| | | Chambre 12: Entre adultes français |  |
| | Auteur | Message |
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Invité Invité
 | | Sujet: Chambre 12: Entre adultes français Mar 27 Avr - 15:43 | |
| Allongé sur son lit Maxence réfléchissait. Entre les cours et les moments qu’il passait avec ses collègues où certains élèves, il n’avait pas prit le temps de réfléchir sur lui et son arrivée ici. Il était ici depuis le mois de février et nous étions déjà en avril. Pire, fin avril. Pour les examens ce sont les examens qui se profilaient à l’horizon, pour Maxence c’était le retour en France. Seulement il ne savait pas comment il allait gérer son retour là-bas, mais surtout comment gérer une de ses relations ici. Il s’agissait en effet de Maria O’Berkeley. Il l’avait revu, avait parlé avec elle, seulement ça n’était pas assez pour lui. Il voulait apprendre à la connaître. Il ne voulait pas qu’elle soit une simple connaissance. Il voulait connaître son passé, son présent et savoir ce qu’elle voulait faire de son futur. C’était sans aucun doute stupide et Max’ aurait rit au nez de la personne qui lui aurait dit ça, seulement il se rendait compte aussi que sa vie était un désert. D’accord, il a des proches et sa mère, mais c’était encore autre chose pour lui et de ne pas avoir de famille le travaillait également. Gaspard, Appoline et Yohan avaient réussit à le convaincre de venir aux USA, le problème était qu’il avait alors commencé à se demander à quoi rimait vraiment sa vie. Des amis ? Quelques uns vraiment bien triés. Une femme et des enfants ? Il n’en aurait sans doute jamais et quelque part ça lui faisait mal. Mal parce qu’il aurait aimé avoir ce plaisir et aussi faire plaisir à sa mère. Le fait de fonder une famille était quelque chose d’important pour elle et finalement Maxence s’était dit qu’un jour il rencontrerait la bonne personne sans la chercher, mais à 40 ans il n’avait toujours pas trouvé.
Soupirant, il se passa les mains sur le visage et regarda à nouveau le plafond de sa chambre. Se relevant alors de son lit, il regarda l’heure : 15h30. Il n’avait pas de cours, il devait alors se changer les idées. Allant mettre un bermuda bleu marine, une paire de baskets et un tee-shirt blanc, il prit ensuite son Ipod et écouta la musique tout en sortant de l’école. Arrivée à la sortie, il regarda autour de lui et partit vers l’ouest pour courir. Il avait besoin de se changer les idées et courir lui ferait sans doute du bien. Se vider la tête, ne penser à rien. Sentir les battements de son cœur, le tiraillement de ses jambes, la musique qui criait dans ses oreilles. Là au moins il ne penserait plus à rien. Au bout d’une heure de course, il était rentré et en ouvrant la porte, il était tombé sur Gaspard qui lui demandait alors s’il voulait sortir le soir même. Maxence lui répondit qu’il préférait rester dans la chambre, il n’avait pas envie de sortir. Allant prendre une douche, il prit son temps, voulant profiter de l’eau chaude. Sortant en tee-shirt bleu marine et bermuda noir, il s’assit sur son lit et prit son ordinateur portable. Commençant à taper quelques petites choses, il esquissa un sourire. Il avait commencé à tenir une sorte de journal sur son voyage à Berkeley et il commença à écrire ce qu’il avait fait aujourd’hui. Une heure après, il vit Gaspard prendre une veste et lui souhaiter une bonne fin de journée et qu’il allait faire un tour en ville. Maxence lui fit un signe de tête et un léger sourire et reprit ses écrits. Seulement, il fut vite interrompu et soupira.
Entrez.
Voyant Appoline entrer, il fronça les sourcils, ne sachant pas de quoi elle voudrait lui parler, mais il espérait que ça ne serait pas sur Maria. Fermant son ordinateur après avoir sauvegardé ses écrits, il préféra poser son ordinateur portable à côté de lui et surtout qu’elle ne voit rien de ce qu’il avait écrit. Personne ne savait qu’il écrivait son voyage, donc il préférait que ça reste secret encore très longtemps.
Un problème ?
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| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Chambre 12: Entre adultes français Lun 3 Mai - 14:57 | |
| « - Ecoute Maxence, c’est plus possible que tu vives comme ça. T’as 40 piges, tu comptes encore rester célibataire pendant longtemps ? Les quarantenaires ont des enfants, une femme, une famille quoi. Cette Maria, je suis sûre qu’elle souffre beaucoup aussi ; elle en pince pour toi, ça crève les yeux ! Je ne t’ai jamais vraiment parlé de cette façon, mais cette fois je vais te dire la vérité : Tu es désespéré, et s’il te plaît, ne me dis pas que tu ne l’aimes pas ou que j’essaye de te changer en bisounours. Yohan le sait, Gaspard le sait, je le sais : Elle est ta raison de vivre. On ne supporte plus de te voir comme ça, t’es notre ami quand même ! Voilà pourquoi, on a tous décidé –enfin, je suis l’intermédiaire- de te dire que si tu ne te bouges pas le cul, on ira lui dire toute la vérité. »
Appoline pris une grande respiration. Quel soulagement d’avoir dit toute la vérité à Maxence ! Sa conscience n’était toujours pas propre tout de même, elle stressait, elle attendait la réaction de Maxence avec impatience, Appo’ ignorait toujours de quelle façon il allait réagir. Qu’allait-il dire ? Allait-il lui rappeler que sa vie ne la concernait pas ? Allait-il lui dire qu’elle avait raison et qu’il devait avouer à Maria O’Berkley, la directrice adjointe de l’université de Berkley, qu’il était fou amoureux d’elle ? Appoline frémissait d’impatience. Elle prit une chaise, s’assit dessus. Po’ sortit de sa poche arrière un paquet de cigarettes blondes et alluma la première qu’elle vit. Maxence était silencieux, ce qui stressait encore plus Appoline et l’avait poussé à fumer. Sa respiration s’accélérait de plus en plus, allait-il remarquer qu’elle était tourmentée ?
Les minutes s’écoulaient, mais le silence régnait toujours en maître, dans la chambre 12. Cette décision n’était à prendre à la légère, Appoline le savait ; elle savait qu’un plan devait être planifié et étudié avant toute déclaration. Toute précipitation aurait été fatale certes. Un restaurant, ou un faux gala de charité ? Peut-être un simple repas à la cafétéria, ceci préoccupait peu Appoline. C’était la réaction de Maxence qui l’inquiétait, elle ne supportait pas cette attente. Néanmoins, c’était le choix d’une vie et plusieurs changements dans la vie de Max’ et de ses amis allaient avoir lieux. Bien sûr, si Maxence choisissait de sortir avec Maria et de fonder une famille avec elle, il devait vivre en Californie.
(HS = Pas d'inspiration, c'est vraiment nul, désolé :/ ) |
| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Chambre 12: Entre adultes français Lun 3 Mai - 18:36 | |
| Réfléchir en paix, voilà ce que Maxence voulait faire. En cinq ans il n’avait pas eu une seule relation sérieuse. Non rectification, en plus de dix ans, voir même beaucoup plus que ça. Ca remontait à son adolescence, donc en effet beaucoup plus. Maxence avait eu une petite amie à l’époque du lycée et c’est depuis ce jour là qu’il avait décidé de ne plus jamais faire confiance à une femme si c’était pour qu’elle lui fasse du mal. Puis, il avait rencontré Maria à Paris. Il avait apprécié tous les moments qu’ils avaient passés ensemble. Mais Maxence avait prit peur après qu’ils aient couchés ensemble. Il ne savait pas comment se comporter avec Maria et il était partit de sa chambre avant qu’elle ne se réveille et surtout, il avait tout fait pour l’éviter par la suite. Il savait qu’il n’aurait pas dû le faire, mais il était aussi sûr et certain de ne pas avoir à la revoir un jour. Mais en février dernier, il l’avait alors revu et depuis il avait l’impression d’être un véritable idiot à ne pas aller lui parler.
Seulement Maxence avait eu une discussion avec Maria et ils avaient déjà couchés deux fois ensemble. Il n’en avait parlés à personne, même s’il savait que ses collègues français, c’est-à-dire Yohan, Gaspard et Appoline se doutaient sans doute de quelque chose. Mais il ne voulait pas leur en parler, d’une part parce que ça ne les regardait pas et d’autre part parce qu’il ne voulait pas dire à qui que ce soit le fait qu’il avait une liaison avec la directrice adjointe. Enfin bref, encore une histoire complexe qui pourrait finalement être simple. Mais avec Maxence rien n’est jamais simple. La preuve ! Tout le monologue que venait de lui faire Appoline. Elle avait à peine mit un pied dans sa chambre, qu’elle lui faisait tout un discours. Maxence avait écouté avec attention et il devait avouer que c’est juste ce à quoi il pensait. N’ayant rien dit, il ne fit que la regarder. Alors comme ça ces trois collègues les plus proches avaient dans l’idée de le caser avec Maria. D’accord il n’était en aucun cas insensible aux charmes de la directrice mais delà à vivre une relation avec elle il était loin de penser à ça. Ils venaient tout juste de donner des limites à leur « relation », alors penser à être plus que ce qu’ils sont, c’était trop rapide. Ils en étaient arrivés à une « amitié avec sexe ». Donc pourquoi irait-il tout gâcher en demandant plus ?
En plus de ça, il avait apprit des choses sur le passé sentimental de Maria qui lui faisait dire qu’elle n’était en aucun cas prête à s’engager dans une relation. En plus de ça Maxence repartirait avec les autres français dans quelques mois, donc il n’était pas question pour lui d’être plus qu’un ami avec Maria. Evidemment il allait s’attacher à elle, ça il ne voulait pas se voiler la face, mais il ne voulait même pas penser au fait qu’ils pourraient être plus l’un envers l’autre. Ca fait alors penser à Maxence qu’il devrait sans doute penser à parler à Elena d’ici peu. En effet Elena est une amie, mais également son espion pour découvrir qui est Maria O’Berkeley. Mais ça c’est encore une autre histoire ! Ne se rendant même pas compte du temps qui s’écoulait, il reposa son attention sur sa collègue et la vit assise sur sa chaise, à s’allumer une cigarette.
Premièrement si tu veux fumer, tu vas à la fenêtre. Tu sais que Gaspard n’aime pas que ça sente la cigarette ici et moi non plus par la même occasion.
Maxence avait fumé quand il était plus jeune, mais depuis qu’il avait arrêté, il n’aimait pas sentir cette odeur. Gaspard qui lui ne semblait pas fumer non plus n’aimait pas non plus l’odeur.
Je suis désespéré ou désespérant ? Non parce que c’est pas pareil sinon.
Maxence jouait sur les mots, parce qu’il ne voulait pas répondre à tout ce que venait de lui dire sa collègue. Puis, se passant une main sur le visage, il la regarda.
Vous pouvez penser ce que vous voulez, je n’en ai rien à faire et ça vous le savait tout les trois. Moi tout ce que je sais, c’est que je parle avec Maria et ça en reste là. C’est une collègue de travail et ça restera une collègue de travail.
Il regarda la jeune femme qui le regardait et qui surtout l’écoutait. Elle voulait sans doute essayer de déceler chez Maxence une faiblesse sur la façon dont il parlerait de Maria, mais il ne laisserait rien paraître, il ne le devait pas.
Maintenant, si vous êtes mes amis tout les trois, vous me laissez en paix. Mais surtout vous n’allez pas lui parler de ça. Après elle va croire que je ressent vraiment quelque chose pour elle et elle va me prendre pour un abruti de première.
Allant à la fenêtre avec Appoline, il soupira et regarda dehors.
Si je sais que vous allez la voir crois-moi que ça se passera très mal.
Il ne plaisantait pas et ça elle pouvait le voir à son regard. Il ne voulait pas qu’ils aillent voir Maria, surtout pas. Il n’avait pas envie de gâcher ce qu’ils avaient commencés à . . . pas à construire, mais plutôt à mettre en place. C’était déjà un début et Maxence devait avouer que ça lui allait très bien. Il allait pouvoir profiter pour apprendre à connaître la jeune femme, tout en passant du temps avec elle, mais surtout en allant ainsi jusqu’à son départ et sans accros. Il ne voulait pas gâcher ça.
Maintenant si je sais que vous lui avez parlé de ça, crois-moi que je vais aller voir Yohan pour lui dire aussi des choses. Tu sais que j’en suis capable ! Alors lâchez-moi avec ça et vivez vos vies.
Regardant toujours dehors, il ne faisait pas vraiment attention à ce qu’il regardait.
Même si c’est gentil de votre part de vouloir m’aider, là je n’ai pas besoin de coup de main vu qu’il n’y a rien, ni personne à aider.
Maxence savait que c’était faux, mais il ne voulait pas le dire à Appoline. Ni même à ses autres collègues.
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| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Chambre 12: Entre adultes français Mer 5 Mai - 17:39 | |
| Même si c’est gentil de votre part de vouloir m’aider, là je n’ai pas besoin de coup de main vu qu’il n’y a rien, ni personne à aider.
Appoline scruta l’horizon, elle distingua quelques uns de ses élèves fumer et parler entre eux. Elle se remémora les paroles que Maxence venait de lui dire : « là je n’ai pas besoin de coup de main vu qu’il n’y a rien, ni personne à aider ». Po’ jeta sa cigarette, se retourna vers Max’ et le regarda de son regard le plus doux et protecteur ; il avait beau avoir huit ans de plus qu’elle, Maxence ne pouvait gérer sa vie seul : il avait toujours et encore besoin d’aide, du côté mental surtout.
Un lourd silence s'installa alors, Appoline, assise à l'autre bout de la chambre, fixait la porte. Elle aurait souhaité pouvoir sortir de celle-ci en courant jusqu’à rentrer dans la sienne où elle aurait pu pleurer le fait de n’avoir pu l’aider. Elle finit par abandonner ses intentions et jeta son regard sur Maxence qui avait l’air de l’ignorer. Et un coup de vent de plus ; c’était le bon, cette fois-ci. Quelques larmes coulèrent le long des joues de la jeune femme pour tomber sur son T-shirt noir.
C'est avec ce grand froid, et dans ce silence de mort qu'Appo’ se dirigea inconsciemment vers la fenêtre, l'air frais nocturne de la ville de Berkeley empli alors la chambre par une rafale de vent, une sorte d'ivresse traversa alors la jeune femme qui se penchait petit à petit, les larmes séchaient, elle ne pleurait plus. Un vide étrange s'emparait d'elle, encore plus profond que celui qui s'étendait devant ses yeux. Elle avait enfin une chance de bien réfléchir ... Qu’allait-elle faire ? Se retourner vers Maxence et lui dire qu’il n’y aucune honte à aimer un être humain ? Ou tout simplement, sortir de la chambre 12, toujours les larmes aux yeux ? Lescaudey était perdue.
C'est le même sentiment d'ivresse, de vide, de honte qui accompagna alors la jeune femme lentement vers la porte de la chambre, la faisant se coller en silence contre le battant blanc. Du bout des doigts, elle vint même caresser presque innocemment la poignée sans pour autant avoir l'intention de l’ouvrir ... Ne sachant que faire, elle se laissait complètement aller au gré de ses sentiments les plus forts, la douce conscience de la professeur de littérature reprenait le dessus, lui faisait faire des choses qu'elle devrait certainement justifier plus tard. Il y avait en cet instant deux Appoline, la jeune femme complètement honteuse et la jeune femme qui voulait aider Maxence.
La jeune femme honteuse remporta le dessus sur la côté protecteur de l’autre. Appoline ouvrit la porte et s’assit dans le couloir, le Maxence sérieux lui avait fait mal, elle n’avait voulu qu’aider. Tant pis pour le compte-rendu de la soirée, elle l’aurait sûrement plus tard. Ce dont elle avait vraiment envie, sur l’instant, c’était de pouvoir se blottir sur le torse de Yohan, et d’oublier cet instant qu’elle avait vécu avec Maxence …
(HS : J'ai essayé de m'appliquer cette fois, j'espère que tu vas aimer :) |
| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Chambre 12: Entre adultes français Mer 5 Mai - 18:00 | |
| Maxence s’attendait vraiment à tout, mais pas à ça ! En effet avec tout ce qu’il avait dit, il pensait qu’Appoline aurait essayé de lui faire changer d’avis ou même de lui dire de faire quelque chose envers Maria. Lui faire prendre conscience qu’il est amoureux d’elle. Enfin en tout cas de le bouger malgré tout ce qu’il avait dit. D’habitude elle faisait ainsi et pas cette fois-ci. Fronçant alors les sourcils, il se demanda si c’était une nouvelle façon de faire. Une nouvelle tactique pour le faire parler ? Mais au visage triste de la jeune femme, il comprit qu’il y avait forcément autre chose. La voyant finir sa cigarette, il attendit alors quelque chose de la part de sa collègue, mais toujours rien. Maxence devait avouer qu’il était un peu perturbé par le comportement de la jeune femme. Elle ne parlait pas, pas une seule seconde. Il gardait les sourcils froncés se demandant s’il devait intervenir ou pas. Mais quand il finit par entendre la porte s’ouvrir puis se refermer, il se tourna pour regarder. Elle était bel et bien sortit. Maxence haussa alors les sourcils d’un seul coup et se demanda ce qui n’allait pas chez Appoline pour qu’elle réagisse ainsi. Elle qui est d’habitude si expansive et qui parle beaucoup, là il ne savait plus quoi penser.
Hésitant sur ce qu’il devait faire, il avança puis se stoppa. Aussi vite c’était un piège et elle attendait juste qu’il ouvre et elle lui poserait tout un tas de questions. Maxence fit une grimace et se décida à aller la rejoindre. Mais il la vit assise au sol dans le couloir. Fermant la porte de sa chambre derrière lui, il alla vers elle. Puis, il s’assit à ses côtés et attendit qu’elle dise quelque chose. Mais plus les minutes passaient et plus il avait l’impression qu’il lui avait dit ou fait quelque chose qui la rendait aussi silencieuse. Il s’en voulait alors pour le coup, même s’il ne savait pas ce qui se passait.
Ca va ?
Question stupide pour le coup, il le savait, mais il voulait aussi comprendre. Alors, il tourna la tête vers elle et se décida à passer son bras autour de ses épaules. Elle semblait avoir besoin de réconfort et il savait mieux agir. Il avait plus de facilité pour réconforter avec les gestes qu’avec la parole. La laissant venir contre lui, il ne dit rien et fronça les sourcils. Il n’aimait pas voir ses proches être mal et encore plus si c’est de sa faute. Alors, il ne dit rien et la laissa prendre son temps pour parler et comprendre ce qui se passait dans la tête de la jeune femme.
[Ca me va et Maxence est triste maintenant  ] |
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