❃ Qui n'a pas connu l'absence ne sait rien de l'amour.

Charles-Edouard Castello & Caroll Lea Venn

Il faisait chaud dans la chambre présidentielle du président Gamma que j’étais, très chaud. Moi qui pensais ne plus faire de bêtises, ne pas m’attachait à n’importe qui ; je venais enfin de comprendre que Caroll n’est pas n’importe qui, c’est ma Caroll. Elle m’a toujours appartenu d’une façon ou d’une autre, que ce soit physique ou bien sentimental. D’un autre côté, je lui avais toujours aussi appartenu. Je ne sais pas si elle a des sentiments réels pour moi, j’ai peur de l’espérer, d’y croire, et d’être déçu. J’ai peur, mais au moins je ne suis pas seul, elle & moi on est pareils au fond, trop fier, trop passionnés, mais ne le montrant pas assez. Ici, là, dans mon lit, nous l’étions. A l’abri des regards nous laissions la passion que nous avions toujours eu l’un pour l’autre s’exprimés avec toute la véhémence dont elle doit faire preuve. Mes mains épousant les formes de son corps, étant en osmose alors que ma langue se laissait guider par la sienne et par moment reprenait le tempo de cette danse si endiablée que nous donnions. Mon corps était collé au sien et elle le réclamait, comme je réclamais le sien. Mes mains descendant de chaque côté de son corps, descendant de son visage, puis caressant rapidement sa poitrine et finit par descendre sur sa taille, mes mains se séparèrent alors, une se posant sur ces belles fesses rebondies tandis que l’autre soulevait la cuisse de Caroll pour la mettre plus proche de moi, pour me permettre d’être encore plus proche d’elle, et aussi de la caressait comme je voulais. Caroll est exquise, son corps est exquis tout autant que son esprit, et sa personnalité. Je ne peux que répondre aux tourments que mon corps me jette, je la désire, encore et encore, sans que ça ne puisse s’arrêter, c’est un cercle vicieux, et pourtant je ne joues pas avec elle ; je ne sais pas encore ce que cela pourra changer entre nous, je n’en sais rien du tout, mais ma tête pense tout autre chose, elle ne pense plus carrément ; la raison n’existe pas et la seule envie que j’ai, c’est de l’avoir nue contre moi, comme avant, mais en mieux. L’aveu qu’elle lâchait alors que nos bouches se séparaient durant quelques instants pour reprendre de l’oxygène avant de se relancer dans des ébats amoureux ? Je ne sais pas, je ne peux pas le dire pour l’instant ; je ne peux encore rien dire. Je ne peux répondre pour l’instant alors que ma main empoigne une de ces fesses fermement la collant plus à moi alors qu’elle me tirait encore et toujours ma chemise ; bloquant toute échappatoire ; il n’y en avait même pas besoin. Mon autre main passait sous l’habit de sa taille mais se rappelant qu’elle avait une robe, je devais tirer cette robe par le bas pour caressait la peau de ces cuisses que je désirais tant. Je le fis rapidement et put enfin sentir ma main contre la peau de sa cuisse que je remontais légèrement au-dessus de ma jambe gauche. Mes lèvres descendirent dans con cou et j’en profitais pour murmurer un léger « Tu m’as manqué aussi Caroll.. plus que tu ne le penses. » Et plus que je ne le pense aussi ? Elle est mon essentiel ? Je ne sais pas, je ne veux pas y penser maintenant, pas sur ce moment ; notre moment à elle & moi. Nous nous retrouvions enfin et nos corps parlaient pour nous. Je me frottais légèrement à elle tandis que je mordais son cou et l’embrasser par la suite, pour lui offrir une sensation encore plus forte du plaisir juste après cette mini douleur que j’infligeais. Je suis peut-être sadique, non ? Peut-être qui sait, en tout cas je sais comment faire plaisir aux femmes, et croyez-moi je sais très bien le faire. Je finis par retrouver ces lèvres et figer mon regard dans le sien, embrassant doucement ces lèvres. Mon corps contre le sien, nous étions ardents. Je cherchais dans son regard une lueur de raison qui pouvait prouver que ce qu’on allait faire était bien pour nous deux, pour plus tard qui sait. « Caroll.. je.. . » Je ne savais pas quoi dire et finalement je posais mes lèvres sur les siennes, un baiser tendre alors qu’en même temps de l’embrasser je regardais son épaule et fit glisser le pan de robe qui la tenait par là, elle me regardait je crois mais je n’en étais pas sûr, je tournais la tête tout en ne quittant pas ces lèvres et fit de même pour l’autre côté, je voulais l’avoir contre moi, je voulais être unis à elle ; elle plus qu’une autre, elle et elle seule ? Je ne pouvais pas encore dire ça comme ça. Doucement mes mains s’occupèrent de descendre ce vêtement alors que doucement mes lèvres glissèrent sur son cou, puis sur son épaule ; le haut de son corps était débarrassé de sa robe laissant apparaître une poitrine généreuse caché par un soutien-gorge. Je descendais et embrasser alors sa poitrine, à même le soutien gorge, laissant la robe à sa taille, je vins poser la main qui était sur ces fesses sur sa taille pour la coller encore plus à moi et avoir une prise plus ferme sur la partie de son corps que j’embrassais, je remontais à ces lèvres, cherchant ce regard qui me rassurerait sur ce que l’on allait faire, cet sorte d’accord qui nous unirait bien plus qu’avant ; tellement plus.

Charles-Edouard Castello && Caroll Lea Venn

Citation :

Shut up and kiss me
just shut it up and kiss me
you know i want you
you know i need you
so come on baby
take me tonight...to your wonderland

La passion ardente et le plaisir pur, je les ai connus à coté de ce charmant jeune homme : Charles. S'ennuyer en sa compagnie était archi impossible, pour moi en tout cas. Ses mains glissant tendrement le long de mon corps me firent frissonner de plaisir et j’étais sur que s’il continuait ainsi, j’allais finir par craquer et céder à la tentation. Nos langues scellées l’une à l’autre ne s’attardaient pas à partir pour une danse des plus démoniaques, menée par le biais de nos désirs charnels réciproques. Ses caresses bourrées de sensualité me firent perdre la tête. Il était plus que doué dans la matière-pour mon plus grand plaisir-. Je souris en sentant sa main empoignée ma fesse pour me collait encore plus à lui. Mes mains agrippant sa chemise, l’incitait à rester près de moi, collé à moi et rien qu’à moi. Un frisson s’empara de mon être au contact de sa main douce sur ma cuisse dénudée. Ce simple geste me fit penser aux multiples nuits qu’on avait passés ensemble…que de délicieux souvenirs ! Ses lèvres exquises descendirent après le long de mon cou, me provoquant une énorme sensation de bien être. Quand il m’avoua que je lui manquais tant et plus que je ne le pensais, un sourire radieux gagna mes lèvres. Plus que je ne le pensais ? Je ne voulais pas analyser cette phrase ni essayer de décrypter ses pensées. Je ne voulais rien savoir pour le moment. Il m’aimait toujours ? Il voulait qu’on passe plus de soirées ensemble ? Il voulait juste jouer avec moi et rien de plus ? Je n’en savais rien et je ne voulais rien savoir pour le moment. Je ne voulais pas souffrir même si je savais que tôt ou tard, j’allais avoir le cœur brisé mais je m’en foutais royalement. Tout ce que je voulais maintenant c’est resté là ou j’étais, avec l’homme qui fit et qui fera toujours battre mon cœur. Le futur ne me fit plus peur ! Laissant mon corps s’exprimer librement en se mettant en parfaite harmonie avec celui de Charles, je ne disais plus rien. Les mots ne pourraient jamais faire le poids devant le langage enflammé de nos corps. No retrouvailles allaient être explosifs ? Sans aucun doute ! Une vague de plaisir m’envahis en sentant ses dents se poser délicatement sur mon cou. Il avait le don de me faire tourner la tête. Mes lèvres se précipitaient après à retrouver les siennes et je savais que si on continuait j’allais devenir accro à lui. Nos lèvres finissaient par se rencontrer pour un baiser tendre et affectueux et avant qu’il puisse devenir ardent, Charles l’acheva pour ne rien me dire…Après un insignifiant « Caroll je » il décida de se taire en recollant ses lèvres aux miennes. Je partageais donc son baiser avec plein de tendresse et de passion. Mon regard lui, il était toujours posé sur Charles, l’observant me faire débarrasser délicatement de ma robe, qui pour le moment ne représentait qu’une sorte d’obstacle perturbant. Je voulais sentir sa peau parfumée contre la mienne brulante tout comme auparavant et en ce moment, je n’attendis plus qu’il m’enlève ma robe pour que je commence à lui enlever ses habits, pièce par pièce. Ses lèvres délicieuses quittaient ensuite les miennes pour glisser sensuellement le long de mon cou passant par mes épaules et arrivant au niveau de ma poitrine. Je frémis légèrement sous ses caresses et ses baisers qui n’avaient pour but que de me rendre dingue et c’était réussit d’avance. Je lui souris quand il remonta rechercher mon regard désireux dépourvu de toute raison. Je ne pensais plus à rien en ce moment, plus rien que lui et moi, moi et lui et personne d’autre. J’avais envie de lui et il le savait. Je le repoussais légèrement avant de redresser ma tête pour venir lui mordiller doucement sa lèvre inférieure. Mon regard charnel plongé dans le sien, j’ôtais complètement ma robe pour la lancer valser dans les airs. J’écartais après mes cuisse et laissa Charles prendre place entre eux avant que je passe ma main droite sur son cou, le tirant vers moi pour l’embrasser passionnément. Je lui déboutonner ensuite sa chemise sans pour autant relâcher ses lèvres pétillantes ou devrais-je dire : ma nouvelle drogue. Une fois sa chemise débouclée, je glissais ma longue de long de son cou et lui déposa des baisers sensuels dessus avant d’arriver à son torse divin que j’embrassais tout en le caressant d’une tendresse infinie. Son corps était parfait et il le savait déjà. Mes mains passèrent ensuite sur sa taille, s’arrêtant exactement au niveau de la boucle de sa ceinture pour la défaire lentement. Mon regard coquin se posa sur lui et un sourire espiègle se traça sur mes lèvres. Je savais que faire machine arrière n’était plus possible et puis je ne voulais pas le faire et vu le regard que Charles me lançait, je déduisais que lui non plus n’avais aucune envie de s’arrêter. Je revenais donc lui enlever sa chemise que je lançais j’en sais ou et me figea l’ombre de quelques instants admirant son charme exceptionnel.

-« Je ne t’ai jamais oublié, tu sais ! »

Confessais-je d’un ton des plus sincères tout en le fixant, les yeux plein d’étoiles.

❃ La passion, cet absolu désir qu'on ne peut jamais combler quand il a pour moteur l'absence de l'autre.

Charles-Edouard Castello & Caroll Lea Venn

Elle & Moi, c’est deux mots, deux mots qui forment un tout, elle & moi, c’est juste nous. Un tout, un rien. Nous étions deux, un couple. Maintenant nous ne le sommes plus, et c’est ce qui est bien dommage, je ne sais pas si elle a de nouveau envie, moi je n’ai pas envie, du moins pour l’instant. J’ai tellement peur de souffrir une nouvelle fois, je n’aime pas souffrir. Dur d’être un bad boy qui se fait passer pour un dur et d’être sensible à la fois. Le rôle de connard me sied bien alors pourquoi m’entêtais-je à croire en l’amour ? Tout ce qui se rapproche de l’amour et de ma personne est soit impossible, soit inconcevable. L’amour ce n’est pas réellement fait pour moi, le long terme n’est pas pour moi, alors que dois-je faire ? Continuer avec jouer avec toutes et prendre mon temps ? Je suis jeune, et je ne dois pas profiter ainsi, du moins, je devrais arrêter de profiter et être un peu plus mature mais ce n’est sans doute pas pour moi, si ? Aucune certitude, aucune envie, je ne veux plus rien à part Elle. Je ne sais pas si c’est de l’amour, mais j’ai l’impression qu’elle représente beaucoup plus que je ne veuille l’accordais à mes yeux, peut-être qu’un jour je le regretterais, en tout cas, en ce moment, je n’avais aucun regret, rien du tout, au contraire, je suis heureux alors que je ne devrais pas l’être, tout simplement car Caroll est là, en ma compagnie au lieu de profiter d’un bal magnifique en compagnie de ces ami(e)s et même surement d’un cavalier qui n’a plus de cavalière. J’ai perdu la mienne mais en ai volé une autre. Est-ce ça l’amour ? Le connard que je suis à ce soir retrouvé toute sa splendeur et sa renommée en me voyant me faire défoncer la gueule par le roi Delta. Je ne suis plus rien, rien qu’un simple humain qui croit que la vie est un conte de fée, qu’une fin heureuse m’arriva après tous mes problèmes, mais la vie n’est pas aussi facile, je ne sortirais pas de mes problèmes et je n’aurais pas de fin heureuse, il fallait arrêter de rêver un jour. Le moment présent m’importait plus que mon avenir, car je sais ou s’arrête mon avenir, et je n’essaye pas de voir plus loin que quelques mois, mes projets ne sont pas arrêtés, je n’y ai tout simplement pas le choix. Je dois me résoudre à abandonner ce qui me plaît pour prendre la place que j’aurais toujours du avoir si ma mère ne m’aurait pas écarté de mon père ; bien évidemment je ne lui en veux pas, je ne lui en voudrais jamais, quelque soit l’endroit ou elle se trouve. Le moment présent disions-nous ? Nous ; elle & moi ; dans une danse enflammée. Nos corps collés l’un à l’autre et qui se posaient l’un à l’autre dans tel osmose que l’on ne pouvait que dire que nous étions complémentaires l’un à l’autre si l’on nous observés. Mes lèvres embrassait les siennes et léchait sa langue ; des baisers langoureux que seuls nous avions la recette, des baisers crées et fait pour nous, et juste nous. Mes lèvres embrassés son cou alors que les sensations que nous ressentions de plus en plus fortes à mesure que chacun approchait du but. Je voulais caresser le sexe de Caroll, le lécher dans des préliminaires intenses pour lui rappeler nos souvenirs, mais le désir d’être uni à elle était tout à la fois perturbant, un choix s’offrait à moi, un choix de préliminaires, ou sans ? Alors que je sens que ma chemise s’en va, ces lèvres sur mon torse s’ensuivit de ces doigts qui s’arrête à la boucle de ma ceinture pour la défaire avec lenteur, mon regard dans le sien, nous étions tout deux désireux l’un de l’autre, notre érotisme était à son comble et nous avions l’air de cannibale qui allait se jeter l’un sur l’autre. D’une façon plus imagée, nous allions manger l’autre, d’une façon plus érotique et non sanglante. Je la laissais faire, et lorsqu’elle dit qu’elle ne m’avait jamais oublié, je craquais. Mon regard fondit sur le sien, et doucement, je vins l’embrassais, oubliant qu’elle défaisait ma ceinture, je m’en fiche. M’allongeant alors tendrement sur elle. Ma main passait alors dans son dos et dégrafait son soutien-gorge, le défaisant juste a l’arrière et je murmurais alors à ces lèvres en ralentissant ce baiser tendre et tellement emplie de sentiments forts pour elle, pour nous ! « Je ne vois pas comment j’aurais pu, j’ai juste essayé de te zapper, de passer à autre chose et de rester aussi fier et bête que je l’étais, de ne profiter que des autres femmes au lieu de tomber amoureux de toi, un moyen de te protéger toi, & moi à la fois.. je m’y suis mal pris.. tu m’en excuses et m’en pardonneras un jour Caroll ? » Gentil, trop gentil. Ça ne me ressemblait pas, du moins, pas avec les autres, mais elle n’est pas les autres mais c’est Caroll, Ma Caroll. Celle pour qui j’aurais pu tout faire, et que je pourrais encore tout faire ? Ma main passait doucement sur ces épaules pour laisser glisser les bretelles de son soutien-gorge qui n’était pas tombé. Laissant à présent sa poitrine nue, une proie pour moi. Mes lèvres descendirent alors, suivi de ma main gauche qui caressait son sein gauche ainsi que son téton tandis que ma langue s’affairait à caresser et lécher son sein droit. Mon corps se frottant au sien alors qu’elle n’avait que sa robe, mon sexe gonflé dans mon pantalon se frottant au sien dans une allure des plus brulantes, ardentes et romantiques. Mes lèvres embrassaient amoureusement sa poitrine nue avant que je ne continue mon chemin sur son ventre. Finalement de mes dents je vins arracher son dernier sous-vêtement et lécher et embrasser doucement son sexe à l’extérieur comme de l’intérieur. Mon regard dans le sien, je ne le quittais plus alors que des assauts de gémissements l’envahissaient, je voulais lui faire plaisir, comme dans le bon temps, mais en dix fois plus forts. Ma langue la caressait d’intérieur à extérieur avant de remonter doucement, ma main caressant alors doucement son sexe et je murmurais doucement à son oreille « Toujours aussi.. sensible.. . » Souriais-je alors que je mordais la lobe de son oreille et glissait mes lèvres dans son cou, pour la rendre encore plus folle.

Charles-Edouard Castello && Caroll Lea Venn

Citation :

I'm not a perfect person
There's many things I wish I didn't do
But I continue learning...

Dingue ? Avec Charles, je ne pouvais que l’être. Tout ce qu’il me fit me rend dingue. Il me connaissait très bien, corps et âme. Il était en fait le seul capable à me tourner en bourrique. Dans ses bras, je me sens faible, trop même. Il avait un pouvoir inexplicable sur ma propre personne, ce qui me terrifie comme pas possible. Comme il pouvait me rendre la femme la plus heureuse du monde, il pouvait aussi et en un clin d’œil, me briser le cœur en miettes et pourquoi tout ça ? Parce que je lui appartenais tout simplement. Mon corps ainsi que mon cœur lui appartenaient et ce depuis toujours. C’était plus fort que moi. C’était involontaire ! Si j’avais le choix, je ne serais pas là ce soir, non. Je serais n’ importe où mais pas ici, pas à coté de Charles. Mais hélas, le choix n’était pas le mien. Ce soir, c’était mon cœur qui était en charge alors que ma raison elle, elle avait décidé de prendre congé. Mon corps collé contre ce lui chaleureux de Charles, je n’avais qu’une seule et unique envie, suivre mon instinct et mes plaisirs jusqu’au bout. Je glissais ma langue à l’intérieur de sa bouche pour qu’elle parte à la recherche de la sienne. Nos langues entremêlées dans une danse endiablée, étaient animés instinctivement par l’énorme plaisir qui battait son fond en nous. Avant que je puisse lui défaire la boucle de sa ceinture, Charles m’interrompait en m’allongeant sur moi. Je laissais donc mes mains au niveau de ses hanches et souris en le sentant me dégrafait mon soutif. En l’entendant dire que lui non plus ne m’avait jamais oublié, mon cœur a failli rater un battement. Je me sentis aux anges en ce moment. L’autre fois, Il m’avait laissé tomber parce qu’il avait peur de se laisser aller et de finir par m’avouer son amour. Il l’avait fait ça pour se protéger et pour me protéger moi aussi. Me protéger de qui ? De lui ? Ou plutôt de quoi ? De son amour ? Je n’en savais rien. Ses paroles n’étaient pas aussi claires que ça et en ce moment, la dernière chose que j’avais envie de faire, c’est chercher des explications et des réponses à mes question. J’avais juste envie de profiter de l’instant présent et point barre. Je ne savais pas ce que le destin me réservait. Je ne savais pas que j’allais revoir ce professeur de philosophie que j’avais rencontré à la Sorbonne et qui allait me chambouler tout mon univers. Je n’en savais absolument rien de tout ça et c’était tant mieux.

-« Je te pardonne Charles, je te pardonne ! »

Murmurais-je tout bas et d’un ton plein de douceur et de sincérité. Pourquoi je venais de lui pardonner son erreur aussi facilement que ça? une erreur à cause de laquelle j'avais beaucoup souffert...Aucune idée ! Je l’avais fais et c’est tout. Le pourquoi du comment je l’ai fais m’était complètement inconnue vu que ce n’était pas ma raison qui influence mon jugement en ce moment mais plutôt mon cœur et mon impulsivité que j’allais peut être regretté par la suite. Charles décida enfin d’enlever mon soutien-gorge pour mettre ma poitrine à nu. Je mordillais légèrement ma lèvre inférieure en sentant ses lèvres et ses mains gâtaient soigneusement mes seins. Mon plaisir grimpa en flèche et je ne savais pas pour combien de temps j’allais encore tenir. Ses lèvres glissèrent ensuite le long de mon ventre pour arriver au niveau de mon intimité. Charles n’hésita pas une seconde à arracher le dernier sous vêtement qu’il jugeait comme étant un obstacle qui ne servait plus à rien. Je me retrouvais finalement en tenue d’Ève. Je n’avais pas le temps de souffler que je sentis la langue de Charles me caressait mon sexe avec une ardeur incomparable. Ses caresses et ses baises me firent gémir de plus en plus fort. Je redressais légèrement ma tête avant de plonger mon regard avide dans celui de Charles qui ne cessait de m’envahir de vagues de plaisir les unes plus intense que les autres. Je sentis déjà le premier orgasme arrivé et son « toujours aussi sensible » ne faisait qu’accentuer mon degré de plaisir. Il me mordillait ensuite le lobe de mon oreille avant de glisser ses lèvres dans mon cou brulant. Il me faisait perdre la tête. Une vague de plaisir vint ensuite m’amener au pays des merveilles. Je commençais à trembler de plaisir tout en soupirant d’aise.

-« Oh mo…oh mon…oh mon dieu. »

J’avais du mal à parler. Ma respiration était en totale désordre alors que mon cœur battait la chamade. Je n’en pouvais plus ! J’arrêtais donc subitement les caresses enflammées de Charles pour le pousser ensuite à mes cotés. Je l'allongeais tout doucement sur le lit avant de me mettre en califourchon sur lui.

-« Et toi tu sais toujours comment me faire perdre les pédales, hein ! »

Lui lançais-je d’un ton amusé avant de l’embrasser avec une fougue sans précédente. Je glissais ensuite ma langue le long de son coup où je lui déposais des baisers les uns plus délicieuses que les autres tout en débouclant sa ceinture. Je lui enlevais ensuite son pantalon ainsi que son caleçon avant de les envoyer valser dans les airs. Je pris après son sexe entre mes mains et l’inséra délicatement dans ma bouche avant de commencer mes mouvements rythmés du vas et viens. Ma langue ainsi que mes mains s’y donnaient complètement à la tache pour rendre la monnaie à Charles. Je voulais lui donner du plaisir. J’accélérais au fur et à mesure la cadence sans relâcher Charles du regard. Je remontais ensuite vers lui tout en laissant mes mains continuer à faire des gâteries à son sexe.

-« J’adore t’entendre gémir. »

Avouais-je d’une voix sensuelle avant d’écraser mes lèvres fiévreusement contre les siennes.

-« j’ai trop envie de toi. »

Lui chuchotais-je tendrement dans son oreille. Allait-il me faire languir encore plus longtemps ? Vous aurez La réponse lors du prochain épisode...

❃ La passion, cet absolu désir qu'on ne peut jamais combler quand il a pour moteur l'absence de l'autre.

Charles-Edouard Castello & Caroll Lea Venn

La passion et la véracité de l’acte que nous étions en train de réaliser. On fait l’amour comme deux jeunes de notre âge et qui allaient s’unir dans le plus belle acte que la vie puisse donner ; l’union de deux êtres. Je ne savais pas si ce que je faisais était bon pour elle ou pas mais de toute façon il était bel et bien trop tard pour faire marcher arrière, du moins pour moi. Le désir était tel que mon corps agissait seul, la faisant grimper en chaleur et désir alors que ma bouche, mes mains et mes doigts s’acharnait sur son corps à la faire hurler de plaisir dans ma chambre présidentielle. Je ne quittais cependant pas son regard lorsque ma langue s’immisçait en elle pour lui arracher des soupirs et gémissements de plaisir plus forts les uns que les autres, par chance la maison était vide mise à part nous deux ; les autres étaient soit en train de fumer ou boire dehors soit au bal. Mon corps était le sien, et le sien était le mien, j’étais sans doute fait pour elle et elle pour moi, mais comment en être sûr ? Alors qu’elle me disait qu’elle me pardonnait je souriais, j’étais content. Je ne pensais plus à elle & moi dans un sens plus psychologique, et tout ce qui avait un rapport avec le futur, je pensais au moment présent, car je ne voulais pas gâcher ce moment avec mes pensées qui gâcherait ce moment. Je ne veux pas lui faire de mal, mais je ne peux pas m’arrêter, s’attendrait-elle à une suite ? Je ne sais pas, je pense que oui mais STOP ! Je ne pense qu’à son corps, et alors que je ressens mon corps demandé le sien, elle me tire vers elle et mes lèvres retrouves les siennes après l’avoir léchés et fait gémir durant un moment. Ma langue retrouve la sienne et un ballet fougueux et langoureux se fait de nouveau mais pour un court moment. Caroll a toujours été dominante au fond, et je ne vais pas la laisser me dominer longtemps, seulement pour ces préliminaires. Elle se trouve donc à présent au-dessus de moi, sur mon corps et ces lèvres parcourent mon corps, dérive de mes lèvres à mon cou et s’échouer sur mon torse. Ces mains s’affairent à me dévêtir de mon jean ainsi que de mon boxer et je me retrouve le sexe à l’air. Sexe qui finit entre ces mains puis dans sa bouche, mon regard de désir s’enflamme encore plus, battant pour le sien et mon souffle devient encore plus rapide, elle me fait du bien, trop de bien. Sa langue s’échouant sur mon sexe et le caressant de bas en haut, les choses sérieuses vont bientôt commence lorsque je la sens remonter, donner une fellation semble toujours ne pas l’enchanter au maximum mais je ne peux lui en vouloir. Mon regard s’accroche au sien et lorsqu’elle m’avoue avoir trop envie de moi je ne peux dire le contraire, je la sens mouiller sous mes doigts car je n’ai pu m’empêcher de venir le caresser à cet endroit, doucement mes doigts s’immisce de nouveau en elle et lui arracher un soupir et quelques autres gémissements, elle est toujours sur moi et doucement je me mets dans son dos et mord son cou, puis son épaule et enfin la lobe de son oreille, la caressant toujours de ma main gauche dans son dos, mon sexe collés à son fessier que je caresse rapidement de mon pouce, mes deux autres doigts en elle dans des très lents mouvement de vas et vient. Mon autre main elle s’affaire à caresser ces seins, le bout de ces seins est dur, elle est brulante d’excitation pour moi et moi pour elle. La faire languir ? J’adore ça, je suis sadique je sais et je le fais pour le bien des autres, ou le mien ? De sorte que personne n’oublie cette soirée, surtout pas nous deux. Cette soirée est d’ailleurs spéciale, nous nous retrouvons elle & moi, corps et âmes. Mais du côté âme nous verrons plus tard en détails. Je frotte légèrement mon sexe à son fessier qui me procure des sensations enivrantes alors que ma main s’affaire toujours en elle, avec cette même lenteur à en souffrir et murmure enfin à son oreille « Hum.. Caroll.. Impatiente je le sens.. Je te remercie d’être avec moi ce soir.. de me tenir compagnie, et quel compagnie. D’être là. » Je souris alors que doucement je retire mes doigts d’elle, je la retourne contre moi et la colle à moi. Ces seins s’écrasent contre mon torse, sa peau se colle à la mienne et doucement je la fais basculer sur le lit, l’allongeant dans une position allongée. Je domine de nouveau alors que doucement je suis allongé au-dessus d’elle, ma main droite en-dessous de son bras gauche, et ma main gauche sur ces fesses, les levant alors doucement permettant ainsi le léger frottement du bout de mon sexe à l’entrée du sien. Mon regard se fige dans le sien : nous le voulons tous les deux, de suite. Patient ? Impatient ? Je ne sais pas, en tout cas Caroll l’est, impatiente. Mon sexe entre en elle avec aise et souplesse alors que je l’embrasse. Ma langue retrouve la sienne est nous sommes enfin unis, de la manière la plus belle que la vie puisse donner, nous faisons l’amour. Cela faisait tellement longtemps que nous n’avions pas pu toucher le corps de l’un et de l’autre, par ma faute. Nous semblions rattraper le temps perdue pour quiconque nous connaissais et savaient que il y a peu nous ne nous parlions plus. Je rentrais donc en elle et j’y allais doucement et lentement pour commencer, je la regardais et je descendais mes lèvres dans son cou, je voulais ne pas la perdre cette fois, et maintenant je ne savais plus quoi lui dire ; parce que je ne savais pas comment prendre les choses, ce que je savais c’était juste savoir comment prendre les gens. Elle & Moi ce n’est pas que du sexe, ça l’a été au début mais c’était bien plus que ça, c’était Caroll & Charles-Edouard ; deux personnes réelles qui ont voulu échapper à leur destin, mais quel destin y a-t-il vraiment entre nous ? Je soupire de nouveau, je gémis, heureux d’être avec elle, en elle, juste elle & moi. J’espère qu’elle ne m’en voudra plus dans le futur, j’espère surtout ne plus lui faire de peine. « Je ne te lâcherais plus, promis Caroll. » Une promesse, je la tiendrais, coûte que coûte.

Charles-Edouard Castello && Caroll Lea Venn

Citation :

I'm all yours
i've always been
& i'll always be
i'm gonna be yours till the end of time

Je ne lui avais pas dis que j’avais trop envie de lui pour rien. Ma déclaration était bien vraie et les contractions de mon corps ne faisaient qu’approuver mes propos. Charles savais que je mourrais d’envie de le sentir en moi mais comme je le connaissais très bien, je savais qu’il prendra du plaisir à me faire languir encore plus. Je mordillais légèrement ma lèvre inférieure en le sentant caresser mon sexe. Il voulait s’assurer si je disais vraie. Même si je voulais mentir, mon corps lui, ne pouvait dire que la vérité et rien que la vérité. Ce que Charles me faisait ne fit qu’accentuer mon plaisir qui était devenu incontrôlable. Ces doigts se remettaient en moi pour me procurer des sensations que je ne pouvais décrire et dont lui seul avait le secret. Je ne tenais plus droit et mes gémissements devenaient de plus en plus fréquents. Charles se mit ensuite dans mon dos et je soupirais doucement en sentant ses dents dans mon cou. Il connaissait mon corps plus que n’importe qui d’autre et c’est pour cela d’ailleurs qu’il savait exactement où appuyer pour me faire tourner la tête. Ses doigts d’expert, continuaient leur le job avec beaucoup d’habilité. Je les sentis en moi entrain de faire des allers-retours dans mon intimité, ce qui me fit gémir davantage. C’était plus fort que moi. Je tremblais d’excitation et de plaisir.

-« Cha…Charles, je…J’en peux plus.»

Soufflais-je difficilement tout en fermant fortement les yeux en sentant le deuxième orgasme venir. Charles continua les mouvements de vas et viens avec ses doigts et se pencha ensuite vers moi pour me chuchoter des mots qui me font sourire.

-« Impatiente ? Je l’étais toujours…ne me remercie pas, je suis là parce que je le veux bien. »

Et parce que je t’aime: Voilà ce que je voulais lui dire mais je n'étais pas aussi courageuse que je le prétendais et puis je ne voulais pas gâcher la magie du moment présent avec des niaiseries de la sorte. Je ne voulais pas non plus lui faire peur et encore moins le faire fuir. Charles retira finalement ses doigts de mon intimité et me fit retourner brusquement vers lui avant de me coller fortement contre lui. Mon corps collé au sien me provoquait cette sensation de bien être. Il m’allongea ensuite sur le lit et pris une position dominante avant de me soulever légèrement les fesses. Il me fit languir encore un peu plus en se contentant de frotter son sexe contre le mien.

-« Oh God... »

Étouffais-je tout doucement. J’étais trop impatiente et il le savait, il le sentait mais il ne faisait qu’à sa tête. Quelques secondes plus tard, il décida finalement de mettre fin à ma "torture" en entrant tout doucement en moi, arrachant pas la même occasion un soupire d’aise de ma bouche. Je l’embrassais ensuite avec plein de fougue rien que pour freiner mes gémissements. Ma langue s’accrocha ensuite à la sienne pour partir dans une chorégraphie des plus ardentes. Nos corps étaient enfin unis et en parfaite harmonie. J’avais attendu ce moment là depuis une éternité. Parce que oui, je n’avais jamais oublié Charles. J’avais bon essayé de faire comme si je ne l’avais jamais connu mais ceci m’était quasiment impossible. Ses mouvements de vas et viens me comblaient au plus haut point. Il était enfin mien et j’étais sienne. Je ne voulais plus jamais le reperde, non ! Je préférais encore mourir et ne pas avoir à vivre sans lui. Je souris en l’entendant gémir. On était tous les deux aux anges, à proximité des portes du paradis. Notre paradis !

-« Ne me lâche plus. Garde-moi pour toi et pour toi seul ! »

Rétorquais-je entre deux gémissements. Je n’espérais plus rien en ce moment car j’étais entrain de vivre mon rêve. J’étais avec l’homme dont j’étais éperdument amoureuse. Je lui étais dévoué corps et âme. Je ne pouvais plus cacher mon amour pour lui. Je lui appartenais et il le savait maintenant et plus que jamais.

❃ La passion, cet absolu désir qu'on ne peut jamais combler quand il a pour moteur l'absence de l'autre.

Charles-Edouard Castello & Caroll Lea Venn

Le désir, la passion : l’amour. Je ne sais pas si je suis de nouveau amoureux, mais sans doute que l’amour que j’ai toujours eu pour elle et que je n’ai jamais laissé devenir plus fort, s’enrichir et surtout s’épanouir avec elle ; cette fois est-ce la bonne ? Je n’en sais rien et je ne veux pas y penser, il est trop tôt. Je suis heureux qu’entre elle et moi ce soit redevenu comme avant, mais avec des différences qui font vibrer nos cœurs, qui nous font gémir de plus belles à chaque baisers, à chaque toucher l’un sur l’autre, nous étions fait l’un pour l’autre sans doute, mais l’humain a peur quand il a le cœur brisé ; il broie du noir. La patience de l’un fait l’impatience de l’autre, et je joue habilement avec son corps, je sais le manier de sorte qu’elle ne tienne plus ; je ne tiens plus aussi et j’aimerais être en elle et connaître le plaisir ultime avec elle. Mais il reste tant de temps entre nous deux ; sa respiration qui bat plus vite que la mienne vu les assauts internes et externes qu’elle subit ; d’un côté mes doigts, de l’autre mes dents et ma bouche ainsi que mes caresses sur son corps. Elle ne résiste pas, je le sais, je le sens, elle ne peut qu’aimer ça, que trop. Je souris à ces gémissements qui ne font que m’exciter de plus en plus, elle est ma drogue, ma Caroll rien qu’à moi ; et lorsqu’elle me dit qu’elle était là parce qu’elle le voulait, mon corps pris une nouvelle accélération, un nouveau sursaut. Ce n’était donc pas le hasard si elle & moi nous étions en train de nous faire plaisir, de faire l’amour. Mon corps était le sien, et son corps était le mien au moment ou j’arrêtais mes caresses anodines pour enfin entrer en elle ; être unis à elle d’une façon que tous les jeunes faisait ; ils baisaient. Moi je faisais l’amour à Caroll ; peut-être que ça nous mènerait vers un chemin plus que tumultueux je n’en sais rien ; en tout cas ; les sensations que je ressentais sont décuplés une fois en elle et ce nouveau gémissement de sa part me pousse à y aller tranquillement. Une main me soutenant au-dessus d’elle, l’autre sur ces fesses, la collant contre moi de sorte que je puisse aller le plus loin possible en elle ; mes lèvres ne lâche que quelques légers gémissements de temps à autres ainsi que des soupirs de plaisirs. Sa bouche est contre la mienne et la garde occupée le plus possible, je dois donc rester endurant et je sais que je le suis, elle & moi avions l’habitude. Mais je ne me souviens pas avoir eu autant d’émoi dans nos précédentes coucheries entre elle & moi. Ce soir c’est différent ; et c’est à nous de le découvrir. Mes vas et vient en elle, sont lents et je la colle à moi ; mes lèvres sont tantôt sur sa bouche, tantôt enfoui dans son cou ou encore sur ces seins, mordillant ces tétons et les léchant par la suite, je ne m’en lasse pas ; Ma Caroll est parfaite et je sens qu’elle et moi c’est quelque chose, mais je ne peux encore rien dire pour l’instant car ce ne sont que des suppositions et je ne veux pas me faire de faux espoirs. « Caroll.. je ne sais pas où cette soirée nous mènera, mais je m’en fiche, tant que j’y suis avec toi. » Une niaiserie alors que je l’embrasse de nouveau, mes coups de reins en elle deviennent plus rapides, plus forts, pour aller plus loin en elle avec une douce brusquerie je deviens bestial sans devenir brutal. Mon regard croise le sien et je vais toujours rapidement en elle, ralentissant par moment quand le souffle me manque mais généralement je gère ma cadence et ma respiration même si je l’embrasse ; je respire par le nez. On pourrait croire que je suis un professionnel pour faire l’amour tout en faisant du sport et en restant parfaitement endurant. Je monte sa jambe gauche au-dessus des miennes, écartant alors un peu plus ces jambes à elle alors que ma main droite caresse ces fesses que je mordrais bien. J’accélère et je gémis, elle aussi, j’adore ça. Je mords la peau de son cou tellement j’adore ça avant de l’embrasser par la suite de peur qu’elle ait mal, je m’en voudrais tellement. « Tout est tellement.. si bon quand je suis avec toi Caroll. – Je fais une roulade sur le lit et elle se retrouve au-dessus de moi ; je me fais à présent dominer par ma Caroll – Montre moi si tu es toujours aussi endurante ma tigresse. » Dis-je avec un sourire coquin sur les lèvres alors que je l’aide dans ces mouvements ; que nos mouvements soient toujours en harmonie ; que je sois toujours au plus profond d’elle. Une main sur ces fesses et l’autre dans sa main. J’entremêle alors mes doigts aux siens et je ne dis rien, mes lèvres quittent les siennes alors que je m’empresse de cacher ma tête dans sa poitrine et de mordre et lécher un à un ces merveilleux seins qu’elle a. Mais je n’y reste pas longtemps, je ne sais pas combien de temps, mais quand l’on est en plein acte le temps parait si long mais il est court en faite. Mon regard dans le sien, je l’embrasse de nouveau et l’aide dans ces mouvements, c’est ma tigresse et je m’allonge, la laissant me dominer, la laissant faire ce qu’elle veut de moi quitte à être sauvage, c’est comme ça que je l’aimais. Je pensais, nous nous embrassions, mais elle accélérait et je sentais que j’allais venir, d’ailleurs, elle aussi le sentait et je la regardais. Elle semblait légèrement ralentir en attendant mon avis sur l’état actuel de nous deux ; je lui souris et l’embrassais, elle pouvait penser ça comme un oui et je l’aidais dans ces mouvements, mes mains sur ces fesses galbées je l’aidais à monter et descendre sur mon sexe avant que je ne ressente l’extase et que je jouisse en elle « Oh.. je.. Caroll.. . » Dis-je entre deux coups de langue, alors que je ne me contrôlais plus, j’éjaculais abondamment en elle et je ne pensais à rien d’autre qu’à nous. Continuant de me mouvez en elle, jusqu’à ne plus bouger. Mon regard se posa sur le sien, et je ne savais pas quoi dire, j’enlevais les cheveux qui se mêlait à son regard pour ne pas perturber nos regards, ce moment si parfait entre nous. Je l’aime ? Je ne sais pas, en tout cas, elle est mienne.

Charles-Edouard Castello && Caroll Lea Venn

Citation :

Tell me what we have is real
tell me that you care about me
just stay by my side
& everything's gonna be alright

Never say never…Oui il ne faut jamais dire jamais, parce que même nos rêves les plus fantastiques peuvent se réaliser un jour. La preuve ? je suis là ce soir en compagnie de Charles. Et oui le destin a ses raisons que la raison ignore. Ironique hein ? Un soupire d’aise s’échappa de ma bouche en sentant Charles me pénétrer d’une délicatesse infinie. Il me colla ensuite à lui pour aller de plus en plus profond en moi, ce qui me fit gémir davantage. Il connaissait parfaitement mon corps. Il me connaissait tout court. Sa bouche vint ensuite s’écraser contre la mienne pour bloquer mes soupires. J’avais couché plusieurs fois avec Charles mais cette fois-ci n’était pas du tout comme ses précédentes. On était en total alchimie. Comme si on s’engageait corps et âme dont ce qu’on faisait. Comme si on faisait l’amour et pas juste le sexe pour le simple plaisir du sexe. C’était agréable comme sensation et la seule chose dont j’étais sur, c’est que cette soirée allait rester graver dans ma mémoire jusqu’à la fin du temps. Alors qu’il continuait ses vas et viens en douceur, Charles n’hésitait pas à marquer son territoire en me déposant des baisers ainsi que des morsures partout dans mon corps. Ce qu’il me faisait me rendait dingue. Dingue de lui…Je souris de toutes mes dents en l’entendant dire que tant que je suis à ses cotés, tout allait bien se passer. C’était la même chose pour toi. Tant qu’on est unis, personne et rien au monde ne pouvait nous désunir. On était pas n’importe qui mais Charles et Caroll : la perfection incarnée. Ces coups de reins deviennent plus rapides d’un coup ce qui ne fit qu’augmenter mon plaisir encore plus. Son coté bestial me plaisait au plus haut point et je ne pu m’empêcher d’exprimer ma satisfaction d’une vague de gémissements sensuels. Je frémis quand il me mordait le cou et agrippa légèrement les draps tout en continuant de crier mon plaisir. Un sourire illumina ensuite les traits de mes visage quand j’entendis Charles dire que tout lui semblait bon quand il est avec moi.

-« Tout est si parfait quand je suis avec toi »

Rétorquais-je les yeux plein d’étoiles. Je le poussais ensuite sur le lit avant de me mettre en dessus de lui. Tous les deux on aimait dominer et ils disent toujours que qui se ressemble s’assemble, n’est-ce pas ?

-« Regarde moi et admire en silence ta tigresse se donner en spectacle just for you ! »

Je lui fis un clin d’œil coquin avant de remettre son sexe en moi et de commencer mes mouvements du haut en bas avec beaucoup de délicatesse. J’accélérais ensuite la cadence, la rendant plus rapide et plus bestiale. Mes gémissement étaient en total désordre et parlant pas de ma respiration que j’avais trop de mal à contrôler. Je sentis que j’allais explosais et je ralentis un peu mes mouvements, attendant de voir ce que Charles voulait. Est-ce qu’il préférait éjaculer in or out. Il m’embrassa ensuite en guise de réponse. Je repris donc mes mouvements rapides et commença à crier le prénom de Charles en sentant l’extase arrivé.

-« AHHH…Charles ! »

Hurlais-je en le sentant jouir en moi. Ma raison était en mode « off » en ce moment et c’était tant mieux. Je ralentissais ensuite mes mouvements de bassin progressivement avant de plonger mon regard affectueux dans celui de Charles qui venait de dégager mes cheveux de mon visage.

-« C’était parfait...tu es mon dieu, tu l’étais depuis toujours. »

Avouais-je tout souriante avant de me laisser tomber à ses cotés. Je me lovais ensuite dans ses bras avant de lui déposer un tendre baiser dans son cou.

-« Tu es brulant…j’adore ! »

Je lui souris de plus belle avant de lui voler un baiser de ses lèvres délicieuse. J’étais sur un petit nuage de bonheur en ce moment. J’étais avec l’homme que j’avais toujours aimé, que demandé de plus ?

❃ La passion, cet absolu désir qu'on ne peut jamais combler quand il a pour moteur l'absence de l'autre.

Charles-Edouard Castello & Caroll Lea Venn

Une union parfaite entre elle & moi ; je ne disais mot et l’admirais ; un nouveau regard que je posais sur elle, un regard que j’avais lorsque je réfléchissais à un éventuel futur entre une personne et moi. Caroll & Charles-Édouard ; tout semblait être un rêve mais nous n’allions pas tarder à retomber de notre petit nuages, car oui ; au fond tout est parfait en ce moment, mais ce la vie ne s’arrête pas là ; bien heureusement. Elle apporte son lot de bonnes nouvelles comme de mauvaises nouvelles. Caroll en cette soirée ou je devais aller mal, m’apporter un second souffle, de nouveaux espoirs, je pouvais ne pas désespérer et ne pas rester au fond du trou, car à peine poser elle m’avait tendu une main secourable que j’avais pris avec hésitation au début, puis l’avait pris d’envie vive. A présent je n’avais pas le choix, nous étions plus unis que nous l’avions jamais été et j’appréciais ce moment que l’on passait ensemble. J’osais croire qu’elle voyait plus que ça, parce que je le voulais déjà au fond, même si je lui demanderais de me laisser du temps pour me remettre de mes aventures, de me remettre en question et d’être au top pour vivre de nouvelles aventures avec une personne bien choisie en couple, moi qui pensait que j’allais arrêter ça, avec elle, je me rendais compte que non. Ou peut-être que je me rendais compte que mon style de vie ne devait pas changer de ce que nous faisions à cet instant même ? Couché et partir le moment d’après, ou au réveil ? Je ne sais pas, peut-être que si au fond, et ne plus avoir mal ? Voilà ce que je redeviendrais un connard que j’ai toujours été et je me demande même ce que je fais à la présidence des Gammas, j’aurais du faire parti des Deltas finalement, j’aurais été comme Joshua et MERDE à la fin, je n’en pouvais plus de penser et repenser à tout ça ; j’allais être moi et je le resterais, ce qui impliquerait les bons et surtout les mauvais côtés de ma personnes. Je n’oubliais pas de ne pas lui faire de mal à Caroll, pas encore. Je m’en voudrais alors qu’elle me faisait tant de bien, m’apportait tant de bonheur, qu’il soit morale ou bien physique. Du côté physique je n’avais pas à me plaindre de plus. Comme je ne l’avais pas oublié, ma Carol est aussi dominatrice que moi, alors l’un comme l’autre nous aimions dominés et alors que j’avais dominé les préliminaires et un semblant de la pénétration, je lui laissais alors le reste. J’avais une vue magnifique sur sa poitrine, ces jolies cheveux bruns ondulant aux rythmes des vas et vient qui comme à elle m’arracher des gémissements de plus en plus audibles et désordonnées. Mon regard se fixa dans le sien alors que je sentais la jouissance ultime arrivée ; j’éjaculais en elle en grande quantité. Pourquoi grande ? Car avec Aislynn nous ne couchions pas souvent ensemble, pas par manque d’envie, mais nous avions été plus romantique que sexuellement actifs. Alors que je continuais malgré tout à l’aider dans ses mouvements et elle aussi alors que mon liquide la remplissait ; ces lèvres retombèrent sur les miennes et le baiser fut tendre, toujours ardent de désir et passionnée ; un sentiment fort nous liés, bien plus que l’amitié, je le sentais, et le savais mais je n’osais l’exprimé ; peureux que je suis. Mon sexe est toujours en elle, et les mouvements sont toujours là, moins rapides, certes profonds, mais lorsqu’elle se retrouve près de moi. J’ai le sourire aux lèvres, je suis heureux, le plus heureux du monde et je continue cependant à la regarder car c’est avec elle que je suis heureux alors que je ne devrais pas l’être à l’état actuel des choses, en ce moment je devrais déprimé tout seul à cause de la rupture d’une femme, je devrais arrêté d’agir comme un bad boy, je pensais l’être mais avec Aislynn, j’avais été si sûr que je venais d’être assez déçu. BREF ; assez de pensées négatives. Ma main libre vint se poser sur sa taille, la collant à moi ; mon sexe toujours en elle, et chaque mouvement que l’on fait à présent rend de nouveau le désir éveillé, ne l’éteignant jamais. Je reste dans cette position, j’y suis bien et je la garde dans mes bras, mon autre main libre attrape la couette du lit et nous couvre, je pose par la suite mes deux mains sur ces fesses parfaites que j’ai tant tripoter depuis le début de nos ébats et je la regarde tout simplement, échangeant nos salives dans des baisers tendres et simples, mais emplie d’amour ; je ne sais pas si c’est de l’amour car je ne comprends plus rien, mais je sais que je ressens pour elle quelque chose qui me rend tout simplement heureux « J’aimerais ne pas bouger et rester ainsi pour un bout de temps, pour toujours pourquoi pas.. N’y vois pas quelque chose de pervers car nous sommes toujours unis, ainsi, je parlais juste de toi contre moi, et non pas toi en moi, mais j’avoue que j’apprécie être encore en toi ma Caroll. » Oui, pervers, je le suis mais bon, il y a que les cons qui ne changent pas d’avis, et moi je campe sur mes positions dans certains cas et j’acceptais d’être con quand il le fallait ; plus on le nie et plus on l’est ; c’est quand on le sait et qu’on le montre bien que on a l’air con ; là est toute la nuance. Moi par exemple, j’ai l’air rarement con, je suis parfait ne l’oubliait pas. Je posais mes lèvres sur les siennes et souris lorsqu’elle les esquiva pour m’embrasser le cou, je ne pouvais que succomber à cette tentatrice. J’agrippais toujours ces fesses et lorsqu’elle m’embrassait assez bien je frissonnais et bouger mon corps contre le sien, de sorte de nous procuraient encore quelques sensations entre nos deux sexes liés « Si tu continues ainsi je vais vouloir en redemander ma belle, tu me connais (a) .. – Puis sérieusement – Je ne veux pas passer pour un profiteur Caroll, mais je me sens bien avec toi, et je ne te laisserais plus, je veux rattraper le temps perdue.. et je ne veux pas te faire du mal. J’espère que tu me remettras pas en place une deuxième fois, car ça voudra dire que je t’ai encore fais du mal.. mais en tout cas, merci d’être là pour moi, je ne savais pas que je pouvais te trouvé là quand j’en avais besoin, alors que je t’ai ignoré auparavant, quel salop je fais, ils ont tous raisons au fond, et toi, tu as l’air de t’en foutre.. . – Un silence, alors que je posais doucement mon front contre le sien – Je.. Je.. merci tout simplement MA Caroll .. . » Murmurais-je sur les derniers mots de ma phrase avant de l’embrasser avec amour, tendresse et passion. C’était Ma Caroll et à personne d’autre. Du moins, le temps que l’on redescende vers la méchante réalité. Réalité que je ne voudrais pas affronter, mais nous n'avons guère le choix en ce bas monde.