Des jours comme ça
où on se lève du mauvais pied, et on prend plaisir à tout :
[PV: Alejandro]

Et s'il n'y avait jamais d'accidents dans notre vie ?
Si tout, absolument tout, avait une signification ?
Si le hasard n'était qu'une illusion ?

Le soleil se lève annonçant une nouvelle journée. A 6h30 Sofia ait un réveil difficile, normal après la longue nuit qu’elle a passé à travailler son exposé. Elle avait à peine dormis 3heures, et voilà qu’elle est obligée à se réveiller pour assister à ses cours du jour.
Elle se détacha très difficilement de son lit, quitta péniblement sa couette. Elle se dirigea vers la salle de bain pour prendre sa douche matinale habituelle, lorsqu’en le temps d’une seconde… « Aye. Merde ! ». Elle s’est retrouvée par terre, tombée, parce qu’elle a glissé sur un savon abandonné sur le sol.

Après une douche de 15 minutes, enveloppée de sa serviette, Sofia se dirigea ver son armoire pour prendre ses vêtements. Elle n’était pas vraiment d’humeur à trop se casser la tête avec le choix de ses habilles, un chemisier blanc en soie et une jupe feront l’affaire, pensa-t-elle.

Quand elle fut habillée, elle jeta un coup d’œil furtif à sa boite mail. « Aucun message ». S’était affiché. Ca faisait un certain temps qu’elle n’a pas reçu de nouvelles de sa famille, au Portugal. La dernière fois que son père l’a contacté, il lui a dit qu’il lui réservait une jolie petite surprise.

Sofia Prenat donc ses affaires, son sac et sortit de la chambre. N’ayant pas envie de prendre son petit déjeuner, elle décida d’aller directement rejoindre l’amphithéâtre où elle avait cours dans une demi-heure.
Elle serait sûrement en retard mais elle marchait tranquillement dans les couloirs, ses écouteurs dans les oreilles. Et soudain elle se fut bousculée par des mecs qui jouaient avec un ballon de basket dans le couloir.
« Non, mais regardez où vous allez bande de crétins, on n’est pas dans un terrain de basket ici !».
Ses feuilles, ses livres et cahiers, tout était tombé et dispersé par terre partout dans le couloir…

Apparemment ce jour, elle s’était levée du mauvais pied !

Une autre journée venait de se lever sur la ville de San Francisco. Alejandro se leva à la même heure que d'habitude... Il prit sa douche pendant environ quinze ou vingt minutes et s'habille tout simple, un jean et un polo lacoste bleu. Aujourd'hui, il avait cours en politique américaine. Le jeune espagnol n'aimait pas vraiment ce cours, mais cela fesait parti de son programme. Il avait hâte d'avoir Politique international. Cela toucherait plus son vrais programme. C'était le dernier cours de politique américain avant la fin du semestre. Eh oui! Les examens arrivaient à grand pas. Alejandro devait commençer à étudier bientôt. Alejandro regarda sa montre et vit que son cours commençait dans vraiment bientôt. Il prit vite son sac et partit. Il courut jusqu'à l'université.

Rendu à l'université, il entra et ralentissa sa cadence. Il y avait tellement de monde dans les corridors. Tout le monde était plus souvent présent à l'université ces temps-ci, car les examens approchaient. Alejandro vit une bande de gars qui n'arrêtait pas de rire et courir. Eh oui, il y a encore des immature à la fac. Quelques gars accrocha une jeune fille qui échappa tous ses livres. La pauvre personne ne l'aida, mais Alejandro ne fit pas pareil que tous les autres. Même s'il était en retard il se pencha et aida la jeune fille. Elle était très jolie et avait l'air aussi espagnol. Alejandro lui parla en espagnol:

- Qu'ils sont cons ces mecs, dit-il en espagnol en aidant la jeune fille.

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Sofia s’est agenouillée pour ramasser ses affaires. Lorsque quelqu’un lui parla en langue qui ne lui était pas vraiment étrangère. Quand elle s’est retournée, elle s’est retrouvée en face d’un jeune homme qui s’est approché d’elle pour l’aider. Il lui a dit quelque chose en espagnol. Les notions d’espagnol que Sofia connaissait étaient minces mais elle avait tout de même compris ce que le jeune homme venait de lui dire.

« Oui ! » lui répond-elle en espagnol, avant d’ajouter mais cette fois en anglais « Et moi qui croyais que les gens deviennent plus matures à l’université ». En se relevant.

Une fois debout Sofia essaya avec beaucoup de peine à ranger les feuilles qui s’étaient détachés de son classeur...
Quand elle a réussit à les remettre à leur place, elle se tourna ver le jeune homme qui tenait quelques livres et cahiers, il était beau oui il est certainement espagnol ! pensa-telle.

« Merci de votre aide » dit-elle en souriant au jeune homme...