| | | La famille, une chance pour certains et une malédiction pour d'autres [PV le frangin] |  |
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![La famille, une chance pour certains et une malédiction pour d'autres [PV le frangin] Empty](https://2img.net/i/fa/empty.gif) | | Sujet: La famille, une chance pour certains et une malédiction pour d'autres [PV le frangin] Dim 17 Jan - 11:38 | |
| ![La famille, une chance pour certains et une malédiction pour d'autres [PV le frangin] 5x09_41-17a6381](https://2img.net/h/img25.xooimage.com/files/5/8/9/5x09_41-17a6381.jpg) ![La famille, une chance pour certains et une malédiction pour d'autres [PV le frangin] 5x09_10-17a63b5](https://2img.net/h/img27.xooimage.com/files/a/e/9/5x09_10-17a63b5.jpg) (c) racheldinozzo « Un homme averti en vaut deux. Alors, en cas d'accident, n'avertissez personne car ça doublerait le nombre de victimes. »Ce matin, je m’étais levé relativement tôt ce qui est loin d’être dans mes habitudes. A vrai dire, j’ai tendance à me coucher très tard ce qui, forcément, rend les réveils plus que difficiles. Cependant, comme j’avais un rendez-vous assez important avec une nouvelle marque de parfum et que cette marque m’avait proposé un contrat, j’étais obligé de me rendre sur place. Malgré mes réticences envers cette nouvelle marque pas encore connue, Moira m’avait forcé à m’y rendre afin de prendre connaissance de leurs avantages et surtout de ce qu’ils me proposaient très précisément. Je me rendais compte à quel point mon année entière à New York et ma popularité qui s’était fortement accrue grâce à mes deux films qui avaient connu cet immense succès au box-office mondial, m’apportait de nombreux contrats. Je venais, entre autre, de signer avec la marque Hemerson pour être la nouvelle égérie masculine. Même si le contrat m’avait fortement interpellé, je l’avais surtout signé parce que j’allais devoir travailler avec Heavynne Leiyn Hildebrandm la fille de la patronne de cette grande entreprise de mode. D’ailleurs, c’était elle qui était venue me rendre visite pour que je signe le contrat. Cette fille qui, d’apparence est loin d’être mon genre m’avait interpellé. Pourquoi ? Parce qu’elle ressemble tellement à Soukaïna. Oui, cette fille qui a sans aucun doute été l’amour de ma vie mais qui est partit pour le continent européen accompagné de son putain de mari ainsi que de ces deux gosses. Et moi, comme un imbécile, je n’avais pas cherché à la retenir. Je l’avais laissé s’en aller et puis, j’avais finit par me rendre compte de ma grave erreur voilà pourquoi j’avais quitté Berkeley durant une année entière. J’étais d’abord partit à Paris dans le but de la retrouver mais bizarrement, malgré mes sources, je ne l’avais pas revu. A croire qu’elle avait complètement disparue de la circulation. J’avais finit par perdre patience et j’étais partit pour New York afin de réaliser mon rêve le plus lointain, devenir un acteur renommé. Ca avait été le cas, si bien qu’aujourd’hui, je suis connu presque partout. Et puis, après une année là-bas, j’avais décidé de revenir à Berkeley. A vrai dire, je n’avais pas vraiment eu le choix. N’ayant plus de proposition pour tourner dans un nouveau film, je me voyais très mal rester à New York à me tourner les pouces. Même si Berkeley m’avait manqué, une seule chose me rendait irritant à l’idée d’y retourner. Mon frère jumeau évidement. Je savais que j’allais devoir à nouveau supporter de le voir tous les jours et rien que cette idée là me rendait fou. Enfin, tant qu’il ne me parlait tout, tout allait bien. Ou du moins, on va dire que ça allait mieux…
J’avais finit par prendre ma voiture. Même si mon chauffeur m’attendait, je préférais prendre ma voiture et la conduire. Pour une fois, je désirais arriver là-bas comme un homme simple. Ce dernier fut très surpris mais je n’y fis pas plus attention que ça. Je savais déjà ce qu’il allait faire de toute façon. Il allait sans doute retourner à l’intérieur de ma maison en compagnie de Moira et coucher avec elle. Même si elle m’affirmait qu’entre elle et le chauffeur il n’y avait strictement rien, je n’étais pas dupe. J’avais remarqué à quel point ils s’étaient rapprochés l’un de l’autre. Comme quoi, Moira, brillante femme d’affaire qui me servait à tout pouvait très bien tombée amoureuse d’un simple chauffeur. Même si c’est peu courant de nos jours, je dois dire que cela me rend très heureux pour eux. Enfin, je savais pourtant qu’ils allaient coucher chez moi et cette idée là me dégoûtait au plus haut point voilà pourquoi, avant de m’en aller, j’entrouvris la fenêtre de ma voiture et je criai à Jake de ne pas faire de trop dégâts dans la maison et surtout de nettoyer l’endroit où ils allaient s’amuser. Je n’avais vraiment pas envie, en rentrant chez moi, de retrouver un emballage de capote dans mon salon ou je ne sais encore où.
Ma journée s’était relativement bien passée et j’avais finit par refuser ce contrat contre l’avis de Moira. Mais après tout, qui était-elle pour me dire ce que j’avais à faire ? Je ne suis pas son fils après tout et même si c’était le cas, je n’écoutais déjà pas ma mère étant plus jeune alors pourquoi serais-ce le cas à présent ? D’ailleurs, je ne pouvais m’empêcher de me demander ce qu’elle pensait de moi à présent. J’étais devenu populaire, riche et j’avais toutes les filles à mes pieds même si ce fait ne date pas seulement de ma popularité. Je n’avais pas eu de ces nouvelles depuis plus de deux et autant dire que je m’en porte très bien. Je n’ai jamais eu une très bonne relation avec ma mère. Il faut dire qu’elle se tuait au travail et qu’elle n’a jamais pris le temps de s’occuper de moi ni même de mon frère malgré le fait que je l’ai toujours sentit plus proche de mon frère ce qui me rendait jaloux au plus haut point. A présent, je me demande si Nick a gardé contact avec elle ou si elle est encore trop occupée par son travail pour appeler son fils préféré. Au fond, je m’en fou ! Mon frère est le cadet de mes soucis, a vrai dire, il n’entre même pas en ligne de compte pour être franc. C’est à faire remarquer à quel point nous sommes proches lui et moi n’est-ce pas ?
Enfin bref, je venais de parcourir une cinquantaine de kilomètre et il était 13 heures. Mon ventre se mit à gargouiller ce qui voulait dire que je devais me nourrir. Pour changer, je décidé de m’arrêter dans un fast-food. Depuis plus d’une année, j’ai tendance à fréquenter les restaurants les plus luxueux de New York ou de partout ailleurs alors un peu de normalité et de simplicité ne me ferait aucun mal. Je garai ma Pontiac Firebird de 1974 jaune sur le parking presque complet et je pénétrai dans l’établissement. Comme toute personne – oui parce que ne vous imaginez pas que même si je fréquente des lieux bien plus chers je ne sais pas comment on mange dans un McDo - je me présentai au comptoir et commandai mon menu puis j’allai m’installer à une petite table au fond de la pièce. Tout en buvant mon coca, je sortis mon portable afin de lire mes nouveaux messages. En relevant les yeux, j’aperçu non loin de moi une connaissance. Et pas n’importe laquelle mais Nick, mon frère jumeau. Je soupirai et roulai les yeux au ciel.
THOMAS : « Super ! Je suis obligé de me rendre dans des restaurants où il n’a pas les moyens d’aller pour ne pas le voir ! »
C’est ce que j’en déduisais puisque Nick n’était pas aussi riche que moi. En même temps, même s’il restait aisé du à la fortune de notre mère, il n’avait pas gagné des millions pour ne pas dire des milliards de dollars en tournant dans des films aussi connues que les miens. Et là, pour une fois que je me rendais dans un fast-food, restaurant peu couteux, je le croisais. Génial !
Dernière édition par Thomas Johansten le Mar 23 Mar - 20:08, édité 1 fois |
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| | Sujet: Re: La famille, une chance pour certains et une malédiction pour d'autres [PV le frangin] Lun 22 Mar - 16:46 | |
| Ce matin, Samuel lui c'etait levé aux allentours de midi. Une heure assez tardive, du au fait que Sam s'etait couché il y a à peine cinq heure. Le jeune homme avait fait la fête toute la nuit et autant dire que ça avait eté l'une des plus grosses fêtes de l'année. En ouvrant les yeux et aprés s'être ettiré, Sam s'etait demandé ques qu'il avait bien pu faire hier soir pour avoir une migraine aussi affreuse que celle qu'il avait. Il se rappelait vaguement de la soirées, il savait juste qu'il s'etait encore battu avec un abruti qui lui avait renversé sa biére dessus. Peu importe si il avait fait exprés ou pas, Sam n'avait pas perdu de temps pour lui en mettre en bonne dans la machoire. Il faut dire que Sam etait pas mal alcolisé quand cela s'etait passé et quand il boit il est encore plus impulsif qu'il ne l'est déja, alors autant dire qu'une soirée calme pour Samuel ça n'hexiste pas. Il se demandait maintenant comment il etait rentrer, c'etait surement Caroll qui l'avait ramené, comme d'habitude en fait. Sam tenait bien l'alcool à force, mais hier il avait vraiment dépassé les limites. En se levant il se dirigea tout d'abord vers sa fenêtre qu'il ouvrit en grand avant d'ouvrir ses volées. Son petit rituel du matin. Il regarda rapidement le temps qu'il faisait et aujourd'hui le soleil etait au rendez vous. Sam fila sans attendre à la douche, maniac sur les bords il adore être toujours propre quitte à prendre 3 douche par jour. Aprés s'être fait tout le beau le jeune homme enfila un jeans, des baskets blanche ainsi qu'un T-shirt assortis. La question maintenant etait la suivante : Qu'allait-il bien pouvoir manger ? Sam etait un grand fan de la nourriture et il etait assez doué dans la matiére. Il adorait essaiyer de nouvelle recette et regaler ses ami(e)s quand ils venaient passer une soirées chez lui. Sauf que ce matin, il n'avait vraiment pas envie d'attendre et puis il n'etait pas en super forme pour se faire quelque chose. Et comme chaque problême à sa solution, Samy décida de se rendre au Fast Food le plus proche. Il n'etait pas vraiment Fan de ce genre de restaurant mais là il n'avait pas le choix. Il enfila une casquette, histoire de ne pas perdre du temps à se coiffer et quitta la maison en direction de sa voiture.
C'est 10 minutes plus tard qu'il arriva à destination et aujourd'hui bonne nouvelle il n'y avait pas enormement de monde. Sam fut servit en seulement quelques minutes et remercia la serveuse avec un grand sourire. C'est en se tournant avec son plateau qu'il vit un peu plus loin quelqu'un qu'il ne connait, et trés bien à vrai dire puisqu'il sagissait de son frére jumeau Thomas. Oui LA STAR du moment, quelle chance il avait de l'avoir pour jumeau serieusement. Non c'est pas bien de mentir. Sam se demanda ce qu'il faisait ici, il savait qu'il ne pouvait pas se passer de lui mais à ce point ça le surprenait un peu. En fait il n'y pretait pas plus attention que ça et alla lui aussi s'installer vers le fond, en prenant soin de ne pas être prêt de son frére. En passant il lui lança un regard assez mauvais, pourquoi faire semblant qu'il ne l'avait pas vus, et puis Sam n'etait vraiment pas du genre à se cacher quand il n'appreciait pas quelqu'un, ce qui etait le cas pour Thomas. En plus de ça ce n'etait pas comme ci son frére n'etait pas au courant puisque c'etait la même chose pour lui. Celui ci etait en effet un acteur reconnu, un acteur qui commençé à être demandé par les plus grands réalisateur, oui Sam etait au courant. Il ne s'entendait pas avec son frére et le sous estimait au plus au point mais ça ne l'empechait pas de savoir ou il en etait, même si il ne se renseignait pas vraiment. Faut dire que parfois quand il allumait la telé, il voyait l'image de son frére en grand, il avait bien souvent failli avoir des crises cardiaques alors il avait preferait l'eteindre à chaque fois. Thomas devait penser que Sam etait un moins que rien à côté de lui, mais Sam avait des merites, des merites que son frére ignorait surement. C'est vrai il n'etait pas mondialement connus mais Sam n'avait pas besoin de ça pour être heureux et surtout pour savoir qui il etait et ce qu'il voulait. Il etait egalement surement moins riche que lui, mais Sam ne considérait pas que l'argent soit ce qu'il y a de plus important dans la vie, et contrairement à ce que son frére pouvait penser, Sam essaiyer de se débrouiller par ses propres moyens, mais c'est vrai que quand il regardait sa voiture à côté de celle de son frére, sa lui faisait un petit pincement au coeur. Enfin bref, le jeune homme s'installa à une table contre une vitre et prit dans un premier temps son coca pour en boire quelques gorgées et regarder un peu les gens autour de lui.
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| | Sujet: Re: La famille, une chance pour certains et une malédiction pour d'autres [PV le frangin] Mar 23 Mar - 20:08 | |
| (c) racheldinozzo « Un homme averti en vaut deux. Alors, en cas d'accident, n'avertissez personne car ça doublerait le nombre de victimes. » Je n’ai plus du tout l’habitude de me retrouver dans des lieux comme celui-ci. Depuis plus d’une année, j’ai pris cette habitude de me vêtir en conséquences de mes diverses sorties en compagnie de personnes reconnues aux USA pour ne pas dire dans le monde entier. Oui, j’ai eu la chance de rencontrer des personnalités comme Georg Clooney, Bruce Willis et j’en passe ! Pour moi pénétrer dans le monde du cinéma n’était pas un rêve à l’époque. Je demandais simplement à me différencier des autres, à être populaire, à ce que l’on me reconnaisse parmi une foule de centaines de personnes. A la base, c’était ça qui m’intéressait et puis, je suis tombé dans ce monde de fou qui n’est autre que le monde du cinéma. Pour ça, il a fallu que je quitter Berkeley voire même Los Angeles. Je suis né à Los Angeles et c’est là-bas que j’ai grandis mais pour être franc, m’en aller ne m’a fait ni chaud ni froid. Il y a une année, tout n’allait pas bien dans ma vie. Toutes ces histoires, et puis Soukaïna… Berkeley était devenue une ville que je cherchais à fuir à tout prix. Et pourtant, Dieu seul sait à quel point je ne suis pas le genre de personne à fuir mais plutôt à prendre le taureau par les cornes – et même si je ne crois en rien, surtout pas en Dieu. Enfin, c’est vite dit car pour certaines choses je sais bien me défiler. Mais bizarrement, la dernière chose que j’ai apprise et laquelle tout le monde aurait pu s’attendre à ce que je fuis, j’ai réagis différemment. C’est quand Aislynn m’a appris que je l’avais mis enceinte. Sincèrement, à l’entente de ces paroles, je voulais fuir, j’aurais voulu qu’on m’enterre dix milles pieds sous Terre. Devenir père est sans doute la chose que je redoute le plus. Heureusement, elle continua par me dire qu’elle avait finit par perdre le bébé. Aussi égoïste et cruel que cela puisse paraître, j’avais été soulagé d’apprendre ça.
Je repensais à tout ça, à mon séjour à New York tout en mordant dans mon cheeseburger à pleine dent. Hum, qu’est-ce que c’est bon ! Ce n’est pas que manger du caviar ou tout autre aliment très coûteux n’est pas bon mais de temps en temps, un bon petit fast-food, rien de mieux que pour savourer ce qu’est vraiment la nourriture. Et même si ça fait plusieurs semaines que je suis de retour à Berkeley, c’est bien la première fois où je mets les pieds dans un McDo. Pourquoi j’y suis pas aller avant ? Tout simplement parce qu’après mon arrivée à Berkeley, je me suis fait invité partout et je n’ai jamais eu à me faire à manger. Dit entre nous ça m’arrange plutôt bien parce que je suis loin d’être doué en cuisine. Je sais me faire des pâtes, des pizzas mais ça s’arrête là. Je remercie d’ailleurs Moira d’être souvent à la maison pour me faire à manger. Hum, un bon steak cuisiné d’une manière qu’elle seule en à le secret, qu’est-ce que ça peut être bon !
Tout ce moment de rêverie fut interrompu lorsque je vis de dos une personne me ressemblant. Ce n’était autre que Nick ou Samuel comme vous voulez Johansten. Ouais, mon frère, et jumeau en plus de tout ça. Si je suis pas gâté !? Je n’avais pu m’empêcher de faire cette remarque tout en le suivant du regard. Ca faisait une année que je l’avais pas revu et croyez-moi, si j’étais revenu à Berkeley ce n’était en tout cas parce qu’il me manquait bien au contraire. Moins je le vois, mieux je me porte !
Je le vis aller s’assoir dans le fond de la pièce et cela me rassura. Manquerait plus qu’il vienne s’installer près de moi. Là je crois que je lui ferais manger mon plateau à cet abrutit ! Malgré son apparition dans le même lieu public que moi, il ne me coupa pas l’appétit. Non, ce serait tellement dommage de gâcher cet hamburger pour lui quand même ! Et puis, quand je mange, on peut me raconter ce que l’on veut c’est pas pour autant que je vais arrêter de nourrir mon estomac hein !
Après avoir terminé de manger, je me levai et je me dirigeai vers ce sorte de petit meuble servant à ranger son plateau. Forcément, je devais passer à côté de la table de Nick mais je ne fis rien, je me contentai de déposer mon plateau tout en lui adressant ce même regard qu’il m’avait fait tout à l’heure mais avec plus d’entrain. Forcément, c’est moi l’ainé ne l’oublions pas ! Et, alors que je déversais le déchets dans la poubelle, j’entendis cette jeune fille crier mon nom et, par instinct, je me retournai. Non, elle n’était pas vers moi mais vers Nick.
FAN : « Oh Thomas !!! Comment ça va ? Est-ce que tu pourrais me signer un autographe s’il te plait ? »
Tout à fait charmante cette jeune fille mais quand je vis qu’elle prenait Nick pour moi, je faillis m’étouffer et vomir tout ce que je venais de manger. Je terminai de déverser les déchets de mon plateau puis le déposai au dessus du meuble et me dirigeai vers la jeune fan et par conséquent la table de Nick.
THOMAS : « En tant que fan, tu devrais avoir honte de me confondre avec lui ! »
D’un sourire méprisant à l’égard de Nick, je pris le stylo que la jeune fille tenait et je lui signai son autographe. Cette dernière me gratifia d’un magnifique sourire que je lui rendis évidement puis, je me tournai vers Nick.
THOMAS : « Désolé d’avoir gâché ton seul instant de gloire ! »
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