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La piscine c'est trop bien, il y a de l'eau partout!

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MessageSujet: La piscine c'est trop bien, il y a de l'eau partout! La piscine c'est trop bien, il y a de l'eau partout! EmptyJeu 12 Jan - 20:10




    Mercredi journée banale, bien trop banale, réveil à 6 heures du matin pour le jeune homme qui la veille n’a pas fait de sport, autant dire que quand vous vous couchez à 2 heures du matin en tournant dans son lit pendant des longues minutes, de longues dizaines de minutes mêmes. Donc voilà une nuit de 4 heures, presque une longue nuit pour le jeune homme qui en ce début d’année avait l’impression d’avoir la tension et les pulsations plus fortes qu’à l’habitude, il avait donc en début de semaine consulté le médecin qui lui avait dit « Je vous conseil un repos total, ne faites rien, pas de sport, restez au lit tranquillement », bien sur cause toujours, Andrea faisait donc du sport et tout ça. Ce matin pour écouter ce que lui avait dit son médecin il est donc partit faire un petit footing d’une petite heure avant de rentrer chez lui pour se doucher, déjeuner et partir en cours.
    Le jeune Epsilon avait les matières qu’il appréciait le plus aujourd’hui, de la chimie toute la matinée et de la physique appliquée toute l’après midi, autant dire que le jeune surdoué était très heureux de mettre sa blouse afin de faire quelques expériences, bien sur il avait fait exploser quelques tubes à essai rien que pour le fun et ensuite une expérience totalement réussit. Il faut savoir que le jeune Italien adore la chimie pour une raison simple, étant donné qu’il est pleins aux as il le sait, jamais de sa vie il ne travaillera, des placements fructueux, des maisons et des appartements en locations puis voilà. Non le jeune homme avait en tête des choses bien plus intéressante, voulez vous que satisfasse votre curiosité ? Le jeune homme cherche un moyen de créer une molécule qui pourrait multiplier les germes de plantes mais aussi les faire grossir plus rapidement. Oui je vous vois déjà de loin faire les gros yeux, ce ne sont que des OGM over puissant, mais non lui veut que ce soit fait avec le maximum de choses naturelles, voilà le grand défi de sa vie. C’est toujours étonnant de ce dire qu’à vingt ans on a la prétention d’essayer de sauver le monde.

    Mais bon voilà, Andrea est un surdoué, depuis tout jeune il a cette faculté de retenir tout ce qu’il lit, il n’a jamais sauté de classe mais c’était une volonté de sa famille, personne ne voulait voir le jeune Andrea différemment que les autres enfants. Hors de question qu’il aille dans une classe spécialisée, hors de question qu’il saute une classe, ils voulaient un enfant le plus normal possible. Car oui la normalité n’est pas le fort du jeune De Rossi, surdoué c’est quelque chose que l’on ne voit pas partout, mais ce n’est pas la seul particularité du jeune homme, il est aussi hyperactif de type deux. Que veut dire ce nom barbare ? C’est une maladie très connu, tout le monde en parle à la télévision, mais personne ne sait l’expliquer. Andrea lui c’est simple, il a le cœur qui bat plus vite, une tension plus élève, il ne ressent que très peu la fatigue et il doit faire beaucoup de sport pour fatiguer son corps afin de pouvoir faire des nuits à peut prêt convenable.
    Que du bonheur non ? Franchement c’est presque comme avoir des supers pouvoirs non ? Et bien le problème de ses supers pouvoirs c’est qu’ils vont lui couter la vie. Le jeune homme use anormalement son corps, les médecins lui ont tous demandé de prendre des somnifères mais il a toujours refusé, donc trop de sport donne trop de fatigue pour son corps, il ne passera surement pas les quarante ans, une chose qui ne le dérange pas, le jeune homme le dit souvent « Je préfère vivre à fond toute ma vie qu’avoir le frein pour mourir vieux ». Puis bon le jeune ne va jamais travailler de sa vie, il sort quasiment toutes les semaines, il fait la fête, abuse de l’alcool, prend de la drogue en gros toutes les conneries que cette terre a inventé il en abuse. Il n’y a que le sexe qu’il n’abuse pas, le jeune homme sans être timide respecte beaucoup les femmes, surement un peu trop, rajoutez à ça le fait qu’il ne se trouve pas beau gosse et vous comprendrez pourquoi il ne couche pas avec tout le monde. Après il faut savoir qu’il n’est pas franchement adepte des coups d’un soir, lui préfère faire une chose simple il essaie toujours de sortir avec une fille.
    Je vous explique, si il rencontre une fille le soir en boite, il ne va pas l’emmener dans un hôtel pour pouvoir partir en douce, non le lendemain ils vont prendre le petit déjeuner ensemble puis il va lui proposer d’essayer de faire un bout de chemin ensemble, si elle dit non tant pis, si elle dit oui ils essaient. Si vous connaissez le jeune Italien vous comprendrez vite que ça n’a jamais marché parce qu’il est à l’heure actuel seul, mais heureux !

    La journée (car oui j’en reviens à la trame principale), la journée passa donc à une allure folle, le jeune surdoué sur de ses capacités faisant sur connerie, comme tout les surdoué il a beaucoup de mal à rester sérieux longtemps surtout si il y a du monde autour. Bien sur quand il fait ses recherches il est tellement concentré que vous pouvez lui parler, jamais de la vie il ne vous répondra, mais quand il est en cours, avec un pote à lui à droite, une copine à gauche il est toujours tenté de faire le clown, mais que pouvez vous lui reprocher ? Quand en première année de chimie vous apprenez à votre professeur comment faire telles ou telles choses ?
    Déjà 18 heures, presque déçu que la journée soit finit le jeune homme écoutant encore une fois les médecins se dirige vers la salle de musculation afin de se fatigué encore une fois, puis de travailler son corps. Son corps qui était totalement sculpté, très plaisant à voir, pas un poil de gras, puis pas un poil non plus. Normal le jeune Italien fait tellement de sport que le kilo de viande qu’il mange par jour ne se voit même pas, pourtant tout les gens qui l’ont à table avec eux disent la même chose, vaut mieux l’avoir en photo que à table. Après une heure de musculation les forts en mathématiques vont me dire qu’il est 19 heures et ils auront raison, le jeune homme prend une douche, se goinfre car au stade ou il en est ce n’est plus se nourrir et le voilà déjà au lit.
    Un gros coup de mou vient de le traverse, 20 heures à peine le jeune homme s’endort, sauf que voilà quand on se couche si tôt on se réveil tout aussi tôt, voilà alors que le jeune homme se réveil à 3 heures du matin, que faire ?

    Essayer de se rendormir ? Même pas en rêve cela ne marche jamais, alors que faire ? Et bien une envie de se baigner, de nager, de s’amuser quoi, traversa l’esprit du jeune De Rossi. Direction donc la piscine universitaire, qui avant été toujours ouverte sauf que depuis la Party Mousse de l’an dernier les portes sont toutes fermées et bien fermée. Faisant le tour il trouva une faille, un coup bien placé dans la porte qui s’ouvrit sans aucun dégât, enfin presque.
    Le voilà donc dans la pièce qui hanté son esprit, il tomba son short et son T-shirt, il était seul il posa tout de même sa proprement sur une estrade, caché à vu au cas ou quelqu’un passerait il se planquerait ou quelque chose comme ça. Commençant les longueurs le jeune homme était aux anges, l’eau été chaude, il y avait le système de nettoyage qui était activé donc voilà il y avait un peu de remous dans la piscine.

    Plongé dans le noir personne, même au loin ne verrait qu’il y a quelqu’un dans la piscine, mais voilà y avait il un seul insomniaque dans cette université ? Ne serait il pas rejoint par quelqu’un ? Aurait il une visite du gardien de l’universitée qui depuis les événements de l’an dernier tournait tout la nuit, avec une préférence pour la piscine. C’est là qu’il pensa de suite que la port qu’il avait forcé était resté ouverte, il sortit à toute vitesse de l’eau pour se diriger vers l’entrée, histoire de fermer la porte, ce ferrait beaucoup moins flag.
    Les pieds mouillés, le corps tout autant il courrait tout en glissade, le sourire aux lèvres, le gamin de 20 ans s’éclatait pas mal, tant qu’il ne s’éclatait pas par terre c’était l’essentiel.

    Le sourire disparu d’un coup quand il retrouva la porte fermée, il était sur qu’il l’avait laissé fermé. Puis un bruit au loin, comme des pas, le jeune homme tout en glissade retourna vers la piscine, il retourna plus rapidement que prévu à l’eau, les glissades c’est bien mais voilà qu’il en avait fait une pas contrôlée. Heureusement plus de peur que de mal, le problème ? Il y avait quelqu’un dans le bâtiment.
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Jake Fitzgerald
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Jake Fitzgerald
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MessageSujet: Re: La piscine c'est trop bien, il y a de l'eau partout! La piscine c'est trop bien, il y a de l'eau partout! EmptySam 14 Jan - 17:12


andréa ▬ aislynn
Don't feel like picking up my phone, so leave a message at the tone


C’est le soir que mes démons revenaient me hanter. Quand je n’étais plus à l’université ou en charmante compagnie, je repensais sans cesse à cette douleur dans la jambe et à mes visites chez le kinésithérapeute. Je dormais mal et avais trop de fierté pour l’avouer à qui que ce soit. Cet accident n’avait pas disparu le jour où on m’avait ôté le plâtre. Il resterait à jamais gravé dans ma mémoire. Cette nuit où je ne pensais que rien de grave allait m’arriver. Je me rappelle le sourire comblé de Joshua qui venait me chercher pour la dernière soirée de l’année, ce bal qui annonce aussi le début de l’été. Je me rappelle le bonheur qui m’avait rempli encore ces instants où je réalisais que l’amour pouvait donner des ailes. Après les hauts et les bas, nous étions restés plus complices que jamais. Il n’y avait pas d’explication à ce type d’entente. Comme une évidence, le destin nous avait réunis. Sauf qu’on n’était pas au bout de nos peines quand je réalisais que cette voiture allait nous percuter et à toute vitesse. Comme si le chauffeur s’était endormi au volent, il nous avait refusé cette priorité qui s’avéra être fatale. J’ai dû me promener pendant deux mois avec ce bout de ciment sur la jambe. Après avoir passé la semaine dans cet hôpital où l’odeur me rappelle encore le terrible souvenir. Si seulement tout avait été différent, si je n’avais pas reconnu ma faiblesse. Aujourd’hui, je ne serais pas là où je suis. Car au final, nous nous étions séparés comme d’un accord. Je n’acceptais plus le fait qu’il puisse me voir aussi mal, aussi petite. Je ne méritais pas d’être à ces côtés, alors que la simple vision de mon reflet dans le miroir me donnait des envies de tout foutre en l’air. Je n’ose imaginer le nombre d’heure que j’ai passé renfermer dans ma chambre. Fixant le plafond et ces moulures, à l’abri de tout point de vue. J’étais dans ma cachette et m’y sentais dix fois plus en sécurité. J’avais disparu de la circulation. La maison des iotas était tout ce qu’il me restait et au fil du temps j’ai réalisé que la réponse à toutes mes questions n’étaient pas planquée sous mon oreiller. Alors je m’en rappelle comme si c’était hier, ce jour où j’ai pu retrouver la couleur de ma jambe. Un peu avant Halloween, je m’étais rendue chez le médecin qui avait bien des surprises à m’avancer. Mon chemin ne s’arrêtait pas là. Je devais continuer de faire attention, pas trop d’effort et de la patience. En étant capitaine des cherleaders, ce n’est pas vraiment ce qu’il faut dire. J’avais déjà perdu assez de temps, je devais reprendre les choses en main. Il y avait une équipe qui attendait derrière, on a des objectifs et je ne peux pas accepter d’être la source de cette défaite également. Je ne peux pas les accumuler. Seule plus que jamais, je me suis renforcée, j’ai décidé de tout recommencer. En me rendant chez le kiné, j’ai retrouvé une certaine confiance. Aujourd’hui, au regard de tout le monde, je joue la carte de la fille forte, celle qui n’a peur de rien et qui peut aller encore plus loin. Sans explication, pas besoin de compassion, juste de la force, du courage. Voilà de quoi je me suis armée pour ne pas lâcher prise. Je veux voir plus loin car je sais ce que c’est de toucher le fond, de croire que tout est perdu et un jour se réveiller avec une envie de changement, d’avancement. Je ne veux pas stagner. Je ne veux pas regretter. Je sourie même si à l’intérieur quelque chose s’est brisé. Je vie comme bon me le semble, dans la joie et le malheur. Je ne pourrais jamais oublier cette douleur ou encore cet amour. Joshua a quitté Berkeley. Il est rentré. Je suis restée. J’essaye de me reconstruire et pour le moment, je dois avouer que je suis plutôt fière de moi. Néanmoins quand le soleil part se coucher, je peux tout à coup basculer et perdre pied. Je tourne en rond et Camélia doit supporter mes sautes d’humain dans la maison que nous avons décidé de partager non loin de l’université. Heureusement que je peux compter sur mes meilleurs amis, sur les iotas et ne pas perdre de vue que je veux en sortir gagnante. Je ne dis pas que je retrouvais mes sourires d’autres fois, juste que je peux me renforcer et me prouver à moi – même la détermination qui a toujours dormi à l’intérieur. Je revois le jour mais la nuit me fait toujours peur.

Il m’arrivait d’éprouver certaines angoisses lorsque je monte à bord d’une voiture. Sauf quand je me retrouver à la place du conducteur. Je me dis que c’est différent, que si on me refuse une priorité, je ne serais pas le premier impact qu’on entendra. Il devait être trois heures du matin quand je réalisais que la nuit avait débuté et que la fatigue ne m’avait pas gagné. Je me demandais encore le courage qu’il me faudrait quand le soleil aura pointé le bout de son nez et que je sentirais la fatigue s’abattre sur ma journée. Néanmoins, il était inconcevable de rester une heure de plus dans mes draps. J’allais finir par avoir envie de m’étouffer moi – même avec mon oreiller. Je me levais alors dans le plus grand des silences car je ne voulais la réveiller. Je n’ose même pas imaginer son humeur à cette heure – ci de la nuit. Puis elle voudrait savoir où je vais et pour quelles raisons. Tant d’interrogations dont je ne connais même pas les réponses, personnellement. J’enfilais mon jogging et le gilet qui allait avec. Mon sac en main prêt, je prenais la direction de la piscine universitaire. Bénéficiant d’une certaine confiance et de mon titre de capitaine de l’équipe, j’avais en possession la clé de l’établissement. Je ne devrais peut-être pas m’y rendre si tard mais la tentation était bien trop grande. Quelques longueurs dans l’eau allaient m’aider à fatigué mes muscles et à les renforcer en même temps. Il n’y avait personne sur la rue que ça pouvait en être effrayant. Mais ça le devenait encore plus quand je remarquais la présence de quelqu’un d’autre à l’intérieur du bâtiment. Vu l’état de la clinche, je me doutais bien que ce n’était pas le concierge qui était passé là. L’année passée, on avait eu de gros soucis quand une soirée mousse s’est vue organisée dans le local. J’espérais ne pas retomber sur cette vision même si j’avoue que c’est le genre d’évènement qu’on n’oublie pas. Histoire de prendre cette personne au piège. Je pris le grand soin de refermer la porte à clé. Peut être qu’un coup de pied avait réussi à la débloquer, étant donné l’âge qu’elle se payait dans les dents. Seulement, s’il souhaitait ressortir, il fallait qu’il agisse de la même façon. Je passais alors par le vestiaire et ne remarquais aucune présence étrangère. Dans le pire des cas, la personne avait déjà pris la fuite et si ça se trouve, je me faisais un beau film toute seule. Quand soudain, j’entendis l’eau remué à quelques mètres de moi. Avec ma conscience, nous n’étions plus seules. Il y avait quelqu’un pas si loin et j’étais tenté de savoir qui ça pouvait être. Qui à cette heure de la nuit était rentré par infraction pour avoir la simple envie de faire quelques longueurs.. Le suspens dans le ventre, j’avançais quand soudain je remarquais cette silhouette masculine dans le coin du bassin. « Inconnu en zone interdite. Il me semble. » Je ne pouvais ni voir son visage, ni savoir s’il était grand ou petit. Mais en aucun cas, je ne pouvais nier le fait qu’il était un homme. Je m’avançais du bord, armée de mon bikini. Les mains dans les cheveux, j’attachais ceux-ci à l’aide d’un élastique quand je vis le visage de cet inconnu se refléter dans la vitre face à lui. Andréa. « Qu’est-ce que tu fous là ? Tu ne dors pas ? » Comme si je pouvais être la seule insomniaque de l’université. Je ne pouvais pas oublier le visage de ce garçon qui est devenu un homme. On se connaissait depuis tout petit, même si nos chemins avaient pris des tracés différents. Je me doutais des projets qu’avaient eus en tête nos parents et de leurs plus grands désirs. Seulement, les choses n’arrivent pas parce qu’on le désire. Elles arrivent quand les choses font que ça fonctionne et que ça peut marcher. Avec Andréa, on s’était toujours entendu. Il était amical et chaleureux. Vraiment quelqu’un avec qui j’aurais pu être encore plus proche vu le poids des années qui nous suivaient. « Comme ça, tu es un homme de la nuit. Pas étonnant qu’on se croise peu souvent la journée » ajoutais – ce cette phrase avec étonnement et satisfaction. A croire que certains chemins finissent par se retrouver..

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MessageSujet: Re: La piscine c'est trop bien, il y a de l'eau partout! La piscine c'est trop bien, il y a de l'eau partout! EmptySam 21 Jan - 14:36




    La vie ne tient malheureusement qu’à un fil, un jour tout va bien dans le meilleur des mondes puis l’autre jour rien ne va plus faite vos jeux comme dirait le célèbre jeu dans les casinos. Autant dire que pour le moment le jeune Italien lui n’avait jamais vécu de telle choses, vous savez l’impression d’aller super bien que tout va pour le mieux que rien ne peu vous résister puis du jour au lendemain tout s’écroule, une sensation vraiment horrible, la descente totale aux enfers. Non le jeune homme lui n’avait jamais touché le fond, mais à sa grande déception n’avait jamais touché le sommet non plus. Il était le jeune homme a qui il n’arrivait jamais rien de grave et pourtant le jeune homme qui bravait souvent les dangers les plus fous (attention je ne parle pas de l’étrange aventurier avec son chapeau mais bien du jeune Italien entrain de se prélasser dans la piscine).
    Pour en savoir plus sur ce que peut vivre le jeune homme parlons un peu de sa vie, un jeune homme bien sous tout rapport, le genre de mec que l’on peut qualifier de gendre idéal, pas le mec qui prend une fille pour coucher avec elle et ensuite la jeter comme une vieille chaussette, bien au contraire. Le genre de mec qui se laisse toujours une chance, le genre de mec qui laisser toujours une chance, quand je dis ça sa veut dire que si il rencontre une demoiselle en boite, il couche avec ou non, mais le lendemain vous ne le verrez jamais partir discrètement, non si la jeune femme veut partir qu’elle parte. Si elle veut tenter l’aventure avec lui qu’elle la tente, donc oui il ne faisait pas partit des Don Juan pour plusieurs raisons. Déjà celle-ci, puis ensuite le fait que le jeune homme ne se trouve pas si beau que ça, oui il se trouve dans la moyenne, non pas dans la haute ni dans la basse mais simplement dans la moyenne.
    Oui vous allez me direz comme beaucoup, il est pourtant très bien foutu, s’entretien tout les jours à la salle de musculation, à un visage vraiment bien fait mais voilà vous savez le manque de confiance en soi ça ne se décide pas. Le jeune homme dit toujours qu’en tant qu’intellectuel c’est normal qu’il ne soit pas aussi beau gosse qu’un sportif ou qu’un Delta, pour lui on ne peut pas être tout à la fois, un beau gosse sportif et intelligent, une vision des choses très Américaine alors qu’il ne vit ici que depuis quelques mois, que voulez vous que je dise à ça ?

    Parlons maintenant des peux de choses qu’il a vécu durant sa vie. Le jeune homme adore sortir, adore faire la fête, un moyen pour lui de vider les batteries, un moyen pour lui de se fatiguer pour ensuite passer une bonne nuit. Oui pour ceux qui ne le savent pas il est hyper actif ce qui veut dire que son cœur bat plus vite, que sa tension est plus forte, voilà les causes de sa maladies, les conséquences ? Et bien il a du mal à trouver le sommeil, il ne récent pas la fatigue physique, il peut enchainer et enchainer des efforts sans pour autant avoir mal, les conséquences à long terme ? La mort tout simplement mais ne parlons pas de ça parlons un peu des soirées. Durant les soirées comme tout bon jeune il danse, mais aussi il boit, et autre conséquence supposé de sa maladie, dès qu’une goute d’alcool vient toucher son divin palais, il change complètement. Il passe le cerveau sur off, son cœur s’accélère et là il fait de nombreuses conneries, pour ne citer que les principales et celles ou il a risqué gros.
    Je commencerai par parlé d’une visite dans un zoo avec l’envie non négligeable de caresser un lion tout en volant un singe, voler un singe devait être la première mission et surtout la plus facile, autant dire que ce ne fut pas le cas, se retrouvant on ne sait comment dans la cage aux singes il c’est fait attaqué de tout les cotés, réveiller un singe ne le rend pas de bonne humeur tout comme les hommes quoi, morsure à gogo et surtout plusieurs semaines de traitement anti rage et tout ce qui n’est pas si plaisant, résultat une forte amende et surtout un mois entier d’hospitalisation.
    Petite soirée entre ami et maintenant le voilà dans un pays d’Afrique pour adopter un enfant, enfin adopter n’est pas forcement le mot, le mot le plus approprié c’est surtout, kidnapper un enfant, le ramener en Amérique, créer quasiment un incident diplomatique et être juger dans le pays Africain, résultat une punition made in Cote d’Ivoire, c'est-à-dire pas de prison mais être rué de coup par les parents de l’enfant, une expérience qui n’a pas de prix dans les deux sens du termes, encore une fois visite à l’hôpital 5 cote fêlé, deux semaines dans un lit.
    Springs break, le moment ou les Américains arrivent en masse au Mexique pour faire la fête et tout ce qui s’en suit, qui dit fête dit alcool, qui dit alcool pour le jeune homme dit connerie et surtout cette fois ci dit visite en prison du Mexique, le genre de prison ou l’on ne veut pas remettre les pieds, raison de cette petite visite dans les cachots ? Avoir essayé de faire l’amour à une femme flic, elle n’était pas contre au début, mais le faire sur le capot de la voiture de fonction, en tenue lui a valut à lui et à elle beaucoup de problèmes.
    Dernière erreurs en date ? Tout simplement au nouvel an, un mariage avec une jeune femme qu’il ne connaissait pas le résultat ? Une femme qui porte le même nom que lui dans l’université, enfin une de plus avec sa sœur, avoir portée un anneau au doigt pendant un mois avant que sa sœur le trucide, porter maintenant l’anneau attaché à une chaine avec son chapelet.

    Tien avant de revenir à nos deux têtes blondes parlons un peu de ce chapelet qu’il porte autour du coup, un effet de style ? Non pas forcement comme tout les Italiens le jeune Andrea est assez proche de Dieu, il croit en lui mais ne fait pas tout ce qu’il appel des chichis, vous ne le verrez pas souvent aller à l’église, vous ne verrez jamais respecter le Vendredi saint, en gros il croit en Dieu mais ne veut pas de tout les choses qui vont autour, l’amour avant le mariage ? Bien sur qu’il y a gouté.

    Maintenant que vous en savez beaucoup plus sur lui nous allons pouvoir revenir à cette nuit, trois heures du matin, un moment ou normalement personne n’est dehors. Donc voir une porte fermée alors que vous l’aviez laissé ouverte je peux vous dire que ça vous fait monter dans les tours même si vous êtes du genre hyper actif. Voir une silhouette même si c’est une femme s’approcher de vous alors que vous êtes planqué dans l’eau sa fait aussi monter dans les tours, oui pourquoi il n’y aurait que les hommes qui seraient psychopathes, pourquoi ils n’y aurait que les hommes qui soient meurtrier ?
    Enfin après ce qui vous fait tout de suite redescendre dans les tours c’est quand vous vous apercevez que la fille en face de vous n’est autre qu’une petite blonde qui ne ferrait de mal à personne et surtout que cette fille vous la connaissez depuis un certains temps pour ne pas dire une éternité.

      Deux questions que je pourrais te retourner, mais comme tu les a posées en premier je te réponds, une soudaine envie de venir nager, puis dormir à cette heure là ? Jamais !

    Dit-il avec un ton tellement naturel que l’on aurait presque pu le croire. Voyant qu’elle était en maillot il savait déjà pourquoi elle était là. Il sortit de l’eau s’asseyant au bord de la piscine, l’endroit été chauffé, il avait beau faire une température proche du 0 dehors il faisait presque chaud dedans, cette sensation étai bizarre mais tellement bonne.
    Autre sensation bonne, celle de retrouver Ais, ils ne se voyaient que très peu souvent, il savait qu’elle était à Berkeley, lui y était depuis un peu plus de six mois et pourtant ils ne c’étaient quasiment pas vu, il n’avait pas son numéro Américain et elle non plus. Ils se connaissaient depuis un bout de temps, leurs parents très bons amis avaient souvent voulut les mettre ensemble, tout simplement parce qu’ils s’entendaient bien, tout simplement parce que quand on a de l’argent on chercher toujours à avoir ce que l’on n’a pas.

      Ben je dirais plutôt un homme qui n’arrive pas à dormir la nuit, donc par force je me retrouve dehors, et toi une jeune femme en bikini dehors à cette heure là, ce n’est pas forcement très prudent, j’aurai pu être le grand méchant loup non ?

    Dit il sur un ton léger, il était content de la revoir, ils étaient souvent fourré ensemble étant jeune, elle était ensuite partie à Berkeley donc ils se voyaient moins souvent, maintenant qu’ils y étaient tout les deux c’été peut être un moyen de se voir un peu plus souvent…

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Jake Fitzgerald
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MessageSujet: Re: La piscine c'est trop bien, il y a de l'eau partout! La piscine c'est trop bien, il y a de l'eau partout! EmptyMar 24 Jan - 14:10


andréa ▬ aislynn
Let us die young or let us live forever..


Il y avait des moments où je me rappelais tellement de souvenirs que je m’en rendais malade. On aimerait pouvoir changer nos erreurs ou réparer nos bêtises. Mais nous n’avons pas tous les pouvoirs du monde. On ne peut pas se dire que se sera facile, comme si on venait de mettre un film dans le dvd. On se dit que c’est ok, il faut juste appuyer sur les boutons. On attrape alors cette plaquette remplie de bouton et on se dit, si je veux vraiment ne pas lui dire ce que je pense pour ne pas le blesser.. Il suffit de revenir en arrière et de recommencer. Dans un second cas, on peut aussi se dire que ce moment va être trop dur. On ne peut pas affronter cette épreuve et cela pourrait nous dévaster. La perte d’un être cher n’est pas chose facile à vivre. On se dit qu’on ne l’a verra plus, qu’elle ne pourra plus rien partagé à nos côtés. Tant de difficultés parfois naissent de ces situations. Accepter la disparition est souvent quelque chose qui peut tout remettre en question. Il ne suffit pas d’avoir une télécommande magique et de passer au – dessus de ça. Faire comme si de rien n’était, comme si la vie continuait son cours alors qu’on saute certainement, les plus grandes étapes d’une vie. La peine. La joie. On doit tout connaitre, que ça fasse mal ou que ça soulage. L’humain est fait pour affronter tes murs. Chaque choix nous mènera sur une voie. Je n’ai pas toujours pris la bonne direction et je pense que certains chemins ne m’ont pas encore donné de réponse. En remarquant la relation que j’ai choisi de vivre avec mes parents, je me demande si un jour, mon père réfléchira à ces actes. Je suis partie à l’université. J’ai évité ses coups de fil. On ne sait plus parler depuis deux années, je pense. Notre silence nait d’une déception. De ce soir où il est parti de la maison, sans rien dire. Pas besoin de prendre le temps de parler à sa fille unique, elle est trop petite pour comprendre. Bien sûr, papa. Je n’avais plus cinq ans quand tu as laissé maman pleuré toute cette nuit. Je n’oublie pas alors je me renforce et je ne préfère pas garder contact avec mon géniteur. Je ne suis pas fière de ce qu’il est, je suis même très déçu de savoir qu’il peut être ce type d’homme. Je suis consciente qu’il n’est pas le seul à aimer ce genre de quotidien. Plus il y a de femmes, plus on a de choix. Cesar m’avait eu dans ces tourments et j’en avais souffert énormément. Partager, ce n’est pas vraiment mon point fort. Quand je tiens à quelqu’un, je ne veux pas le voir me filer sous le nez et encore moins pour une partie de jambes en l’air. Sérieusement, c’est tout ce que je peux valoir ? Les hommes ont parfois du mal à comprendre que le cerveau se trouve dans l’hémisphère nord de leur organisme et non dans l’hémisphère sud ! Enfin comment changer ces origines ? L’homme est un ami du primate, alors on garde nos origines. D’ailleurs, Cesar avait payé le prix de fort pour s’être amusé de moi à l’époque. Il y a quelques mois, j’ai eu l’idée et j’ai fait ce qu’il fallait. J’ai utilisé mon charme même si ce n’est pas ma plus grande fierté. Je l’ai encerclé dans mes filets. Je lui ai joué le jeu de la femme désemparée. Ce genre de personne qui se sent tellement seule qu’elle demande un peu d’affection. Je l’ai mené jusque dans ma chambre, lui montrant de quoi je pouvais être capable. Lui ôtant chacun de ses vêtements, je l’ai laissé devenir maitre de ma chambre juste au moment où j’ai sorti mon plan : vengeance. J’ai sorti mes menottes et je l’ai attaché. Je l’ai regardé et je me suis levée. J’ai souris et je lui ai dit qu’il n’avait pas changé, que son radar n’avait pas muri avec le temps. Il restait ce gars trop occupé à se coiffer qu’il laissait le temps lui filer. Il m’a perdu et j’ai été la gagnante dans cette relation. J’ai commencé à me méfier et j’ai tout donné pour éviter les relations qui tournent males. Je ne veux pas avoir ce rôle qu’on donne aux jolies filles dans les films dramatiques. Celles qui pleurent l’être aimé juste parce qu’il était trop aveugle pour se rendre compte de la chance qu’il avait. Sauf que la femme ne comprend pas que dans cette histoire, elle ne doit pas être celle qui attend. S’il est trop bête pour réaliser ce qu’il a à ses côtés, c’est qu’il n’a rien compris. Je ne suis pas ce genre de demoiselle qui coure après l’amour ou après un homme. J’ai trop donné pour au final arrivé à la même fin, une déception ou un regret. Maintenant, je veux juste avancer sans me tracasser, je veux vivre et non survivre.

M’avançant de cette silhouette, je reconnus ses traits qui se reflétaient dans la vitre face à lui. Andréa, une rencontre qui remonte à bien loin, des souvenirs plein la tête alors que nos parents ont tout fait pour nous éloigner loin l’un de l’autre. En réalité même si notre relation ne datait pas d’hier, je remarquais que je ne connaissais rien sur sa personne. C’était étrange comme sentiment mais pourtant très fidèle aux chemins que nous avons pris. Nous étions du même monde avec notre argent plein les poches et notre éducation. Sauf qu’en voulant trop nous réunir, nos géniteurs nous ont éloigné. Je m’en rappelle comme si c’était hier, j’appréciais les instants où je pouvais l’ennuyer où il pouvait me détester car je venais de casser son dernier jouet. Je ne voulais pas me plier à leurs désirs, à leurs envies de nous voir réunis. Je réalisais alors seulement, à l’instant, combien on avait grandis et les personnes qu’on était devenu. Il y a un bout de chemin qui a été fait et on ne peut pas le nier. Plus naturelle que jamais, je posais mes questions et lui faisais remarquer mes interrogations. Je tourne rarement autour du pot. « Donc tu es un vrai insomniaque. » Prenant place sur le bord, je laissais pénétrer mes jambes dans l’eau chaude de la piscine. Quelle plaisir d’avoir la clé de cet endroit. Remarquant la fraicheur de la nuit, à l’intérieur tout était bien différent vu la chaleur qui régnait. L’endroit avait toujours été réchauffé et on le remarquait le plus souvent quand on le quittait. On refaisait contact avec ce qui règne à l’extérieur, une douce nuit, une froideur particulière. Il s’avança à son tour du bord et prit place à mes côtés. Comme deux échappés, il fallait d’un trop plein d’énergie pour que nos chemins se croisent. Chose étonnante mais plaisante. Je souriais en observant qu’il gardait toujours certains traits de son enfance. Ses lèvres, son regard, je pouvais me rappeler une ribambelle de souvenirs, de moment de complicité malgré tout. Cette époque remontait et pourtant je n’avais pas oublié le principal, je savais qu’Andréa avait toujours été quelqu’un d’agréable et de chaleureux. A cet instant, ça ne changeait pas. De plus, il était devenu un homme plutôt plaisant à regarder, ses petites tablettes dessinées sur le bas de son ventre me donnaient envie de les toucher. « Le grand méchant loup.. On se serait battu dans l’eau de cette piscine et pour avoir une bonne respiration, j’aurais pu rester longtemps en dessous. Je me serais défendue comme je l’aurais pu. Remarque ce muscle » ajoutais – je en levant le bras et lui montrant le haut de ce dernier. Je rigolais car d’un seul coup, en le retrouvant, c’était comme si j’avais été projeté dans mon enfance, dans cette innocence qui ne m’avait jamais vraiment quitté. Il la faisait remonter et je dois avouer que ça faisait du bien d’être simplement moi, enfant et adulte à la fois. « Comment vas-tu ? Ça fait un moment que toi et moi … On ne sait plus recroiser. On n’a plus vraiment eu un petit moment à nous. En tout cas ça fait plaisir. » On discutait, on se retrouvait simplement et particulièrement. Plus je posais mon regard sur Andréa et plus je me disais qu’il avait vraiment bien muri. Il devait en faire craquer un paquet de demoiselles. Je n’ose même pas imaginé d’ailleurs les cœurs qu’il a dû briser. Même si j’avais du mal à le croire bad boy. Il laisse plutôt paraitre son côté gentil et attentionné. Peut-être parce que c’est moi qui suis en face de lui, je ne sais pas. En tout cas, c’était une belle rencontre nocturne. Je me laissais glisser le long du bord pour quand même profiter de ce que j’étais venu chercher en quittant mon lit. Ma jambe me faisait incroyablement mal et j’avais besoin de faire de l’exercice. Touchant le fond, je faisais allé que mes bras tout en continuant de partager la discussion. « La prochaine fois, évite de défoncer la porte pour rentrer, il y a derrière une grande fenêtre qui n’est jamais fermée de l’intérieur, ça pourrait te servir. » M’éloignant de lui, de quelques mètres, je bougeais légèrement et réalisais le bien être que faisait la chaleur de l’eau sur mes muscles, un vrai plaisir.

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MessageSujet: Re: La piscine c'est trop bien, il y a de l'eau partout! La piscine c'est trop bien, il y a de l'eau partout! EmptyMar 24 Jan - 20:54




    Andrea avait beau faire tout ce qu’il voulait il n’arrivait pas à regretter ce qu’il faisait dans le passé, c’est quand même étrange de ne même pas vouloir revenir sur ses erreurs, se serait si bien quand même non ? Vous avez fait une connerie ou une erreur avec quelqu’un que vous appréciez, un coup de retour en arrière et hop tout est réglé vous êtes à nouveau ami avec lui, ou vous êtes toujours en couple avec la personne. Vous voulez voir comment sa se passera dans le futur ? Un coup d’avance rapide et hop vous savez, ensuite retour dans le présent, un coup de pause le temps de remettre les choses en place et on est partit pour une vie parfaite ou on ne fait jamais d’erreur, ou tout se passe bien dans le meilleur des mondes. Malheureusement pour certains et heureusement pour d’autre la vie ne marche pas comme un magnétoscope ou plutôt un lecteur Blue-ray pour être plus à la mode, non dans la vie on paie ses erreurs, on ne connait pas à l’avance ce qu’il va se passer, on a besoin de dire accepte tu mes excuses, on a besoin de se faire pardonner, on a besoin de pardonner et tout ça afin d’avoir la plus belle des vies.
    Andrea lui aime cette vie, après c’est vrai qu’il n’a pas le caractère qui fait qu’il regrette ses erreurs, quand il fait une erreur qui nuit à quelqu’un il l’avoue, il voit avec cette personne si il ne peut pas réparer l’erreur ou faire quelque chose afin de gagner son pardon, mais si la personne en face de lui à une tête de con et bien tant pis il y perd au change. Oui Andrea est comme ça, il accepte volontiers quand on lui dit tu as fait une connerie, il accepte volontiers quand on lui reproche quelque chose qu’il a fait et qu’il trouve lui aussi abusé, si quand il tant la main à quelqu’un ce quelqu’un ne l’attrape pas et bien tant pis. Autre trait de son caractère, vous pouvez être son meilleur ami, quelqu’un qu’il considère comme un frère les liens les plus importants sont les liens du sang, comprenez donc que si sa sœur lui dit quelque chose, son cousin ou sa cousine lui dit quelque chose sur vous, il a beau vous apprécier plus que tout au monde, si vous avez fait une crasse à son sang et bien il vous en voudra comme si vous l’aviez fait à lui. Ensuite quand on lui fait un coup fourré, vous savez le jeune Italien fait facilement confiance aux gens, il donne toute sa confiance à des gens qu’il connait à peine, quand il aime il ne compte pas, quand il apprécie quelqu’un il peut tout faire pour que ce quelqu’un aille bien, pour que ce quelqu’un ait tout pour lui. MAIS oui je le met totalement en majuscule, si cette personne à le malheur de faire une connerie, trahit la confiance du jeune homme et bien la sanction tombe, il ne regrettera jamais d’avoir fait confiance il part du principe qu’il faut donner une chance à tout le monde, puis bon on arrive toujours à retomber sur ses pattes, mais perdre une personne comme Andrea c’est perdre quelqu’un de bien. Un bon fond, jamais envie d’être méchant, toujours le sourire, pas le genre Bad boy ou coureur de jupon comme beaucoup de Delta ou de sportif, non c’est un Iota qui a de l’argent, qui en est conscient mais qui ne se la joue pas, il n’abuse pas de se fric pour vous mettre plus bas que terre bien au contraire, il est très partageur, très dépensier et n’hésite pas à faire plaisir aux gens en leur offrant des cadeaux (attention il n’essaie pas d’acheter les gens, bien au contraire, quand il fait la connaissance de quelqu’un il essaie de cacher qu’il a de l’argent, être apprécié pour ce que l’on est et non ce que l’on a est quelque chose qui l’intéresse grandement…).
    Alors oui je peux le dire, Andrea c’est le genre de mec que l’on ne fait plus tellement, on a perdu le moule ou il a tout simplement cassé après sa création. Un doux rêveur, un mec en or qui peut se transformer en mec en plomb si vous jouez avec lui ou ceux qu’il aime. Il n’oublie rien bien au contraire et pourtant du haut de cette grande mémoire il ne regrette rien, enfin quand je dis il ne regrette rien je veux dire qu’il ne regrette jamais un de ses actes, mais ceux des autres qui ont influés sur lui il lui arrive de les regretter, de ce dire « Putaint si il ou elle n’avait pas fait ça je pourrais encore faire ça ou ça ». Mais bon c’est la vie, une vie sans erreur n’est pas une vie ou on a des bonnes réponses, comme distinguer les bons des mauvais si il n’y a plus de mauvais ? Les gens bien des gens pas bien sans référentiel ? Les erreurs lui servent donc de référentiel, ne jamais refaire ce que l’histoire nous a montré de mauvais, voilà surement pourquoi dans la vie les cours d’histoire sont obligatoires bien que barbants…

    Ce qu’il pouvait regretter en regardant Aislynn c’est oui d’avoir été séparé d’elle alors que tout allait bien, la jeune femme et lui se connaissent depuis leur enfance, les parents étaient de très bons amis, donc ils étaient souvent invité l’un chez l’autre, s’amusant tantôt au barbies tantôt aux petites voitures, les deux jeunes gens faisaient des concessions pour s’amuser ensemble c’été beau à voir. Une belle relation d’amitié été né entre eux, ils étaient jeunes, trop jeune pour que leur parents arrivent déjà avec les idées qu’ils avaient en tête. Oui ils voulaient les voir se rapprocher, d’une manière bien plus proche que celle qu’ils avaient, un moyen de créer un couple qu’ils voulaient eux, un mariage arrangé quand on a dix ans sa choque non ?
    Et bien les parents non mais en apprenant ça, en voyant que leur parents voulaient les voir ensemble et bien sans le vouloir, sans même sans apercevoir ils se sont éloignés. A trop vouloir rapprocher des gens, à trop vouloir sauter d’étapes ils étaient revenus à la case départ alors que Dieu seul sait si un jour ils avaient pu finir ensemble…

      Insomniaque c’est pas le mot, mais l’explication serait trop longue, je suis tout simplement le genre de mec qui ne dors pas beaucoup, et toi Ais, une insomniaque ou un fille tracassé par quelque chose ?

    Lui demanda t’il avec un léger sourire, mais si franc qu’elle ne pourrait que lui répondre. La sensation en cette nuit été bizarre, oui l’impression de très bien connaitre la personne, de pouvoir parler de tout avec elle et pourtant l’impression aussi de ne rien savoir sur elle, d’avoir en face de vous une personne que vous connaissez depuis que vous êtes gamin et de pourtant ne pas avoir l’impression de tout savoir sur elle, même pire l’impression de rien savoir.
    Quand elle leva le bras pour montrer son muscle il fut comme lancé dans le passe, cette scène ou elle montrait ses muscles pour pouvoir jouer Ken et qu’Andrea prenne Barbie, il s’en souvient comme si c’était hier, il regarda donc de plus prêt le bras de la jeune femme et mit le sien à coté d’elle.

      Il est vraiment énorme ton muscle, je pense que j’aurais finit noyé dans la piscine, la honte quand même, battu par une fille qui fait quoi 40 kilos de moins que moi, il y aurait eut honte sur la famille De Rossi !

    Cet impression d’être à l’aise, totalement à l’aise alors que cela faisait quoi ? 8 ans minimum qu’ils ne c’étaient pas parlé, la jeune femme avait quand même pas mal évolué, oui elle avait prit des formes et de belles formes. Le jeune homme machinalement la regarda tout comme elle l’avait fait pour lui. Ils avaient grandit tout deux, étaient devenus des adultes l’un sans l’autre et maintenant ils se retrouvaient, cette sensation bizarre, cette sensation d’être à l’aise tout en étant totalement mal à l’aise allait elle s’envolé ?

      Ben si je calcul bien, 8 ans qu’on ce n’est pas réellement parlé comme ce soir, ça fait long non ?

    Lui dit il presque dépite du calcul qu’il venait de faire, la jeune femme se laissa glisser dans l’eau et il en fit de même, c’est vrai que la chaleur de l’eau faisait du bien après ce reveil en pleine nuit, il avait l’impression d’être bien, il était si bien accompagné, un moyen de retrouvé la blonde qu’il avait connu, ou plutôt de redécouvrir la blonde qu’il avait connu.

      Ben c’est typiquement masculin, enfoncé des portes ouvertes, cassé une porte qui est ouverte, ne pas prendre les choses douces c’est totalement nous ! Mais le prochain coup j’y penserais !

    Dit-il avec un léger sourire, il savait qu’elle était cheerleaders et se doutait donc qu’elle avait accès à cette piscine comme à toutes les infrastructures sportives de université, que ce soir le jour ou la nuit !
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Jake Fitzgerald
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MessageSujet: Re: La piscine c'est trop bien, il y a de l'eau partout! La piscine c'est trop bien, il y a de l'eau partout! EmptyJeu 26 Jan - 15:31


andréa ▬ aislynn
Let us die young or let us live forever..


On nous a jamais dit que la vie serait facile et qu’on finirait tous heureux, aimé du monde entier. C’est complétement impossible, impensable. D’ailleurs, si on avait osé me dire de telles choses, je serais allé les retrouver pour leur mettre une claque en pleine face. Comment on peut penser que la vie que l’on nous a donnée sera facile à gérer.. Quand on se retrouve malade, où qu’on vit des problèmes financiers. Je n’imagine même pas si on vit les deux en même chose. Pour ces raisons que parfois, des gens décident de mettre une fin à leur vie, d’en finir avec cette douleur, ce mal - aise. Sans pourtant laisser un mot, ils prennent le choix de laisser un vide derrière eux. Je me regarde dans le miroir ce soir et je me dis que je peux continuer. L’accident, le départ de Joshua, l’évidence sur ma faiblesse corporelle, je ne devais pas lâcher. S’il m’arrivait de trébucher, je dois avouer que je ne ferais que descendre dans le fond du tunnel. Alors qu’en temps normal, je continue d’avancer la tête haute quoi qu’il arrive, quoi qu’il advienne. Ces derniers événements m’avaient rendu plus vulnérable, plus fragile. Dans le plus grand des secrets, j’avais fait le choix de venir me perdre à la piscine de l’université. C’était pour moi l’occasion de me retrouver avec moi – même et me pousser dans l’entrainement. Même s’il m’arrivait de craquer, de pleurer car la douleur était bien trop grande. Je continuais parce que j’étais seule à fois même. J’étais là dans l’eau en train de remettre tout en question. Je ne battais pas seulement avec cette souffrance dans la jambe, mais je me battais aussi contre moi. J’étais surement ma pire ennemie. Alors en revenant ici, j’essayais de mettre tout de côté. Mes problèmes avec mes parents, ma solitude et cette envie de me retrouver. Depuis mon arrivée à Berkeley, j’avais changé énormément. D’abord en mal et puis en bien. J’avais changé du tout au tout. En première phase, j’étais arrivée confiante plus que jamais. Je savais ce que je voulais, et je ne laissais personne se mettre sur mon chemin. J’étais cette jeune étudiante persévérante et fière de ce que je pouvais laisser voir. J’arrivais à mettre tout de côté pour profiter et vivre l’instant présent. Puis j’ai rencontré une personne, un garçon à qui je me suis ouverte et à qui j’ai laissé voir ma véritable personnalité. Joshua a eu cette chance et il a eu aussi cette place que je n’avais jamais donnée à personne. On a eu nos hauts et nos bas. Même si les bas étaient bien plus souvent là que le reste, j’ai continué d’y croire. Simplement parce que lorsque je me plongeais dans son regard, je me trouvais bien et belle. Il me rendait différente et j’ai donc faire le choix de m’assagir. Je me suis investie et j’obtenais mes désirs de façon moins directe. Je devenais plus persévérante et plus patiente. Je savais que je devenais une autre et ça ne me dérangeait pas pour autant. J’étais heureuse avec ce jeune homme et c’est tout ce qui pouvait compter à ce moment-là. Alors je peux vous confirmer que l’amour peut rendre aveugle. En tout cas, sans dépasser une certaine limite. Suite à l’accident, je n’ai fait que me laisser aller. J’ai perdu le courage qu’il me restait. Je passais des journées renfermées dans ma chambre à éviter le moindre regard. Mon plus fidèle ami du moment était sans aucun doute ce morceau de plâtre qui reposait sur ma jambe droite. Mais on dit souvent qu’il ne faut pas se laisser aller, qu’il ne faut pas voir trop gourmand mais assez grand pour se donner l’envie de rêver. Que serions – nous sans ça ? Sans notre imagination et nos envies. Certaines se réaliseront, d’autre peut être pas. Au final, tout ce qui compte, c’est de trouver ce qu’il nous plait. La voie sur laquelle on pourrait marcher, celle où on ne craindrait pas d’avoir des étapes à franchir car l’essentiel des êtres qui compte particulièrement seront à nos côtés. Pour ça que chaque soir, je m’éclipse et que je prends le même chemin depuis quelques semaines. J’ouvre la porte de cet endroit et je continue de croire que j’arriverais à dépasser mon record de longueur sans avoir de grosses crampes dans la jambe. J’apprécie le silence et il me donne la force d’avancer, de m’entendre penser. Sauf que ce soir, je ne serais pas en tête à tête avec mon conscience. Une présence inattendue occupait déjà les lieux et on allait devoir se la partager.

Je ne me souvenais même plus quand on avait eu notre dernière véritable conversation. Dans notre enfance, on se voyait plusieurs pendant la semaine. Mais là, on s’était éloigné. On avait plutôt pris des directions opposées. Epsilon et Iota, ce n’est pas le même monde, les mêmes personnalités et surement des objectifs différents. On avait donc laissé le temps creuser cette distance entre nos chemins. Il fallait d’une nuit assez froide pour se retrouver après toutes ces années. « Je viens pour retrouver qui j’étais avant l’accident du bal de fin d’année. Je pousse mes limites pour voir toujours plus loin et sortir la tête du tunnel. Alors je fais des heures supplémentaires en secret. Et toi, tu crains de faire un cauchemar en fermant les yeux ? » Si ça avait été une autre personne, j’aurais surement dis que je venais juste me perdre ou que j’avais envie d’une petite baignade. Sauf qu’avec Andréa, c’était comme une évidence. Même si nous avions perdu contact ces dernières années, je ne savais pas lui cacher la moindre chose. Je gardais en mémoire les deux enfants qu’on avait pu être et tout ce que l’on avait partagé. Il avait même accepté de se la jouer Barbie pour me faire plaisir. Je ne sais pas comme si c’était normal de jouer la carte de la franchise. Je ne voulais pas lui raconter des histoires bidons, lui cacher ma véritable venue dans le coin. Alors on retrouvait simplement et tranquillement une légère complicité. Je lui montrais ma force qui ne faisait que l’éloigner du peu de courage que j’avais à l’intérieur. L’habit fait le moine, c’est de cette façon dont je me protège pour cacher mes faiblesses et ce manque de confiance des derniers mois. « Incroyablement long, tu veux dire. J’ai l’impression que la dernière fois date de l’époque où tu portais ce t – shirt avec Spiderman dessus. » Qu’est-ce que j’avais passé du temps à l’ennuyer, à lui faire croire des choses quand on était enfant. Une façon pour moi d’éloigner le fait que nos parents nous voyaient déjà marié. On ne savait même pas encore ce que voulait dire le mot aimer. Alors chaque chose en son temps, on avait encore des choses à vivre, des personnes à rencontrer. Avant de se voir dire oui, je le veux. De plus, quand je vois comment le couple que forment mes parents a tourné, je ne veux pas vivre comme ça. Je ne veux pas suivre leur chemin. Je veux prendre les choses comme elles viennent. Je veux avoir une plus grande complicité avec la personne qui partagea mon quotidien. Je veux qu’elle me comprenne sans que j’aie le besoin de lui dire quoi que se soit. Me laissant glisser dans la piscine, je retrouvais cette chaleur qui cognait contre ma peau, ce bien être qui faisait que grandir. J’appréciais beaucoup me retrouver ici et même si je n’étais pas seule ce soir. J’appréciais que ce soit Andréa qui se retrouve face à moi. « Pas de soucis, je ferais comme si j’avais rien vu. Cette fois ci » ajoutais – je tout en souriant. Je m’en fichais un peu, qu’il soit rentré par infraction. Je n’allais pas aller le raconter au doyen ou à qui que se soit. Je commençais à faire quelques mouvements dans l’eau et ressentais une manifeste douleur dans le mollet. Néanmoins, ça ne m’empêchait pas de sourire légèrement. « Sinon comment tu vas depuis tout ce temps ? depuis des années. J’espère que tu as vécu d’incroyables choses. » Je l’observais quelques minutes plus tôt, descendre à son tour dans le bassin d’eau. Laissant ainsi l’eau coller à son joli buste. Comme hypnotiser par ses atouts, je ne pouvais pas détourner le regard et j’espérais qu’il ne le remarque pas trop ou pas du tout même. Alors je plongeais le visage dans le fond de l’eau comme pour laisser tomber un voile léger sur mon visage, me rafraichir les idées. En ressortant le visage, je remarquais toujours sa présence. Comme si le destin faisait bien les choses et que l’on devait se retrouver. « Ça me fait plaisir qu’on se retrouve. Tu es devenu un homme maintenant. Tu dois en faire craquer des cœurs. » J’aurais surement du me taire au lieu de lui balancer cette réflexion directement. Quoi j’étais curieuse et ça devenait souvent un défaut plus qu’une qualité. Puis tout à coup j’ai eu cette crampe qui me fit basculer une nouvelle fois-là tête la première. .


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MessageSujet: Re: La piscine c'est trop bien, il y a de l'eau partout! La piscine c'est trop bien, il y a de l'eau partout! EmptyJeu 26 Jan - 17:40




    Argent, santé, amour voilà ce que l’on se souhaite tout les ans et pourtant on a beau se le souhaiter tout ne vient pas si facilement, dans la vie Andrea pense une chose, la vie, le destin tout est tracé, l’on a juste quelques alternative que l’on croit en notre main mais que dalle, tout été écrit avant. Croyant même très croyant le jeune homme avait toujours laissé ça dans les mains de Dieu, Dieu qui lui arrivait de prier dans sa chambre seul, il priait pour quoi ? Et bien la plupart du temps pour ses parents, maintenant qu’il était réconcilié avec sa sœur il priait beaucoup pour elle, et pour lui ? Et bien jamais il disait toujours à sa mère qu’il n’avait rien à demander à Dieu, qu’il avait toujours eut tout ce qu’il voulait et qu’il n’avait envie de rien à part vivre sa vie, chose belle quand on l’entend non ? Enfin pas si belle quand on sait que sur l’argent, la santé et l’amour Andrea n’en avait que deux, bien sur l’argent, bien que ne faisant pas le bonheur nous n’avons jamais vu un SDF pauvre, il était blindé, à un point que peu de personnes imaginent, il avait réussit à faire fructifier son capital tout comme son père l’avait fait quelques dizaines d’année avant. Maintenant du haut de ses 21 ans le jeune homme avait des immeubles un peu partout en Europe, un peu partout en Amérique et commencé à chercher quel type de magasin ouvrir, en gros il reproduisait le même schéma que son père sauf que son intelligence un peu plus évolué lui permettait de faire de meilleurs placement, de voir plus loin que ce que montraient les choses, que ceux que montraient les économistes, c’est vrai que de ce point de vu là il avait une chance inouï, il était presque devin dans la bourse, il avait inventé un programme qui lui permettait en entrant le jour et en entrant ce qu’il ce passait dans le monde de voir l’évolution des choses. Bien sur il se gardait bien de le dire et exploitait la faille ou plutôt la trouvaille qu’il avait faite. Ce programme n’avait rien d’un programme de triche qui exploite les failles tout comme on pouvait trouver à la roulette ou autre, non c’était tout simplement un programme qui lui permettait d’entrer un nombre de variable inconcevable et de les faires parler. Tout ça pour dire qu’il avait de l’argent, beaucoup d’argent, beaucoup trop d’argent pour un gamin de son âge, avec le peu d’expérience qu’il a mais que voulez vous on ne va pas lui priver.
    Il avait l’amour, non pas celle d’une petite amie mais surtout celle d’une famille, celle qui est la plus importante quoi que l’on en dise. Sa mère et son père l’aimaient et il les aimait, il avait une relation totalement parfaite avec sa sœur, tellement parfaite que certains la jugeait même de malsaine, pour les autres ils étaient bien trop proche l’un de l’autre, bien trop proche pours des frères et sœurs, les jaloux parlant même d’inceste. Ce qu’ils n’imaginent même pas c’est le passé des deux, sa sœur Cassandra a essayé de le tué quand il été gamin, dès qu’il faisait quelque chose de travers elle allait le dire aux parents, quand il ne faisait rien de travers elle inventé les choses. En gros une enfance bouffée par la jalousie et surtout par le fait que la belle De Rossi ne voulait pas de frère. Maintenant que c’été arrangé ils s’aimaient énormément et n’arrivaient pas à se séparer, il fallait s’appeler ou se voir, rattraper le temps perdu, chose étant impossible il ne le rattrapait surement pas mais faisait tout pour ne plus perde de temps, chose qui est déjà pas mal en soit !
    La dernière chose la santé, de premier abord il l’avait oui quand on le voit si musclé, si souriant on ne peut même pas imaginez qu’il soit rongé par quelque mal que ce soit. Un cancer ? Impossible il ne serait pas comme ça, non sa maladie est bien plus profonde, un cœur qui bat trop fort, une tension trop haute, un poux toujours dans les sommets et voilà que vous ne ressentez ni fatigue, ni douleur, vous voilà en pleine nuit dans une piscine comme vous pourriez être en pleine nuit assis sur un cactus, votre corps saignant mais vous ne sentant rien. Les médecins lui avaient dit qu’il ne verrait jamais la quarantaine, une chose qui sur le coup lui avait mit un grand hic au moral, mais voilà tout été passé. Maintenant il vivait à fond sa vie (l’inverse de ce que lui avaient dit les médecins mais qu’importe), il avait le choix entre une vie triste et lente pour survivre, ou une vie fabuleuse et a mille à l’heure pour ne jamais vieillir, il avait fait son choix. Voilà ce qui le faisait toujours sourire c’est quand on lui disait « Toi tu as tout, la santé, l’argent et tu es beau gosse », il avait l’argent certes mais ne se trouvait ni en bonne santé ni beau gosse, sur le coté physique il avait peut être des efforts à faire niveau confiance en soi, car oui il en manquait cruellement.
    Il se savait plus sportif et mieux bâtit que la moyenne, mais il ne devait pas ça à lui mais a sa maladie, après pour ce qui est du physique il se trouvait banal, comme si il n’avait pas un visage qui pouvait faire rêver n’importe qu’elle fille et pourtant si, il était très convoité mais ne le voyait pas, certaines filles étaient prêtes à se battre pour lui mais le surdoué ne le voyait pas, un jour peut être une fille lui ouvrira les yeux, les mecs eux préfèrent le voir comme ça, c’est un concurrent de moins pour eux, un concurrent de poids surtout !

    Retour en enfance, voilà ce qui se passait actuellement, les souvenirs lui arrivaient par centaine, tous d’un coup, ses yeux étaient ouvert et son cerveau en action, il revoyait tout comme un projection en plein air, sauf que là c’été une projection dans une piscine.

      Moi j’ai assez dormit, un accident ? Pas top enfin l’essentiel c’est que tu sois entière, pour ce qui est des douleurs je ne suis surement pas médecin mais le sport aquatique c’est le mieux que tu puisses faire !

    Parler de l’accident ? Poser des questions ? Très peu pour lui, si elle voulait parler de se sujet sensible ils le feront avec grande joie de la part de Drea, il est cette oreille attentive, il sait écouter les gens, conseiller les gens, souvent pas avec des histoires qu’il a vécu mais surtout avec l’histoire, des choses qu’il a lut ou simplement des reportages. Comme le dernier en date sur les accidentés de la route qui apprenaient à marcher à nouveau dans l’eau, Ais était bien sur à un autre stade, elle marchait heureusement pour elle. Elle devait surement avoir de grosses crampes du au choc violent qu’elle avait vécu.

      Alors d’une le T-shirt de Spiderman il était super classe et de deux j’ai beau avoir grandit j’ai toujours un T-shirt de superman dans le placard, prêt à être porté pour nos retrouvailles, je sais que tu jalousés mon T-shirt.

    Voilà ou ils en étaient restés, des jeux de sociétés, des Barbies, des actions man, des tours de vélos dans le grand jardin des parents, la trottinette, les rollers, tant de choses qu’ils ne faisaient surement plus, sauf peut être le vélo mais maintenant le bel Italien en faisant dans la montagne, surement bien plus dangereux et bien plus attractif que ce qu’il faisait avant.

      Vécu d’incroyable choses, enfin sa dépend ce que tu appels incroyables choses, j’ai vécu ma vie, après j’ai un peu grandit comme tu peux le voir mais bon t’a du faire de même parce que tu avais pas les deux là quand on c’est vu pour la dernière fois.

    Dit il avec un léger sourire, mais sa lui avait échappé plus qu’autre chose, il lui fallait maintenant assumés, ils avaient grandit et avant ils se disaient des choses comme ça. Le premier baiser qu’il avait eut c’été avec elle, oui ok c’était pour s’entrainer et voir ce que cela faisait, mais je n’ose imaginez si ils avaient encore trainé ensemble à l’adolescence, pour s’entrainer au lit qu’auraient-ils fait ?

      Craquer des cœurs ? J’ai du laissé ça aux Deltas ou aux Iotas.

    Dit-il avec un sourire qui lui était propre. Quand il vit une nouvelle fois la jeune femme piquer la tête la première, cette fois ci sa n’avait pas forcement l’air d’être fait exprès, voilà pourquoi avec son bras il la remonta un peu à la surface, le geste alliait totalement force et délicatesse.

      Reste avec moi on vient de se retrouver tu vas pas aller te cacher au fond de la piscine, surtout que je suis pas un grand nageur je te serrais d’aucune aide !


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Jake Fitzgerald
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MessageSujet: Re: La piscine c'est trop bien, il y a de l'eau partout! La piscine c'est trop bien, il y a de l'eau partout! EmptyVen 27 Jan - 12:51



andréa ▬ aislynn
Let us die young or let us live forever..


J’ai pris conscience au fil des épreuves, que toute chose vient à nous quand on sait attendre. Qu’on soit pauvre ou riche, il faut se munir d’un peu de patiente et de beaucoup d’envie. Niveau revenu, mes parents n’ont jamais eu de soucis à se faire. Mon père est le genre d’homme qui vit pour travailler. Quand je le pouvais, il y a de ça bien des années, j’avais la chance de pouvoir le suivre à travers le continent, à travers même le monde. Ma mère a arrêté de travailler, s’occuper de leur fille unique était une grande priorité. Mais je sais qu’en faisant ce choix, ma mère a arrêté de vivre de cette passion qu’est le dessin. Elle a un don absolu que mon père a renfermé, le jour où il l’a épousé. Je ne veux pas changé parce que je rencontre une personne qui peut bouleversée mon existence. Même si aujourd’hui, je fais le choix de m’éloigner des sentiments, des frissons que l’on peut ressentir quand notre peau en frôle une autre. Cette chaleur quand notre bouche s’approche d’une autre. Je mets ceci de côté pour reprendre le dessus. Je veux me retrouver. Je veux me dire que j’ai tout donné et même si je n’atteins pas mes objectifs, je ne veux pas éprouver le moindre regret. Je veux sourire à nouveau et simplement comme si j’avais dix ans. A cette époque où ma famille était encore unie et que mon père ne rentrait pas à des heures incroyables. Ma plus belle période, mes plus grands souvenirs. Des amis. Il y avait Camelia, ma meilleure, celle avec qui j’ai toujours gardé contact même si elle vivait sur l’ancien continent. On se retrouvait le temps d’un mois ou peut – être plus. L’essentiel était que l’on se retrouve et qu’on profite de l’instant présent. On sait ce qu’on a quand on le vit et on ne sait pas ce que l’on pourrait garder, une fois le moment passé. Si ça se trouve, le temps d’après, notre cœur s’arrête et notre fin arrive plus vite que l’on ne pourrait l’imaginer. Je ne sais pas quand ni comment je vais quitter ce monde et ça m’effraye. Comme une épée Damoclès au – dessus de la tête, on ne sait pas. Il suffit de traverser et de se faire renverser. Mais aussi être au mauvais endroit, au mauvais moment, un braquage ou encore une tempête. On n’est jamais à l’abri. La maladie, la souffrance, je craignais que ça me tombe dessus. Alors quand cette voiture a débarqué à vive allure, j’ai réalisé que j’étais une de ses chanceuses. On me laissait une chance de me rattraper, de profiter du temps qui s’écoule. Je ne dis pas que ça fût facile. Néanmoins, j’en ai finis de cette phase où je me laisse aller, où je ne suis qu’une plante dans le lit de ma chambre. La preuve, je redouble d’efforts en venant ici ce soir. En voulant me retrouver, m’exercer et retrouver mes capacités. On doit tous avancer, qu’importe la difficulté. Je sais que je ne peux pas me protéger de tout et pour toujours. Car même si j’ai décidé de faire une croix sur mes sentiments, je pense qu’ils ne resteront pas longtemps morts. Une personne peut faire changer la balance. La bonne personne, au bon moment, rien de calculé. Juste naturellement. L’amour s’est une boule comme dans le ventre. Pas d’explication, juste cette sensation qui peut nous faire voir plus loin, qui peut nous rendre l’espoir. Nos soucis ne deviennent que des tracas. On n’avance plus seul. On peut se retourner, laisser glisser sa main dans celle de l’autre et se dire que tout va rentrer dans l’ordre. L’amour, c’est magique quoi que l’on en dise. On ne peut pas vivre une vie sans le côtoyer et même si cela ne dure que l’histoire d’une heure, d’une minute. On ne l’oubliera jamais. Cet instant où on s’est senti particulier rien qu’en remarquant notre reflet dans son regard. Mon bonheur est passé. Je dois me faire une raison, je ne dois pas me poser un million de questions. Je fais le vide et je me fixe de nouveaux objectifs. Je vois plus grands. Je m’ouvre un autre horizon. Que serais – je demain ? Est-ce que j’aurais mon diplôme en main ? Est-ce que je me plairais dans mon choix professionnel ? Je veux respirer sans avoir à réaliser que j’ai pris les mauvaises directions. C’est précieux, chaque souvenir, chaque minutes. Que serais – je si un jour je ne me souvenais pas, si je n’avais pas la moindre idée de ce que j’étais.. On dit souvent que lorsqu’on se perd, il suffit de regarder derrière. Il suffit de tourner la tête et de voir qui on était et d’où on venait. Une facilité pour savoir où on veut aller et quelle sera la suite si on y met du notre. Je ne veux pas perdre la mémoire. Jamais. Qu’importe le malheur ou le bonheur, je veux tout me souvenir. Je veux réaliser mes erreurs mais aussi ma fierté. C’est ce que je crains le plus, l’amnésie.

Dans son regard, je retrouve l’innocence d’un partage, d’un souvenir commun. Je réalise que je me suis éloignée du passée en arrivant à l’université mais aussi en grandissant. Je me suis éloignée de beaucoup trop de choses. Andréa est le genre de personne que ne doit pas oublié. Le mettre de côté fût surement une grosse erreur et je le réalisais tout juste maintenant. En un seul regard, je me retrouvais dans nos moments de complicité et à cette époque où notre seul souci était de savoir avec quelles couleurs colorier ce dessin. Avec la plus grande facilité, étonnante, je lui parlais comme si nous avions toujours gardé contact, comme si rien ne nous avait éloigné, pas même le temps. « Le bal de fin d’année, on nous a refusé la priorité et j’étais sur le siège passager. Les douleurs sont mes pires ennemis du moment, intérieurement et physique. » avais – je ajouté le regard légèrement baissée par la réalité qui me suivait depuis cette accident. « Mais tu as raison, je suis entière. Je vais bien. » Un sourire timide et sincère de propos auxquels je veux croire. Comme simplement, on ne souvenait chacun de ce que l’on avait pu partager. C’était comme naturel, comme si on avait marqué le passé de l’autre d’une pierre ou que l’on avait pris le temps de l’écrire. Je n’avais aucune idée par quoi il était passé et ce qu’il était devenu. Néanmoins, ça ne me laissait pas croire que dans le fond, il avait gardé son authenticité. Andréa a toujours été ce garçon attachant que j’ennuyais car il était rare de le voir en colère, de le voir hurler pour avoir une sucette. Andréa était pour moi l’enfant rêvé de cette famille qui l’avait tant désiré. « Oh mon dieu, tu sais que tu me vends du rêve là. Combien je payerais cher pour te voir dans ce t-shirt. » On ne pouvait pas nier que nous avions évolué. D’ailleurs, il se fit un plaisir de me faire remarquer que deux choses plutôt développées avaient pris place sur mon buste. La petite fille était devenue une femme. L’enfant était lui aussi devenu un homme. On avait parcouru du chemin. On avait changé physiquement mais dans le fond, j’étais resté la même. Ce premier baiser qu’on n’oublie jamais, je l’ai partagé avec Andréa. On se disait comme ça que le jour où ça arriverait pour du vrai, on serait prêt. On ne passerait pas pour des nuls ou des débuts, non. On serait prêt à affronter le moment à se rappeler nos petits conseils. Comme ne jamais mordre sa partenaire lors d’un premier baiser. Il assumait également pleinement de ne pas être ce genre de gars avec qui on passe une nuit et qui le lendemain s’est enfouit. Je le respectais beaucoup car je ne pense pas être aussi droite que lui. J’ai vécu ces relations d’une nuit, ces moments où on manque juste d’affection mais où on ne veut pas prendre le risque de s’attacher. J’ai déjà eu cette attitude, ce moment de désir et de plaisir avant de m’enfuir au lever du soleil. Sentant alors son bras me redresser et cette crampe me tué le pied. Vous savez cette douleur qui arrive si vite qu’on se demande ce qu’il se passe, ce que l’on a pu faire. Délicatement et si facilement – comme s’il portait une plume – il me redressa alors que je tenais mon pied dans une de mes mains pour faire disparaitre la crampe. Il me demanda de ne pas le quitter alors qu’on venait à peine de se retrouver. Si proche de lui, je sentais sa musculature se dessiner contre mon cœur. C’est dingue le regard qu’il avait, il n’avait pas changé d’un poil. Toujours aussi clair, toujours aussi perçant. « Je sais mais cette douleur, je m’y attendais pas. » Comme attirée par ses yeux, je n’arrivais plus à m’en détacher. Je devais même sourire timidement. Une impression étrange, comme s’il pouvait lire en moi, s’il le souhaitait. Je ne sais pas comment l’expliqué mais c’est ce que j’ai ressenti. D’une main innocente, toujours contre lui, je posais mon doigt sur une cicatrice. Cette ligne qui se dessinait dans le haut de son front, plutôt petite mais qui semblait profonde. J’osais demander.. « Qu’est ce qui t’es arrivé là ? » tout en la caressant du doigt, je le fis descendre, le long de cette trace..

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MessageSujet: Re: La piscine c'est trop bien, il y a de l'eau partout! La piscine c'est trop bien, il y a de l'eau partout! EmptyLun 30 Jan - 14:05




    Quand on y pense Andrea pouvait parfois faire froid et pas humain du tout, pourquoi je dis ça ? Tout simplement parce que les peurs qu’on la plupart des personnes lui ne les ressent même pas, il est si humain par moment et si insensible à d’autre. La question de l’avenir, la peur du futur et du passé ce sont deux premières peurs qu’il n’a pas, il ne se pose que très rarement des questions sur son futurs, il ne ce dit jamais « Vais je réussir », « Vais-je trouver l’amour ? », non des questions il ne s’en pose pas, il vit au jour le jour sans prendre la peine de faire des plan sur la comète, rien que penser au lendemain il n’y arrive pas. Tout simplement parce qu’il le sait, la mort peut venir à tout moment frapper à votre porte, c’est assez con de penser à ça ou même de parler de ça quand vous retrouvez une très bonne amie, et dans cette phrase le mot retrouvaille prend tout son sens, 10 ans sans se voir c’est long surtout quand on sait que les deux jeunes gens n’ont pas plus d’un quart de siècle.
    Enfin bref pourquoi ce beau jeune homme n’imagine jamais son futur ? Tout simplement parce qu’il part du principe que penser au futur c’est ne pas profiter du présent, vous êtes avec une fille vous discutez, vous prenez du bon temps et pas forcement sexuellement, si vous commencez à penser à votre avenir avec elle ou non et bien vous ne profitez pas de ce que vous faite, votre tête est loin et ce sentiment Andrea se le refuse, il pourrait même se vanter d’être quelqu’un qui profite énormément de son présent, qui vit les choses à font puisqu’il sait que c’est peut être la dernière fois qu’il les vivra. Il n’a jamais vu quelqu’un mourir devant lui, il n’a jamais eut d’accident de la route ou accident tout court qui fait qu’il a vu la mort en face et pourtant il se comporte comme quelqu’un qui a frôlé la mort. La mort fait partie intégrante de la mort, il l’a assez entendu de la part de son père. Voilà ce qui fait de papa De Rossi un homme à part, un homme d’affaire différend. Vous pouvez le voir, la plupart des hommes qui sont riches vivent pour travailler et non l’inverse comme si les responsabilités faisaient quelque chose dans la cerveau de l’homme et il devenait totalement accro, oubliant famille, ami. Le père de Drea lui n’avait jamais été accro au boulot bien au contraire il ne supportait pas aller travailler, devoir laisser ses enfants et sa femme qu’il aime plus que tout au monde lui faisait mal, tout les matins ils étaient presque tous en larme de voir papa partir travailler. Maman elle était du même style et c’est pour cela qu’elle avait décidé durant toute l’enfance et l’adolescence de ses bambins de ne plus travailler dans sa boutique mais de tout faire à la maison, pour le plus grand bonheur de Drea…

    Oui même jeune il a toujours eut le plaisir des yeux, avoir une mère qui fait venir de magnifiques mannequins dans votre maison pour qu’elles essaient soit des robes splendides, soit de la lingerie c’était quelque chose qui n’est pas donné à tout le monde, voilà pourquoi il lui arrivait parfois d’espionner sa mère, il a même été plus loin. Mettant son génie au service du petit voyeur qu’il était il avait fabriqué des petites caméras qui lui permettaient d’espionner le bureau de sa mère. Non pas pour la surveiller mais simplement les jours ou venaient les fameuses mannequins il se mettait derrière son ordinateur, passant pour un gamin sérieux qui au lieu de regarder les belles dames préfère travailler mais surtout se rinçant l’œil en regardant les vidéos. 10 ans à peine et pourtant déjà très intelligents et surtout très futé. Un gamin de dix ans normal aurait partagé avec ses copains, aurait même fait des dvd pour les vendre et se faire un minimum d’argent. Mais vous oubliez certainement quelque chose, Andrea est surdoué, il connait beaucoup de chose et il est parfaitement conscient de ce qu’il fait et surtout que ce n’est pas bien. Donc quand il fait une connerie ses parents le punissent comme sa sœur, comme une personne qui comprend ce qu’elle fait et non comme un enfant qui fait une bêtise sans trop savoir ce qu’il y a de mal.
    Voilà certainement la seule chose qu’il pourrait regretter durant sa jeunesse, le fait de n’en avoir qu’une toute petite (attention je parle de jeunesse), oui quand vous êtes surdoué tout le monde pense et surtout tout le monde sait que vous êtes malgré votre âge plus intelligent que la moyenne des grandes personnes qui vous entoure, tout le monde sait donc que vous êtes bien plus responsable qu’un gamin de votre âge. Pas le droit à l’erreur, pas le droit de dire je ne savais pas que c’été pas bien, rien ne vous ait pardonné et autant vous dire que les conneries du jeune homme lui ont souvent valus un tour chez le psychiatre.

    Quand la jeune femme lui expliqua son accident il grimaça légèrement, c’est vrai la voiture ne pardonne pas, les gens ne font jamais gaffe. Vous avez beau ne pas avoir bu, ne pas rouler vite, êtes dans le bon sens de la route, passer au vert et pourtant vous n’êtes pas à l’abri qu’une personne alcoolisé, roulant vite, dans le mauvais sens et passant au rouge vous fonce dedans et vous tue ou pire vous rendre paralysé, car oui Andrea et de ceux qui sont pour la mort plutôt qu’être un légume. Il ne voulait pas être dépendant de quelqu’un, voilà pourquoi il préférait mourir qu’être en fauteuil et voilà pourquoi il ne laissait jamais quelqu’un le conduire, il prenait toujours le volant.
    Content de voir qu’elle avait survécu et se disant que sans cet accident ils n’auraient peut être pas eut la chance de se croiser ici, alors bon un accident dont on ressort intact avec quelques lésions et qui vous permet de revoir un vieil ami, c’est un bon accident non ? Oui point important chez Drea, il voit souvent le bon coté des choses, c’est ce qui fait de lui un éternel satisfait !

      Je comprends, enfin l’essentiel c’est que ce soit passé, le prochain coup tu prendras le volant. Enfin sauf si la prochaine fois je suis avec toi et là hors de question de me faire conduire je ne supporte pas ça !

    Le « La prochaine fois tu prendras le volant » c’est typiquement du Drea, disant des choses qui pourraient êtres mal prise mais qui ne devraient pas être mal prise, il est comme ça, toujours entrain de faire des commentaires et surtout toujours entrain de prendre les choses d’un coté humour, chose peut choquer ou déplaire. Tien faisons donc un petit résumé d’Andrea, un gars qui ne regarde jamais derrière mais qui ne regarde encore moins devant, qui prend tout du bon coté mais qui ne pardonne rien, oui je ne l’avais pas encore souligné donc je le fais, faite une erreur avec lui et vous l’oubliez (bien sur selon l’importance de la crasse). Mais il fait beaucoup confiance aux gens, qu’ils lui rendent ou pas qu’importe, mais si on lui fait un coup vache il se vengera coute que coute.

      Aligne la monnaie je n’ai pas de pudeur moi, je sors tout mes T-shirt de super héros !

    Dit il en riant, en Amérique ils étaient nombreux les gens qui mettaient des T-shirt comme ça pour sortir, le fait de ne pas se prendre au sérieux c’est quelque chose d’important. Andrea savait ne pas se prendre au sérieux, mais sa mère lui avait appris de ne jamais faire le con avec ses vêtements voilà pourquoi il avait toujours une allure soigné, voilà pourquoi il ne faisait jamais de fantaisie avec ses vêtements. Après le soir en ce qu’on pourrait appeler pyjama il se lâchait, mettant des T-shirt de super héro avec des boxers tout aussi fantaisistes, un pied monstrueux pour ceux qui le voient dans cette accoutrement, fou rire assuré.
    Puis d’un coup une crampe pour la jeune femme, c’est vrai que ce genre de crampe musculaire est un enfer, Andrea en a parfois dans la nuit autant dire que quand il en a une il ne vaut mieux pas que vous soyez dans les parages, il se lève d’un coup, hurlant de douleur et se tordant dans tout les sens pour soulager la crampe, i quelqu’un avait le malheur de dormir juste à coté je n’ose même pas imaginer ce qu’elle subirait.
    Tentant toujours la jeune femme pour ne pas qu’elle retombe sous l’eau il l’écoutât, la regardant, les yeux plongés dans les siens, quand elle vint toucher sa cicatrice lui demandant ce qui lui était arrivé.

      Un ours, non un aigle. Pas crédible hein ? En faite je suis tombé sur un caillou quand j’étais gamin, sa fait moins classe et surtout mon aventurier hein ?

    Dit-il avec un air déçu comme ceux que pouvaient avoir un gamin qui a raté quelque chose.
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