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Un costume, des roses rouges : de quoi te faire sourire.

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MessageSujet: Un costume, des roses rouges : de quoi te faire sourire. Un costume, des roses rouges : de quoi te faire sourire. EmptySam 11 Sep - 20:39

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Le retour à la maison se passa plus tôt que prévu. On avait estimé que je m'étais remis un peu plus rapidement que certaines autres personnes ayant subi cette même greffe. De plus, j'avais clairement besoin de rentrer, de retrouver ce que j'aimais pour lutter un peu contre cette dépression post-transplantation. Ainsi, c'était main dans la main avec Maria que je franchissais les grandes portes de l'hôpital du Richmond District, le sourire aux lèvres. Direction, la maison de la brunette. Mon état s'était donc clairement amélioré, même s'il y avait des journées où j'avais besoin de rester couché, plutôt que d'autres. Une fois je pouvais passer des heures dans les toilettes, à vomir, d'autres fois être partant pour un petit footing. J'avais le droit de faire davantage d'efforts, même si mon épuisement était vraiment trop rapide. Je ne pouvais également pas commencer le sport maintenant. J'étais toujours en rééducation. Mais disons que je pouvais marcher un petit moment sans finir par ramper par terre. C'était agréable, ça oui. J'avais envie de reprendre un peu mon travail, afin de ne pas être enfermé dans la maison toutes les journées. Ce que je prévoyais ? Faire quelques heures de cours avec mon remplaçant, afin de me remettre peu à peu dans le bain, afin de revoir tous mes étudiants qui, apparemment, attendaient de mes nouvelles avec une certaine impatience, harcelant Maria pour en savoir un peu plus sur mon état. C'était touchant de leur part.

Il était quatorze heure. La brunette avait rejoint l'université en matinée, soit six heures plus tôt. Je m'ennuyais ferme à cet instant précis. J'avais passé une partie de la matinée à sortir les chiens et à prendre en photos quelques personnes qui avaient réussi à accrocher mon regard, ainsi que quelques monuments. Après tout, San Francisco était une ville avec un certain patrimoine. Ça ne pouvait donc que m'intéresser. Ainsi, j'avais pris quelques clichés. Une jeune femme dans une belle robe blanche, assise sur les marches d'une grande librairie, une pomme dans la main, un livre ouvert sur les genoux, ses cheveux couleur paille virevoltant avec le vent. Magnifique. D'une grande beauté. Une petite grève. Mon appareil avait photographié un homme d'une classe indéniable, avec une petite pancarte accrochée sur lui, avec inscrit dessus « Avocats en grève », une cigarette calée entre ses lèvres, le regard sérieux et rempli de mystère. Le genre d'hommes qui ne rend pas indifférentes la gente féminine en soit. Il ressemblait un peu dans son style vestimentaire, physique et comportemental à Jean Moulin. Il me décrocha un sourire. Bref, j'avoue trouvé plusieurs clichés à prendre. J'étais tellement heureux de m'être sorti vivant de cette opération que je voulais immortalisé la beauté du monde.

De retour chez Maria, j'avais déposé l'appareil sur la table de la cuisine, observant ce que j'avais pris, tout en dégustant une pomme. Je songeais à ce que j'allais faire cet après midi pour m'occuper. Et rapidement, l'envie de rendre visite à la femme de ma vie, ainsi qu'à mes étudiants. Parfait ! Ainsi, je sortais de la maison, vêtu d'une chemise blanche, d'un pantalon de costume noir, ainsi que d'une veste assortie. Oui, GTO se doit de garder sa réputation, ah-ah ! J'allais jusqu'à l'université en bus, ne trouvant pas très prudent de conduire une voiture et encore moins une moto. A peine arrivé, je me dirigeais chez un fleuriste pour acheter un bouquet de roses. J'aurais fait n'importe quoi pour voir ce magnifique sourire qu'est celui de Maria. Et, à peine je traversais le parking de Berkeley que je me faisais presque sauter dessus par cinq de mes étudiants qui étaient venus vers moi d'un pas pressé, les yeux écarquillés, surpris par ma présence et peut-être aussi par ma nouvelle coupe de cheveux. « Monsieur ! Vous êtes vivant finalement ! » Je ne pus m'empêcher de rire en les entendant. Oui, ça paraissait logique. Nous discutâmes quelques instant, alors que finalement, d'autres étudiants rejoignaient les autres, formant ainsi une petite foule composée de mes élèves. Ça faisait plaisir. « Vous comptez revenir bientôt ? On a voulu que mademoiselle O'Berkeley prenne le relais, mais elle n'était pas vraiment d'accord. » Ah oui, effectivement. « Oui, elle m'en a parlé. Mh... je vais reprendre peu à peu, je pense faire quelques heures de cours avec votre remplaçant. Comme ça, ça sera plus simple. Si je ne peux pas continuer à cause de l'épuisement ou autre, vous serez obligés de rester pour travailler. » Petit sourire sadique qui les fit protester avant de rire. On me disait que j'étais aussi « méchant » ce qui m'amusait. Finalement ils durent repartir en cours mais ils exigeaient une soirée dans un bar assez vite, quand je serais en état. Des vrais anges.

Les couloirs s'étaient quelque peu vidés, alors que je me dirigeais vers les bureaux des membres du personnel haut placé de l'université. A présent devant la porte de celui de Maria, je frappais trois coups de ma main libre, l'autre tenant le bouquet de roses rouges. J'arborais mon plus beau sourire. J'avais hâte qu'elle puisse m'ouvrir, espérant seulement qu'elle n'était pas avec un parent d'élèves. Oui, il faut savoir que je suis le seul qui me pointe ici sans rendez-vous. Ce n'est pas comme si elle allait me taper sur les doigts.
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MessageSujet: Re: Un costume, des roses rouges : de quoi te faire sourire. Un costume, des roses rouges : de quoi te faire sourire. EmptySam 11 Sep - 22:09

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    Voilà quelques jours maintenant qu'Edward avait pu enfin quitter l'hôpital. Cette nouvelle fut vraiment un soulagement pour Maria qui put enfin se dire qu'elle allait dormir dans un vrai lit, aux côtés de son compagnon. Enfin ils allaient pouvoir récupérer leurs deux chiens, rentrer chez Maria et retrouver leurs petites habitudes. Enfin ! On leur fichait un petit peu la paix même si Edward avait été averti et savait qu'il serait sérieusement surveillé par sa compagne sous ordre du cardiologue de l'homme. Pas de travail, avait-il tout d'abord dit. Je vous épargne la tête qu'avait fait Edward en l'entendant dire une chose pareille. Ah pour le coup, il n'était franchement pas ravi de savoir qu'il ne pourrait pas encore reprendre ses deux activités professionnelles même si – c'est vrai – Edward avait tout de même le droit de donner quelques cours, aux côtés de son remplaçant, à l'université. A première vue, cette option l'avait soulagé. Comme il l'avait dit à la brunette, il ne quittait pas l'hôpital pour rester de nouveau cloitré dans un lit toute la journée. Maria comprenait bien le fait qu'il soit en manque d'activité. Seulement, le professeur d'Histoire devait également comprendre qu'il était important pour son état de santé qu'il se ménage, alors oui ça l'ennuyait, oui ça lui semblait affreusement long, mais c'était pour son bien, et franchement Maria préférait le savoir à s'ennuyer ferme chez elle plutôt que de savoir qu'il risquait à tout moment de faire un rejet. C'est d'ailleurs pour cette raison que Maria était retournée à l'université, car même si son compagnon devait se reposer, elle, elle devait rapporter de l'argent à la maison comme on dit. Ainsi, elle était de retour à son bureau, comme avant, ayant retrouvé le sourire et la joie de vivre. Il est vrai qu'elle avait perdu un peu de poids, chose que les gens avaient remarqué au vu du fait qu'elle n'était déjà pas énorme en général. Seulement avec tout ce qui s'était passé avec Edward, Maria, n'avait pas franchement eu l'esprit à se nourrir ayant à vrai dire perdue l'appétit. Bref.

    Assise à son bureau, travaillant sur un dossier dont l'importance n'était pas des plus primordiales, entendit qu'on frappait à la porte de son bureau. Relevant la tête, elle retira ses lunettes les mettant sur sa tête.

    « Entrez. »

    Voyant la porte s'ouvrir, la première chose qu'elle vit apparaître fut des fleurs, et plus précisément des roses rouges. Oh non, par pitié pas encore l'un de ces élèves cherchant à tout prix à la mettre dans leur lit. N'avait-elle pas été assez claire ? C'est alors qu'elle vit Edward entrer. Oh. Rougissant en baissant la tête, honteuse d'avoir cru que c'était un élève, la brunette se mit à sourire en se rendant compte de sa bêtise.

    « Hé, qu'est-ce que tu fais-là ? »

    Quittant son fauteuil, Maria alla embrasser tendrement son compagnon, contente qu'il soit là en ce moment malgré tout.
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MessageSujet: Re: Un costume, des roses rouges : de quoi te faire sourire. Un costume, des roses rouges : de quoi te faire sourire. EmptySam 11 Sep - 22:50

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« Entrez. » Un sourire se dessina sur mes lèvres, alors que j'enclenchais doucement la porte et la poussais en arrière, afin d'entrer dans le bureau. Passant ma tête en premier, je m'assurais que Maria n'était pas en rendez-vous, puis avançais, avant de refermer derrière moi. Elle semblait surprise de me voir ici, même si elle affichait une certaine joie. En effet, à peine je fus près d'elle, qu'elle se leva de son fauteuil. « Hé, qu'est-ce que tu fais-là ? », me demanda-t-elle, pour finalement venir déposer ses lèvres sur les miennes. Ah ! Ma main se déposa dans le dos de la brunette, de façon à la caler doucement contre mon corps, alors que je répondais à ce baiser. Je reculais doucement ma tête de la sienne, de façon à pouvoir la regarder dans les yeux. « J'avais envie de te voir, tout simplement. » Effectivement, je n'avais pas de raison particulièrement pour être présent ici. Bon d'accord, elle n'était pas l'unique cause de ma venue à l'université de Berkeley. Ainsi, je poursuivais, afin de m'expliquer davantage. « Je voulais aussi voir mes étudiants. Être enfermé entre quatre murs, très peu pour moi. » Oh oui ! J'avais besoin de sortir. Le cardiologue voulait que je fasse de la marche en unique sport pour le moment. J'étais servi, car je ne faisais que ça, uniquement pour ne pas avoir à rester dans une maison vide.

Je me détachais doucement d'elle et lui offrais le bouquet de roses, ce geste accompagné d'un sourire particulièrement charmant. « Tenez mademoiselle. » Lui volant un tendre baiser, je la laissais prendre le bouquet. Quant à moi, je me dirigeais vers la fenêtre pour observer la vue. Puis mes yeux bleus se posèrent un instant sur les photos décorant le bureau de Maria. J'étais sur quelques unes et je ne pus que sourire en voyant cela, c'était touchant. Quant à moi, j'avais une photo de la brunette et de moi dans mon porte-feuille, une autre avec mes enfants. Ça n'a pas une grande utilité en soit, mais je m'en fichais, j'aime bien pouvoir les regarder n'importe quand, lorsque l'envie me prend.

Je tourne de nouveau la tête vers Maria et ne peux m'empêcher de contempler sa tenue. Et elle s'étonne que les étudiants veulent la mettre dans son lit ? N'importe qui le voudrait. Non pas qu'elle fasse allumeuse, bien au contraire. La brunette sait mêler à la perfection la classe, le glamour et le sexy. Cette jupe serrée tailleur lui va à ravir et je ne peux m'empêcher de piquer un phare, comme d'habitude. En fait, j'ai beau connaître le corps de la jeune femme par cœur, il n'en reste pas moi qu'à chaque fois que je la vois nue, je suis agréablement surpris par ce spectacle magnifique. Passant derrière elle, je me colle doucement à son corps, mon torse et mon ventre épousant son dos. Je dégage doucement les cheveux de sa nuque pour pouvoir y déposant un tendre baiser. « Dis moi, il est à quelle heure ton prochain rendez-vous ? » Je savais qu'elle en avait plusieurs aujourd'hui, elle me l'avait dit ce matin, alors que je m'étais réveillé en même temps qu'elle, même si, pour ma part, j'avais pu m'endormir après et surtout, rester au lit pendant qu'elle se préparait.
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MessageSujet: Re: Un costume, des roses rouges : de quoi te faire sourire. Un costume, des roses rouges : de quoi te faire sourire. EmptyDim 12 Sep - 19:54

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    Maria avait bien conscience qu'il commençait à trouver le temps long chez elle, surtout après tout ce temps passé à l'hôpital. Elle ne pouvait clairement pas le blâmer pour cela car elle-même n'aurait sans doute pas tenu aussi longtemps qu'il avait dû le faire. Elle aurait sans doute craqué avant pour tout dire. Rien que de penser au fait d'être enfermée pendant des semaines dans une chambre d'hôpital la rendait complètement dingue. A vrai dire, lorsqu'elle avait fait sa rupture d'anévrisme, elle n'était pas restée si longtemps que cela à l'hôpital puisqu'elle avait eu la chance – car c'en était – de n'avoir eu absolument aucune séquelle et qu'ainsi, elle n'avait eu aucune bonne raison de rester trop longtemps dans sa chambre d'hôpital. Résultat, elle était rentrée assez rapidement, il fallait bien dire ce qui était en soi.

    Se laissant embrasser avec beaucoup de tendresse, Maria se mit à sourire en l'entendant l'appeler “mademoiselle” car elle n'était définitivement plus une demoiselle, bien au contraire...elle avait dépassé l'âge d'être appelée de la sorte, il fallait bien l'avouer malgré tout. Enfin, si cela venait d'Edward, ça la faisait sourire plutôt qu'autre chose car elle savait bien qu'il la surnommait ainsi pour lui faire plaisir. Et non pas parce qu'elle était encore une demoiselle. Bref. Bien vite, la brunette se retrouva avec Edward derrière elle, son corps épousant parfaitement le sien, qui commençait à l'embrasser dans le cou. Oh pas ça...pas maintenant, elle avait du boulot et lui, il cherchait à la faire abandonner ses occupations de directrice. Bien qu'elle aurait beaucoup aimé donner un petit moment à son compagnon, la brunette devait s'adonner à son travail car elle en avait beaucoup de part les absences à répétitions dont elle avait été sujet lors de l'hospitalisation d'Edward.

    « Dans... » Elle regarda sa montre à son poignet gauche. « Deux heures. » Soupirant en fermant les yeux alors qu'elle sentait déjà le désir monter en elle, Maria se fit violence pour tenir bon malgré tout. Elle ne pouvait pas craquer aussi facilement. Elle n'était tout de même pas en manque ! Il fallait qu'elle se détente et surtout, qu'elle se contrôle. « Pourquoi ? » Osa t-elle demander tout en sachant très bien ce pourquoi Edward venait de lui poser la question. Non vraiment, elle ne pouvait tout simplement pas craquer alors qu'elle était au travail, ce genre de choses ne se faisaient définitivement pas.



    Spoiler:
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MessageSujet: Re: Un costume, des roses rouges : de quoi te faire sourire. Un costume, des roses rouges : de quoi te faire sourire. EmptyDim 12 Sep - 20:31

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À peine j'eus déposé un premier baiser dans le cou de la jeune femme que je la sentis frissonner. Ah ? Vraiment ? Un sourire se dessina sur mes lèvres. Je pouvais m'estimer chanceux de procurer un tel désir chez la femme que j'aime. Certaines femmes font l'amour avec leur mari uniquement pour lui faire plaisir. Je me plaisais à croire que pour Maria, c'était totalement différent. Elle aimait les relations intimes et apparemment avec moi. En même temps, une telle complicité hors et dans le lit, ça ne pouvait qu'être bénéfique, non ? Mes lèvres se posèrent sur le ventre plat de la brunette, la calant davantage contre moi, alors que je continuais de déposer des douceurs sur sa nuque. Un véritable délice ! « Dans... deux heures. Pourquoi ? » Cette question me fit rire silencieusement, laissant mon souffle s'écraser sur sa peau. Comme si elle ne le savait pas. Jouait-elle la carte de l'innocence ? Car elle ne l'était pas du tout. « Histoire de parler ? », lui répondis-je alors que je plaquais de nouveau mes lèvres contre son cou.

Me plaçant face à elle, je l'observe dans les yeux avec un large sourire, le regard pétillant. Je dépose un baiser sur sa joue, plus précisément à la commissure de sa bouche. « Deux heures ? Ça nous laisse assez de temps pour... discuter. » Oh oh ! On y croirait presque. Mais presque, ce n'est pas assez. Je viens l'embrasser et avance, la faisant donc reculer, jusqu'à ce que ses fesses butent contre le rebord de son bureau. Qu'est-ce que j'aurais aimé faire comme dans les films, débarrasser ce qui pouvait se trouver dessus, faire valser stylos, feuilles, cadres, etc... Mais en vue de la pile un peu plus loin, je m'y résignais. Je n'avais pas envie que la brunette face des heures supplémentaires pour tout trier à nouveau. Je poussais donc ce paquet un peu plus loin, puis attirais Maria sur le bureau. Ainsi, elle y était assise, et moi, je restais debout, mon bassin entre ses genoux, le regard malicieux. Oui, comme prévu, nous faisions un réel marathon du sexe. Il est important de varier les endroits, non ?

« Je te promets que je n'étais même pas venu dans cette optique mais... » … mais tu es trop sexy dans cette jupe serrée que je ne peux pas m'en empêcher. Et pourtant non, je n'étais pas venu à l'université de Berkeley pour cela. Mon but avait été de revoir mes étudiants, de lui rendre visite aussi par la même occasion, rester un petit moment avec elle, à discuter, à raconter nos journées respectives, etc... Et ce que j'avais sous la ceinture, soit le second cerveau de l'homme, en avait décidé autrement. La barbe ! Ou pas ! Mes mains s'appliquent à relever cette jupe jusqu'à ses fesses, alors que je partage avec Maria des baisers brûlants de désir, de passion et d'amour. Ma chemise s'ouvre peu à peu et mes doigts s'emparent de la petite culotte de la brunette, la laissant glisser le long de ses cuisses. Je la garde dans la main tout en continuant de l'embrasser. Soudain, j'entends frapper à la porte. Je me stoppe net. Nos regards se croisent, surpris. Mon Dieu ! Et sans attendre de réponse, la personne de l'autre côté de la porte abaisse la poignée. En deux temps, trois mouvements, je me cache, sous le bureau. Il aurait été trop long de reboutonner ma chemise. De plus, je ne pouvais pas quitter la pièce avec la petite culotte de Maria dans la main. Je ne peux m'empêcher d'esquisser un large sourire amusé. Je comprends enfin la signification de l'expression : « Passer sous le bureau. »
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MessageSujet: Re: Un costume, des roses rouges : de quoi te faire sourire. Un costume, des roses rouges : de quoi te faire sourire. EmptyLun 13 Sep - 18:28

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    Maria et Edward...c'était une très longue histoire, mais une belle histoire avant tout. Ils s'étaient très longtemps voiler la face pour se rendre compte un jour qu'ils n'étaient pas seulement ce qu'ils pensaient être. Ils s'aimaient. Bien plus que comme deux meilleurs amis. Ils s'aimaient tout court. De cet amour dont beaucoup aimerait profiter. Et c'était bien à cause – ou grâce, cela dépend des points de vue – à cela qu'ils se sautaient dessus comme ils le faisaient présentement. Apparemment aujourd'hui, la tendance était au relâchement de soi-même au bureau. Sentant les lèvres de son compagnon se plaquer avec douceur contre son ventre, Maria se pinça les lèvres en se rendant compte par elle-même qu'elle ne tiendrait pas très longtemps avant de se donner entièrement à son compagnon. Non, Maria ! C'était bien trop risqué. Elle ne pouvait pas se permettre ce genre de comportement au sein de son établissement, il ne fallait pas aller outre-mesure non plus. Elle devait rester maître de ses émotions, elle pouvait...elle pouvait le...faire. Ou pas finalement.

    « Ed...je ne peux...peux pas... »

    A première vue, Maria ne pouvait vraiment pas faire ce qu'ils comptaient pourtant faire dans ce bureau en ce moment. Malheureusement pour elle et surtout pour sa conscience professionnelle, elle mourrait d'envie de faire l'amour avec son compagnon maintenant, ici, qu'importe tout le reste. Se retrouvant bien plus vite qu'elle ne l'aurait soupçonné assise sur son bureau, la brunette se mordilla la lèvre inférieure en le voyant se coller contre elle. Elle l'aimait mais quand il la contrôlait de cette manière, elle le détestait tout autant. C'était affreusement humiliant pour Maria de se rendre compte du fait qu'Edward pouvait faire absolument tout ce qu'il voulait d'elle. L'écoutant lui promettre qu'au départ, il n'était pas venu dans le but de lui faire l'amour, Maria ne put s'empêcher de rire, comme s'il n'avait pas eu cela en tête depuis qu'il avait quitté la maison pour venir ici, à Berkeley et plus précisément dans son bureau...bobard.

    « Ne mens pas. »

    L'embrassant à pleine bouche, la brunette laissa Edward remonter avec entrain sa jupe le long de ses cuisses pendant qu'elle, elle s'attaquait petit à petit aux boutons de la chemise de son compagnon. Après tout, si lui pouvait la débarrasser de son trop plein de vêtements, elle pouvait tout aussi bien le faire. C'est alors que se retrouvant sans string, Maria entendit soudainement des coups frappés à la porte de son bureau. Oh mon dieu ! Paniquée, la directrice adjointe ne mit pas bien longtemps avant de penser à ce qu'ils allaient bien pouvoir faire. Le placer sous son bureau et qu'il attende là le temps que la personne à la porte soit repartie. Plaçant une main sur la tête de son compagnon, elle lui baissa fortement et vérifia qu'il était bien placé.

    « Directeur, j'ai quelques dossiers à vous faire signer pour le voyage à Paris. »

    Se passant une main maladroite dans les cheveux, la brunette s'installa dans son fauteuil de bureau attendant de cette manière que sa secrétaire lui donne ce qu'elle avait à signer et qu'elle reparte vite fait, bien fait.

    « Vous...vous allez bien ? »

    « Oui, oui, ne vous en faîtes pas. »

    Soupirant elle sentit soudainement les doigts d'Edward lui caresser doucement la cuisse droite. L'enfoiré !
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MessageSujet: Re: Un costume, des roses rouges : de quoi te faire sourire. Un costume, des roses rouges : de quoi te faire sourire. EmptyLun 13 Sep - 19:50

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Je pensais que ce genre de situations n'arrivait que dans les films. Visiblement non. J'étais bel et bien sous le bureau, afin de me cacher d'un regard indiscret. Si la secrétaire nous avait vu dans un état assez érotique, ça aurait fait rapidement le tour de l'université. Tout le monde saurait que la directrice adjointe s'envoie en l'air dans son bureau avec le professeur d'Histoire. Et si ça venait aux oreilles de Carl Hambrush, là, c'en était fini pour eux. Heureusement, je ne pris pas beaucoup de temps à me mettre sous le bureau et Maria n'en prit pas plus pour prendre place dans son fauteuil. Mon Dieu, j'avais presque ses jambes collées contre mon corps. Il faut dire qu'il n'y a pas grande place dans l'endroit où je me trouvais. J'entendis la secrétaire demander à Maria si elle allait bien, dans la mesure où elle devait afficher cette expression de gêne. « Oui, oui, ne vous en faîtes pas. » Quant à moi, j'arborais bien plus de malice. Le regard joueur, j'observais ses cuisses nues. Et, souhaitant la pousser à bout, je décidais de jouer avec elle.

Mes doigts glissèrent le long de ses cuisses, avec une tendresse mais également avec cette sensualité dont j'étais maître. « J'ai besoin de quelques signatures s'il vous plaît. » Je sentis Maria se crisper sous mes caresses. Et encore, là, je ne faisais pas grand chose. C'était amusant de la mettre dans une situation difficile, alors que moi, je riais silencieusement dans mon coin. Bon il faut dire que j'avais aussi grandement envie d'elle. Mes mains puissantes écartèrent doucement ses cuisses. J'étais maître de la situation, elle ne pouvait pas me repousser étant donné qu'elle se devait de rester discrète, pour ne pas qu'on nous surprenne. Oh, je risquais de me faire engueuler aussitôt qu'elle soit partie, à moins que je la mette dans un état d'euphorie qui lui donnera envie de me sauter dessus à peine sorti de sous ce bureau.

Je sentis sa chaussure se poser doucement sur mon torse, comme si c'était la seule façon de me stopper de façon discrète. J'esquissais un tendre sourire amusé, alors que je glissais mes lèvres sur sa jambe, alors que ma main se frayait un chemin entre ses cuisses. Un beau spectacle soit dit en passant. Je venais donc effleurer son intimité, la sentant frissonner sous mes doigts. C'était jouissif de voir que ça la mettait dans un tel état d'excitation. Mes lèvres glissent à l'intérieur de ses cuisses, je les embrasse et même si sa raison dit non, je sais que son corps dit oui, j'ai l'impression qu'elle me laisse un plus grand accès à l'objet de mon désir. J'ai envie d'elle de façon incroyable. Je veux lui faire l'amour, la prendre à même ce bureau. J'ai hâte que cette secrétaire termine de lui donner ces feuilles à signer, afin de pouvoir profiter entièrement de mon amour. Je dépose des baisers sensuels et remplis d'envie sur son intimité. Je sais qu'elle doit me haïr, pour ma part, ça m'amuse et j'ai ce besoin de lui procurer du plaisir. Quel est l'intérêt de prendre son pied tout seul ? Mais je me fais languir moi-même.
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MessageSujet: Re: Un costume, des roses rouges : de quoi te faire sourire. Un costume, des roses rouges : de quoi te faire sourire. EmptyLun 13 Sep - 20:13

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    « J'ai besoin de quelques signatures s'il vous plait. »

    Mais donnez-moi ça que je les signe et que vous repartiez d'ici vite fait avant que vous ne compreniez ce que mon mec est en train de me faire sous ce bureau !! Voilà ce qu'elle aurait répondu si elle en avait eu le cran. Sauf qu'elle ne l'avait pas eu justement ce fameux cran. C'est bien pour cela que la brunette se contenta d'un simple « merci. » tout à fait pathétique. Recevant les papiers donc qu'elle devait signer présentement, Maria sentit soudainement les lèvres d'Edward se faufiler là où elles n'auraient jamais dû se trouver en ce moment ! Non mais avait-il un grave problème psychologique ou quoi celui-là ?! Elle était avec sa secrétaire et lui...lui il tentait de la faire entièrement céder. Elle allait le tuer !

    Signant de travers, faisant tout son possible pour tenir bon face aux caresses on ne peut plus claires de son compagnon, Maria se mordilla la lèvre une nouvelle fois pour s'empêcher de hurler. Si Edward n'arrêtait pas d'ici peu, elle allait vraiment craquer, et le résultat ne serait franchement pas joli quant à la réputation qu'avait la directrice dans cet établissement. Si elle perdait son boulot à cause de lui, Edward regretterait de s'être réveillé après son opération de greffe cardiaque, c'était plus que certain.

    « Voilà. »

    Posant un peu brutalement son stylo noir sur son bureau, Maria avait l'impression d'être rouge pivoine tellement elle avait honte de la situation présente même si sa secrétaire ne devait rien comprendre aux évènements se déroulant,sans qu'elle ne le sache, sous ses yeux. C'était réellement humiliant, qu'on le veuille ou non.

    « Maria, vous êtes sûre que tout va bien ? »

    « Ne vous en faîtes pas, tout va bien, je suis juste un peu fatiguée, rien de bien inquiétant. »

    « Il faut dire que vous n'avez pas vraiment pu vous reposer avec tout ce qui s'est passé ces derniers temps. Vous avez maigri... »

    « Je sais. Il faut vraiment que je me reprenne. »

    « Si vous avez besoin de quoique ce soit, vous savez que je peux vous aider. »

    « Je vous remercie. »

    « Bon, et bien je vais aller amener ces dossiers au Directeur. Bon courage. »

    « Merci beaucoup. »

    Une fois que la porte fut refermée, Maria se leva brutalement de son fauteuil de bureau se fichant pas mal de savoir si elle risquait de blesser ou non son compagnon en agissant aussi brutalement. Pour le coup, Edward avait été beaucoup trop loin. Elle avait failli lâcher le morceau devant sa secrétaire quand même, réalisait-il cela ?

    « Tu es complètement fou ! »


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MessageSujet: Re: Un costume, des roses rouges : de quoi te faire sourire. Un costume, des roses rouges : de quoi te faire sourire. EmptyLun 13 Sep - 21:00

Un costume, des roses rouges : de quoi te faire sourire. 95y4b6 Un costume, des roses rouges : de quoi te faire sourire. I25h24-3




C'était presque sadique d'agir de la sorte, je vous l'accorde, mais que voulez-vous ? Maria sait que je suis très joueur et que j'aime prendre des risques. Elle m'aime également pour ce trait de caractère, non ? Je savais qu'elle allait m'en vouloir à mort, sitôt la secrétaire partie de cette pièce. Mais je m'en fichais. Il fallait savoir s'amuser, non ? Et puis, je n'étais pas fou non plus, si je voyais que la brunette était sur le point d'exploser, je me serais stopper. J'avais juste envie de la faire languir, de lui procurer du plaisir aussi. Je l'exaspère oui, mais ça, c'est habituel. Je pense qu'il n'y a pas un seul jour sans que j'en fasse voir de toutes les couleurs à Maria. Oui, je dois l'épuiser à force de me comporter de la sorte. Mais aimerait-elle sincèrement que je devienne un historien pantouflard qui ne cherche plus à la séduire ? Qui ne prêt plus beaucoup attention à elle ? J'espérais que non, sinon, elle s'était malheureusement trompée sur ma personne.

J'entendais le petit dialogue entre Maria et la secrétaire. Je riais intérieurement, alors que je continuais sans gêne à donner du plaisir à la brunette. Et lorsque j'entendis la porte se refermer, je compris que j'allais passer un sale quart d'heure. Bingo ! « Tu es complètement fou ! », me lança-t-elle en se relevant brusquement. Je n'avais même pas le temps de sortir de sous ce bureau que j'affichais déjà un sourire arrogant. « Oui mais tu aimes ça apparemment. », lui rétorquais-je avec une expression malicieuse, digne d'un enfant. Je m'approchais d'elle alors qu'elle ne semblait pas vraiment convaincue. Oh ! Elle n'allait tout de même pas faire la tête ! Moi qui pensait que les femmes adoraient qu'on s'occupe d'elles de cette façon. Bon d'accord, les circonstances n'étaient peut-être pas superbes pour elle. Mais, comme je voulais lui faire comprendre qu'il n'y avait pas de mal de commis, je poursuivais sur un ton sérieux, sans lâcher ce sourire. « Réponds à ces trois questions. Nous a-t-on découvert ? As-tu pris du plaisir ? Y a-t-il mort d'homme ? » Je pouvais clairement répondre par non, puis oui et enfin non. Alors pourquoi s'en faire ?

Je continuais d'avancer vers elle, jusqu'à sentir son corps contre le mien. J'affichais toujours cette expression arrogante, sans aucune gêne. « Mais... », je déposais un baiser dans son cou, sachant que c'était un de ses nombreux points faibles, puis lui plaçais sa petite culotte dans la main, afin de lui donner l'occasion de la remettre. Reculant finalement la tête, de façon à plonger mon regard dans le sien, j'affichais un visage bien sûr de moi. « … très bien, je peux arrêter là. », puis je faisais deux pas en arrière. Souhaitait-elle vraiment qu'on s'arrête à ce stade là ? Pour ma part non, mais juste par arrogance et pour me donner raison, j'aurais été capable de tout. Oui, j'ai aussi mes défauts, ce qui exaspèrent les autres. Mais j'en suis conscient, c'est un bon début, n'est-ce pas ?
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