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And they forgiven my mistakes.

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MessageSujet: And they forgiven my mistakes. And they forgiven my mistakes. EmptyMer 23 Mar - 18:01

Calelloah ♥

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And they forgiven my mistakes. 963752icons1And they forgiven my mistakes. 715935icons6And they forgiven my mistakes. 641802icons3


    Ça aurait été un vendredi complétement banal si je n'avais pas reçu cet appel à 11h et demi d'un numéro qui n'était plus enregistré dans mon répertoire. D'habitude, au réveil, je ne décroche jamais, mais ça m'a paru important - et cette personne ne m'a pas appelé à 8h, elle devait savoir pertinemment que je ne serais jamais levé à cette heure là - alors j'ai décroché. L'importance de quelque chose dépend vraiment des personnes, et là je me suis senti con, parce que c'était juste pour des retrouvailles de première année. On devait être 6 ou 7 à y être conviés. Il y a à peine 1 ans, nous étions tous indécrochables, on se connaissait tous par cœur, et aujourd'hui j'avais l'impression qu'ils avaient tous quitté l'université tellement je les voyaient peu. Presque jamais. Non, jamais en faite. Le campus est beaucoup trop grand pour connaitre l'intégralité des étudiants, mais ceux là je devrait au moins les reconnaître non ? Et bien dans ce cas je ne les avait plus croisé depuis la rentré des 2ème année. On avait tous pris des chemins différents, on avait évolué. Avant, nous étions tous sur la même longueur d'onde. Puis on a terminé en couple avec un ami, et le jour où ça cassait, on s'éloignait définitivement. C'est comme ça qu'on en était venu à s'éparpiller, puis à s'oublier. L'amour fou toujours tout en l'air, c'est pas moi qui vais dire le contraire. L'amour et le sexe même. La passion je dirait plus. La passion m'emmerde sacrément, et tout ce qui va avec. J'emmerde les filles, Durex et le kamasutra. Donc on allait se retrouver ce soir dans une pièce, pour passer un moment complétement austère autour d'une table carré, sans ambiance, sans music, sans rien, un peu nul. Bordel pourquoi j'appréhende ? C'est des vieux potes c'est tout. Et instinctivement, je sais qu'on pourra jamais rester dîner tranquillement. On va être obligé de se giffler avec une escalope, et de faire un rally dans les couloirs de l'université. Ca finit toujours comme ça les retrouvailles, on redevient ce qu'on était auparavant. J'arriverais pas à faire la gueule. Il m'a fallu 4h04 minutes, une douche, un KFC, un footing et un livre de psychologie entier pour comprendre ce qui n'allait pas chez moi. Premièrement j'étais en période de dépression intensive, ça fait à peine une semaine que j'ai appris que j'ai failli faire un gosse à la protégé de ma meilleure amie, qui est la meilleure amie de mon meilleur ami par la même occasion. C'est un bordel pas possible, et je sens que tout va me retomber sur la gueule incessamment sous peu, ce qui me met dans une position de sensibilité nerveuse, sur le fil d'un rasoir, que je ne supporte pas. J'ai parler à personne depuis très exactement 18 heures, j'ai lu 8 livres et fait 3 dissertations. J'ai mal dormi, ça me gave et je suis énervé, voir haineux. Je n'arrive jamais à être triste, j'ai juste la haine. Contre moi même ou contre les autres, je ne sais pas encore. Deuxièmement, je vais voir une de mes ex-copines, et je n'aime pas ça, car elles ont le dons de me reprocher toujours quelque chose. Ouais, je crois que je n'ai pas envie de la voir. Plutôt que je n'ai pas envie de lui parler ou de partager un canapé avec elle, parce que je suis sur qu'elle est encore plus belle qu'avant, et mes hormones vont pas résister, je vais devoir la draguer, et je vais lui faire un gosse et ça va être catastrophique. « C'est bien Calvin, continue comme ça et tu va repeupler la terre » Comme si je n'étais pas déjà assez dans la merde comme ça. J'ai éteins la télé, et j'ai rappelé le numéro pour confirmer que je venait. Il est 3h et demi de l'après-midi, je fume à la fenêtre de la chambre. Le campus bouge, les gens passent et repassent. Dehors il fait beau, et moi, après ma cigarette, je me roule un stick pour aller mieux. Je m'assoit sur le bord de la fenêtre, et appelle ma mère sur son téléphone. Je ne m'attends pas a ce qu'elle décroche, car elle ne décroche jamais, mais le son de sa voix sur sa messagerie me fait plaisir, et je raccroche. Je me demande dans quel pays elle est aujourd'hui, et quelques seconde plus tard, je me rend compte que je ne connais pas la date de son anniversaire. Quelle merde je vous jure. Je suis posé, et je lis encore un livre de psycho. Et je me suis dit que ce gosse n'étais pas de ce monde, donc que ma vie demeurait inchangée et que j'étais toujours jeune. J'ai sourit, haussé les épaules et fermé mon bouquin, parce que c'était tout ce que j'avais besoin de savoir. Et soudainement, revoir mes amis de première année me paraissait une merveilleuse perspective de soirée. Si j'avais envie de me retaper mon ex, je pouvait le faire. Parce que je suis jeune, créatif et extrêmement motivé. Et j'emmerde ceux qui sont pas content, accessoirement. J'ai laissé un message sur le répondeur d'un de mes petits frères pour dire que tout allait merveilleusement bien. Je sais qu'il me répondra bientot, par un message rendu incompréhensible par l'alcool et la musique à fond derrière lui. Comme d'habitude. Mon quotidien m'enchante.

    Je saute dans un jean bleu nuit, passe un tee shirt blanc avec un col légèrement en V, et enfile une veste anthracite. Je me bas avec mes cheveux devant le miroir de la salle de bain pendant 15 bonnes minutes pour les mettre en place. Je glisse mon portefeuille dans une poche intérieur de ma veste, mon téléphone à l'arrière de mon pantalon. Je regarde l'heure : Je suis en retard. Mais ils devraient être habitué. J'enfile difficilement une paire de vans en sautillant a cloche pied. Je me mange la porte après une perte d'équilibre effroyable. « Quelle merveilleuse journée ! » Je frotte ma tête, a moitié sonner par le choc, puis attrape les clés, et ferme la porte derrière moi. J'ai rendez-vous au bar de l'université. En a peine 10 minutes, je suis devant la porte, et les vois tous a travers les fenêtres. Je pousse la porte et passe une main derrière la nuque. Ils n'ont pas changer. « Beckett, on y croyait plus ! ». J'hausse les épaules et lui sert la main. Ca fait longtemps que ne m'as pas appeler comme ça. Avant c'était Beckett ou Beck', maintenant c'est Calvin ou Cal'. Comme quoi, tout change, tout évolue. Et ce n'est pas plus mal. Je fais le tour de la table. Elloah est là, toujours aussi belle. Je lui sourit. « Bonsoir Elloah. » Un des garçons ricane et on se regarde, déjà complice. Ouais, personne n'a vraiment changé tout compte fais. Je vous épargne les discussions d'étudiants à moitié sérieuses, voir pas sérieuse du tout. Je noterais juste que la fille qui est a ma droite a réussit a calé son cours de sciences comme d'habitude. « Bon, je vais pisser hein m'en voulez pas ! » « Tu sais que les cellules de la vessie sont cubiques quand elle est pleine et allongées quand elle est vide ? » Évidemment, elle était fière, il y a eu un gros blanc, on s'est tous regarder circonspect, et on a été pris d'un fou rire. L'autre a faillit se faire dessus, et nous a dit que nous étions toujours aussi con en se précipitant vers les toilettes. On a continuer comme ça une bonne partie de la soirée, et on a presque rien mangé si ce n'est des cacahuètes. Je vais pas m'en plaindre, je suis un ventre sur pattes, mais les cacahuètes et moi, c'est le grand amour. Quand on m'a demandé si ça allait, je me suis appliqué a dire que je vivais dans le meilleur des mondes possibles, et que ma vie coulait dans une parfaite sérénité. Ils ont eu du mal a me croire, et m'ont corrigé. « Elle coule dans la vodka ouais. » Buvais-je à ce point ? Fort probable. Je n'ai presque pas parler a Elloah de la soirée. Si elle voulait de moi, elle viendrait me parler, et nymphomane comme elle est, je n'en doute pas une seconde. En attendant, je passait un bon moment, calé sur ma chaise avec mon verre. Puis, l'un d'entre eux a déclarer, les yeux illuminés, les pupilles scintillantes, nous présentant des clés qu'il avait encore voler au secrétariat. Un kleptomane, une drogué, un alcoolique, une nympho, un claustro et une érudit. Que demande le peuple ? Non, tous ces adjectifs sont un peu poussé tout de même. « Un tour dans le complexe sportif, ça vous dit ? » « Je te suis. » « Ça le fait » « Vous faites chier les gars. » 10 minutes plus tard, nous étions dans la salle de sport, et je jonglait avec un ballon. Ils savent tous que petit, je voulais être footballeur.

    Un d'entre eux a eu l'idée de ce jeux stupide où l'ont lance des dés, et suivant le nombre affiché, on doit faire un geste précis le plus vite possible. Le dernier qui le fait à une sentence, plus ou moins terrible suivant l'humeur des autres. Un stick fraichement roulé faisant encore son effet, j'avais les mêmes reflex qu'un koala endormi. Je me suis retrouvé enfermé dans la piscine universitaire, seul, en attendant la fin de la partie. Les lumières n'étaient pas allumé, seul le blanc de la lune éclairait la vaste pièce a travers l'immense baie vitré. Je souriait tout seul, assis sur une chaise près de l'eau bleuté, qui était complétement plate et inerte. Je sort mon téléphone. Un message sur ma boite vocal : Mon frère, soul, me dit que tout va très bien à la maison, et que les parents sont passé il y a environ 2 mois. Il me dit que les résultats scolaires vont bon train pour lui et son jumeaux, et qu'il seront bientôt a Berkeley. Tant mieux. J'attend. 2 minutes. 5 minutes. De longues minutes qui me paraissent des heures. L'odeur de chlore qui me dérangeait quelques seconde au paravent passe maintenant complétement inaperçu. Je fais le tour de la piscine, et retrouve quelques planches, frites et pull boy utilisés pour les exercices. J'entends la porte derrière moi s'ouvrir, et je soupire de soulagement. « Enfin, c'pas trop tôt ! » Je me retourne, et je suis surpris de voir Elloah, rentrer seul, la porte s'enclenchant derrière elle. Je la regarde, étonné, l'air abruti, une frite jaune dans les mains. Je la remet dans le bac, perplexe. Donc, ils l'ont enfermé avec moi. Je ne sais pas lequel de nous deux est le plus a plaindre à ce moment là. « Merveilleux.. » Je sourit sournoisement, et fait le tour pour la rejoindre, sans la quitter des yeux. Nous étions ensemble en début de 1ère année. On coulait le parfait amour, mais nous étions tout deux un peu trop frivoles. Je ne pouvais m'empêcher de draguer à gauche à droite, et elle faisait de même de son côté. Tout ça sans aucun remord. Enfin bref, nous étions dans une relation libre inutile, et notre étiquette de couple freinait nos conquêtes. On s'est quitter d'un commun accord, mais elle avait l'air plus d'accord que moi. Puis le groupe s'est éclaté, on s'est plus parler, calculer, revu. Je croyais même qu'elle avait abandonné ses études pendant un moment. Je suis en face d'elle, et j'humidifie ma lèvre inférieur. « Bon...Va falloir qu'on s'occupe..» Moi ? Des idées perverses ? Jamais. Enfin si, peut être un peu. Mais merde, elle est super sexy cette fille. Je comprend pourquoi je suis sortie avec. Et puis je me demande pourquoi j'ai voulu la quitter, parce qu'elle est largement plus attirante que la plus part de mes conquêtes. Il faut dire qu'avec mes coup d'un soir, je suis souvent soul, défoncé ou déchiré au possible. Elloah avait le mérite de m'avoir pour elle, totalement clean.
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MessageSujet: Re: And they forgiven my mistakes. And they forgiven my mistakes. EmptyDim 27 Mar - 20:09

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Calvin Beckett & Elloah Lindley.

« SEX IN THE AIR, I DON'T CARE I LOVE THE SMELL OF IT »


8 heures La demoiselle ouvrit un œil avec difficulté. Les rayons du soleil s'imprégnaient déjà par la fenêtre qui n'était pas cachée. Elle se maudissait de ne pas avoir tiré les rideaux quelques heures plus tôt. En effet, cela ne faisait qu'à peine trois heures qu'Elloah était couchée. Elle ouvrit le deuxième œil, lâcha quelques jurons et contempla un instant le plafond qui avait quelques ornements. Loa s'interrogea, fronçant légèrement les sourcils. Son plafond à elle n'avait pas d'ornements ; non, il était blanc cassé. La jeune Sigma cligna des yeux, croyant mal voir à cause de l'alcool ingéré la veille. Un clignement puis deux, et enfin trois. Elle se décida à contempler les alentours et comme à son habitude, elle vit, dans un premier lieu, un bel inconnu à ses côtés. Un sourire apparut sur son visage et une pensée traversa son esprit. Elle savait désormais où elle se trouvait : chez ce bel apollon. Elle tira les draps histoire de couvrir son corps nu et ne tarda pas à se mettre sur ses deux pieds ; tout en prenant soin de se lever du pied droit, évidemment. Le drap blanc entourant sa taille, elle l'accrocha au niveau de sa poitrine avant de commencer à chercher ses affaires qui étaient éparpillées un peu partout dans cette petite chambre. Elle retrouva sa ''robe'', si on peut appeler ça une robe tellement qu'elle était courte, puis ses escarpins qui devaient avoir cogné contre le mur étant donné la marque qui se trouvait sur celui-ci et enfin son petit string noir. Elle regarda partout, mais ne trouvait aucune trace de son soutien-gorge, pourtant elle était sure d'en avoir mis un. La blondinette avait fait tellement de bruit qu'elle en avait oublié que le jeune homme dormait. Elle jeta un bref regard vers l'inconnu et elle constata qu'il dormait toujours, enfin c'est ce qu'elle croyait. Il avait les yeux à demi clos pour mieux mater la demoiselle en train de se débattre à chercher ses affaires. En réalité il savait très bien où se trouvait le sous-vêtement manquant de la jeune française. D'ailleurs elle entendit un rire, que le jeune garçon avait bien évidemment essayé d'étouffer mais en vain, Elloah l'avait entendu. Elle se retourna et le vit sourire. Il était tellement charmant, il faut dire que vu son physique, elle ne pouvait que se taper des beaux gosses. Passons. Elle ne put résister et sauta doucement sur le lit, la souplesse du matelas la fit rebondir une ou deux fois. Son visage près de celui du jeune homme, elle lui fit un tendre baiser avant de lui lancer un bonjour. Face à la douceur de la jeune femme, le compagnon de nuit de cette dernière sortit, du dessous de la couette, le soutien-gorge noir qui manquait aux vêtements de Loa. Elle le remercia d'un sourire gratifiant et allait partir lorsque ce dernier lui tira l'avant-bras. Elle mordilla sa lèvre inférieure et enleva un par un les doigts qui entouraient son poignet. Le jeune homme, pour se venger tira sur le drap le laissant apercevoir le corps nu de la demoiselle. Ça ne la gêna pas et elle partit dans la salle de bain, ses affaires en main. Elle fit couler quelques temps l'eau avant de se glisser dessous. La Lindley fut très vite rejointe par l'inconnu qui lui avait fait passer une nuit banale. C'était son quotidien de se taper des mecs et celui-là n'avait rien d'exceptionnel. Ne voulant pas s'éterniser étant donné qu'elle était presque pressée de rentrer chez elle, elle lui fit un bisou sur la joue avant de rincer le gel douche gentiment étalé par ce dernier. Il sortit avant elle pour l'enrouler dans une serviette. Ça ne plaisait pas vraiment à Elloah, il était quelque peu trop collant, elle avait besoin d'air et il valait mieux pour lui qu'il la laisse très vite s'il ne voulait pas se faire jeter comme une vieille chaussette. Elle se rhabilla très vite, voulant fuir cet homme auquel elle aurait bien mit une baffe. Décalée la jeune femme, on prend soin d'elle et elle n'est pas contente. Loa est une éternelle insatisfaite. Elle ne mit pas de string, non, elle le jeta au visage de son compagnon de nuit avant de lui glisser sensuellement à l'oreille « Tiens, un souvenir. » Pas un mot de plus, elle enfila rapidement ses escarpins signés Louboutin et lorsqu'elle se pencha, elle devina que le garçon qui se trouvait derrière-elle avait pu apercevoir ses fesses. Tant pis, le chemin se fera ainsi. Elle prit sa pochette où se trouvait presque toute la vie d'une femme, claqua la porte et courrait presque dans les escaliers. Elle n'avait qu'une hâte : retrouver son chez soi. Sa pochette en main, elle l'ouvrit pour y chercher son BlackBerry qu'elle trouva instinctivement. Elle regarda l'heure et à sa plus grande surprise il était déjà neuf heures. Un coup de vent s'engouffra sous sa robe ce qui la fit frissonner de la tête aux pieds. La jeune Sigma héla un taxi puis lui indiqua l'adresse de son appartement. Les jambes croisées, les mains sur son Blackberry et sa pochette soigneusement posée à côté d'elle, elle installa très vite sa tête contre la fenêtre pour contempler le paysage qui défilait de façon très lente selon la jeune femme. Loa tendit un billet de 100 dollars au chauffeur et quitta l'auto jaune aussi vite qu'elle y était entrée n'oubliant aucune de ses affaires en sortant. Elle regarda le taxi partir, partant quelque peu dans ses pensées. Son gsm qui se trouvait dans sa main droite vibra ce qui la ''réveilla''. Elle jeta un bref coup d'œil a l'heure et son portable indiquait neuf heure trente. Ensuite, elle s'aperçut qu'une personne l'appelait. C'était une amie de première année à qui elle ne parlait quasiment plus. Très vite elle décrocha et la conversation habituelle du '' Salut, ça va, qu'est-ce que tu deviens ?'' s'installa. Elle trouvait ça bizarre que son interlocutrice la rappelle alors que ça faisait presque un an qu'elle n'avait eu aucunes nouvelles. Elle comprit lorsque la demoiselle qui était au bout du fil l'invita à une soirée rassemblant leur bande de pote de l'année dernière. Elloah hésitait à répondre par la positive, puis elle finissait par dire qu'elle donnerait la réponse aux alentours de midi, sans faute.

Lorsqu'elle eut raccroché, elle se décida à monter dans son somptueux appartement qui, à lui tout seul, on aurait dit une maison. Les quelques marches qui la séparait de sa porte furent très vite montées. La clé enfoncée dans la serrure, la Lindley entendit un petit bruit lorsque le loquet fut débloqué. N'ayant pas beaucoup dormi, ses jambes la conduisirent instinctivement dans sa chambre où il faisait noir puisque ses rideaux étaient tirés. Elle jeta téléphone et pochette sur sa commode avant de se laisser littéralement tomber sur le matelas bien moelleux. Un soupire s'échappa de sa bouche avant de finir par fermer les yeux et de s'endormir profondément. Le temps défilait et Elloah dormait toujours. Elle se réveilla et, ayant le cœur qui palpitait se pressa de prendre son portable. Elle manqua de tomber mais se rattrapa de justesse au meuble où se trouvait son gsm. Non pas un mais cinq appels en absence. C'était son amie qui l'avait appelé ce matin qui avait essayé de la joindre. Sa réponse, elle aurait dû la donner deux heures plus tôt. Elle se dépêcha d'envoyer un message à son ancienne amie et répondit qu'elle viendrait. En fait, c'était évident que la demoiselle serait de la partie. Jamais Loa ne raterait une occasion de faire la fête. La seule chose qui l'eut stressé c'est Calvin, un de ses ex avec qui elle eut une bref relation libertine. Aucuns sentiments, juste du sexe, ce que recherchait la jeune française mais cela les freinait dans leurs diverses relations. La jeune Sigma alla dans la cuisine et prit une pomme Golden, ses préférées. Une fois que sa pomme fut finie, elle la jeta et s'essuya la bouche. Elle prit son agenda et commença ses devoirs qu'elle avait pour la semaine. S'avancer c'était ça le secret. Pour une fois elle n'en avait pas tellement et elle ne passe qu'une heure dessus. Un soupir de soulagement sortit de sa bouche et, c'est ainsi qu'elle prit sa guitare et commença à jouer. La blondinette grattait ''hallelujah'', sa mélodie préférée. Elle chantonnait par-dessus le bruit de son instrument. La gorge sèche, elle prit un verre d'eau dans la cuisine et vit très vite leur qu'il était. Elle posa son verre dans l'évier et direction la salle de bain pour prendre une douche. Elle soupçonnait le gars de ce matin de n'avoir lavé que les endroits qu'il aimait toucher. Elle se lava intégralement sans négliger aucune parcelle de peau. Ensuite elle prit dans son dressing un top sexy mais pas trop, histoire de ne pas faire pu-pute devant ses anciens camarades de classe. Quoi que, elle s'en fichait. Le top était décolleté laissant une vue imprenable sur sa poitrine et enfila ensuite un jean slim moulant ses jambes infiniment longues. Elle laissait ses cheveux blonds détachés, se maquilla les yeux d'un trait noir et enfila des bottines Louboutins. Elle avait tellement de pair de chaussures qu'elle ne savait pas vraiment laquelle choisir, mais tant pis, celle -ci fera largement l'affaire. Une veste en cuir sur le dos et le tour sera joué. Elle prit son sac Balanciaga et y fourra tout ce qui était indispensable pour une femme. Un taxi l'emmena tout droit au bar de l'université qui se trouvait tout de même assez loin de chez Elloah. La vitre laissait voir qui se trouvait à l'intérieur et elle put se rendre compte qu'ils étaient tous arrivés, sauf Calvin, l'éternel retardataire qui aime se faire attendre. La demoiselle poussa la porte et alla vers la table où se trouvaient ses amis. Ils étaient tous restés les mêmes, à quelques détails prêt. Loa embrassait tout le monde chaleureusement, elle était vraiment contente de tous les revoirs, ça faisait extrêmement longtemps et malgré tout, ils lui manquaient un peu. Un sourire radieux prit en otage la bouche de la jeune femme. Elloah s'asseyait aux côtés de la demoiselle qui l'avait invité, c'était celle dont elle était le plus proche. La discussion s'installa et les paroles allaient dans tous les sens. On aurait dit qu'ils étaient une trentaine, alors qu'ils n'étaient même pas la moitié. Une demi-heure ou une heure s'écoula, toujours pas de Calvin en vue. Non pas qu'il manquait à la jeune Sigma, enfin si. Après tout, ils avaient partagé un tas de trucs ensemble même s'ils n'ont pas partagé la chose principale : le sentiment d'amour qui uni deux êtres. Puis, l'improbable se produisit : Calvin, là en face de tout le groupe. Plusieurs garçons s'exprimèrent face au retard du jeune homme. Très vite, il eut fini de faire le tour de la table et, comme on dit, il garda le meilleur pour la fin : Elloah. Elle le trouvait toujours aussi craquant et elle eut le même sourire qu'en arrivant laissant entrevoir ses dents d'une parfaite blancheur. Loa ne put s'empêcher de se lever et de l'étreindre. « Bonsoir Calvin. » répondit-elle au jeune homme. Il s'asseyait non loin de la jeune française. Ainsi la discussion reprit son cours parlant de tout et de rien, riant parfois aux éclats en se rappelant les bons souvenirs, uniquement les bons. La soirée passa très vite, ils avaient plus bu que mangé ; une habitude pour Elloah qui n'était pas une grande mangeuse. Elloah et Calvin ne s'étaient pas vraiment parlé, elle attendait de voir si ce dernier allait faire le premier pas. Puis, le garçon qui était en face de la Lindley agita des clés : ceux du complexe sportif. Il les avait encore volé, ça n'était pas la première fois qu'ils y allaient sans y être autorisé. Tout le monde était de la partie, la blondinette aussi, c'était presque logique puisqu'elle adore les interdits. Ni une, ni deux, dix minutes après ils étaient dans la salle de sport.

Le garçon qui les avait menés ici eut l'idée d'un jeu, ils y avaient déjà joué et ceci peut être drôle, parfois. Le but c'est de lancer un dé et suivant le nombre que celui-ci donne, il faut faire un mouvement adroit le plus rapidement possible ; celui qui est le plus lent à un gage. La jeune Sigma ayant pas mal bu savait qu'elle ne tarderait pas à avoir un gage. Elle fut sauvée car Calvin qui était encore plus lent qu'elle. Il se retrouva enfermé dans la piscine universitaire. Dommage, ils n'auront pas l'occasion de se parler beaucoup durant cette soirée. Le jeu suivait son cours tout comme les gages s'enchainaient. Tantôt pervers, tantôt compliqués. Elloah n'était pas encore arrivée dernière, à son plus grand plaisir et n'avait pas encore eut de gage. Tant mieux, moins elle fait de truc, mieux elle se porte. Ai-je parlé trop vite ? La Lindley vient justement de se ramasser un gage. Elle croisait les doigts pour qu'il ne soit pas trop dur. Et puis, le verdict tomba, ils l'enfermèrent, à son tour, avec Calvin, dans la salle où se trouvait la piscine. Était-ce un bon ou un mauvais gage ? Je vous dirai plutôt mauvais ; les deux jeunes gens ne s'étaient pas réellement parlé depuis leur.. rupture, soit quasiment un an. Un mot fut prononcé par Calvin et un soupir s'échappa de la bouche de la jeune blondinette. Il sourit, un sourire dont Loa n'arrivait pas à savoir la signification. Très vite, il fut à ses côtés ; au plus grand désespoir de la grande blonde. « Qu'on s'occupe ? Très bien, une idée ? » Dit la jeune femme avec un sourire et un regard charmeur. La demoiselle était toujours partante pour une partie de jambe en l'air, surtout avec Calvin qui était très bon au pieu. C'était presque son meilleur coup, et si jamais la proposition se présentait, la question ne se poserait même pas.
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MessageSujet: Re: And they forgiven my mistakes. And they forgiven my mistakes. EmptyLun 28 Mar - 20:48

Calelloah
:plop:

    J'avoue que je ne suis pas totalement sobre et clean, planté comme un imbécile devant elle, avec mon regard de pervers tout droit sortie de la forêt de Sherwood. De toute manière, un Calvin Kane Beckett complétement net relève de l'exploit, c'est une rareté de la nature que l'on ne croise qu'une fois dans l'année : Le dimanche qui précède la semaine des examens de fin d'années. Et oui, j'ai le mérite d'être complétement d'attaque ce jour là, j'ai une journée a décuver avant de passer au choses sérieuses, car si je veux rester dans cette université, il me faut mon droit de passage en 3ème année. La passerelle 1ère - 2ème était plutôt cool et acquis d'avance, mais cette fois si, je vais morfler sérieusement. Effectivement, je lis mes bouquins plus par envie que par besoin, donc je ne colle jamais au sujet présenté à la bonne date. Je suis a côté dans la plaque à chaque fois que je vais en cours, et mon professeur de psychologie l'a bien remarqué. Il m'a d'ailleurs proposé de parler de mon futur autour d'un tasse de café. Je suis un boulet de première, et ça me fait rire. J'en suis pas peu fière, c'est comme ça que je leurs plait, a toute ces filles. En faisant le con. Je suis canon quand je fais le con. D'ailleurs, j'avais jamais remarqué, mais Kane, ça fait un peu Ken. Et je veux une barbie sexuelle pour moi aussi, parce que je ressemble fichtrement à cette poupée en plastoc foutu comme un dieu, avec un sourire à faire jalouser les plus grands acteurs d'Hollywood. Par conséquent j'ai le droit. Sexy, charismatique, magnifique : Calvin quoi. Je m'aime. J'adore me faire attendre, me faire désirer et me faire entendre. Mon égo et moi, ça ne fait qu'un. Et ça les fait toutes craquer. Je ne m'en plein pas, si ça marche pour elle, ça marche pour moi. Je plane, ma libido va bon train, ma vie un peu moins : J'ai toutes les emmerdes du monde qui m'arrive sur la gueule au même moment. Et c'est pour ça que je doit profiter des soirées comme ça, qui tourne en ma faveur. Elloah aurait pu courir nu dehors sous les rires des autres, mais non, ils ont eu la merveilleuse idée de l'enfermer avec moi, ce qui pour elle est un supplice largement supérieur au premier. Tant pis pour elle, tant mieux pour moi, je sais qu'elle ne me résistera pas. Enfin bref, je vais arrêter mes sarcasmes et passer à l'action, avant de m'endormir dans la pataugeoire.

    L'atmosphère est toujours chaud dans les piscines. La température est supérieur, et pour cause, c'est pour ne pas qu'on attrape la crève en sortant de l'eau. J'adore ça. Mais là, c'est plus frais. C'est la nuit, les lumières sont éteintes, la pièce est calme. D'habitude, on entend le fracas de l'eau dans un crawl de compétition, et l'élan d'un plongeon. Maintenant, il n'y a plus qu'Elloah, moi, et le doux clapotis de l'eau rassurant. Si j'ai des idées ? Par milliers. Et le temps que je choisissent parmis celles que j'ai déja en tête, d'autre reprenne le dessus et s'y rajoute, me rendant la tâche plus difficile encore. Je dois opérer un tri entre les idées trop simples et chastes et celles trop crues et perverses. Cela réduit considérablement les possibilités, mais ne détermine toujours pas mon choix. Alors autant la laisser décider. « Je vais t'épargner la cruelle discussion ennuyante du " Alors qu'est ce que tu deviens ? " parce que, comment dire... je m'en fou et je suis sur que ma vie ne t'intéresse pas plus que ça, même si, il faut l'avouée, elle a le don d'être aussi passionnante et trépidante que moi. J'hésite juste à te jeter dans l'eau histoire d'admirer ton corps sous un tee shirt mouillé, tu serais alors parfaitement sexy - tu l'es déja beaucoup trop d'ailleurs, je n'aime pas que les autres te regardent, tu es a moi Elloah et ce jusqu'à preuve du contraire. Je me demande juste si je te ferais ensuite l'amour dans l'eau ou dans les douches. C'est un cruel dilemme pour moi, alors je vais me résigner a dire qu'on pourrait le faire plusieurs fois, mais vu que je suis complétement défoncé je vais pas tenir jusqu'au bout de la nuit. » Je marque une légère pause dans mon développement terriblement passionnant . Je suis un peu crue et direct, mais je vais pas passer 3 heures devant elle à parler du développement des libellules au Taiwan, parce que tout le monde s'en fou, surtout moi. Donc, tenir jusqu'au bout de la nuit...oui oui, je suis un étalon du sexe, mais y'a des limites, je suis pas une machine non plus. Je suis humain, je ne m'excite pas sur commande, et de plus je me lasse très vite : Exigeant en plus d'être con ce Calvin. Et puis, se refaire une ex, ça a une dimension flipante, alors je vais limiter les dégâts. De plus je sais très bien que je fais ça pour oublier ce qui m'arrive en ce moment, et non pas parce que j'ai des sentiments quelconque envers elle. Enfin je sais pas. Mais a beaucoup trop de sex-appeal pour être la mère de mes enfants. Oh mon dieu ne parler pas d'enfant par pitié. J'ai envie de couché avec Elloah, point à la ligne. « Alors, dans mon infinie bonté, Femme, je te laisse le choix. » J'ai laisser la question beaucoup trop ouverte, elle pourrait me répondre par un gros que dalle. Mais Loa n'est pas assez prude pour faire ça. Je parvient à garder mon équilibre charismatique grâce à mon regard que je plante dans celui de celle qui m'accompagne par obligation. Hé hé, je suis raide défoncé, mais je tient debout, et je sais encore parler au femme. En attendant, mon ex est coincé avec moi dans un endroit qui éveille quelques vices. C'est la règle du jeu. Mais "jeu" signifie tout de même qu'il faut qu'on s'amuse. Moi je vois très bien les choses, peut être qu'elle les voit sous un autre angle. Je me mords la lèvre inférieur et la détaille. Elle est encore plus charmante qu'il y a 1 an. J'ai envie de lui sauté dessus, mais je me retiens, car je suis un gentleman parfait. La preuve, je lui laisse le choix du reste de la soirée. Bien sur, je n'ai pas évoquer toutes les possibilités qui me passait par la tête, mais j'en est pris quelques unes qui se collait les unes aux autres, et au final, ça tient debout. Quoi ? Je l'ai appelé "femme" ? Même pas vrai...
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MessageSujet: Re: And they forgiven my mistakes. And they forgiven my mistakes. EmptyMer 30 Mar - 23:14

Elloah et Calvin enfermés tous deux dans la salle où se trouvait la piscine universitaire. Ironie ? Je ne crois pas non. Elle ne savait pas vraiment quoi penser ni quoi faire face au jeune homme dont elle connaissait les moindres partielles de peau. La demoiselle relookait Calvin qui se trouvait devant-elle. Elle scrutait son visage, puis son torse tellement bien sculpté pour finir par descendre jusqu’à ses pieds. Elle savait qu’elle et Calvin ça n’était pas fini, c’était sûr. Vous verriez les yeux de Calvin, comment il la dévore. Un peu comme s’il allait la manger. Mais ce qu’il ne savait pas c’est qu’elle le désirait tout autant. L’alcool en était aussi la cause ; ou pas. Elloah aimait faire l’amour telle une lionne. C’est même plus faire l’amour, c’est baiser. Juste du plaisir, c’est tout ce qu’elle recherche ; une nymphomane qui se respecte. Elle dort sexe, elle mange sexe, elle vit sexe. Loa savait qu’elle était jolie et elle en jouait. Oui, elle adore en jouer. En fait, si elle n’avait pas un tel physique, elle n’aurait pas autant de sex appeal. La seule chose qui lui resterait serait son incroyable don pour créer des enfants. Elle est tellement douée que la plupart des garçons en redemandent, pour ne pas dire tous. La blondinette avait un coup dans le nez, elle avait beaucoup voire même énormément bu mais n’a que très peu mangé. Ainsi elle avait les joues quelque peu rouges et un sourire béat constamment accroché aux lèvres. Elle avait aussi chaud, très chaud. D’ailleurs sa main lui servait de ventilateur ; à lui faire de l’air. En fait, ça n’était peut-être pas l’alcool qui lui faisait cet effet là, mais Calvin. Elle s’asseyait, quitta ses escarpins, remonta légèrement son jean et mit ses pieds dans la piscine, histoire qu’elle se rafraichisse. Elle les bougeait quelque peu laissant entendre un léger bruit lorsque l’eau claquait contre celles-ci. La jeune française était presque plongée dans ses souvenirs, essayant de se rappeler de ce qu’elle a vécu avec le bel apollon qui se trouvait enfermé avec elle. Et, avec un peu de réflexion, l’idée qu’elle n’eut jamais vu Calvin sobre lui vint à l’esprit. Elle était certaine qu’il serait d’avantage mignon et à croquer. Enfin, demander à Calvin de se passer d’alcool, c’est comme demander à Elloah de se passer de sexe : c’est tout bonnement impossible.

Elle se releva, essuya avec empressement ses jambes avec ses mains ; ce qui ne sert à rien, je vous l’accorde. Elle s’en aperçut très vite et prit la décision de les laisser sécher, comme ça, à l’air libre. Il faisait chaud dans cette salle, et étant donné que la jeune Sigma avait déjà chaud, ça n’arrangeait rien. Elle se posta devant Calvin, scrutant les traits de son visage qu’elle a tant regardé. Il ne tarda pas à prendre la parole, trouvant peut-être ce silence trop lourd, trop pesant. Ça l’était aussi pour la blondinette : elle n’aimait pas vraiment le silence. Qui dit silence dit pensée. Et les pensées tordues voire même perverses avec Calvin, ça n’est pas ce qui manquait. Plus elle le regardait, plus elle avait envie de lui, plus elle voulait le sentir près d’elle à faire des choses pas très catholiques. Et puis, faire l’amour dans une piscine, c’est un peu le fantasme de toutes les femmes. D’ailleurs, les premiers mots du jeune homme venaient tout juste de sortir de sa bouche. Il déballa un monologue où Elloah ne retenu que certains mots ou bouts de phrases comme ‘‘admirer ton corps’’ ou ‘‘l’amour dans l’eau ou dans les douches’’. En fait, elle ne retenait que ce qui l’arrangeait et, je vous avoue que la deuxième chose qu’elle a voulu retenir lui fit extrêmement plaisir. Tellement plaisir qu’à la pensée de faire l’amour avec Calvin dans cet endroit si peu commun lui fit parcourir un frisson sur tout le corps. Elloah le regardait désormais d’un air coquin et envieux. Elle le voulait, là, maintenant, tout de suite. Qu’importe l’endroit ou la position. Chez Loa, cette envie-la n’attendait pas. La seule chose qui avait interpellé la petite orange c’est qu’il avait précisé qu’il ne tiendrait pas toute la nuit. Quand on veut, on peut. Elle partait du principe que s’il se donnait la peine, il le pourrait. Ainsi, elle chassa très vite cette stupide idée avant de se reconcentrer sur les mots du garçon qui se trouvait en face d’elle. Elle l’écoutait très sérieusement, ayant beaucoup de mal à ne pas divaguer sur des idées coquines et à se jeter littéralement sur lui telle une lionne. Elle devait se contenir pour ne pas paraitre folle. Quoi que, Calvin savait comment Elloah était, alors pourquoi s’empêcher de suivre ses envies ? Ils se regardaient, se cherchaient comme des enfants. Pourtant ils ne voulaient et n’attendaient qu’une chose : faire l’amour. Loa prit les devant, elle fit un pas et colla ses lèvres à celles du bel Oméga. Elle mit très vite ses mains sur les fesses du jeune homme pour venir le coller à elle. Etant française, elle est donc une adepte du french kiss et il faut le dire que personne n’a se talent, personne à part elle. C’est ainsi qu’elle prouva une nouvelle fois son savoir-faire à Calvin en logeant sa langue dans celle de ce dernier. Leurs langues jouaient, leurs salives s’entremêlaient ce qui plaisait à Elloah. Elle mit fin au baiser langoureux avant de regarder son compagnon dans les yeux et de dire : « Toi, prouves moi de quoi tu es capable. » Un jeu, Elloah ne demandait qu’une chose, c’était s’amuser. La soirée promettait d’être riche en actions diverses.
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MessageSujet: Re: And they forgiven my mistakes. And they forgiven my mistakes. EmptyMar 31 Mai - 13:17

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