C'était enfin le weekend et cela faisais vraiment du bien après une semaine qui m'avais parue interminable. A vrai dire, je n'avais pas vraiment l'habitude de travailler dur mais avec les exams qui arrivaient ainsi que beaucoup de casting, de défilés et de représentation de théâtre qui approchaient il fallait bien bosser un minimum alors une fois le weekend venue il étais temps de s'éclater un peu. J'avais appelée Ashley, ma meilleure amie qui était sur le campus histoire d'aller faire la fête avec elle mais elle était déjà occupée avec un devoir de physique. J'étais sur le point d'appeler Lull quand je me souvins qu'elle passait quelques jours dans sa famille loin d'ici. Oh et puis finalement je n'avais pas vraiment envie de m'embêter à trouver quelqu'un pour m'accompagner, je me décidai à aller faire la fête en solitaire quitte à faire de nouvelles rencontres. Il était maintenant 21 heures et j'avais finie de me préparer. Je ne savais pas franchement ou j'allais aller mais je traversai le campus histoire d'arriver jusqu'à ma voiture. Alors que je longeais tranquillement le campus qui était seulement éclairé par quelques lanternes quelqu'un qui m'étais complètement inconnu se précipita vers moi me disant qu'il y avait une grosse fête chez les Alpha. La personne avais déjà l'air d'avoir beaucoup bu et elle m'entraina par le bras jusqu'à un grand bâtiment du quel s'échapper de la musique. La fille partit avant que je ne puisse lui dire quoi que se soit, peu importe, il y avait bien une fête ici et je décidai donc d'y aller. A intérieure il y avait quelques personne que je connaissais et d'autres pas du tout. Je saluai quelques ami(e)s à moi et partit vers le bar histoire de prendre un verre. Un mec me regardait mais je ne savais pas vraiment de qui il s'agissait, je décidai donc de lui adresser un petit sourire et quelques minutes après il s'approcha de moi. Nous étions devant le bar et il prit un shaker qu’il remplit de plusieurs liquides et commença à préparer un cocktail à la manière de Tom Cruise. Le mec en question avait l’air plutôt sympa et amusant. Après avoir remué le cocktail il m’en servit un verre. Il était d’un magnifique bleu et cela donnais vraiment envie de le boire. On parlait en buvant le cocktail qui étais en effet très bon, bien alcoolisé mais cela ne me dérangeais pas du tout car je tenais très bien l’alcool. Je savais déjà que le jeune homme s’appelait John-Thomas. Il m’avait posé plusieurs question et une fois lui avoir répondu je lui demandais :

Cyrielle- Bon assez parlée de moi, tu fait quoi comme études ?

Il me parla un peu de ses études qui étaient assez compliqués à mon gout, voir même trop. C’est dans ces moments la que je me disais que j’avais vraiment bien fait de choisir le théâtre car je ne voyais vraiment pas diplômé en science.
Il me parla aussi d’un projet qui était apparemment secret. A vrai dire j’étais quelqu’un d’extrêmement curieuse et j’adorais savoir tout ce qui étais secret. En trinquant, je lui fis un petit regard qui voulait dire que je voulais vraiment savoir de quoi il s’agissait et je fis un très grand sourire quand il m’annonça qu’il allait me montrer sa fameuse invention. Je lui répondis de suite :

Cyrielle-Oh, super, promis je garde sa pour moi. Mais attend rassure moi c’est pas un truc style savant fou qui fait son expérience et le truc foire et du coup tout le bahut explose ou on se retrouve changés en insectes ?

Je croit que même si son expérience était en effet un truc super foireux j'aurais tenue à y assister. Oui, en effet j’avais une imagination débordante et je faisais souvent de ma vie un film mais que voulez vous ce n’est pas par lubie que j’ai choisis de devenir actrice. Au risque de me vanter je doit dire que je vois ma vie comme le meilleur film de tout les temps.
Ce qui étais bien c'est qu'il m'arrivais tout le temps des trucs super insolites et inattendus à raconter. Je me rappèle d'une fois ou j'étais à Paris il m'étais arrivée quelque chose qui avais tout l'air d'un scénario tiré par les cheveux.


FLASHBACK

C'était il y a maintenant 6 ans. Je marchais tranquillement avec mon frère dans les rues de Paris quand juste devant nous un homme coagulé est rentré dans une banque et à pris les gens en otages à l'intérieur afin de récupérer l'argent. L'homme ne nous avaient pas vus et nous nous étions cachés justes derrières des contenaires. Avec son portable, mon frère avais discrètement appelé la police qui nous avaient remerciés et nous avaient dit de rentrer discrètement chez nous. Nous étions sortit de notre planque en courant mais quelques mètres plus loin, je me rendis compte que le calepin dans lequel j'écrivais toutes mes chansons n'étaient plus dans mon sac. Je couru en sens inverse pour le récupéré et mon frère me criais de revenir. Je ne l'écoutais pas et revint sur mes pas. Le calepin étais posé devant la banque et au moment ou je me pencha pour le ramasser l'homme cagoulé sortit de la banque avec les liasses de billets. Il ne me vit pas et trébucha sur ma jambe. Il était tombé et pile à ce moment la, la police arrivais et le menottais. Et tout avais bien finit.

FIN DU FLASHBACK

John rit quand il entendit ma super question digne d'un scénario et me répondit en blaguant qu'il n'était pas vraiment au point pour la transformation des hommes en insectes. Il me dit ensuite de le suivre en haut. Sur le coup j'eus un moment de recul me disant que toute cette histoire s'agissait en fait d'une vielle technique de drague. Technique que je trouvais assez ridicule mais il me rassura vite en me disant que ce n'était pas le cas.
Nous montions ce grand escalier qui mené aux chambres des Alpha. J'avais déjà pris cet escalier quelques fois pour rendre visite à des amis mais je ne passais pas non plus énormément de temps chez eux étant donné que je ne faisais pas partit de cette confrérie et qu'en plus je vivais à San Francisco dans un appartement.

Après être arrivés en haut des marches et d'avoir traversés le couloir on arriva devant une chambre qui était la sienne. Il me fit signe de le suivre et de ne pas faire attention au bordel. Dans mon appartement l'endroit le mieux rangé était mon dressing qui était aussi grand que ma chambre mais tout l'appartement était bien rangé. C'est moi qui m'occuper de tout classer et nettoyer mais je faisais croire à mes ami(e)s que c'était la femme de ménage qui faisait tout. Je me rappèle de mon frère non biologique dont la chambre était tout le temps en bordel et même si je lui faisait croire que cela me saouler en fait j'adorais sa.

Dans la chambre se trouvais une espèce de table avec des chaises ce qui paraissais normal et il sortit de sous son lit une mallette en métal. Assis sur ma chaise je trépignais presque d'impatiente car je voulais savoir ce qu'elle contenait. Il me demanda ensuite si je ne voulais pas renoncer. Renoncer, non mais sa va pas, il n'en était pas question pour une fois qu'une soirée ne se terminée pas avec un inconnu dans mon lit et une gueule de bois monumentale je n'allais pas renoncer.

Cyrielle : Alors la, si tu pensais te débarrasser aussi vite de moi tu peux rêver bien sur que non je ne veux pas renoncer. Et si j'ai peur oui mais assez bizarrement j'aime sa.

Il sortit tout un tas de choses de sa mallette des câbles, des caméras une boite noir. Un étudiant en science aurais surement deviné ce que tout cela signifié mais moi je ne voyais toujours pas ou il voulais en venir. John avait quelque chose de différent et ce quelques chose me plaisait :

Cyrielle : Fait ce que tu veux de moi mais ne me déforme pas le visage ou le corps

John commença à m'expliquer à quoi servait cette fameuse boite noire digne d'un grand film de science fiction. Mais je fut encore plus étonnée quand il m'annonça que cette boite allait l'aider à tout savoir sur moi. Au début, je pensais qu'il s'agissait d'une blague mais je remarqua assé vite qu'il était très sérieux. Je ne croyais pas du tout qu'un système, tel qu'il soit était capable de tout savoir sur une personne mais dans le doute j'allais quand même tout faire pour ne rien laisser échapper car si par un miracle de la science son invention fonctionnais il saurait toute la vérité sur moi et sa, je n'en avais pas la moindre envie.

Je fis donc mine d'être super à l'aise et très détendue en espérant qu'il n'apercevrais pas mon inquiétude :

Cyrielle : Tout savoir sur moi, ah ouais ? Va y de toute façon je n'ai rien à cacher.

Ce que je disait était bien-sur absolument faux car oui j'avais des choses à cacher et pas mal. En moi même je repensais à mon passé. Et si par malheur il apprenais que je vendais de la drogue ou pire encore, si jamais il apprenais que je n'étais pas riche ! Se serait, à coup sur la fin de ma popularité. Je n'aurais alors plus accès au club privés, je serais renié de la jet-set et sa se serais la pire chose qui pourrais arriver.

FLASHBACK

Mon frère : Cyrielle, j'ai tout découvert, je sais que tu vend de la drogue !

Cyrielle : Mais d'où tu sort cela ?

Mon frère : J'ai mes propres sources mais la n'est pas le problème, Cyrielle tu as 13 ans

Cyrielle : Je fait ce que je veux d'abord, de tout façon sa sert à rien de parler maintenant tu va le dire aux parents et je serais fichue

J'étais dans ma chambre, assise par terre contre la porte afin que mon frère ne puisse pas rentrer dans ma chambre et mes larmes coulaient le long de mes joues.

Mon frère : Écoute moi, je veux bien te promettre de ne rien dire si toi tu me promet d'arrêter. Tu ira voir ton dealer demain et tu lui dira que tu veux tout arrêter. Promet moi aussi que tu arrête avec tes conneries et je ne dirait rien. Mais dis moi juste : pourquoi as tu fait cela ?

Cyrielle : Je te le promet, j'arrête. Bien je dois t'avouer que si j'ai fait cela c'était pour gagner de l'argent et pouvoir me payer des fringues qui me donnent l'impression d'être riche.

FIN DU FLASHBACK

Le lendemain, j'étais allée dire à mon patron que j'arrêtais tout mais je n'en avais pas eu besoin car en allant devant le point de rendez-vous, je ne trouva qu'un avis d'arrestation. La maison ou ce trouvais toute la drogue avait étaie fouillée et mes patron c'étaient fait arrêtés. Par solidarité, mon patron ne m'avait pas dénoncée ce qui m'avais évitée un tour en prison mais depuis ce jour, finit les bêtises.

Je repensais à cela et ce souvenir m'avais bouleversée. Je repris mes esprits histoire de ne pas être vulnérable durant l'expérience. John me mis alors une charlotte sur la tête ce qui devait je pense ne pas trop me mettre à mon avantage. Mais peut importe. Il me plaça alors plusieurs truc non identifiés sur la tête... mais aussi un espèce de patch sur le bras.

Cyrielle : Ce patch me fait penser à ceux qu'on prend quand on veux arrêter de fumer. J'ai essayée une fois et je l'ai gardée que une heure. Non pas que cela faisait mal mais il fallait le mettre sur le bras et j'allais pas sortir comme sa. Je me suis dit ce jour la qu'il valais mieux être dépendante que moche. Oui je sait c'est ridicule.

Il me dis alors qu'il allait me poser des questions et que je pouvais répondre comme je le voulais et même passer à la suivante. Alors la il n'allait pas être déçu car j'avais des réponses parfois étranges aux questions.

Cyrielle : Oh oui, plus que prête

Encore une fois ce n'étais pas vrai mais il valais mieux ne pas montrer ses faiblesses dès le début.

corbeille