notamment Tomas -son ex et meilleur ami- manquait beaucoup à Eirik. Ils commencèrent donc à prendre l'apéritif en parlant de tout et rien, enfin surtout de rien, puis la fratrie ne tarda pas à entamer le diner. Tout aurait bien pu se passer si le bipper de Sullivan ne s'était pas mis à sonner. Génial. Il ne manquait plus que cela. Il n'y avait pas besoin de commentaire, ils savaient tous trois ce que cela voulait dire. Fais chier. Ce n'était pas possible de ne pas pouvoir avoir un moment entre frères et sœur sans être dérangé sans ce foutu appareil. Si les jumeaux étaient déçus, Sullivan devait se sentir mal de les "abandonner" de la sorte, mais personne ne pouvait lui en vouloir. Si ça se trouve il allait sauver une vie. Le plus jeune ne tarda pas à sentir les doigts de sa sœur dans sa main, il lui fit un sourire avant de la regarder bizarrement en entendant ce qu'elle avait ensuite à dire. Un Chat ?! C'était quoi cette nouvelle lubie ? D'autant plus qu'elle était allergique aux poils de chats. Un Chat ?! Vik... C'est pas raisonnable ! Tu es allergique et même si tu prends des médicaments...Il se passa une main dans les cheveux.Et un chat dans l'appartement de colloc, sérieusement ?! Déjà c'est interdit et après il faudra que tout le monde en veuille un... Et cette pauvre bête va faire quoi la journée quand il n'y aura personne ?! On est au troisième étage qui plus est... elle ne pourra pas sortir dehors, tu crois vraiment que c'est une vie ça pour un animal ?! Non, il ne voulait pas faire son buzzkill, mais il voulait montrer à sa sœur que c'était impossible, ou du moins que l'animal ne serait pas forcément heureux. Le problème, c'est que comme à chaque fois, il se montrait assez maladroit quand il parlait. Si tu veux vraiment un chat, il faudrait que tu te prennes un appartement avec terrasse ou jardin en ville... continua t-il comme pour calmer le jeu. Cette dernière possibilité était impossible et ils le savaient tous les deux. Jamais leur parents accepteraient de prendre un appartement juste pour un chat.
Sullivan ne tarda pas à revenir et leur annonça qu'il devait partir car il y avait une urgence. Les jumeaux ne tardèrent donc pas de se retrouver seul dans l'appartement de leur aîné pour finir le repas. L'ambiance était plus ou moins retombée. Allez, il fallait qu'il trouve quelque chose à dire, à faire pour remettre un peu de bonheur dans les yeux de sa sœur. Il avait dit qu'il passerait la soirée avec eux et ce n'était pas parce qu'il y avait eu un léger imprévu qu'il allait retourner voir sa petite amie. Tu veux faire quoi après ?! Je crois pas que Sully nous ai laissé les clefs alors on doit rester ici jusqu'à ce qu'il revienne. Le repas étant fini, le jeune homme débarrassa tout et alla chercher dans le placard les bonbons et le chocolat... Il ramena le tout à sa sœur, avant d'aller chercher quelque chose dans son sac. Il lui restait un peu d'herbe de sa dernière soirée avec Callum, alors autant qu'ils en profitent non, enfin si la jeune femme était d'accord. Et cela, il n'allait pas tarder à le savoir! Ça te tente Vik ?! Le jeune homme lui fit un petit sourire puis en entendant la réponse il l'alluma puis lui tendit. Avec un peu de chance la soirée allait mieux finir... ce qui dans un sens, à priori, ne serait pas franchement trop difficile.

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MessageSujet: Re: It's like forgetting, the words of your favorite song. [Eirik] It's like forgetting, the words of your favorite song. [Eirik] EmptyDim 15 Jan - 17:27


Je m’étais mis dans la tête d’avoir un chat pour la simple et unique raison que c’était affectueux. Et que j’en avais besoin en ce moment. Et aussi, avec le recul, m’occuper de quelqu’un autre que moi-même pouvait sans doute ne pas nuire. On m’avait blâmé d’être égocentrique dans ma douleur la dernière fois, alors c’était sans doute un moyen de me remettre dans la réalité. Mais Eirik eu bientôt fait de détruire mon idée de manière assez radicule. J’eu une moue déçue. J’avais trouvé mon idée géniale, mais j’ignorais que nous n’avions pas le droit aux animaux. Et pas question de partir de la confrérie. Le simple fait de me lever et qu’il y ait Felina ou Callum m’aidait à ne pas tomber complètement dingue. Avec Eirik beaucoup plus absent, avoir quelqu’un à qui parler en mangeant ses toasts le matin où pour écouter un film le soir aidait à ne pas se sentir seule. «Tans pis alors» dis-je en soupirant. «Ca aurait été sympa avoir un animal c’est tout. Et me parle pas de poissons, ca sert a rien ces truc. Sinon de les regarder mourir après deux semaines.» Je pris une autre gorgée de vin alors que Sullivan revint à la table pour nous annoncer son départ qui me fit une douche froide, il fallait le dire.

Si Eirik n’avait connu que deux histoires d’amours sérieuses dans sa vie, je pouvais dire que j’étais tout le contraire. J’avais des petits copains depuis mes 16 ans. Parfois je passais quatre ou cinq mois célibataire, mais j’aimais trop l’amour pour être seule. Croqueuse d’homme? Sans doute. Mais je trouvais ce terme trop péjoratif pour l’employé envers moi-même. Certes quand j’étais plus jeune j’enchainais les petits amis sans réellement comprendre l’amour. Mais à mes dix huit ans un type du nom d’Anders avait tout changé. Pour la première fois j’étais réellement tombé amoureuse de lui. J’avais passée un an avec lui. Et j’avais découvert qu’au-delà des papillons et de la magie des débuts, aimer quelqu’un longtemps était une toute aussi belle aventure. Passez à travers les orages, se prouver son amour au quotidien, parler du futur en y croyant et ne pas être avec une personne dans l’idée qu’il était certain que nous n’allions pas finir notre vie ensemble. C’était des choses qu’Anders m’avait fait découvrir. A ses bras, j’avais découvert la signification du mot amour, et surtout qu’avec ce dit-mot venait un autre concept qui était intrinsèquement rattaché; le couple. L’amour ne devait pas être égoïste et devait se vivre à deux. Le cultiver ensemble, et non chacun de son côté. C’est ce que j’avais compris. Mais le premier homme avec qui je n’avais pas vu de fin à l’amour partit de ma vie après 13 mois de pur bonheur. Il s’était joint dans l’armé, à ma plus grande frayeur. Je ne l’avais pas empêché, car y entrer était son rêve le plus cher depuis qu’il était gamin. Et je n’étais pas assez stupide pour privé mon amoureux de ses rêves pour des angoisses personnelles. Le conflit en Irak perdurant, son convoi, plus humanitaire que milliaire, avait été demandé de partir là bas pour protégé les civils. J’avais passez la dernière soirée chez lui. Et au court du soupé d’un commun accord, nous décidâmes d’arrêter notre relation. L’amour était toujours là entre nous, mais il refusait de m’infligé des mois d’angoisses pour ses choix personnels. Et moi je refusais qu’il pense à moi alors que son esprit devait être entièrement concentré à ne pas marcher sur une mine ou se faire toucher par une balle perdue. Nous passâmes notre dernière nuit ensemble. La plus charnelle et amoureuse que je n’aurais jamais vécue. Mais tout deux savaient que c’était pour le bien de l’autre et étrangement je ne regrettais pas ce choix. Bien sur notre dernier baiser devant le bâtiment où il devait se présenter pour partir me déchira le cœur. Un dernier je t’aime qui signait notre séparation. Il me promit de m’écrire. Oui j’avais pleuré. Mais c’était la plus belle des ruptures que j’eu vécue. Car elle ne s’était pas finie dans aucun drame de la sorte. Je restai célibataire un long moment suite à cela. Écrivant à Anders lorsque lui m’assurait qu’il allait bien dans un petit mot. Au fils des mois et des rencontres je fini par faire taire les derniers restant de sentiments que j’avais pour lui. Et c’est lorsque je m’étais ouverte de nouveau à l’amour que j’avais rencontré Mikael. Dans la quête d’une relation aussi saine et stable qu’avec Anders, j’avais perdu gros. L’histoire on la connait. Et c’était la même avec Pacey. J’avais de nouveau eu peur de gaffer comme avec mon ex petit copain. Et alors que les sentiments que j’avais ressenti avec Anders, ceux de bien être et de futur venaient à germer dans ma tête avec le professeur, me voilà me faire claquer la porte violement au nez, détruisant le peu d’espoir qui me restait en l’amour. Moi qui m’était vu être capable de tenir un secret durant deux ans, moi qui m’était vu finir ma vie avec lui, moi qui était heureuse dans ses bras, tout cela s’était envoler par une rencontre trop froide dans son bureau. C’était pourquoi une partie de moi était inconsolable. Je commençais à croire que je n’étais tout simplement pas fait pour l’amour, le vrai, celui qui dure. Et peut-être que de retourner à mes anciennes habitudes, étaient la meilleure solution. Car une rupture, quand on aime plus ou moins le garçon, est plus facile à supporter que les deux peines d’amour que j’enchainais et qui me détruisais à petit feu.

Perdue dans ma pensée, je ne vis pas qu’Eirik enlevait les assiettes de la table. Je pensais à Pacey, à Mikael, à Anders. Il m’avait écrit un petit mots dans le carnet que mon jumeau m’avait rapporté de Narvik, à mon plus grand bonheur. Je pourrais peut-être l’appeler. Parler de tout cela à quelqu’un loin de toute cette pagaille et sans jugement pourrait sans doute m’aider à me secouer un peu. Car j’étais perdue comme jamais en ce moment. Je me mordis la lèvre, toujours déçue du départ de Sullivan. Mon grand frère me manquait. Mon frère mis du chocolat devant mes yeux et je souris, amusée. Ouais, se gaver de chocolat. C’était un bon planning pour enlever le chagrin ce soir. Je devais arrêter de penser. Et me concentré. Sur Eirik. Mon jumeau. Celui qui venait d’affirmer qu’il ne partirait pas rejoindre sa copine mais voulait passer la soirée avec moi en attendant le retour de notre ainée qui, dans l’empressement, avait oublié de nous donner ses clés. «Sais pas.» Dis-je en détachant un coin de barre de chocolat. «Écouter la télé? Ou t’embêter jusqu’à ce que mort s’en suive. J’hésite entre les deux.» Je rigolai, essayant de chasser la tristesse de mon cœur tout en mangeant. Bon sang. Du chocolat noir. C’était si bon. La choco-maniaque que j’étais ne pouvait que s’en réjouir et s’en délectée. Je souris un peu plus franchement. Décidément, Sullivan me connaissait plus que ce que je ne pouvais croire. Nous avions beau être séparé par la distance lorsque j’étais en Norvège et maintenant le manque de temps, je comprenais que mon frère ne se foutais pas de nous et ne nous avait pas oublié. Et franchement, cela mis un baume sur mon cœur Mes yeux s’illuminèrent lorsque mon frère sortit le joint de son sac. Bon sang, planer pendant un moment était la meilleure des idées de la terre. Premièrement car la douleur que je ressentais à la poitrine disparaissait l’espace d’un instant et m’aidait à ne pas sombrer dans encore plus pathétique que mon état était. J’en avais déjà fait quelques fois l’expérience avec Noah et Sasha, et franchement j’étais persuadée que ce petit moment d’évasion m’empêchait de m’écouler que je l’avais fait avec Mikael. Et en second lieu, car lorsqu’Eirik et moi on planait, les soirées devenait légendaire. Et un moment de connexion avec mon jumeau, j’en avait grand besoin en ce moment. Ce pourquoi je pris sans hésiter l’herbe qu’il me tendit pour en inhaler un peu. «Merci». Je soufflai la fumée doucement en lui redonnant le joint. Puis je lui fis un sourire, un vrai. Viens, on va aller dans le salon, ca va être plus confortable que des chaises de cuisine. J’emmenai donc les chocolats et les bonbons sur la table basse et je me callai sur le divan. «Comment va Payson?» Demandais-je sincèrement inquiète. Je n’avais pas réellement eu le temps d’avoir une vrai discussion avec mon frère, alors autant en profiter. Je repris l’herbe pour en prendre de nouveau. Fermant les yeux un instant, je la laissai m’emplir les poumons.
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MessageSujet: Re: It's like forgetting, the words of your favorite song. [Eirik] It's like forgetting, the words of your favorite song. [Eirik] EmptyDim 22 Jan - 18:29

Peut-être qu'il y avait été un peu fort en parlant de sa façon à sa sœur, mais en même temps elle avait toujours des idées qui lui attirait par la suite des ennuis, et à la longue c'était fatiguant... D'autant plus que s'il ne lui disait pas "sèchement", elle n'en ferait qu'à sa peine. Bien entendu, l'intention première du garçon n'avait pas été de blesser sa jumelle, bien au contraire, il disait cela juste pour son bien et celui du chat. Vu la tête que tirait sa jumelle, la jeune femme avait du que moyennement apprécier les dires de son frère, mais au final ce n'était pas bien grave, au moins cela lui était bien rester ancré dans l'esprit, et avec un peu de chance elle oublierait rapidement cette lubie. Je me doute que ça aurait été sympa pour toi, mais avec tes allergies, ce n'est franchement pas le mieux à faire Vik... Et pense à cette propre bête aussi hein, dis-toi que tu fais une bonne action, qu'il sera plus heureux dans une maison en totale liberté. Il lui fit un petit sourire avant de continuer Et les oiseaux, tu es allergique ?! Ce sont des plumes donc peut-être que ça ira mieux non ?! Tu prends un perroquet et tu lui apprends à parler. Il était sérieux, mais finalement réalisa sa connerie Oui, enfin bon, comme c'est pas forcément très autorisé c'est risqué quand même... surtout que ça doit faire du bruit... Humhum. Je ne sais pas du tout pour le coup … Je n'ai pas d'autres idées. il aurait bien voulu lui trouver quelque chose qui pouvait convenir tout à fait à la jeune femme tout en respectant aussi bien l'animal que le règlement mais le sampi n'avait franchement plus d'idées. Il aurait fallu qu'il trouve quelque chose pour combler le manque d'amour de sa sœur, pour qu'elle oublie Pacey mais il ne savait pas quoi. Les ruptures ce n'était pas franchement quelque chose qu'il connaissait bien. Avant Payson, il n'était réellement sorti qu'avec une seule personne, et ils avaient rompu sur un "commun accord" en quelque sorte. En effet Tomas devait partir à l'étranger pour ses études et aucun des deux ne se voyait vivre une relation à distance, surtout vu comme ils étaient assez fusionnels. A contre cœur, ils s'étaient donc séparé au départ de l'autre norvégien, et ils étaient redevenus simples meilleurs amis. Même s'il avait mal très mal vécu la rupture il ne l'avait jamais vraiment avoué, ni montré. Comme d'habitude, il avait plutôt gardé ça pour lui et fait comme si tout allait bien. Après tout, il n'était pas déprimé, alors ce n'était pas la peine d'en faire toute une histoire...
Pendant que sa jumelle rêvassait à quelque chose, et après le départ imprévu de Sullivan, Eirik s'était mis en tête de débarrasser la table. L'ambiance était loin, très très d'être festive. C'était même tout le contraire. Il allait falloir trouver quelque chose de façon à ce que la jeune femme oublie pendant quelque temps Pacey, le fait qu'elle n'allait pas bien, le problème c'est qu'il ne savait plus trop comment faire. Il était totalement désarmé face à la situation, un câlin, des mots doux ne changeraient rien à la situation, et ne lui remonterait pas le moral. Viktoria, malgré tout, savait qu'Eirik était là pour elle si elle en avait besoin. Bref, niveau conversation, ils verraient ça au fur et à mesure, en attendant, la demoiselle avait besoin d'un remontant, c'est pour cette raison, que le plus jeune était allé cherché dans l'armoire de son frère aîné le fameux chocolat. Le garçon arqua un léger sourire en entendant les propos de sa sœur. Si tu me tues, après, je ne pourrai plus revivre tu sais... Tu n'auras plus de jumeau... Enfin moi je dis ça, je ne dis rien. Il se tut quelques secondes avant de finalement rajouter Quoique, si, j'ai quelque chose à rajouter... Je tiens à ma vie, si jamais tu pouvais prendre cet argument en compte ça serait pas mal. Et voilà les jumeaux qui se retrouvaient enfin en tête à tête avec leur plaque de chocolat et leurs bonbon si gentiment laissé par leur aîné qui connaissait toujours leur point faible. D'un autre côté ce n'était pas bien dur à se souvenir. Les trois enfants de la famille Pedersen étaient aussi gourmands les uns que les autres. Comme l'ambiance n'avait pas l'air de se détendre, Eirik jugea qu'il ne restait plus qu'une solution pour soulager sa sœur: la fumette. Par chance -à moins qu'il avait prévu le coup ?- il avait ce qu'il fallait sur lui. Comme quoi, lui aussi la connaissait bien sa jumelle ! Il savait tout se passerait beaucoup mieux entre eux dès lors qu'ils planeraient un minimum. Ce n'était franchement pas un bon moyen de résoudre les "problèmes" mais au moins ils passeraient une bonne soirée et c'était certainement l'essentiel. De plus, ce qui était bien, c'est qu'ils étaient certains qu'au moins l'odeur n'incommoderait par leur aîné. De rien. lui glissa t-il, avant de prendre à son tour une petite bouffée. La jeune femme l'emmena ensuite dans le salon, où ils se calèrent sur le canapé. Une fois que sa jumelle se fut correctement assise, lui décida de s'allonger et posa sa tête sur les jambes de sa sœur. C'est alors que vint la question à laquelle il s'attendait le moins. Sa sœur qui lui demandait des nouvelles de sa petite amie. Whoaw. C'était quoi ce soudain intérêt pour Payson ?! Eirik regarda sa jumelle un peu bizarrement et finalement il haussa doucement les épaules avant de dire Elle va mieux, merci de t'en inquiéter. Elle n'est pas au top de sa forme, mais c'est normal après tout. Le jeune homme était au courant que la belle blonde avait craché le morceau à la brunette. Tu vois, elle va assez bien pour que je puisse la laisser "toute seule" pour une soirée... Ne sachant pas trop quoi rajouter le garçon se tut. Il aurait bien retourné la question à la demoiselle, mais le problème c'est qu'elle n'avait plus personne... Il fallait qu'il trouve un autre moyen de rentrer "en contact" avec elle. Après une bonne minute de silence, le jeune homme finit par lui demander Et toi, ma belle tu n'as rien de nouveau à me raconter.... Autrement dit, tu n'as personne en vu ou quelque chose dans ce genre-là... Que fais-tu de tes soirées... Enfin il y avait toutes sortes de possibilités vu que la question était quand même très large. Viktoria serait y répondre comme il le fallait, après tout, elle avait l'habitude qu'il lui demande ce genre de chose, et elle savait pertinemment le genre de réponse qu'il attendait. Il laissa suite à cela quelques secondes de silence, avant de lui demander T'me repasses le joint Vik ... Chacun son tour, déjà qu'il était petit, alors si en plus sa sœur fumait tout cela n'allait pas lui faire. Merci toi. dit-il avant de tirer une nouvelle fois. Bien, voilà... Maintenant ils en étaient rendus au point de départ c'est à dire que même s'ils étaient beaucoup plus proches, il n'y avait toujours pas d'ambiance. Finalement peut-être que la télé n'était pas une si mauvaise idée. Allez Vik, trouve un sujet de conversation !

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MessageSujet: Re: It's like forgetting, the words of your favorite song. [Eirik] It's like forgetting, the words of your favorite song. [Eirik] EmptyDim 22 Jan - 20:16

Moi qui avais trouvée l’idée d’avoir un animal de compagnie absolument géniale. Erik avait rapidement éclatée ma petite bulle. C’était pourquoi ces derniers temps, j’avais beaucoup de difficulté à me confier entièrement à ma moitié. J’avais l’impression qu’il était devenu plus dur envers moi qu’avant. J’ignorais si c’était l’année de séparation qui m’avait fait oublier qu’il avait toujours agis ainsi ou le simple fait qu’il m’en voulait toujours horriblement de mon attitude lors du premiers mois de mon arrivée. Mais je m’étais excusé et j’agissais tout autrement maintenant. Je ne l’appelais pas lorsqu’il était avec Payson, ni même lui envoyait des sms. Je ne faisais aucune crise de jalousie lorsqu’il annonçait qu’il partait avec elle et j’étais toujours polie et courtoise lorsque je croisais ma belle-sœur dans l’appartement. Je ne l’emmerdais même pas avec ma rupture et je faisais d’énorme efforts pour lui montrer que je vivais bien mieux cette situation qu’avec Mikael. C’était vrai dans un sens, puisque je n’étais pas une larve dans un lit à pleurer, mais mon attitude était-elle meilleure? Je ne crois pas. A sortir et boire pour oublier, je m’autodétruisais cent fois plus que lorsque j’étais enfermée dans ma chambre. Le seul point positif était que je rencontrais des gens. Des gens sympa. Je m’étais même fait quelques amies a qui je pouvais pester contre mon ex petit copain et qui proposait des soirée au cinéma et dans les boutiques pour combler un vide que le moindre matériel ne pouvait comblée. Mais l’intention était là. Et malgré ma peine, j’avais une nouvelle garde-robe d’enfer. Mais là n’était pas le point. Je ne pu que montré ma déception au rejet assez froid de mon jumeau sur mon idée de m’occuper d’un animal pour stopper de me concentré sur moi-même uniquement. Il avait du le voir car il tenta de corriger le tir. Tentant d’expliquer que c’était pour le bien du chat, qu’il serait malheureux reclus dans un appartement. Je n’étais pas totalement en accord avec cette affirmation. Des chats d’appartement, ca existait. Le genre de chat qui aime rester à l’intérieur et qui miaule pour revenir à l’intérieur cinq seconde après être sortie. Mais je ne dis rien. Car le fait que j’étais allergique était le plus gros des arguments. Puis il me proposa une alternative. Si nous n’avions pas droit au chat, je doutais qu’un perroquet soit accepté. Ce pourquoi je ne pu m’empêcher d’arquer un sourcil à son idée. «Ouais non de toute façon un oiseau…bof… Ca vole et ca cri. Pas envie de ca. Je veux quelque chose de quand même silencieux, mais de sympa. » Je me mis a réfléchir longuement. «Faudra que j’y pense alors» dis-je après un moment. Car présentement, le seul animal qui me venait en tête était un panda. Et je doutais que mon jumeau accepterais cette lubie…ni même si c’était légal d’en avoir un.

Eirik débarrassa la table, sans même que je ne trouve le fil de mes pensées. Et ce fut lorsqu’Eirik demanda quoi faire pour nous occupé le temps que Sullivan revienne que je repris contact avec la réalité. «Tssss, je suis sur que tu vas trouver un moyen pour venir m’emmerder avec ton fantôme en vengeance, alors te la joue pas victime Rik’» rigolais-je. J’adorais Eirik. Il était le seul à me faire sortir de ma léthargie aussi facilement sans que je ne verse une larme. Mon jumeau, il était le plus cool. Et je ne pu que lui envoyer un regard tendre. Il faisait des efforts pour me faire rire et me faire passer une belle soirée, je ne pouvais que je remercier de cela. J’avais besoin de lui en ce moment, mais il était plus souvent avec Payson que je ne le souhaiterais. Bien sur, elle avait des trucs cents fois pire a géré. Mais ne pas pouvoir passer une soirée complète avec lui me manquait réellement. Quelques heures ici et là me suffisait bien pour passer à travers la journée. Mais un vrai moment que lui et moi, j’en avais besoin d’un. Et la soirée se dessinait pour que se soit le cas ce soir. Mon cœur se réchauffa a cette idée. Un peu d’amour fraternel, j’en crevais d’envie. «Mais bon, comme je suis une sœur g-é-n-i-a-l-e, je prends en considération ton argument et je vais t’épargné ce soir.» J’eu un sourire moqueur et je lui fis un petit clin d’œil.

Une fois dans le salon, je le laissai se coucher sur mes genoux. Je souris tendrement. Ah bah voilà, je l’avais mon chaton. Bon disons mon gros chat. Je me mis automatiquement a jouer dans ses cheveux tendrement. Je voulais lui donner une petite marque d’affection, lui faire comprendre que ses efforts en ce moment valaient énormément à mes yeux. «Je suis contente d’entendre ça…vraiment.» Dis-je. Avoir vu ma belle sœur si démolie dans la salle commune des Sampis m’avait vraiment inquiété. J’avais fait ce que j’avais pu pour l’aider à faire face à mon jumeau. Mais au final, cette histoire ne me concernait pas. Bien que j’espérais pour le couple que tout s’arrange. Je n’osais pas trop poser de question a mon jumeau sur ce sujet, bien que plusieurs aspect piquait ma curiosité. Je savais pourtant que c’était un jardin secret qui les concernait qu’eux et j’étais assez intelligente pour ne pas insister. Ils me diraient bien ce qu’ils voudraient. Mais déjà, de savoir que Payson semblait un peu mieux, c’était beaucoup. J’avais peur que mon frère écope de cette histoire, et je le connaissais trop bien pour savoir que présentement ce n’était pas la joie pour lui. «Si jamais je peux faire de quoi, je suis là…okay?» Montrer un peu de support. Et pas seulement à ma belle-sœur mais à lui aussi. C’était la seule chose que je pouvais faire dans cette situation où j’étais totalement impuissante. Je tirai une bouffée en l’écoutant me demander s’il y avait du neuf dans ma vie, Je retin un peu plus longtemps la fumée avant de la laisser s’échapper de mes lèvres. «Pfff, rien de génial. Les cours sont sympas, je me suis claquée les sept films d’Harry Potter en trois jours, et je sors pas mal dans les boites. Ca m’occupe mes soirées et je rencontre des gars mignon. » Je n’avais aucune gène a dire à mon frère que je draguais dans les bars pour combler un vide. La seule chose que j’évitais de parler, c’était la fréquence avec laquelle je couchais avec des inconnus. «Tu me manque à l’appart. Avec Callum qui travail de nuit et Felina qui semble ne jamais posé le pied dans sa chambre, c’est souvent vide.» Ce pourquoi l’idée du chat m’était venu en premier lieu. «Mais bon, c’est pas grave, je me pratique pour mes auditions et t’as pas à m’entendre chanter. » Je rigolai en lui tendant le joint lorsqu’il me demanda de lui rendre. L’herbe commençait à faire son effet, et je pouffais de rire. «Oooooooooooooh RIK je sais ce que je veux pour l’appart.» J’avais la meilleure idée de l’histoire de l’humanité. «Une tortue! C’est cool une tortue, c’est genre…. Ca a une carapace, c’est tout lent et c’est tellement laid que s’en est beau. En plus, ca ne fait pas de bruit. Rooooooohh achète moi une tortue!» Je le regardai avec un grand sourire avant de pouffer de rire. Pourquoi je me marrais. Aucune idée. Mais l’idée d’une tortue dans ma chambre, c’était beaucoup trop génial.
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MessageSujet: Re: It's like forgetting, the words of your favorite song. [Eirik] It's like forgetting, the words of your favorite song. [Eirik] EmptyMar 24 Jan - 15:13

D'accord, d'accord l'idée du perroquet était franchement mauvaise, mais il n'avait pensé qu'à cela en parlant. Et puis c'était une idée comme cela. Ouais c'est vrai qu'un oiseau c'est moyen, mais bon c'est limité en choix d'animaux. On trouvera ne t'inquiètes pas... Ouais enfin, ça c'était quand même plus facile à dire qu'à faire. Sullivan partit et Eirik en profita pour débarrasser la table. Tu me connais bien, c'est vrai que je viendrai te hanter histoire de me venger, mais ça serait la moindre des choses ? Tu me prives de ma jeunesse et de ma vie, moi je pourris la tienne... Je trouve que c'est plutôt un bon compromis. Il la regarda et lui tira la langue. Il aimait bien la charrier et savait exactement comment le faire rire, ou l'emmerdait et à chaque fois cela marchait à merveilles, il pouvait lui faire n'importe quel "piège" Viktoria tomberait dedans. C'était marrant. Le pire dans tout cela, c'est que lui réagissait généralement comme sa jumelle le voulait. Ils se connaissaient par coeur et jouaient en permanence avec cela... Même s'il est vrai que depuis l'histoire Mikael, leur relation était souvent plus tendue, il n'en restait pas moins qu'ils s'adoraient... Toi t'es géniale ?! Ah ouais ?! T'es sûre de ça ?! dit-il d'un ton qui se voulait suspicieux alors qu'en fait il ne faisait que plaisanter. tu es trop bonne de m'épargner ! Non mais franchement quelle générosité tu fais preuves, tu m'épates Vik ! S'il ne se prenait pas un petit coup il aurait bien de la chance, car là, ça serait amplement mérité !
Les jumeaux se déplacèrent dans le salon, et il se coucha sur ses genoux. Pour une fois il la laissa jouer avec ses cheveux sans trop rechigner même si en théorie il détestait ça et que sa sœur le savait pertinemment. Tu n'es pas la seule, ça lui fera plaisir de savoir que tu as demandé de ses nouvelles. c'était presque inespéré qu'elles s'entendent un minimum un jour, c'était un peu comme dans un rêve éveillé... quelque chose d'incroyable. Lorsque sa sœur reprit la parole il lui fit un petit sourire, peut-être plus triste qu'autre chose C'est gentil Vik, mais je ne vois pas ce que tu pourrais faire. Parler, lui parler lui ferait peut-être du bien, mais ça n'avait jamais été son genre de déballer tout et n'importe quoi, même à sa jumelle. Il avait toujours été assez réservé sur ses sentiments et ce qu'il pouvait bien ressentir, surtout lorsque cela concernait sa vie de couple. Le jeune homme écouta ensuite ce qu'était la vie de la jeune femme, il eut un léger rire avant de souffler Tu peux m'expliquer comment tu arrives à te faire tous les films en trois jours tout en suivant les cours et en travaillant tes cours hum ?! Il se doutait qu'elle ne devait pas trop trop bosser sinon cela n'était tout simplement pas possible. Tu rencontres des gars mignons ?! C'est à dire ?! Il avait très bien compris ce que cela signifiait mais il voulait savoir comment sa sœur allait tourner tout cela. Il la connaissait assez bien pour se douter qu'elle couchait avec le premier venu, cela ne lui plaisait guère mais il n'avait pas franchement son mot à dire... Vik savait bien qu'il détestait quand elle se comportait comme Sullivan, mais sur ce point les jumeaux étaient très différents, lui n'aimait pas aller coucher à droite et à gauche tandis que ça ne gênait pas spécialement sa jumelle; lui avait dû avoir entre dix et quinze partenaires maximum et que deux relations sérieuses mais qui marchaient bien, elle... ce n'était pas réellement qualifiables. Ne comprenant pas franchement ce mode de consommation de sexe il préférait se taire autant que possible. Tu me manques aussi, mais tu sais aussi bien que moi, que ce n'est pas facile en ce moment, j'essaie de faire du mieux que je peux, même si cela ne doit pas trop te convenir... Il sourit avant de rajouter Tu sais bien que je mets des boules quies ou des écouteurs que tu t'entraines à chanter continua t-il pour plaisanter. Lorsque sa soeur commença à parler de tortue, une crise de fou rire le pris. Oh mon dieu. Qu'est-ce qu'elle était encore allée trouver... C'est vrai c'est une bonne idée une tortue. On ira à une animalerie si tu veux la semaine prochaine, mais d'abord ma belle, je veux que tu te renseignes sur comment la nourrir et tout et tout pour qu'elle soit heureuse... tant que tu ne m'auras pas fait un rapport détaillé... pas de tortue ! Oui il voulait bien lui faire comprendre que la tortue il faudrait l'élever, la nourrir et compagnie que ça ne devait pas juste être une lubie comme ça, passagère. Il secoua doucement la tête avant de prendre le joint et de tirer une nouvelle taffe. Soufflant doucement il ferma les yeux avant de dire doucement à sa soeur Tu veux bien de chanter quelque chose, mais jte préviens si tu le fais ça risque peut-être de m'endormir... ou alors.. hum... de te sauter et de te faire es chatouilles jusqu'à ce que tu meurs de rire, alors c'est à tes risques et périls... Il fit un petit sourire et attendit finalement la réponse de sa jumelle.
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MessageSujet: Re: It's like forgetting, the words of your favorite song. [Eirik] It's like forgetting, the words of your favorite song. [Eirik] EmptyMer 25 Jan - 5:05

J’aimais les histoires de fantômes. Écouter un film qui vous glace le sang et qui vous donne envie empêche de dormir la nuit car le moindre craquement de la maison vous fait imaginer le pire scénario catastrophe. Et, bien sur, c’était le moyen parfais pour prétexter avoir besoin de dormir blottie contre quelqu’un. Et dormir contre son amoureux ou son rencard dur soir, c’était quelque chose d’autant rassurant que stupide. Si un meurtrier en séries déciderait de faire de moi sa prochaine victime, peut importe avec qui j’étais, le risque était tout aussi présent. Mais la question de réconfort était là. C’était ça l’important. Et puis, disons le, quoi de mieux qu’un bon film de zombie pour voir des poussées d’adrénalines. Alors, lorsque la discussion se tourna vers la fait que mon frère allait très certainement venir me hanté lors de sa mort future, je ne pouvais qu’éclater de rire. Il connaissait mon amour pour ce genre de lubie. Et puis bon, disons le, Eirik en revenant… il ne risquait pas d’être la chose la plus effrayante du monde. J’imaginais bien sa tronche en zombie, et franchement, il avait de la classe. Mon jumeau avait de la classe peut importe la situation, chose dont j’étais très fière. «Pfff tu me priveras de rien. Je vais appeler Ghostbuster tu vas voir. » Je pouffais de rire, me trouvant totalement idiote de ce commentaire. Mais j’imaginais bien mon frère chassé par ces légendes de mon enfance. L’image était….monumentale. La vanne qui me lança me blessa légèrement. J’avais l’impression que sous le couvert de cette plaisanterie, il y avait une amertume de reproche. C’était sans doute dans mon esprit. Mais en ce moment je faisais tellement d’effort pour épargner à mon frère ma peine d’amour pour qu’il s’occupe de sa copine. Je ne l’avais pas appelé une fois en pleur lorsque j’éclatais en sanglot. Je ne lui avait pas fait un sms de détresse. Et je me battais contre mes propres démons moi-même, essayant un maximum de ne pas être le zombie que j’étais réellement. Bref, j’épargnais à mon frère l’entièreté de mon chagrin d’amour. Je refusais qu’il se retrouve entre Payson et moi, même si pour cela je devais me passer d’un phare dans ma vie que j’aurais besoin de voir plus qu’une fois par semaine. Mais je ravalai le commentaire, me disant qu’il ne devait pas faire une réelle critique et que nous étions dans un état d’esprit beaucoup trop ludique pour avec une dispute. Je fini par lui faire un sourire et de le frapper durrement au bras. «Pffff c’est pas comme si t’étais génial non plus tu sais. Face de banane.» Je secouai ma main, la claque me l’avait engourdie légèrement. Mais je ne pu que rire.

Je voyais la soirée se dessiner devant mes yeux. Et c’est avec grand bonheur que je constatais que nous risquions de vivre une de ces fameuses soirée que seulement lui et moi avions la recette. Une soirée de connexion, où enfin notre monde à nous réapparaissait et dans lequel le plus profond des délires était accepté. J’avais besoin de tout cela. De rire une soirée de temps et de ne pas parler du malheur extérieur. Une soirée rien qu’a nous. Une soirée où j’avais l’attention de mon jumeau exclusivement. Je l’adorais. Malgré les cris et les déceptions des derniers mois, il restait ma moitié et rien ne pourrait nous séparer à jamais. J’en avais la certitude gravé au cœur. Je souris légèrement lorsqu’il me dit que Payson sera touché de l’attention. Je ne demandais pas des nouvelles pour gagner des points avec mon jumeaux mais car j’étais vraiment inquiète de la santé de ma belle sœur. «Bah je sais pas, si jamais tu veux en parler. J’suis là.» Lui dis-je avec un sourire sincère. Je me sentais légèrement inutile dans la vie de mon jumeau, et pouvoir faire une différence était important pour moi. Je travaillais énormément sur moi dans cette histoire pour laisser tranquille mon jumeau qui n’avait pas besoin de sa sœur brisé en ce moment alors qu’il devait s’occupé de sa petite amie. Mais j’ignorais si Eirik le voyais. Ces temps-ci, il ne voyait que rarement mes bons coups et me reprochait chaque dérapage, alors bon je ne comptais pas trop sur cela. Mais je continuerais tout de même, tout en lui montrant mon appui. Car c’était le genre de truc que l’on faisait lorsqu’on aimait une autre personne. On donnait sans vraiment avoir besoin d’un retour sur chacune de nos actions.

J’haussai les épaules lorsqu’il me demanda comment j’avais réussi a me claquer les films. «Ce n’est pas comme si c’était la surcharge non plus niveau devoir. J’ai commencé vendredi soir, fait une nuit blanche et au finale dimanche j’avais terminé. T’inquiète, je ne compte pas gâcher ma session, je vais bosser quand ca sera le temps. » C’était étrange, car de nous deux, c’était moi la plus travaillante à l’école et habituellement le discourt était inversé. Quoique pour avoir vu mon jumeau travailler la session dernière, il avait repris ses études en mains maintenant. Sans doute car, comme moi, le théâtre était la seule chose qui le motivait à aller à l’école. Demandez-moi de faire un devoir de math et j’allais mourir devant ma table d’étude. Mais faire un devoir de théâtre, je serais la première a avoir le nez dans un bouquin. Oui, présentement, j’avais de la difficulté à me concentré sur mes cours, ce n’était pas comme si nous étions à la veille des examens. «Tss te la joue pas curieux Rik. Tus ais très bien que j’aime draguer dans les bars. Il se trouve qu’à San Fransisco, il y a des gars pas mal. Tu dois être d’accord sur le sujet d’ailleurs.» Je lui fit un clin d’œil amusée. Parler de garçon avec son frère, c’était quelque chose de rare dans la vie d’une fille. Et j’en avais cette chance. Quoi que nous n’Avions pas tout le temps les mêmes gouts. Mais parfois si. Callum en était la preuve. «Et bon, tu es déjà sorti avec moi dans les bars et bon…» Je lui fis un petit sourire coupable. Pas besoin de lui dire que je couchais avec des garçons. Il le savait.

«Non mais je ne te blâme pas Eirik. Je veux dire… c’est normal. Payson a besoin de toi plus que n’importe qui sur terre en ce moment.» Et il serait trop égoïste de ma part de me mettre en avant scène. «Je veux dire… C’est juste que tu me manques c’est tout. Mais c’est normal que tu t’occupe de ta copine. Elle vit cent fois pire que moi.» Et j’espérais qu’il me croit sincère, car je l’étais. «Et puis hé, tu es là ce soir, c’est tout ce que je demande» Une soirée avec lui. De temps en temps. Histoire de pouvoir continuer a me battre contre ma tristesse. Et c’est exactement ce qu’il me donnait. Je lui donnai un léger baiser sur la joue, histoire de lui montrer ma gratitude. Qu’il ne soit pas immédiatement retourné vers Payson ce soir voulait beaucoup dire pour moi. J’espère qu’il s’en rendait compte. Lorsqu’il accepta pour la tortue, mes yeux s’illuminère. «HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN T’es le meilleur Rik!» dis-je en lui embrassant le front. «Et tu veux un rapport de combien de page? Si tu me dis cinquante, je te frappe avec un bottin téléphonique et tu le sais bien.» Il savait très bien que s’il me demandait de faire dix pages, je le ferai. Ajoutant surement un paragraphe de deux cents mots sur combien j’aimais mieux ses cheveux court. Je souris a sa demande. C’était un pur moment de tendresse entre une sœur et un frère. J’aurais bien pu lui montrer ma chanson d’audition et avoir ses commentaires, mais ce n’était ni le moment ni la place pour cela. Nous étions légèrement stoned dans la maison de notre ainé à pouvoir se parler librement en norvégien, ce n’était pas le temps de penser à notre vie américaine. Du moins, le temps d’une chanson. Je me mis alors à chanter une balade très connue de notre coin de pays. Narvik me manquait.
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MessageSujet: Re: It's like forgetting, the words of your favorite song. [Eirik] It's like forgetting, the words of your favorite song. [Eirik] EmptyLun 30 Jan - 20:49


Et bien écoute très chère sœur, appelle le, mais je suis certain qu'après tu le regretterais toute ta vie ! Tu t'en voudrais, parce que je te manquerais, mais tu ne voudrais pas l'admettre, parce que ça serait un peu weird de dire que le fantôme qui vous hante vous manque. Merci Eirik pour cette phrase qui n'avait franchement pas trop de sens. Bientôt la jeune femme lui fila un gros coup dans le bras. Aiieeeeuuuuhhhhhhhhhh dit-il en se massant le bras, alors qu'au final le coup ne lui avait pas fait si mal que cela... T'es vilaine de me frapper comme ça! En plus tu sais très bien que je marque facilement, je vais avoir un énorme bleu demain ! Chochotte ce garçon là quand même, mais ce qu'il disait était vrai, il marquait facilement, et franchement il se voyait mal expliquer pourquoi il avait un énorme bleu sur le bras à sa petite amie. Ce qui était certainement c'est que cela faisait bien rire sa jumelle. TTSSSS. Et t'es vraiment très très vilaine de rire.... Et puis les bananes c'est bon, alors ça ne me vexe même pas! Nah !!! Age mental ?! Pas loin de cinq ans à ce moment-là, mais au final c'était bel et bien cela qui était amusant. Finalement la discussion tourna peu à peu vers la petite amie du jeune homme. Non, il ne voulait pas en parler, et même si c'était adorable de la part de sa jumelle de vouloir l'aider, elle savait très bien que jamais il n'ouvrirait la bouche sur ce sujet, malheureusement pour elle. Il lui fit néanmoins un petit sourire, lui déposa un petit baiser pour la remercier avant de finalement prendre la parole Merci Vik. Il ne savait pas quoi rajouter d'autres. De toute façon chaque mot serait plus ou moins vain... Il ne voulait pas non plus lui dire une nouvelle fois "non" histoire de ne pas la vexer.... Finalement la conversation ne tarda pas à changer Hum, si tu le dis... C'était sa sœur tout cracher, travailler juste au moment voulu, plutôt que de travailler un peu à chaque fois, enfin, après chacun avait sa méthode, mais, il est vrai que depuis qu'il était à Berkeley, ses études passaient très largement en premier, et il passait énormément de temps à travailler, alors que sa jumelle lui dise des choses comme celles-là, lui faisait quand même bizarre. Ils finirent par continuer sur la nouvelle vie de sa sœur. Le jeune homme haussa les épaules, avant de rajouter Oui, oui je sais très bien comment tu es... Et oui, je suppose qu'il y a des gars pas mal, mais tu sais très bien que je ne passe pas ma vie dans les bars quand je suis tout seul... Non, ce n'était pas une critique, loin de là, mais quand elle parlait comme ça, il avait l'impression de se retrouver face à Sully. Sortir pour coucher. Il détestait littéralement cette idée, surtout quand cela concernait sa jumelle adorait. fais quand même attention à toi, faudrait pas que tu tombes sur un genre de psychopathe ! Oui, il s'inquiétait pour elle et pas qu'un peu. Avec tous les dérangés qu'il devait il y avoir en ville. Comme à chaque fois le sujet retourna sur Payson. Tu me manques aussi Vik... soupira t-il doucement. Et oui, je suis là ce soir, je l'avais promis, et tu sais que je tiens mes promesses, toujours, sauf si quelque chose de dramatique arrive. Je t'aime ma Vik.
Après un petit temps d'hésitation le jeune homme accepta d'aller une tortue à sa sœur. S'il n'y avait que ça pour lui faire plaisir, pourquoi s'en priver ?! Il eut un franc sourire en entendant le cri qu'elle poussa puis le fait qu'elle lui dise qu'il était le meilleur... Bah j'sais pas moi... Juste quelque chose qui montre que tu sais très bien comment il faut s'en occuper, disons dix ou vingt pages...Il s'arrêta, lui sourit avant de rajouter Quoique je serais tenté de te dire cinquante... rien que pour voir si tu serais capable de me taper avec un bottin, parce que tu sais très bien que tu me ferais mal... Il aimait la taquiner. La suite fut beaucoup plus calme, la jeune femme s'était mis à chanter doucement dans leur langue natale, plutôt fatiguée, le jeune homme ne tarda pas à tomber dans les bras de Morphée, toujours bien calé contre les genoux de sa sœur.
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