› prénom, pseudo : alo. › date d'inscription : 10/11/2012 › nombre de messages : 11001 › disponibilité rp : cinq sur six ( o p e n )› avatar : zefron
Sujet: Re: je suis tombé(e) sous le charme. [ft. Lucas] Mer 26 Juin - 1:58
❝ My love for you went viral and I loved you every mile you drove away ❞
Aleyca ✖ Qu’est ce qu’elle pourrait faire sans moi ? Franchement, à première vue j’aurais dit qu’elle serait allée voir son meilleur ami, Kilian. Maintenant qu’on était officiellement ensemble, il était inévitable que la jalousie s’installe. Je ne la cache pas : ma jalousie. Bien que je sois loin d’être ces mecs qui traquent leurs chéries, et qui leur fassent des crises tous les jours. Je suis jaloux, mais c’est raisonnable. Puis, il est normal que je sois jaloux de son meilleur ami, non ? Ils semblent si proches, si… une relation si différente de la nôtre. Il suffit qu’un moment elle en a marre de notre relation, et je serais seul. Bien que j’aie totalement confiance en Aleyna, il n’y a pas de doute là-dessus, mais tout de même, j’ai peur. Et cette peur m’aidera à la garder, ou du moins à tout faire pour. J’ai failli la perdre une fois, et pour rien au monde je souhaite revivre ce moment. Alors doucement, je lui dis, presque inaudible. « T’irais voir Kilian… » D’ailleurs, je baissais même la tête pour ne pas croiser son regard juste après que j’ai dit cela. J’espérais juste qu’elle ne l’entende pas. Je ne voulais pas qu’elle prenne connaissance de cette peur en moi que j’avais, et pourtant j’avais ressentit le besoin de le dire à haute voix. Je priais donc maintenant pour qu’elle n’ait pas entendu, ou pas entièrement compris ce que je lui avais compris. Sur ce coup, je me comportais un lâche. Je l’avoue. Sa peur de rester que dans son rôle de mère, et de ne pas profiter pleinement de sa jeunesse était totalement légitime. Je ne pouvais pas réellement savoir ce qu’elle ressentait à ce moment-là, je ne le saurais probablement jamais. Ce n’est pas moi qui aie accouché, je ne le ferais jamais. Ce n’est pas génétiquement ma fille. Pourtant, je lui promettais de faire tout mon possible pour l’aider à traverser ce moment. C’est ce que fait un ami. C’est ce que fait un copain. Etant donné que je suis les deux pour elle, je lui dois bien cela. Sinon, je serais un piètre copain, dans tous les sens du terme du mot. Je lui souris, et la pris dans mes bras. Un geste d’affection, mais aussi de protection. Comme quoi je serais toujours près d’elle, toujours là. Je ne la laisserais pas tomber aussi facilement. De plus, je l’ai vu sa petite crevette, et je crois bien que je l’aime déjà. Je ne pourrais pas les laisser seules toutes les deux. Jamais. J’ai trop un bon cœur –pour ne pas me vanter-.
Je suis totalement comblé avec elle, que ce soit niveau sentiment, ou même côté sexe. Après tout, c’est ce qu’on recherche tous chez une âme-sœur, non ? Pouvoir partager des sentiments mais aussi des moments plus intimes. C’est pourquoi je n’ai jamais cru aux gens qui disent que le physique ne compte pas. Oh bien sur qu’il n’y a pas que ça qui compte. Mais n’allez pas dire que vous pouvez entretenir une bonne relation avec quelqu’un qui ne vous attire pas du tout. Les sentiments auront bon être là, mais vous vous ne sentirez pas comblé niveau sexe, et bien vite vous irez voir ailleurs, malgré l’amour qu’il y a entre vous. Avec Aleyna, nous étions sur toutes les mêmes longueurs d’ondes. On se chauffait mutuellement, et peu importe qu’on se trouvait à l’hôpital. On les envoyait tous paitre. Nous aurions même souhaité pouvoir avoir une chambre qui se ferme à clé et ne pas être dérangé durant toute la nuit. Toute la nuit oui. Vous croyez vraiment que je serais capable de ne profiter d’Aleyna que durant une heure, ou deux ? C’est soit toute la nuit, soit rien pour moi. Et je peux dire qu’elle arrivait très bien à m’exciter. Je commençais à rêver, ou plutôt fantasmer. Sentant sa main plus pressante au niveau de … disons le franchement, mon sexe, je n’attendis plus une seconde avant de lui faire mon fameux suçon. Un souvenir qu’elle allait devoir se trimballer durant quelques jours. Et lorsque je dis des jours, en voyant la couleur et la taille de ce suçon je fus très fière de moi. Elle allait devoir le garder, au moins, durant tout son séjour à l’hôpital. « Je te jure que lorsque tu partiras d’ici, je te ferais ta fête. » En gros, oui, je peux le dire : je lui ferais tellement bien l’amour. Quoique faire l’amour ne serait même pas le terme exact. J’aimerais dire que je la ba*serais simplement, mais ça ne serait pas respectueux envers elle. Vous avez tout de même compris mon état d’esprit. Nous nous devons bien de rattraper tous ces jours perdus. Tous ces jours d’abstinences. Parce que oui, j’avais appris la leçon, et je n’étais pas allé voir quelqu’un durant notre moment de silence. Je n’allais pas refaire la même erreur. Et durant tout ce temps je n’avais rêvé que d’une seule chose : d’Aleyna. L’amour quoi.
Bien évidemment qu’on se doutait être interrompus à un moment, mais pas à un tel moment. Heureusement pour moi, les infirmières ne semblaient pas coincées, et elles souriaient même. Je regardais Aleyna, et lui répondit « Je vais survivre ne t’en fais pas. » Bon en fait, je m’étais fait un peu mal aux fesses en tombant, ainsi qu’au dos, mais ça allait passer. Je ne m’étais rien cassé en tous les cas. Et j’en fus persuadé lorsque je me relevais. Oh, j’allais peut-être avoir un bleu. Un souvenir pour moi aussi. Je souris. On s’en souviendra de cette soirée. Je ris en entendant Aleyna continuer dans mon jeu. J’entendis une infirmière répondre « Vous allez être étonnés, mais nous avons déjà demandé. Nous ne dirions pas non pour de telles chambres… » Je rêvais où cette infirmière venait d’insinuer qu’elles veulent aussi faire l’amour dans l’hôpital. On entend de tout ici. Ou alors tout simplement qu’elle s’était faufilée dans notre jeu. Peu importe. Je sortais de la chambre, prétextant vouloir un café. Je fus loin de la chambre pendant quelques minutes, au maximum dix minutes. Pour enfin revenir voir ma princesse. Malgré l’incident avec les infirmières, nous nous remirent à jouer. La soirée continua donc ainsi, jusqu’à ce que nous nous endormions. C’est ainsi que je restais tout le temps à ses côtés, à l’hôpital, jusqu’à sa sortie. J’avais promis ma présence, et je tenais ma promesse.
fin.
Wren Rosenbach
there's no place like berkeley
› prénom, pseudo : Fanny (nanouche) › date d'inscription : 28/12/2011 › nombre de messages : 14120 › avatar : Max Irons
Sujet: Re: je suis tombé(e) sous le charme. [ft. Lucas] Mer 26 Juin - 2:40