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 |  Sujet: Don't you even know how late it is!? ||Pv Cade. Mer 31 Aoû - 3:36 | |
| DON'T YOU EVEN KNOW WHAT TIME IT IS? - C'était vraiment l'un de ces lundis matins chiant. Vous savez quand tout va mal? En gros, elle c'était levée en retard, elle c'était fait renverser du café sur son chandail favoris, elle a perdu son Ipod et le pire, elle avait perdu pied dans les escaliers et c'était étalé parterre avec ses livres un peu partout. La journée avait été longue mais elle était arrivée finalement chez elle après cinq longues heures de travaille au café. Elle prit sa douche, téléphona à ses parent puis elle se mit à faire son travail de fin de trimestre.
Seule dans sa chambre, Fey-Licia se concentrait sur un devoir sur la politique internationale et les relations humaine. Elle jeta un léger coup d’œil à son cadran de bureau. Trois heures moins quart. Elle soupira longuement visiblement à bout de nerfs. Elle avait beau essayé de se concentrer, elle n’y arrivait pas. Son regard trainait longuement sur l’enveloppe ouverte posé sur son bureau d’ordinateur près du cadran. La lettre qu’elle avait écrit pour Cade lors de son départ… depuis qu’elle avait revu ce dernier dans la buanderie, ses souvenirs avec en compagnie du beau blond l’avait hanté pendant quelques jours qui avait suivit. Plus elle y pensait, plus elle se disait que lui donner la lettre ce matin fatidique lorsqu’elle l’avait quitté. Un soupire brisa le mortel silence alors que le regard bleu-gris de la belle blonde se reporta sur son travail à moitié entamé. Ses deux colocataires entrèrent après une soirée à une fête organisée dans un petit bar du coin. Elle se saluèrent puis les deux jeunes filles se mirent au lit. Fey-Licia referma son portable et décida de les imiter. La belle blonde éteignit donc sa lampe de chevet pour dormir.
Le temps passait mais le sommeil ne vint pas. Miss Werkinson avait beau se tourner et retourner, compter les moutons, penser à un endroit paisible, lire son livre de littérature avancée ou même compter le nombre de tuile qui se trouvait au plafond, rien n’y faisait elle restait incapable de dormir.
Il était maintenant trois heures trente lorsque soudain, un bruit sourd surgit de sa porte. Elle se leva pour marcher dans la pénombre jusqu’à sa porte d’entrée. Elle regarda ses colocataires qui dormaient toujours, s’attacha les cheveux et enfila le chandail de Berkeley U qui appartenait à son meilleur ami Aaron par-dessus son juste au corps blanc. Le sweatshirt lui arrivant sous les fesses par conséquent, sous ses shorts. Elle déverrouilla la porte de la chambre pour tomber face à face avec la dernière personne qu’elle s’attendait à voir. Cade.
La fille cadette des Werkinsons constata rapidement son état qui n’était pas habituel. Fey attacha ses cheveux et sortit de la chambre pour ne pas réveiller ses colocataires. Elle dit alors, à voix basse :
«-C… Cade? As-tu idée de l’heure qu’il est?»
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