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Une amitié sur le fil du rasoir [Julien A.Leclerc]

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MessageSujet: Une amitié sur le fil du rasoir [Julien A.Leclerc] Une amitié sur le fil du rasoir [Julien A.Leclerc] EmptyDim 29 Mai - 22:35

Julien & Mareva

L'amitié fille / garçon est-il un simple mythe...
Une amitié sur le fil du rasoir [Julien A.Leclerc] 924415ED4 Une amitié sur le fil du rasoir [Julien A.Leclerc] 872024PB


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N’allait surtout pas croire qu’une amitié fille / garçon n’existe pas dans ce monde. Pour preuve Mareva et Julien en sont le modèle même, encore aujourd’hui c’est deux amis se donnèrent rendez-vous en boite nuit. Ce lieu était l’un de leur lieu préféré quand ils se revoyaient tout en voulaient discuter et bien évidement s’amuser. Alors après une dure semaine de cours riche en travail et surtout aux divertissements, ils décidèrent alors de clouer la semaine en beauté dans ce lieu synonyme de plaisir et amusement.
Mareva et Julien c’étaient donné rendez-vous à 22 heures 30 précises et çà à l’intérieur de la discothèque et plus précisément autour du comptoir. La jeune fille comme à son habitude été arrivé en avance, quand elle est amie avec quelqu’un on peut dire que le respect elle connaissait et se démener pour toujours être à l’heure à chacun de ces rendez-vous.
Pour cette soirée elle avait une fois de plus sortie le grand jeu sur le plan vestimentaire. Une tunique blanche lui arrivait à quelques centimètres en dessous de son fessier et cela lui faisait office de tenue, sans oublier ses magnifiques escarpins blancs qui mesuraient plus de 10 centimètres.

Une fois de plus sa tenue était très aguichante après tout il fallait bien attirer le mâle dans ses filets.
Bien sûr ce numéro d’aguicheuse n’était pas destiné à Julien, se disant ami la règle d’or était bien sûr de ne pas coucher ensemble. Une chose quelque peu étrange étant donné leur mentalité et histoire à tous les deux, pour tout le monde cette histoire d’amitié semblait contre nature et pourtant cela faisait plus d’un an que cette situation était toujours resté à ce même niveau.

En attendant l’arrivée de son cher ami, Mareva regarda autour d’elle et remarqua que comme à son habitude son charme et sa légèreté vestimentaire laissait peu d’hommes indifférents ce qui pouvait encore plus satisfaire son égo, continuant ainsi à lancer des regards provocateurs à tous.
Arrivée 22h30, la jeune brune commença à s’impatienter à l’idée de voir Julien, délaissant même son jeu de séductrice auprès de ces hommes pour chercher du regard la silhouette de son cher et tendre ami. Cela faisait plus d’une semaine qu’ils ne s’étaient pas revu pour elle cela lui paraissait donc une éternité. Assise au comptoir pour passer le temps d’attente elle commença alors à boire de shutter de vodka.
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MessageSujet: Re: Une amitié sur le fil du rasoir [Julien A.Leclerc] Une amitié sur le fil du rasoir [Julien A.Leclerc] EmptyJeu 2 Juin - 15:08

      Une amitié sur le fil du rasoir [Julien A.Leclerc] Jbbssh93
      « Tantôt le coeur est le moteur du sexe, tantôt le sexe du coeur. On ne le distingue
      qu'au moment des pannes.
      »


L’amitié fille/garçon. C’est fou, hein. Moi je ne sais pas du tout comment je fais, mais en tout cas je le fais. Je vais être franc avec vous, je baise souvent, et je ne pense pas que cela va s’arrêter. Je veux pratiquement mettre toutes les femmes dans mon lit, et pourtant, il y en a que je ne mets pas. Celle qui sont prises par exemple. Et d’autres, celles qui se prétend mes ami(e)s ; au fond, j’ai couché avec la moitié de mes ami(e)s féminins, même avec ma demi-sœur – bien sûr, je ne le savais pas que nous étions liés à cette époque – un coup par-ci, l’autre par-là. Moi et qui d’autres pourraient faire ça ? Les Deltas sont bien représentés par ma personne, même si je déteste en faire partie, même si j’en déteste beaucoup dedans, je fais comme si je n’étais parmi eux. En parlant de ça, il fallait que je me trouve un véritable chez moi, et pas un lieu ou rester avec pleins de femmes & de mecs qui ont faim de sexe. Ça en devient malsain, si si, je vous jure. A croire que l’on est dans un baisodrome, et que l’on a plus à chercher, juste à se servir. Où est le jeu ? Où est l’envie véritable ? Baiser pour baiser, aucun plaisir à part le plaisir de la chair ? A mes yeux, s’il n’y a pas de jeu, pas de résistance, c’est presque sans plaisir que je baiserais, que je me donnerais à l’autre sans me soucier réellement de son plaisir, et encore moins du mien. Comme si je n’avais pas été là, et c’est tout. Moi je veux du vraie, comme dans ce que j’écris, je veux que ça soit vivant. Que l’on vit à travers ce que j’écris, que l’on imagine le tout, que l’on ressente des émotions fortes, intenses, juste à travers des mots, c’est ça la magie de ma lecture, et depuis que je me drogue, cette intensité à travers les mots à d’après moi évolué. Cette lecture, cette drogue, moi. Un peu d’Alpha, un peu de Gamma, et finalement, beaucoup de Delta à croire. J’aurais aimé être chez les Gammas, plus près de ma source de plaisir, et surtout, plus près d’une autre mentalité. Mais bon, je n’ai pas le choix, pour l’instant. Alors je vais faire avec et faire comme si je n’avais rien vu, et être patient, attendre d’avoir mon propre habitat. Patient, hein ? Et comment patienter alors que les tensions des examens se faisaient sentir chaque semaine, de plus en plus fort ? Il faut sans doute sortir au lieu de réviser, oui, profiter d’une soirée, et de préférence avec des gens que l’on apprécie, des gens avec qui ont a un lien, et quand ce lien est plus intéressant, quand les circonstances sont spéciales, des choses inattendues peuvent arriver. Ce soir, je ne serais pas seul, juste en retard. Oui, cherchais un habitat tout en révisant les examens, c’est une chose que je ne dois plus faire, pourquoi ? Car on a une grosse migraine, on prend un peu de coke et on va se taper une fille au hasard dans la maison. On ne peut savoir si on l’aime ou pas, dans l’état ou j’étais, je me suis servi comme ça. Le sommeil est vite arrivé après ce coup rapidement tiré. Un coup comme un autre, moi qui n’avait pas voulu cela, et bien c’est loupé. Je suis comme les autres au fond, des fois bien sûr. Quand je suis sobre, rien n’est pareil. Le monde lui, ne bouge pas, quand moi, je ne me drogue pas. Au réveil, tout est plus clair, même si j’ai légèrement la tête dans le cul, et plus beaucoup de temps pour me remettre d’aplomb. Il est 22h10. Ce soir, j’ai rendez-vous en discothèque avec mon amie Mareva. Une bombe, mais avant tout mon amie, oui c’est ça, c’est ce que vous vous dîtes, on a surement déjà fait des trucs hein, mais non. Rien du tout, juste une amitié vieille d’un an à présent. Mon regard fit rapidement l’état des lieux. Une femme sur mon torse, une fille aux cheveux châtains qui dormait. Je la bougeais doucement avant d’aller à poil dans la salle de bain, faire couler l’eau chaude, de quoi me réveiller, bizarrement lorsque j’y arrivais l’eau n’était pas très chaude, même plutôt froide ! Fuck ! Il faut que je me dépêche, pas le temps d’attendre que l’eau se réchauffe. Je me lave rapidement et me réveille aussi. J’enfile un jean noir ainsi qu’un haut blanc, collant à mon corps et montrant bien mes muscles ; oui, j’aime montrer mes muscles, ça les fait tomber ! Rapidement je sors une fois totalement habiller je sors de la maison des Deltas & Bêtas & marche rapidement pour arriver hors du campus, siffler un taxi et partir à mon rendez-vous avec ma Mareva. Le trajet est quelque peu long, une dizaines de minutes plus tard je suis sur place, j’ai quinze minutes de retard, et surtout, je n’ai aucune excuse. Je fais un clin d’œil aux videurs que je connais et qui me laisse rapidement entrer devant des gens jaloux. J’entres enfin, et vais me prendre une vodka coca, rapidement je la bois, puis je me mets en tête de chercher Mareva. Rapidement je perçois son regard, elle me cherche. Je m’amuse alors, j’esquive son regard et me cache légérement. Finalement je me débrouilles pour passer près d’elle sans qu’elle ne m’est vu, pose ma main au ras de son fessier si tentant sous cette robe trop courte, comme toujours. Et dire que l’on est qu’ami(e)s, incroyable, ça m’étonne à chaque fois. Ma bouche vint se poser sur sa joue, mes lèvres l’embrasse sur la joue et je reste collés à elle, mon autre main la tourne vers moi et je la prends dans mes bras dans une étreinte amicale ! « Désolé du retard.. tu me connais, j’ai eu le malheur de révisé, et de chercher un logement en même temps.. j’ai eu une migraine et finalement j’ai couché avec une bêta que j’ai trouvé sur le chemin, et je me suis réveillé il y a… près de trois quarts d’heures ! Voilà tu sais tout ! Maintenant, les choses que je veux te dire : tu m’as manqué ma Mareva chérie, comme je vois tu es toujours aussi sexy et c’est moi ou les gars derrière moi sont jaloux ? » dis-je avec un sourire malicieux, dire que nous ne fessions rien et que les jalousies fusaient, je m’aime, enfin, je nous aimes !
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MessageSujet: Re: Une amitié sur le fil du rasoir [Julien A.Leclerc] Une amitié sur le fil du rasoir [Julien A.Leclerc] EmptyJeu 16 Juin - 13:31

Une amitié sur le fil du rasoir [Julien A.Leclerc] 1121857659

Si tentant et excitant à la fois, mais une barrière est bien là ...

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Dans l'attente de son cher ami, Mareva s'enchaina les verres de vodka puis s'amusait à agiter sa paille dans le verre. Beaucoup d'hommes la regarda parfois en la dévisageant, alors pour rentrer dans ce jeu, elle les fixait de plus en plus et s'amusait à prendre des morceaux de citron sortit tout droit de ces verres et prenait un malin plaisir à les mordillait doucement et à les léchait tout en continuant à regarder tout homme qui pourrait l'exciter. Il fallait bien passer le temps et Julien était pas à l'heure, bien sûr pour l'instant il n'avait que dix minutes de retard mais pour Maréva l'heure c'est l'heure et encore plus pour les amis à ses yeux.
Elle n'arrêtait pas de regarder sa montre minute par minute, son jeu de séduction était amusant au début mais là dans sa tête seul le nom de "Julien" résonnait.

*Mais que peut-il bien faire ?* Tout en soupirant et continua à regarder autour d'elle son regard était aussi rapide qu'une ferrari.
*Je pensais qu'il me connaissait pourtant, je déteste qu'on soit en retard, c'est équivalent à un lapin, dépêche toi Julien" puis elle posa son coude sur le comptoir et commença à mordiller l'ongle de son pouce.

Soudainement elle sentit une main se poser sur le haut de ses hanches, elle comprit très vite que c'était Julien, oui elle avait senti son parfum dès qu'il était venu à côté d'elle.
Son parfum était comme un préliminaire à ses yeux, à la fois fort et piquant, rien que de le sentir cela l'émoustiller et l'a mettait dans tous ses états. Toutefois, la barrière de l'amitié était bien là et malgré certains éléments très titillant, Maréva resta de marbre. Plus elle le connaissait et plus elle se félicitait de résister à ce point. Ils se disèrent alors bonjour tendrement du coin des lèvres, ouis s'enchaîna une accolade très tendre mais toujours très "correct" pour ce genre de personnes.
Julien s'excusa de son retard en lui expliquant les raisons puis lui sortit ensuite une phrase très flatteuse, qui avait de quoi la rendre plus fière de son sex appeal .

Non ne t'inquiètes pas, tu ne rêves pas beaucoup d'hommes t'envient. Depuis tout à l'heure en plus je m'amuse à les provoquer et les aguicher du regard, imagine alors leur regret de voir qu'en faite c'est chose perdue pour eux. Avait-elle dit tout en lui souriant et en lui lançant son regard de prédatrice.

Cependant, plus je regarde et plus je constate que de nombreuses filles n'arrêtent pas de baver rien qu'en te regardant. J'adore voir ce regard de jalousie qu'elle me lance. Mais je dois l'avouer vu comment tu es habillé et le charisme que tu dégages, elles ne peuvent qu'être séduite. Disait-elle en rigolant puis touchant au même passage son torse tendrement.

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