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I can't breathe with you looking at me like that ♦ Jayan

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MessageSujet: I can't breathe with you looking at me like that ♦ Jayan I can't breathe with you looking at me like that ♦ Jayan EmptyMar 26 Juil - 14:39




Jayan & Vraona


La véritable amitié, c'est quelque chose de très rare. Et je me suis souvent demander si j'aurais la chance de connaitre ça un jour. Aujourd'hui, je peux vous répondre que oui. Enfin je crois. Je connais cette amitié, sincère et vrai, en la personne de Jayan, notre relation n'avais pas toujours été facile, mais on avait appris a bien ce connaitre. Je ne sais pas vraiment ce qu'est ce sentiment, et étudiant la psychologie j'ai toujours cherché à comprendre d'où il venait et pourquoi il pouvait être si fort. Avec le temps, j'ai pu trouver une définition de ce qu'était l'amitié. Selon moi, c'est un lien qui unis deux êtres humaines, peut importe leur sexe, peut importe leur âge, c'est un lien si fort que l'on peut percevoir les sentiments de l'autre. Dire si il ne va pas bien ou si il est heureux. Je pense qu'en faite c'est une sorte de psychisme mutuelle et permanent entre deux êtres. Ca peut paraître dingue c'est vrai, mais c'est ce que je ressens quand je suis avec lui. L'amitié, c'est de l'amour, mais sans le sexe. Jayan est mon ex et mon ami et pourtant il ne connait pas tout de moi et inversement, chacun de nous à ses secrets ... C'est peut être pour ça que l'on s'entend si bien, on ne connait pas les côtés obscurs de l'autre et je pense que c'est mieux comme ça quoi que maintenant enfaite on se connait beaucoup trop les pires et bon moments. On est ensemble pour rire et s'amuser et il ne m'en demande pas plus. Je suis d'un naturel méfiant et je ne suis pas prête à lui révéler les secrets de mon passé, peut qu'un jour j'y arriverai ... qui sais ! Mais le temps n'est pas encore au révélation. Je me trouvais dans la maison des GAMMAS & comme chaque samedi matin je décidai de me lever à 11 h 00. Et oui, faisant partie de cette confrérie, je me dois de faire la fête à la veille d'un week end, c'est une habitude que j'ai pris et ça ne me dérange pas du tout. Je fais partie de ses gens qui veulent profiter de la vie. J'ai trop souffert dans mon passé pour passé à coter de MA vie. De part mon expérience, j'ai pu me rendre compte que cette vie, que certain charis et d'autre maudit, est affreusement courte. Il y a beaucoup de malheurs dans ce monde, et beaucoup de souffrance, mais tellement de chose qui valent le coup de prendre des risques, qui valent les coups de souffrir parfois. Et sans la souffrance, comment serait-on reconnaitre un moment de bonheur ? L'amitié, l'amour, la haine, la jalousie ... tout ça n'aurait alors plus aucun sens, plus aucune valeur. La vie serait fade, elle n'aurait plus aucun sens et alors, elle ne vaudrait pas la peine qu'on s'y risque, mais que dis-je, on ne connaitrait même pas le risque. Bref, je me leva donc à 11 h 00 pétante, je pris un petit déjeuner léger, et oui, attention à la ligne. Puis je me préparai. Aujourd'hui j'opta pour une mini jupe en jean et un top moulant couleur corail. J'avais "rendez-vous" avec Jayan à la plage, oui quoi de mieu qu’un environnement magnifique ?. Je vous rappelle que je suis une gamma renommé, je fréquente les endroits huppés et où je serais vu. Je sais comme ça au premier abord vous pouvez me prendre pour une fille superficiel et pourtant, c'est loin d'être le cas. Je laissai mes cheveux détacher et hop, en route vers la plage ou mon ami Jayan devait me rejoindre. Arriver là-bas j'ôtai soigneusement mes vêtements, et m'allongea allègrement sur une des chaises longues que j'avais pris le soin de réserver la veille. Un bon bain de soleil ne pouvait me faire de mal. Je commandai une vodka martini à l'un des serveurs torse nu qui me proposa ses services et commença à le siroter en attendant le jolie minois de Jay’ qui ne tarderait surement pas à arriver. Je fis un grand sourire quand, derrière mes lunettes de soleil je pus voir arriver Jayan, bon sang voila de le revoir, ca revenait, je me sentais mal, coupable. Coupable de quoi ? De ces sentiments qui prenne possession de moi quand je le vois, pourquoi sont-ils la ? Il est mon ami mais aussi ma première relation sérieuse avant tout, ils ne devraient pas être la fuckin’ feelings ! Le pire était que j'avais presque atteint mon but, je voulais Jayan et je l’avais eu, mon but avait été de le garder en ami et avec chance se fut le cas pourquoi je suis sur le point de tout gâcher ? Pourquoi tout devais être si compliqué ... « Hey, petite tête brune au sourire craquant » dit-je en baissant un peu mes lunettes pour le voir, qu’il était beau, j’avais toujours eu un faible pour son physique de playboy, mais la je divaguer complètement, le pire est que je devais absolument rien dire, il ne devait pas se douter un seule moment de ce que je ressentais, il m’arrêterai surement avant que j’aille trop loin, lui était passé a autre chose, moi j’avais décidé un peu plus de mal même s’il est vrai que j’avais quand même eu d’autre relation depuis. J’avais du mal a l’engagement, la preuve avec Zack et pourtant avec Jayan s’était tellement facile, ça coulait de source comme on dit, mais bien sur ma relation avec lui s’était terminé tout comme mes autres relations, la jalousie, pourtant je suis pas une fille spécialement jalouse, a vrai dire on était jaloux des deux coté donc forcement, c’est a celui qui fera le plus de mal à l’autre. On s’était promis de ne jamais se faire de mal, cap ! On avait arrêté le désastre avant qu’un de nous deux ne souffre trop. Et s’était ensuite mon meilleur ami Keyllan qui m’avait ramassé a la petite cuillère comme on dis. Est-ce que j’étais amoureuse quand je suis sortie avec lui ? Honnêtement je pense que oui en effet, ce fut donc pour cela que j’avais eu énormément de mal a m’en remettre. Mais bon le temps passe et les blessures se ferme, ou pas. Puisque quand je le revoyais s’était toujours la même histoire dans mon cœur tout chamboulé. Je l’avais vu il y a une semaine de ça au bal de promo ; et sans grand étonnement on avait fini la soirée ensemble, en ami sans rien de plus, a boire toute la nuit et a se raconter nos vie sans aucune gène. Je pouvais passer des heures a lui dire tous ce qui n’allait pas chez moi, je n’avais encore abordé le sujet du père tuant ma mère, et du père faisant partie de la mafia que j’avais envoyé en prison sans aucun scrupule, il aurait surement pris peur, mais si je pouvais enfin tout lui avouer je me sentirai tellement libérée, et ça expliquerai aussi tellement de chose dans mon comportement parfois si étrange. Un jour ou l’autre je suis sur que je pourrais me confier a lui sans avoir peur de son regard, il ne me jugeai pas et c’est une chose que j’aimai beaucoup chez Jayan, ainsi que beaucoup d’autre qualité.

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MessageSujet: Re: I can't breathe with you looking at me like that ♦ Jayan I can't breathe with you looking at me like that ♦ Jayan EmptyJeu 4 Aoû - 23:16

I can't breathe with you looking at me like that ♦ Jayan 14a8nq10 I can't breathe with you looking at me like that ♦ Jayan 28txv0z
            You know I'll never leave you heartless, heartless.
            Never leave you standing in the darkness. Oh no
            darling I promise , promise , you know I 'll never
            leave you heartless.


Il y a des histoires qu'on n'oublie pas.. Des visages auxquels on s'habitue et d'autres dont on devient vite accroc. Comment expliquer l'incompréhensible ? Lorsque pour la première fois, votre cœur bat de cette façon. Quand pour une découverte, cette personne est celle dont vous avez toujours attendu la venue. Parfois, on souhaite se préserver, se protéger. Mais nous ne sommes pas totalement de marbre, à un moment donné on risque de lâcher prise et de se laisser aller. C'est ce qui m'a fait basculé, cette première faiblesse découverte, il y a quelques années. A mon arrivée à Berkeley, je suis tombé sur cette magnifique demoiselle. Elle avait tout pour me plaire, tout pour me séduire et me rendre fou. Les évènements se sont joués de nous. J'ai complétement craquer pour cette personnalité, son côté pétillant et sa douceur dans le regard. Jamais, je n'arriverai à expliquer mes sentiments. Car aujourd'hui, on n'est plus ensemble. Notre relation avait bien commencée.. Seulement, on peut dire que la fin était loin d'y ressembler. Le principal est que nous avons pu rester en contact et plutôt de bons amis. D'ailleurs, je pense être totalement incapable de la rayer du cours de ma vie. Elle est devenue si essentielle que je ne peux plus m'imaginer perdre tout contact, tout lien avec Vraona. Même loin des yeux, elle sait rester près de mon coeur. A sa façon, elle fera toujours partie de moi. Elle aura marqué mes relations avec les filles. Jusqu'à cet instant actuel, elle reste l'unique à avoir fait naitre un tel sentiment en moi. Je ne peux plus le nier. Elle était celle qui pouvait parfaitement me combler et sur toutes les coutures. Silencieusement et doucement, je me lève du matelas qui est devenu maitre de cette pièce. La nuit avait été longue, je m'étais amusé. J'avais bu quelques verres, parlé avec quelques personnes. Je n'avais rien à déclarer. J'avais profité. Je savais pourtant que cette journée, j'avais quelques projets planifié. Le premier et le plus important était celui que j'avais avec la belle Vraona. On allait se retrouver un temps et ça ne pouvait que me plaire. Surtout quand je me rappelais cette soirée au bal de promo. Elle était venue comme moi, seule et fière. Sans chichis, on avait décidé silencieusement de partager ce moment. Une soirée dont je garde tout. Je ne regrettais absolument pas d'avoir pris cette direction, de ne pas avoir accepté une invitation. Au final, elle restait ma parfaite secrète cavalière. Me levant avec le sourire, rien qu'en pensant à sa parfaite silhouette en deux pièces. Je ne devais pas me faire désiré. Elle m'était trop précieuse pour pouvoir attendre. Notre rupture n'avait pas été la meilleure solution. C'est seulement avec le temps qu'on se rend compte de nos actes. Néanmoins, j'ai toujours pensé que c'était que du positif pour elle. Je n'étais pas certain d'être ce qu'elle voulait. Je n'avais aucune confiance en moi quand elle posait son regard dans le mien. Elle mérite toujours mieux que ce que je peux lui offrir. Vraona est une personne précieuse. C'est peut être pour cette raison que je m'en éloigne.. Je ne veux pas être la source de son malheur, de sa tristesse..

Rassemblant sans attendre mes affaires, je devais me rendre à la plage. Je devais aller la retrouver. Je savais où elle serait. Après tout ce temps, je pensais la connaitre assez. Je ne disais pas parfaitement mais assez, car je pense que c'est ce qui nous convenait parfaitement. Il y avait cette partie de mystère, de secret entre nous qui nous rapprochait plus que jamais. Depuis notre rupture, comme d'un accord, on s'était dis amis. Cependant, je dois avouer parfois ou même souvent avoir d'autres envies. Comme cette soirée au bal où je n'avais qu'une pensée, la câliner. La prendre dans mes bras, j'y avais longtemps songé. Elle était face à moi à partager nos fous rires, nos échanges et notre complicité infaillible. Même un aveugle aurait pu nous sentir à dix kilomètre au loin. C'était pour cette raison que je n'avais pas mis longtemps à arriver sur cette plage. Je n'avais pas pris tout mon temps pour la faire languir. Je portais un trois quart, short en tissu beige et un haut de couleur blanc. Rien de bien grandiose, mais assez pour me faire regarder. Lunette fumée sur le bout de mon nez, je me garais non loin de l'endroit où elle devait m'attendre. Je me doutais de ce qu'elle faisait et elle devait déjà être en train de se faire brunir la silhouette. Toujours au top de sa forme, elle me plaisait carrément. Peut être de trop pour une personne qui devrait être uniquement mon amie. Plus le temps passait, plus j'avais cette envie de retenter l'histoire de ma vie. Car oui, pour moi, elle est celle qui peut donner un sens à tout ça. Elle est celle que j'aurai imaginé présenter à ma famille mais surtout à l'importante mère. Malheureusement, cela n'est plus possible sur tous les points de vue. J'essaye d'être son ami et pas celui qui pourrait la faire pleurer. On le sait l'amour est mystère et beaucoup s'y sont brûlés les ailes. J'évite, je me voile la face sur mes réels sentiments. Marchant jusqu'à sa hauteur, on aurait dit qu'elle me sentait arriver. « Hey, petite tête brune au sourire craquant » Alors face à elle quand j'entends le son mélodieux de sa petite voix. Elle arrivait à me faire sourire dès nos premières secondes ensemble. Lui faisant de l'ombre sur sa chaise longue, je laisse glisser mes lunettes, le long de mon nez, je lui réponds : « J'aurai dis pareil pour toi. Et dans cette tenue, je me demande si c'est le soleil ou toi qui me fait cette chaleur. » Elle connaissait mon côté charmeur et parfois, ça me brûlait la langue. Elle le savait. Ne me retournant pas ma langue sept fois dans ma bouche, je m'approchais d'elle pour lui donner un bisou sur son front. Comme ça me plaisait tellement de pouvoir l'avoir rien qu'à moi, je n'aurais pas pu mieux demander pour passer la journée. Enlevant mon haut, je pose mes affaires près des siens et ne perds pas une seconde. « ça te dirait une petite baignade pour bien commencer ? Je promets de pas te laisser te noyer. »

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MessageSujet: Re: I can't breathe with you looking at me like that ♦ Jayan I can't breathe with you looking at me like that ♦ Jayan EmptyMer 17 Aoû - 13:35




Jayan & Vraona


Lorsque l’on meurt ou que l’on souffre d’une horrible perte nous traversons tous cinq étapes de la peine. On passe par le déni car la perte n’est pas envisageable, on ne peut imaginer que c’est réel. On s’énerve contre tout le monde, contre les survivants, contre nous-mêmes. Puis on trouve un arrangement, on supplie, on implore, on offre tout ce qu’on a, on offre nos propres âmes en échange d’un jour de plus. Quand les négociations échouent la colère est difficile à contenir, on tombe dans la dépression, le désespoir, jusqu’à ce qu’on accepte finalement que l’on a tout tenté. On abandonne. On abandonne et on accepte. Le chagrin peut être une chose que l’on a en commun mais il est différent pour tout le monde. Il n’y a pas que la mort dont on fait le deuil, de la vie, d’une perte, d’un changement. Et on se demande pourquoi ça bloque autant parfois, pourquoi ça fait tant de mal mais la chose dont on doit se souvenir c’est que ça peut changer. C’est comme ça qu’on reste en vie, quand ça fait si mal, qu’on ne peut plus respirer, c’est comme ça qu’on survit. En se rappelant, qu’un jour, qu’en quelque sorte, vous ne le ressentirez plus de la même manière, ça ne fera plus aussi mal. Le chagrin vient à chacun en son temps, de sa propre manière. Alors le mieux que l’on puisse faire, le mieux que chacun puisse faire est de recourir à l’honnêteté. Le truc vraiment merdique, la pire partie du chagrin est que vous ne pouvez le contrôler. Le mieux que l’on puisse faire est d’essayer de laisser nos sentiments quand ils viennent. Et les laisser partir quand on peut. La pire chose c’est qu’à la minute où vous pensez l’avoir surmonté, ça recommence. Et toujours, à chaque fois, vous ne pouvez plus respirer. Le chagrin comporte cinq étapes. Elles nous semblent à tous différentes, mais il y en a toujours cinq : le déni, la colère, les négociations, la dépression, l’acceptation. Voila ce que j’ai lu une fois, je ne sais pas tellement où j’en suis moi, parce que j’avais maintenant perdu ma mère depuis 5 ans et je ressentais toujours ce tel manque horrible qui me percer le cœur à chaque fois que j’y pensais. Le pire dans tous cela, c’est que mon drame n’était pas un drame commun, ce n’était un mort d’une maladie grave, ou alors d’un accident, non non il s’agissait bel et bien d’un meurtre, meurtre dont le suspect et un propre membre de ma famille à sa voir mon père, mon propre père avait tué ma mère, pour ne pas qu’elle parte avec moi. Pourquoi est-ce que je suis toujours étonné quand j’en parle, après tous mon père fais partie de la mafia, même encore en prison il trouve le moyen de bien gérer son groupe, je ne compte plus le nombre de fois où je me fais suivre dans la rue, ces sortes de « garde du corps » mon dieu s’il savait, oh oui s’il savait il me ferait surement tuer, pourquoi ? pourquoi l’avais-je dénoncer, je ne le regretter pas, je l’avais dénoncer anonymement personne ne le savait et je le dirais a personne, pour que jamais au grand jamais cela ce sache et que je me fasse balancé, oh oui il croit que ça fille est parfaite et que je l’aime, difficile de faire semblant, j’essayais de le voir le moins de fois possible, la dernière fois que je l’ai vu remonter un trois mois maintenant, il m’écrivait, je lui répondais, mais écrire est beaucoup plus facile que de le voir, il me dégoutait je ne supporte pas sa présence et je pense que se sera toujours ainsi, avoir tuer celle qui m’étais le plus chère est la plus grosse erreur qu’il ai commis. Enfin un peu chaque jour je remonte la pente, et parfois se sont que des petites attention ou bien alors des présences sans même rien faire qui font que, comme celle de Jayan par exemple, il connait bien mon histoire du moins il sait simplement que ma mère est morte et que mon père et en prison, et sans le vouloir il avait toujours su me soutenir dans ces moments la. J’avais rendez vous avec, lui pourquoi est-ce que j’étais si nerveuse alors que je le connais et que j’ai vécu des choses forte avec lui ? Peut—être a cause de ça enfaite que je suis nerveuse, est-ce que je ressentais encore des choses pour lui. Oui probablement, i love him and is probably always will. Mais notre histoire étais maintenant bel et bien terminé, pas parce que nous nous aimions plus non, mais bel et bien parce qu’il commençait a y avoir trop de jalousie de chaque coté, j’étais aussi fautive que lui peut-être même plus ? Je ne sais pas. En tout cas le voila qui arriver avec toutes la bogossité attitude qu’il possédé I can't breathe with you looking at me like that ♦ Jayan 277800 J’avais chaud, le soleil me bruler la peau, j’aimais cette sensation, mais je pense que de voir Jayan y étais aussi pour quelques chose. « Les deux je pense, je ne suis pas un canon au point de te faire de l’effet quand même ? Alors comment tu va, tu sais que je me réhabitue à ta présence, on va devoir limiter sinon je risque de me faire des idées tu sais. » Lui-dis un ton plus au moins sérieux, c’est vrai, je pourrais très vite retrouver cette envie de me mettre avec lui à ses cotés, bien que l’envie était toujours présente et surement pas réciproque, j’avais du mal, beaucoup de mal a tourner la page, j’ai toujours était comme ça, a avoir du mal a tourner la page sur quelques que chose qui m’était cher et de devoir y renoncer comme ça d’un coup. Il me fit un baiser sur le front, je devais rester calme et je lui fis un sourire qui me donner l’air heureuse, il n’y a rien de plus trompeur qu’un sourire, puisqu’au fond de moi je me sentais mal, tellement mal c’est dur d’aimer, mais ça fait tellement du bien d’aimer les gens qu’on aime, que ça finit par faire mal. Je sais pas comment on survit a ça. Non franchement, je ne sais pas. « Une baignade, je ne dis jamais non, que tu es mignon, tu aurais ma mort sur la confiance je ne sais pas trop comment tu arriveras à vivre avec ça. Allez étant donner que je suis dans mon bon jour, je ne vais pas te laisser 3 kilomètres derrière pour quand on fera le concours de celui qui nage le plus vite. » En lui souriant je me suis levée et couru pour allez dans l’eau, j’avais honte de rien avec lui, j’étais plutôt une fille, froide, fermée, réservée, pas sociable, mais avec lui tout mais bien tout était différent. « Alors tu traine mon beau ? Je savais bien que tu tiendrais pas la cadence avec moi, mais je t’en veux pas je trouve ça très mignon. »

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MessageSujet: Re: I can't breathe with you looking at me like that ♦ Jayan I can't breathe with you looking at me like that ♦ Jayan EmptyVen 19 Aoû - 23:52

I can't breathe with you looking at me like that ♦ Jayan 431133AG5
Tout seul on va vite, à deux on va loin..


Aimer, c'est espérer tout gagner en risquant de tout perdre, et c'est aussi parfois accepter de prendre le risque d'être moins aimé que l'on aime. Pour elle, je n'avais pas hésité une seconde. Je m'y étais attaché corps et âme. Avec Vraona, tout me semblait plus simple. Nos faiblesses étaient mises de côté, car réunis, on se retrouvait plus fort. Elle et moi, nous formions qu'un. Elle était devenue ma force, celle qui avait su donner un sens à ma vie. Tomber amoureux, c'est tout jouer. Il ne faut pas avoir peur de l'autre, de ce que l'on ressent et d'aller de l'avant.. Je ne sais pas comment m'exprimer. Je ne sais pas expliquer la passion que j'ai pu ressentir à ses côtés. Elle n'avait pour moi aucune limite. Cette jeune femme était mienne et je ne voulais pas la partager. Encore moins la voir près d'un autre, je suis assez possessif avec cette personne car elle m'est particulièrement chère. Je ne peux pas supporter d'autres gars lu tourner autour. Elle est mon plus gros coup de coeur, celle à qui j'étais prêt à tout donner sans exception. Je souhaitais voir dans son regard, le bonheur la porter plus haut qu'elle n'aurait pu l'imaginer. On a perdu la même personne. Une femme si chère dans nos vies, qu'on se comprend mieux que quiconque dans ce genre de moment dur. Quand le vide se fait de plus en plus ressentir et qu'on a envie de tout lâcher, de tout envoyer en l'air car notre seule envie est de la retrouver. Une mère dans une vie, c'est un pilier. On ne peut pas avancer sans cette personne, elle est un peu la voix des sages. Cette personne qui pourrait nous remettre en place, qui pourrait nous coincer et nous faire la moral sans qu'on ose broncher. C'est déstabilisant de ne plus la sentir près de moi, de ne plus pouvoir la serrer contre moi. Elle est cette seule personne devant qui je pourrais pleurer sans être gêné. Elle m'a tellement donné et sans compter. Nous avons eu la chance de n'avoir aucun problème d'argent mais je suis certain qu'elle aurait tout fait pour subvenir à mes besoins. Cette absence qui ne cesse de creuser un vide en moi peut me faire trébucher. Alors dans les moments difficiles, la personne sur qui j'ai pu compter, c'est Vraona. Elle me comprend, elle sait ce qui peut me détruire de l'intérieur. Elle sait la raison de mes moments de faiblesses. Lorsque je sombre, je suis prêt à tout pour oublier même une seule soirée cette douleur qui pourrait avoir raison de moi à petit feu. Dans les moments durs, je n'ai peur de rien, pas même de me jeter d'un building à cinquante étages. Aujourd'hui, notre relation a changé. Le temps a eu raison de nos sentiments. Et je dois avouer que j'ai du mal à l'accepter, plus les semaines passent et plus elle me manque. Jamais, je m'étais senti aussi accroché, aussi dépendant d'une personne. Le seul soucis, c'est que je ne peux lui avouer, je ne peux lui dire ce que contient mon coeur. Je ne veux pas tout perdre. Notre relation a déjà eu beaucoup de chance de survivre à cette rupture. Je ne peux pas reprendre le risque, je ne peux pas me faire à l'idée de la perte et je ne suis même pas sûr de pouvoir lui donner tout le bonheur qu'elle mérite. Je ne sais pas vous expliquer, je sais ce qui me retient et je sais ce qui pourrait me pousser. Sauf que je reste en place, je ne bouge pas.. Aujourd'hui, j'ai la chance de l'avoir rien qu'à moi. Sur cette plage, je ne pouvais que voir sa silhouette. Elle était magnifique et je n'avais qu'une envie la croquer. Cependant, je devais maintenir mes ardeurs. Il y avait du monde sur le sable fin. Je ne voulais pas nous faire virer parce que je me serais senti mal à l'aise de voir des gars balaisent prendre ses affaires et l'amener vers la sortie. J'étais jaloux au point de vouloir être le seul à pouvoir sentir la chaleur de sa peau. Me positionnant devant elle, je la saluais et l'admirais derrière mes lunettes fumées, histoire qu'elle ne puisse pas tout cerner. « Ne dis pas de bêtise. Tu as vu une mieux que toi sur cette plage ? Sérieusement. Je vais bien et ça me fait le plus grand bien de t'avoir rien qu'à moi. Je ne peux pas me limiter dans nos têtes à têtes, tu sais combien j'ai besoin de t'avoir souvent près de moi. Puis n'essaye pas de me fuir, je te retrouverai n'importe où sur cette terre. » Je lui souriais et baissais mes lunettes de soleil pour pouvoir encore l'admirer. L'embrassant sur le front, me faisait sentir un léger frisson. Même si elle me souriait, il y avait quelque chose qui clochait. Je la connais et je sais quand ces sourires sont totalement sincères. Je ne veux pas la brusquer. Si elle a besoin de me parler, elle est consciente qu'elle peut le faire. Sans aucun doute, elle sait que je pourrait être cette oreille attentive. Elle me connait après tout.. Cependant, elle ne doit pas se douter de ce qui demeure en moi. Je ne peux sans cesse la retenir. Vraona doit toujours avancer et ne pas reculer, encore moins pour moi.. Je lui proposais alors de se lever, de s'éloigner un peu du monde qui nous entourait et surtout des enfants qui criaient dans mes oreilles. Sans aucun doute, elle était partante. Mais je n'eus pas le temps de réagir qu'elle avait déjà pris la poudre d'escampette. Je l'entendais me crier quelques mots au loin. Alors sourire au bout des lèvres, je me levais sans perdre une seconde pour l'accompagner. « Tu rigoles madame, je suis pas gêné de tricher. Tu as pris la fuite et je n'ai même pas eu le temps de réagir. Tu as intérêt à nager sinon c'est moi qui vais te noyer. » Je la suivais de très près. Elle venait de s'arrêter dans l'eau. Arrivant à sa hauteur, je ne pouvais que la trouver encore plus belle qu'il y a tout juste trente secondes. On était loin de tout. On était seulement nous et je dois avouer que c'était le moment que j'avais entendu. Je décidais alors de me venger. Elle m'avait mis en dernière position, en prenant la fuite. L'attrapant comme un sac à patate, plutôt léger je dois avouer, je continuais d'avancer dans l'eau. Lui criant quelques mots, elle devait savoir qu'on ne me la faisait pas à l'envers. « Il faut te faire pardonner Vra. Tu ne peux pas gagner, tricher et rien avoir en retour. Je vais t'amener aux requins pour qu'ils puissent te manger. Vilaine fille. » Alors que je ne m'arrêtais pas. Enfin jusqu'à ce que l'eau arrive à la hauteur de mes épaules. Il ne me restait que quelques pas et elle finirait la tête dans l'eau. Je continuais de lui parler « Rien à dire pour ta défense ? C'est ta dernière chance. Profite, profite, vite. » Je me sentais en parfaite osmose avec elle. On était deux. On était loin. On était nous.
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MessageSujet: Re: I can't breathe with you looking at me like that ♦ Jayan I can't breathe with you looking at me like that ♦ Jayan EmptyMer 31 Aoû - 12:08




Jayan & Vraona


Ils n’étaient pas toujours d’accord, en fait ils n’étaient jamais d’accord sur rien, ils se bagarraient tout le temps et ils se testaient mutuellement mais en dépit de leurs différences ils avaient une chose très importante en commun ils étaient fou l’un de l’autre... Ce que cette phrase nous représente bien, vraiment bien, nous étions rarement d’accord, mais ce sont nos différences qui nous ont rapproché mais se sont aussi c’est même différence qui nous on éloigné, malheureusement. En tout cas nous sommes resté amis après cette rupture c’est ce qui compte le plus pour moi. Surtout dans ma sale période j’avais besoin d’être entouré, l’anniversaire de la mort de ma mère approché grandement et j’avais vraiment l’esprit ailleurs a cause de cela. Autant dire que déjà qu’en temps normal je suis d’une compagnie peu agréable mais alors en ce moment je le suis encore moins. Ma pauvre colocataire je l’adore tellement, elle m’adore aussi mais je lui fais vivre un tel calvaire en ce moment que ça ne m’étonnerai pas qu’elle me haïsse en ce moment, comme si j’étais en période rouge du calendrier féminin. Sans parler de la rentré qui approche, oui c’est bien connu j’adooooore étudier ou pas. En tout cas j’avais toujours une moyenne parfaite, d’ailleurs si je n’avais l’esprit aussi noir et torturé c’est dans la confrérie des epsilons que où j’aurais eu ma place, en même temps mon nom de famille m’y aide bien aussi, être une Rosebury-Duma n’est pas donné a tout le monde, j’ai l’ambition, la richesse et l’intelligence des epsilons. Pour les Duma on dit merci papa, dommage qu’il n’est pas autant de classe que mon oncle, le père de Stiyzanna, elle avait le droit a un père formidable, moi j’avais eu le droit a une véritable merde qui à tué ma mère sans scrupule, VDM Vraona, oui une vraiment VDM qui ne cesse de s’empirer chaque jour. Est-ce qu’un jour ou l’autre je trouverai une vie normale, ou je serais heureuse ? J’espère sinon je n’ai plus cas me suicider. Je me tenais donc face à ce joli visage. « Oui tu sais bien qu’il y a toujours mieux. Tu sais que pour cette journée tu va devoir me payer, tu le sais ça ? Ce n’est pas tout le monde qui peut s’offrir une journée avec moi. J’en ai besoin aussi, Oh mais je ne prendrais pas le risque de partir loin de toi tu sais bien. » Je lui souriais bêtement, je remis mes lunettes de soleil correctement, le soleil taper vraiment beaucoup et je sentais que mes petits yeux s’humidifier. Je profitais de sa présence, pour pouvoir lui parler librement comme toujours lui qui connaissait toute ma vie. « Tu sais quoi, j’ai reçu une lettre de mon père hier, il veut que je vienne le voir en prison, non mais tu y crois toi, je vais encore devoir faire semblant de l’apprécier alors que je sais ce qu’il a fait. Ca me tue, j’en peux plus, j’aimerai qu’il m’oublie, j’aimerai qu’il arrête de me faire suivre, tu sais quoi on est probablement surveiller. » Je fis une mine désespéré ban sang ce que j’étais mal une chance, que Jayan avait réussi a me faire pensé a autre chose, nous étions dans l’eau, et monsieur râle comme toujours, il ose dire que je triche, mais non je suis tout simplement une fille bonne pour courir un 100mètre. I can't breathe with you looking at me like that ♦ Jayan 277800 « Si tu me noie comment est-ce que tu va survivre sans moi ? Réfléchis un peu, tu pourrais au moins t’offrir l’offre complète de la journée Vraona alors, Sortie, Diner, Coucherie. Pour 1000€ on se fait la journée complète, après tu pourras me tuer. » je pouffa de rire comme une idiote, les deux minutes qui suivirent sont terriblement gênante, je me fis attraper comme un sac poubelle, et Jayan me bloqué pour que je ne puisse pas me débloquer, oh monsieur était vexé et avait besoin de sa vengeance très bien ainsi soit-il mais il n’allait pas s’en sortir aussi facilement. Je lui lancer des tapes la où je le pouvais mais ça ne l’arrêtais pas. Je rigolais a ne plus m’arrêtais ce que ça faisait du bien. « Comment tu veux que je me fasse pardonner si tu me donne au requin JAYAN, lâche moi bon sang ! Lâche moi ou je cris partout que tu es gay !! » Il continua d’avancer et mes cheveux commencer a être trempé. « Un bisoux en guise de paix ? Allez deal. » Je pris son visage dans mes mains et lui fit un bisoux bien baveux sur sa petite joue moelleuse. Bon sang ce que je le déteste par sa faute je devenais une fille totalement niaise, j’arrivais a être niaise uniquement avec deux personne, Jayan et Keyllan et rien que pour ça je les déteste tellement. « Ta de la chance la c’était un bisoux, la prochaine fois c’est ma main dans ta figure » Je souriais, encore et toujours. Et nos deux visage était tellement proche et mon envie tellement forte que je ne pu m’empêcher de lui redonner un baiser mais bien délicatement sur ces lèvres maintenant, tant pis les conséquences pour une fois j’agissais sans réfléchir a ce qui se passerai après. Moi qui d’habitude réfléchis a tout, cette fois j’avais agi sur un coup de tête. En me retirant je ne pu voir aucune expression de sa part, et c’est a ce moment que je réfléchis au conséquences de mes actes, merde, merde et merde encore dans quel bordel je m’étais encore fourré nous qui étions devenu ami. Est-ce qu’il allait m’envoyer ou boulet ou bien est-ce qu’il allait me comprendre et me dire que ce n’est pas grave qu’on oublie ce qui vient de ce passé ? Au fond de moi je n’espérai aucune de ces deux solutions. Et si par hasard il en avait eu envie aussi ? En tout cas je ne trouvais même pas la force d’ouvrir la bouche pour m’excuser.



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MessageSujet: Re: I can't breathe with you looking at me like that ♦ Jayan I can't breathe with you looking at me like that ♦ Jayan EmptyDim 11 Sep - 14:57

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It's like I knew from the very start that you were every other part of me..



Le jour et la nuit. Le bien et le mal. Nous étions parfaitement complémentaires l'un de l'autre. Comme le blanc et le noir, nous étions conscient chacun de notre côté, qu'une partie de l'autre vivait en nous. Nous nous complétons agréablement. Cette symbiose est sans aucun doute le succès de notre entente, notre relation. Les hauts et les bas, on en a connu. On est tombé. On se relève. Néanmoins, l'essentiel dans tout cela, c'est de savoir que l'autre est là quand on en ressent le besoin. Même si la fierté fait que par moment, on préfère se renfermer et se dire que tout ira mieux demain. Seulement l'humain n'a pas été fait de façon à toujours tout supporter. On a nos moments de faiblesses. Les jours où on baisse les bras et que notre seul désir et de faire le vide. Les soucis, les tracas dictent notre quotidien. Il faut malgré tout être conscient de l'autre côté de la vie. Le bonheur, le sourire et ce sentiment qui fait que rien ne peut nous atteindre, qu'on a tout ce qu'il nous faut en poche pour être affronter. Ces jours là où le soleil brille et que le vent peut venir se frotter à notre peau. Rien ne nous atteint, on se sent si fort, porté par ces sentiments dont on aurait du se méfier. Ce sentiment que j'avais pu ressentir pour Vraona et uniquement pour elle, de cette façon. Elle était sans aucun doute la femme qui avait eu le plus d'emprise sur moi après ma mère. Elle était celle pour qui j'aurai pu tout donner sans jamais rien attendre en retour. Cette femme au mille et une facettes qui a su faire battre mon coeur de manière particulière, qui a su me faire connaitre ces terres inconnues. Vraona est une femme que je respecte énormément et que je voudrai protéger chaque instant que l'on me donnera sur cette terre. Elle fait partie de moi et c'est indéniable, je ne peux plus le nier. Elle est une vraie pierre précieuse, le rayon de soleil d'une vie. J'espère qu'un jour, elle trouvera son bonheur. Je dois avouer profondément et secrètement que je l'avais imaginé à mes côtés. Face à elle, je mettais tout ceci derrière moi. Je voulais profiter, sentir son parfum, écouter son rire. La demoiselle était le centre de ma journée et je ne comptais pas la laisser filer. Prise dans mes pièges, elle allait devoir me supporter. Derrière ses lunettes fumées, elle me cachait bien des choses. Je le sentais. Elle n'était pas dans son assiette. Son bien être n'était pas complet et il ne faudrait pas longtemps avant d'en être au courant. Elle me confia le fait qu'il avait essayé de prendre contact avec elle, qu'il voulait la voir. Je pouvais la comprendre dès à présent. Sa situation était loin d'être facile à vivre. De plus, s'il était insistant, cela devait la déranger. Elle ne savait pas comme prendre ce bout de papier. Partager par la haine et l'incompréhension. Il avait ôté la vie à sa mère, il avait tout détruit et elle ne lui pardonnera jamais. Vraona avait peut être besoin d'explications ou d'un face à face pour lui dire tout ce qu'elle portait toute seule depuis qu'il avait pris place derrière les barreaux. Elle souhaitait certainement lui dire que tout ceci était sa faute et que jamais, elle ne le verrait comme un père. Je ne pouvais pas en être certain mais avec le temps, je pouvais sentir ses émotions sans qu'elle ait le besoin de s'exprimer. « Il n'est pas vite gêné. Peut être que ça t'aiderait de le voir, je sais que ce n'est pas facile et que tu t'es surement juré de ne plus croiser son chemin. Mais je pense que si de vive voix, tu lui dis tout ce que tu portes là.. » désignant son coeur, je continuais de parler. « Tu arriveras peut être à voir un peu plus loin. Qui sait qu'après, il te lâcherait les bottes. Enfin, toi seul peut savoir quoi faire. Mais si tu veux aller lui dire au revoir, je veux bien t'accompagner. Tu sais.. Je serais toujours là. » Tout était de son côté. Ainsi je pouvais comprendre égalament qu'elle ne voudrait plus croiser son regard et même que parfois, elle avait qu'une envie, l'étrangler de ses petits mains.

Je repris vite le droit chemin. Je ne voulais pas qu'elle y pense toute la journée. Je voulais qu'elle rigole, qu'elle s'amuse et que rien de mauvais vienne nous interrompre. Elle méritait son bonheur et peut être plus que certaines personnes. J'étais près à lui donner une partie du mien, s'il le fallait. J'étais peut être également prêt à lui donner tout le bonheur qui pouvait me toucher. Juste pour la voir sourire sincèrement, pour la sentir bien. Alors la discussion tourna vite à l'amusement. Il fallait se l'avouer. Dans le fond, on était de grands gamins. On avait filé à toute vitesse dans l'eau. Mais comme à son habitude, Vraona avait su y faire pour prendre de l'avance. Pas qu'elle soit une grande coureuse ou nageuse de compétition, juste qu'elle triche à sa façon. Est ce que je pourrais lui en vouloir ? Certainement pas. Néanmoins, je pourrais toujours lui faire payer, lui rendre la monnaie de sa pièce à la petite. Les propos qui faisaient sa défense n'étaient pas à mettre de côté. Même si la somme m'importait peu, tant qu'elle était proche de moi. Je payerai le prix qu'il faut. Tout en sachant que Vraona est loin de ressembler à ce genre de femme qui se fait payer pour ses services. Du moins à ma connaissance. « Je ne sais pas moi.. J'hésite. Je n'aime pas que tu utilises ton charme pour m'avoir ma chère. Je ne ferais pas avoir cette fois.. » Je paraissais fort et je le voulais. Car elle savait bien trop comment se jouer de moi, comment m'avoir dans ses filets de manière très bien calculée. Alors je jouais la carte du gars hésitant, celui qui est partagé ou simplement qui a le cul entre deux chaises. Je la soutenais au dessus de mon bras, la déposant sur mon épaule. Je comptais lui faire craindre la saveur du sel qu'elle pourrait avoir dans la bouche incessamment sous peu si elle n'avait pas d'autres arguments. La suite n'était pas plaisante à entendre. Elle s'y prenait très mal. « Tu me menaces ? Va s'y crie ce que tu veux, personne ne pourra t'entendre. » Je rigolais et je sentais son poids sur moi. C'est qu'elle ne se laisse pas faire la petite. Une vraie petite tigresse la Duma. Alors je continuais à marcher et l'eau ne s'arrêtait pas de monter. Jusqu'à ce qu'elle me propose ce dernier deal. « Un bisoux en guise de paix ? Allez deal. » Je me stoppais et sentais ses lèvres se poser sur ma joue. Elle m'avait touché en pleine poitrine. Elle m'avait eu avec les sentiments. Très intelligence, la demoiselle. On pouvait voir de cette manière qu'elle me connaissait mais pas de n'importe quelle façon. Elle avait eu la chance de côtoyer Jayan, le sincère, le faible face à ce qu'il ressent. Je la fis donc glisser le long de mon torse. Sentant ainsi sa poitrine et ses courbes me caresser, intérieurement je frémissais. Et sans même que je puisse prendre les choses en main, je la sentis s'avancer, m'approcher, m'embrasser. Elle avait posé ses lèvres si douces sur les miennes. J'avais subi ce baiser, ne sachant pas comment le prendre, ne m'y attendant simplement pas.. J'avais une fraction de seconde gouter à nouveau à ce gout que m'offrait ses lèvres. Cette sensation que je n'avais pas oublié. Cette tendresse qui pouvait lui appartenir et cette douceur qui la faisait encore plus particulière. Vraona était difficile à suivre. Elle venait de me mettre face au mur, de me proposer une paire de gifle si je recommençais. Mais l'instant d'après, elle avait outre passé ces propos. Quand elle se décrocha de moi, je réalisais ce qu'il venait de se passer. Posant mon regard sur elle, je ne pouvais pas la manquer, le regard baisser. Déposant délicatement ma main sous son menton pour le relever, je voulais qu'elle me regarde, je voulais pouvoir la regarder. La gorge nouée, je n'avais aucune idée de ce qui nous arrivait.. Une chose était clair, je ne pouvais pas la laisser filer. Alors tombant dans son regard, je caressais sa joue.. « Ne me laisse pas.. » Sans calculer, sans appréhension, je ne pensais plus à rien. Je ne voulais pas qu'elle me fouit, je ne voulais pas qu'elle s'en aille. C'était notre journée, mais je ne pouvais plus m'empêcher de canaliser cette envie. A mon tour, je l'approchais de moi, la serrant dans mes bras. Je déposais mes lèvres sur les siennes, passionnément et sincèrement. Car éternellement, elle m'avait marqué, je l'avais aimé et je l'aimerai infiniment jusqu'à la fin. Même si demain, nos chemins ne font plus un.
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MessageSujet: Re: I can't breathe with you looking at me like that ♦ Jayan I can't breathe with you looking at me like that ♦ Jayan EmptyVen 28 Oct - 16:30




Jayan & Vraona


« Les blessures que l'homme se fait à lui-même guérissent difficilement.» Voila une citation qui me tiens beaucoup a cœur, pourquoi, parce que pour moi elle signifie beaucoup, beaucoup trop de vérité dans cette simple petite phrase sortie par un grand homme du nom de Shakespeare. Jayan, je me souviens encore du jour ou je l’ai embrassé pour la première fois et je lui avais dis ensuite « J’ai passé toute ma vie à attendre que le bon gars se présente et tout à coup t’es apparu. Tu ressembles en rien à l’homme que j’imaginais, tu es impassiblement chiant. Mais pour être franche, avoir à t’affronter c’est la meilleure chose qu’il me soit jamais arrivé de ma vie, et je crois qu’il y a de très fortes chances pour que je sois en train de tomber amoureuse de toi.... » Si vite trop vite, des petits que mots je lui avais dis et nous avions eu ensuite une très belle histoire. Une histoire comme j’en avais encore jamais vécu. Les hommes en générale ne sont pas du tout fiables. On croit savoir ce que les hommes vont faire, on croit savoir ce qu’ils veulent faire mais quand arrive enfin le moment où ils devraient s’impliquer, j’en sais rien, prendre position... ils filent en douce et te laisse toutes seule, comme mon père l’avait fait avec ma mère. L’homme fort, brave comme on a toujours vu dans nos bouquins ou dans les films depuis qu’on a l’âge de 12 ans c’est faux, il n’existe pas. Les hommes ne sont pas forts, les hommes ne sont pas braves, les hommes sont effrayés. Et même s’il peut arriver qu’il y ait un instant magique, romantique et prometteur, les hommes sont incapables d’assumer ça... pourquoi ? Ils sont faibles, mais pas tous, parce que j’avais un exemple même devant moi, Jayan, il est une de ces rares exceptions. « Je sais pas, oui peut-être, je sais pas trop, tu es si gentil, moi je suis une mauvaise tu le sais bien, ça tiendrais cas moi je le ferais tuer de ce pas tu sais. D’aller le voir en face de moi, je ne pourrais pas contrôler ma rage qui s’accrue de jour en jours. Tu sais très bien que même si j’y vais que je lui dis ce que je pense et que je lui dis aussi au revoir, enfin un adieu même, il ne me lachera jamais, il aura toujours des mecs a m’envoyer pour m’espionner, peut-être même déjà la je suis suivi, l’autre fois j’ai reçu un courrier avec plusieurs photo de moi en sortant de soirée complètement morte, et derrière ces photos était inscrit « J’aime pas ton état change moi ça au plus vite. » Il ose encore jouer le rôle du père alors que pour moi il est complètement mort. La seule chose qui pourrait faire qu’il me déteste et que je lui avoue que s’il est en prison c’est à cause de moi, la il aura qu’une envie celle de me tuer. » Quand le bel epsilon me proposa sa présence pour aller voir mon père, je ne sue quoi lui répondre, j’étais tellement touché qu’il veuille bien faire une chose pareil. Mon père le connaissait, il connaissait notre histoire et je suis sur qu’il serait même content de le voir. « Merci, je pense que si je dois y aller un jour j’aimerai beaucoup que tu viennes avec moi, mais tu sais ce n’est pas facile je ne veux pas t’imposer une tel chose. » J’osais pas vraiment lui dire, mais j’avais qu’une envie, c’est celle qui vienne, je ne pourrais pas y aller seule. En tout cas je n’avais pas envie de rester sur ça toute la journée, il fait beau et je suis prête a m’amuser avec Jayan, le soleil me chauffer et je commencer a griller. Tout les deux nous avions couru comme deux gosses dans l’eau, non seulement pour s’amuser, mais aussi pour nous rafraichir ce qui me faisait d’ailleurs beaucoup de bien cette eau fraiche contre mon corp fit apparaitre des frissons bien apparemment, j’avais chaud, mais pas que par cette chaleur, mais aussi avec la présence du bel epsilon, il me faisait toujours autant d’effet. Je ne suis pas une tricheuse dans l’âme, mais j’aime bien toujours être la première et avec Jayan grand et sportif, je ne ferais sans doute pas le poids et c’est bien pour cette raison que vite je m’étais empresser de prendre de l’avance et tant pis pour l’honnêté sur ce coup. « Comment ça utiliser mon charme, ça va pas non, tu sais bien que je ne suis pas de ce genre la … ou pas. Allez laisse toi faire, écoute la plus belle. » Dis-je avec mon rire de fille coquine. Bon puisque la technique du charme avait été clairement un échec j’allais donc m’essayer a autre chose, pourquoi pas les menaces ? Oui après tout il pourrait très bien avoir peur de moi le petit. Apparemment non cette technique n’avait pas plus de succés que la première, j’étais donc coincé. « Tu pourrais au moins faire semblant d’y croire hein, je me retrouve comme une gourde la, saleté va. » Je fis mine de tourner la tête, peut-être que ma mine boudeuse ferais son effet ? Apparemment oui un peu plus que les deux autre technique, le posais que je lui déposais sur la joue était un baiser anodin, mais j’y prenais quand même beaucoup de plaisir. Comme quoi j’étais vraiment une fille mauvaise, je m’étais jouer de ces sentiments pour l’avoir, quoi que enfaite je m’étais jouer de moi aussi sur le coup. J’étais de retour sur mes pattes, ma tête face a la sienne, enfin quand je daigner être sur la pointe des pieds puisque le jeune homme était beaucoup plus grand que moi. Cette position me fit faire des choses auquel je ne m’attendais pas. Je m’étais approché pour l’embrasser, un baiser tout et sincère. Je me souvenais de nos anciens baisers, celui ressembler a notre premier baiser. Le baiser de l’excitation et de l’envie. Je l’avais tellement aimé, et je l’aimerai probablement toujours, un moi intérieur aimerai tellement recommencer ce que nous avions vécu, mais mon autre moi était totalement contre cette idée, nous avions essayé et ça n’avait pas marché, surtout que maintenant de nouvelle personne était entré dans nos vie, moi j’avais Keyllan mon meilleur ami, je ressentais des choses pour cette homme, j’en était sur même si rien ne s’était passé encore, et Jayan lui était proche d’autre femme, comme ma colocataire par exemple qui ne cesse de me parler de ce Jayan. Oui j’étais un tantiné jalouse qu’ils soient si proche, mais en même temps je n’avais pas envie de gâcher ce qui peut-être pourrait-il se passer. J’avais tellement envie de Jayan la maintenant tout de suite, mais je n’en avais pas le droit. Je sais que je l’aimerai toujours mais je devais me l’interdire dés maintenant. Mon amour pour cette homme devrait s’arrêter maintenant je l’avais décidé ainsi. J’ouvris donc la bouche après ce moment de silence. « Je crois qu’on s’engage dans une route à problème la, tu ne crois pas ? » Je le regardai gênée, mais souriante.



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MessageSujet: Re: I can't breathe with you looking at me like that ♦ Jayan I can't breathe with you looking at me like that ♦ Jayan EmptyDim 30 Oct - 14:19

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I can’t take one more sleep this night without you..



Entre nous, c'était plus une question d'histoire que de sentiments. Car aujourd'hui, j'essayais de les mettre de côté pour avancer et pour la laisser simplement goutter à son bonheur. Après tout si elle devait être avec moi, nos chemins finiraient bien pas se recroiser et à ce moment, on sera peut être prêt. Elle pouvait penser que j'étais un faible et que je n'avais pas ce qu'il fallait dans le pantalon pour continuer d'avancer, pour me lancer. Sauf qu'on avait déjà essayé. On avait décidé de former une et seule personne et même si c'était plaisant, on avait du faire le choix de prendre une direction différente. J'étais trop dingue de cette fille. Elle me faisait devenir quelqu'un d'autre et après tout, je comprends que ça ne soit pas ce qu'elle veuille. On s'aimait pour ceux qu'on avait rencontré la première fois qu'elle croisait mon regard. On s'aimait, on était jeune et on ne s'était fixée aucune limite. J'en payais les fruits aujourd'hui. Je devais continuer ma route sans l'avoir sans cesse à mes côtés. Elle n'était plus mienne. Et si cette idée me déchirait encore plus, les jours de déprime, je ne pouvais plus rien n'y faire. Je ne pouvais pas la faire tourner sur mon doigt car je ne sais pas sur quel pied danser. Je ne suis pas comme ça et encore moins avec Vraona. Son regard, son sourire, sa façon d'être font encore à l'heure actuelle qu'elle m'est chère. Je me demande quand le bonheur viendra frapper à sa porte. Je ne me sens pas être à la hauteur de ce qu'elle mérite. Mais la simple idée qu'un autre arrive à la combler, peut me rendre dingue. Savoir qu'un autre homme la prend dans ses bras quand il s'endort. Cette image me donne la chair de poule, tellement ça me rend mal. Seulement, je ne devais pas rester sur ce point là. Elle avait droit à trouver un homme à aimer. Même si en ce moment, un ne pouvait pas s'empêcher de la blesser et de la rendre dingue. Son père; Il devait comprendre que Vraona avait fait certain choix dont notamment le fait de faire une croix sur celui qu'il était et ainsi sur son existence. Néanmoins, je pouvais comprendre que la belle brune était son sang, sa dulcinée. Mais il devrait réaliser la personnalité qu'à cette fille. Vraona semblait avoir tourné la page depuis longtemps. Même si je pouvais comprendre, le fait qu'elle ait besoin ou pas de le voir. Dans tous les cas, je tenais à lui dire qu'elle pouvait compter sur moi. Je connaissais son histoire et je ne la jugeais pas car je ne sais pas ce que j'aurais fait si j'étais à sa place. Je n'ose même pas me l'imaginer, d'ailleurs. Alors dans ce moment là, si elle avait besoin de quelqu'un, je serais sa personne. « Je sais que ça ne saura pas facile et c'est pour ça que je veux être là, donc ça me ferait très plaisir. Je suis là pour les bons moments mais aussi pour les moins bons. Tu sais. Tu comptes particulièrement et si je peux m'être utile pour te tenir la main, je le ferais avec plaisir. » Je lui souriais et cela suffisait pour qu'elle comprenne la sincérité de mes plus profondes pensées. Elle n'est pas n'importe qui pour moi et je veux être là quand elle trébuche. Je veux être celle lumière dans le noir quand elle se perd. Aujourd'hui, je ne peux plus être le numéro un dans son coeur. Néanmoins, je veux lui montrer combien je serais toujours prêt à m'investir avec elle Peut être que notre moment reviendra, peut être non.. En tout cas, jamais je ne cesserais d'être là. Il doit bien y avoir sur cette terre un homme digne de la protéger comme il se doit.. Je serais celui là.

Nous n'avions pas hésité une seconde de venir nous mouiller. Après tout, la plage c'est un peu pour ça que pour venir se faire une pétanque. En plus, juste elle et moi que pouvais - je rêvé de plus. Je tombais à chaque fois dans son regard, en enfilant malgré tout mon armure car elle savait jouer de ses armes. Seulement, je n'allais pas me faire avoir de suite. J'allais résister et lui montrer qu'il fallait user d'un peu plus que de sa menaçante voix. Car elle pensait réellement qu'elle arrivait à me faire peur, que j'allais la crainte. Sérieusement, petit bout de femme, tu crois que tu vas arriver à me faire redouter ton regard de tueuse. Cependant, elle savait également ce qui pouvait marché en cas d’échec. Alors quand elle me déposa ce baiser sur la joue et que je sentis son souffle venir se frotter contre ma peau, je n'avais qu'une envie. Nos regards s’entremêlèrent et je ne pouvais pas en être maitre. A partir d'un moment, notre coeur prend le contrôle et la tête n'a plus aucune force. Face à moi, je n'avais qu'une envie la tête. Une seule envie qui semblait être partagée lorsque je sentis son doux parfum se rapprocher de moi. Sa douceur et sa tendresse venir se coller à mes lèvres. Que pouvais - je demander de mieux. Après tout, on dit que les mêmes esprits se retrouvent et la situation en était carrément le cas concret. « Je crois qu’on s’engage dans une route à problème la, tu ne crois pas ? » Elle n'avait pas tort. Il y avait eu le retour de Ebonny, depuis cancun. Cette fille que je connaissais depuis toujours était revenue dans ma vie. Puis Vraona particulièrement proche de sa moitié, son meilleur ami. On était un peu suicidaire d'avancer sur cette route qui s'avérait être une pente en chute libre. Mais comment résister ? Les mots ne me venaient pas pour lui expliquer ce que je pouvais éprouver. Je me suis laissé porter encore une fois par mes sentiments et le regard qu'elle posait sur moi. L’amenant tout contre ma peau, j'avais envie de la porter et de lui montrer combien elle comptait et combien je l'aimais. Seulement, je me devais de ne pas en faire trop. Passant l'une de mes mains dans sa nuque, j'avançais son visage vers le mien et une nouvelle fois, goutait à ses lèvres. Je l'embrassais sensuellement et tendrement. Prenant le soin de le vivre et de le savourer, ce baiser me fit frisonner de la tête au pied et si je m'écoutais, je la prendrais dans mes bras pour l'emmener lui d'ici, loin de tous ces regards. Tout était vraiment compliqué lorsqu'on aimait une personne plus qu'aucune autre. C'est difficile de se faire une raison lorsque le coeur et la tête se font une guerre sans merci. Puis lorsque je me détachais de ces lèvres plus par raison que par conscience. Je fis glisser la main qui s'était cachée dans sa nuque jusqu'à son visage où j'y caressais justement sa bouche. Elle me rendait vraiment faible, face à ce que je pouvais éprouver. Vraona avait le don de savoir tout remettre en question sans vraiment en prendre conscience, je pense. Après tout, on ne peut pas faire comme si rien ne s'était jamais passé entre nous. « Ma tête pense la même chose. Seulement, je ne devrais pas te dire qu'une autre force me pousse à agir comme ça. On se perd dans ce qu'on est et surtout dans ce qu'on veut être. » A cet instant, je savais que je ne pouvais pas revenir en arrière.. « Qu'est ce que je devrais faire pour ne pas être tenté d'être plus qu'un ami face à toi ? Je sais qu'on se l'ait promis. Mais je sais aussi que j'aurais toujours cette flemme pour toi. » Je ne tournais pas en rond, je lui disais mes plus profondes pensées et je m'en étonnais. Je ne devais pas lui dire ça, je ne voulais pas qu'elle réalise le pouvoir qu'elle pouvait exercer sur moi. Je ne le souhaitais et en même temps, ne le voulait pas.. Alors j'allais essayer de rattraper le coup comme je le pouvais. « Nous ne sommes pas vraiment de sages personnes. » ajoutais - je au final, sourire en coin. Elle savait tout comme moi qu'on pouvait facilement se perdre l'un face à l'autre. Cependant, là aucun de nous deux semblaient assez fort pour ne pas laisser faiblir l'autre..
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