Sujet: never forget your first kiss ↯ Berny {hot} Sam 16 Juil - 16:50
Remember the past - You ~ Promise me you'll try, to leave it all behind 'cause I've elected hell. Lying to myself. Why have I gone blind ? Live another life.
Mexique ; plage, soleil, cocktails, bikini... voilà à quoi rimait le voyage pour la majorité des étudiants de Berkeley mais, pas pour notre petite oméga. Pourquoi ? Parce que madame passe obligatoirement deux fois par semaine minimum à l’hôpital, tout ça à cause de ses fichus problèmes de santé qui ne cessent de lui pourrir la vie continuellement. La brunette aurait pu se résigner à rester à San Francisco mais, elle n’allait quand même pas manquer une occasion pareil d’aller dans un pays qui lui était inconnu, elle aimait beaucoup trop voyager pour ça. Beaucoup de ses proches l’encourageaient d’ailleurs à y aller mais, aucun d’entre eux n’étaient au courant de sa faiblesse physique… Bon allez on s’en fou on y va quand même, y’en a marre d’être blanche & malade sans arrêt, il fallait qu’elle profite un minimum de sa jeunesse avant de s’éteindre dans quelques mois voir dans quelques semaines. La demoiselle ne savait pas du tout à quoi s’attendre, elle ne savait même pas qui était son colocataire mais, rien de tel qu’une surprise non ? Et puis peut-être qu’elle sera bonne, les chances de croiser Ebony ou Flavia étaient minces alors, autant prendre le risque et puis elle pouvait toujours s’incruster dans la chambre de quelqu’un d’autre dans le pire des cas. Elle avait entendu dire que Nikolaï & Jayan seront là mais, elle n’appréciait pas particulièrement l’epsilon après le coup qu’il lui avait fait. En effet la jeune femme avait une dent contre lui car, monsieur n’avait rien trouvé de mieux que de partir en laissant un petit mot après avoir couché avec elle, aucun homme n’avait osé faire ça auparavant et ça, ça lui restait un peu en travers de la gorge… il avait plutôt intérêt de l’éviter ou sinon il risque de passer un sale quart d’heure. Pour le moment Neela était complètement crevée et n’attendait qu’une chose ; découvrir sa chambre. Après une bonne demi-heure de recherche, elle fini par trouver le bon couloir & chercha le numéro de sa chambre. Numéro 31, enfin elle avait trouvé la bonne & allait pouvoir se reposer un peu. La brunette poussa la porte de manière un peu brusque et balança son énorme valise – sur laquelle se trouvait le drapeau de la Suisse – pour ensuite s’approcher lentement mais sûrement de son lit. Tout était calme, il n’y avait personne et Neela avait bien envie de se mettre à l’aise alors elle retira son tee-shirt, se retrouvant alors dans un magnifique soutif en dentelle rouge & en short. Il devait faire au moins 26 degrés, c’était plutôt correct comme température mais, elle n’avait pas pu s’empêcher de s’accaparer des oreillers blancs qui étaient à sa portée et qui était froid comme elle les aimait. Elle s’allongea délicatement sur le ventre, déposa ses coudes sur les côtés et elle observa longuement la magnifique vue qu’elle avait sur la plage, finalement elle aurait pu tomber plus mal… et puis on dirait bien qu’elle avait la chambre pour elle toute seule, quel pied !
Dernière édition par Neela L.Di Marco le Mar 19 Juil - 18:31, édité 1 fois
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Sujet: Re: never forget your first kiss ↯ Berny {hot} Sam 16 Juil - 17:40
Dans quoi s’était-il embarqué ? A peine arrivé dans sa nouvelle université, il s’était « inscrit » à ce voyage. Berny ne connaissait pas grand monde. Juste quelques filles. Oui, il ne connaissait que des filles, à Berkeley. Plutôt canon, il fallait l’avouer. Pourquoi s’était-il inscrit ? Berny se disait qu’il était vraiment débile.. Le Mexique. Cancun. Les fêtes. Les femmes. La plage. Et encore les fêtes. La drogue. L’alcool. Il avait déjà tout ça à l’université, quoi. Bon, à part le Mexique. Mais les mexicaines n’étaient pas particulièrement connus pour être des bombasse, à sa connaissance, si ? Fuck. Il avait intérêt à se faire une mexicaine, en tout cas, pour ne rien perdre. Bref, passons outre les choses inutiles. Le beau jeune homme abordait un air plutôt blasé, comme toujours. Portant un tee-shirt noir, col V, un jean et des chaussures, il était comme d'habitude mal rasé, ce qui lui donnait un air terriblement craquant et sexy. Il avait son sac sur les épaules, sac de nomade, d’ailleurs, comme ceux qui voyagent autour du monde, vous savez. Un sac baluchon. Berny y avait jeté ses habits enroulé, froissé, sans aucun intérêt. Quinze heures, dix-huit minutes, cinq secondes. Il venait d’entrer dans le hall de l’hotêl. Après avoir donné son prénom à la femme qui était à l’accueil, celle-ci lui informa qu’il était dans la chambre numéro 31. Et qu’il y avait déjà quelqu’un qui était. Bordel. C’était pas prévu, qu’il ai un colocataire. Ca avait été mentionné nulle part. Il s’était fait arnaqué. C’est donc avec les sourcils froncés qu’il prit l’ascenseur. Super. Super super super. Il n’aimait pas partagé sa chambre avec quelqu’un. Il détestait ça. Si ça se trouvait, son colocataire était un vieux geek, qui allait resté H24 sur l’ordi enfermé dans la chambre. Ou un gros porc. Ou un connard qui se prenait supérieur aux autres. Fuck. Franchement, il espérait que ce serait quelqu’un qu’il aimerait bien. Parce que sinon, tout se passerait mal. Et au revoir les vacances. Arrivé à l’étage, Berny rechercha la chambre 31, qu’il trouva sans difficulté. En ouvrant la porte, la première chose qu’il fit fut de laisser tomber son sac par terre, en le jetant. « Bon écoute gars, je te déteste déjà, alors j’te conseille pas de me faire chier ». Il avait dit ça sans regarder la personne présente. Puis son regard bleu électrique et profond se posa sur la personne affalée sur le lit. Oh. Ce n’était pas un gars, déjà. La femme était de dos, short et soutien gorge, et regardait par la fenêtre. Déjà, elle était plutôt bien foutue. Puis sa colocataire se retourna pour regarder Berny. OH-MON-DIEU. Non. Si. Non… pas possible. Si. Possible. Il écarquilla les yeux. La jeune femme en soutien gorge.. c’était..elle ? Vraiment elle ? Le beau jeune homme resta quelques secondes la bouche ouverte, bugant complètement, et détaillant chaque trait de la jeune femme avec son regard océan. « Neela.. ? » Impossible.. Il se trompait sûrement. Peut être que c’était juste son sosie. Comment le hasard aurait-il pu faire une chose pareille ? Non. La jeune femme froncerait sûrement els sourcils, et dirait qu’il s’est trompé. Berny passa une main dans ses cheveux ébène, sans lâcher du regard la belle créature qui se trouvait en face de lui.
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Sujet: Re: never forget your first kiss ↯ Berny {hot} Sam 16 Juil - 18:24
Remember the past - You ~ Promise me you'll try, to leave it all behind 'cause I've elected hell. Lying to myself. Why have I gone blind ? Live another life.
Actuellement, Neela avait l’impression de plané sur un petit nuage, tout semblait parfait pour profiter de l’été jusqu’à la reprise des cours et elle avait presque l’envie de s’endormir. Elle s’imaginait déjà dans les bras de Morphée jusqu’à ce qu’elle entende un bruit, mais que ce que c’était ? L’espace d’un instant, elle cru que quelqu’un marchait dans les couloirs et s’apprêtait à entrer dans SA chambre mais, elle n’en était pas vraiment sûre. Évidemment, elle avait un ou une colocataire, ça aurait été trop beau pour être vrai d’avoir une grande & belle chambre pour elle toute seule. La jeune femme commença soudainement à stresser ; et si c’était l’une de ses ennemies qui s’approchaient de la chambre ? Elle cligna bêtement des yeux avant de se dire qu’elle n’avait pas à s’inquiéter pour ça, que la personne continuerait peut-être son chemin sans s’arrêter. Plus rien, elle n’entendait plus de bruits de pas et la personne en question n’avait pas l’air d’être bien loin. La brunette fronça ses fins sourcils jusqu’à ce qu’elle entende un « Bon écoute gars, je te déteste déjà, alors j’te conseille pas de me faire chier », sympa le bonhomme en plus il n’est même pas foutu de toquer à la porte, ça commence bien ! « Espèce de sale PERVERS de… »Elle se retourna alors pour ensuite regarder le nouveau venu de haut en bas, commençant par sa chevelure brune pour ensuite s’arrêter sur ses yeux bleus, comme si elle avait eut un beug jusqu’à ce que les lèvres de celui-ci prononce son prénom. Neela resta quelques secondes sans rien dire & reprit ; « Berny ? … Toi ?! ».
La Suisse croyait qu’elle rêvait éveillée, mais que ce qu’il foutait bien là ? Elle croyait qu’il était au Canada ou alors en Europe mais, elle n’avait jamais su qu’il comptait mettre les pieds au Mexique. La brunette eut l’impression d’être dévisager à cause de sa tenue, elle rougit soudainement et lui balança ; « Rince toi bien l’œil surtout ».Non pas qu’elle était vexée d’être contempler par un magnifique brun aux yeux bleus mais, le fait qu’il ne se gêne pas pour regarder son soutif prouvait qu’il n’avait plus rien du petit garçon qu’elle avait connu autrefois, il n’aurait jamais osé loucher sur sa poitrine ou même ailleurs, il restait uniquement concentrer sur ses yeux et rien d’autre, avant de s’attaquer à ses lèvres… Elle frissonna rien qu’à se rappelé du premier baiser qu’il lui avait donné, c’était si bon qu’elle s’en souviendra toute sa vie et puis il avait de si beaux yeux, elle avait toujours adoré s’y plonger à s’y perdre pendant des heures et des heures. Entre-temps elle reprit ses esprits et croisa ses bras afin qu’il ne puisse plus apercevoir la moindre parcelle de sa poitrine – qui était loin d’être énorme donc facile à cacher – et le fixa sans le quitter des yeux une seule seconde. « T’es choquée de voir que j’ai de la poitrine ? Voyons Berny, j’ai dépassé les vingt-ans maintenant… » S’il savait à quel point elle avait pu changer et son nombre de conquêtes, il aurait du mal à y croire mais, elle n’allait pas lui balancer qu’elle se tapait régulièrement des mecs de Berkeley et que c’était son sport préféré. Il est loin le temps où elle se contentait de rouler des pelles au bas gamma, elle était passée à la vitesse supérieure et elle était presque digne d’être une bêta de haut niveau, ce qu’il ne saura certainement pas à moins d’avoir entendu des rumeurs sur elle. Neela garda sa moue angélique et l’admira avec ses grands yeux noirs, il avait tellement embelli qu’elle avait l’impression d’avoir eut Brad Pitt comme premier flirt enfin, mieux que Brad Pitt même… Angelina peut bien aller se rhabiller et changer les couches de ses marmots. N’empêche que lorsqu’on connaît son prénom avant de connaître son physique, on imagine déjà un vieux moche, ridé comme pas possible et sans aucun charme et c’est là qu’on se prend une grosse gifle mentale à voir un vrai dieu sur pattes. Neela continua de le détailler en regardant plus beau que son menton, pour descendre jusqu’à son torse et remarqué qu’il c’était bien amélioré depuis le temps de leur amourette… gosh.
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Sujet: Re: never forget your first kiss ↯ Berny {hot} Sam 16 Juil - 19:17
« Espèce de sale PERVERS de… » Berny arqua un sourcils. C’était une blague, juste une blague, c’était sûr. Quelqu’un s’était amusé à mettre le sosie de son premier amour dans sa chambre. Mais d’un côté, qui était au courant ? Tout ce qui s’était passé en Suisse, était resté en Suisse. Bouché bée, Berny la contemplait. Bordel. « Berny ? … Toi ?! ». Ohmondieu. C’était bien elle. Neela était belle et bien en face de lui, après toutes ces années. Mais qu’est-ce qu’elle fichait là ? Il ne savait même pas qu’elle était à Berkeley. Parce que depuis leur jeunesse, il n’avait pas eu de nouvelles de la belle. Tout simplement parce qu’ils s’étaient perdu de vu. « Je..WAW. Mais qu’est-ce que tu fais ici ? » Question plutôt idiote, il fallait l’avouer. Berny la regarda de bas en haut. C’était vrai qu’elle était devenue une belle femme, une très belle femme, même. Enfin, il savait bien qu’elle ne serai pas un thon, de toute manière. Même dix ans plus tôt, en Suisse, il était obnubilé par sa beauté. Il n’y avait aucune raison pour que cela change maintenant, dix ans plus tard. « Rince toi bien l’œil surtout ». Berny lâcha un petit rire amusé, et haussa les épaules. « Si tu insistes. Je ferai en sorte que tes désirs soit des ordres. » C’était vrai que depuis qu’ils s’étaient quitter, Berny n’avait pas réellement changé, en fait. Il était resté le même rebelle, répondait toujours aux gens. Pourtant, au fond, il était aussi romantique qu’il ne l’était avant. Juste qu’il n’avait pas l’occasion de le montrer. La seule différence était qu’il fumait, buvait, et se droguait. Et il couchait avec des femmes. Beaucoup de femmes. Trop de femmes, sûrement. Berny ne la quittait pas du regard, ses yeux bleus plongés dans ceux de la belle Neela. Comme dix années auparavant. Tout les souvenirs lui remontaient à la tête. Cette envie folle qu’il avait eu de poser ses lèvres contre les siennes, cet acte si innocent. Jamais il n’aurai cru la retrouvé ici, dix années plus tard. Il se rappelait, de ce premier baiser, dont il avait tant rêvé avant, et auquel il avait tellement pensé ensuite. A cet époque, il savait bien que Neela allait s’en aller d’ici peu. Et que tout ses espoirs avaient été réduit à néant. Ces souvenirs là, qu’on essaie d’oublier parce qu’ils peuvent faire mal des fois, mais qui font aussi tellement de bien. « T’es choquée de voir que j’ai de la poitrine ? Voyons Berny, j’ai dépassé les vingt-ans maintenant… » Bordel ce qu’elle était belle. Neela était ravissante, à tombé par terre. Bon dieu, même petit il avait de bon goût. Un sourire se dessina sur son visage à sa réplique. « De la poitrine ? Quel poitrine ? Aah, tu parles de ces choses, là » Dit il en indiquant sa poitrine caché d’un rapide regard. Bien sûr, il aimait taquiné. Ce qu’il disait été faux. Mais Berny était quelqu’un qui aimait embêter les gens, ce n’était pas maintenant que ça allait changer. Le beau jeune homme admira le doux visage de Neela. Ca lui faisait tout bizarre, il avait une sorte de boule au ventre. Elle était là, en face de lui, cette belle créature. « Tu es ravissante » finit-il par avouer « Encore plus belle que quand t’avais 12 ans. » Oui, parce que dans ses plus lointains souvenir, Neela était la plus belle fille de 12 ans qu’il avait jamais vu. Il fit un petit sourire et se baissa pour prendre son sac , l’ouvrir et le vider sur son lit. Bordelique un jour, bordelique toujours. Berny finit par sortir un paquet de cigarette de sa poche et se l’alluma pour tirer dessus. Au pire, elle râlerait. « Sinon, tu deviens quoi à part une canon sur patte.. ? » Berny posa, pour une énième fois, son regard bleu dans celui de la belle demoiselle qui était loin de lui être indifférente.
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Sujet: Re: never forget your first kiss ↯ Berny {hot} Sam 16 Juil - 20:10
Remember the past - You ~ Promise me you'll try, to leave it all behind 'cause I've elected hell. Lying to myself. Why have I gone blind ? Live another life.
« Je..WAW. Mais qu’est-ce que tu fais ici ? » Dans le genre question stupide oui, ça en était une. « C’est plutôt à moi de te poser la question, je croyais que tu étais parti au Canada ou j’sais pas trop où… » Non, elle n’allait pas lui dire tant mieux ou lui montrer son enthousiasme de le voir ici. Pourquoi ? Parce qu’elle avait subit de trop grosses déceptions pour espérer quoique ce soit et qu’il ne fallait pas qu’il croit qu’elle ne pourrait pu se passer de lui, maintenant qu’ils se sont retrouvés et qu’ils sont colocataires pendant plusieurs semaines. Que « ses désirs soient des ordres » ? Il lui avait balancé ça ? Très bien, il ne savait pas vraiment dans quoi il se lançait s’il s’amusait à la reluquer et à lui tenir tête, il n’avait pas changé d’un poil. Il avait toujours son petit côté bad-boy qui le rendait sexy, ses yeux bleus dignes d’un ange tout droit descendu du ciel et puis sa gueule, sa magnifique gueule à laquelle elle pouvait difficilement résister. Il n’avait pas idée d’à quel point il pouvait lui faire effet à se tenir, là debout devant elle avec son petit sourire moqueur et sa dégaine de branleur. Neela était prête à parier qu’il avait rejoint les gammas, il n’aurait pas pu être ailleurs que dans cette confrérie si on ne comptait pas le fait qu’il aime faire de la musique et la fête, son tempérament avait dû prendre le dessus sur tout le reste. Le fait qu’il ne soit pas dans la même bande qu’elle était une déception mais, au moins en étant loin des omégas il était loin de Flavia, sa grande rivale qui ne se serait pas gêner pour jeter son dévolu sur lui s’il elle savait ce qui avait pu se passé entre eux. Rien que d’imaginer cette pimbêche s’approcher de lui la rendait malade, elle ne pouvait plus la supporter elle, son odeur, son rouge à lèvre chanel & son sourire de sainte nitouche. Enfin, si ce n’était pas elle qui l’approchait, beaucoup d’autres femmes de Berkeley seraient volontaires pour et ça elle en avait parfaitement conscience. Non Berny Jagger Wyllocks n’était pas la propriété privée officielle de Neela Lorena Di Marco, dommage mais c’est la vie. La brunette préféra s’imaginer autre chose, jusqu’à ce qu’elle sente cette immonde odeur de fumée de cigarette, il fumait maintenant ? Elle ne serait pas étonnée d’apprendre qu’il se droguait en plus. Il avait beau l’avoir complimenté et être encore plus canon avec une clope au bec, la jeune oméga n’avait jamais raffoler que ce genre de choses n’entrent dans ses narines, elle avait déjà suffisamment de problèmes de santé comme ça. Pendant quelques minutes, elle ne fit aucune remarque sur la mauvaise habitude qu’il avait pris et lui répondu « Après m’avoir charrié sur ma poitrine, tu me fais des compliments ? Je préfère ça, Jagger. »Neela l’appelait toujours par son second prénom pour lui faire plaisir, elle savait très bien qu’il avait longtemps été complexé par son premier prénom mais, elle avait toujours trouvé que son prénom était original et lui donnait un petit quelque chose que les autres n’avait pas.« Mister Wyllcocks… je… »Avant même qu’elle ne termine sa phrase, elle commença à tousser tout doucement avant de tousser un peu plus fort. Et voilà que la fumée commençait à la rendre malade au point qu’elle se torde le corps dans son lit, elle ferma les yeux quelques secondes et regarda son interlocuteur avant de dire ; « Ce n’est pas un ordre mais, une obligation si tu ne veux pas me faire du mal indirectement ; soit tu vas fumer dans la salle de bain avec la fenêtre ouverte ou soit tu l’éteins tout de suite avant que je ne m’étouffe sur place, c’est toi qui vois… ». La Suisse déposa sa main sur sa bouche & son nez de manière à moins sentir l’odeur de tabac qui avait envahie la chambre. Berny ne le savait pas mais, quelques années après leur séparation elle était devenue particulièrement fragile, la moindre petite chose pouvait froisser sa santé et le fait qu’elle ne supporte pas qu’il fume aussi près d’elle en était la preuve. La jeune oméga n’était pas particulièrement à l’aise, elle n’aimait pas se montrer faible ainsi même si elle était loin d’être en présence d’un de ses ennemis, elle avait toujours fait de son mieux pour paraître forte et seuls sa meilleure amie & son docteur étaient au courant de ses problèmes. Neela ne voulait pas qu’il la traite comme si elle était en sucre, elle voulait qu’il la traite comme une vraie femme, ce qu’elle était devenue depuis que leurs chemins c’étaient séparés, avant que le hasard ou le destin ne les réunissent dans la même chambre. Alors qu’elle était à la limite de se tortiller, elle le regardait avec un air de chat potée comme si ça allait le faire réagir plus vite…
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Sujet: Re: never forget your first kiss ↯ Berny {hot} Sam 16 Juil - 23:33
« C’est plutôt à moi de te poser la question, je croyais que tu étais parti au Canada ou j’sais pas trop où… » Il haussa les épaules. Oui, il avait été au Canada. Mais après son accident, il avait eu besoin de revenir à zéro, tout recommencer. Tout ça à cause d’un sport, oui. Sérieusement, berny tenait à cœur des choses complètements débile. Mais bon, c’était Berny, quoi. « J’étais au Canada, oui.. Mais depuis peu j’ai décidé de continuer mes études ici.. J’savais pas que t’étais là ! T’étudie quoi ? » Ca lui faisait bizarre, de la revoir. Vraiment. Il était mélangé entre la joie, et les souvenirs. Tellement de choses avaient changé depuis qu’ils s’étaient séparés. Trop de choses, justement. Jagger se demandait ce qu’elle était devenue, au fil du temps. En tout cas, il était genre.. Époustouflé par sa beauté. Oui, elle était belle. Très belle. Ce qui était.. et bien, c’était normal, en fait. Il savait qu’elle deviendrait belle. Mais ce qu’il ne savait pas, c’était qu’il la reverrait un jour. C’était pour ça qu’il était quand même sur le cul. « Après m’avoir charrié sur ma poitrine, tu me fais des compliments ? Je préfère ça, Jagger. » Un nouveau sourire se dessina sur son visage. Jagger. Elle l’avait appelé Jagger. L’époque où ils s’étaient connus était l’époque où il avait un gros complexe avec son prénom, et obligeait tout le monde à l’appeler ainsi. Rares étaient les personnes qui le faisaient. Mais elle, elle l’avait toujours fait. Désormais, il assumait plus son prénom. Berny. Moche, certes. Mais il avait 22 ans, maintenant. Il était un adulte responsable, et ne devait plus faire des enfantillages pour un simple prénom qui était laid. Berny ne put faire autrement que de faire un sourire à Neela. « Je dis ce que je veux, aux dernières nouvelles, non ? Déjà, si Dieu ne voulait pas que les hommes regardent les poitrines des femmes, il n’en aurai tout simplement pas crée et vous auriez des torses comme nous. Et si les hommes ne devaient pas faire de compliments aux femmes, et bien elles ne seraient tout simplement pas belles comme le jour. » Comme souvent, il racontait de la merde. Déjà, il ne croyait même pas en Dieu. Mais ça, ce n’était qu’un petit détail. Berny était ce genre de gars qui avait du répondant, et qui ne se laissait pas faire. Il alluma ensuite sa cigarette. C’était clair que maintenant, contrairement à avant, il ne pouvait pas passer de très long moment sans fumé. Le jeune homme resta ahuri quand Neela manqua de suffoquer. Rien qu’à cause de la fumée de cigarette. Jamais il n’avait connu quelqu’un d’aussi sensible que ça. « Ce n’est pas un ordre mais, une obligation si tu ne veux pas me faire du mal indirectement ; soit tu vas fumer dans la salle de bain avec la fenêtre ouverte ou soit tu l’éteins tout de suite avant que je ne m’étouffe sur place, c’est toi qui vois… ». Elle avait vraiment, mais alors vraiment l’air de mourir. Bizarre. Normalement, les gens toussait vite fait, mais pas autant que ça. Bon. Il tira une dernière latte, puis dit en recrachant la fumé vers le plafond « Je te déteste, Di Marco ». Et Jagger écrasa sa cigarette contre le mur pour la jeté dans la poubelle ensuite. Oui, il n’avait pas non plus changé sur ce côté-là, il se fichait de tout. Que les murs est une trace noir à cause de lui ? Ce n’était pas son problème. Berny passa une main dans ses cheveux, et posa ensuite son regard électrique sur Neela. « C’est bon ? La poupée de porcelaine se sent mieux ? » Oui, bon, il la charriait. Mais elle l’avait quand même obligée à éteindre sa cigarette. Ca méritait qu’il dise ça. Le beau jeune homme s’affala ensuite sur son lit. Bordel ce qu’il faisait chaud, ici. Ni une, ni deux, Berny enleva son tee shirt pour l’ajouté à son tas d’affaires qui trônait sur son lit. « Tu m’as pas répondu, Nini’, tu deviens quoi, alors ? » Nini. Oui, il l’avait appelé Nini. C’était plus fort que lui. Puis finalement, ne tenant pas en place, et ayant toujours besoin de bouger un peu partout, Jagger se leva d’un seul coup, pour aller jusqu’à la fenêtre. Ils avaient la vu sur la mer, magnifique. Berny passa sa main dans ses cheveux. Ce qui était devenu un tic, au fil du temps. Après avoir contemplé la vue, il tourna la tête pour regarder Neela. La belle Neela. Même dix ans après, il ne pouvait pas rester indifférent face à son charme. « J’suis content de te revoir» finit-il par avouer. Même si ce n'était pas son genre de faire ça. D'ailleurs, la seconde qui suivit ses paroles, il eut envie de se taper lui même. C'était quoi cette débilité apparente? Depuis quand disait il ce genre de chose à quelqu'un ? Quel crétin.
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Sujet: Re: never forget your first kiss ↯ Berny {hot} Dim 17 Juil - 14:53
New Resolution ~ It’s like the clock is pacingthe break of dawn, and our hearts are racing. Move on, move on, there's nothing changing.
« J’étais au Canada, oui.. Mais depuis peu j’ai décidé de continuer mes études ici.. J’savais pas que t’étais là ! T’étudie quoi ? » Forcément, à choisir entre le Canada & les États-Unis pour finir ses études, il valait mieux choisir le deuxième puisqu'il offre beaucoup plus d'opportunités que le premier, puis Berkeley ça se refuse pas alors la jeune femme comprenait parfaitement son choix. « Tu connais un peu ma situation familiale, ils sont pas foutus de rester dans un même pays plus de deux ans alors j'ai pas arrêté de bouger ; j'ai l'impression d'avoir fait la moitié du monde puisque je suis aussi bien passé par l'Asie que l'Europe & l'Afrique, il ne me manque plus que l'Amérique du Sud à voir, ce que je suis entrain de faire actuellement vu que nous nous retrouvons ensemble au Mexique. Tu dois t'en douter mais, j'étudie actuellement les langues et il va d'ailleurs falloir que je fasse un tour en Russie vu que le russe est ma nouvelle langue étrangère du moment, enfin c'est pas pour tout de suite... »Après ce court monologue, voilà que Berny esquissait un nouveau sourire et avant même qu’il n’ouvre à nouveau sa bouche, Neela savait déjà qu’il allait sortir des conneries comme il savait si bien le faire à l’époque où ils n’étaient que des gosses. Si les deux avaient fait un concours de celui qui racontait le plus de la merde, il l’aurait très certainement battu mais, s’il y avait bien un domaine sur lequel il ne pouvait pas la battre c’était sur le domaine des langues, elle était déjà quadrilingue à 12 ans et elle ne cessait d’apprendre de nouvelles langues, toujours plus difficiles et pas forcément communes comme le Japonais mais, ça lui plaisait de connaître des choses que peu ou personne d’autres ne connaissaient, ça l’a rendait en quelque sorte indispensable et pourrait en faire une parfaite guide pour les voyages à l’étranger. Malgré son intelligence, elle ne parlait pas encore couramment l’espagnol et n’aimait pas particulièrement l’accent et l’écriture de celle-ci, elle avait toujours trouvé que ce n’était pas une très belle langue et que l’Italien était mieux enfin, vous allez me dire que c’est normal puisque madame est Italienne à la base mais, sa langue maternelle sonnait beaucoup mieux que celle-ci. Voilà que le bellâtre lui sort une réplique digne d’un philosophe croyant raté, elle eut un petit rire & lui répondu « De un aux premières nouvelles tu ne crois pas en dieu, de deux bien que tu excuse soit recherchée elle est complètement bidon & de trois, tu as le droit de dire ce que tu veux mais, ça veut aussi dire que j’ai le droit de te contredire et ça tu vois, ça s’appelle la liberté d’expression ». L’on pourrait presque croire que Neela voulait devenir avocate à l’entendre parler ainsi mais, il l’avait un peu cherché avec sa défense de bad-boy qui n’aime pas qu’on lui tienne tête. Même si elle n’en avait pas l’air, la jeune femme aimait également montrer qu’elle avait son petit caractère et qu’elle ne se laissait pas faire, encore moins avec les hommes alors ce n’était pas avec lui qu’elle allait la fermer, bien au contraire. Monsieur n’avait pas l’air content qu’elle soit aussi sensible à la fumée mais, il avait quand même daigné éteindre sa foutue clope tout la charriant une deuxième fois.
Quel ingrat, en lui faisant arrêter sa cigarette elle lui rendait aussi service à lui & ses poumons mais ça, évidemment il ne s’en rendrait compte que quand il aura le cancer et qu’il ne pourra rien faire pour contrer ça. La brunette poussa un long soupire et se leva de son lit, elle marcha longuement dans la chambre et finira par s’arrêter quelques minutes plus tard. ‘ La poupée de porcelaine ’ n’était pas vraiment très lui du lui & tripotait sa langue chevelure d’ébène, puis elle lui lança un regard et s’exclama ; « Sa va mieux maintenant, n’oublie pas que ton addiction te fait perdre de précieuses minutes de vie, Berny… »Les yeux de la jeune femme étaient soudainement devenus vides & tristes, elle n’aimait pas voir des gens comme lui fumer ou se détruire intérieurement alors qu’ils sont en parfaite santé, contrairement à elle. Parfois ce genre de comportements l’énervait mais, elle n’avait pas la moindre envie de lui crier dessus alors qu’elle venait à peine de le retrouver, ça serait trop bête de gâcher leur retrouvailles en la transformant en engueulade. Elle se posa à côté de lui, examina le plafond et lui répondu, d’un air presque blazé ; « Ce que je deviens ? Et bien, j’étudie à Berkeley où je suis chez les oméga et où je suis avec ma meilleure amie, je vis seule loin de ma famille et… » Elle se stoppa brutalement, il ne fallait pas qu’elle oublie de garder ses problèmes de santé secrets alors elle reprit ; « et j’ai l’impression d’être anorexique dans ce pays d’obèses, de fausses blondes aux seins refaits & aux lèvres beaucoup trop regonflées, d’imbéciles qui ont trop de muscles mais pas assez de neurones, où le respect n’a pas l’air de faire parti du vocabulaire des habitants de ce pays – qui ferrait mieux de prendre exemple sur les Japonais – et puis que Barack Obama n’est pas un aussi bon président qu’il en a l’air ».Oui Neela aimait bien critiquer les pays étrangers, en particulier quand elle avait eut le temps de tout observer et de fréquenter de nombreuses personnes aussi différentes les unes que les autres. Les USA avaient vraiment une grande diversité de culture mais, la mentalité et ce besoin constant de montrer son pognon à tout le monde avait tendance à taper sur les nerfs de la jeune femme, elle était riche grâce à sa famille mais, ce n’était pas pour autant qu’elle criait partout qu’elle avait un bon compte en banque et que son grand père est une pointure de la mode bref… Alors qu’elle regardait ailleurs, son interlocuteur lui avoua qu’elle lui avait manqué, elle se retourna aussitôt et se pencha au dessus de lui, elle déposa son index sur sa bouche, le regarda tendrement et eut un sourire angélique. Elle ne s’attendait pas à ce qu’il lui avoue ce genre de chose mais, elle était heureuse de l’entendre dire ça. Quelques secondes après avoir déposé son index sur ses lèvres, elle lui répondu ; « Anche a me mi manchi tantisssimo »Ce qui voulait dire qu’il lui avait manqué énormément à elle aussi, peut-être qu’il n’allait pas comprendre mais, elle savait qu’il avait un minimum de jugeote pour traduire…
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Sujet: Re: never forget your first kiss ↯ Berny {hot} Dim 17 Juil - 23:44
« Tu connais un peu ma situation familiale, ils sont pas foutus de rester dans un même pays plus de deux ans alors j'ai pas arrêté de bouger ; j'ai l'impression d'avoir fait la moitié du monde puisque je suis aussi bien passé par l'Asie que l'Europe & l'Afrique, il ne me manque plus que l'Amérique du Sud à voir, ce que je suis entrain de faire actuellement vu que nous nous retrouvons ensemble au Mexique. Tu dois t'en douter mais, j'étudie actuellement les langues et il va d'ailleurs falloir que je fasse un tour en Russie vu que le russe est ma nouvelle langue étrangère du moment, enfin c'est pas pour tout de suite... » Bon dieu ce qu’elle était bavarde, qu’elle était piplette. Un vrai moulin à paroles. Comme toujours. Elle n’avait pas changer depuis qu’elle était petite, toujours à parler. Encore et encore. Mais pas une seule seconde il n’avait cesser de l’écouter, bien sûr. Evident. Elle faisait des études de langues, comment avait-il pu un instant se poser la question, de toute manière ? Qu’il était débile. Finalement, elle n’avait pas autant changer que ça, la belle Neela. Elle s’était seulement beaucoup embellie. Puis bien sûr, comme souvent, il dit de la merde. Mais dans le genre, de la vraie merde. Berny avait toujours été comme ça. Et il aimait ça, franchement. Parce que ça faisait parti de sa personnalité, en fait. C’était la libre expression. Et comme ses pensées étaient souvent bizarre, ou incomprise, et qu’il était dans le genre fou.. Bref, vous voyez le genre. « De un aux premières nouvelles tu ne crois pas en dieu, de deux bien que tu excuse soit recherchée elle est complètement bidon & de trois, tu as le droit de dire ce que tu veux mais, ça veut aussi dire que j’ai le droit de te contredire et ça tu vois, ça s’appelle la liberté d’expression ». Jagger n’aimait pas qu’on lui tienne tête, ça ne lui plaisait pas. Il avait toujours pour habitude de « regner » et d’avoir le dernier mot. Et il se battait pour ça, d’ailleurs. C’était pas du genre à laisser tomber. Il pouvait même inventer le plus gros des mensonges sur cette planète pour avoir le dernier mot. Il était comme ça. On l’aimait pour ça. Enfin.. Même si peu de personnes l’aimait réellement. Même pas sa mère, qui lui en voulait affreusement pour être aussi tenace, et rebelle. « Qu’est-ce que tu en sais, Di marco ? Ca fait longtemps qu’on ne s’est pas vu, j’ai peut être changer. J’ai changé, alors comme te permet-tu de faire des conclusions si attive ?De deux, mon excuse n’est pas du tout bidon, je dis seulement la verité, mademoiselle. Et non, tu n’as pas du tout l’autorisation de me contredire, c’est tout. » Berny lui fit un clin d’œil, complice. Il aimait dire n’importe quoi, et ce n’était pas nouveau. Puis finalement, mademoiselle decida de s’étouffer à cause de la fumée de la cigarette. Qu’il fut obligé d’éteindre à peine deux secondes après l’avoir allumée. Elle abusait un peu, tout de même. Il allait devoir attendre qu’elle sorte de la chambre pour pouvoir fumer tranquillement, sans qu’elle râle, pendant ces nombreuses semaines où ils seront dans la même chambre.
« Sa va mieux maintenant, n’oublie pas que ton addiction te fait perdre de précieuses minutes de vie, Berny… » Jagger posa son regard sur la belle. Il arqua un sourcil, puis secoua la tête. C’était quoi ces leçons de moral à deux francs six sous ? Le beau jeune homme leva les yeux aux ciels « On meurt tous un jour, alors plus tôt ou plus tard.. Ca change quoi ? Autant se faire plaisir, et faire se que l’on veut, non ? Il n’y à pas de raison de se priver de quoi que ce soit. » Et c’était en tant que connaisseur, qu’il parlait. Berny était loin d’être le mec qui se privait de quelque chose. Il voulait quelque chose, il faisait tout pour l’avoir. Que ce soit bien, mal, ou pas approprié. Le fait était qu’il faisait réellement ce qu’il voulait. Etait-ce un défaut ou une qualité ? Après, cela dépendait de l’avis des gens. Berny aimait se savoir libre de ses choix, et de ses actions. Et pour être libre, il l’était. Il se fichait de tout. Vraiment tout. Le bel homme fronça les sourcils en voyant la tête de Neela si triste. Qu’est-ce qu’il avait dit de mal, sérieusement ? Qu’elle ne fume pas, il ne l’obligeait à rien . « Ce que je deviens ? Et bien, j’étudie à Berkeley où je suis chez les oméga et où je suis avec ma meilleure amie, je vis seule loin de ma famille et… et j’ai l’impression d’être anorexique dans ce pays d’obèses, de fausses blondes aux seins refaits & aux lèvres beaucoup trop regonflées, d’imbéciles qui ont trop de muscles mais pas assez de neurones, où le respect n’a pas l’air de faire parti du vocabulaire des habitants de ce pays – qui ferrait mieux de prendre exemple sur les Japonais – et puis que Barack Obama n’est pas un aussi bon président qu’il en a l’air ». Il ria . Oui, il riait comme un fou. Berny Jagger était mort de rire, alors qu’il regardait son premier amour dans les yeux. Etait-elle sérieuse, quand elle disait ça ? Elle parlait de façon presque haineuse de USA. Ce qui était vraiment.. déroutant, puisqu’elle y vivait. Le jeune homme secoua la tête. Il n’y croyait pas ses yeux et ses oreilles, en fait. « Si tu déteste tant les Etats-Unis, pourquoi tu ne retourne pas en Suisse, ton pays que t’aime tant, sérieusement ? Pour vivre au moins à un endroit où tu serai heureuse, et où tu ne critiqueras pas tout le monde. Les gens aiment cette façon de vivre, c’est leur choix, tu crois pas ? » Il avait toujours été du genre tolérant, et gentil. Enfin, plus tolérant qu’autre chose. Rien de particulier ne le dérangeait, à part l’hypocrisie. Berny était quelqu’un de plutôt très ouverts. Rien ne réussissait à vraiment l’énerver. Enfin, pas quelque chose en gros, d’englobé, vous voyez. Puis le Luxembourgeois alla jusqu’à la fenêtre, torse nu, et avoua contre tout attente qu’il était content de revoir la belle demoiselle. Bizarre, mais vrai. Ces mots sortaient bien de la bouche de Berny. Et puis Neela s’approcha. Et déposa son index sur ses lèvres. Comment pourrait –il parler, maintenant ? Elle faisait exprès ou quoi ? ;« Anche a me mi manchi tantisssimo » Berny posa son regard bleu et séduisant dans celui de la belle et sulfureuse Neela. Quel était belle. Berny leva sa main, pour mettre une mèche de cheveux de la belle derrière son oreille, en profitant pour caresser sa joue, à une vitesse éclair. Malgré son doigts sur ses lèvres, il arriva à placer quelques mots, doucement « J’espère que tu ne viens pas de dire que j’étais le plus gros des connards, parce que ça serai totalement injuste. » Jagger lui fit un petit sourire séduisant.. C’était pas nouveau, il n’y connaissait rien aux langues, il était une vrai merde. Comment dans beaucoup de domaine, d’ailleurs.
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Sujet: Re: never forget your first kiss ↯ Berny {hot} Lun 18 Juil - 15:17
New Resolution ~ It’s like the clock is pacingthe break of dawn, and our hearts are racing. Move on, move on, there's nothing changing.
Bavarde ? Oui elle l'était mais, en même temps ça faisait tellement longtemps qu'elle ne l'avait pas vu, elle n'allait pas lui sortir 5 mots et clôturer sa phrase, en plus elle avait énormément de choses à raconter mais, la plupart des choses qui c'étaient passées dans sa vie, elle ne souhaitait pas vraiment les lui raconter enfaite.« Qu’est-ce que tu en sais, Di marco ? Ca fait longtemps qu’on ne s’est pas vu, j’ai peut être changer. J’ai changé, alors comme te permet-tu de faire des conclusions si hâtives ?De deux, mon excuse n’est pas du tout bidon, je dis seulement la verité, mademoiselle. Et non, tu n’as pas du tout l’autorisation de me contredire, c’est tout. » Ba voyons monsieur avait changé, il avait vue la Vierge Marie aussi pendant qu'il y était ? Conclusions hâtives ou non, elle était persuadée qu'il ne croyait toujours pas en dieu et puis, elle avait parfaitement le droit de le contredire et elle l'avait toujours fait alors ça ne serait pas maintenant qu'elle allait se taire. « Si tu es croyant maintenant, où est donc passée ta croix ? Je ne pense pas que tu ais un tempérament à croire en dieu, tu as peut-être changé mais tu ne peux pas avoir changé à 200% mon grand. Je t’ai toujours contredis et je ne vois pas pourquoi ça changerait mon cher Wyllcocks »». Voilà, ça c’est dit, même si elle était sûre qu’il aurait encore son mot à dire parce que monsieur aime avoir le dernier mot, au moins elle lui aura précisé qu’elle ne comptait pas s’en arrêter à là. La brunette n’avait aucunement peur de lui, elle savait que si jamais il lui faisait des menaces il n’irait pas au bout, qu’il ne la frapperait jamais ou ne ferrait rien pour la blesser physiquement parlant ni moralement d’ailleurs. Oui Jagger est un mauvais garçon mais, il ne pouvait pas être mauvais avec elle, elle en était absolument persuadée, le fait qu’il ait arrêté sa cigarette était quand même une preuve aussi minime soit-elle… Neela ne savait pas du tout s’il serait aussi tendre qu’avant avec elle, s’il prendrait la peine de prendre son temps libre avec elle, s’il se comporterait comme le mignon petit garçon qu’il était quand il l’avait embrassé pour la première fois… La Suisse se souvenait qu’il était assez possessif & jaloux, par exemple il ne supportait pas que le garçon bizarre du pensionnat s’en approche de trop près ou qu’il la regarde beaucoup trop à son goût, elle avait toujours trouvé ça mignon puisque ça prouvait l’attachement qu’il avait envers elle. Rien que d’y repenser, ça la faisait sourire, s’il était resté le même bonhomme qu’avant il ferrait certainement un très bon colocataire malgré qu’il fume. La Suisse comptait bien lui faire arrêter le tabac d’une manière ou d’une autre, sans qu’il s’en rende compte sera la meilleure solution mais, ça risquait d’être une mission périlleuse mais, le mot impossible ne faisait pas parti du vocabulaire de la jeune femme.
« On meurt tous un jour, alors plus tôt ou plus tard.. Ca change quoi ? Autant se faire plaisir, et faire se que l’on veut, non ? Il n’y à pas de raison de se priver de quoi que ce soit. »Forcément, il n’allait pas dire qu’elle avait raison et qu’il allait diminuer la cigarette, elle s’en doutait. C’est bien beau de se faire plaisir et de faire ce que l’on veut mais, gâcher sa santé l’est beaucoup moins surtout lorsqu’on est jeunes, qu’on a encore beaucoup trop de choses à vivre pour s’éteindre rapidement & bêtement. Neela s’imaginait toujours le pire mais, elle ne voulait pas que Berny ne pourrissent ses poumons trop longtemps, elle ne savait même pas depuis combien de temps il c’était mis au tabac. La belle oméga ne voulait pas s’engager dans un débat avec lui, elle savait qu’il ne démordrait pas alors elle se contenta de lui dire ; « T’es tellement insouciant, t’as vraiment pas peur de mourir beaucoup plus tôt que prévu… en plus tu vas avoir les dents jaunes et une mauvaise haleine, c’est ton sex-appeal qui va en prendre un coup mais, tu fais ce que tu veux après tout ».La fin de sa phrase était presque hypocrite mais, elle ne pouvait pas l’empêcher de vivre comme il l’entendait, sa mère avait déjà essayé de le faire avant elle et elle avait échoué, elle n’allait donc pas prendre le risque d’avoir une énorme déception. Elle savait que même s’il n’avait pas les dents jeunes et qu’il ne sentait pas la rose, elle le trouverait toujours aussi attirant, puis si jamais ça lui arrivait vraiment il aurait peut-être un peu moins de succès avec les autres filles, ce n’était pas si mal en fin de compte. Neela n’avait peut-être pas eut une bonne idée en dérivant sur le sujet des Etats-Unis mais, au moins ça l’a empêché de lui parler des problèmes de santé mais surtout de lui dire pourquoi & comment c’était arrivé… parce que oui, elle était malade à cause de quelque chose d’assez ridicule & pathétique ; une peine d’amour. Il se moquerait certainement d’elle s’il savait que sa plus longue relation l’avait anéantie… au point qu’elle finisse par en avoir de gros problèmes de santé, elle n’allait donc pas lui en toucher le moindre mot, il était beaucoup mieux dans son ignorance et elle n’aurait pas l’air d’être une pauvre petite fille fragile à qui l’on a brisé le cœur. La jeune oméga était étonnée qu’il défende ce pays qui n’était pas le sien, il n’avait pas tout à fait tort mais il n’avait pas entièrement raison non plus. « La Suisse n’est pas le pays que j’apprécie le plus, j’aime le Japon mais pas autant que l’Italie, je n’ai pas choisi les Etats-Unis par hasard, c’est ici que j’aurais les meilleures écoles et que j’aurais le plus de chance de faire ce dont j’ai envie. Certes la mentalité ne me plait pas mais, aucun pays n’est parfait, même celui d’où on vient… ».
Elle disait ça parce qu’elle avait toujours eut en horreur de Silvio Berlusconi, elle avait toujours trouvé qu’il fait honte et déshonneur à tous les Italiens et qu’il n’avait pas le droit d’être aussi haut placé, surtout après toutes les erreurs qu’il avait pu faire même s’il restait avant tout un homme faible face à la tentation, il aurait du monter une bonne image de lui et prouver qu’il pouvait être un meilleur homme… au lieu de ça, il a couru après les midinettes, a divorcé et a entaché l’image de la politique en Italie. Maintenant elle était loin de son pays, elle n’avait donc plus à supporter la vue de cet homme qui lui inspirait du dégoût et c’était tant mieux. Peut-être que Berny appréciait les mœurs des Américains, qu’il c’était adapté à leur façon de vivre et qu’il acceptait tout mais, ça ne sera jamais le cas de Neela parce qu’elle ne pourra jamais se sentir Américaine à 200%, tout d’abord parce qu’elle est originaire d’Europe et qu’elle le restera toute sa vie, ensuite parce qu’elle ne compte pas prendre la nationalité du pays et enfin parce qu’elle était très bien en tant que Suisse, c’est pas pour rien que Madame c’est fait naturalisée là bas. Ça devait paraître absurde au gamma qu’elle ne se sente pas à l’aise dans le pays qu’elle a choisi, il pouvait en penser ce qu’il voulait elle s’en fichait un peu, elle ne comptait pas finir ses derniers jours ici, elle avait encore beaucoup trop de pays et de cultures à découvrir pour s’enfermer dans la cage dorée qu’est la Californie. Neela ne comprenait pas pourquoi autant de Mexicains tentaient tout & n’importe quoi pour franchir la barrière, certes ils étaient pauvres mais ils ne seront jamais parfaitement intégrés chez les Américains, seront traités comme des esclaves par ceux qui les prendront comme femmes de ménages ou autre, ils étaient beaucoup mieux chez eux avec leurs familles et leurs terres sacrées. La jeune femme avait toujours aimé l’histoire, elle s’y intéressait même d’assez près au point d’avoir pensé à choisir l’archéologie comme études mais, sa passion pour les langues étrangères était plus forte que tout le reste alors elle fini par faire son choix. Ce n’est pas pour autant qu’elle allait se priver de lire des livres qui n’avaient à voir avec son domaine, bien au contraire elle ne se privait pas d’améliorer sa culture générale et d’aller visiter les monuments et les musées. Jagger lui devait bien s’en foutre de tout ça, il devait penser à la musique et à s’amuser plutôt qu’autre chose mais, elle respecterait son choix puisqu’elle n’avait pas à imposer son point de vue aux autres, encore moins à ceux qu’elle appréciait. Bref, elle ne quittait pas sa position et maintenu son doigts sur la bouche de Berny, ses lèvres étaient toujours aussi attirantes et son sourire ne la laissait pas de marbre. Le fait qu’il puisse croire qu’elle l’avait traité de ‘ gros connard ’l’avait fait rire, quel imbécile vraiment… « C’est loin d’être une insulte baka, là par contre je viens bel & bien de te traiter d’idiot en Japonais ».Pendant qu’elle parlait, son code vint se collé au torse du jeune homme à cause de la chaleur, si elle avait aussi chaud que lui, elle se serait bien prise une bonne douche mais, elle n’en avait pas envie pour le moment, elle voulait juste continuer de l’admirer. Elle retira son doigts et se déplaça de manière à pouvoir s’asseoir sur lui, elle ne savait pas du tout si cette position allait lui donner des idées perverses mais, elle n’en avait rien à faire et puis il avait toujours sa braguette de fermée de toute façon. « T’es plutôt confortable maintenant, tu t’es suffisamment épaissi pour que je puisse m’asseoir sur toi sans problèmes ». Neela jouait peut-être à un jeux dangereux mais, elle se sentait particulièrement à l’aise au dessus de lui et ne comptait pas bouger, il y avait peu de chances pour qu’il l’a dégage puisqu’elle était légère et qu’elle ne puait pas la transpiration, en plus elle avait la peau particulièrement douce et son short était loin de couvrir toute sa peau.
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