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Kiss with a fist ❈ Nikolaï

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MessageSujet: Kiss with a fist ❈ Nikolaï Kiss with a fist ❈ Nikolaï EmptyDim 31 Juil - 6:00

Kiss with a fist ❈ Nikolaï NgTYSQ
LET'S GET THIS OVER WITH Wide awake, my mistake. So predictable. You were fake, I was great, nothing personal. I'm walking, who's laughing now ? I'm wasted, wasting time. You talk for hours but you're wasting lines. A pretty face but the chase ain't worth the prize. I'm gonna break your little heart, watch you take the fall. Party queen, cause a scene, so ridiculous. Little dress, maybe less, so conspicuous. 'Cause in the end you're just a pretty trophy.

♫ And the rain is falling and I believe my time has come. It reminds me of the pain I might leave. Leave behind. Wait in the fire... ♪ Les paroles s'échappaient sans arrière pensée, juste le constat ridicule que je chantais sous la douche, le plus vieux cliché de la salle de bain. Mais personne n’était là pour me juger donc autant le faire, et fort en plus. Et puis s’il y avait bien un artiste qu’il fallait chanter sous la douche c’était Jeff Buckley, et celui qui disait le contraire avait le droit à son beau coquard. Hm tu t’es pas levée du bon pied ce matin... mais vraiment, c’était pas une surprise, j’avais toujours eu un penchant pour l’humeur de merde en fin d’après-midi, surtout lorsque le prof d’architecture demandait d’écrire une thèse sur le style baroque pour dans huit jours. Hum pardon ? Est-ce que j’ai l’air d’avoir que ça à faire ? Même si le sujet avait ses mérites; c’était toujours mieux que l’étude sur les différents types de porte qu’on avait faite il y a un mois; c’était loin d’être une raison pour se mettre à bosser. Donc advienne que pourra, et si croiser mes bras et rien faire me coûtait la moitié de mes points ce dernier trimestre, il y avait toujours les examens finaux pour se rattraper, et j'avais plus de chance là que sur un essai décrivant l'architecture barrocco. Surtout que les dômes et autres touches extravagantes c'était pas mon truc. J'avais choisi l'architecture pour l'aspect esthétique, pas pour les cours d'histoire qui martèlent le crâne avec des mots latins, mais la plupart du temps je restais au fond de l'auditorium la tête dans les bras. Pas ma meilleure idée, mais si j'entendais une dernière fois des noms de l'antiquité j'allais péter un plomb. Avant que la suite de « Grace » sorte d’entre mes lèvres, la bouteille de shampoing tombait à mes pieds et me tirait de mon semi-coma nébuleux, dissipant mes pensées et me rappelant que la mousse dans mes cheveux n’allait pas s’en aller toute seule. J’avais eu besoin d’une douche après la journée, et plus l’eau était brûlante mieux c’était, la vapeur engouffrant rapidement toute la pièce. Le seul moyen de calmer mes nerfs c'était de m'extraire du monde autour de moi, et même si la cabine étriquée d'une douche était pas forcément mon premier choix, la solitude qui venait avec était pas plus mal. Je coupais le jet après le rinçage machinal et attrapais la serviette pour l'enrouler autour de mon corps; enfin la serviette... plutôt le modèle réduit qui s'arrêtait à mi-cuisse; et sortais du cubicle. Mes colocataires revenaient pas avant la fin de la journée et je me laissais fredonner les dernières paroles de la chanson. Avant que mon père ne devienne un joueur fauché et compulsif, ces airs là remplissaient la maison toute la journée jusqu'au soir, où il partait bouteille de Jack Daniel's en main et l'argent qu'il allait perdre en poche, au casino le plus proche. J'avais toujours pensé que ma mère était la plus névrosée des deux, mais avec le recul ils s'équilibraient parfaitement; le couple maniaco-dépressif de San Diego. J'avais pris mes jambes à mon cou avant de mimiquer leurs symptômes d'idiotie humaine, mais parfois j'avais peur d'avoir un peu trop hérité de leur tiques quotidiens, comme pousser la chanson à n'importe quel moment ou paresser la journée entière. Peut-être que c'était ma façon de les garder quelque part avec moi, même si mon égo bataillait pour refuser cette hypothèse.

Sentant un frisson se balader le long de mon dos, je sortais de la salle de bain pour attraper mes vêtements, serviette toujours en place. Les gouttes s'écrasaient sur le sol jusqu'au placard, mais avant que je puisse attraper quoi que ce soit, la porte s'ouvrait en un slam et je faisais un bon en arrière, agrippant la serviette comme une bouée de sauvetage. Nikolaï Duma. Si on me donnait un dollar à chaque fois qu'il apparaissait au mauvais moment... Non pas qu'il y ait de bons moments avec lui. Depuis que j'avais plaqué sa caricature dans un couloir de berkeley, fallait croire qu'il faisait tout son possible pour m'emmerder. Si j'appréciais pas tellement le challenge des joutes verbales, je lui aurait déjà collé une ordonnance de proximité sur sa tête de prince démago. Mais il avait le mérite de savoir choisir ses mots et quand les utiliser, même s'il le faisait plus pour séduire la blonde peroxydée du coin. Pour l'instant cela dit j'étais loin d'être en position d'argumenter, plus vulnérable physiquement que ce dont j'avais l'habitude. Toujours sous l’effet de la surprise et de la colère piquée, je laissais les explétives couler. « Putain Nikolaï t’es vraiment un crétin, t’as décidé de défoncer la porte ou quoi ? » Et mes tympans pendant qu’on y est. J’étais peut-être pas complètement remise de ma cuite de la veille au final. Remarquant le regard hasardeux du delta, je l'observai sourcils toujours froncés, attendant ses explications à deux balles... qui n'arrivaient pas. A la place il refermait la porte derrière lui, et mon visage changeait complètement d'expression. « Installe toi surtout Duma, c'est pas comme si tu connaissais la définition d'approprié après tout. » Ou même d'espace restreint. La chambre semblait plus petite sans trop savoir pourquoi, mais la proximité de Niko était beaucoup plus dérangeante. J'avais beau vouloir le rabaisser d'un cran à chacune de nos altercations, j'avais parfois du mal à discerner la ligne entre mon égo et le désir indéniable dans le creux de mon ventre. J'avais toujours un faible pour les liaisons dangereuses, mais le delta en face de moi était beaucoup trop fier pour que je me courbe devant lui, et l'idée de perdre une partie que j'avais engagé laissait un goût amer dans ma bouche. Avalant ma salive comme pour me rappeler à l'ordre, je serrai une main sur la serviette, la fixant davantage. « Dégage de ma chambre Niko, ton aftershave empeste. » Je laissais les mots passer sans réfléchir, sachant pertinemment bien que ça aurait l'effet inverse. Dites lui quelque chose il fait le contraire ce gamin, mais j'étais pas disposée à réfléchir avant de parler, surtout lorsque les gouttes se baladaient sur ma peau pour me faire frissonner, et que le sourire narquois du blond en face bougeait pas de place.
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MessageSujet: Re: Kiss with a fist ❈ Nikolaï Kiss with a fist ❈ Nikolaï EmptyJeu 4 Aoû - 19:06

Kiss with a fist ❈ Nikolaï Nikoneva

DROWN Oh, come on down, we can drown in this water, it’s only gonna set us free. Come on down, we can drown in this water, you’ve been praying for a remedy. Who, really cares about fatal mistakes ? Trailer parks dreams don’t carry much weight, in the long run you’ve got nothing to prove. So go, run while you can still get away, take a breath while it’s still yours to take. You’re a mess, but yes, you’re beautiful. NIKONEVA


Moi, je suis l'homme qui tombe à pic. Celui qui débarque toujours au bon moment. Je suis celui sur lequel on ne crache jamais, mais plutôt celui sur lequel on bave. Faut pas se leurrer non plus, je sais que c'est votre cas à vous aussi. Mais pas la peine de me l'avouer, et même si vous dites le contraire, je sais que c'est parce que vous ne supporteriez pas de ravir mon égo. De toutes façons, pas la peine de me le dire pour que je le sache. Je suis parfait. Et ce sont mes parents qui ont bâti cette perfection qui m'habite. Et également celle qui habite ma soeur, la merveille de mon monde. D'ailleurs, à midi je l'avais invité à déjeuner avec moi dans l'un des restaurants les plus huppés de la ville, avant de la re-déposer ensuite à Berkeley, où des cours nous attendaient tous deux. Car l'année scolaire n'était pas encore terminée, bien que ce serait bientôt le cas. Et cet été, c'était Cancùn qui m'attendait. Enfin qui attendait la plupart des étudiants de l'université. Car le voyage nous était offert, et ce grâce à nos talentueux sportifs. Toutefois, certains allaient rester à Berkeley. C'est pourquoi, suite à la fin de mes cours, j'avais décidé de rendre visite à une ancienne conquête, qui elle resterait coincée ici. Je n'étais pas certain que ce fut une excellente idée, étant donné que la dernière fois que nous nous étions vus, j'étais dans les bras de sa meilleure amie, chose qu'elle n'avait pas apprécié, même s'il n'y avait strictement rien de sérieux entre nous. J'avais alors ramassé une petite pâquerette poussant juste devant la maison des sigmas, avant d'y entrer. Je savais bien évidemment que ma présence ici été vue du mauvais oeil, mais je n'en avais que faire. Me faisant le plus discret possible, j'étais monté au second étage du bâtiment, jusqu'à arriver devant la chambre de mon ancienne fameuse conquête. Avant d'arriver devant sa porte, je m'étais fait remarquer par plusieurs sigmas qui m'avaient lancé de drôles de regards, auxquels j'avais répondu par un clin d'oeil. Fier d'être où j'étais, je toquais donc d'un air victorieux, attendant sagement que l'on vienne m'ouvrir. Ce que fit ma-dite conquête dans les cinq secondes qui suivirent. Je lui tendis ma belle pâquerette en souriant d'un air arrogant, qu'elle ne supportait plus. La sigma attrapa mon fabuleux présent et l'écrasa sur ma joue, alors que ses gros yeux commençaient à s'emplir de haine, et ses joues à rougir. Oh oh. Décidant de pousser un peu plus le bouchon, je gardais mon sourire aux lèvres avant de l'embrasser aux coins des siennes. Elle répondit à ce baiser par une gifle, avant de grogner telle une ogresse se préparant à me dévorer. Il était l'heure pour moi de m'enfuir, surtout que la demoiselle n'y allait pas de mains mortes. En effet, elle venait de s'emparer d'un manche à balai. Un seul échappatoire : la fuite.

Je me mis donc à courir à travers les couloirs, passant d'un étage à un autre, suivi de près par la folle furieuse, alors que les spectateurs de cette course poursuite étaient morts de rire. Je courrais à toute vitesse, jusqu'à semer celle qui jurait devant Dieu qu'elle aurait ma peau. Une fois que sa voix se faisait minime derrière moi et que je devinais qu'elle ne faisait pas le poids face à ma vitesse, je me dirigeais discrètement jusqu'à la chambre d'une amie disons, Nevana. Elle serait la seule à pouvoir m'accueillir par autre chose que des coups de pieds au cul, bien que par moment, elle n'était pas loin de m'en coller. Une fois devant sa chambre, j'entendais des pas lourds dans le couloir, et par peur de découvrir de qui il s'agissait, sans réfléchir, j'étais entré brusquement à l'intérieur. Mon entrée fut fracassante, et extrêmement bruyante, d'ailleurs en me retournant, ce fut une Nevana au bord de la crise cardiaque que je découvris. Mais tout de même des plus sexys. À en déduire de sa tenue, elle sortait de la douche. En effet, une petite serviette de bain la recouvrait, laissant apparaître ses cuisses et son buste. Comme si elle avait besoin de ça pour me faire un effet indéniable. Cependant, je ne pouvais rien laisser paraître de cette envie qui m'habitait, tout cela devait rester un secret. Nevana était mon amie, même si nous étions plutôt chien et chat. Cette relation que nous entretenions elle et moi était si amusante que je n'osais pas la gâcher d'une quelconque manière. Même si peut-être, elle n'en serait pas gâchée pour autant. Qu'importe, c'était un risque à éviter. Souriant tout de même avec fierté, oui la fierté d'arriver au bon moment, je contemplais mon hôte sans la quitter des yeux. Haussant les épaules d'un air innocent, je ne répondis rien à sa première question. Des gouttes d'eau dégoulinait de son corps pour venir s'écraser sur le sol, et je pouvais sentir la bonne odeur de son gel douche ainsi que de son shampoing. Vérifiant que la portière de sa chambre était bien fermée, je m'approchais finalement doucement de la belle Bleeker-Crùz. Je pris à un satisfait, lui répondant ensuite. "Je compte bien m'installer oui, ne t'inquiète pas pour ça." Je pris place sur une chaise, d'un air satisfait. "La définition de quoi ? Oh, et ta tenue te va à ravir !" Un clin d'oeil taquin, et je restais là, à la regarder, me sentant tout à fait à mon aise. C'est vrai que sa chambre était petite, mais très accueillante, même si Nev' elle faisait tout pour me repousser. Par ailleurs, cela avait l'effet inverse. Étrangement, je pressentais que mon séjour dans son petit havre de paix ne faisait que de commencer. "Non arrête, il plait à toutes les filles, et puis je ne vais pas déguerpir de si tôt, cela serait impoli de repartir si vite maintenant que je suis là." Sifflotant un air au hasard, je ne pus m'empêcher de la regarder de haut en bas, tant le spectacle valait le coup d'oeil. Je pris un air affolé, me relevant d'un bond. "Oh excuse moi, je ne t'ai même pas salué." Je m'approchais d'elle, déposant une main entre ses omoplates, sur sa peau nue, si douce. Je l'embrassai sur une joue, avant d'ensuite me reculer. "Tu vas attraper froid, peut-être devrais-tu te changer. Même si vraiment, cette tenue te met très en valeur." Mon regard plongé dans le sien, j'attendais peut-être qu'elle attrape des vêtements dans son armoire et qu'elle se change devant moi, comme si cela ne posait aucun problème. Je laissai ensuite échapper un léger rire. "Oh désolé, pardonne-moi." Je posais une main sur mes yeux d'un air légèrement provocateur, et l'air de dire 'ça y'est, maintenant tu peux te changer, promis je regarde pas'.
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MessageSujet: Re: Kiss with a fist ❈ Nikolaï Kiss with a fist ❈ Nikolaï EmptyMar 20 Sep - 17:44

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