the great escape
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it's not that i despise you but you smell like shit ▬dwight

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MessageSujet: it's not that i despise you but you smell like shit ▬dwight it's not that i despise you but you smell like shit ▬dwight EmptyLun 22 Aoû - 23:27

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Je ne savais que penser des fêtes à vrai dire. J'avais beau être un alpha et donc être dans la confrérie des supers intellos dans une des meilleures universités du monde, donc qu'elle regroupait les futures têtes pensantes des Etats-Unis ; je ne m'interdisais pas -au contraire- de participer à des fêtes, même si je ne buvais pas beaucoup et que je ne fumais pas, mis à part lors ce que Bela me tendait une clope ou un joint. A vrai dire, j'avais choisi la confrérie des alphas parce que c'est celle qui me paraissait la plus accueillante. Franchement, je pense que j'aurais pu rejoindre n'importe quelle confrérie. Sigma avec tous les artistes, Omega avec les fêtards à outrance, Iotas avec les sportifs ou Sampi avec les baba-cool. Je n'étais pas assez salaud et machopour les deltas, pas rebelle pour aller chez les gammas et les thëtas ne me disaient rien de bon. Mais être dans une confrérie calme, avec des gens intelligents et intéressants, ca me bottait bien, donc j'avais décidé de rejoindre ces derniers. Cela me semblait une bonne option, même si j'avais hésité avec les sigmas, qui correspondaient à mon domaine d'études. Mais les surnommés bleus pâles me semblaient bien, autant leur offrir leurs chances. Je connaissais déja Elys là-bas, un pote d'enfance; ainsi que Raphael, que j'avais rencontré durant ma tournée, plus précisèment à Paris, la capitale française, et avec qui j'avais couché et que je ne m'attendais jamais à revoir. Outre ces deux personnes et ma soeur jumelle, je ne connaissais pas énormément de monde, mis à part ma chère Memphis et la charmante Flora, avec qui j'avais passé pas mal de temps lorsque j'étais à Londres. Je débarquais pas en terrain inconnu à San Fransisco, surtout que maintenant que j'avais une soeur jumelle, je me sentais plus fort. Je me disais qu'au moins, elle, elle serait toujours là pour moi, quoi qu'il arrive. J'avais jamais imaginé ce que c'était d'avoir une vraie soeur, parce que je ne considérait pas vraiment ainsi June. Elle n'était au final que ma demi-soeur et même avant de le savoir, elle ne m'avait jamais vraiment aimé je pense. J'avais toujours essayé d'être là pour elle, de la protéger coûte que coûte mais ca ne changeait rien. J'étais pas comme le reste de la famille, pas comme ma mère, pas comme mon faux-père, pas comme ma demi-soeur. Je n'était qu'un jouet pour ma mère, et qu'une mascarade pour les autres. Elle avait usé de moi, utilisé mon talent de chanteur pour gagner de l'argent sur mon dos. J'arrivais pas à croire qu'elle m'ait utilisé comme ça, j'étais son fils. Elle avait déja ruiné plus de quinze années de ma vie en me séparant de ma jumelle et elle m'avait utilisé pour faire du fric. Voila pourquoi je ne voulais plus avoir a faire avec elle.

Ce soir là, j'avais décidé d'aller à une fête à San Fransisco. A vrai dire, une de mes premières dans la ville. Mis à part Eden Hastings-Matveïev et Sterling Sandidle -meilleur ami de ma soeur- , je n'avais rencontré personne d'inconnu, j'avais juste vécu des retrouvailles assez spéciales avec ma jumelle, ainsi qu'avec sa meilleure amie, que je connaissais déja d'ailleurs. Je me disais donc -en personne bien trop sociable que je suis- qu'aller à une fête serait un bon moyen de rencontrer de nouvelles personnes, de nouvelles têtes et ca serait bien. J'avais pas mal d'amis en Angleterre et j'éspèrais en avoir pas mal aussi ici, à San Fransisco. J'avais fait mes valises pour la Floride avec un compte en banque content environ trente milles dollars, des vêtements, une guitare électrique, une acoustique et un nom. Belammée Olympe Canterburry. Je n'avais pas plus réfléchi et j'avais traversé l'Atlantique en avion, direction Berkeley. Et j'avais ainsi fait une des plus belles rencontres de ma vie, si ce n'est la plus belle. Marchant vers l'adresse qu'on lui avait indiqué quant à la dite fête, il s'arrêta devant une ruelle, en voyant un mec assis à terre. Il est peut-être dangereux Ezra, tu le connais pas, pourquoi tu l'aiderais ? Ben parce que je suis le gentil Ezra Mathias Hayden Widdleton-Canterburry, même si le côté Widdleton de la famille peut aller au diable. M'approchant de la personne, je me baissais et le regardais dans les yeux. Il avait pas l'air bien méchant. Hey dude, everything is ok ? Question stpide, il a une bouteille de whisky dans la main. Aider cette personne, tu dois.
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MessageSujet: Re: it's not that i despise you but you smell like shit ▬dwight it's not that i despise you but you smell like shit ▬dwight EmptyJeu 25 Aoû - 14:52

DWIGHT&EZRA. I don't wanna be that call at four o'clock in the morning 'cause I'm the only one you know in the world that won't be home. Aahh, the sun is blinding. I stayed up again. Oohh, I am finding that's not the way I want my story to end. I'm safe up high, nothing can touch me, but why do I feel this party's over ? No pain inside, you're my protection. But how do I feel this good sober? Please don't tell me that we had that conversation when I won't remember, save your breath, 'cause what's the use? that boy is a slag, the best you ever had.

J’étais mort de rire. Je sentais ma gorge qui se resserrait au fur et à mesure que mon gosier faisait remonter l’alcool que j’avais ingurgité à la précédente longue gorgée. Pourquoi j’étais mort de rire ? Parce que je venais de réaliser l’ironie de la situation. Je me sentais tellement minable. Je suis Dwight, je suis Dwight, je suis Dwight. Dwight n’est pas le type qui se saoule dans une ruelle, et pourtant je le faisais. J’avais atteint le fond du puits, je le sentais. Et tout ça pour une énorme connerie, un truc qui ne devrait rien signifier pour moi en temps normal. Vous voulez que je vous définisse Dwight ? Dwight, c’est un type tout ce qu’il y a de plus correct, mais qui est tellement influençable qu’il termine toujours par faire des conneries énormes. Faire du porno, perdre sa virginité avec une fille qui n’en a strictement rien à foutre. C’est ce qui me définit. Mais tout ça, c’est censé être bien loin derrière moi. Je me rappelle avoir passé des heures et des heures à expliquer à mes amis de Berkeley que je n’étais pas un pervers nymphomane aux pratiques sexuelles parallèles, et après tellement d’effort, j’avais réussi à faire oublier à tout le monde que, quand on essaye de me googliser, on tombe directement sur Youporn. Berkeley m’avait ouvert une nouvelle vie, une nouvelle chance, un énorme départ à zéro. Et des chances comme ça, j’en avais déjà eu ; j’avais quitté mon village d’Higginson dans l’espoir de, pour la première fois, refaire ma vie. J’étais adolescent et j’avais tout foiré. Et un jour, j’avais eu droit de reprendre un nouveau départ : cette fois, j’avais géré exactement comme je l’aurais dû. C’était ma troisième vie, et je la tenais mieux que les deux précédentes. Je me souviens quand, attendant ma meilleure amie Reagan dans sa chambre alors qu’elle était en train de s’apprêter pour qu’on sorte, son grand cousin était arrivé dans la chambre et, me prenant pour un courtisan, m’avait fait la morale jusqu’à ce qu’il comprenne que je n’étais que le naïf qui acceptait d’être juste ami avec sa protégée. Je me souviens avoir passé les meilleurs moments de ma vie à faire la fête – toujours modérément – avec tous mes compatriottes Sigma. Et, plus récemment, je me rappelle avoir revu une certaine personne que je n’aurais jamais voulu revoir.

Jack est une fleur de printemps qui s’épanouit plus vite que les autres. Mais si elle éclot plus vite, elle se fane d’autant plus rapidement. C’est comme ça que tout le monde voit Jack, j’en suis certain. Elle est du genre à avoir, à n’importe quelle échelle, que ça soit au niveau de sa vie publique comme privée, un succès rapide mais qui se dissipe. Une vraie star de la télé réalité. C’est comme ça que j’avais eu facile d’oublier cette fille qui m’avait dépucelé dans une cave et qui n’avait plus jamais voulu entendre parler de moi, simplement parce qu’elle avait l’air d’être invisible malgré tous ses efforts pour se dégager de la masse. Et pourtant, on se rappelle tous qu’elle s’est démarquée des autres, même si le labs de temps était très court. Pour moi, elle s’était démarquée des autres pendant seulement quelques heures, mais je savais que je n’oublierais jamais son visage, ni ce qu’elle m’avait fait ou ce qu’elle avait été pour moi. Mais malgré le fait qu’on parle souvent d’une douleur qui fait du bien, moi, ici, je vous parlerais d’un souvenir qui fait du mal. Un souvenir que j’avais tout fait pour estomper un maximum durant les quelques années qui avaient séparé notre rencontre de maintenant. Je l’avais bien oubliée, mais il m’est souvent arrivé de repenser à elle malgré moi. Comprenez donc que la revoir sur le campus m’avait fait du mal pendant toute l’année précédente. Je m’étais tué à l’éviter, et je le vivais plutôt bien. Je ne la comprenais pas alors j’essayais de ne pas y penser, jusqu’au jour où elle m’a littéralement foncé dessus dans un couloir et qu’elle a essayé de me rabaisser. Elle.. Elle m’avait tué. Et c’est là que le Dwight sans force de caractère aucune entre en jeu. Je m’étais senti tellement mal de ne pas comprendre sa façon de raisonner, de voir aussi qu’en un an elle ne m’avait même pas repéré sur le campus que j’ai décidé de faire la chose la plus clichée du monde.

J’ai tapé un billet de cent dollars sur le comptoir d’un night shop tenu par un chinois et j’ai repris ma monnaie. Le type n’avait pas l’air de parler ma langue, mais il avait bien compris qu’il me faudrait un sachet en papier parce que j’avais bien l’intention de vider cette bouteille en rue. Je l’avais déjà entamée avant même que je ne sois sorti de sa boutique. Je me baladais la poche pleine de monnaie et le foie déjà imbibé de Jack Daniels. Je me baladais comme un porc, comme un vieux SDF en plein San Fransisco alors qu’il n’était que vingt-et-une heures et, passant au hasard à côté d’une ruelle sordide, je décidai d’y établir mon domicile pour la nuit à venir. J’ai calmement déposé mon cul sur le pavé et j’ai déverrouillé ma bouteille. Une gorgée, une autre… Je sentais ma langue râpeuse, ma tête qui tournait et j’entendais des craquements autour de moi, comme si les sons s’étaient amplifiés. Je n’aime pas boire pour boire, je trouve ça totalement débile. Débile, comme mon attitude de maintenant ? Cela faisait une heure et approximativement quatre cinquièmes de bouteille que j’étais là et je m’affalais de plus en plus. Si j’étais mort de rire, maintenant, c’est parce que je me frottais sérieusement à l’ironie de la situation. Je buvais du Jack. Je buvais Jack alors que, la seule chose que je voulais, c’était l’oublier. Jack me donnait mal au ventre et à la tête, encore plus qu’avant ; mais en buvant suffisamment de Jack, j’avais la certitude que je l’oublierais au moins pour cette nuit.

J’étais à fond dans mon délire quand un type inconnu m’en sortit. « Hey dude, everything is ok ? » j’ai froissé les paupières, comme aveuglé, en remontant mon regard pour voir qui me parlait. Il faisait noir comme la nuit, j’avais donc l’air d’un parfait con. Quoi qu’il en soit, je ne voyais pas qui était mon interlocuteur, mais au point où j’en étais, tant qu’à faire, autant nouer la discussion. Et je lui aurais volontiers répondu si j’avais compris ce qu’il me demandait. « Wah mec, évite de me parler chinois, je maîtrise à peine d’espagnol. » Une gorgée pour moi. Je me suis redressé un peu et ai fait signe au type de s’asseoir. J’avais juste réussi à déduire au son de sa voix que c’était un homme qui devait avoir entre vingt et cinquante ans. J’espérais juste ne pas être tombé sur une espèce rare de pervers qui essayerait d’obtenir de moi quoi que ce soit. Tant qu’à faire, autant m’en assurer. Une autre gorgée pour moi. « Viens, assieds-toi. Tu veux un coup ? Je suis d’humeur à partager, ce soir. » J’ai jeté un coup d’œil à ma bouteille. J’ai haussé les sourcils et l’ai retournée, étonné de voir qu’elle était vide. J’avais sûrement du prendre deux énormes dernières gorgées. J’ai donc haussé les épaules. « Bah, il me reste pas mal de thunes en poche, je peux remettre une bouteille. J’te jure, si tu m’aides à me lever je paye une autre bouteille, ça fait de mal à personne. » Je l’ai regardé. Sur le coup, je n’ai pas réalisé que dire à un type – dont je n’avais même pas repéré si son visage était scarifié ou pas – que j’avais beaucoup d’argent sur moi, alors que j’étais coincé dans une ruelle sordide, aurait pu être dangereux. J’étais désespéré mais je ne comptais quand même pas mourir cette nuit. C’aurait été trop con.
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MessageSujet: Re: it's not that i despise you but you smell like shit ▬dwight it's not that i despise you but you smell like shit ▬dwight EmptyMer 31 Aoû - 15:12

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DWIGHT&EZRA ▬ Take my hand buddy.


Depuis tout petit, déja, j'étais comme ça. Malgré que j'étais le plus intelligent de ma classe, j'avais toujours eu le besoin de faire tout mon possible pour aider ceux qui étaient plus en difficulté que moi, pendant les cours ou même durant mon temps libre. Quand ma petite soeur faisait une connerie, ou qu'elle cassait quelque chose, je disais que c'était moi pour qu'elle ne se fasse pas crier dessus. J'avais toujours été comme ça, c'était ma nature d'être ainsi. J'avais toujours été quelqu'un de profondément gentil, on me l'avait bien souvent reproche, de parfois être trop gentil avec les autres, de pas savoir m'imposer parfois ; et on disait que ca me jouerait surement des tours. J'avais toujours été ainsi, je ne voyais aucune raison vraiment valable de changer un jour, même si parfois je pouvais un peu passer pour le couillon de service, j'en avais rien à faire. J'étais quelqu'un qui ne trouvait aucun plaisir ou aucun intérêt dans le conflit. J'étais assez pacifiste même, j'aurais limite pu aller chez les Peace and Love, les Sampis tant je suis quelqu'un d'anti-violent, et Dieu sait que pour quelqu'un qui a grandi en Angleterre, terre des hooligans et de la série Skins, cela peut sembler bizarre. Mis j'avais toujours été comme ça, je n'aimais pas les disputes, je n'aimais pas la violence -mis à part dans les films thrillers- autant que je détestais les adieux. Dire au revoir à quelqu'un, en se disant qu'on ne la reverrait jamais, c'était quelque chose qui me brisait le coeur, au plus haut point. Lorsqu'après un mois et demi en passant le plus clair de mon temps avec Lindsay, j'avais du quitter le continent pour retourner sur mon île qu'était l'Angleterre, cela m'avait brisé le coeur. Un an plus tôt, j'étais séparé de Mikaela, qui avait été envoyé -sans son avis évidemment- en maison de redressement, avec qui je sortais depuis quasiment une année entière. Quasiment douze mois plus tard, j'étais à nouveau séparé de la fille pour qui mon coeur chavirait. Lindsay et moi, ca avait été un vrai coup de foudre. On s'était rencontré lors de ma tournée, qui faisait escale pour environ trois semaines aux Pays-Bas et plus particulièrement à Amsterdam. Je tombais amoureux d'elle, j'avais cette impression du moins. Mais la vie nous sépara, et je dus rentrer chez moi tandis que sa vie étais encore aux Pays-Bas. Nous avions donc été séparés, mais j'avais -peut être plutot la bêtise- l'habitude de penser qu'un joueur, nos chemins se rejoindront un jour, à nouveau. Je savais pas du tout ce que pourraient donner nos retrouvailles, parce que la connaissant, elle m'en voudrais de l'avoir quitté, même si ce n'était pas ce que je voulais.

Me voila dans une ruelle, me baissant sur cette personne, complètement ivre, regardant avec compassion ce jeune homme. Cela pouvait très bien être quelqu'un de méchant, quelqu'un de cinglé ou bie un sacré pervers, mais j'avais envie d'aider cette personne. Je ne savais pas du tout pourquoi, mais je pensais qu'on avait tous des problèmes parfois plus gros pour certains que pour d'autres, et que cette personne méritait plus de tomber sur moi qui l'aiderait plutot que sur un pervers qui essaierait de lui faire toutes sortes de choses complètement dégueulasses, auxquelles je préférais ne pas penser, tant cela me semblait horrible. Ouais, ce mec là avait de la chance de tomber sur moi plutot que sur un violeur. True story. Bizaremment, la tête de ce mec me disait quelque chose alors que je ne l'avais apparemment jamais rencontré. Etais-il à Berkeley ? Vu son âge ainsi que ses vêtements, et du fait que nous étions à San Fransisco, j'avais de grandes chances d'avoir trouvé dans cette sombre ruelle un étudiant de ma nouvelle université. Même si cette personne avait une odeur infecte, mélange de je ne sais quoi et de whisky, je me devais de l'aider. Un instant, le regardant, je me demandais ce qui pouvait bien autant l'affecter au point de se faire toute une bouteille d'alcool en solo, assis dans une ruelle. La première réponse qui arriva jusqu'à mon esprit fut la plus simple mais tout de même la plus plausible et possible. Le jeune homme était peut-être tombé amoureux d'une demoiselle ou était retombé sur une fille qu'il aimait auparavant -et que celle ci ne se souvenait pas de lui, damn, ca c'était horrible- et que cette demoiselle -qui vu le jeune homme devait surement être une blonde hyper riche et superficielle, j'en étais sur- ne partageait pas ses sentiments à son égard. Si c'était cela, bordel ce que je pouvais être fort. Comme un idiot, je lui avais demandé si tout allait bien. A priori, quand tout va bien, on se termine pas une bouteille de Jack Daniels à soi tout seul. Il était sacrément alcoolisé celui là, il racontait pas mal de conneries, avec son chinois et son espagnol alors que je lui parlais anglais. Et il se gênait pas pour boire encore un peu devant moi. Il me proposa de m'asseoir, valait mieux pas contrarier une mec bourré donc je m'éxécutais. Il proposa de partager sa bouteille avec moi, mais à vrai dire, j'étais pas super porté sur l'alcool. J'aimais faire la fête, mais pas boire à outrance. Puis, de toute façon, sa bouteille était vide, à son plus grand désarroi. Même si il disait avoir pas mal d'argent sur lui encore, et qu'il reprendrait bien une bouteille, j'allais pas le laisser faire. Je ne connaissais pas ce mec, mais j'allais agir comme si j'étais un super pote de ce jeune homme. Je me levais avant de l'aider à se lever. Il titubait à mort, une bouteille en plus serait une très mauvaise idée, autant pour sa santé mentale que pour sa santé physique. Viens mec, je vais te ramener chez toi. Tu habites ... ? Je ne le connaissais pas ni d'Eve ni d'Adam, il n'y avait donc aucune chance pour que je sache où ce type habite. J'avais beau être gentil, j'étais pas Dieu. Bizaremment, il avanca -et non pas en direction d'un bar- et je le suivais, histoire qu'il se fasse pas agresser sur la route. Marchant à sa hauteur, je me dis que faire la conversation ne serait pas plus mal. Moi, c'est Ezra. Enchanté, si je puis dire. Je viens d'arriver à San Fransisco, je commence mes études à Berkeley. J'aimais bien parler, j'avais toujours été un moulin à paroles, ma mère et mon beau-père me le reprochaient sans arrêt lorsque je vivais à Londres. C'est pour cela que d'avoir une soeur qui parle au moins autant que moi, c'était vraiment super. Quoi que le mec était peut être un peu trop bourré pour avoir une discussion avec moi..
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