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Fill up my cup, Mazal Tov, Look at her dancing, Just take it off -BLACK EYED PEAS

Ses parents n'ont cessé de lui rabâcher qu'il y avait un temps pour tout, un temps pour travailler et un temps pour s'amuser, mais celle-ci se reposait constamment sur ses acquis à ses risques et périls de se récolter un blâme en leur affirmant que 85 % de son travail personnel était effectué en classe comme lui avait si gentiment expliqué son ancien professeur d'espagnole. Et, la jeune femme ne manquait pas de confiance en elle de quoi elle estimait être relativement intelligente pour se plier aux obligations de l'université qui lui semblait n'être que dérisoire. Certes, tout le monde n'était pas doté d'une telle intelligence, mais dame nature ne pouvait pas se permettre de gâter tout le monde. Bien que Billie Peaches ait un cerveau décuplé parmi la normale, sa famille restait ni plus ni moins des inconnus à son égard. Tous les week-end c'était pareils, si seulement elle pourrait en faire de même. Mais cela était impossible ou plutôt imaginable. En effet, nombreux sont les étudiants qui eurent la chance de rentrer chez eux durant le week-end pour profiter du mieux qui le peuvent du cocon familiale. Que leur résidence soit située à dix mètres ou à huit cents km. Et là encore, elle était l'une de ses satanées exceptions qui confirmait la règle. Alors que tout le monde désertait le campus, Billie était devenue très rapidement une habituée des bars allant même jusqu'à tisser des liens avec le personnel bénéficiant parfois de quelques avantages. Ayant seulement vingt et une pige et un passé de sainte à son actif, vous vous dîtes à quel point cette dernière doit être à mourir d'ennuie. Que cette femme était d'une maturité sans faille. Malgré son caractère de sage fille, une flamme mutine brillait dans ses yeux. Une part d'elle désirait braver tous les interdits. Néanmoins, cela ne l'empêchait pas de représenter à elle seule, le jour et la nuit.

Comment avait-elle vécu son tout premier week-end de sa deuxième années universitaires, telle est la question ! Ses congés pourraient très bien s'écouler et tous se ressembler comme l'an passé, seulement ce n'était pas le cas. Billie rentrait donc dans sa seconde année d'étude à Berkeley et pas des moindres. Deux mois la séparait entre le début et la fin des vacances et, cette dernière estimait être restée égale à elle-même. La soirée commença sur les chapeaux de roues. Elle venait de transgresser l'une des règles que son père lui infligeait depuis qu'elle fréquentait des personnes qu'il qualifiait de dévergondées. Billie n'avait jamais passer au-delà de ses limites jusqu'à ce jour. La protagoniste n'était pas censée boire de l'alcool. Son programme de la soirée se résumait uniquement à danser indécemment et à consommer des boissons non alcoolisées sans modérations. Un verre de tequila Sunrise vint s'ajouter subtilement comme un poile sur la soupe. Cette dernière se tourna en panique en direction du barman. Ses papilles gustatives n'avaient auparavant jamais goûtée une telle chose. Son expression faciale en disait long sur ce que cette boisson venait de lui procurer. C'était le coup de grâce, le verre de trop pour cette jeune femme qui n'en avait jamais bu dans le passé et, il ne lui fallut que très peu de temps pour déraisonner. Billie Peaches alla même jusqu'à entreprendre des choses qui lui semblaient imaginables jusqu'à présent. Son comportement audacieux ne lui ressemblait pas. La jeune femme émoustilla bien de nombreux hommes dû à son comportement avant-gardiste et commença à jouer dangereusement avec le feu au risque de s'y brûler. Elle n'eut aucune retenue pour insérer sa langue dans la bouche d'un parfait inconnu qui en profita pour la suivre dans le feu de l'action. De part que ce dernier l'a pelota comme un forcené à travers son bustier lui couvrant partiellement son buste et une soudaine prise de conscience, Billie le repoussa violemment de peur. Bien que les relations entre son paternel et elle soient tendues, la protagoniste refusa catégoriquement de s'abandonner dans un jeu malsain mettant en scène deux inconnus pour mettre un coup de poignard dans le dos de son père. Ce fut le début de la fin de sa réputation de femme éméchée insouciante.

Les semaines qui suivirent cet évènement, Bille Peaches était montrée du doigt par les fréquentations du jeune homme qu'elle avait refroidi après l'avoir chauffé. Puis elle était revenue vers cet homme pour s'excuser de son comportement en prétendant être amoureuse d'une autre personne, afin qu'il n'ébruite pas trop cette lamentable histoire. Qu'elle ne pouvait pas se permettre de le tromper pour une simple nuit. Une histoire de coucherie vint agrémenter la chose. Elle voulait pimenter sa vie se confortant à penser qu'elle ne désirait pas mourir bête sans avoir expérimenter certaines choses. Elle apprit très vite à ses dépends de participer à des séances de galipettes sans aucun sentiment naissant. Cette dernière n'a jamais été attirée par les parties de jambes en l'air. Néanmoins, elle avait quittée l'appartement de l'homme avant qu'il ne se réveille. Cette dernière se sentait honteuse dépourvue de fierté.

Ce désagrément ne l'avait pas empêché de remettre un pied dans cette boite de nuit. Il était tard et la brunette portait des vêtements affriolant. Elle n'avait tirée aucune leçon de sa précédente expérience qui fut un désastre. Elle se détendait au bar en compagnie d'un charmant jeune homme qu'elle venait à peine de rencontrer. L'alcool était de nouveau l'un des acteurs principales de la scène. Les deux jeunes gens tentaient de ce charmer en ayant un contact tactile. Un verre de trop et la situation déraperait. Et, le verre de trop ne tarda pas à rentrer en jeu. L'homme ne se sentant plus, embrassa la jeune femme profitant par la même occasion de glisser ses mains sur le long de ses hanches. Pour la jeune femme, ses réactions se brouillaient dans son esprit. Elle voulait à la fois le repousser de panique, mais aussi continuer afin de redorer son blason. Sans s'y attendre, une personne inattendue fit son apparition dans la boite. Elle espérait au fond d'elle qu'il intervient et la sorte de cette situation.