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un plus un est égal à trois, voyons on sait tous ça • MALLEN&IDYLLE

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MessageSujet: un plus un est égal à trois, voyons on sait tous ça • MALLEN&IDYLLE un plus un est égal à trois, voyons on sait tous ça • MALLEN&IDYLLE EmptyLun 29 Aoû - 23:39




Les vacances touchaient à leur fin. Ce n’est pas parce qu’on ne part pas quelque part qu’on ne peut pas s’amuser. Demander à Callen. Il avait passé ses vacances à travailler, à faire la fête, et c’était surement les meilleures vacances qu’il a pu passer. Se dire qu’à la fin, il y avait de l’argent à avoir, et qu’on en a profiter à fond, c’était tout bonnement génial. Il avait passé ses soirées à faire la fête, que ce soit seul ou avec des amis. On peut dire qu’il en a fait des rencontres. Et tout cela en restant à San Francisco. On était dimanche soir, et on lui avait proposé de sortir. Une fille qu’il avait rencontrée sur son lieu de travail. Une cliente. Il a tout de suite vu qu’elle avait flashé sur lui, pour ne pas changer. Mais lorsqu’elle l’invita avec son copain, ses espoirs disparurent. Ouais, bon ok, il n’était pas contre pour sortir entre amis, mais il ne voulait pas non plus tenir la chandelle. C’est vrai qu’au début il hésita, mais lorsqu’elle lui promit qu’ils allaient passé une excellente soirée, il finit par accepter. Si elle le disait, il la croyait. Seulement, il avait oublié qu’il travaillait ce soir. Il leur proposa alors de venir à la boite où il travaillait comme barman. Ils resteraient jusqu’à la fin de son service, où il se faisait relayer vers les deux heures du matin. Il pourra ainsi profiter de sa soirée avec eux. Mais rien ne se passa comme il l’avait imaginé. La jeune femme l’embrassa alors que son copain était partit leur chercher une boisson à chacun. Non mais c’est quoi cette merde ? Il n’osa pas la repousser, ne voulant pas tout gâcher de cette soirée. C’était passager. Elle était ici avec son copain. Mais lorsqu’il revint, ce fut au tour du jeune homme de l’embrasser. Là, on peut bien dire que Callen était sous le choc. A quoi jouaient-ils ? Il se sentait comme un jouet. Il n’osait pas les repousser, mais n’en était-il pas obligé ? Il essaya de leur parler, de leur demander ce qu’ils voulaient. C’est là qu’ils lui dirent un truc dans le genre « On a envie de pimenter notre couple, alors on s’est dit qu’un plan à trois ne peut pas faire de mal. Puis tu nous plais à tous les deux. » Sa réaction première fut de rire, et ensuite il but son verre de vodka. Ouais, ils devaient être en train de se foutre de sa gueule, ou pas. Il sentit une main sur ses fesses, il s’agissait de la main du petit copain qui s’était mit à côté de lui. Alors que la jeune femme s’avança vers lui, pour passer ses mains autour de son cou et l’embrassa. Il sentit la main passer sous son pantalon. Non, stop ! Pourtant, il se laissait faire. Il ne bougeait pas. Il était pétrifié. Pourquoi ces merdes là n’arrivent qu’à lui ? Alors qu’il se faisait toujours embrasser, il sentit des lèvres dans son cou, des baisers. Ah non ! Encore s’il s’agissait seulement de la fille, il aurait pu dire oui, et encore, mais là avec le mec, pas possible. Ca ne l’excitait pas. Ca l’effrayait plutôt. Cet homme, non, il ne voulait pas qu’il l’embrasse plus. D’un seul coup, après tout de même deux minutes de baisers, et de touchers, il retira la main du mec de son froc, et se retira. Sans rien dire. Mais pour qui l’avaient-ils prit ? Il n’est pas un mec qu’on utilise juste pour pimenter une relation. Et puis merde quoi. Il n’est pas un mec à homme. Il ne couche pas avec les mecs, à part Maxence. Voilà à qui il pensait maintenant. Il avait tenté de l’imaginer lui lorsque le mec l’avait touché et embrasser dans le cou, mais c’était loin de l’exciter. Non, ça l’avait juste dégouté. Il sortit tout de suite de la boite et rentra. Tout ceci n’était qu’un putin de cauchemar. Personne ne serait au courant. C’est ce qu’il pensait, tiens donc.

Il avait passé la fin de sa soirée tout seul, dans sa chambre de confrérie. Attendez, il avait tellement honte qu’il avait hâte que les cours reprennent pour oublier cet incident. Il espérait ne plus revoir cette folle. Pourtant, il avait peur de la revoir au magasin. Il l’imaginait revenir pour s’excuser. Fous les où j’pense tes putins d’excuses. Il eut du mal à se lever le lendemain matin. Pourtant il s’était couché assez tôt. Il ne voulait tout simplement pas aller travailler. Sur le trajet, il envoya un petit sms à son ami Maxence, lui demandant de ses nouvelles, mais en finissant aussi par lui dire qu’il voulait de lui, de son corps. Qu’il avait tout simplement envie de baiser avec lui. Depuis leur première soirée ensemble, ils avaient remis ça. De vrais amants. Il n’eut pas de réponses durant toute la matinée. Ce n’était pas normal, pas du tout. Durant sa pause de midi, il tenta alors de l’appeler, mais en vain, aucune réponses. Décidemment, ce n’était vraiment pas bon signe. Il ne comprenait pas. Pourquoi ne pas lui répondre juste après cette soirée… oh mon dieu. Et s’il était présent ? Non pas possible ! Et puis après tout, ils ne sont qu’amants, ils ont le droit d’aller voir qui ils veulent. Peu importe, il n’avait rien fait avec ces fous. Mais si Maxou était partit avant de le voir dégager ? Non, vraiment, pas possible. Alors pourquoi ne lui répondait-il pas ? Pendant toute la fin de sa journée, il se sentit mal. Complètement déprimé, il rentra dans sa chambre, ne voulant même pas sortir. Il traina dans sa salle de bain, à poil, et prit une douche où il y resta une bonne heure, à se brûler la peau à cause de la température de l’eau. Il s’en foutait. Maxence ne lui répondait pas. Voilà ce qu’il avait à l’esprit. Lui en voulait-il pour quelque chose ? Il avait les idées noires. Il n’avait envie de rien. Il se mit un boxer, et resta comme ça, sur son lit. Il était sur le point de s’endormir lorsqu’il entendit quelqu’un entrer dans sa chambre, avant même de voir qui était la personne, il gueula « Putin, mais cassez-vous bande de co… » Lorsqu’il vit la personne, il se calma tout de suite, et se leva « Max… » Alors comme ça il ne lui répond pas, mais il ose débarquer comme ça dans sa chambre. Il était surpris, mais Maxence semblait l’être aussi. Euh… tu m’expliques là ? Tu as l’air surpris de voir Maxence ici, pourtant c’est sa chambre non ? Cal voulait lui demander pourquoi il ne lui a pas répondu. Il en avait tellement envie. Mais il avait tout envie de l’embrasser aussi. Ce fut son ami qui le fit avant lui. Même pas un « bonsoir » ou autre. Aucuns mots. Ils étaient déjà sur le point de baiser une nouvelle fois ensemble. Pour ne pas déplaire à Cal. Le russe déshabilla son ami qui lui n’avait besoin de ne lui enlever que son boxer qu’il venait de mettre. L’excitation était déjà là, du côté de Callen. Peut-être le fait de se dire qu’il n’avait pas perdu son ami comme il l’avait imaginé durant toute la journée. Comme ils savaient si bien le faire, ils s’excitèrent mutuellement jusqu’à Maxence se retrouve en Callen. Le Delta à quatre pattes, près du lit. Maxence lui en voulait. Cal le ressentait dans les gestes de son partenaire. Aucune pitié. Cela faisait longtemps que Maxou ne l’avait pas baisé comme un rien que moins. Certes, ça excitait notre russe, mais en même temps ça le foutait mal. Il aurait voulu l’arrêter, lui parler, mais il n’y arrivait pas. Maxence semblait se déchainer sur lui. Le Gamma le prit par les cheveux et lui fit relever la tête, il semblait vouloir l’entendre crier de douleur. Cal voulait lui dire d’arrêter, mais cela serait s’abaisser à son niveau. Pourtant, il y eut cet instant de trop. Il ne put s’en empêcher. « Putin Maxence, arrêtes ça, tu me fais mal… Stoooooooop, je t’en supplie.»Comme une réponse à ses désirs, une autre personne entra dans sa chambre. Mais c’est quoi là ? Qu’est ce qu’ils ont tous à entrer ici comme dans un moulin ? Pourtant, Callen pouvait remercier cette personne. Maxence se stoppa, il en profita donc pour le pousser. Oui, là il avait peur de Maxence. Il avait surtout mal au cul, à vrai dire. Mais qui était cette fille ? Il ne la connaissait pas, et pourtant elle semblait connaitre Maxence. Il avait honte. Elle les avait vus. Putin, mais c’est quoi cette merde encore ? La veille il avait dit non pour un plan à trois, et voilà qu’ils se retrouvaient de nouveau à trois. Deux mecs à poil, devant une fille. Callen ne voulait pas savoir la suite. Il voulait les foutre dehors, mais aucun son ne sortir de sa bouche. A partir de maintenant, c’est certain, il n’allait plus montrer autorité devant Maxence.
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MessageSujet: Re: un plus un est égal à trois, voyons on sait tous ça • MALLEN&IDYLLE un plus un est égal à trois, voyons on sait tous ça • MALLEN&IDYLLE EmptyMar 30 Aoû - 0:02

L'AMOUR AVEC UN GRAND TAS.


La fin des vacances d’été approchait vite, trop vite. Comme l’année précédente, je n’étais pas sortie de San Francisco. En cours d’année, je travaillais seulement le week-end alors, je profitais chaque année de ces vacances pour gagner un max de thunes. La boîte était blindée durant tout l’été, je ne pouvais pas me défiler, pas pendant cette période. Le boss avait besoin de moi et j’avais besoin du boss. Les nuits semblaient plus longues qu’à l’accoutumer, plus intenses surtout. A croire que les jeunes attendaient ces deux mois toute l’année pour se mettre à l’envers chaque nuit. Tous les soirs, j’assistais au même spectacle, aux mêmes orgies lugubres, aux mêmes connards piqués à l’hero, aux mêmes salopes qui finissaient en appui sur la cuvette des toilettes. C’était mon travail, je l’avais choisi et je l’aimais, mais il fallait l’avouer.. Si pour vous, la nuit tous les chats sont gris, pour nous toutes les lèvres sont blanches. Inutile de vous préciser que j’appréciais donc mes nuits de repos à leurs justes valeurs, comme ce soir. J’allais enfin avoir droit à une soirée normale, sans cris, sans videur interpellé, sans avoir le cerveau éclaté par la musique et les balbutiements des types ivres morts en me réveillant demain matin. L’extase.

« Maxence tu m’emmerde avec ta messagerie. J’suis en repos ce soir alors amènes toi ou dis moi où t’es, rien à foutre mais décroches ton putain de téléphone. » Cet enfoiré n’était apparemment pas décidé à me répondre. D’ordinaire, on ne se voyait pas plusieurs fois par jour, c’était la règle. Notre règle. Si on prenait en compte le fait que j’avais trois jours de repos dans l’année, ça faisait de ce soir l’exception qui confirmait la règle. Je filai à la salle de bain après avoir soigneusement remit mon black.b à sa place ; dans mon soutien-gorge. Quel con.

Six hours earlier.

Quel con. J’éteignis mon portable avant que Maxence ne sorte de la douche pour lui éviter une crise d’épilepsie en découvrant le texto de mon amant de la veille que je venais de recevoir. Non, Max et moi n’étions pas un couple et pas vraiment des amis non plus. Entre nous, c’était plutôt une amitié améliorée. Une relation avec tous ses avantages et excluant tous ces inconvénients. Pas de jalousie –normalement-, pas de comptes à rendre, pas de mots d’amour, pas de soirées télés ennuyeuses, pas de courses à deux, pas de ciné, pas de resto, pas de sortie entre couples. Simplement et uniquement du sexe et quel sexe ! Si on avait choisi d’entretenir cette liaison c’était bien évidemment parce qu’on prenait notre pied. A tous les coups et Dieu sait qu’ils étaient nombreux. En reposant mon portable sur la table de chevet je remarquai que cet abruti de McKee y avait laissé le sien. Fouiller dans nos portable respectifs faisait bien évidemment partie des interdictions qu’on s’était fixés. Trente-deux messages de Callen. Callen ? C’est qui celui-là ? Peu importe, je m’intéressais surtout aux textos envoyés par des nanas, sa messagerie en était pleine. Agacée, je remis son téléphone en place en prenant le temps de transférer le numéro de Callen dans ma liste de contacts. Ca pouvait toujours servir. L’eau ne coulait plus. Je me glissais de nouveau sous les draps en laissant intentionnellement une de mes cuises découverte. Ses yeux acquiescèrent mon idée. Il s’avança près du lit et mes mains se chargèrent d’enlever la serviette qu’il venait d’enrouler autour de sa taille. Mon regard glissa sur son corps exquis. Mes doigts couraient sur son ventre, puis sur ses cuisses. Je plantai mes yeux dans les siens et lui offrit le sourire en coin qui l’excitait tant. « On recommence ? »

Now.

Après avoir enfilé ma robe fétiche de dentelles blanches, j’étais prête à trouver Maxence, peu importe où il avait eu l’abrutie d’idée de se planquer. Je le voulais, là, maintenant, n’importe où et n’importe comment. Après tout, il était peut-être avec ce Callen. Il était hors de question que j’appelle moi-même ce type et pour ça, j’avais la solution idéale. Nasty. Nasty raffolait des ragots et elle connaissait tout le monde, même indirectement. « Nasty ? C’est Idylle. Tu dormais ? Non, t’inquiètes pas c’est pas en rapport avec tout ça. Je voulais juste te demander un p’tit service, ouais, encore un. Callen ça te dit quelque chose ? Ouais, il est sûrement à Berkeley. Delta ? Ok, merci. Désolée de t’avoir réveillée. » Vous avez dit têtue ? Gagné. Je laisserais pas ce connard filé, pas ce soir.
Une fois arrivée à la confrérie des Delta, mes yeux ne savaient plus vers quel beau mâle se tourner et pour l’énième fois je regrettais de ne pas dormir ici, au milieu de tout ça. Il n’y avait qu’à se servir. Il ne me fallut pas longtemps pour me faire accoster et sauter sur l’occasion pour me renseigner sur Callen. Le Delta m’informa qu’il ne l’avait pas vu sortir de sa chambre mais qu’un mec venait d’y entrer. Cet abruti ne m’aida pas plus, il ne l'avait jamais vu auparavant. Je décidai de tenter tout de même ma chance, même si ce n’était pas Maxence, ce Callen pouvait s’avérer à mon goût.
Arrivée devant sa porte de chambre entrouverte je tendis l’oreille et cru entendre des soupirs suspects.. Si le type d’en bas n’avait pas menti, ce Callen était en train de se faire prendre par un autre mec. Ca ne pouvait donc pas être Maxence avec lui. J’étais prête à faire demi tour, résignée, quand je le reconnus. A chaque fois qu’on se voyait, on passait tout notre temps sous les draps ou sur la machine à laver ou sur le bureau ou contre le mur. Bref, je connaissais ses moindres gémissements sur le bout des doigts et surtout sur le bout de la langue. J’entra en claquant la porte derrière moi. S’il y avait eu une poubelle à portée de main, c’était certain, j’aurais gerbé à l’intérieur. Sous mes yeux, Maxence couchait avec Callen, qui lui, semblait être épuisé et abattu. Maxence se stoppa net quand ses yeux rencontrèrent les miens. Je restai un moment, là, la bouche légèrement entrouverte avant de prononcer quoi que ce soit. J’attrapa le tee-shirt de Maxence laissé au pied du lit et lui lança en pleine tronche. « Tu m’avais pas dis que t’avais une gay-pride de prévue ce soir. » J’avais envie de lui cracher à la gueule, de le mordre jusqu’à ce qu’il saigne, de vomir sur sa queue. « Bah, quoi ? Vous arrêtez pas en si bon chemin. T’avais l’air de bien le tenir ce chemin en plus McKee. Allez-y, j’fais l’arbitre. Celui qui gicle en premier a perdu, ça vous va ? » Pauvre merde. Raté pour la soirée normale.
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MessageSujet: Re: un plus un est égal à trois, voyons on sait tous ça • MALLEN&IDYLLE un plus un est égal à trois, voyons on sait tous ça • MALLEN&IDYLLE EmptyMar 30 Aoû - 11:33

un plus un est égal à trois, voyons on sait tous ça • MALLEN&IDYLLE Stock22

L’avion transportant les étudiants de Berkeley, venait d’atterrir à l’aéroport de San Francisco, avec à son bord Maxence. Eh oui, le Gamma, contrairement à tant d’autre, avait décidé d’aller passer ses vacances sur les plages de Cancun. Pour lui, il était hors de question de passer le sumer break dans cette putin de ville. De toute façon, à San Francisco, c’était toujours la même merde, les mêmes soirées, les même étudiants bourrés, bref s’en était chiant. À l’inverse, cette fameuse ville Mexicaine dont la réputation n’était plus à faire, lui avait offert les plus belles vacances de sa vie. Ok sa première journée en terre étrangère ne c’était pas dérouler comme prévu, mais tout le reste avait été comment dire… exquis. Tout là-bas lui avait semblé intéressant. Les boissons, les bars, leur façon de se divertir et que dire des femmes. Ces fameuse brunettes sexy, il va sans dire que le jeune homme en avait profité pleinement, d’autant plus que personne n’était là pour lui reprocher quoi que ce soit, il s’en était donner à cœur joie.

Lorsqu’il fut débarqué de l’avion, Maxence éprouva l’envie soudaine de revoir Callen. Son ami et amant lui avait terriblement manqué durant son séjour outre-mer, c’est pourquoi, une fois ses affaires déposer dans sa chambre, il irait lui faire une petite visite surprise au boulot. Tout chez ce petit con lui avait manqué, son corps, son odeur, leurs moments d’intimité, tout sans exception. Depuis leur première fois ensemble, les deux jeunes hommes avaient eu du mal à ce passer l’un de l’autre, et le fait de passer des vacances aussi éloigner, lui rappelait combien il lui était attaché. C’était décider, sa première nuit à San Francisco, il allait la passé avec lui. Peu importe l’endroit, confortable ou non, il retrouverait son amant pour une nuit hors du commun.

Une fois ses bagages dans sa chambre et sa douche prise, Maxence enfila quelques-uns de ses plus beaux vêtements, et parti en direction du bar ou bossait Callen. Sur place, il le chercha du regard, mais sans succès. Déçu de ne pas avoir trouvé ce pourquoi il était venu, le Gamma décida tout de même de ce commander à boire histoire de ce relaxer un peu. Ce n’est que lorsqu’on lui servi son verre qu’il l’aperçu ! Oh putin !! Cet enculé était en train de prendre du bon temps avec un autre mec. Choqué par ce qui se déroulait devant ses yeux, Maxence cracha sa gorgée sur les quelques personnes qui se trouvaient près de lui, et s’empressa de sortir du bar pour ne pas fracasser la gueule du principal concerné dans l’histoire. Il va sans dire qu’il allait lui payer cher ce qu’il venait faire. Max’ était hors de lui, non seulement à cause de ce qui venait de se produire, mais aussi parce que Callen lui avait fait prendre son temps ! Sal con.

Le lendemain matin, Maxence traina au lit un long moment. En fait, il y resta jusqu’à ce qu’il aille rejoindre Idylle chez elle. Celle-ci lui avait donné rendez-vous avant même qu’il ne parte pour Cancun. Comme Max’ avait pour habitude de passer le plus clair de son temps avec elle, beaucoup de gens c’était fait des idées sur le genre de relation qu’ils entretenaient tous les deux, ce qui faisait rire le Gamma. Mais qu’en était-il vraiment ? La réponse; du sexe, du sexe et encore du sexe. Rien de bien compliquer. Lorsqu’ils couchaient ensemble, Maxence prenait toujours son pied. Mais en dehors du lit… c’était une autre histoire.

Idylle était une belle femme et en frais de partenaire sexuel, il ne pouvait demander mieux. C’est pourquoi, le moment venu, il traversa le couloir qui les séparait l’un de l’autre, pour aller la rejoindre. Lorsqu’il la vit, son cœur s’emballa. Il avait rêvé de ce moment tellement de fois durant son voyage, qu’il avait peine à y croire. Elle était la devant lui plus belle que jamais. Cette fois au diable le protocole, les règles instaurer, il allait lui faire l’amour de toutes les façons possible, jusqu’à ce qu’ils n’en puissent plus. Après plusieurs heures passées dans les draps de la miss, Maxence fini par la quitter sans rien dire. La soirée qu’il avait passé la veille, l’avait réellement fait chier et s’il y avait bien une chose qu’il n’avait pas envie, c’était d’en parler avec sa partenaire de baise. Pourquoi ? D’un parce qu’elle ne pourrait pas comprendre, de deux elle s’en foutait royalement et troisièmement tout le monde savait qu’il ne fallait jamais faire confiance à un/une Gamma. Ceci étant dit, Max c’était cassé avec son portable à la main.

Callen avait fait fort cette fois avec ses trente-deux messages texte. Mais qu’est-ce qu’il lui voulait celui-là ? Son incompétent de la veille ne lui avait pas suffit ? Il avait besoin que ce cher Max vienne l’enfiler pour que tout soit parfait ? Malheureusement, pour lui, Maxence était le pire des rancuniers de la terre. Il lui faudrait énormément de temps pour regagner sa confiance, mais pour l’instant, il ce contentait d’ignorer tout ce qui provenait de Callen … et d’Idylle au passage. Il n’avait qu’une envie, être seul. D’ailleurs pourquoi cette sauvage lui demandait-elle de ce ramené ? Elle était au courant de leur entente alors pourquoi tentait-elle de rentrer en contact avec lui ? Peu importe la ou les raisons, il s’en fichait bien, et fini par éteindre son téléphone.

Le soir venu, Maxence rentra chez lui avec une idée en tête. Il alla prendre sa douche, enfila les premiers trucs qui lui tomba sous la main, et quitta sa chambre en direction de celle du Delta. Du coté ennemi, tous les yeux se rivèrent sur lui. Eh oui c’était bien connu, Gamma et Delta ne faisait pas bon ménage, à quelques exceptions près. Si bien qu’il se retint de frapper ces quelques cons qui ce la pétaient devant lui. Une fois devant la porte de chambre de Callen, Maxence de prit pas la peine de frapper et entra directement. Il faisait noir, trop noir… sans doute qu’il n’y avait personne, mais lorsqu’il entendit la voix de Callen résonner, Max’ sursauta. « Putin ta gueule » Dit-il machinalement en s’avançant vers lui. Il s’arrêta tout près, et l’examina tant bien que mal au travers la pénombre avant de l’embrasser sauvagement. Toute cette haine qu’il avait éprouvé la nuit dernière refit surface, il était temps pour lui de payer son dû.

En bon innocent, le Gamma ce laissa dévêtir, et fit de même avec le peu de vêtements qui recouvrait encore Callen avant d’entamé les préliminaires. Jusque-là, tout se déroulait normalement, mais lorsque vint le temps pour Maxence de pénétrer son compagnon, celui-ci n’y alla pas de main morte. Il s’introduit en lui comme une bête, lui offrant une série de va et vient plus brutal les unes que les autres. Il voulait qu’il aille mal, qu’il souffre et qu’il comprenne sa douleur. Callen avait beau le supplier d’arrêter, Maxence n’en trouvait pas la force, mais heureusement pour lui, quelqu’un vint les interrompre. Qui ça pouvait bien être ? Une personne à qui Callen avait donné rendez-vous ? Surement pas … prit de court, mais surtout couper dans son élan, le Gamma fini par se retirer de son partenaire et ce n’est qu’une fois hors de lui qu’il comprit de qui il s’agissait. Idylle ! Celle-ci ne perdit pas une seconde pour leur faire honneur de ses belles paroles, mais Maxence ne se laissa pas faire. « Vient pas jouer les homophobes tu veux et puis d’ailleurs qu’est-ce que tu viens foutre ici ?» L’étudiant en psychologie ce fichait bien d’être à poil devant elle… mais pour Callen … qui lui ne devait pas avoir totalement assumé sa bisexualité, ça devait être dur de se faire surprendre en train de se faire baiser par un autre mec. « Ferme-la ! Et fiche moi le camp d’ici … à moins que… haa je vois … t’a envie de te faire les deux petite cochonne! » Balança-t-il sourire en coin. « Vas- y fait comme chez toi. » Sans plus attendre, Maxence ce mit à embrasser Callen comme il ne l’avait jamais fait au paravent, tout en lui caressant l’intimité. « Laisse toi aller et joue le jeu » murmura-il avant de prolonger le baiser. Lorsque celui-ci prit fin, le Gamma s’éloigna légèrement et reprit à l’intention de son partenaire. « Toi qui s’y connait en matière de femme… vas-y fait toi plaisir. Ça devrait moins te dégouter que de baiser avec un mec qu’est-ce que t’en dit. » Maxence était à la fois arrogant et énerver, si bien qu’il poussa son ami sur la nouvelle venue. « Et un mec de plus pour ta collection Ibañez.»

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MessageSujet: Re: un plus un est égal à trois, voyons on sait tous ça • MALLEN&IDYLLE un plus un est égal à trois, voyons on sait tous ça • MALLEN&IDYLLE EmptyMar 13 Sep - 16:58



Il s’était inquiété toute la journée, pour rien. Lui qui commençait petit à petit à ressentir de petites choses pour son amant, se retrouvait à souffrir. Lui qui avait été content de le voir dans sa chambre. Lui qui avait été heureux de sentir ce baiser, leurs corps tous les deux aussi proches. Il avait tout de suite sentit qu’ils allaient remettre ça, mais il n’avait pas pensé une seule seconde qu’il allait endurer une telle chose. Il n’avait couché qu’avec un seul mec, et ce mec était Maxence. Jusqu’à présent, il ne lui avait jamais fait mal, ce n’était que du plaisir qu’il avait ressentit en sa présence, et pourtant à cet instant présent, il regrettait de l’avoir dans sa chambre. Il lui en voulait pour quelque chose, et le pire dans tout cela c’est que Callen ne savait pas quelle était la raison. Il ne pouvait rien pour l’arrêter. Il pouvait s’excuser, mais s’excuser de quoi ? Il n’avait rien fait de mal… Au contraire de Maxou qui lui faisait du mal. Callen, cet étudiant qui n’avoue jamais souffrir, ou autre. Celui qui ne demande jamais d’arrêter, qui ne supplie jamais. Là, il le faisait. Il n’arrivait pas à faire autrement. Pourquoi Max était comme ça avec lui ? Il aurait encore préféré qu’il le frappe, qu’il le batte à mort, mais pas ça. Merde quoi. C’est son cul. Maxou étant sa première fois homosexuelle, il ne pensait pas qu’on pouvait avoir autant mal. Il avait été si doux lors de cette première fois. Tout se passait bien entre eux, sexuellement parlant, et même cette amitié qu’ils se portaient mutuellement. Alors pourquoi se déchainer sur son cul ? Cal ne pouvait même pas y réfléchir tellement il essayait de supplier son amant d’arrêter. Il tentait bien que mal de ne pas sentir cette souffrance, mais rien à faire. Comme si Maxence avait fait ça tout sa vie. On est d’accord que ce n’est pas totalement un compliment pour lui, mais peu importe. Il semblait si violent dans ses actes, lui qui semblait être si tendre, doux, compréhensif. Oralement il le suppliait, et intérieurement, il priait. Il priait pour que ça se stop, que Maxou n’ait plus de force, qu’il ait même une attaque cardiaque à se défoncer autant en lui. Il n’y croyait pas. Lui qui pensait que se faire prendre le cul violemment était excitant… Il avait tort. Il n’y avait rien d’excitant là-dedans. Rien du tout. Une personne vint à son secours. Une connaissance à Maxence ? Apparemment, vu qu’elle l’appela par son nom. Il ne sentit plus rien en lui, il en profita donc pour s’éloigner le plus de Maxence. Mais étant dans une chambre universitaire, la place manquait. Il se sentit mal. Ils venaient de se faire prendre en pleine action. Si seulement tout cela avait été consentant… Bon, on ne pourrait pas non plus dire qu’il s’agissait là d’un viol… Mais vers la fin, oui, il n’avait plus été consentant. Une fille les avait surpris. Lui qui normalement n’est pas pudique, il se retrouva à se cacher derrière sa couette de son lit. Qu’est ce que cette fille voulait à Maxou ? Elle lui parut homophobe sur les bords. Ou alors ce n’était autre que de la jalousie. Qu’y avait-il entre eux deux ? Calou n’eut pas besoin de poser les questions, Maxence le fit lui-même. Le russe n’osait rien dire. Il préférait encore être spectateur, mais lorsqu’il entendit son amant lui proposer un plan à trois, parce que c’était bien ce qu’il insinua, Callen cria tout de suite, sans même y penser avant. « NOOOON, MAIS NON. » Mais pour qui Maxence se prenait-il ? Il continua même à dire à son amie qu’elle fasse comme chez elle. Euh, mais wtf quoi. C’est sa chambre, la chambre d’un delta et de ce qu’il savait, Maxou ne l’est pas. Comment osait-il dire ça à une fille que Callou ne connait même pas ? Il ne put même pas placer un mot, que Maxence revint vers lui pour l’embrasser. Pourquoi faisait-il ça ? Il le sentit prendre son sexe entre ses mains. Il voulut le repousser, mais c’était comme s’il s’était attendu à ça, qu’il lui dit de se détendre, et de se laisser prendre au jeu. Il craquait. Il n’arrivait pas à l’envoyer chier. Il prolongea ce baiser, mais lorsque celui-ci prit fin, il écouta ce que lui dit son ex-amant. Mais merde quoi, pourquoi être comme ça ? Il est loin d’être un jouet. Il se retrouva contre cette jeune fille. Il la regarda, et s’écarta. La porte derrière elle était toujours ouverte, pensant qu’elle allait rester, il la ferma. Non pas qu’il souhaitait qu’elle reste, mais au moins qu’il n’y en ait pas d’autres qui se ramènent. On l’avait déjà surpris avec un mec, alors qu’on ne le surprenne pas en plein threesome. Plan à trois… On est encore loin d’une telle chose. Il poussa cette fois-ci la jeune fille dans les bras de Maxou. Il ne la voulait pas. « C’est ton coup à toi, non ? Bah fais-là toi ! Faites comme chez vous. Je n'en veux pas de ta putin. » Il n’avait rien contre cette jeune fille, il ne pouvait pas avoir quelque chose contre elle, parce qu’après tout il ne la connait pas. Mais elle était venue ici, et elle n’aurait pas du le faire. Il les regarda. Il n’était pas près de faire quelque chose avec eux deux, et encore moins avec Maxence. Il ressentait encore cette souffrance. Il jeta un léger coup d’œil à son « ami », et baissa le regard. Il prit des vêtements qui trainaient, et alla dans sa salle de bain. Il préférait les laisser, mais en même temps, il ne voulait pas sortir de sa chambre. Il ne souhaitait pas non plus les surveiller, mais il ne voulait pas laisser sa chambre à un connard et à une te-pu. Il ferma sa chambre de salle de bain, et s’assit contre le mur.
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Jake Fitzgerald
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