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The past is at our heels. Aubrey&Rosana

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MessageSujet: The past is at our heels. Aubrey&Rosana The past is at our heels. Aubrey&Rosana EmptyMar 3 Mai - 12:12

The past is at our heels..



Il faisait beau, le soleil baignait sur la totalité de l’université, à la joie de tous les étudiants présents. Ce matin-là, contrairement aux autres matins, Aubrey avait dû mettre deux bonnes heures pour trouver une tenue convenable à sa sortie. Elle avait dû changer au moins une dizaine de fois de tenue, pour enfin trouvé LA perle. Ses cheveux bruns étaient harmonieux avec le reste de son corps et dansait sur ses épaules grâce à la légère brise que diffusait la fenêtre entrouverte, et sa robe tombait sur ses jambes dessinées tel un mannequin. Les rayons de soleil arrivant par la fenêtre de sa chambre la firent frissonner, éclaircissant son teint clair. Aubrey avait toujours aimé le soleil, ces belles journées d’été l’a faisait rêver toujours un peu plus. Mais aujourd’hui, elle ne se préoccupée pas de ce magnifique soleil, mais de la personne qu’elle allait voir. La tête de la jeune fille était parsemée de questions, toutes différentes les unes des autres. Aubrey avait toujours eu ce don de se paniqué elle-même, avec ses questions sans intérêt. Plusieurs temps était passé depuis qu’Aubrey n’avait plus eu de nouvelle de son amie. Des années même, des années qui avaient étaient perpétuellement longues et dures pour Aubrey. La jeune fille avait conscience que ces années-là n’avait pas dû être de tout repos pour Rosana. Elle avait appris la mort de sa petite sœur par le biais d’un journal, après ce terrible jour, elle n’avait plus eu de réponses à ses messages, plus aucunes nouvelles de Rosana. Elle c’était faite une raison au fil des jours… Et elle comprenait que la jeune blonde avait besoin de prendre du recul, et peut-être de se consacrer à sa famille. Aubrey n’était peut-être pas si importante à ses yeux, finalement ? En se levant un beau matin, elle s’était préparée comme tous les autres jours habituels, et s’était rendue en cours. En y sortant, la brune l’avait croisée, sans s’y attendre. Oui, elle avait croisée Rosana, son amie d’enfance. Elle qui pensait ne jamais l’a revoit, ne plus jamais avoir de nouvelle. Sa journée fut illuminée par le joli visage de Rosana, qui lui avait tant manqué. Ce visage qu’elle avait espéré revoit tant de fois, lui avait rappelé tant de souvenirs, elle n’avait pas pu s’empêcher d’aller lui parler au plus vite. Elle savait que si elle ne l’avait pas fait, elle s’en serait voulu, à tort. La brune n’avait pas demandé d’explication à son amie sur la raison de ce silence durant des années, elle devait avoir une bonne raison, pensa-t-elle. Peut-être viendrait-elle à le lui dire tout simplement. Après avoir discuté quelques minutes, les deux étudiantes avaient décidées de se donner rendez-vous au Starbucks Coffee pour papoter davantage. Désormais, Aubrey se trouvait dans sa chambre, assise confortablement sur son lit, se remémorant leur rencontre à Berkeley, mais aussi leur toute première rencontre, dans cette colonie de vacances. Quand elle l’avait aperçu dans Berkeley, de nombreux souvenirs avaient refait surface, malgré qu’ils avaient étaient enfouis ces dernières années, contre son gré. La brune redoutait que l’absence et les années qui avaient passées, les aient séparées. Elles qui, avant tout cela, avaient étaient comme des sœurs, plus unies que jamais. Prête pour rejoindre son amie d’enfance, Aubrey ouvrit la porte de sa chambre et fit marche-arrière afin d’attraper au passage ses acolytes : son paquet de cigarettes, et son BlackBerry. Elle avançait, d’une démarche sûre, vers le Starbucks, où elles devaient de rejoindre. Une pensée traversa l’esprit de la jeune brune : Et si Rosana ne venait pas ? Peut-être n’avait-elle pas envie de ressasser le passée sans arrêt ? Mais elle se dit que si elle ne tentait rien, elle n’aurait rien. Quelques mètres l’a séparait désormais du café, et elle apercevait déjà la chevelure blonde qu’elle aimait tant : Rosana. Un sourire s’emparait de son visage maquillé à la perfection.

« Hé, Rosana ! Ça me fait plaisir de te voir tu sais… »
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MessageSujet: Re: The past is at our heels. Aubrey&Rosana The past is at our heels. Aubrey&Rosana EmptyVen 6 Mai - 22:03

The past is at our heels. Aubrey&Rosana Js03 The past is at our heels. Aubrey&Rosana 10212389
She's my reality .


    La terre tournait autour de moi et j'avais presque l'impression de ne plus courrir mais de voler, tout simplement. La musique dans les oreilles, je ne distinguais plus les visages qui m'entouraient, ni les couleurs et les structures de la ville aux alentours. J'avais les yeux rivés au sol évitant le soleil qui me lançait ses rayons d'un air accusateur. J'eus un bref sourire. Courrir me faisait du bien et m'aidais à me retrouver chaque semaine. J'en venais à faire le point sur ma vie de maintenant, sur ce que je vivais dans ce nouveau pays, dans cet endroit qui m'avais fait tant rêvé petite. Je me rappelle, il suffisait qu'on me demande de faire un voeux et le premier qui me venait était de partir aux Etats-Unis. Plus tard, ce fus le retour de ma soeur. Mais certain voeux restent irréalisables malgré de nombreuses coincidences et hasards qui parsèment notre vie. Je rêvais beaucoup mais sûrement pas d'autre chose, d'une autre vie. En France, tout m'avais parut sombre pendant longtemps. J'avais dû réapprendre à vivre, à cotoyer mon entourage sans paraître pour un fantome. Ici, tout était différent. J'avais été accepté. J'étais Rosana Di Domizio, la belle blonde cherleeder invitée à toutes les soirées possible et inimaginables. Celle qui faisait tourner la tête des hommes malgré que je n'ai pas eu plus d'expérience que ça dans ce domaine ... Mais ici, toutes sensations étaient décuplées. En un an, j'avais découvert bien plus qu'en toute une jeunesse auprès de mes parents dans la ville de l'amour, Paris. Bien fait pour moi, je devais l'avouer, j'avais la chance de mettre fait des amis géniaux et de mettre enfin créé une histoire en dehors de celle tragique que je vivais depuis mon deuil. Deuil que je ne voulais pas faire par respect pour la mémoire de ma petite Alessia. Néanmoins, je devais dire que j'étais fière de la manière dont je mettais reprise en main. Plus de chagrin, j'avançais. Peut-être trop rapidement mais j'avançais. Je n'avais pas peur de me prendre un mur. Obstacle insurmontable dont j'étais sûr de pouvoir esquiver. Après tout, j'avais vécu beaucoup trop de malheur pour en avoir encore peur maintenant. Vivre ma vie sans attendre en retour. La vivre pleinement c'était tout ..

    Un carrefour puis un autre. Je marrêta enfin. Le souffle me manquait, j'avais couru trop vite et trop longtemps, en tant que fumeuse, j'avais du mal à garder cette allure. Perdue dans mes pensées je m'oubliais souvent malgré que le sujet de mes songes restaient centrés toujours sur ma propre personne ! Hum, quel euphémisme ! Je sortis mon portable de ma poche après quelques étirements sur un banc du coin et ouvrit le sms que je voyais clignoter sur l'écran. C'était Aubrey; Je m'en doutais. Je n'aurais pas pu l'éviter toute une vie après tout ! Quoi que ... J'étais plutôt contente de la retrouver à Berkeley, au quel cas, nous serions sûrement toutes les deux passé à autre chose sans donner une chance à notre amitié de repartir. Avoir coupé les ponts avait été sûrement très injuste. Je le concevais maintenant mais lorsque le chagrin venait vous tenir le coeur de sa main puissante, vous n'aviez plus aucune envie d'entendre quelqu'un vous réconfortez. C'était bien pire. Et je me connaissais, il avait fallut surmonter tout ça pour que je puisse réavoir une vraie vie. Comment dans ce cas là faire patienter une meilleure amie comme elle ? Je l'avais d'ailleurs croisé dans les couloirs ce matin et je ne savais ce que j'avais ressentit; Joie, amertume, regret, tristesse, soulagement ... Que sais-je encore. Je n'avais rien dit et de loin je lui avais adréssé un sourire qui j'espérais, lui montrerait que j'avais plus qu'envie qu'on oublie ces longues années de silence mais allait-elle seulement vouloir me pardonner ? Je me dirigea tout de même vers le Starbuck où elle allait sûrement me rejoindre et commanda un mocca comme à mes habitudes. Je n'eus que m'assoir quelques minutes pour la voir arriver, toujours aussi magnifique. Sa mine réjouie ne pus que me tirer un sourire. Je me demandais comment j'avais pu faire pour couper les ponts.

    Moi aussi ! Tellement même ! Heureusement que j'étais dans le coin !...

    Je lui fis un clin d'oeil et pris une gorgée de ma boisson trop chaude pour la saison mais qu'importe, je ne suivais souvent pas les tendances ...
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MessageSujet: Re: The past is at our heels. Aubrey&Rosana The past is at our heels. Aubrey&Rosana EmptyDim 22 Mai - 13:37

Rosana était toujours aussi jolie, même dans ses plus lointains souvenirs. Cette pensée, lui rappella ses souvenirs de colonies... Aubrey se pinçait la lèvre inférieure pour ne pas s’autorisait à afficher un sourire trop enthousiaste. Au fond d’elle, la jeune brune espérait retrouver toute la complicité qu’elles avaient abandonnée quelques années auparavant. Elle avait néanmoins appris à prendre sur elle, à encaisser. Aubrey expirait un souffle court : elle l’avait retrouvée. La jeune étudiante, replaça sa mèche au bon endroit, d’une main. Proche de son amie, -ancienne amie ?- la brune ne put retenir sa joie, elle lui offrait l’un de ces plus beaux sourires, même si celui-ci n’égaliserait jamais celui de Rosana.

« Moi aussi ! Tellement même ! Heureusement que j'étais dans le coin !... » Lui répondit la blonde

Aubrey déposait un bref baisé sur la joue de la blonde, malgré qu’elle fût hésitante. Elle commanda un café auprès du serveur, ce dernier lui apporta rapidement. Elle absorbait ce liquide à une allure affolante, suivit de Rosana, qui elle s’enfilait un mocca. Quand Aubrey observait la jeune étudiante qui avait était l’une de ces meilleures amies, elle se rongeait les sangs. Qu’avait-elle fait de travers ? Aucune idée. Le soleil s’engouffrait dans le Starbucks, à la plus grande joie d’Aubrey. Il faisait beau, certainement l’une des journées les plus belles, et Rosana était présente. Oui, elle avait espéré voir ce moment ce produire. La brune décidait de chasser ses songes de son esprit, et se focalisa sur son amie.

« Qu’est-ce que tu deviens, depuis le temps ? ... »

Aubrey regretter déjà la fin de sa phrase. « Depuis le temps », peut-être que Rosana allait trouver ça déplacé de sa part. Pour apaiser les tensions qu’elle venait de se mettre elle-même, elle émit un petit rire amical, suivit d’un sourire envers Rosana. Comme à son habitude, Aubrey enroulait l’une de ses mèches, sur son index, petit tic qu’elle n’avait pas oublié malgré les années. Aubrey n’était pas mal à l’aise vis-à-vis de son amie, seulement gênée puisqu’elle devait surveiller chacune de ses paroles, pour ne pas l’a blessé. Maintenant qu’elle l’avait retrouvée, son unique but n’était certainement pas de la faire fuir à nouveau… Elle allait en profité, et cela au maximum, coûte que coûte. Rosana avait grandie, mûrie, mais elle était toujours cette belle jeune fille qu’Aubrey avait rencontrée dans ce camp de vacances. Son caractère avait dût se forgé suite aux épreuves qu’elle avait connue, peut-être que désormais, Aubrey et elle était tout simplement de jeunes filles bien différentes, et dont plus rien ne les unissaient. Tout ce qu’Aubrey ne voulait pas, tout ce qu’elle voulait, c’était revivre cette complicité qu’elle avait connue étant petite. C’était décidé : elle allait être là, près de Rosana, pour l’aider.

« … Ça m’a fait super plaisir de te croisée à Berkeley ! Tu restes étudié ici, longtemps ? » Ajouta-t-elle

La brune recommanda un autre café, en ajoutant un mocca pour la blonde. C’était sa tournée. Quel bien fou cela faisait d’être en sa compagnie, Rosana avait toujours eu ce don. Au fil des minutes, Aubrey se rendait définitivement compte, que son amie était bien là. Elle qui en avait rêvé pendant toute son enfance ! La blonde lui sourit, elle lui rendit ce sourire tant attendu. Qui sait, peut-être renaissait une amitié, qui avait était enterré ?
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