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Touché - Coulé! | Heaven

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MessageSujet: Touché - Coulé! | Heaven Touché - Coulé! | Heaven EmptyMar 1 Nov - 0:56

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Non! Non! Non! Elle ne pouvait pas croire qu’on pouvait en arriver à faire ça. Quoi ça ? Se venger de quelqu’un en lui détruisant sa vie sans même savoir dans quelle situation la personne est ! Arizona n’en revenait pas ! Elle avait longtemps cherché qui avait pu la dénoncer pour sa mini aventure d’un soir avec Trent et pour sa mini aventure avec Danny qui avait vite viré au naufrage le jeune homme ayant trop peur de la limite qu’il y avait entre eux elle étant professeur et lui n’étant qu’un petit étudiant. Bref, ce n’était rien, ces histoires n’avaient pas mal tournées, elles n’avaient pas influencé les résultats des deux jeunes hommes et surtout ils avaient ce qu’ils avaient à faire en connaissance de cause. Oui mais voilà, la peste qui avait voulu se venger, car oui la jeune australienne savait maintenant qui avait voulu se venger l’avait dénoncé elle et rien qu’elle. Elle ne savait pas pourquoi elle n’avait pas voulu faire plonger les deux jeunes hommes mais elle avait réussi son coup, le directeur qui au moindre doute virait les gens avait fait cela avec Arizona. Même sans savoir avec qui elle avait eu une aventure il ne voulait plus d’elle dans son équipe d’enseignement et le barreau ne voulait plus d’elle pour défendre ses accusés ou ses victimes la voyant comme trop salissante. Au final, uniquement parce qu’une petite garce avait mal pris une réflexion qu’elle lui avait faite pendant son cours surement, elle se retrouvait sans rien, sans travail, sans aucun moyen de se retourner à par recommencer ses études en partant de zéro. Heureusement, la miss Spencer n’était pas à dépenser sans compter elle avait donc des économies pour se voir venir pour plusieurs mois mais cela rimait à ce que pendant plusieurs mois elle ne puisse pas faire d’extra, à se priver et elle détestait bien cela. Alors après on pouvait dire qu’elle n’était pas à plaindre car la chambre des avocats lui avait donné de l’argent pour qu’elle quitte le métier sans qu’ils lui enlèvent son droit d’exercer mais cet argent elle n’en voulait pas, enfin elle y toucherait qu’en cas d’extrême nécessité car il revenait pour elle à de l’argent sale. Bref, elle n’avait plus rien, sa cousine, la dernière personne proche de sa famille était partie dans un accident de voiture il y a peu de temps et maintenant elle avait perdu ses deux emplois, pas un seul mais bien les deux ! Pendant quelques jours, elle n’avait pas su sur qui rejeter la faute, sur qui elle devait se défouler car oui maintenant elle pouvait ne pas se gêner pour se venger sur la personne qui avait fait ça, après tout elle n’était plus professeur elle n’avait plus à donner le bon exemple. De fil en aiguille, Arizona avait donc compris que Heaven, cette petite peste qu’elle avait recadré en cours était la responsable d’une partie de son malheur, de fil en aiguille elle avait réussi à savoir où elle habitait et tout ce qu’il y avait à savoir pour se rendre chez elle. Elle avait appris tout cela aujourd’hui, ce matin plus précisément par des amis qui s’étaient renseignés pour elle connaissant des personnes qu’elle fréquentait. Elle avait passé toute la journée à ruminer, à se demander si elle allait la voir ou non, ce qu’elle allait lui dire, si elle devait lui remettre les pendules à l’heure devant tout le monde ou chez elle… Une tonne de questions qui n’avait trouvé pour seule réponse que le fait qu’elle irait chez elle ce soir dès que les cours de la jolie blonde serait terminée et dès qu’elle serait sûre que la miss brune soit chez elle, oui elle ne voulait pas faire le déplacement pour rien, pour tomber sur une porte clause qui lui mettrait encore plus les nerfs qu’elle ne les avait déjà. A dix huit heures et trente minutes précisément la jeune australienne avait quitté son appartement pour se rendre chez la brune. Elle était sûre qu’elle y était car elle finissait à dix huit heures et au pire si elle n’y était pas elle l’attendrait sur le palier pour lui faire un accueil digne de ce nom. Très vite elle avait trouvé l’immeuble qu’elle habitait grâce aux indications qu’on lui avait donné. Arrivée en bas, elle avait magouillé légèrement faisant croire à quelqu’un qu’elle avait oublié ses clés pour qu’elle lui ouvre la porte qui avait un interphone puis elle avait gravi les marches jusqu’à l’étage où habitait la brunette. Impatiente de prendre sa revanche sur elle, enfin pour le moment de lui passer un gros savon, elle ne se fit pas attendre et sonna de manière intempestive chez la jeune femme. Des pas se firent entendre derrière la porte avant que la clé ne tourne dans celle-ci et que les deux jeunes femmes se fassent face. En la voyant, le visage de Heaven qui ne devait pas s’attendre à avoir de la visite et encore moins la sienne perdit de suite son sourire. Arizona elle n’afficha même pas un sourire sur son visage mais plutôt un regard de dégout car oui cette petite allumeuse la dégoutait tout simplement, elle n’arrivait pas à réussir par elle-même alors elle gâchait la réussite des autres c’était tout ce que l’ancienne professeur en retenait, après réflexion, elle ne valait même pas la peine qu’on se déplace jusqu’à chez elle pour venir lui crier dessus, enfin ça servait tout de même bien à l’australienne pour calmer ses nerfs qui faisait des bons depuis qu’elle avait appris son nom. Sur un ton froid, la blonde qui n’aimait pas le silence et qui n’avait pas été accueillit par une parole qu’elle soit sympathique ou non de la jeune brune commença la conversation, si on pouvait appeler ce qui allait suivre une conversation… « Je ne présente pas tu sais très bien qui je suis, je me trompe ? » Arizona était à l’origine une jeune femme très gentille mais il ne fallait pas l’énerver et comme on dit souvent il valait mieux l’avoir dans ses amis que dans ses ennemis. Oui car la demoiselle n’aime pas qu’on se foute d’elle, n’aime pas qu’on s’attaque aux gens et surtout à elle ou à ses proches gratuitement et c’était exactement ce qu’avait fait la demoiselle. Elle n’avait plus qu’à bien se tenir et avoir de bons tympans pour qu’ils n’explosent pas sous l’intensité des cris que la blondinette allait pas tarder de sortir de sa bouche car oui ça n’allait plus tarder, elle se retenait et elle sentait que la moutarde commençait de plus en plus à lui piquer au nez.


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MessageSujet: Re: Touché - Coulé! | Heaven Touché - Coulé! | Heaven EmptyVen 18 Nov - 20:12



go on and try to tear me down .


    Agréablement endormis sur mon lit, je ne fis aucun mouvement quand la douce mélodie de mon réveille emplis ma chambre. Aucun muscle de mon corps voulait obéir à mon cerveau et puis ce dernier c’était mis hors service depuis toute la nuit et n’avait toujours pas changé de statut pour l’instant. Et même si mon et mon esprit demandait grâce pour encore passer des heures au lit, il fallait bien qu’un moment a l’autre que j’aille en cours. Mais a mon avis, je crois qu’aujourd’hui je méritais un peu de faire l’école buissonnière. Depuis qu’on avait repris les cours il n’y qu’à peine 2 mois, j’accumulais les heures d’insomnie sur le coup du stress et surtout l’effet de l’alcool lors des soirées bien arroser. Je m’étais imposer l’idée de calmer un peu le jeu durant un temps et d’arrêter de boire comme un trou , mais tel un toxicomane qui n’a pas la force et l’envie de ne plus consommer de la drogue , je recommence et recommence sans vraiment croire que j’arriverais un jour a m’ôter de mon crâne cette mauvaise habitude de ma part. Et un jour ou l’autre cela me retomberas dessus et qui dit je m’en sortirais aussi bien que j’en ai l’habitude. Je savais bien qu’un beau jour je retrouverais mon visage sur l’un de ses vieux torchons dont tous le monde aime bien lire pour connaitre les dernier potin sur leur célébrité préféré et que les conséquences seront aussi grave pour la réputation de la compagnie de mon père que pour mon cas. Mon père m’avait bien faire comprendre de me tenir a carreaux et de ne pas faire des idioties qui pourrais compromettre dans sa compagnie. Mais cela m’était si difficile d’abandonner les soirées mondaines. J’étais devenue une vraie accros et il m’est presque impossible d’en rater une. Mais à chaque fois je me retrouve dans ma chambre et je ne sais comment je suis arrivé là. Et a chaque fois les remords refond surface et me démoralise. J’avais l’impression de faire parti de ses gens qui frôle la dépression pour de simple broutille qui pour eux est un gros problème de stress. Et c’était mon cas aussi, j’avais même perdu un peu de poids au fait que je rongeais les ongles essayant de me remémorer mes dernières soirée si je n’avais pas fait quoi se soit de dingue qui aurait pu aiguiller ses mouches paparazzi qui m’aurait prise sur le fait. Plusieurs pensées bousculèrent mon esprit me rendais plus angoissée que je ne l’étais déjà. Et ce fut a ce moment que la mélodie se termina et fut remplacer par Requiem On water par Imperial Mammoth. Je me concentrais sur les paroles ne voulant ne plus pensée à rien. Je n’avais aucunement l’envie de sortir de mon lit pour prendre ma voiture et aller en cours. Mon instinct me disait bien que je sois en cours ou chez moi, quelque chose allais se passer ce qui augmenta mon inquiétude. Je laissais poussé un long soupire et me crispa quand je mis assis sur mon lit. J’avais les muscle endoloris et ça me faisait un mal de chien. Je déposais doucement mes pieds au sol, sur le carrelage froid du bois sombre du plancher. Je traînais des pieds jusqu'à la salle de bain et pris au passage mon peignoir en soie noir. Je m’assis sur le rebord de la baignoire et tourna les robinets. L’eau se propagea tranquillement dans le bain, durant se temps je retourne dans ma chambre et changea la musique pour une autre. Je refis le chemin entre ma salle de bain et ma chambre. Je regardais le bain qui était remplis presqu’a rat bord. Je ferme les robinets, enleva ma robe de chambre et ma nuisette et plongea mon corps entier dans le bain. Je mis ma tête sous l’eau y restant jusqu'à n’en plus pouvoir. Après une fraction de seconde je sortis ma tête hors de l’eau et pris une gorger d’air.

    Après avoir passé presque une heure dans le bain en remettant un peu les idées en place, j’en sortis et enroula mon corps dans une serviette. Je vide le bain avant de retourner dans ma chambre et rendu là, je fouillais dans mes armoires à la recherche de vêtement plus confortable. Je retrouvais un vieux t-shirt du groupe pink floyd qui datait depuis longtemps. Je me rappelais que je n’avais pas pu m’en séparée lorsque j’avais fait le ménage de mes effets. Il me remémorait le bon temps de mon adolescence, où dans cette période que ma vie me semblait plus facile qu’aujourd’hui. Si cela m’aurait été possible, je refaire le tour en arrière et resterais toute ma vie cette jeune fille insouciante et naïve que j’étais. Mais on ne pouvait pas obtenir tout se qu’on voulait, même moi la petite fille a son papa qui en avait plein les poches, ne pouvait pas tout avoir dans la vie. Ne voulant pas broyer encore du noir je pris un autre chandail à manche longue et celui-ci était du groupe kiss. Je rangeais l’autre de pink floyd que je tenais toujours en mains et ferma mon tiroir. J’accompagnais le chandail avec un vieux jean troué et une paire de converse noirs. Après mettre attaché mes cheveux en une haute que de cheval, je descendis au rez-chaussé et rentra dans la cuisine a la recherche de quoi me mettre sous la dent. Je pris la pomme qui était dans le pot fruit et croquas dedans, je mâchais lentement tout en me dirigeant vers le salon. Je m’assis sur l’un des sofas et alluma la télévision sans vraiment y porter attention. Dorota, ma gouvernante passa près de moi et me donna un bisou sur le haut du crâne avant de repartir vaquer à ses occupations. Dorota était la seule personne au monde a qui je me confiance, cette femme d’une cinquantaine d’année avait veillé sur moi durant ma tendre enfance et encore aujourd’hui elle était là avec moi dans cette grande villa. Je n’avais pas pu y habiter toute seule, ayant trop peur qu’un voleur prend l’occasion de vandaliser la villa connaissant très bien que j’étais la seule qui y habitais et que je ne serais pas capable de l’affronter, chose normal avec le peu de muscle que je disposais. Bref, j’avais supplié ma gouvernante pour qu’elle vienne habiter avec moi et la réponse qui bien sûre fut positive, elle non plus n’était pas prête à me laisser tomber.

    Durant toute la journée je n’avais pas bouger de mon siège, je n’avais trouvé rien de mieux à faire que de regarder de vieux émissions comme friends qui était l’une de mes préféré. J’adorais surtout rire des imbécilités que Joe disait, surtout dans l’épisode où il essayait d’apprendre le français, j’avais rie aux larmes quand Joe essayait de parler français, mais il disait toujours n’importe quoi se qui mit en pétard Phoebe qui en avait plus que marre que Joe ne soit pas capable de bien parler la langue. Je fus interrompu, par une personne, quoi qu’un peu grossière qui s’acharnait sur la pauvre sonnette. Je me levais du sofa et faisant signe en même temps a Dorota que j’allais répondre. J’ouvris la porte et fut accueillis pas un regard noir en me disant intérieurement que j’étais bien contente que les regards ne tuent pas sinon je serais morte depuis des lustres. Je ne fus pas vraiment surpris par la visite de mon professeur, enfin mon ancien professeur puisqu’au visage qu’elle affichait, il était bien clair qu’Arizona est été virer. « Je ne présente pas tu sais très bien qui je suis, je me trompe ? » Je roulais des yeux déjà écœuré de sa présence. Voulant finir le plus tôt possible avec tout sa, je renfermais la porte derrière moi et pris appui contre celui-ci. En temps normal, j’aurais fait ma gentille fille bien éduquer et l’aurais invité à rentrer, mais je ne voulais pas de ce déchet ambulant chez moi, s’il elle voulait me dire quelque chose, elle fera ici devant et non a l’intérieur. « Avant tout chose , s'il te prend l'envie de m'en coller une , il y a des caméras tout autour de toi , je crois qu'un casier judiciaire n'est chose que tu voudrait » je voyais bien que ça ne prendras pas de temps avant qu’elle m’engueule et m’insulte de tout les noms ,mais ça ne changera a rien a sa situation et puis je n’était pas la seule fautive dans cette histoire , Arizona devait bien connaitre le règlement de l’école qui stipulais que les relations professeur-élèves n’est pas admis dans l’établissement. Pour ma part je l’ai juste remis à sa place.




starship ranger becky , @ atf


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MessageSujet: Re: Touché - Coulé! | Heaven Touché - Coulé! | Heaven EmptyJeu 8 Déc - 18:55

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Arizona ne savait pas contrôler ses nerfs, sûrement quelque chose qu'elle tenait de son père qui ne savait pas le faire non plus ce qui occasionnait sur son corps de nombreux hématomes. Mais pour le moment là n'était pas le problème, elle devait régler son compte à cette petite peste qui venait de lui gâcher la vie pour lui montrer qu'elle ne pouvait pas interagir dans sa vie comme elle le voulait et sans qu'elle ne riposte. La jolie blonde avait une tête d'ange mais un caractère de feu, elle pouvait être une véritable diablesse il fallait bien l'avouer. A l'heure actuelle elle se trouvait sur le palier de la porte de celle qu'elle avait envie de passer par dessus le balcon pour ne plus jamais la revoir, mais ça elle ne pouvait pas le dire, et elle attendait qu'elle vienne lui ouvrir. L'attente était fort longue et ses mains devenaient de plus en plus moites d'impatience mais aussi à cause des nerfs. Son cœur se mit à battre un peu plus fort, ayant sûrement peur de sa réaction lorsqu'elle verrait la tête de la jeune femme apparaître en face d'elle, lorsqu'elle entendit la porte s'ouvrir. Cependant, à sa grande surprise elle fut soulagée lorsqu'elle vit apparaître la demoiselle ce qui était plutôt marrant, mais bon il ne fallait pas croire que ses nerfs étaient retombés bien au contraire, ils étaient encore plus irrités. Arizona ne laisse pas le temps à la brunette de dire le moindre mot qu'elle l'a prévint directement, elle voulait poser le ton, lui montrer de quel bois elle se chauffait car on ne se frottait pas à une Spencer sans en subir les conséquences. La miss Spencer lui demanda donc si elle avait vraiment besoin de se présenter même si elle connaissait bien la réponse et la jeune femme en face d'elle lui fit une réplique qui la scotcha. Elle la prenait vraiment pour une idiote. Pensait elle vraiment qu'elle pourrait risquer de se pénaliser encore plus qu'elle ne l'était déjà pour une petite peste comme elle ? Elle pouvait toujours rêver cela fit donc rire à Arizona, un rire d'ironie bien sur car elle la trouvait vraiment ridicule, ce qu'elle ne manqua pas de lui faire remarquer, oui toutes perches étaient bonnes à prendre pour lui en envoyer plein la tête ce qu'elle était clairement venu faire en venant la trouver chez elle. « Tu sais que tu es encore plus idiote que je le pensais ? » Le sourire toujours aux lèvres Arizona ne se démontait, elle continua donc sur sa lancée. « Oui parce que t'es vraiment idiote là ! Si tu as été assez bête toi pour bousiller la vie d'une personne en faisant de fausses déclarations je ne suis pas assez débile pour te frapper. Et puis laisse moi rire mais voilà quoi j'habite un immeuble semblable au tien je sais qu'il n'y a pas de caméra donc bon c'est moyen quand même comme défense... Enfin ça me fait tout de même rire si tu dis cela c'est que tu veux m'intimider pour que je te fasse moins peur. » Elle se faisait peut être des films mais une chose était sure même si la brunette était assez sure d'elle, elle ne faisait pas la fière en face de l'ancienne professeur. « bon au final, je ne veux pas te taper dessus même si c'est pas l'envie qui m'en manque, je veux juste savoir pourquoi tu a fait ca ? Comment on peut être aussi con pour avoir l'idée de gâcher la vie d'une personne, car oui tu ne connais pas ce que j'ai vécu avant tu ne sais pas tout ce que j'ai dû enduré pour en arriver jusque là alors tu es vraiment une courge sans cœur ! » Arizona en avait chier dans la vie il fallait bien le dire comme cela et ses études avaient été la seule chose à laquelle elle s'était accrochée pendant tout ce temps alors elle devait bien l'avouer, ce que Heaven avait fait la touchait vraiment. Tout d'abord car c'était une partie importante de sa vie et de son rêve qui s'envolait mais aussi car elle ne savait pas comment on pouvait tomber aussi bas, se sentir aussi mal dans sa peau ou avoir un si grand problème avec soi qu'on en arrive à s'en prendre aux autres ! Enfin elle aurait sûrement la réponse plus vite qu'elle pouvait le pensait, encore fallait il que la brunette se décide à parler, mais bon, dans le cas présent elle n'avait pas vraiment le choix, Arizona ne partirait pas de là et ne la laisserait pas refermer la porte tant qu'elle n'aurait pas eu une explication claire, nette et précise. Grande impatiente de nature, Arizona qui avait du finir de parler il y a à peine une minute ne put s'empêcher de lui demander : « Tu vas te décider à parler et à m'expliquer ce qui t'as pris oui ou non ? Parce que ça serait dommage qu'en plus d'avoir une réputation de peste qui gâche la vie des gens qui ne le méritent pas tu aies une réputation de lâche... même si tu es vraiment une lâche même si tu me réponds puisque tu n'as pas su faire les choses face à moi mais que tu les as bien faites dans mon dos ! »

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