Charles-Edouard Castello && Caroll Lea Venn

Citation :

I followed my heart because I love you
I can’t deny that our path has been complicated
But in the end love makes everything simple...

Lui et moi, we were meant to be. A un moment donné, m’imaginais avec un homme autre que lui m’était quasi impossible. Parce la seule personne avec laquelle je voulais finir mes jours n’était autre que Charles-Edouard Castello. Oui lui et personne d’autre. Je l’ai aimé de tout mon cœur. J’étais prête à me sacrifier pour lui, mais ce que je ressentais envers lui était loin d’être réciproque. Pour Charles je n’étais apparemment qu’un petit jouet sexuel avec lequel il s’amusait quand l’ennui le gagne. Je n’avais pas eu le courage de lui dire « je t’aime » parce que j’étais sur qu’il ne m’aimait pas. Je ne voulais pas le perdre en lui disant qu’entre nous je voyais plus que des nuits de passions endiablées. Pour moi ce n’était pas juste question de sexe et de plaisir mais beaucoup plus de ça. Alors que je croyais qu’il allait me dire qu’entre nous c’était plutôt quelque chose de sincère, Charles me tua en m’avouant qu’il ne voulait plus me voir. Il avait peut être trouvé une autre partenaire plus sexy ou encore plus jolie que moi. Alors que je pleurais mon sort, Charles lui, il n’avait pas perdu son temps et pourquoi bon ? Il avait très vite retrouvé son sourire. A chaque fois que je le croisais à l’université, je le trouvais avec une fille différente. Je n’avais pas regretté les nuits passionnées que j’avais passé en sa compagnie mais plutôt l’amour que j’avais pour lui. J’étais presque sur que personne dans ce minable monde ne l’aimera autant que je l’avais aimé. Bref, je n’étais qu’un jouet pour lui, et je devais l’acceptais et avancer, vu que je n’avais pas vraiment le choix. J’avais galérais afin de s’en remettre de ma déprime et j’ai cru avoir réussi seulement ce soir, après nos retrouvailles explosif, je me suis rendu compte que je ne l’avais jamais oublié. J’ai bon essayé de l’ignorer et de faire comme si je ne l’avais jamais connu mais en vain. Mes mains sur son torse, j’étais toujours en dessus de lui. Je bougeais mon bassin du haut en bas tout en augmentant la vitesse de mes mouvements au fur et à mesure. Je gémissais de plus belle tout en plongeant mon regard dans celui de Charles pour voir si lui aussi prenait autant de plaisir que moi. En le sentant venir, j’accélérais la cadence pour arriver en 7ème ciel en même temps que lui. Je souriais en sentant son liquide envahir l’intérieur de mon sexe. Je restais sur lui à bouger lentement sans le relâcher du regard. Je descendis ensuite jusqu’à lui pour reposer mes lèvres sensuellement sur les siennes afin de gouter à l’un de ses baisers délicieuses. Entre nous c’était et sans aucun doute plus qu’une simple amitié. C’était de l’amour ? Pour ma part, Oui mais pour lui, je n’en savais rien et je ne voulais rien espérer pour le moment. Je n’étais pas prête à me retrouver le cœur brisé et par la même personne en plus. Charles continua à me donner des coups profonds mais moins rapides. Il posa ensuite sa main sur ma taille avant de me coller à lui sans pour autant retirer son sexe du mien. Je recollais instinctivement mes lèvres contre les siennes et mélangea ma salive à la sienne dans des baisers ardents et sensuels. Charles nous couvera ensuite avant de reposer ses deux mains sur mes fesses toutes rondes. Je passais ma main droite sur sa joue et lui souris de plus belle avant d’enfouir mon visage dans son coup où je lui déposais un baiser plein de tendresse. Je ris légèrement en l’entendant dire qu’il appréciait être en moi plus qu’être contre moi. Pervers ? Non juste honnête ! Trop ? Oui, mais je l’aimais ainsi && qu’est ce que vous voulez ?

-« Moi j’aime être sur toi ! »

Lançais-je d’un ton coquin avant de mordiller légèrement ma lèvre inférieure. Il posa ensuite ses lèvres délicatement sur les miennes que je retirais rapidement quand il essaya de m’embrasser. Joueuse ? Oh que oui. Je lui embrassais ensuite sensuellement le cou et frissonna de plaisir en le sentant bouger son sexe en moi.

-« Je te connais plus que ma propre personne et si tu en veux plus, je t’en donnerais volontiers.»

Rétorquais-je doucement avant de lui mordiller tendrement le cou pour lui procurer encore plus de plaisir.

-« Je m’en fou de ce que les autres pensent de toi. Je suis là parce que…parce qu’au plus profond de mon cœur, je ne t’ai jamais oublié et te laisser ce soir seul à sombrer dans la mélancolie n’était pas une option pour moi. Tu compte beaucoup pour moi Charles, même si tu m’as fait trop souffrir auparavant. »

Je pressais mon front contre le sien et souris à ses derniers propos. Je me sentais bien avec lui. Je ne savais pas où en était maintenant et je ne voulais pas trop y penser.

-« J’aime t’entendre dire que je suis tienne… »

Je lui caressais sa joue avant de l’embrasser cette fois-ci avec beaucoup d’amour et d’affection. J’étais encore amoureuse de lui, je le savais et je le sentais mais je n’étais pas prête à le lui dire et je ne serais peut être jamais prête à lui faire une telle révélation. Je bougeais lentement mon corps contre le sien avant de me redresser légèrement et de faire sortir son sexe de moi. Je le pris ensuite entre mes mains et le massa légèrement avant de lui déposer quelques baisers dessus. Je jetais ensuite un regard souriant à Charles avant d’aller m’allonger à ses cotés.

-« Je veux que tu sache que je serais toujours là pour toi. Ne l’oubli jamais, tu m’entends ? »

Disais-je d’un ton des plus sincères avant de me coller à lui pour sentir son corps brulant contre le mien...

❃ Un amour impossible Qui devient possible, C'est tout un monde qui s'écroule.

Charles-Edouard Castello & Caroll Lea Venn

Plus parfait que nous deux ? Ça n’existe pas. Mon regard dans le sien, nous avions finis de faire l’amour, même si les lueurs de désirs brillaient encore dans nos regards, que nous avions repris quelques forces en restant immobile, l’un contre l’autre. Je ne quittais pas son regard, je restais là, comme ça. Elle & moi c’est un tout, une unique personne, nous étions si similaires, et pourtant nous n’avions presque rien en commun, à part notre personnalité. Ma Caroll, oui, la mienne, et elle n’hésitait pas à m’en faire voir de toutes les couleurs, alors qu’elle me disait qu’elle aimait être sur moi à ma réponse, je lui souris et répondit à son baiser, j’étais sans doute trop pervers, mais c’était moi, mais il fallait que je me calme, je ne voulais pas qu’a mes yeux elle soit un vulgaire jouet, non, c’est bien plus que ça, une chose que j’ai tellement envie de crier, deux mots, deux simples mots aux conséquences plus que folles, plus que ça, tu meurs ! Mais je n’ose pas, j’ai peur, je suis un lâche. L’amour est un combat que je ne veux pas mener, que je ne peux plus mener, même si l’envie de le parcourir et de combattre est de plus en plus forte en moi, je le sens. Je vais lui faire du mal, et elle le sait, j’en suis sûr, au fond, je suis toujours celui qu’elle a connu, un beau salop qui sait mettre les jolies filles dans son lit, sachant jouer la comédie comme il faut. Mais à force de jouer, comment discerner le vrai du faux ? Caroll me connaît depuis que je suis ici, elle me connaît bien plus que toutes les personnes ici, sans doute mieux que moi-même. Alors je dois lui faire confiance, comme toujours, mais je ne sais pas, j’ai l’impression que ça va sans doute trop vite en moi, ce que je veux être avec elle, l’envie de ne plus la lâcher et de ressentir ce perpétuel bonheur qu’elle me faisait ressentir actuellement, je ne pouvais m’en détacher, car c’était elle, depuis le début. J’avais seulement été trop fier, puis aveugle, et maintenant que j’avais compris mon erreur, ouvert les yeux, j’hésitais encore. Pourquoi tant d’hésitations ? Pourquoi tant de doutes ? Parce que au fond de moi, j’ai peur, et cette peur ne provient pas d’elle, mais de moi, une peur si profonde que je ne peux pas la contrôler. Elle me contrôle. Je repris doucement mes esprits dans le présent que nous vivions à deux ; alors qu’elle propose encore de se donner à moi, je sens le désir re-pointer le bout de son nez mais je refuserais, car je ne veux pas abuser d’elle, elle est trop bonne avec moi, elle ne le remarque même pas. Mon regard est troublé par le sien, elle me trouble entièrement, et je ne remarque même pas que mon corps frissonne entièrement pour elle, pas de désir, mais un sentiment que je fais taire malgré la force qu’il dégage, je ne peux rien dire, pas si tôt, pas maintenant. La suite que j’entendis me fit mal au cœur, elle était là, avec moi, de plein gré, alors qu’elle aurait du penser à elle, mais non, elle faisait encore preuve d’altruisme et moi d’égoïsme en voulant l’avoir que pour moi, je ne la méritais pas, elle méritait qu’un homme un vrai, un mec qui assume, l’aime et la fasse sourire et non pleurer comme j’ai pu faire, mais tout cela serait bien trop parfait, n’est-ce pas ? Le rêve n’est pas interdit, nos rêves sont souvent nos désirs les plus forts. Moi je ne rêve plus, je cauchemarde. Je m’en veux, et je dois dire quelque chose, de quoi montrer que je m’en veux, que je suis coupable .. mais que dire ? « Caroll.. des fois, je me demande ce que tu fais avec moi, je suis un mec horrible, et désolé, tu m’avais demandé de ne plus le dire, mais c’est comme ça que je me vois, les autres le disent mais tu t’en fiches, si je te fais du mal de nouveau je m’en voudrais à vie. Au fond, je ne sais plus quoi faire.. te préserver en t’éloignant de moi, soit être égoïste et te garder près de moi.. . » Cruel dilemme que j’exposais là. Alors que quelques instants après, son front se retrouve contre le mien, je ne peux échapper à son regard, à sa présence, elle est mienne et je suis sien. Lorsqu’elle me dit qu’elle aimait entendre dire qu’elle était mienne, je souris, elle sourit, nous nous embrassions. Mon cœur battait bien plus vite, ces mots puis l’acte que l’on vient d’avoir, c’est un déluge de sentiments refoulés que nous avions eu l’un pour l’autre et qui s’exprimaient enfin l’un pour l’autre, dans la plus belle des subtilités, dans la plus dur des retenues, nous ne voulions pas gâcher ce moment, mais nous voulions le préserver. Après ça, je ne dis plus rien, elle par contre bougea. Son sexe sortit du mien, et elle le caressa, arrachant de moi un gémissement que je n’avais pas pu maîtriser surtout lorsque je sentis ces lèvres dessus. Elle vint près de moi, et je la colla contre moi, sa poitrine collés à mon torse, mon bras sous sa tête, lui servant de coussin, je caressais ces cheveux de ma main gauche, celle qui lui servait de coussin, de ma main droite, je l’avais sur sa taille, glissant légèrement deux doigts sur un bout de ces fesses, et la gardant contre moi. « Caroll.. Ma Caroll.. je ferais tout mon possible pour être toujours là quand tu auras besoin de moi aussi, ne l’oublie pas, et si un jour, je dois partir, sache que je te préviendrais avant. » Je souris et l’embrassais par la suite, un baiser assez long, un baiser remplie d’amour, que je ressentais sans doute pour elle mais que je ne laisserais pas s’exprimer pour l’instant, peut-être jamais, ou peut-être pas. Mon regard pénétra le sien lorsque ce baiser prit fin, j’espérais qu’aucune question ne suivrait et que nous pourrions continuer tout cela sans prise de tête ou question que je ne voudrais pas répondre. Je la regardais tout simplement, je ne faisais rien d’autre, nous étions collés l’un à l’autre, l’autre dans l’autre, dans nos regards, pas besoin de plus au final « Je suis si bien.. tu me procures tant de bonnes choses ma belle.. je ne veux plus bouger de ma vie, je suis si bien en ce moment.. . » Tout ça grâce à elle, si seulement elle pouvait comprendre l’important qu’elle a pour moi. C’est sans doute pour ça que je dois m’éloigner de tous les gens que j’aimes trop, pour les préserver.

Charles-Edouard Castello && Caroll Lea Venn

Citation :

You & me
we can't be together
even if we're meant to be
because
life sucks & destiny is a bitch

Des fois on préfère suivre ce que notre cœur nous dicte, faisant par la même occasion, abstraction à la logique de notre raisonnement. Quand on aime vraiment, la peur de souffrir par la suite ne nous préoccupe guère. Au lieu de garder les pieds sur terre, on choisit de décoller pour rejoindre le 7ème ciel même si on sait d’avance que la chute serait fatale. On rejette la vérité ainsi que la réalité, on plaque tout rien que pour vivre cet instant de bonheur-ne serait-ce que quelques minutes-avec celui qu’on aime. Celui qui avait dit que l’amour rend aveugle avait raison. L’amour rend aussi fou et stupide surtout et j’en étais la preuve.

-« Soit égoïste et garde moi près de toi. »

Rétorquais-je doucement avant de poser mon front contre le sien. Mon regard plongé dans celui de mon Charles, je ne vis plus rien autre que lui. A cet instant là ce n’était que lui et moi, moi et lui et personne d’autre et si je pouvais arrêter le temps à cet instant là, je le ferais sans aucune hésitation. Je m’allongeais ensuite à ses cotés et me blottis tendrement dans ses bras. Je collais ma poitrine contre son torse musclé et posa ma mains gauche sur ce dernier afin de le lui caresser avec les bouts de mes doigts.

-« J’aurais toujours besoin de toi Charles. Ma vie sans toi ne ressemblera à rien et je sais de quoi je parle parce que j’ai essayé de vivre dans un monde dont tu n’existais pas. J’ai essayé de t’ignorer et de faire comme si rien n’était mais en vain…Je…je sais que pour toi, je ne serais jamais plus qu’un coup d’un soir mais ne pars pas…ne me laisse pas…j’ai vraiment besoin de toi.»

Avouais-je d’un ton plein de sincérité. Je déposais ensuite mes lèvres sur les siennes pour lui donner un long baiser plein d’amour et de tendresse. Un baiser plein d’émotions et de spontanéité. Alors que mon corps prenait du plaisir, mon esprit lui, il cherchait toujours des réponses aux questions qui le hanté depuis toujours. J'avais encore plus d’une dizaines de questions qui me tracassaient mais je n’avais aucune envie de gâcher le moment présent avec des questions à la con. C’est pour cela d’ailleurs que je décidais de me taire. Je noyais ensuite mon regard dans celui de mon beau Charles, l'enfonçant petit à petit dans l’océan infini de ses prunelles.

-« Ne bouge plus alors...Restons-là et profitons du présent.Ne pense plus ni au passé ni au futur. Ne pense plus qu'à toi et moi et au moment présent! »

Je lui fis mon plus beau sourire avant de me coller encore plus à lui.

-« Je… »

Je voulais lui dire que je l’aimais. Je voulais lui avouer mes sentiments et tout ce que je que je ressentais pour lui.mais je décidais de garder ceci pour moi. Je laissais donc ma phrase en suspension et enfouis mon visage dans son cou où je lui déposais un doux bisou. J'étais si bien à ses cotés, trop bien même et ceci ne joué pas, mais pas du tout en ma faveur. Je ne devrais pas trop m’attachais à lui sinon j’allais certainement le regretter par la suite. Mais là c’était un peu trop tard pour faire machine arrière. J’étais déjà au stade du non retour et ma souffrance était plus ou moins garantie. Ce n’était finalement qu’une question de temps avant que Charles me Re brise le cœur...Mon corps contre le sien, je fermais légèrement les yeux et souris de plus belle avant d'aller rejoindre les bras de Morphée avec celui que j'aime le plus au monde: Charles, mon Charles !





FIN DE SUJET