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Pleasure and action make the hours seem short♦ Maya J.K. & Dominic C.M.

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MessageSujet: Pleasure and action make the hours seem short♦ Maya J.K. & Dominic C.M. Pleasure and action make the hours seem short♦ Maya J.K. & Dominic C.M. EmptyJeu 24 Nov - 10:41

Pleasure and action make the hours seem short♦ Maya J.K. & Dominic C.M. Deravin

Avec l’âge vient la maturité, cette phrase nous est familière un peu grâce à nos parents. Avec de grand pouvoir viennent de grandes responsabilités. Je ne saurais vous dire combien de fois j’ai entendu cette phrase raisonnée dans ma tête. Dominic pouvait dire merci à sa demi-sœur, Sydney. Il avait finit par se ressaisir, prendre de meilleurs décisions en ce qui concernait la gérance de son argent. Vous aviez devant vous, un jeune homme de vingt-trois ans pas comme les autres. En effet il devenait possiblement le jeune adulte le plus riche du pays, si non de la ville. Comment était-ce possible? Facile lorsqu’on se retrouvait à hériter de la totalité de la fortune d’un multi milliardaire. Pas n’importe qui, non le père de l’Epsilon. Ce dernier qui avait périt dans un accident d’avion. Dieu merci la découverte d’une petite sœur avait remis un peu de sens à la vie du beau brun. Cette dernière était totalement responsable de la nouvelle attitude qu’avait choisit d’adopter l’étudiant de première année. Il y avait quelques jours de cela, ce dernier multipliait les dépenses inutiles. Vous vous imaginez, vingt-cinq beaux millions partirent en fumée. Il s’offrit le luxe de se payer un palace d’une valeur de dix-sept millions de dollars. Et non ce n’était pas tout, il arrosa le tout en s’offrant la nouvelle Porsche Boxster 2011. Passons donc aux choses sérieuses, je n’aimerais pas vous endormir avant même de terminer la lecture. Dominic ne pouvait guère continuer dans ce chemin, son père était quand même quelqu’un de respecter. Il était un grand homme, un excellent père et un plus que respectable businessman. Le britannique avait intérêt à honorer son père en poursuivant son excellent travail. D’ailleurs sa journée allait très vite débuté puisqu’en étant le remplaçant directe de son père dans le monde des affaires, Dom avait été invité à participer à un gala. Vous savez le genre d’endroit ou l’on porte des fringues classes et que l’on se lance des sourires malhonnêtes. Quatre-vingt pourcent des gens qui se présenteront dans la salle ne se supportent pas forcément. On aurait dit un retour au lycée. Ce genre de choses, bien qu’amusant, ne branchait guère l’ex étudiant de médecine. Il ne se sentait pas trop à l’aise dans ce genre d’endroit. C’était un gros sacrifice qu’il faisait pour papa. C’était la meilleure chose à faire dans le cas de Dominic. Il lui suffisait de montrer son visage, forcer un peu le sourire, prendre des photos et le tour était joué. C’était ça le monde du business à ce qu’il paraît.

Ne vous en faites pas, le jeune homme de vingt-trois ans avait bel et bien sa place dans ce monde. Il ne fallait jamais se fier aux apparences, car elles étaient toujours trompeuses. À l’heure où l’on se parlait, il était en pleine négociation concernant l’achat d’un club de Strip-tease. D’ailleurs il devait rencontrer son partenaire à ce fameux gala, histoire de finaliser le tout. Il ne manquait que la signature du grand brun. Il y avait du bien derrière cette prise de décision. En effet, le beau brun avait fait la rencontre dans ce même club, d’une jolie blondinette. Il était tout naturel pour ce dernier de l’approcher, connaissant son excellent goût en matière de beauté chez le sexe opposé. Elle portait le nom de Maya, par contre il ignorait le dernier nom de cette jeune et mystérieuse femme. Ils partagèrent une longue conversation, des plus constructives. De là lui vint l’idée d’être cent pour cent propriétaire de l’établissement. Cette dernière avait la possibilité d’occuper un poste meilleur et du coup bénéficier d’un salaire des plus alléchants. Était-ce trop beau pour être vrai? Qu’avait-il derrière la tête ce Dominic ? Et bien un homme restait tout de même un homme quoi ! Il y avait bien évidement une attrape. Cette dernière avait la possibilité de devenir la danseuse la mieux payée de la ville. Une offre qu’elle ne pu lui refuser. Son travail de danseuse personnelle du patron, allait débuter dans moins de vingt-quatre heures. Dominic profitait un peu de la vie depuis sa rupture avec Esméralda. Il l’aimait toujours, mais son égo de mâle lui faisait faire des choses impensables. Le nouveau visage que nous offrait ce Dominic était complètement différent du Dominic d’il y a plusieurs mois.

Jeudi fin d’après-midi, l’heure affichait dix-huit heures et trente minutes. Il ne restait plus qu’une heure avant que le musée de Berkeley n’ouvre ses portes. C’était donc là bas que le gala allait avoir lieu. Dominic allait s’y rendre sans cavalière, n’étant pas en bon terme avec Esméralda il préférait l’éviter. Sydney, tant qu’à elle lui avait laissé un message, disant qu’elle ne rentrerait qu’après vingt et une heure. Néanmoins, elle avait prit soin d’enregistrer un joli message d’encouragement pour ce soir. Un texte message surprise de la part d’Aislynn figurait aussi dans son téléphone. Le jeune mâle, qui au départ était nerveux, trouva confort et espoir grâce aux messages des personnes qu’il adorait plus que tout. Plus une seconde à perdre, ce dernier franchit la porte de sa maison, portant sur le dos un classique à deux boutons, non ventilé de smoking de Calvin Klein. Il était dix-neuf heures, lorsque le beau brun s’installa dans sa nouvelle Porsche de couleur noire vitre.

La route fut longue, mais très agréable. Comment ne pas apprécier un tel bolide? Il arriva donc à destination, après vingt-cinq longues minutes de route. Devant le musée, il y avait foule. Rien de bien surprenant, Il fallait dire que cette planète était remplie d’escrocs. Le décor était magnifique et malgré le fait qu’il ne connaissait pas grand monde, il prévoyait s’amuser. Il fit donc son entré dans l’amphithéâtre, laissant entre les mains d’un portier, les clés de son bolide.

Inconnu : Votre nom?
Dominic : Mcmanaman, Dominic
Inconnu : Suivez donc ce gentleman, il vous conduira à votre siège monsieur, Bonne soirée Monsieur Mcmanaman
Dominic : Merci

Dominic suivait de près l’inconnu qui le conduisait à son siège. L’anglais semblait impressionné par tout ce qu’il croisait. C’était vraiment impressionnant, alors là rien à voir avec à l’époque nos danses du lycée. Il était important qu’il se reprenne en main, il ne voulait pas dévoiler au grand jour, son inexpérience. À peine quelques pas qu’ils arrivèrent à son siège. L’inconnu se retira sous un mot d’encouragement. Dominic hocha la tête en sa direction en guise de remerciement. Sur chaque chaise, un nom de famille. Il sourit en apercevant le sien, prit place là ou figurait son nom. Il n’avait absolument aucune idée à quoi s’attendre. C’était la première fois qu’il mettait les pieds dans ce genre de réception. Il était pile à l’heure son grand désarroi il y avait quand même plusieurs sièges vide, dont un à ses côtés. Un certain M. Kammiya, histoire de passer le temps il se mit à imaginer un peu à quoi ressemblerait cette mystérieuse personne. Il s’imaginait un vieil homme, du nom de Maurice ou peut-être Martin, dans la cinquantaine, cheveux blancs barbus jusqu’au cou. Par contre le nom de famille lui semblait familier. Il se mit à réfléchir, mais il lui était impossible de deviner où est-ce qu’il aurait pu apercevoir ou entendre ce nom. Il se contenta de patienter en attendant le lancement officiel de la soirée qui ne tardait plus à commencer.
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MessageSujet: Re: Pleasure and action make the hours seem short♦ Maya J.K. & Dominic C.M. Pleasure and action make the hours seem short♦ Maya J.K. & Dominic C.M. EmptyJeu 24 Nov - 16:37

    maya & nolanIt's got me caught up in a web and my hearts the prey. Do you really wanna throw your heart away ? Everybody’s hurt somebody before, everybody’s been fooled by somebody before...You can change, but you’ll always come back for more, it’s a game and we're all just victims of love ;; Don’t try to catch me

Une soirée de gala. On peut imaginer la belle blondinette dans divers contextes, mais difficilement dans une soirée de pince-fesses où elle venait d’être invitée. Habituellement, elle était toujours épargnée du fait que son père adoptif soit particulièrement friand de ce genre de choserie. Fallait-il qu’il ait un rendez-vous primordial pour oser l’appeler à la dernière minute, lui faire livrer une robe en urgence –qui, cela dit en passant, était une pure merveille– et la prier d’accepter de le dépanner pour cette soirée. Maya s’était sentie le postérieur entre deux chaises, possédée par l’irrépressible envie de refuser purement et simplement et par l’obligation qui était la sienne. La blondinette n’était pas n’importe qui. Certes, aux yeux de tous les étudiants de Berkeley, la jeune femme n’était qu’une étudiante en archéologie particulièrement douée et bosseuse. En vérité, elle était l’héritière d’un véritable empire financier, tenu de main de maître par Hokuto Kammiya. Jamais elle ne s’était réellement intéressée à ce monde qui lui paraissait factice, et plutôt que de profiter du pouvoir acquis par son lien avec Hokuto, Maya avait pris la décision d’être la seule responsable de son existence. Elle ne jouissait donc jamais de la notoriété qu’elle aurait pu avoir, ni même de ce compte en banque si remplit qui aurait dû être le sien. Sa fierté et son orgueil étaient les seuls responsables de ce formidable gâchis. Maya avait préféré devenir une véritable pierre aux gestes mécaniques et travaillant pour un club de striptease résolument connu en plein cœur de San Francisco. La jeune femme était magnifique, c’était un fait, mais elle valait bien mieux que tout cela. Elle ne méritait aucunement d’être considérée comme un vulgaire objet récemment engagé par le jeune homme en passe de racheter le club. Ceux qui étaient au courant de ce petit job qu’elle faisait ne pouvaient s’empêcher de la traiter de folle. Elle qui était surdouée, débrouillarde mais avant tout fille adoptive d’un milliardaire possédant l’une des fortunes les plus conséquentes du monde, la voilà dans un rôle qui ne la représentait pas le moins du monde et qui la reléguait au rang de presque prostituée. Ce n’était pas pathétique…C’était triste, triste à pleurer.

Vingt heures. Le simple fait d’être déposée en limousine devant son habituel lieu de travail, à savoir le musée d’art de San Francisco, ne pouvait qu’être choquant aux yeux de Maya. Elle n’était guère à l’aise de part sa tenue d’autre part : Elle qui était plutôt habituée à sempiternelle combinaison débardeur et jean, la voilà vêtue d’une magnifique robe blanche arborant un décolleté lui allant à ravir, tandis que sa coiffure formait un chignon soigné. Pour la première fois depuis des lustres, Maya avait même sorti de ses tiroirs de jolies boucles d’oreille en cristal et des perles afin d’enjoliver ce portrait déjà enchanteur. Mais si sa démarche était assurée, ce n’était qu’une fausse image. Elle n’était nullement sûre en vérité et si elle avait su quelle compagnie allait rendre sa soirée cauchemardesque, probablement ne se serait-elle pas hasardée à venir à cette maudite réception. On lui prit son carton d’invitation en main, on la conduisit comme si elle était une véritable princesse en visite, et le nombre de salamalèques que l’on lui offrit ne firent que la mettre plus mal à l’aise qu’elle ne l’était déjà. Mais cette vision qu’elle eut en se confrontant au visage de Dominic McManaman manqua de la faire s’étouffer en avalant sa salive. On lui dit qu’ils seraient seuls à cette table du fait des trois absents de ce soir, et Maya se maudit d’avoir seulement pensé à accepter cette foutue mascarade. D’autant que si elle était parfaitement dans son élément au sein du musée, elle ne l’était guère face aux clients habituels de son père adoptif. Une chance qu’elle soit excellente comédienne et que son charme ravageur ne gâche rien au tableau qu’elle offrait…Cela dit, face à Dominic, elle ne pu qu’arborer un sourire impassible, glacial, marquant nette cette muraille de Chine qu’elle comptait maintenir entre eux. Il l’avait vue…Et sous quelques secondes, celui qui venait de l’accompagner à sa table allait certainement la présenter, rendant soudainement impossible le contrat qu’ils s’apprêtaient à signer…Vous m’aurez comprise quant à la nature dudit contrat, évidemment.

RESPONSABLE – « Monsieur McManaman, je vous présente Mademoiselle Maya Kammiya. Son père était censé vous tenir compagnie ce soir à votre table, mais il semble indisponible. Je vous laisse découvrir sa charmante fille…Et vous souhaite à nouveau une excellente soirée. »

Enfer et damnation. Le simple fait de devoir serrer la main à cet abject personnage manqua de provoquer un véritable haut le cœur chez l’ardente blondinette. Il n’était pas question qu’ils échangent trois mots ou même qu’elle feigne d’être ravie de faire sa connaissance : Ce n’était pas le cas. Et qui plus est, Maya n’était pas là pour s’amuser mais plutôt pour briller face au gratin du gratin présent ce soir. Voilà pourquoi elle ne tarda pas à s’asseoir, maudissant la proximité imposée par les cartons d’invitation sur les assiettes. Autant dire que durant tout le discours du conservateur, la blondinette souffrait physiquement. Rien ne paraissait sur ses traits de porcelaine, mais si quelqu’un la connaissait un tant soit peu dans l’assemblée, il aurait sûrement remarqué ses petits réflexes d’impatience. La seule chose qui parvint à la détendre ? Le fait que le conservateur ne dise à quel point il était ravi qu’elle soit là ce soir, bien que cela veuille dire que son père était absent, parce qu’elle était l’image même de l’archéologue passionné dans toute sa splendeur. Un compliment qui la toucha réellement et qui parvint à lui arracher un sourire. Sourire qui s’effaça dès lors que son regard eut croisé Dominic…Quelle poisse !

« Puisque nous sommes bloqués ici…Je pense me voir obligée de rompre la promesse de contrat que je vous ai faite. »

Sans détour, Maya avait sondé son regard et fait preuve du plus grand sérieux. Il était probable qu’il ne soit pas d’accord et cherche par tous les moyens de faire pression sur elle…Mais la blondinette se devait de tenir bon, et ce bien qu’elle connaisse parfaitement ce genre de milliardaire. Non n’était pas un mot auquel ils étaient souvent confrontés, contrairement à elle, qui se moquait parfaitement du pouvoir et qui avait une vision de l’argent et de ses méfaits nettement plus juste. A croire que Maya soit tout bonnement plus humaine.

« Disons que pour une fois vous n’aurez pas ce que vous convoitez… »

Sous entendu, ça ne peut pas vous faire de mal ! Mais bien qu’elle n’ait aucune envie de marquer le moindre respect à son encontre, cela ne l’empêchait pas de le vouvoyer. Maya savait être d’une classe indiscutable, contrairement aux apparences.
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MessageSujet: Re: Pleasure and action make the hours seem short♦ Maya J.K. & Dominic C.M. Pleasure and action make the hours seem short♦ Maya J.K. & Dominic C.M. EmptyDim 27 Nov - 15:45

Pleasure and action make the hours seem short♦ Maya J.K. & Dominic C.M. Deravin

Alors là pour une surprise, ça en était une très belle. Il s’était planté carrément. Le vieil homme barbu qu’il s’attendait à avoir à ses côtés, s’avérait être une charmante jeune femme. Et pas n’importe laquelle, vous vous rappelez de cette blondinette qu’avait rencontrée Dominic dans un bar de strip-teaseuse? Cette même fille qu’il avait embauchée comme danseuse personnelle il y a de cela quelques jours. Lui promettant ainsi à cette dernière, un salaire beaucoup plus alléchant que ce qu’elle pouvait retirer d’une soirée ou deux de danses plutôt sensuelles. Non il ne rêvait pas, le responsable venait de se charger des présentations. L’Epsilon leva la tête en direction de l’alpha. Il croisa le regard de Maya. Et tout en écoutant le responsable livrer son discours, il esquissa un sourire quelque peu moqueur. À en juger le regard lancé par la strip-teaseuse en direction de l’anglais, mais quoi? C’était bien ce qu’elle était non? Cette dernière n’était guère contente de le revoir. Ce qui était loin d’être le cas du beau brun qui avait en tête de se régaler. La soirée ne pouvait pas mieux tourner pour le remplaçant de maître Mcmanaman. Le père de Dominic, mis à part ses nombreuses actions dans diverses compagnies, sa maison de production de film, sa plantation de sapins et son important contrat de partenariat avec le club de football Manchester United, était avant tout un avocat, un homme respecter et admirer de tous. Si l’Epsilon voulait un tant soit peu ressembler à son père, il devait absolument redoubler d’effort. Pas seulement ça, il se devait de retrouver la personne aimable qu’il avait été plusieurs mois de cela. Ce dernier avait prit au sérieux son rôle de vilain. Une nouvelle attitude qui avait partiellement compromis sa relation avec la belle Esméralda. Quant à Maya, elle n’était pas à blâmer. Il était vrai que son arrogance, son impulsivité, plaisait à certaines. Mais aussi déplaisait à beaucoup d’autres. Maya bien entendu faisait partie de cette longue liste de personnes a qui le comportement de l’anglais, déplaisait. Même serrer la main de l’étudiant semblait trop demander à l’alpha. Ce fut bref et peu sincère. On aurait dit un genre de signal, indiquant au responsable que son travail à cette table était terminé. Ce dernier se retira, laissant Dominic et Maya en tête à tête.


La soirée allait bientôt prendre son envol. Il y avait un long silence qui s’était installé depuis un moment entre nos deux amis. Un silence qui n’étonnait guère considérant le fait qu’ils étaient loin d’être des amis. La relation que l’homme de vingt-trois ans avait avec la blondinette était strictement professionnelle. Ils étaient liés par une promesse de contrat que devait signer Dom. En plus d’être un candidat sérieux en ce qui concerne l’achat du club de strip-tease, le lieu de travail de Maya, il se verrait bénéficier des services personnels de la jeune femme. Cette dernière avait d’autres plans en tête. Tout comme Dominic, madame Kammiya était loin de se douter qu’elle se retrouverait à la même table que son boss. Et oui qu’elle le voulait ou non c’était ce qu’était l’étudiant de première année. Elle se décida enfin à ouvrir la bouche. Mais ce qui en ressortit, ne semblait guère affecter l’Epsilon. Il avait une idée de pourquoi la blondinette aux yeux bleus avait décidé de rompre sa promesse de contrat. Dominic avait le pouvoir de détruire l’image non seulement de cette charmante jeune femme, mais aussi l’image de la compagnie de son père.

- Mais vas-y tu es libre de faire ce que bon te semble…J’espère pour toi que tu sauras quoi dire, lorsque viendra le temps d’expliquer à ton père ou au monde entier, la raison pourquoi tu te retrouve à danser à moitié nu dans un club de strip-tease. Je ne bluff pas je peux te l’assurer, j’ai moi-même prit le soin d’engager un photographe afin qu’il s’arrange pour prendre quelques clichés de toi sous la permission bien-sûre de ton ancien patron…Ce dernier s’avère être un très bon ami à mon très cher père.Madame n’aimerait pas décevoir papa je suppose? Oh et bien merci à toi d’avoir brisé ce silence de mort qu’il y avait entre nous.


Dominic affichait un large sourire sur son visage. Il ne plaisantait pas lorsqu’il disait qu’il avait en sa possession des photos, dévoilant au grand jour la vie nocturne de la jeune businesswoman. Dans ce monde dans lequel ils étaient tous deux forcés, il était très important, afin de récolter des résultats positifs, de combattre le feu par le feu. Ranger nos émotions et être égoïstes dans nos actions. Elle avait tord d’avouer l’Epsilon pour vaincu. Ce dernier avait plus d’un tour dans son sac et la partie ne faisait que commencer. Il fit signe à quelques de ces nombreux photographes présents de s’approcher. Ce qu’il fit sans perdre de temps. Il semblerait qu’il avait quelque chose d’urgent à annoncer. Sans demander l’avis de l’alpha, il posa son bras autour du cou de cette dernière. Proposant à l’objectif de l’appareil, son plus beau sourire. Il détourna ensuite son regard des nombreux flashs qui semblaient l’aveugler. Il cherchait à croiser le regard de Maya qui ne semblait vraiment pas intéressée.


- Place à l’histoire mesdames et messieurs, l’union de deux familles, Les Kammiya et les Mcmanaman…Allez chérie un joli sourire pour la caméra? Rien qu’un sourire tu sais on risque de faire la une des journaux après tout. Je n'aimerais quand même pas que tu fasses une folle de toi.


Dit le charmant garçon d'un ton moqueur. Les quelques chaises vident qui restaient furent vite comblées par les retardataires. Le jeune anglais n’avait la guère la tête à tout ça. Il était physiquement présent, mais l’esprit n’y était pas. Il ne portait aucune attention à ce qui pouvait être dit. Tout ce qui l’intéressait non mieux, tout ce qu’il y avait d’intéressant c’était bel et bien le face à face mortel entre lui et la jeune femme du nom de Maya Kammiya. Game on !
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MessageSujet: Re: Pleasure and action make the hours seem short♦ Maya J.K. & Dominic C.M. Pleasure and action make the hours seem short♦ Maya J.K. & Dominic C.M. EmptyDim 27 Nov - 16:20

    maya & nolanIt's got me caught up in a web and my hearts the prey. Do you really wanna throw your heart away ? Everybody’s hurt somebody before, everybody’s been fooled by somebody before...You can change, but you’ll always come back for more, it’s a game and we're all just victims of love ;; Don’t try to catch me

Dire que cette soirée allait être un calvaire serait certainement bien en dessous de la vérité. Maya ne voulait pas trop s’avancer, mais le simple fait d’être menacée par cet héritier aussi désagréable que séduisant ne risquait pas de lui faciliter la vie. Il représentait, à l’heure actuelle, tout ce que la jeune femme haïssait. Il était beau, riche, il le savait et n’hésitait pas à se mettre en avant même à un gala de charité organisé par le conservateur du musée. Ce n’était pas un monde qui convenait à la jolie blondinette. Pire, elle aurait préféré être sans domicile fixe plutôt que de devoir supporter une nouvelle pression comme celle-ci. Elle n’était décidément pas faite pour ce genre de pince-fesse, soirées où il fallait être plus hypocrite encore qu’on ne l’avait jamais été et où oublier sa véritable personnalité était un véritable code d’honneur. Maya aurait pu faire semblant, après tout, c’était une excellente comédienne et elle en avait embrouillé plus d’un avant aujourd’hui…Mais le cœur n’y était pas. A ses yeux, elle était en train de perdre un temps précieux et se faire humilier de la sorte n’était pas exactement dans ses plans pour l’avenir. Si l’héritier lui faisant face s’amusait de ce genre de choserie, tel était loin d’être son cas. Au départ, la blondinette haussa les épaules, laissant les menaces de son nouvel adversaire glisser sur elle comme la pluie sur un corps dénudé. Si elle avait prêté un tant soit peu d’attention à ce qu’il était en train de lui dire, Maya aurait pu voir son orgueil blessé, heurté par la dureté et l’absence totale de compassion qu’il mettait à l’œuvre. Son but était certainement de la garder soigneusement dans ses filets, afin qu’elle n’ait d’autre choix que celui de rester tout près de lui, telle la femme objet qu’elle avait accepté d’être pendant trois longues années. Trois ans qu’elle avait plus endurés qu’autre chose, du reste. Son arrivée aux États-Unis n’avait pas été merveilleuse, ni représentative du rêve américain. Chaque jour lui donnait plus envie de reprendre l’avion pour Tokyo qu’autre chose et ce soir n’était rien d’autre que la goutte faisant déborder la potiche. Maya n’était pas un meuble, elle n’était pas un objet, elle respirait, pensait, ressentait ses propres émotions avec si peu de facilité qu’il était impossible de la comprendre ou de l’appréhender. Voilà ce qu’elle était, imprévisible. Et cette image allait être démontrée ô combien lors de cette soirée de torture absolue.

« Vous êtes bien sûr de vous…Qui vous dit qu’il n’est pas au courant ? Les Japonais ne réagissent pas du tout de la même manière que les Anglais, ne vous en déplaise. »

Le pire dans l’histoire, c’est qu’elle ne mentait pas. Son père adoptif était effectivement au courant de ses déboires en tant que stripteaseuse et s’il ne s’en n’était pas mêlé jusqu’à lors, c’était en vue de lui laisser la liberté de ses choix. Maya n’avait pas quitté Tokyo, elle avait fuit cette ville. Son espoir avait été placé dans cette nouvelle vie qu’elle souhaitait merveilleuse et qui se révélait plus inutile et douloureuse que tout ce qu’elle avait connu jusque là. Aussi ne pouvait-elle pas se sentir menacée par quelques clichés…Dans d’autres circonstances, Maya aurait sûrement habilement manœuvré pour qu’il ne publie pas tout ceci et n’éclabousse ainsi pas son père adoptif, à qui elle devait tout ce qui lui était arrivé de mieux. Mais la blondinette n’était plus en position de se battre pour quoi que ce soit. Contrairement à son adversaire, l’épée de Damoclès inlassablement placée au dessus de sa tête en raison de son insuffisance pulmonaire faisait que toutes les audaces lui étaient permises…Et à l’inverse des apparences, Maya n’avait cure des menaces de Dominic.

« Vous voulez publier vos saletés de clichés ? Allez-y. J’peux même vous donner d’excellents journaux qui feront le monde entier, ce serait une pub d’enfer. Sérieusement ! Je sais que j’ai un déhanché irrésistible et un exceptionnel petit cul. Inutile de me complimenter, vous ne m’apprendriez rien très cher ami. »

Autant jouer la carte de l’audace jusqu’au bout, puisqu’il venait de lui imposer une photo en sa compagnie. Dominic ne savait pas encore avec quel feu il était en train de jouer, mais celui-ci risquait fort de lui brûler également les doigts. Maya s’était mise à rire, lui avait tapoté l’épaule comme s’il s’agissait d’un ami d’enfance et il ne manquait plus que l’expression « haha, sacré toi ! » pour compléter ce tableau. La blondinette n’avait aucunement envie de rire, mais sa façon de faire semblant était assez exceptionnelle…D’autant que si Dominic était capable d’attirer les journalistes, Maya le pouvait aussi. La preuve, elle fit un clin d’œil particulièrement charmeur à l’un d’eux histoire qu’il ne les prenne en photo alors qu’elle lui faisait un colossal bisou sur la joue. Celui-ci paraissait tellement vrai que pour sûr, ils allaient faire la une dès le lendemain…A ceci près qu’elle aurait également provoqué la chose et n’aurait donc pas laissé son adversaire récolter tous les lauriers…Pratique non ? L’honneur serait un peu moins en lambeaux ainsi.

« Je l’achèterais ce journal là, il me tarde d’avoir notre superbe trombine dans un cadre photo ! Après tout, on est too much vous ne trouvez pas ? »

Maya s’était prise au jeu. Elle était donc perdue. Son sourire n’était rien de plus qu’une expression narquoise sans âme et le fait qu’elle hausse régulièrement un sourcil en vue de défier son adversaire n’augurait strictement rien de bon pour la suite. Pour sûr, ils risquaient de monter crescendo sans aucun répit afin de ne surtout pas laisser gagner l’autre…Mais le fait de gagner n’importait pas réellement à Maya. Tout ce qu’elle voulait, c’était oublier cet environnement dans lequel elle n’était guère à l’aise, ainsi que la douleur lancinante présente dans sa poitrine et qui la faisait se crisper de temps à autre. Tant que personne ne constatait le léger tremblement de ses doigts fins et glacés, tout irait bien…Seulement voilà, la musique était déjà engagée désormais que les divers discours étaient terminés et Maya risquait fort d’être invitée sans tarder. Danser alors que sa douleur atteignait des sommets ne pouvait qu’être risqué : Il ne manquerait plus qu’elle ne s’écroule en pleine piste !

« Au fait, excellent votre costume. Classe, efficace. Il y a même une héritière qui vous z’yeute depuis tout à l’heure. Vous ne pouvez pas ne pas l’avoir remarquée ! Allons. Remarquez, je serais désespérée si vous quittez la table…Restez. Vous êtes le seul qui ne soit pas trop un abruti à mes yeux. »

Diable ! La morphine prise dans la journée l’avait plus shootée qu’elle ne l’aurait cru. Pousser cet abject personnage à rester à ses côtés afin que la solitude ne s’empare pas d’elle, c’était culotté. Mais après tout, pourquoi pas…Soit ils allaient passer leur temps à se menacer mutuellement jusqu’à plus soif, ou s’amuser au détriment de quelqu’un d’autre. Game on !
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MessageSujet: Re: Pleasure and action make the hours seem short♦ Maya J.K. & Dominic C.M. Pleasure and action make the hours seem short♦ Maya J.K. & Dominic C.M. EmptyMar 29 Nov - 15:05

Pleasure and action make the hours seem short♦ Maya J.K. & Dominic C.M. Deravin

Contrairement à ce que l’on pouvait croire, l’anglais n’avait rien contre l’alpha. Il était vrai que son approche auprès de la blondinette était loin d’être la meilleure. Ces intentions premières étaient justes, c’était le moins qu’on puisse dire. Il avait en tête d’aider sa rivale qui à première vue avait besoin d’un petit coup de pouce financièrement. C’était avant de la croiser dans ce gala de charité. Cette dernière s’était en quelque sorte jouée de l’Epsilon. Elle n’était donc pas la petite fille innocente d’il y a quelques jours. Comme disait maman, la femme représente tout ce qu’il y a de plus démoniaque sur la terre. Elle, la femme était en mesure de détruire le cœur d’un pauvre homme et cela avec une grande facilité. Elle était aussi en mesure de semer le trouble partout ou elle passait. Elle pouvait user de ses charmes et faire d’un homme ce qu’elle voulait. Elle se permettait de jouer la carte de la petite fille inoffensive et faire un homme gagner sa confiance. Lorsque ce dernier baissait ses gardes, tel un serpent, elle n’hésiterait pas à injecter son venin. , tout comme Dom n’était pas forcément venu au monde pour ce genre de choses. Je parle bien-sûre du monde des affaires, le constamment besoin de faire bonne impression auprès des autres. Chapeau à la blondinette espérant qu’elle le savait qu’elle était douée et qu’elle avait sa place comme toutes les autres personnes dans ce monde. Elle devait maintenant savoir, qu’elle avait devant lui un Dominic vigilant et préparer à livrer une guerre moralement sanglante et sans merci. L’homme de vingt-trois ans avait prit cette fâcheuse habitude de vouloir tout contrôler. Il détestait cette idée d’être numéro deux. D’ailleurs qui aimait se retrouver en deuxième position. En tout cas pas lui, c’était cet esprit de combattivité, son désir de vaincre, qui faisait de lui ce qu’il était, un gagnant. Cela était une bonne chose en quelque sorte, puisque le monde dans lequel il était forcé de mettre les pieds, n’avantageait que les gagnants. Le tombeur de ces dames, étant jeune, était passionné de littérature, de science et de tout ce qui touchait le monde de la santé. Il n’avait jamais été intéressé à foutre son nez dans les affaires de son père. Bien que proche de ce dernier à une rare époque. Si un jour quelqu’un lui aurait dit qu’il succèderait aujourd.hui à son père, il se serait moquer de cette personne. Ce dernier avait fuit l’Angleterre à l’âge de seize ans, reprochant ses parents d’avoir contribué au départ de son premier amour. Gwendolyn L. Davenport. L’Epsilon avait décidé de se rebeller contre ses parents, contre le monde entier. Du coup il se retrouvait à vendre de la drogue et s’attirer des ennuis auprès de la justice. Sa vie n’avait plus de sens et son comportement était en quelque sorte un appel à l’aide. Sept ans plus-tard et il adoptait la même stratégie et comme à l’époque de son adolescence, tout cela sans s’en apercevoir. Qu’avait Dominic derrière la tête? Voulait-il se prouver quelque chose à lui-même? Était-ce un moyen pour lui de se débarrasser de ce poids de culpabilité? Tant de questions, peu de réponses, expliquant le pourquoi il se retrouvait assis à cette table. L’idée proposée par la jeune femme plaisait bien au beau brun. Cette dernière était prête à lui faire de la publicité gratuite. C’était exactement ce que le beau brun avait besoin, de la publicité. La fille de monsieur Kammiya, avait à présent toute l’attention de l’ancien Delta. Dominic qui au passage n’avait pour but que de faire peur à son adversaire, se rendit compte de la brillante idée de cette dernière. L’alpha avait dressé un mur impénétrable devant elle. Toutes les attaques lancées par l’étudiant de première année n’affectait en rien la blondinette. Au contraire, elle avait réponse à tout. Le jeune homme ne pouvait que saluer une telle attitude. Elle se mettait le doigt dans l’œil si elle croyait que le britannique allait baisser les bras. Ce dernier avait plus d’un tour dans son sac.

- Alors pour une fois je te donne raison, il est vrai que ton déhanché est irrésistible. Il est aussi vrai que ton cul est humm…d’une minusculité à en faire ricaner un publique d’un show de comédie. Et au point ou nous sommes rendus je crois que nous pouvons se tutoyer…No offense, mais lorsqu’une femme se retrouve à moitié nu devant un homme c’est qu’ils ont largement l’étape du vouvoiement.

Il n’avait pas tord, il n’allait pas vouvoyer une femme qui ne se respectait pas. Une personne qui ne respectait pas son propre corps. Maya avait peut-être ses raisons de faire de qu’elle faisait chaque fin de semaine. Ce que l’Epsilon ne comprenait pas, c’était qu’une si jolie fille, visiblement riche et célèbre de par son père, pouvait descendre aussi bas. Ils n’étaient donc pas si différents que ça après tout. L’alpha avait besoin d’aide et c’était sa manière à elle de s’exprimer. Enfin si je ne me trompe pas bien entendu. Ce dernier se posait beaucoup de questions, il était intrigué par le phénomène Maya. Et en même temps, elle était directement une compétition et il ne pouvait mélanger business et émotions.


On ne change pas une formule gagnante. On ne saurait compter les victimes de Dominic à ce jeu. Sa victime la plus récente étant une dénommée Kyarah. Cette dernière fut forcée de s’avouer vaincu lorsqu’elle constata que le riche héritier n’avait pas de limite. Les nombreux photographes venaient de voir leur travail prendre fin momentanément. Le gentleman de vingt-trois ans leur avait fait signe de se retirer un instant. Il n’y avait pas de secret, le britannique pouvait attirer les médias. Après tout, il était devenu le plus jeune milliardaire de San Francisco. Étant désormais célibataire, il devenait en quelque sorte, Berkeley Most Eligible Bachelor. On ne pouvait rien enlever à son charme, ses beaux yeux, son magnifique sourire qui faisait tomber toutes les jeunes filles. En face de lui, une jolie blondinette aux yeux magnifiques, au caractère à la fois fascinant, mystérieux et plutôt sexy. Elle débordait d’énergie et de combattivité. Elle était le genre de femmes à ne pas se laisser faire, elle combattait le feu par le feu. Dominic ne pouvait qu’apprécier ce côté de Maya.

- Ose poser tes douces lèvres encore sur ma joue et c’est dans une chambre d’hôtel que l’on se retrouvera ce soir.

L’Epsilon n’était donc pas le seul à attirer les journalistes, les photographes. C’était le point que voulait prouver la jeune alpha. Un clin d’œil suffit pour que l’un d’eux s’approche de Domaya. Elle posa un bisou sur la joue de l’anglais et avant même qu’il ne puisse ouvrir la bouche pour dire quoi que ce soit, une lumière blanche l’aveuglait. Dom ne pu s’empêcher de sourire, en écoutant la jeune femme parler de leur photo se retrouvant à faire la une d’un journal local. Ce qu’elle ne savait pas c’était que Dominic approuvait cette idée. De plus, elle avait parfaitement raison. À deux, Dominic et Maya avaient le potentiel de faire trembler la planète toute entière. La soirée suivait son cours, les discours s’enchainaient. Dieu merci la blondinette était là pour tenir le charmant garçon éveillé. Il y a longtemps l’universitaire aurait franchit la porte de sortie si la jeune femme n’Avait pas été là.

- Rien qu’une? Tu rigoles? Non seulement je l’ai remarqué, mais les autres aussi…Toutes aussi folles les unes que les autres. C’était le prix à payer lorsqu’on est connu sous le terme du Most Eligible Bachelor. Sache qu’il est hors de question que je bouge de cette table. D’ailleurs si je devais le faire ce ne serait sans toi !

Keep your friends close and your enemies closer. C’était exactement ce qu’avait en tête le british. Dominic et Maya contre les gens pas cool. Je les verrais bien bosser ensemble, se foutre de la gueule d’autres personnes. Cette dernière avait le potentiel d’être la remplaçante de Gwendolyn. La grande question qui se posait était la suivante : Était-il prudent pour Maya de faire confiance à Dominic et vice versa. Une chose était sûre, c’était mal connaître l’Epsilon, si vous vous imaginez qu’il baisserait ses gardes aussi facilement. FRENEMIES ?

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MessageSujet: Re: Pleasure and action make the hours seem short♦ Maya J.K. & Dominic C.M. Pleasure and action make the hours seem short♦ Maya J.K. & Dominic C.M. EmptyMar 29 Nov - 16:27

    maya & nolanIt's got me caught up in a web and my hearts the prey. Do you really wanna throw your heart away ? Everybody’s hurt somebody before, everybody’s been fooled by somebody before...You can change, but you’ll always come back for more, it’s a game and we're all just victims of love ;; Don’t try to catch me

Haussement d’un sourcil, marque d’étonnement. Il fallait dire que depuis le début de la soirée, Maya allait de surprise en surprise. Dominic n’était plus seulement un petit con prétentieux pouvant lui faire du tort, il était également un adversaire de taille capable d’embellir en quelque sorte cette soirée. Les rôles n’avaient pas seulement été inversés, ils avaient été annihilés purement et simplement. La blondinette ne pouvait qu’accueillir la chose d’un sourire à la fois charmeur et amusé, pour la simple et bonne raison qu’elle appréciait l’espoir de pouvoir un jour abaisser sa garde devant lui. Ils n’étaient pas si différents pour peu que l’on ne s’intéresse qu’à certains détails. Ils étaient tous deux des héritiers, n’ayant visiblement cure de cette réception où tous faisaient semblant, et demeuraient deux feux incontrôlables masqués par une épaisse couche de glace. De tout temps Maya s’était révélée être excellente manipulatrice. Elle détestait prodigieusement ce côté de sa personnalité, mais cela ne l’empêchait pas de l’utiliser en cas d’extrême urgence…Comme prouver à Dominic qu’il n’était pas seul à avoir des cartes en main. Elle aussi savait tirer avantage de la pire situation et n’était pas sans savoir à quel point sa condition pouvait prêter à sourire. Elle, riche héritière, adulée par des hommes des quatre coins du monde, n’avait aucune honte à ôter si facilement ses vêtements une fois la nuit tombée, cinq soirs par semaines. C’était d’autant plus mécanique qu’elle fasse en sorte que rien de tout ceci ne l’atteigne. On pouvait la traiter de prostituée, de personnage inutile et faible, elle s’en moquait comme de sa toute première robe de bal. Ce n’était pas la vie à laquelle elle aspirait, et cet état de fait n’était que temporaire…Il devait en être ainsi, le temps qu’elle ne reprenne contenance et ne soit en mesure de pouvoir enfin voler de ses propres ailes. Contrairement au jeune homme, et cela semblait être la seule différence évidente de ce soir, elle n’aimait pas particulièrement être adulée et se faire une place dans ce monde rien qu’à l’aide de son nom ne l’intéressait pas. Elle voulait des batailles sanglantes, être fière d’avoir conquis un territoire donné à la force de ses seuls bras. Ce n’était pas le cas ici, où tout était factice, et ce de la même façon qu’au club où elle travaillait le soir et que Dominic était en passe de racheter. Qu’il ne la comprenne pas ne l’étonnait guère…Elle mettait une telle énergie à ne pas être comprise ni appréhendée que le contraire serait le plus étonnant dans l’histoire.

« Dans un hôtel ? Ma foi, ce serait plus simple pour élaborer des plans, tu ne crois pas ? »

Tout premier tutoiement de la soirée, et il n’était pas des moindres. En effet, en utilisant de nombreux sous-entendus tout à fait délicieux, Maya mettait en lumière le fait qu’ils puissent tout à fait s’allier face au monde. Le moule qui les forçaient à être autrement avait tort…Ils avaient les épaules pour être eux-mêmes et faire des merveilles. D’autant que si Dominic avait besoin de son image à elle, il en était de même vis-à-vis de lui. S’afficher, professionnellement du moins, à son bras ne pouvait qu’être une carte fabuleuse à tirer en cas de situation délicate. Et on ne pouvait pas dire que Maya ait eu énormément de cartes exploitables dans sa manche ces derniers temps.

« M’est avis que c’est justement le moment idéal pour quitter cette table de malheur. Suis-moi ! »

Cette nouvelle facette de Maya n’avait jamais été dévoilée qu’au conservateur du musée. En effet, ce petit côté aventurier qu’elle n’affichait qu’en cas de fouilles archéologiques était non pas reposant mais aussi étonnant qu’amusant. Il permettait de relâcher la pression et en bonne manipulatrice qu’elle savait être, les faire sortir de la pièce ne serait nullement un problème. La preuve, elle venait de faire consécutivement un clin d’œil puis un bisou en l’air au premier journaliste venu, avant de faire signe au conservateur du musée, également son patron, qu’ils s’absentaient quelques secondes. Il suffit d’un cliché de photographe et déjà ils pouvaient s’éclipser quelques minutes en vue de souffler. Il n’y avait plus guère besoin que Maya ne continue à serrer délicatement la main de Dominic dans la sienne. Ils étaient désormais dans un couloir du musée, tout orné de tableaux tous plus magnifiques les uns que les autres, et la blondinette les regardaient avec une espèce d’envie mystérieuse. Surprenante, voilà ce qu’elle était. Impossible de rester en place plus de cinq minutes d’à filée, il fallait qu’elle ait l’impression d’être en vie en s’imposant des petits défis quotidiens…Quitter cette salle de réception en grande pompe en compagnie de la dernière personne au monde pouvant la comprendre en faisait partie. Après tout, Maya n’était pas exactement une demoiselle comme les autres. Personne d’autre ne risquait de mourir dans deux mois sans greffe pulmonaire, après tout.

« Vrai que tu dois être un parti fabuleux pour toutes les filles crochues n’en n’ayant qu’après ton fric ! Pour un peu je te plaindrais presque, si je n’étais pas dans la même situation que toi. Mais n’aie crainte, si tu veux à tout prix retourner à cette réception et faire face à des demoiselles ayant tout sauf des têtes de porte-bonheur, je veux bien être ton garde du corps jusque là bas ! Mais personnellement, je suis bien ici. L’art, le côté exploration…J’y resterais bien des heures. Mais je t’avoue que malheureusement, il est possible que je doive me rendre au club, ma présence ici n’est que temporaire. Tu voleras sans problème la vedette ! »

Cette fois, comment dire…Maya était plus aimable, voire même conciliante. Disons qu’elle se moquait éperdument de ce qu’il devait penser d’elle. La demoiselle ôta donc ses longs gants en soie blanche avant de soupirer : Ses mains tremblaient encore. Certes, elle avait rendez-vous au club un peu plus tard dans la soirée pour un show spécifique, mais ce n’était pas la seule raison de son désir de quitter ces lieux. Maya savait qu’à force de ressentir ce stress, cette peur de ne pas coller à cet affreux moule auquel son père l’avait obligée à être confrontée, elle risquait le malaise. Et ça, il n’en n’était pas question, pas alors qu’une foule en délire de journalistes était présente.

« Je me trompe sûrement. Mais je ne pense pas que vous soyez un abruti. Au contraire, vous semblez très sûr de vous-mêmes, et dans ce monde, c’est la meilleure qualité que vous pouvez avoir. Vous allez être de plus en plus harcelé, c’est évident ! Mais qui sait, je serais peut-être toujours près pour vous sauvez grâce à mon côté manipulatrice. »

Maya n’avait pas envie de se battre furieusement ce soir, elle n’en n’avait hélas pas l’énergie. S’il se lançait dans une joute verbale, pour sûr elle suivrait, par pure fierté. Mais en attendant, autant faire état du fait qu’elle ne soit pas nécessairement l’ennemie dans l’histoire…Surtout à l’aide de ce sourire délicat qui avait tendance à illuminer son visage de porcelaine, à peine éclairé dans la pénombre de cet immense couloir glacé. Hatefriends ?
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MessageSujet: Re: Pleasure and action make the hours seem short♦ Maya J.K. & Dominic C.M. Pleasure and action make the hours seem short♦ Maya J.K. & Dominic C.M. EmptyVen 2 Déc - 13:31

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Qui a dit qu’être vilain était mal? Au contraire ce sont les plus intéressants. Ces derniers apportaient du piquant dans la vie d’autrui. Il n’y avait qu’à regarder le film de Batman pour constater que le personnage le plus important, le plus aimé de tous était le Joker et non le bonhomme avec la cape noire. On pouvait considérer Dominic comme étant un Bad boy. Il avait le look, le comportement qui allait avec. Et lorsqu’un vilain fusionnait avec une autre vilaine et bien il n’y avait pas d’autres choix que de sortir le pop corn et appréciez le spectacle. Dominic et Maya, qui aurait crut qu’ils finiraient par trouver un terrain d’entente. Qui se ressemble s’assemble, et bien je ne voyais donc pas pourquoi ils n’uniraient pas leur force. Tous deux, n’avait pas leur place dans ce genre de gala. Tous deux, avaient un ennemi commun, les filles crochues, sans cervelle qui courait après la fortune des hommes dans le genre de l’Epsilon. Dominic, tout comme sa camarade, n’avait qu’une envie se volatiliser de cet endroit ne laissant aucune trace. C’était un peu trop tard pour ça. Avec toutes ces photos prises par ces nombreux photographes, ils pouvaient être sûrs d’avoir laissé leur trace. Qu’est-ce qu’il pouvait se marrer, l’Epsilon. Miss Kammiya menait le bal, saisissant ainsi la main du britannique, la serrant contre la sienne. Et une dernière pour les paparazzis. C’était un plaisir d’induire en erreur la presse californienne. Il fallait avouer, la blondinette n’était pas du tout mal. Enlevons Esméralda du décor et vous aviez devant vous, possiblement le jeune couple le plus riche de Berkeley. La voie était libre, plus de photographe à l’horizon. Dominic se laissa entraîner par la jeune alpha. Elle lui avait demandé de la suivre, ce qu’il fit sans se poser de question. Cette dernière semblait connaitre l’établissement à merveille. Ce dernier ne serait guère surpris d’apprendre qu’elle travaillait dans ce musée. Si ce n’était pas le cas et bien cela voulait tout simplement dire qu’elle était familière à cet endroit. Ils arrivèrent dans un couloir orné de tableaux. L’Epsilon ne sachant trop pas comment apprécier ces tableaux, se contenta d’observer sans toutefois prononcer une seule phrase. Ce n’était pas vraiment son truc si vous voyez ce que je veux dire. Par contre, Maya elle était dans son environnement naturel, elle donnait l’image d’une demoiselle satisfaite par le service que venait de lui offrir l’homme de ses rêves. En d’autres mots, elle était aux anges, Dom aurait peut-être eu une réaction similaire si il avait devant lui une femme nu devant ses yeux. Il devait absolument cette idée de son crâne. Trop tard, bien installé derrière l’alpha il la dévisageait du bas jusqu’en haut. Il l’imaginait déjà sans rien sur elle. Ce n’était d’ailleurs pas la première fois qu’il l’imaginait, enfin vous voyez ou je veux en venir. La jeune adulte de vingt-deux avait prit la parole. Dominic, qui venait de remettre les pieds sur terre n’était arrivé qu’à capté une partie de ce qu’elle venait de sortir de sa bouche. Il enregistra l’essentiel, un truc du genre qu’il était fort possible qu’elle se rende au club.

«Avant toute chose, je trouve ces tableaux magnifiques…Et si j’ai bien entendu, tu serais sur le point de t’en aller et me laisser ici? Hors de question mademoiselle Kammiya. Ce soir c’est mon pied ton pied, si tu sors je sors. Oh et sache que ta présence ne m’affecte en rien …Je suis à moi seul, un centre d’attraction...Oh et à ce que j’ai pu voir, t’étais vraiment pas décidé à lâcher ma pauvre main tout à l’heure.»

Dit-il amusé. Vous vous rappelez de la scène précédente leur arrivée dans ce fameux couloir. La blondinette s’était saisit de la main de l’Epsilon, la serrant contre la sienne. L’étudiant de première année, aimait bien taquiner son adversaire. Il anticipait d’ailleurs une réplique assez percutante de la part de la jeune fille. Si Maya franchissait la porte de cet établissement, elle devait le compter aussi. Il était hors de question qu’il reste si la jeune femme se décidait à partir. Son orgueil d’homme n’allait peut-être pas l’admettre, mais il appréciait grandement la compagnie de l’alpha. Elle n’allait pas se débarrasser aussi facilement de lui. Ce dernier ne manqua pas de lui laisser savoir. La soirée était bien jeune et comme à l’habitude, depuis les deuz dernières semaines, Dominic n’avait rien de prévu. Il était donc libre comme l’air. Plus il passait du temps avec l’alpha et plus elle lui montrait un tout autre côté d’elle. Elle était bien loin de la jeune fille glaciale d’il y avait de cela quelques minutes. C’était donc avec sourire qu’il acceptait les compliments que lui proposait l’alpha.


«Tu sais j’en suis arrivé à une conclusion…Tu obtiens une note respectable de 80% pour avoir réussit dans l’ensemble à me tenir tête…une note de 90% pour ta personnalité que j’apprécie de plus en plus et un 100% pour ce joli sourire que tu possèdes…Bien content de savoir que tu t’es décidé à enfin jeter les armes...Il est temps que l’on quitte cet endroit, pour de bon. Allez suis-moi ! C’est à mon tour de te guider. Je te garanti que tu abandonneras cette idée de rejoindre le club ce soir après ce que je t’aurais fait découvrir.»


Une chose qu’on ne pourra jamais enlever à Dominic, c’était sa confiance. Il parlait avec une telle confiance, une telle assurance qu’il pouvait se permettre de sortir n’importe quelle salade et réussirait à convaincre n’importe qui. Il avait un charme un fou et c’était très difficile de lui résister. Était-ce une invitation?, un date? Dominic savait surprendre les gens, c’était l’un de ses points forts. Bien que parfois détestable de par son attitude, il demeure aux yeux de ses proches, une personne phénoménale. La balle était maintenant dans le camp de l’alpha. Tout ce qu’elle avait à faire c’était de lui prendre la main à nouveau. Elle pourrait découvrir bien plus qu’un riche et prétentieux petit garçon. Qui sait? Voir même percer la muraille du beau brun.
IT'S A DATE !


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MessageSujet: Re: Pleasure and action make the hours seem short♦ Maya J.K. & Dominic C.M. Pleasure and action make the hours seem short♦ Maya J.K. & Dominic C.M. EmptyVen 2 Déc - 17:42

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Pour Maya qui était restée relativement impassible durant le discours de Dominic, elle n’avait décemment pu s’empêcher de laisser un léger rire peupler soudainement l’atmosphère à l’entente de la note qu’il lui avait mise. Ainsi, elle avait semble-t-il eut bon partout, sans réellement s’en rendre compte, et ceci en restant parfaitement naturelle…Ou plutôt en le devenant. Leurs débuts ne laissaient nullement présager le fait qu’ils ne finissent par s’entendre et se prouver qu’ils n’étaient pas si différents, pourtant. Maya elle-même n’aurait jamais imaginé qu’une telle chose soit possible. Elle avait plutôt été dans la peau de celle qui est résolue à ne faire confiance à personne et qui souhaite plus que tout quitter cet effroyable endroit le plus rapidement possible. Le fait que Dominic soit tout à fait prêt à son tour ne pu qu’agrandir le sourire qu’elle lui offrait et qui visiblement avait un effet tout à fait charmant auprès du jeune homme. Ils n’étaient plus réellement adversaires, plus dans la peau d’un dominant et d’un dominé mais plutôt de deux héritiers richissimes ayant trouvé un piédestal où résidaient deux places largement suffisantes pour eux deux. Maya aurait pu s’étendre durant des semaines sur cette béatitude qu’elle ressentait : Elle qui jamais ne trouvait un égal à sa hauteur, avec qui elle pouvait à la fois être naturelle et qui saurait ne pas s’offusquer face à sa folie habituelle, elle était servie. Cette soirée n’était plus un calvaire et s’annonçait plutôt capable de leur réserver bien des surprises…Autant dire qu’elle n’aurait plus être plus surprise et plus ravie !

« Tu m’as notée, sérieusement ? Peut-être qu’avant la fin de soirée je te donnerais mes impressions à moi sur ta personne…Peut-être. Mais en attendant, il est temps de se barrer d’ici ! »

Maya ne savait pas exactement ce que Dominic avait l’intention de lui faire découvrir, mais il n’y avait aucun mal à ce qu’elle ne prenne les devants durant quelques minutes. Les journalistes ne manquaient pas dans tout le bâtiment et contrairement au jeune homme, nul ne connaissait mieux les petits raccourcis que la demoiselle. Elle prit donc sa main sans attendre davantage avant de l’inciter à la suivre tandis qu’elle les conduisait vers un ascenseur de service. C’était dans cette partie souvent inexplorée du musée que se trouvait le parking privé du conservateur ainsi que ses appartements…En l’occurrence, l’endroit intéressant le plus l’ardente demoiselle, c’était le parking. Avec la permission du conservateur en personne, elle avait pu ranger sa voiture de « collection » qui allait leur permettre de sortir du musée sans être vus et de foncer dans les rues de San Francisco sans l’ombre d’un souci à l’horizon. Maya était pleine de surprises, comme quoi…Qui aurait pu deviner qu’elle était en possession d’une vieille Kmaro jaune et noire sur laquelle elle avait elle-même retouché la mécanique ? Les cartes se dévoilaient peu à peu alors que Maya sortait ses clefs de son petit sac à main de soirée : Elle n’avait pas volé cette voiture, et elle lui appartenait étant donné qu’elle en avait la carte grise à son nom. Plus pratique, tu meurs.

« C’est mon bijou…On sortira incognito, comme ça. J’espère que tu n’es pas du genre à cracher tripes et boyaux quand ça va vite, parce qu’avec les améliorations que j’ai fais, elle devrait envoyer du bois ma belle ! »

Bien qu’elle soit en robe de soirée, la surprenante blondinette fit preuve d’une dextérité et d’une souplesse assez impressionnante lorsqu’il fallut monter dans la voiture. Elle n’ouvrit à Dominic qu’ensuite et ne mit pas plus de quelques secondes avant de démarrer, se délectant dès lors d’un ronronnement impeccable de son bijou. Certes, jusque là, c’était Maya qui faisait preuve d’audace et qui faisait découvrir des choses à celui ayant été son adversaire en début de soirée…Mais une petite voix dans son esprit lui disait que les rôles risquaient fort d’être échangés sous peu et contrairement aux apparences, elle ne demandait que ça. Sa petite manœuvre n’avait été faite que pour les faire sortir des alentours du musée sans avoir autre chose à faire qu’un petit signe au gardien afin qu’il ne leur ouvre la grille. Ni vus, ni connus, que ce soit par les autorités présentes ou par les journalistes, on pouvait dire qu’ils s’étaient « évadés » de main de maître.

« Et voilà, c’est ce qu’on appelle la classe ! Après tout, on avait un standing à respecter…On va par où capitaine ? »

C’était tout de même le but de la manœuvre, qu’ils ne s’échappent d’une part, et qu’il ne lui fasse découvrir quelque chose qui lui ôterait toute envie d’aller au club d’autre part. Souvent, Maya avait une fâcheuse tendance à oublier qu’elle était en présence du patron…Mais pour l’instant, elle continuait à longer sans problème cette grande avenue de San Francisco à toute vitesse, n’ayant cure des limitations et cherchant à éprouver le nouveau moteur qu’elle avait mis en place dans son bijou adoré. Un jour, si sa maladie ne la supprimait pas avant, sûrement Maya se tenterait d’elle à faire des courses automobiles…

« C’est marrant, j’aurais jamais crû que tu veuilles finir la soirée avec moi ! Les magnifiques mannequins sans cervelle ne manquaient pas pourtant. Excellent point, tu m’as agréablement surprise ! »

Il n’était plus question de faire preuve de cette politesse qu’elle avait justement mise en lumière jusqu’à lors. Maya était naturelle, sans masque, prête à ENFIN profiter de cette soirée. Tant pis si elle avait tort de lui faire confiance, même si elle devait le regretter, elle profitait d’un instant à la fois mouvementé et fascinant. On ne pouvait pas dire qu’elle en ait eut tellement ces derniers temps, quant à Dominic, il ne devait sûrement pas avoir eu souvent à faire à quelqu’un d’aussi imprévisible et étonnant depuis des lustres. Maya savait ce que c’était. Se sentir dépossédé de sa propre vie et devoir faire des salamalèques à des personnes si fausses que c’en est indécent…Elle n’avait pas envie de supporter cela ce soir. Et rien que pour cela, le jeune homme méritait un vingt sur vingt.
La soirée s’annonçait parfaite, à un détail près : Le fait que la douleur dans sa poitrine ne se soit réveillée à cause de la course folle qu’elle venait de supporter, tout comme sa toux dangereuse recommençant à la titiller. Pour l’instant, les éventuelles traces de sang apportées par ladite toux étaient légères, Dominic ne les avaient sûrement pas remarquées…Mais il fallait que cela reste ainsi. Il ne fallait pas qu’il ait l’impression que Maya soit du genre à brûler la chandelle par les deux bouts parce que justement l’échéance de sa vie était considérablement réduite…Bien que ce soit effectivement le cas.

« Pour ta main, si elle est trop violette face à ma poigne de fer, je te cèderais sûrement un massage si tu as de bons arguments et de solides preuves Sherlock ! »

Côté assurance, la demoiselle en dévoilait une qui n'était pas des moindres, et c'était tout à fait fascinant à observer. Maya n’avait quitté que deux secondes la route des yeux. Juste le temps d’esquisser un sourire à la fois sincère et charmeur, tout en attendant les instructions plus précises de Dominic. Pour sûr, difficile de dire qu’ils ne s’étaient pas bien trouvés tous les deux, à cacher leurs blessures et à utiliser le cynisme comme leur meilleure arme. A ceci près qu’ils savaient être différents, surprenants à leur propre manière. Depuis très longtemps Maya vivait enfin sa première excellente soirée. BLESS THEIR NERVE !
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MessageSujet: Re: Pleasure and action make the hours seem short♦ Maya J.K. & Dominic C.M. Pleasure and action make the hours seem short♦ Maya J.K. & Dominic C.M. EmptyMar 6 Déc - 11:43

Pleasure and action make the hours seem short♦ Maya J.K. & Dominic C.M. Domaya


Ils étaient enfin débarrasser de ce fichu gala, un grand merci à Maya et à sa Camaro. Et bien le riche héritier avait encore énormément de choses à découvrir de la demoiselle avec qui il s’apprêtait à passer la soirée. Cette dernière semblait être une fille débrouillarde, indépendante et surtout agréablement mystérieuse. La blondinette était remplie de surprises, ce qui salivait la bouche de l’Epsilon qui ne demandait mieux qu’une soirée riche en surprises, de toutes sortes. Une chose était sûre, Dominic sortait toujours champion lorsqu’il s’agissait de surprendre les gens. Il n’y avait qu’à penser à sa rencontre avec Esméralda. Aussitôt fait connaissance, aussitôt ils s’envolèrent trente six heures après leur superbe rencontre vers la Grèce. Ce pays qui s’avérait être la terre natale de la présidente des sigmas. Le beau brun a un dossier assez chargé quand il s’agissait du sexe opposé, plus simplement appelé la femme. Il en a croisé de toute sorte, grande, petite, blonde comme brunette, brunette comme rousse. Mais rarement il y en avait des filles comme Maya. Jusqu’à aujourd’hui, il n’avait jamais rencontré une femme, étant capable de s’occuper d’une voiture. C’était une chose que de s’occuper, mais une toute autre chose lorsque venait le temps d’apporter des modifications à cette dernière et renforcer sa performance. La jeune adulte de vingt-deux ans, était un mix d’Aislynn et de Gwendolyn. Sa chevelure blonde, la rapprochait, physiquement parlant de la petite protégée de Dominic. Il était bien trop tôt pour déterminer si elle était l’ange venue du ciel qu’Aislynn était pour Dom. Son joli sourire assez mignon, comparable à Miss Woobleforth, séduisait grandement l’homme aux yeux bleus qui ne pouvait la détester à présent.

« Je lève mon chapeau en ton honneur ! Enchanter de faire la connaissance de ce joli bijou…Je ne savais pas que tu t’y connaissais en mécanique…Je dois avouer je suis surpris de ton impeccable travail accompli sur ce carrosse. Voyons voir maintenant comment tu te comporte au volant de cette beauté…Les sensations fortes ça me connait alors,. Tout ce que j’aime le plus au monde, c’est dépasser mes limites, rendre l’impossible possible. Bring it on girl ! »

Dit-il avec un sourire sûr de lui. Ce dernier s’était lui-même payé le luxe de s’offrir une Porsche 911. À plusieurs reprises, il a su poussé le véhicule au bout de ses limites. La vitesse, les sensations fortes, c’était un peu à quoi se résumait sa vie. Il passa proche à plusieurs reprises de s’enlever la vie. Au volant de sa Ferrari, son premier véhicule acheté depuis son arrivé à Berkeley. Ce dernier se retrouve maintenant dans un état critique. Dominic était le responsable de son état. Il frôla une collision mortelle avec une autre voiture. Ce dernier revenait d’une soirée dansante, sous l’influence de l’alcool. Il réussit à éviter de justesse l’autre bagnole, avant de faire un face à face avec un gigantesque arbre. Il en ressortit indemne de ce fâcheux incident. L’important c’était qu’il soit vivant, en possession de ses moyens afin de faire face au phénomène Maya. Toute sorte de questions concernant la blondinette, traversait l’esprit du beau brun. Si cette dernière était capable de fournir un tel travail sur cette voiture, que serait-elle en mesure d’offrir au corps d’un charmant garçon comme Dominic? Le fait même de penser à tout ça, le faisait sourire. Ils étaient encore bien loin de tout ça, alors là très loin. Ils venaient à peine de faire transition de l’étape de la haine, à l’étape de maintenant faire connaissance. Pour deux personnes qui n’arrivaient pas à se sentir, ils avaient l’air de progresser dans la bonne direction. Maya avait raison, les mannequins ne manquaient guère. Alors pourquoi avait-il choisit de rester avec elle, plutôt que d’user de son charme et de son statut afin de faire fondre le cœur d’une de ses femmes désespérées.

« Que tu le veuilles ou non très chère, je suis un homme très séduisant, puissant et contrairement à ce que peuvent dire les mauvaises langues, un parfait gentleman. Il est donc primordial d’être en compagnie d’une fille non une femme…Une femme mûre, intelligente, indépendante et fière d’être ce qu’elle est sans se soucier de ce que peuvent penser les autres. »

C’était avec immense sincérité, qu’il adressait ces quelques mots à l’alpha. Sans trop le savoir, il s’adressait directement à Maya. L’idée qu’il s’était fait de la femme idéale, décrivait la femme avec qui il s’apprêtait à passer un merveilleux temps. Cette même qui avait mis en œuvre, un plan infaillible en ce qui concerne sortir de cet endroit dans la plus grande discrétion. Le plan de Maya, de leur faire sortir incognito, marchait à merveille. Le gardien obéit sans discuter au signal que venait de lui donner la jeune femme. C’était tellement fascinant la voir à l’œuvre, la blondinette montait à une vitesse remarquable dans l’estime de Dominic. Tout au fond de lui, il savait qu’ils allaient s’entendre à merveille. C’était donc la deuxième fois en moins d’une heure, que cette idée lui passait par la tête. Cela faisait à peu près trente huit heures que Dominic n’avait pas ressentit une telle sensation. Trente huit heures, oui c’était effectivement la dernière fois que le beau brun s’était livré à une telle atmosphère. Cette fois-ci, il n’était pas le pilote. La blondinette, assise à ses côtés s’était emparé du volant, qu’elle maîtrisait parfaitement. Dominic posa son regard sur elle. Cette dernière était tellement concentrée sur la route, qu’elle ne remarqua pas que le jeune homme la regardait. Elle ne semblait pas être dérangé, ni impressionné par l’incroyable vitesse, l’incroyable puissance que dégageait le moteur de sa Camaro.

« Humm…comme argument premier et bien je me sers de mes douces mains pour, permettez-moi l’expression ‘’Mouiller les culottes des jeunes demoiselles ‘’. Je ne peux que blâmer mes douces caresses, et mes massages de corps plus que légendaire. Sans oublier l’usage de mon instrument de musique préférée, mon piano. »

C’était le seul instrument de musique qu’était capable de jouer Dominic. Il tenait ce talent de son grand-père, qui s’avérait être un incroyable pianiste, un musicien légendaire. C’était donc en son honneur qu’avait décidé l’étudiant de première année de suivre des cours. Sage décision de sa part, il en était ressortit avec un excellent talent. Le musée de Berkeley était désormais loin derrière Dom et Maya. Le quartier dans lequel il venait de faire leur entrée, semblait familier aux yeux de Dominic. Les gigantesques villas, faisait la beauté de ce quartier. D’ailleurs il en reconnut l’une d’entre elles. Dominic n’avait pas que des amis dans cette ville. Ce dernier avait eu quelques différents avec quelques habitants de Berkeley. Il avait toujours eu en tête de leur faire payer, il n’en a jamais eu l’occasion par contre. Ce soir était une occasion pour lui de le faire. C’était aussi une occasion pour Dom de briller devant Maya, une jeune femme n’attendant avec impatience que d’être éblouit que par son caractère impulsif et ses actions imprévisibles. Ils arrivèrent donc en face de cette fameuse maison.

« Allez arrête toi ici s’il te plaît ! Voyons voir si tu pourras survivre une soirée avec un homme comme moi. Tu vois cette maison? C’est la maison de mon oncle. Le challenge que j’ai pour toi est simple. Avec tes vêtements, sauter dans cette gigantesque piscine à l’arrière de la baraque. Partante? »

Dit-il pointant du doigt la maison. Maya d’un coup de pied, freina la voiture, en marche depuis maintenant plusieurs minutes. Dominic ne disait pas la vérité et c’était bien ça l’objectif. Cette maison n’appartenait pas à son oncle. Il ne connaissait même pas le coin. Il avait choisi d’inventer cette histoire. Le plan était qu’ils se baignent avec leurs vêtements dans cette piscine, qui avec comme propriétaire, un parfait inconnu. Il n’y avait pas de lumière, possiblement qu’ils étaient sortis ou même qu’ils dormaient. L’option numéro 1 demeurait la plus logique, si on se fiait à l’heure qu’affichait la montre de Dominic. Les dés étaient maintenant lancés, la balle était maintenant dans le camp de Maya.
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