Malicia se promenait au bors de l'eau. Elle avait besoin de réfléchir. Ces dernières semaines avaient été riche en émotion. La jeune fille ne savait plus trop ou elle en était sur plusieurs point de vus de sa vie qui il ni a pas si longtemps avait l'air si claire. Des semaine qui l'avait fait réfléchir, mais qui l'avait fait aussi douter. La petite se sentait bizzar comme si une tonne de sentiment contradictoire l'envahisait de minute en minute. La nuit était douce, la jeune fille portait une robe blanche vaporeuse et ses long cheveux blond virevoltait au vent. Elle marchait depuis des heures sur le sable fin. Ses pensés s'envolait avec le vent. La jeune fille avait mal. La lune clair semblait bercer doucement son coeur briser. La rencontre qu'elle avait eu avec Sébastien il y a de cela 3 semaines l'avait profondément marqué. Elle ne savait plus du tout ou elle en était. Si comme elle le pensait elle n'avait plus de sentiment pour lui pourquoi prenait-il toute la place dans son esprit.

Les heures passaient la nuit semblait veiller la jeune fille en peine. Les larmes coulait sur ses joues. Elle avait mal, mais elle ne pouvait pas mettre le doigt sur ce mal qui la rongeait. Était-ce vraiment à cause de Sébastien ? Elle ne pouvait pas y croire. Non elle était une femme forte.

Elle continuait à marcher contre le vent. Sous le clair de lune elle ressemblait d'un ange. Un ange oui, mais certainement déchu. Elle regardait la mer qui semblait si froide et si limpide. Elle avait envis de si perdre pour ne plus jamais revenir à cette vie cruelle. Personne au alentours la jeune fille enleva sa robe et se jetta à l'eau. Son corps presque nus contre l'eau froide lui faisait le plus grand bien. Malicia plongea sous l'eau et y resta plusieurs secondes. Elle revint à la surface qu'après de longues minutes.

Soudainement, elle entendis une branche craqué au loin. Pourtant dans cette partie de la plage il n'y avait personne. Du moin la plupart du temps. La jeune fille un peu appeuré sortit de l'eau et remit sa petite robe.

Malicia regarda longuement autours d'elle, mais elle ne vit personne. Sa robe collait contre son coeur et ses cheveux dégoulinait sur son visage se mêlant à ses larmes. La petite alla s'asseoir sur une bute de sable non loin de là pour pouvoir regarder les étoiles.
Seul avec elle-même elle pourait se perdre dans ses pensées.

Quelques minutes plus tard, elle entendit des pas s'avancer vers elle. Elle tourna la tête en direction du bruit et vit une frêle silouhette s'avancer vers elle. Mais qui pouvait bien être ici a pareille heure ?

Sébastien n’arrivait toujours pas à dormir, la nuit était paisible et tout était calme! Le ciel brillait de mille feux. La brise était parsemée des cris des fêtes données un peu plus loin et d’odeur de toute sorte. De grillade sur les BBQ et guillaume etc… Cette soirée là, il était comme toujours dans son assiette. Tout allait pour le mieux. Les jours passaient de plus en plus rapidement. Il s’amusait, allait de bon train et survivait. Il allait en cours, voyait ces quelques amis… Les humains étaient tous des idiots… Il les détestait! Sauf ceux de sa confrérie et quelques autres personnes et autres. Rare était ceux qui réussissait à surpasser ses attentes. Il était très satisfait de tout ce qu’il avait déjà eu. La vie était belle! Un jour à la fois, rester à l’affut des signes, en apprendre d’avantage! Admirer les choses, les petites merveilles de la nature. Souvent on essayait de placer des mots sur les choses de les comprendre, mais au fond avions-nous les bons mots, pour les choisir pour les bonnes raisons? Il en doutait fièrement! Il aimait chercher aux les mystères en quoi cela menait! Voir autre chose que ce monde concret et rationnel! Ce rattaché à autre chose que la société et tout ce qui pouvait venir avec. Il ne voulait pas finir comme eux, et surtout pas en se laissant toute les chances d’être aussi faible que eux tous! Il était un grand gamin comme tous, qui jouait de la musique, vivait dans son monde, se démenait pour réussir, qui allait à ses cours, au boulot, consultait ses mails et voyait ses chum… Allait à des fêtes et s’entraînait, essayant de ses garder une vie intime et humaine! Mais parfois, même si il prenait le temps de faire les choses avec qualité et plaisir, il avait l’impression de se perdre, que la vie lui échappait entre les doigts. Le temps passait si vite en bonne compagnie… Et encore là! C’était de trop de pouvoir en profiter!

À ce moment précis, Sébas portait un bermuda noir en toile ainsi que un vieux t-shirt de punk métal! Avec ses fidèles convers noirs délasser. Ainsi nouer de sa lisière de guitare à son épaule. Il venait souvent s’accroupir au bord de l’eau en jouant de son instrument. Parfois il s’agissait de son harmonica mais cette fois, il en était de son cœur et sa douceur. Au loin il vit une silhouette dessiné, tailler et féminine. Qui marchait, qui semblait blasé et triste… Peine perdue et solitaire. Puis qui se jeta à l’eau, nue et imprudente. Malheureusement pour le jeune, qui voulue se faire discret, pila sur une branche morte. Il continua en vain sans pour autant dire un mot. Il s’assit sur un rocher, enfila le capuchon de son pull et se mit à jouer un air, qu’elle connaissait bien. … Il l’avait reconnue, lorsqu’elle avait remontée à la surface. Ses longs cheveux soyeux blonds en cascade, trempé et ses lèvres pulpeuse et bleutée par la froideur de l’eau. Son respire et le son de son souffle. Elle sortit ainsi, presser et incertaine…Voir apeurée par l’éclat que prenait ses yeux et ses pommettes. La vitesse de ses mouvements et surtout sa démarche folle et surprise. Sous le choc! Sur ce, il se tourna en fermant les yeux et en lui faisant signe du revers de sa paume, qu’il n’avait rien vue et qu’il la respectait. En faisant attention qu’il ne la reconnaisse pas.

Finalement il se leva en sa direction, attendant quelques minutes que les choses de calme. Tout en s’approchant et en retirant son pull il lui tendit puis s’assit à ses côtés sous un air de refrain… Celui de leur jeunesse folle. Des stupéfiantes soirées entre ami, entre mec, dont prenait part les plus jeunes de la famille, Malicia et vice versa, avec ses copines et autre. Avec tous les autres, comme au bon vieux temps. Subséquent qu’il rajouta quelques paroles dans des murmures silencieux.

Malicia ne voulait pas le voir....Non pas lui pas maintenant pas quand elle avait absolument besoin d'être seule. La dernière chose au monde qu'elle voulait était d'être avec lui présentement. La petite se leva brusquement et sans un mots donna un coup de pieds dans le sable en direction de sa figure. Le pauvre jeune homme reçut une mer de sable dans le visage. La petite attrape au passage la bouteille de vodka et le joint qu'elle avait laissé à côté d'elle et elle s'en alla tout bonnement. Elle espérait qu'il comprenne le besoin de solitude qu'elle éprouvait. Elle savait bien qu'elle lui faisait du mal, mais elle ne pouvait faire le contraire....

Vas te faire foutre ailleurs


La jeune fille avançait rapidement sur la plage. Elle laissa tomber la bouteille qui la gênait et s'en alla encore plus loin laissant derrière elle une odeur illégal. Les pensés virevoltait dans sa tête. Le seule moment qu'elle voulait vraiment et franchement être seule il était là. Elle leva les yeux vers la lune en la priant de l'aider. De lui donner la force de lui faire du mal pour qu'il parte pour de bon... La jeune fille n'était même pas capable de pleurer tant la rage lui bouillait dans les veines...Malicia n'était pas d'un tempérament fougueux et la plupart du temps elle restait d'un calme troublant, mais quand elle explosait ce n'était pas du tout jolie à voir.


Elle tremblait littéralement de rage en ce moment. On aurait dit la caricature de la pauvre fille amoché un joint à la main et qui semble totalement perdue, mais ce n'était as le cas. Malicia était forte...Elle avait toujours été forte...La famille parfaite...elle se sentait étouffé. Quand tout le monde te tourne le dos parce que tu es différente il faut être forte. Pourtant lui été resté, mais elle lui en voulait tout de même sans trop savoir pourquoi. Toute sa vie elle c'était sentie étouffée. Elle devait devenir une bonne petite fille modèle comme ses sœurs et faire honneur à la famille. Mais non Malicia n'était pas comme cela. Elle était drogué, elle avait quitté la maison pour pouvoir faire la fête à sa guise, elle ne parlait plus à sa famille et son comportement de dévergondé leur faisaient tous honte. Oui, elle avait déçu tout le monde...Elle était la pire des égoïstes, mais elle ne pouvait pas changer. Elle était fait pour être libre, voler et ne jamais se poser bien longtemps.. Ils la détesteraient tous toute leur vie et elle, elle referait la sienne sans eux. Alors pourquoi s'échappait-elle de son ancienne amour...Pourquoi fuyait-elle. La jeune fille ne le savait pas. Elle avait peur tout simplement.


Elle continuait à marcher rapidement dans le sable...Elle ne voulait plus rien entendre même pas les pas qui se rapprochaient d'elle.

Pourquoi ne voulait-elle pas le voir?! Leur dernière discutions remontait à des lustre… Au moins trois semaines et depuis elle l’évitait! Elle pouvait même aller jusqu’à se rallonger pour ne pas le croiser sur son chemin au campus! Elle semblait avoir mémorisé chacun de ses cours et aller venus à quelque part afin de ne pas le croiser. Peut-être n’était-ce pas le bon moment pour la déranger! Mais le pauvre n’y pouvait rien! La plage était un lieu public! Afin dans la mesure où le nudisme n’était pas tolérée encore! La pauvre petite! Sa vie tournait de mauvais poil… Il la vit, se lever avec perdition et détermination, dans sa fougue habituelle et décidée. Silencieux et têtue, avec une ardeur et une violence, lui crachant une marée de sable sur lui! Ce qui fit tressaillir le jeune homme, d’un bond il se leva afin d’écarter le sable sur sa figure et outre. Puis il voulue la rattraper par le bras, mais sans succès.

Sébastien la vit fuir, marchant presqu’en courant dans la vallée ou le désert. Rapide et furieuse, sans bruit mais morte de trouille et de froid… Les mots de cœur ne devaient certes venir de la marée, mais plutôt du fait d’avoir mal, d’être frêle et fragile… Comme une fleur fanée et meurtrit pas sa soif de savoir et de découvrir toujours plus! Afin de grandir et s’embellir, pour enfin mourir d’éclosion et d’idée de grandeur! Dû moins en ce moment, elle perdait tous ses moyens! Elle bondissait sur ses proies et se noyait ou manquait son saut en hauteur pour retomber sur ses pattes! Pour le moment, Sébastien se tourna vers la mer et tira quelque galet en direction de l’eau. Dont le rivage reflétait la lumière paisible de la lune. Le souffle du vent, doux et chaleureux dans les oreilles des habitants. Au loin, on entendait les pas de la puce qui continuait toujours plus, toujours avec autant de haine et de ressentiment.

Celui-ci resta calme, déposa sa guitare sur le sol, adosser à un rocher, enleva son t-shirt, puis continua à lancer des roches… Mais cette fois, en direction de Malicia, afin de lui faire signe de s’amener comme au bon vieux temps. Les petites pierres se tassaient en arrière de son chemin, à chacun déployé par C-Bass! Il la regardait, avec son visage attendrit, celui de la simplicité et de la volonté. Les yeux béats et les lèvres tremblantes… L’air angélique tout en attendant avec impatience! Il repensait à la vaste soirée où Seb s’en sortait en douce et dont la frangine l’aidait à le faire. Puis sans savoir, elle le suppliait même s'ils se chamaillaient tout le temps, pour embarquer avec lui, pour la nuit, laissant une note à ses parents comme quoi, elle allait chez son amie. En fait, elle restait cloîtrer avec lui, à faire des randonnées nuptiale avec lui, dans ce vieux tas de ferraille! Elle qui était toutes jeune, à cette époque! Avec leurs quatre années de différence! À son adolescence, sa période rebelle, est venait tout juste de rentrer au lycée! Pour ce qui était de l’accompagnée, elle lui gratifiait seulement avoir besoins de savoir où il était, car il était le seul à se soucier ou presque de le savoir pour elle. Au moins pour les bonnes raisons. Celle dont elle appréciait! Afin qu’il guette un œil sur elle, la protège et lui montre autre chose que sont coin de pays!

Il aimerait la revoir ainsi, avec les mêmes yeux dont tout autant elle avait put le faire auparavant!

La jeune fille ne savait plus quoi faire ni où se mettre. Quand il lui lança des roches, elle se retourna avec rage. Quand elle revit le visage tant aimer de son ancienne amant de cette folle jeunesse elle ne pût qu'avancer vers lui. Chaque pas en sa direction lui faisait un pincement au cœur. Elle ne voulait pas courir pour ne pas qu'il sache qu'elle avait besoin de lui. La sable fin était doux sur sa peau fraîche. Elle se mit à grelotter soudainement, mais pourtant elle n'avait pas froid. Elle arrivait bientôt vers lui, Il était si proche, mais Malicia n'osait pas le regarder dans les yeux. Il ne restait plus que quelques mètres avant qu'elle ne puisse le toucher. Puis, elle bloqua. Elle se stoppa nette incapable d'avancer vers lui. Les secondes passaient et elle combattait mentalement avec elle même pour faire bouger ses pieds.

[...]

Elle resta dans cette position quelques secondes puis elle leva la tête pour le regarder dans les yeux. Quand son regard croisa la sien elle trouva la force d'avancer. Il était maintenant tout près. Une rage montait de plus en plus en elle. Malicia lui faisait ses petit yeux de colère le regardant avec défis. Elle n'en pouvait plus. Elle s'avança vers lui et se mit à lui donner des coups de poing sur son torse nus. Les larmes coulaient sur ses joues. Des millions de souvenirs l'envahi. Elle le regardait ne sachant plus quoi faire ni qui elle était. Lançant son joint plus loin pour mieux le frapper elle continuait de plus belle, mais la force lui manquait. Le bref contact de sa peau contra la sienne la faisait frisonner. Elle en voulait pas s'avouer qu'il lui avait manquer. Horriblement manqué. Elle n'était plus une enfant, mais c'était tout comme. Toute ses peurs et ses appréhension d'adolescente étaient rester. Elle n'en était que plus fragile sous ses allures froides et distantes se cachait un cœur qui se mourait.

Le visage baigné de larme elle le regarda et ne pus s'empêcher de rire. Elle fit un petit sourire puis ne parla pas ni ne bougea le coups ayant arrêter, mais ses mains restant toujours sur son corps.


Tu m'as tellement manquer.

Il était la seul personne en qui elle avait confiance. Son seul vrai lien qui la sortait de sa solitude. Malicia ne parlait pas à beaucoup de gens, sa famille ne lui parlait plus et elle se sentait souvent seule. Même si c'était dure à avouer il était son seul vraie ami ...Le seul qui la connaissait par cœur.

Malicia s'en voulait de s'être montrer faible. Pas devant lui. Elle n'était et ne serait jamais une petite chose fragile elle ne le suporterait pas. La jeune fille au contact de son corps reçut une foule de souvenirs un peu douleureux, mais qui semblait si loin et si beau. Ils c'étaient blessé fait du mal, mais ils s'aimaient. Étrangement Malicia ne lui pardonnait pas comme à beaucoup. Elle attendait tellement de lui même si elle s'avait que c,était injuste. Un besoin de distance et de proximité. Elle ne pouvait faire confiance à personne d'autre, mais elle devait se méfier. Mais pourquoi ? Pourquoi agissait-elle comme si il était son ennemie. Elle avait peur tout simplement. Comme dans le petit prince elle avait besoin de se faire apprivoisé. La vie l'avait rendue farouche à son égard..


Il avait plaqué sa tête sur son torse.Sa main passant sur ses cheveux rendant le geste presque insuportable. Les yeux mouillé elle se laissait faire n'ayant plus la force de sa battre. Si il savait selement comment elle souffrait il l'aurait laisser partir. Elle leva la tête vers lui. Le regardant droit dans les yeux. Des yeux franc directe qui ne laissait rien cacher de se qu'elle ressentait. Elle ne parlait pas les mots restaient coinçée dans sa gorges. Se silence voulait tout et rien dire à la fois.


Que pouvait-il faire pour elle. Peut-être que elle lui avait manqué, mais il ne pouvait pas comprendre. Elle avait besoin d'être en sa présence, mais elle en était incapable. Elle savait qu'elle le blessait. Mais sans le savoir il lui avait fait tant de mal. Si seulement il savait il partirait

Tu peux rien faire sébass...C'est moi je suis laisse... Je ...non tu ma manqué, mais dis moi à pars se faire du mal l'un à l'autre à quoi sa sert. On est mieu de notre côté.

Elle ne pouvait pas detourner son regard du sien. Elle voyait bien qu'elle lui faisait dû mal et elle en avait le coeur brisée. Si seulement elle s'écouterait elle l'aurait déjà plaqué contre le sable. Un simple et doux baiser.Mais elle restait la figée. Elle finit par prende son visage et lui donner un léger baiser sur les lèvres.

C'est trop dure...

Sébastien se sentait de plus en plus coupable. De prendre si confiance en la situation, de rester lui-même et la tête froide! Dû moins dans la démesure de ne pas avoir l’ai dévasté qu’elle! En prime qu’il devait se comporter comme un grand frère et un ami. Mais au lieu il s’entichait de la frangine avec ses pulsions et envie sanguinaire. D’une part, il lui rendait la tâche facile. Mais de l’autre c’était encore plus exaspérant! Elle pouvait le fuir et laisser tomber ou bien rester et essayer de se battre…! Mais dans les deux cas, elle semblait avoir le cœur brisé! Elle était tout pour lui, il ne faisait que penser à elle, rêver à elle et se rappeler d’elle. Mais il n’était pas l’heure qu’ils terminent leur vie ensemble! Ils passeraient leurs vies ensemble mais plus tard! Il savait qu’ils étaient fait pour l’autre, s’entraider et se soutenir! Se pousser dans le cul et se laisser tomber pour se rattraper mutuellement! Mais ils devaient vivre d’autre chose ailleurs! Plus loin et toujours un peu plus bas, pour voir plus loin et viser plus haut!



Il se recula, la prit sur son dos, de sorte qu’elle pose sa tête sur son épaule et il marcha en direction de sa tente qu’il avait installé là-bas! Sur le chemin du retour, il empoigna délicatement sa guitare tout en délicatesse… Il chantonnait de sorte à l’apaiser sur un ancien air des cowboys fringants! Ensuite, il la déposa sur le sol, les deux pieds sur le sol et lui déposa un baiser dans le cou. Pour finalement lui indiquer le chemin du sommeil dans la tente!



La vie est facile, mais les humains font toujours le contraire de se que l’on leurs dit! … Il ouvrit la porte de la tente sur ce, se s’éloigna et s’allongea sur le sol de l’extérieur afin de la respecter et lui prouver qu’il ne pensait pas à ça! Elle pourrait dormir seul et il serait là pour la protéger!



Les gens heureux savent se débrouiller, mais les malheureux sont les plus forts! Sur ce bonne nuit et demain est un autre jour! Je t’aime et t’oublierai jamais! Dit-il-le regard suppliant et le sourire timide! Lui accordant un baiser sur la paume de sa main…Agenoux devant elle!

Elle ne savait plus du tout où elle en était. Une vague de sensation contradictoire et de déception la torturait. Il marchait lentement. La jeune fille était sur le dos du jeune homme et elle se sentait bien. Elle ne savait pas bien où ils se rendaient et voulait-elle vraiment le savoir. Tout ce qu'elle savait c'est qu'elle aurait voulus ne jamais arrêter leur marche. Elle aurait voulus passer le reste de sa vie sur son dos à traverser le monde entier car pour une fois elle se sentait bien. Elle avait confiance en lui. Une confiance qui lui faisait peur et la rassurait même temps. Malicia ne savait plus du tout où elle en était quand elle était dans ces bras c'était comme si toutes ses convictions et tout ce qu'elle se jurait de ne pas faire ne valait plus rien. Elle ne savait plus qui elle était et qui il était.


Sur ces reflexion le jeune homme là posa sur le sol. Et oui son beau prince l'avait bel et bien emmener vers la tente. Sebastiens était même prêt à passer la nuit comme un gros chien de garde et finis en coup de grâce avec un baiser sur la main. Il lui avait dit de bien bel chose et fait de bien beau geste, mais la petite avait dû mal à lui faire confiance. Pourtant une petite vois intérieur lui suppliait de baisser sa garde.


C'est bien ton genre Collins de faire le gros toutou de garde devant la tente, mais je n'ai pas besoin de chien de garde.

S'avançant vers lui elle lui prit la main et la mit sur sa poitrine. Elle le regarda droit dans les yeux et lui donna un léger baiser. Passant sa petit main dans ces beau cheveux elle lui fit un petit sourire.

Pensais-tu vraiment passer la nuit sans moi.

Elle ne bougeait plus attendant la réponse de celui-ci