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Invité Invité
 |  Sujet: Un ange passera ? Lun 15 Fév - 23:46 | |
|   "Elle, si réelle, si inaccessible "Encore une fois, samedi matin, 8 heures du matin et un Bradley qui s’entraine en douce dans le gymnase, son retour dans l’équipe est pour bientôt, vraiment très bientôt, lui qui c’est entrainé dur pendant deux mois est maintenant on niveau, il débarquera comme un cheveu sur la soupe durant le prochain entrainement. Heureux de pouvoir montrer aux autres que ses maux de dos se sont envolés.
Car oui depuis maintenant 1 ans il enchaine les blessures au dos, ce début de blessures au dos coïncide aussi au moment ou il a commencé à fréquenter son ex, Plum, ex avec qui il est resté plus d’une nuit, chose rare, très rare car d’habitude il enchaine les coups d’une nuit. Bref une histoire de quasiment un an, un histoire ou il est tombé pour la première fois amoureux, mais une histoire maintenant finit. Avant il avait tout, l’envie de draguer, la facilité de draguer, une fille magnifique et le sport. Et bien maintenant qu’il a perdu Plum il n’avait plus rien, il ne voulait pas draguer parce qu’il avait subit quelque chose qui l’avait carrément bousillé, le Bradley du jour était un peu moins sur de lui, un peu plus fragile, il buvait un peu plus qu’avant, car une fois ivre il redevenait le Bradley d’avant, mais bon chaque soir il oubliait, l’alcool lui jouant des tours, le lendemain il se réveillait nu dans un lit, parfois accompagné de plusieurs personnes, accompagné aussi d’un gros mal de tête.
En gros il n’avait plus rien, le sport revenait petit à petit dans sa vie, espérant qu’avec les matchs tout revienne, et qu’il soit dans un mois un nouveau Bradley. Surtout qu’il avait dernièrement croisé une belle jeune fille, et oui il avait eut un flash, presque un coup de foudre. Chose que l’ancien Bradley n’avait pas, avant il se disait « Tien elle est bonne elle ! », mais là non, il avait l’impression que tout c’était figé qu’il ne voyait qu’elle. Mais le problème du nouveau Bradley est qu’il ne va plus vers les filles qu’il ne connait pas, plus de drague quoi donc voilà il avait laissé échapper cette fille.
Fille à laquelle il pensait beaucoup, il ne l’avait jamais croisé, il ne l’avait même plus recroisé depuis se jour là, puis même en en parlant à ses amis personnes n’avait réussit à la trouver, comme quoi le destin avait choisit qu’il ne la revoie plus.
Revenons plutôt à nos moutons, vous comprendrez pourquoi je parle de cette belle jeune fille après. Donc après 3 heures de sport, et surtout une bonne douche c’est un Bradley tout en beauté qui sort du gymnase, et oui il a beau avoir un léger coup au moral et surtout un très gros coup au cœur il reste tout de même un beau gosse qui aime faire attention à son apparence, et là c’était le cas. Il portait un jean blanc accompagné d’une chemise assez moulante en noire, sa lui donnait un style de Don Juan Italien et pourtant il n’avait pas une goutte de sang Italienne.
Pour rentrer dans son dortoir, qui n’en était pas réellement un, c’était plutôt une chambre universitaire avec une cuisine et tout ça, un petit studio en plein l’université, chose qu’il adorait, il pouvait participer aux fêtes étudiantes qui en Amérique sont vraiment très, très grosse et arrosé.
Donc je me perd encore une fois, mais pour rentre chez lui il faut passer pa le parc, endroit ou il a rencontré cette jeune femme, même si rencontré est un mot assez gros, puisqu’il n’a fait que la regarder mais bon. C’était là, et comme il passait ici à chaque fois il y pensait à chaque fois.
Cette fois ci il décida même de s’asseoir, il n’y avait quasiment aucune chance pour qu’elle passe là, qu’elle l’aborde (car oui lui ne le ferrait pas), trop de chose impossible. Mais lui qui croyait beaucoup en Dieu se disait que dans la vie tout est possible. Qu’il suffit de croire en ses rêves et ils se réaliseront. Mais là nous n’étions pas le 24 décembre, le père Noel ne passerait pas, et au bout de cinq minutes personne n’était passé dans le parc.
Il était donc résigné à partir quand …
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| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Un ange passera ? Mar 16 Fév - 15:53 | |
|   Un sac Marc Jacobs, voilà ce qu'il la rendait un peu plus américaine. Un banal sac, une marque comme une autre qui pouvait pourtant faire changer la vision que les gens portaient sur elle. Fleur n'avait jamais été une de ses filles bien trop intéressées par la mode au lieu de leurs études ou encore mieux, bien plus concentrées sur leur propre personnes plutôt que sur le monde qui les entourait. Constance sa sœur lui avait offert ce sac, accompagné d'un grand sourire la forçant presque à abandonner la besace qu'elle avait apporté de Suisse et qui avait aussi séjourné en France juste par conformisme. Son père pouvait très bien être riche elle ne voulait pas qu'on la reconnaisse justement par cette richesse c'était une trop bonne occasion de vous mettre dans une case, offrir le pain béni pour les gens qui aiment critiquer.
La jeune Dubois n'était pas paranoïaque juste angoissée et pas prête à devoir s'habituer à une nouvelle culture, et tout ce que cela impliquait. Pas encore acclimatée à la France qu'elle devait déjà changer à nouveau. Pourtant l'air frais et presque agréable de la Californie tentait de lui donner le sourire, de lui retirer ce blues qu'elle portait en elle depuis son arrivée ici. C'est plus facile de rejeter la faute sur quelque chose au lieu de se remettre en question soi-même, la brunette avait toujours décidé de prendre le parti de la facilité et de la non-prise de tête. Alors en ce Samedi sa journée avait été consacrée à faire un tour du côté de l'université, comparé à la Sorbonne Berkeley n'avait pas du tout à voir. Déjà bien plus lumineuse, grande, cette université américaine donnait plus envie de traîner dans les jardins surtout par temps de printemps, et en Automne que travailler. Paris I était tout le contraire, entassée entre d'autres bâtiments des beaux quartiers en franchissant la porte on savait où l'on allait. Fleur avait quitté la chambre de sa résidence universitaire en laissant sa meilleure amie Florence encore bien endormie. Elle avait rendez-vous avec Kienan ou quelque chose comme ça, depuis leurs échanges par écrit tout ce qu'elle comprenait dans ce qu'il disait c'était qu'il était un vrai dragueur pire que les lourdingues qu'elle avait eu l'occasion de croiser sur la ligne 1 du métro parisien, plus que ceux qui peuplaient Châtelet.
En sortant du café, où ils avaient rendez-vous elle n'en retint qu'une seule chose ; ne pas le revoir le soir. Déjà que la journée et en pleine matinée la conversation avait été ponctuée de blagues louches, déjà que comprendre ce qu'il disait à la vitesse à laquelle il parlait était une mission mais décortiquer tout l'ensemble était encore pire. Sortie une heure plus tard, ce qui entraîna une longue suite de retards pour son déjeuner avec Florence, son "compte rendu premier weekend avec Constance pour lui raconter ce qu'elle pensait de l'Amérique.
Fleur avait fait des rencontres, des marquantes déjà et d'autres moins importantes, son caractère réservé ne plaisait pas à certains et pourtant d'autres l'adoraient. Les Américains n'étaient pas aussi différents que les Français finalement, soucieuse et songeuse s'aventurant à nouveau vers les jardins mais pour cette fois-ci faire le chemin retour, ses pas se firent accélérés et légèrement anxieuse elle augmenta un peu plus le rythme ; non pas qu'elle angoissait ou quoi, mais pas du tout habituée à fréquenter cet endroit une de ses mauvaises habitudes se mettaient en marche.
Bizarrement plus elle avançait droit devant elle, plus les bâtiments qui lui faisaient face était totalement inconnus. Sa résidence elle l'avait photographié dans sa mémoire et elle ne ressemblait pas du tout à ça, la chose qu'elle redoutait le plus se produisait pile maintenant ; encore la journée heureusement pour elle. Inspirant, et respirant plus que de besoin elle observa les alentours avant de se focaliser sur une silhouette qui prenait la direction qu'elle suivait elle. Reconnaissant qu'il s'agissait d'un homme, elle le rattrapa à coups de grandes enjambées et arriva à sa hauteur presque essoufflée. Lâchant quelques mots dans sa langue maternelle elle oublia qu'ici le français devait être oublié un léger temps.
« Excuse-moi...Est-ce que tu pourrais m'indiquer le chemin vers la résidence Victor Hugo ? » Le The qui dé nominait la résidence avait été négligé et son anglais n'était pas excellent, pas moyen mais compréhensible et impeccable grammaticalement parlant. Une impression de Déjà-vu se dégagea de ce jeune homme quand Fleur prit temps de le regarder, elle l'avait vu et d'après d'autres étudiantes OMICRON c'était lui qui je cite " la regardais bien trop". Un sourire malin se dessina sur son visage et elle continua : « Désolée pour le léger accent, je suis française je suis ici pour le projet... Enfin bref j'arrête de raconter ma vie je dois sûrement t'effrayer. »
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| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Un ange passera ? Mar 16 Fév - 16:19 | |
| "Elle, si réelle, si inaccessible " En France, la richesse, la réussite était surement deux choses qui n’étaient pas bien vu, et on n’arrive pas à le comprendre. Mais Bradley ne connaissait pas grand-chose de se pays, son père avait toujours refusé qu’il y aille, la raison ? Ben c’était simple ils ne voulaient pas avoir de problèmes, ils avaient souvent vu à la télé comment été traité les riches, hors de question d’y passer des vacances, il n’était pas que de simple porte monnaie. Ici en Amérique tout été différent personne n’avait honte de son argent, tout le monde voulait réussir, le rêve Américain comme l’appel les étrangers.
Bradley lui n’avait rien fait pour être riche, il était juste le fils de son père, mais n’avait pas honte de rouler dans de belles voitures, d’être toujours bien habillé et surtout habillé dans des vêtements de grandes valeurs. Rajoutons à ça les bijoux qu’ils portaient et la revente de ses habits pourraient nourrir une famille pendant un an. Une chose qui était bien chez notre beau blond c’est que contrairement à beaucoup de fils de riches lui ne jugeait jamais sur l’apparence, sur le prix des chaussures, la classe de la voiture ou autre. Il n’avait pas de problème à trainer avec des gens moins riches. Et lui ne cherchait pas à épater la gallérie, il achetait ce qui lui plaisait ensuite si quelqu’un le jugeait par rapport à sa tenue ou son argent qu’il aille se faire voir.
Surtout que Bradley ne voulait pas vivre uniquement de l’argent de son père, si il était en droit c’est bien pour une chose devenir un grand avocat, c’était peut être prétentieux et trop ambitieux mais il voulait être l’avocat des Etats Unis, défendre le pays contre toutes les accusations qu’elle subissait. Il faut dire que les USA sont le pays le plus accusés et critiqué au monde, mais normal c’est le plus puissant, le plus riche, et le Gendarme du monde, trop de chose qui font qu’il devient aussi le pays numéro 1 à abattre.
Enfin pourquoi parler de guerre et de tous ce que la terre abrite de mauvais alors qu’on à devant nos yeux un homme qui est totalement sous le charme d’une femme, est ce que le charme est réciproque, alors là aucunes idées mais on en apprendra surement bien plus au fil de la conversation.
Si vous voulez en savoir plus sur Bradley, c’est un ancien gros dragueur, vous savez le genre de mec qui prend les filles pour des mouchoirs en papier puis qui les jettent une fois la nuit passé. Enfin c’est l’ancien Bradley dans la vie on est tous d’accord pour dire qu’un jour on tombe sur une fille (ou sur un garçon), et qu’on tombe amoureux de cette personne. Ce gros problèmes (et oui s’en est un) est arrivé à Bradley il est tombé amoureux de Plum, une jolie brune dans sa classe, ils sont sortit quasiment un an ensemble puis après elle a rompu. Une rupture très fraiche puisqu’ils ne sont plus ensemble depuis un mois aujourd’hui.
Depuis cette rupture Brad à totalement changé, il ne drague plus et serait presque devenu timide, trop peur de s’attacher surement. Il ne devient l’ancien Brad uniquement sous l’emprise de l’alcool. Heureusement pour lui il sort souvent, boit souvent et donc couche souvent sinon je ne pense pas qu’il arriverait à tenir. Mais en journée et surtout après du sport il reste le nouveau Bradley, celui qui rougit très légèrement quand la jeune femme lui adressa la parole. Ses joues venaient de prendre une légère teinte rose, il avait presque honte de rougir mais bon on ne contrôle pas son corps.
Quand la jeune femme l’interpella lui demandant ou se trouvait la résidence Victor Hugo il fut tout de même surpris par ce nom, il ne connaissait pas la résidence mais une fois l’explication de la française il comprit, et se rappela ou se trouvait la résidence, il se leva donc de son banc et s’approcha de la jeune femme.
Bradley dit : « Et bien tu vois le grand bâtiment là ? C’est juste à coté tu ne peux pas le rater le bâtiment ne ressemble à aucuns autres. »
C’était totalement vrai. L’erreur que Bradley avait fait c’été s’approcher un peu trop prêt de la jeune femme, son parfum rentrant alors dans sa narine. Elle s’entait bon, enfin rare sont les femmes qui pus mais il faut le souligner.
Lui qui avait la tchatche ne su quoi rajouter.
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| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Un ange passera ? Lun 22 Fév - 21:56 | |
| La proximité qu'il imposa intimida la jeune française. Fleur n'était pas habituée à ce qu'on se tienne aussi proche d'elle quand on lui parlait même quand il s'agissait d'un élégant garçon qui lui indiquait son chemin. Dans les rues parisiennes les jeunes hommes l'abordaient en lui lançant des clins d'oeils ou des gestes bien trop équivoques enfin dépendait surtout des quartiers où elle se baladait. Constance était son opposé et n'hésitait pas à encourager la conversation, à faire du "rentre dedans" alors que Fleur non elle se glissait plus dans la case des personnes qui soufflaient et laissaient les choses se produire ou non.
L'américain lui expliqua en deux/trois mots et l'accent californien se dégageait bien de lui, ce n'était pas explicable Fleur le remarquait illico ; on était loin des traditionnels cours d'anglais avec une chargée de cours qui déjà anglaise avait un accent incompréhensible mais qui en plus se dépêchait de parler, elle passait aux Américains. Pourquoi avait-elle accepté l'échange déjà ? ... Ah oui parce que son père l'avait fortement invité à y participer.
« En effet il ne ressemble à aucun autres... On voit bien que c'est le bâtiment des français. »
Ne pouvant contenir une grimace, elle se recula légèrement quand elle vit le grand blond naviguer un peu trop au dessus de sa tête, oui il était mignon, oui elle l'avait déjà repéré lors d'une soirée en arrivant ici quelques jours plus tôt. Sans vraiment aller à sa rencontre ou quoi, au début elle avait même penser à un français qui faisait le voyage pour Berkeley aussi. Sauf que le rire gras et les remarques qu'il lança la firent clairement signifier qu'il n'était pas le Maxence, Lucas ou qu'importe son foutu prénom qu'elle connaissait. Elle se souvenait juste avoir souris au jeune homme qui se trouvait face à elle, un sourire ça veut tout dire. C'est pire qu'une invitation, ça indique qu'on est disponible sans tomber dans la perversité mais qu'on est beaucoup plus réceptive à des ondes positives. Non Fleur ne faisait pas partie du mouvement des Peace & Love mais elle avait ses propres théories sur le sujet et que sa mère lui avait transmise des manières de penser, voir le monde qui nous entourait d'une certaine façon.
Donc oui elle lui avait souri, implicitement elle lui avait donné le feu vert pour qu'il tente une approche c'était débile mais c'était prouvé. Fleur éternua et ferma les yeux tout en essayant de se dessiner approximativement le restant du chemin à faire pour atteindre la résidence et ainsi éviter que Florence ne commette un meurtre. Florence pouvait être excessive parfois, ou à la téléphoner toutes les deux minutes avec l'excellentissime ; « t'es où ? » peut être que si sa meilleure amie savait que la chose qui l'avait retenu ou plutôt la personne était le mec sur lequel elle louchait lors de sa première soirée d'immersion en bonne américaine. Même avec une justification pareille elle n'éviterait pas une colère donc autant assumer le retard jusqu'au bout et créer une vraie conversation.
« Sinon moi c'est Fleur. »
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| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Un ange passera ? Mer 24 Fév - 0:54 | |
| "Elle, si réelle, si inaccessible " C’est vrai que la proximité aurait pu choquer, mais ce qu’il ne faut pas oublier c’est qu’il ne savait pas trop ou été cette bâtisse il c’était donc approché de la jeune femme pour se mettre totalement à sa place, aucune approche en gros. Car oui ce n’était pas du tout le style de Bradley d’approcher les jeunes femmes en les collant directement, quand Bradley était en forme il n’avait aucun mal à faire comprendre à une jeune femme qu’elle lui plaisait pour cela il lui suffisait d’un regard, d’un sourire, puis si c’était en boite un petit verre offert et hop l’affaire été dans le sac. Mais je tien à souligner que le genre de fille qu’il emballe comme ça ne sont pas le même style que la jeune femme, elle est différente… Enfin est ce elle qui est différente ou lui qui est encore sous se foutu choc de rupture et qui n’ose pas faire les choses à l’ancienne.
Donc l’approche serait totalement différente, s’il la voulait il fallait qu’il sorte le grand jeu et il allait rapidement le comprendre. La chose qui l’avait choqué entre guillemet bien sur c’est l’accent de la jeune femme, Bradley n’avait jamais parlé à une française, ni à un français bien sur, et n’ayant pris aucuns cours de français il fut surpris de ce léger accent presque chantant. Drew son meilleur ami lui en avait parlé, enfin pas du fait qu’il était chantant, plus qu’il était excitant au lit mais bon ce n’est pas ce qu’on dit à la première rencontre.
Regardant à nouveau le bâtiment, il la regarda avec un air presque surpris, elle allait le prendre pour un fou mais il n’avait jamais vu ce genre de bâtiment, il se risqua donc à poser une question.
Bradley dit : « Mais ils sont tous comme ça vos bâtiments en France ? »
L’avantage c’est qu’il ne faisait pas mine de s’intéresser à elle, il s’intéressait vraiment elle venait d’un endroit qu’il ne connaissait pas, un endroit que on père lui avait toujours interdit, pour X raisons, des raisons toutes plus vaseuses les unes que les autres mais qu’importe un jour il irait avec ou sans l’accord de son père. Il ne voulait pas rater un pays dont on disait tant de bien, que se soit des vins, des châteaux, monuments et surtout des filles… Et oui les filles celles qui font battre le cœur de notre beau blond.
Rien que leur rencontre été différente de toutes les autres du jeune homme, un sourire, un sourire gêné puis même pas un mot pour la première fois qu’ils s’étaient rencontrés, et pourtant tous deux avaient été marqué par le croisement des regards. Mais bon pour Bradley qui était un peu plus terre à terre (pas trop terre à terre attention !), le sourire ne voulait pas forcement dire « Je suis libre mon joli », non pour lui c’était la politesse, quand vous croisez le regard de quelqu’un un petit sourire vous rend tout de suite bien plus agréable, quand se sourire vient d’une belle brune là c’est encore mieux !
Quand la jeune femme se présenta il tendit sa main pour ensuite lui serrer légèrement la main, Bradley prenait un peu plus d’assurance, il redevenait lui-même mais attention elle était différente des filles Américains, surement loin des filles qui aiment boire de l’alcool entourés de mecs qui la touche de partout, et franchement je pense pouvoir affirmer que c’est plus le genre de filles qu’il faut à Bradley. Il doit se poser et surtout trouver une fille qui n’aura pas peur de ressentir quelque chose pour un bel homme.
Bradley dit : « Enchanté Fleur, moi c’est Bradley mais tout le monde m’appel Brad »
Pour lui Fleur était un nom inconnu, aucune Américaine ne portait se si joli prénom, pour elle Bradley devait être aussi un prénom très peu courant.
Niveau conversation c’était très banal et surtout il ne faisait que répondre, il décida donc de dire ce qu’il pensait quitte à passer pour un gros lourd, puis bon qu’importe il avait l’habitude de se planter en ce moment, il c’était planté avec Plum (uniquement) mais pour lui c’été trop.
Bradley dit : « Au risque de passer pour un piètre dragueur, je trouve ton prénom vraiment très joli, on n’a pas l’habitude de voir ce genre de prénom : Fleur »
Il le répéta comme pour s’entendre prononcer se prénom mais sa ne donnait pas pareil, il mit donc sa main sur sa bouche cachant un léger sourire mais aussi une certaine gêne, presque désolé d’avoir écorché son prénom.
Bradley : « Pardon, j’arrive pas trop à le dire ! »
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| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Un ange passera ? Lun 1 Mar - 13:44 | |
| A sa question Fleur eut envie d'éclater de rire, pas spécialement un rire pour se moquer de lui car il partait d'une interrogation toute simple mais parce qu'à l'entendre, la France était une genre de contrée pas vraiment connue. Non, non c'est un pays aussi normal enfin aussi développé que certains, les bâtiments ne sont pas tous comme des vieux bâtiments peuplant le Marais, y avait des pavillons, des HLM tiens des habitats à loyers modérés elle n'en avait pas vraiment vu depuis qu'elle avait posé son pied ici. Quoique même en Suisse, ou à Paris elle n'en avait pas vu tant que ça ; elle posa sa main devant sa bouche pour cacher son sourire et le fixant juste le temps de voir ses lèvres bouger pour terminer sa phrase répondit :
« Non, c'est juste une banale copie des bâtiments qui peuplent Paris mais ils sont pas tous comme ça. » Elle se tourna de profil pour voir les bâtiments s'ériger face à elle, c'est vrai que plus cliché tu meurs. Y manquait plus qu'en dessous de chaque bâtiment que comptait la résidence on y trouverait une boulangerie experte en baguettes, une fromagerie experte en camembert et tous les commerçants avec des bérets. Elle se tourna à nouveau vers lui et intriguée elle osa poser une nouvelle question : « Euh vous voyez comment les français ? Je veux dire que y a sûrement des idées reçues qui circulent à notre sujet non ? »
C'était obligé ; qu'il soit honnête était mieux pour lui. Fleur connaissait la réputation des français sur les autres continents genre piètre danseurs, hyper imbus d'eux mêmes, impolis, chiants, et pas du tout serviables. Il n y avait plus rien de pire à ajouter enfin ça c'est surtout pour les Parisiens après le reste la brunette n'en savait pas grand chose déjà pas vraiment française elle y mettait du sien pour s'adapter ici alors si elle se trouvait à chaque fois devant une personne qui portait des aprioris sur elle enfin pas elle spécialement mais en général, ça n'allait pas vraiment le faire.
Enfin bref ce Bradley car oui entre temps elle avait pu avoir son prénom, encore un nouveau détail surprenant ici les prénoms collaient vraiment avec la fantaisie de la ville ; Wyskie, Bradley, Jessie, bon encore Jessie ça passait. Mais le reste elle avait jamais entendu autant de prénoms qu'à la Sorbonne plutôt habituée aux Léa, Florence, Manon, son prénom aussi pouvait être vu comme atypique peu de personnes appelaient leurs filles Fleur. La jeune femme n'aimait pas du tout son prénom et d'habitude donnait toujours le second c'est à dire Juliett quand elle se présentait, Juliett sonnait déjà plus américain enfin dépendait de l'écriture car Roméo & Juliette bah ça sonnait bien français quoi. Même si Shakespare était anglais enfin on s'en foutait le fait est tel que ça faisait plus anglophone que Fleur, le fait qu'il lui serre la main ne l'étonna qu'à moitié.
Aux premières rencontres elle se montrait bien distante et c'est au fil du temps qu'une relation se construisait ça tâchait parfois le tableau de voir que Fleur n'embrassait pas aux rendez-vous -les rendez-vous galants surtout- et la bise s'imposait d'elle-même à un moment bien précis :
« Enchantée Bradley, tu m'en voudras pas je ferais comme tout le monde et te dirais Brad. »
Comme Brad Pitt, premier réflexe de grosse hystérique... Ah ah elle aimerait bien voir la tête de son trio de choc quand elle annoncerait qu'elle avait rencontré Brad en insistant bien sur le fait qu'il avait un vague air de Pitt. Son regard noisette se fixa sur le sien légèrement bleuté et elle ria en le voyant se battre avec la prononciation de son prénom, inconsciemment elle posa sa main sur son bras et ajouta :
« Tu peux toujours m'appeler Juliett c'est mon second prénom et je pense que ça sera toujours plus facile à prononcer. » Elle lui esquissa un sourire et son grain de beauté sur la joue qu'elle détestait devint un peu plus visible grâce à sa fossette qui se dessina un peu plus, jugeant son acte déplacé elle baissa sa main et bafouilla une phrase presque cohérente : « Désolée, ça fait partie de mes manies de parler avec les mains et de toujours chercher un contact physique. »
Physique était de trop non ? Elle s'insulta intérieurement, il la verrait certainement comme une de ses bimbos qu'elle cherchait tant à éviter justement et se mettrait à la draguer bien trop lourdement comme Kienan. Elle baissa son regard et ses pieds faisaient des mouvements circulaires pas vraiment contrôlés, trahissant de sa gêne permanente. C'est bien Fleur tu fais des progrès tu rougis moins c'est déjà ça de gagné...
Dernière édition par Fleur J. La Tour Dubois le Lun 1 Mar - 14:39, édité 1 fois |
| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Un ange passera ? Lun 1 Mar - 14:27 | |
| "Elle, si réelle, si inaccessible " Qu’elle veuille rire est totalement compréhensible la question du jeune homme était totalement con, mais vous savez quand on a devant soit une personne d’un pays lointain, d’un pays qu’on n’a jamais visité et bien on a toujours quelques aprioris, et on n’ose jamais les exposés directement. Voilà pourquoi Bradley préfère la jouer en douceur en posant des questions détournés. Car oui les bâtiments Français il en à une image très pré faite, il pense que les monuments Français sont tous d’anciens truc de l’époque Romaine. Pour ce qui est des bâtiments il pense que tout le monde vie dans des grandes tours toutes moches. Mais quoi de plus normal c’est la concurrence Amérique/ France une concurrence né depuis la guerre en Irak, c’est dommage mais c’est comme ça…
Il sourit légèrement aux deux phrases de la jeune femme, en regardant une nouvelle fois le bâtiment il se disait qu’heureusement parce qu’il le trouvait particulièrement moche comme bâtiment. Puis ensuite vint la question qui tue, le genre de question qui peut ruiner un début de rencontre. Elle voulait savoir tous les aprioris que les Américains avait sur les Français, quelque chose d’assez long à citer. Bradley réfléchit légèrement (chose rare je sais), les Français savent ce qu’on dit sur eux, si tu lui ment c’est la mort, il faut donc dire la vérité en essayant de passer de la pommade parce que sinon t’es vraiment dans la merde…
Bradley dit : « Je ne peux pas te cacher qu’on a pas mal d’idées reçues sur vous, tout comme vous vous en avez sur nous je pense » Déjà l’introduction était faite il fallait bien sur se justifier il continua ensuite « Déjà vous ne savez pas conduire, vos fromages sentent mauvais, vous picolez pas mal, vous êtes mal poli, avez un accent craquant quand vous parlez Anglais, ne savez pas prendre les bonnes décisions » Sa faisait déjà pas mal mais c’était tout ce qui se disait sur eux et non se que pensait Bradley il enchaina donc « Perso je ne crois pas à tout ça, bon sauf pour les fromages qui puent, après c’est vrai que vous avez un accent vraiment très sexy quand vous parlez Anglais, certains disent que vous êtes imbus de votre personne mais c’est qu’il ne nous connaisse pas… »
Il avait dit tout ce qu’il pensait, c’est sur qu’elle serait surement un peu déçu de voir qu’il y avait pas mal d’apriori sur eux, mais Bradley n’écoutait jamais les ont dit quand il s’agissait de rumeurs ou autre, alors les on dit sur des personnes d’autre pays encore moins.
Bradley dit : « Mais bon la seule chose que j’ai vu de la France c’est le bâtiment horrible dans lequel ils vous font vivre, j’ai jamais eut la chance d’aller dans ton pays ! »
Il pensait encore une fois tout ce qu’il disait, il avait toujours voulut aller en France, les filles y sont belles et c’était pour lui quelque chose de très motivant. Mais son père avait toujours dit non, trop d’argent en France n’est pas bon, voilà la phrase qu’il lui répétait souvent. Vrai ou faux ? Encore une fois Bradley ne savait vraiment pas, mais en voyant Fleur et son attitude il avait du mal à croire tout ce que son père avait dit, et surtout tout ce que l’on disait sur les Américains, son jugement été surement floué mais bon… Car oui plus Brad parlait à la jeune femme plus il était sous le charme, ses mimiques, son sourire sa voix tout était là pour le faire succomber.
Bradley dit : « Aucuns problèmes Flur »
Il se mit à sourire légèrement, encore une fois il venait d’écorcher le nom de la jeune femme, cette fois ci il ne pu se retenir et se mit à rougir. Voyant qu’il avait beaucoup de mal à dire se si joli prénom la jeune femme lui avoua qu’elle avait un second prénom, Juliette, encore une fois son prénom était très jolie. Elle avait donc tout pour elle, un beau physique, deux beaux prénoms. Encore une fois les gens ne naissent pas égaux, le physique de nos jours est important et naitre beau ouvre toutes les portes.
Bradley dit : « Je vais réussir à t’appeler Fler, me faut juste de l’entrainement, et ton accord, car je vais surement l’écorcher mille fois ! »
Il sourit à nouveau puis sentit un frisson lui traverser le corps quand sa douce main vint toucher son bras un geste anodin, un geste qui venant d’une autre fille ne lui aurait jamais fait cette effet mais elle avait ce petit quelque chose en plus, le petit quelque chose qui faisait qu’il n’arrivait pas à être lui-même. Il n’arrivait pas à être le beau jeune homme sur de lui et pas mal dragueur qu’il été d’habitude, mais c’été comme ça.
Bradley dit : « C’est pas grave »
Lui lança-t-il accompagné d’un geste de bras, lui touchant à son tour le bras en riant et en lui tirant très légèrement la langue. Il voyait qu’elle n’était pas tellement à l’aise, ses pieds trahissait son malaise, Bradley bien que lui aussi intimidé prenait sur lui. Il était le régional, il était Américain et se devait donc de tout faire pour que cette belle Frenchie se sente comme chez elle…
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| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Un ange passera ? Ven 5 Mar - 18:54 | |
| « De toutes façons je ne suis pas vraiment française mais suisse, donc ça me concerne pas hein ? »
Mauvaise fois quand tu nous tiens, à l'origine Fleur ne se plaignait que très rarement. Mais une fois qu'une première constatation péjorative avait quitté de ses lèvres une dizaine suivaient de très près, on met ce comportement sur le fait qu'elle soit une fille et que parfois les filles ça s'énervait et tout ça et puis surtout les Parisiennes, ou les Suissesses ou bien les Européennes en général. Elle lui tira la langue, pas vraiment comme un signe de provocation ; genre je passe ma langue sur mes lèvres et te regarde bien trop franchement non une simple grimace. Des grimaces elle en faisait la collection ; limite pour chaque situations de la vie quotidienne y avait une grimace associée. Une photo à prendre ? Sourcils froncés, et tirage de langue. Constance qui lui prenait la tête ? Plissage des yeux pour imiter un héros d'un film qui intimidait tous ses ennemis juste par le regard, bien sûr y en avait d'autres des plus belles, élégantes ou charmantes. Sauf que celles-ci pour les avoir et bien fallait les mériter, ouais comme une chose précieuse de toutes façons Fleur est une chose précieuse. Et il ne s'agit pas d'une trop haute estime de choix ou quoi que ce soit d'autre mais juste une auto-évaluation et encore pas vraiment sur-notée enfin bref.
Le seul truc positif fut l'allusion de la teneur sexy de leur accent, bon encore on pouvait discuter sur la fiabilité de la chose. On l'avait prévenu qu'on pouvait la draguer de toutes les manières et peut être que compliment pouvait être un genre de flirt détourné : elle paranoïaque ? Pas du tout 
Fronçant légèrement les sourcils attendant qu'il se rattrape ou qu'il se rende compte de ce qu'il venait dire, si la brune réagissait ainsi c'est qu'elle appréhendait la suite de la conversation ; elle ne se voyait pas du tout parler et conceptualiser le sexy devant lui et surtout s'il se mettrait à s'extasier quand elle parlait. Absolument flippant mais mignon, ouais mignon parce qu'elle avait remarqué ses joues qui rosirent à plusieurs reprises ; on se serait dit au temps de ses premiers flirts. Enfin elle n'en avait pas eu des tonnes non plus, ses ex-prétendants se comptaient sur les doigts d'une main et encore on pouvait réduire à la moitié des doigts d'une main.
Fleur pouvait être belle, ravissante sentimentalement parlant elle n'avait vécu qu'une seule histoire d'amour, une histoire au goût d'inachevé mais au vu des problèmes qu'elle impliquait il valait mieux qu'elle se termine. En l'espace d'une seconde son regard se fit comme téléporté en France, et elle s'étonna de s'imaginer avec qui Ben' pouvait être. On évite les flash back et pourtant son âme se fit bien plus lourde quelques minutes.
Durant ce laspsus ayant écouté que les bribes de mots prononcés par le jeune Bradley, elle ne répondit pas du tout à sa plaisanterie portant sur l'architecture de leur résidence, et heureusement car niveau humour elle n'avait vraiment rien à envier. Fleur c'est le genre de fille qui réagit aux blagues après que tout le monde ait compris, éclaté de rire et passé à autre chose un peu comme lorsqu'elle se blessait et qu'elle criait Aie dix minutes après. Par contre le fait qu'il écorche son prénom à plusieurs reprises l'amusa mais l'agaça en même temps, sa mère se retournait sûrement dans sa tombe en entendant comment il massacrait le prénom qu'elle adorait tant.
« J'insiste appelle moi Juliett. »
Pas vraiment froide, ni cassante mais d'une voix neutre. Son regard se balada un peu partout autour d'elle et ses jambes qui tremblaient s'arrêtèrent. Fleur dans le genre lunatique y avait pas mieux, ni pire ; juste un juste milieu. Bon après on avait chacun sa propre vision du juste milieu chez Fleur elle dépassait un poil au dessus la moyenne.
« Tu me raccompagnes ? »
Tentative pour éviter de se mettre à rougir tomate pétante vu qu'il venait d'effleurer et de toucher son bras. Se sentant bizarrement un peu trop étroite dans son jean elle lui indiqua la résidence pour lui faire signifier qu'elle parlait de cela et pas d'autre chose. |
| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Un ange passera ? Ven 5 Mar - 22:42 | |
| "Elle, si réelle, si inaccessible " Bradley fit un énorme sourire puis ne pu s’empêcher de rire quand il entendit la phrase de la jeune femme. C’était un mélange de mauvaise fois, de je veux avoir le mauvais mot, tout ce qui était en gros typiquement féminin, mais c’était vraiment très mignon. Les femmes étaient toutes les mêmes dans le fond, elles avaient un point commun cette mauvaise foi qui pourtant faisait tout leur charme. Fleur en était le parfait exemple, Bradley venait de lui faire un compliment, pas spécialement voilé, elle ne trouvant qu’une chose à dire, le réfuté.
Bradley dit : « A sa change tout, ton accent est de suite bien mon sexy … »
Dit il encore une fois sur la base de l’humour, c’est vrai que l’accent Suisse à l’instar de l’accent Canadien n’était pas très sexy, bien au contraire c’était des tue l’amour. Bradley avait déjà rencontré une Canadienne, et dès qu’elle avait ouvert la bouche il n’avait pu retenir un fou rire. Avec Fleur il n’y avait pas eut se problème, c’est vrai qu’elle avait un léger accent chantant qui lui donnait un charme, pas un charme fou il ne faut pas abuser non plus mais un petit truc en plus par rapport aux Américaines.
Et les Américaines Dieu sait que Bradley en à gouté, contrairement à Fleur il est du genre Don Juan, enfin non parce que Don Juan avait la bonté de rester plus d’une nuit avec les femmes. Bradley lui n’avait jamais prit cette peine. Niveau amour, il n’était tombé qu’une seule fois amoureux, c’été une relation très récente, une relation qui lui avait fait beaucoup de mal et pire que ça c’était une relation qui lui avait fait perdre beaucoup de confiance en soi. Voilà pourquoi il se comportait un peu timidement avec la jeune femme. Que préférait-elle ? L’homme qu’elle avait devant les yeux ou l’homme qu’elle aurait pu avoir s’il n’avait pas eut cette déception ? Je pense une chose, c’est qu’elle aurait préféré le juste milieux, mais bon…
Bradley dit : « Enfin pour une Suisse tu as un fort accent français, le même accent que celui qu’on entend dans les cassettes de cours de Français.»
Et oui les jeunes gens de Berkeley avaient tous eut des cours de français histoire, bon avouons une chose, le fait que Bradley n’était pas le plus attentif en cours, et la seule chose qu’il savait dire c’été « Voulez vous coucher avec moi ce soir », en se déhanchant bien sur, oui le même déhanché que les filles du clip. Sa faisait toujours rire tout le monde mais maintenant il ne serait même pas capable de dire je t’aime à une petite Française. Enfin si il venait à sortir avec Fleur (Nous n’en sommes pas là du tout), si ils venaient tout deux à s’entendre et avoir des sentiments, soyez sur qu’il prendrait un minimum de cours de Français histoire de lui dire quelques mots doux. Ce n’est pas être mignon ça ?
Quand elle insista pour qu’il l’appel Juliette et non Fleur, il avait compris qu’il l’avait pas saoulé mais presque, il baissa donc les yeux puis les releva avec un léger sourire.
Bradley dit : « Oui sa sera plus commode, puis Juliett c’est aussi très jolie. »
Il le pensait, mais c’est vrai qu’elle allait croire qu’il al draguait, mais qu’importe c’était bien ça, il était entrain de lui faire un peu de drague, essayer de la flatter mais que voulez vous dire ? Elle ne va tout de même pas lui en vouloir pour si peu, lui qui est si doux en ce moment. Loin de l’attitude qu’il a d’habitude avec les jeunes femmes. Mais comme son pote Drew lui a dit, avec les Françaises il faut être très romantique, elles sont bien moins cochonnes que les Américaines et c’est ça qui est drole.
Non pas qu’il voulait Fleur comme un nouveau trophée mais plus comme une prochaine fille pour qui il pourrait avoir quelques sentiments.
Bradley dit : « Bien volontiers . »
Lui dit il sans rajouter un petit, si tu me fais visiter le bâtiment. Bâtiment qu’il n’avait jamais vu de l’intérieur, attention il n’y avait aucunes mauvaises idée, ni de elle est ou ta chambre.
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| | Sujet: Re: Un ange passera ? | |
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