La nuit était tombé sur le campus. Tout le monde devait surement dormir. Sauf elle. Lexie était assise dans son lit. Elle était juste habillé d’un tshirt & d’un boxer. La tenue idéal pour dormir. Sauf qu’elle ne dormait. Non, elle n’y arrivait pas. Elle regardait par la fenêtre, fixait les lumières. Elle essayait de trouver l’inspiration pour dormir. Elle vivait la nuit & dormait le jour. C’étais devenue son crédot. Malheureusement, la semaine à l’université, son crédot n’était pas facile à vivre. Elle fessait la fête, c’est sur mais elle finissait toujours par devoir aller dormir quelques heures avant d’aller en cours. Ses parents surveillaient ses présences en cours à son plus grand regret. Elle se rattrapait avec une grande joie les week-end. Elle finissait toujours par se retrouvé entouré de pleins de garçons qui restaient avec elles jusqu’au bout de la nuit. Oui, elle adorait çà. Elle ne le revendiquait pas mais elle adorait être entouré de garçons. Il fallait dire qu’elle était gaté par la nature, malgré la couleur de ses cheveux. Elle avait toujours entendu les gens parler en mal sur les roux. Ils étaient rejeté facilement. Et pourtant elle, elle a toujours été entouré. Elle a toujours été un objet de fascination.

Elle finit par se lever de son lit & regarda son téléphone. Elle espérait une invitation d’un ami à la rejoindre mais non. Rien. Son portable était aussi vide que le ciel sans étoile. Elle commençà à faire les cents pas. Jetant des coups d’œil par ci par là à travers la fenêtre. Sa décision était prise. Elle devait sortit prendre l’air. Elle enfila un shorty. Ses cheveux étaient attaché de façon plutôt sauvage. Elle pris avec elle une couverte & une couette. Elle regarda dans son frigo & pris sa bouteuille de Vodka ainsi que son portable & son ipod. Elle avait décidé de se réfugier sur le toit. Elle traversait le couloir & attérit à la petite porte. C’était interdit de monter sur le toit. Mais tout ce qui était interdit l’exciter. Elle lanca un regard autour d’elle & ouvrit la porte. C’étais toujours le même frisson. Elle était à pied nu. Elle adorait être à pied nu. La sensation de l’herbe fraiche sous ses pieds, le dur du béton, elle adorait çà. Elle grimpa les marches de l’escalier. Les marches étaient rêches & lui écorchaient surement sa voute de pied. Enfin, elle arriva sur le toit.

C’était pour elle un instant magique. Elle regarda tout autour d’elle. Un gain de folie s’empara d’elle. Elle installa d’abord sa couverture sur le sol ainsi que sa couette. Son regard se posa sur le parc. Il était vide & calme. C’étais reposant. Elle remarqua alors la beauté du paysage qui l’entourer. Elle n’était pas folle. Elle le savait. Elle ouvrit sa bouteuille de Vodka est commenca à la boire. Une gorgée pour commencer. Elle s’assit sur sa couverture & laissant la nuit la bercait. Elle se releva d’un coup, pris une deuxième gorgée de Vodka & commençà à courir partout sur le toit. Elle balança son portable sur la couverture. Elle marcha sur le bord en ouvrant grand ses bras. Elle n’était pas soul. Loin de là, elle ne ressentait pas encore les effets. Il lui fallait plus. Elle avait juste ressenti le besoin de se changer les esprits.

Ca toujours été pour elle un besoin. Un besoin de faire la folle. Elle ne tenait pas en place. Cependant, elle ne le montrait pas. Quand elle était entouré de gens qu’elle ne connaissait pas, elle restait dans la mesure du possible calme. Du moins, elle essayait. Cela n’était pas facile pour elle. Elle prit son ipod & l’installa sur ses oreilles. Elle fessait parti d’un club privé. Elle savait dansé d’une façon que les garçons ne la lachaient pas. Elle ne pratiquait pas cette danse lors des soirées qu’elle organisait dans l’université & à l’extérieur. Et pourtant, là elle ressentait l’envie & le besoin de danser. La musique qui passa est Tic Toc de Ke$ha… Une chanson parfaite pour ce genre de danse. Elle commença ondulé. Elle se libéra de la tension qui l’entouré. Elle pris une autre gorgé de Vodka & repris sa dance. Elle ondula le long du poteau où était accroché un grand spot qui éclarait l’entrée de l’université. Elle se rua par terre & dança au sol. Elle donnait l’impression de danser langouresement avec un homme invisible. Oui, c’est çà. Elle immaginait un homme danser avec elle. Elle essayait de le séduire.

Elle remarqua que sa bouteuille de Vodka avait changer de place. Elle était un peu moins rempli qu’il y a quelques instants. Cela ne l’arrêtait pas pour autant. Elle s’arrêta à la fin de la chanson. Ses cheveux volaient de partout. Ils étaient déjà en brouillon au départ mais là, ils devaient l’être encore plus. Elle entendit des applaudissements derrière elle. Elle souria, pris une gorgée de Voda & se retourna vers la personne qui s’était invité à sa représentation privée.

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Julien Leclerc-Armand & Lexie Kimmu Da Vulcra

Une bombe sulfureuse rousse. C’est ce qui m’éblouit. Une fille, une simple fille, vraiment ? Alors que je n’étais venu que chercher l’état d’ivresse d’une fête pleine à craqué, ou bien encore ma dose habituelle chez les dealeurs du coin, je ne trouvais rien, cependant, je ne désespérais pas et avait toujours mon numéro magique. Celui qui me sauverait de l’ennui, et surtout d’un manque que je ne pourrais combler que par la présence dans mon corps de cette substance qui le désintégrerait petit à petit. Mais non, une tonalité interminable, puis un répondeur. La journée s’assombrissait d’un coup pour moi, alors que l’on est déjà en pleine nuit, je ne sais pas quoi faire, je ne sais plus quel décision prendre : le manque m’apparaît de plus en plus et j’en ai bien peur, je suis faible. Cette pensée m’insupporte et j’ai envie de frapper chaque reflet de ma personne sur quelconque objet me reflétant. Bien sûr je me contenais, mais un homme qui se drogue continuellement, environ deux à trois fois tout les deux jours, on en devient vite accroc, on accentue les doses, et par miracle je ne l’avais pas encore fait, en faite, depuis que j’ai frappé Elena, sous l’emprise de la drogue, j’ai diminué les doses, largement diminué, mais là, ça semble repartir de plus belle, une nouvelle descente aux enfers ? Mais il faut que je me montre fort, que je change, car même si mon rêve est de devenir un grand écrivain reconnu de tous, je ne devrais mon succès qu’à la drogue, car mon imaginaire, min inspiration atteint des paroxysmes jamais égalés. L’impression de se doper, de ne rien faire par soi-même, ça en devient affligeant et pour un Français avec des origines Italiennes, la fierté est quelque chose que je ne peux contrôler, elle est en moi, tel une entité vivante et indépendante de ma propre personne. Elle est surement sous l’effet des drogues que je prends depuis longtemps et c’est donc pour cela qu’elle n’a plus eu de contrôle sur moi, de pensées me disant quoi faire et ne pas quoi faire pour me sentir vraiment moi-même au lieu de prendre ces substances illicites & illégales. Les cours que je sèche de plus en plus du au fête que j’enchaîne et l’effet néfaste de cette drogue que j’ingurgite soir après soir, quand je sors principalement. Suis-je en train de marcher dans le noir à la recherche d’une fête à l’horizon ? Un dealeur quelconque ? Je n’en sais rien, je ne cherche même plus la raison de mes gestes, ce manque prend la place de mes pensées, de ma propre raison d’être. Ou pas. Peut-être que finalement, Elena a raison, et il faudrait que je me calme sur cette merde, le succès que j’ai grâce à ce que j’écris, à pour moi un goût de merde, un goût ignoble et qui ne me revient qu’à moitié, seulement grâce à du dopage. Voilà, je l’admets enfin. Ma fierté ne se représente pas, je ne suis qu’un dragueur invétérée qui couche avec toutes les femmes qu’il trouve, tant qu’il l’a trouve potable. Mais au fond, qui suis-je réellement ? Un mec seul, sans ami(e)s, sans réelles familles à part une demi-sœur que je ne connais pratiquement que peu, du moins, je l’ai toujours connu comme tel, mais le temps à passer et tout deux avons changé, rien n’est plus pareil dès à présent. Alors que dois-je faire ? Rester comme tel ? Mes pas sans le savoir m’amène au pied d’un immeuble, un immeuble quelconque, je ne sais même pas lequel, j’y rentre, puis monte. J’entends de la musique, mais ce n’est que très léger. Mes pas m’ont amenés ici, mais pourquoi, ou pour qui ? Je n’en sais rien, je marche, et je monte les marches. Finalement j’arrive en haut, la musique est plus forte, et je la vois, cette bombe rousse qui m’éclabousse. Elle danse, au rythme de la musique, elle ondule bien, son corps est beau, elle aussi. Son visage accueille un sourire et un bien être que je lui envie vraiment. Je ne quitte pas son regard, je marche un peu et voit la bouteille, j’en bois, j’en ai besoin pour parler face à la puissance de la surprise qu’elle m’a faite, elle m’a séché la gorge. Je la pose sur un des petits emplacements qu’un toit comporte, et je la regarde, elle n’a pas remarqué ma présence pour l’instant. Je souris, je ne peux m’empêcher d’avoir un sourire, et ce n’est pas à cause de ce délicieux breuvage qui s’écoule dans mon œsophage mais plutôt que je l’envie, et que je suis aussi heureux qu’elle de la voir si bien, et j’aimerais la rejoindre. Cependant je ne fais qu’applaudir à la fin de la musique. Stupéfait d’être le seul spectateur de cette danse si suggestive, je perds mon regard dans le sien lorsque ceux-ci se croisent, elle est rousse et ce n’est pas spécialement ce que je préfère, et pourtant, celle-ci m’a subjuguée. Je ne trouve pas les mots, je dois casser ce blanc entre nous, je la regarde, elle aussi et finalement « Je ne pense pas que toutes les personnes de Berkeley t’ont vu dansé ainsi.. à croire que j’ai eu le seul droit à ce spectacle plus que magnifique. – Un léger blanc, s’ensuit – Je suis Julien, Julien Leclerc-Armand.. . Et toi ? – Demandais-je, prenant la bouteille de vodka, regardant son visage pour voir si elle m’accordait de boire une nouvelle fois et n’y voyant aucune objection j’en bus – Aurais-je le droit à une nouvelle danse très chère.. ? » Attendant son identité, le manque de drogue estompé, je ne voyais que par elle.. une nouvelle drogue ?

Danser a toujours permis à la jeune rouquine de s’évader… Elle pouvait tout oublier. Son ennuie, sa peur… La demoiselle repensa à ses deux années… Elle avait surement accumulé plus de fête, d’alcool, de drogues & de sexe que lorsqu’elle était en Italie. Ce soir, elle avait besoin de danser. Elle avait besoin de disparaître sous les mouvements de son corps. Elle ne voulait n’être qu’une forme dansant au gré du vent… Vous voyez l’image ? Juste un bout de tissus ondulant sous l’influence du vent. La musique dans les oreilles & de la Vodka dans le sang, elle dansait à se démembrer. La chanson se termina. Plusieurs choses avaient changé pendant qu’elle dansait. D’abord, sa bouteille de Vodka avait bougé de place mais aussi elle avait réduit en volume. Ensuite, il y a eu des applaudissements. Là, un jeune homme était là. Un étudiant. Lexie l’avait déjà croisé dans les couloirs du campus. Loin d’être intimidé, elle lui souri en relevant une mèche de cheveux volante se trouvant devant ses yeux. Elle profita pour passer une main dans ses cheveux. Ils étaient surement tous emmêlé. Leurs regards se croisèrent. Lexie se rendit compte qu’il était beau & sexy. Elle n’avait pas vraiment de type de garçons. Elle avait toujours eu un faible pour les bruns. Il ne se détacha pas à la règle. Elle le détailla rapidement. Il avait d’emblé un corps qui lui semblait parfait. Elle s’imagina un instant dans ses bras. Un instant, car le jeune homme interrompu ses rêves. Il se présenta & parla de sa danse.

« Beaucoup plus de personnes que tu ne le penses m’ont déjà vu danser comme cela… »

Cela était vrai. Alcide en était le premier. D’ailleurs, depuis, elle le revoyait régulièrement. A chaque fois, c’est le même plaisir.

« Lexie… Lexie Da Vulcra »

La jeune rouquine le vit prendre dans ses mains la bouteille de Vodka. Il lui demanda si elle voulait bien re-danser. Lexie s’approcha & lui prend sa bouteille. Elle porta le goulot à sa bouche & but une longue gorgée. Elle se sentait bien. Une euphorie était présente, cela était certain. L’envie de séduire ce Julien résonnait fort dans l’esprit de la rouquine. Elle le voulait. Elle le désirait c’était certain. Elle se mit sur le bord, écartant les bras. Elle lui dit :

« J’accepte… A condition que tu te joins à moi… Je te laisse choisir la danse… Langoureuse, au sol, collé serré… »

Un rire sorti de sa bouche. Elle le regarda dans les yeux, mordillant doucement sa lèvre inférieure. Elle lui tendit sa main & espérant qu’il viendrait la chercher sur le bord… En attendant, Lexie laissa le vent s’engouffrer dans ses cheveux bataillant.

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Une tension sexuelle, ou bien nos physiques qui se plaisaient tellement que nous ne le cachent pas. Sa danse m’avait charmé, j’étais sous son charme dès à présent, mais ce n’était pas comme ci tout était fini et que tout allait se faire de façon à que ce qu’elle mène la danse, même si elle semble être vraiment très douée pour ça. Mon regard se balançait sur son corps, son regard, sa bouche qui me tentait cruellement, puis, elle vint vers moi, elle me plait énormément, mais il ne faut pas que je lui dise si directement, ni que je lui montre, même si je crains que ce soit déjà le cas. Une énigme, elle me fait penser à une énigme, une énigme que je veux résoudre, et malgré le peu de vodka que j’ai ingurgité, j’en veux encore et j’ai l’esprit clair, il m’en faut bien plus soi dit en passant pour me mettre hors d’état de nuire. Mais je ne nuisais à personne, seulement à des gars à qui je prévois de voler leur compagne ou bien leur coup du soir. Alors qu’elle répondait à ma question, celle portant sur la danse, non, malheureusement je ne suis pas le premier à profiter de ce spectacle, et surtout pas le seul. Ceci me fit réfléchir à ce qu’elle devait faire pour se montrer ainsi à beaucoup de personnes, des métiers suggestifs s’installèrent dans mon esprit et je la déshabillais légèrement pour la mettre en petite tenue, celle de stripteaseuse à celle de gogo-danseuse. Vous me direz, il n’y a pas beaucoup de différence entre tout cela. Mais il y en a. Mon regard se reposa sur le sien, je devais arrêter de la déshabiller, surtout qu’elle n’avait pas grand-chose sur elle, un t-shirt long et un shorty, de quoi donner envie, et j’avais envie, mais je me contenais comme tout mec qui se respecte dans une telle occasion, une occasion en or dirais-je. Le destin peut-être ? Je ne sais pas, et je ne cherche pas à savoir, juste à profiter du moment présent. Elle me reprend la bouteille et en boit, après que j’en eu rebut, j’espère qu’elle ne m’en voudra pas. Alors qu’elle déclinait par la suite son identité, après que j’eusse décliné la mienne, je pouvais me répéter en tête son prénom, Lexie, Leeexie, ou bien encore Lexiiie. Plusieurs façons de le prononcer et je me demander laquelle, je n’avais qu’à me poser quand elle l’avait dit. Je m’en souviens déjà presque plus, son charme dévastateur ne me permet pas d’être concentré sur ça. Il faut que je parle, là, maintenant « Lexie, jolie prénom.. enchanté. J’espère que je serais une des personnes à qui tu l’as fais habituellement, je risque d’en devenir, admirateur. » Alors que je demandais gentiment une nouvelle danse, elle me proposait quelque chose de plus alléchant. Mon regard ne la quittait pas alors qu’elle allait vers le bord du bâtiment, regardant le vide, j’avais une légère frayeur pour elle, mais je savais qu’au fond elle sait ce qu’elle fait. Je ne bouge pas, je vois sa main se tendre, alors je la regarde simplement. J’ai envie d’y aller, mais je ne sais pas, ce qui me semble être deux bonnes minutes me semble être 20 minutes, et encore. Je dois danser avec elle, alors j’avance doucement vers elle et prend sa main, je la tire vers moi d’un coup fort, mais pas très, de sorte qu’elle arrive avec tranquillité dans mes bras, que je l’y enlace une fois, mon visage se trouve alors près du sien, nos regards sont proches alors que ces mèches rousses se troublent entre nos deux regards. Elle me trouble encore plus. Je la colle à moi, et doucement je rabats une de mes mains sur sa taille, elle est dos à moi, et je la colle. « Je suppose que ça sera un collée/serrée pour commencer ma belle.. . » Abasourdi, je ne suis pas drogué, à peine éméchée et jamais je n’ai senti l’euphorie que je ressens ce soir juste entre elle & moi, la musique d’un portable et deux jeunes adolescents qui partagent une danse. On dit que la danse est un morceau de vie de chacun, une courte histoire, un court métrage qui dure puis fini, mais cette danse, n’est-elle qu’un début, ou qu’une fin ? Une danse à la va vite ou une danse qui ouvre une histoire entre deux personnes complètement inconnues, juste de vue, dans les couloirs de l’université. Seul le temps peut nous dire cela.

La vie n’était qu’un jeu. C’était çà les pensées de Lexie. Elle voulait jouer. Elle voulait se sentir femme. Elle voulait se prouver qu’elle savait encore plaire. Elle avait d’abord dansé. Danser, c’était son mode d’évasion & de la façon qu’elle avait dansé, cela était comme de la séduction furtive. Elle ne pensait pas qu’une personne ne la verrait. Encore moins un homme plutôt sexy. Et pourtant, les choses se sont déroulé comme çà. Il était monté sur le toit pour une raison que Lexie ignore & qu’elle ignora surement. Il l’avait vu danser. Il l’avait applaudit & l’avait complimenté. La jeune rouquine l’avait déjà vu. Cela était vrai. Elle connaissait sa confrérie. La confrérie des mâles. Les Deltas. Lexie n’était pas du genre à se laisser impressionner. Elle était plutôt du genre à impressionner. La belle rouquine l’avait décidé. Ce soir, elle aura ce jeune homme pour elle. Il pensait que peu de personnes ne l’avait vu danser comme çà. Dommage pour lui. Elle dansait régulièrement comme çà. Toutes les personnes ayant passé une soirée au manhattan Lounge, l’avaient vu dansé. Lexie souri. Le jeune homme ne connaissait pas son job. Tant mieux, au fond. Il se présenta.. D’une façon, plutôt James Bond, il fallait bien l’avouer. Lexouille rigola& se présenta à son tour sur le même ton. Charmeur. Voilà ce qu’il était occupé de faire. Il l’a charmé. La rouquine lui sourie.

« Merci. Enchanté de même… Parce que tu n’es pas en admiration là ? Ce n’est pas ce que visage dit. »

Lexie mentit un peu, il était vrai. Elle serait surement incapable de dire s’il était en admiration. En même temps, fallait dire qu’il fessait sombre & que juste la lune les éclairait. Cela ne permettait pas vraiment de voir les détails du visage du jeune homme. Faudrait-il encore qu’elle s’approche suffisamment près de lui pour voir ses détails.

« Peut-être que tu pourras être à nouveau témoin de mes instants d’évasion. Enfin, peut-être… »

Lexie rigola. Elle était toujours de nature joyeuse & rieuse comme à l’instant. Surtout lorsqu’elle se sentait libre. Là, sur le toit, après avoir dansé en y mettant corps & âme & bien entendu après avoir comprit que cet homme l’avait vu dansé, c’était dans cet état que la rouquine était. Dans un état de liberté. Dans un état qu’elle semblait avoir oublié. La sensation de bien être était un élément important aux yeux de l’étudiante. Lorsqu’elle n’arrive pas à le trouver naturellement, elle alla le chercher dans l’alcool, la drogue & le sexe. Ce soir, elle n’en avait pas besoin. Enfin, elle avait pris un peu de vodka comme à son habitude. Elle alla avoir le droit aussi surement à son instant sexe. Mais le plus important dans la sensation de liberté, c’est la drogue non ? C’était grâce à çà qu’elle pouvait se trouver dans les nuages directement. Là, à cet endroit, à cet instant, elle n’en ressentait nulle le besoin d’en prendre. C’était magique.

Julien lui demanda une nouvelle danse. La requête était maligne & a eu le don de faire sourire la rouquine. Le garçon avait repris la bouteille de Vodka dans ses mains & l’avait apporté à sa bouche. La rouquine s’était alors approché pour la lui reprendre & l’apporta à son tour à sa bouche afin d’y boire une gorgée. C’était phénoménal comme les gens pouvaient oublier la beauté d’un endroit. Elle-même l’oubliait des fois. Mais à cet instant, perché sur le rebord de l’établissement, elle ne l’oublia pas. Malgré ses grands airs d’Oméga, la jeune rouquine était une romantique. Elle aimait les instants à contempler la nature. C’était surement l’un de ses petits secrets. Se refermer un instant sur soi même seule dans la nature. Un bon moyen pour garder les pieds sur terre. Lexie proposa qu’il danse avec lui & lui tendit l’une de ses mains. Ce qu’elle attendait de lui, était simple. Le premier teste qu’avait la jeune fille pour savoir si l’homme serait intéressant, était de gouté à ses bras. Le geste de lui tendre la main était une demande formé par acte de se retrouvé contre lui. Elle le regarda intensément en attendant qu’il fasse un mouvement. Le mouvement était long à venir. Comme si il était dérouté par la requête de la jeune fille. A moins que c’était d’elle-même tout simplement. Cette pensé la fit encore plus sourire. Finalement, elle le vit s’approcher & attraper sa main. En un instant, elle se retrouva collée contre lui. Ils étaient proches. Très proche. Lexie pouvait sentir son parfum. Il était envoutant. Le premier test aux yeux de la rouquine était parfait. Son sentiment de liberté s’intensifia. Le jeune homme avait placé ses mains sur sa taille. La jeune fille se retourna alors qu’il lui murmura qu’il voulait un collé-serré pour commencer.

Le mot « pour commencer » fit sourire la jeune fille. Cela envisageait de belles choses pour la suite. Elle plongea son regard dans celui du jeune homme. Se mettant légèrement sur la pointe des pieds, elle ne put résister à déposer un baiser léger sur la commissure des lèvres du jeune homme. Il fallait dire que Lexie n’était pas du genre à résister à une tentation. Encore moins lorsque celle-ci promettait d’être exquise. Elle abandonna un instant les bras de Julien pour aller rechercher une musique dans son portable. Elle trouva une chanson parfaite. Une chanson qui était proche du zouk mais qui leur permettait de danser collé serré. La jeune fille repris sa place dans les bras du jeune homme. Collant son bassin contre le sien & ses mains contre les reins du jeune homme, elle commença à balancer son corps au rythme de la musique. Les yeux dans ses yeux.

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Julien Leclerc-Armand & Lexie Kimmu Da Vulcra

Une rousse, elles ne sont pas rares, mais les rousses qui m’éclabousse autant et qui attire ainsi mon attention je n’en connais pas. Elle est une exception, elle sort du lot, mon originalité à moi, c’est elle dès à présent. Mon regard ne quitte pas le sien, une alchimie se lie entre nous, qu’elle soit physique ou bien autre je n’en sais rien, je sais juste que je la désire bien plus que tout, mais que pour la première fois de ma vie je prends mon temps. Je ne veux pas gâcher ce moment qui à mes yeux est spécial, unique. Alors je prends son alcool, je le bois et elle boit à la suite, bien sûr sans que nos regards se détachent l’un de l’autre, on peut croire à un couple, ou deux personnes qui tiennent beaucoup l’un à l’autre et qui ne veulent pas le montrer. Alors, on boit. Boire pour se laisser aller, mais ce contexte, ce scénario ne s’attache pas à nous : on ne se connaît que depuis maintenant, quel impact ça pourrait avoir sur nos vies de demain ? Aucun, du moins, à part une bonne soirée en perspective, je le sens, je le sais. Alors que je lui ai dit que j’étais enchanté de la rencontrer, elle me dit qu’elle était elle aussi enchantée et qu’elle ne me trouvait pas réellement en admiration. Ma coutume personnelle aurait voulu que je la tire contre moi pour lui donner un de ces baisers qu’elle n’aurait jamais oublié de sa vie, mais j’ai tout simplement hésité et donc bloquer par la suite, j’ai voulu faire aussi original que sa rencontre le fut. Mon regard toujours dans le sien, elle me reprend la bouteille et la laisse faire, elle est si belle, si original, je ne me suis jamais autant entichée d’une femme il me semble, surtout d’une rousse, habituellement je me réserve aux brunes ou aux blondes, surtout aux blondes. Mais ce soir ça sera une rousse, et le manque de drogue dans mon sang je ne la ressens plus, tout simplement parce que ce soir j’ai trouvé la drogue du sexe, une drogue que l’on ne goûte qu’avec des femmes. Et ce soir ça va être avec Lexie, juste cette soirée.. ou plus qui sait. Je ne sais pas, je ne peux pas dire de quoi sera fait mon lendemain, si on ira dans ma chambre ou bien la sienne ou encore que l’on reste tout les deux endormis avec le soleil comme vue au réveil. Le mystère reste entier et je ne cherche pas à le découvrir, pas du tout. Juste profiter encore et toujours du moment présent avec cette flamboyante rouquine. « Tu devrais me croire, mon visage ne ment jamais lorsqu’il tombe sur une si belle créature que toi.. dis-moi tout, tu viens de Vénus ou bien de Mercure ? Je suis sûr qu’une fille aussi belle et si exquise et douée que toi pour ces danses vient d’une autre planète.. ou bien d’une boîte de striptease.. – Dis-je en rigolant. Mon regard ne la quittant pas. – Les peut-être sont des sources de bien de conflits tu sais.. j’espère que j’aurais le droit de te voir une nouvelle fois être libre. » Une femme libre, c’est très beau, moi-même je ne suis pas libre. Avoir une vie e être libre c’est deux choses bien difficiles à concilier. Il est vrai qu’être bien soi-même, un boulot stable, mais une vie privée désastreuse ou bien inexistante peu engendré des malheurs sur la vie professionnelle et il est de même pour l’inverse. Mais une femme libre, c’est rare. Peut-être qu’elle ne l’est pas mais qu’elle s’octroie des moments comme celui-ci ou personne ne la juge, tout le monde la laisse. J’en suis jaloux, et je la désire, je la désire bien plus que je ne désire l’alcool, et sans doute plus encore, horrible. Mon regard ne quitte pas le sien, et lorsqu’elle me propose de la rejoindre, j’hésite légèrement avant de la rejoindre, de la coller à moi et de fixer mon regard dans le sien, nous sommes tellement proches que je peux sentir son parfum, perdre mon regard dans sa chevelure de feu, me perdre en elle. Une nouvelle danse, elle & moi. Elle ne reste pas longtemps dans mes bras, il faut changer la musique mais avant, elle s’était mise sur la pointe des pieds pour m’embrasser sur la commissure de mes lèvres. J’aurai aimé répondre à ce mi-baiser et le rendre véritable, mais je n’en ai pas eu l’occasion. Je me rattraperais. Alors qu’elle va changer la musique, en mettre une qui conviendra à notre moment à deux. Un moment de partage, un moment de sensualité et extravagance, un moment ou elle & moi se foutons de qui nous sommes, tout en montrant qui nous sommes vraiment. Alors qu’elle revient, qu’elle se pose en face de moi, collée à moi, je ne quitte pas son regard, et là je plonge, je pose mes lèvres en face des siennes et je frôle ces lèvres, vengeance. Je ne les embrasse pas, pour l’instant. « Je t’adore déjà toi.. . » et ça ne fait que commencer. Une confession pareil, c’est digne de louanges, surtout venant de moi. Alors que je pose une de mes mains sur sa taille et l’autre sur sa fesse, la collant ainsi plus contre moi, je ne quitte pas son regard et cette fois, dépose mes lèvres sur les siennes, je l’embrasse avec tranquillité. Mes lèvres sur les siennes, puis doucement j’introduis ma langue pour que celle-ci danse avec elle aussi. Je ne peux me retenir de mordre sa lèvre inférieure avant de mettre fin au baiser. Ce n’est que le début de quelque chose, je ne sais pas quoi alors que par la suite, je pose mes lèvres dans son cou tout en dansant contre elle. Elle ne tarderait pas à sentir l’excitation de mon sexe contre elle si elle continuait ainsi. Je lui laisserais la surprise. Mes dents mordillèrent sa peau avant que je repose mon regard dans le sien.

L’amour est un état vicieux. Lexie le savait bien & refusait de l’accepter. Pour elle, tomber amoureuse était la pire chose possible qui pouvait lui arrivé. C’était la raison qui pousser la rouquine à coucher par ci & par là. Peut-être qu’elle arrêtera un jour. Ou peut-être pas. Tout dépendra de l’homme qui fera tomber le masque de la jeune fille. Mais là, pour l’instant, la question ne se posait pas. Elle profiterait de cet instant. Il fallait dire qu’elle avait besoin. Pour elle, le jeune homme jouait un jeu. C’était clair. C’était de la séduction. Un pur jeu de séduction. La jeune fille sourie à son tempo. Il venait de la surnommer de « Belle créature ». Donc elle ne le laissait donc pas indifférent. Il avait deviné son job. La jeune fille décida de ne pas répondre. A prés tout, il n’était pas obligé de tout savoir. Si elle lui révélait ce secret, elle aurait surement le droit aux questions qui suivait. Hors, elle voulait garder une part de mystère. Peut-être qu’un jour, il sera un peu plus. Pour l’instant, elle trouvait qu’il connaissait déjà trop sur son compte.

« Mais les peut-être sont une demi-promesse qui peuvent dire beaucoup de choses. Pour me revoir libre ? Il faudra être de nouveau là au bout moment, Darling ! »

On avait souvent décrit la jeune rouquine comme étant une jeune fille atteinte d’une douche folie. Oui surement. Oui carrément. C’était rare qu’elle ne sourie pas. Personne ne la voyait pleurer. Et si jamais, elle se trouvait devant une personne alors qu’elle pleure, elle joue la comédie. La jeune fille n’aimait pas la pitié des autres. Elle gardait ses sentiments pour elle. Elle gardait tout ce que son cœur lui disait. Voir même, elle les ignora. On avait souvent décrit le rire de la jeune fille comme un éclat de Crystal. Elle adorait rire. Il lui arrivait que trop rarement d’être sérieux. Comme ce soir. Les yeux du jeune homme ne la quittèrent pas d’un pouce. Lexie ne baissa pas les yeux loin de là. Elle aimait ce regard. Oui, elle l’aimait beaucoup sur elle. Il la fessait sentir indispensable. Il la fessait sentir désirable.

Alors qu’elle s’amusa sur le bord du toit en attendant qu’il se décide. Elle finit par se sentir attiré. Il lui avait prit la main qu’elle lui avait tendit pour la tirer vers lui. Elle se retrouva collé contre lui son dos contre son torse. Le parfum de Julien lui enivra ses narines. C’était plaisait... Ca avait comme une sensation de douceur à son nez ainsi qu’un sentiment de sécurité dans l’esprit de la rouquine. Cela avait quand même un côté flippant. La rouquine le savait & elle ne voulait pas se l’avouer. Non, ce soir, rien ne l’a dérangea. Surtout pas, des sentiments. La rouquine ne put d’ailleurs résister à la tentation de glisser ses lèvres sur les siennes avant d’aller mettre la musique qui leur permettra de s’évader à deux. Alors qu’elle se colla contre lui, il frôla à son tour ses lèvres. La jeune fille ressentit comme un élément de frustration. L’envie était forte. C’était comme deux aimants. Elle se sentit attirer par lui. La phrase qu’il prononça la fit rire.

« Et ce n’est que le début… Qu’est-ce que ca sera par la suite alors ? »

La rouquine ne put s’empêché de le regarder dans les yeux en souriant. Il y a une règle dans le jeu de séduction, c’était de jamais tomber amoureuse. Lexie la connaissait. Elle connaissait cette limite. Et pourtant, l’envie de la dépasser avec lui était forte. Elle secoua la tête. Il fallait qu’elle se reprenne. Elle ne pouvait pas tomber amoureuse. Cela était impossible. C’était un homme qu’elle compterait dans le rang de ses histoires d’un soir. Elle ne pouvait pas se permettre d’aller plus qu’un soir. Julien la prit de façon à ce qu’elle se retrouve un peu plus sur elle. Toujours le regard incrusté dans celui de l’autre, le jeune homme s’empara de ses lèvres. La langue de ce dernier s’introduisit dans la bouche de la rouquine afin d’y retrouvé la sienne. La fin du baiser du jeune homme se termina par un mordillage de sa lèvre. Le palpitant de l’Oméga était occupé de frôlé des montagnes. Le baiser du jeune Delta l’avait totalement renversé… Il embrassait plutôt bien, il fallait l’avouer. Elle se sentit un peu idiote là à l’instant. Ses lèvres descendirent dans le cou de la rouquine. Cette dernière passa ses mains dans les cheveux de Julien. Son bassin s’amusa à frôlé celui du jeune homme. Doucement, leurs yeux se rencontrèrent à nouveau. La jeune fille se hissa sur ses pieds & s’amusa avec la lobe d’oreille du jeune homme. Sa bouche traversa le visage de celui-ci afin d’y atterrir sur les lèvres. Elle suça une par une ses lèvres, les mordillant.



N’oublie pas Lexie, dans le Jeu de séduction, il n’y a qu’une seule règle : « Ne jamais tomber amoureuse ».