Sujet: Re: je suis tombé(e) sous le charme. [ft. Lucas] Dim 5 Mai - 15:30
Aleyna &' Lucas.
J’étais toujours là allongée sur mon lit d’hôpital et je regardais tout simplement Lucas avec un sourire accroché à mon visage. En faite depuis que j’avais accouché j’avais toujours ce même sourire…je me sentais différente, mais toujours en étant restée la même. Je ne sais pas comment expliquer mais je me sens tout simplement : bien. Je mis doucement ma main sur la sienne que je caressais doucement avant d’hocher la tête. « Oui enfin tu sais aussi que ta fierté masculine tu peux la mettre de côté quand tu es avec moi. Je ne suis pas ici pour juger, et au fond je te connais donc…»je lui fis un clin d’œil. Bien sur que j’aurai aimé qu’il me téléphone, qu’il prenne le temps de le faire et surtout d’essayer de m’expliquer pourquoi il avait quitté la chambre d’hôtel sans aucun mot, pourquoi il me fuyait…enfin tant de questions qui vont rester sans réponses pour le moment. Je le connais mon petit Lucas et je sais qu’il ne répondra pas à ses questions, pas maintenant. Il fallait que j’arrive à le travailler et on verra bien par la suite. C’est comme ça, c’est un homme, chaque chose en son temps. Je le regardais droit dans les yeux avant de caresser du bout de mes doigts, sa joue. Je souriais lorsqu’il me dit ces deux mots à 7 lettres. Ces mots qui font toujours du bien, qui vous mette du baume au cœur. Je ne pouvais pas être plus touché parce qu’il venait de dire et doucement je m’approche de son visage pour lui déposer un tendre et simple baiser avant de dire contre ces lèvres. « Je t’aime aussi. » je ne pouvais pas être plus sincère que durant ce genre de moment. Je caressais doucement ces lèvres avant de me détacher de lui.
Il voulait être comme le père de mon enfant, un père de substitution mais je ne voulais pas qu’il se prive ou qu’il se sent obligé. Ce n’est pas ce que je veux. Je veux qu’il profite de sa vie de jeune homme et non de père…d’autant plus qu’il n’est pas le père. Je ne voulais pas qu’il soit pointé du doigt. Non ce n’est pas ce que je voulais. Je me mordais doucement ma lèvre avant de reprendre doucement. « Merci, mais ne te met pas de côté…je veux ce Lucas dont je tombe encore amoureuse, et non pas d’un autre Lucas. » Je ne voulais pas qu’il se sente poussé des ailes et qu’il abandonne tout, qu’il devienne quelqu’un d’autre. Oh que non, ce n’est pas ce que je voulais. Je déteste les personnes qui changent pour un rien, c’est bien une chose que je ne peux pas et généralement quand c’est le cas, je les zappe petit à petit de ma vie. C’est comme ça. Je n’avais même pas réfléchis encore au faite qu’un jour j’ai besoin d’une soirée à moi toute seule…enfin sans ma petite fille. Pour le moment tout est beau et surtout je ne veux plus la quitter. C’est certainement ça le début…mais j’espérai tout simplement ne pas tomber dans un cercle vicieux par la suite. Je secouais doucement la tête. « Je sais et j’aime ta façon de voir les choses, car je suis exactement comme ça mais…je sais aussi que tu dois profiter de ta jeunesse, et ne pas t’enfermer dans ce genre de choses…je ne veux pas que tu regrette plus tard. On ne sait jamais ce qui peut arriver et ce qui va arriver entre toi et moi. Je ne veux pas que tu m’en veuille d’avoir voulu te faire grandir plus vite ou que sais-je encore. »On ne savait pas si nous deux ça allait marcher, si on allait arriver à être heureux à deux et je ne voulais pas tendre le bâton pour me faire taper dessus. Oh que non. Le jour où nous deux ça n’ira plus…il en aura déjà tant à me reprocher. Si je pouvais atténuer le reste, je ne disais pas non. Loin de là.
Non je me devais de ne pas penser à ce genre de choses, on était à peine ensemble que je pensais déjà à une future (ou non) rupture. Je ne suis vraiment pas droite dans ma tête. Je souriais légèrement face à ma pensée. C’est du Forzwood tout craché ça. J’ai toujours pensé aux choses les plus noires dans ma tête, comme pour ne pas être déçu par la suite ? Certainement oui, je ne sais pas réellement. Je le regardais avant de faire une grimace à la limite d’un rire, mais je ne voulais pas trop faire de bruit étant donné que je venais de mettre Hawen dans son ‘petit lit’, il fallait qu’elle dorme et moi j’avais besoin de le retrouver un peu. Retrouver est un grand mot, mais au moins on allait pouvoir parler et ça allait nous faire du bien, je le savais. J’aime parler alors pourquoi se regarder dans le blanc des yeux et attendre son réveil ? Hors de question pour moi. Je le laissais me pousser avant de mettre ma main sur sa cuisse doucement avant qu’il ne me prenne contre lui, je mis ma tête contre le haut de son torse avec un léger sourire. « Non, enfin c’est compliqué. J’aurai préféré de pas vivre tout ça, mais je me dis que…même si ce n’est pas la vie que j’aurai rêvé, je suis fière d’être celle que je suis…d’avoir du passer par ces étapes là, ces émotions, ces sensations…Je n’ai que 20ans et pourtant j’ai l’impression d’avoir déjà tant vécu. »Je souriais dans le vide avant de reprendre. « Tu sais quand je suis tombée amoureuse de Keyon, je ne savais pas qu’il était malade et quand je l’ai su je n’ai pas eu peur pourtant je sais que si je l’avais su avant…je me serai forcée à ne pas tomber amoureuse de lui. A 14ans on ne veut pas d’une vie comme ça, on rêve d’une vie comme dans les contes de fée. Enfin un peu le genre que nous aurons jamais. » je riais doucement avant de penser à lui, et je regardais doucement mon poignet où il y avait un cadeau de sa part…un bracelet, le dernier cadeau qu’il m’aura fait. « La vie m’a donné ce que je devais avoir. J’ai fais mes propres choix, mes propres expériences, et aujourd’hui je suis heureuse. Complètement. » Je levais les yeux vers Lucas avant de sourire et de lui déposer un tendre baiser sur ces lèvres. « Même si il me manque ma famille…» après ma longue chute aux enfers ils avaient préféré couper les ponts et ne plus entendre parler de moi, oui ma famille avec qui j’étais très proche. Je regrette ça, je me retrouve comme seule à devoir me battre contre moi-même pour avancer et sans mes amis les plus proches, je ne serai pas celle que je suis. Je le sais. Un manque, un gros manque qui ne cesse d’augmenter de plus en plus. Une famille on en a qu’une, et elle est juste irremplaçable. Ce que je sais c’est que je resterai à jamais aux côtés d’Hawen.
bon tu ne le verra pas mais.. 19.000 messages pour toi
Kevin F. Tatcher
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Sujet: Re: je suis tombé(e) sous le charme. [ft. Lucas] Lun 20 Mai - 22:41
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Aleyca ✖ Ok, elle me connait. Ok, je n’aurais pas du faire tout ce que j’ai fait, mais c’est fait. Je n’y peux plus grand-chose. Je me suis excusé. Je suis venu pour son accouchement, et maintenant nous sommes… ensembles ? Rho, pourquoi ça doit être si compliqué entre nous ? Je ne sais jamais comment prendre réellement notre relation. Personnellement, je sais que je l’aime et que je veux quelque chose, mais sait-on jamais. « Tu as raison, totalement. Mais je suis comme je suis, non ? Et tu m’aimes tel que je suis. » Et j’avais envie de rajouter que je ne changerais jamais, même pour elle, malgré mon grand amour pour elle. Enfin bref. Nous savons que nous nous aimons. Et je pense que nous irons loin, ensembles. Je le souhaite de tout mon cœur. Tout en la regardant, je lui dis « Tu es trop mignonne ma belle. » Belle comme une fleur, comme une princesse. Oh ce que je peux l’admirer cette fille. Mon regard je peux le poser indéfiniment sur elle. Sur son visage, et son corps. J’aime aussi tenter d’imaginer ce qui peut se passer dans sa tête. Ces choses là qu’elle peut se dire. A quoi elle peut penser. Elle n’a plus de secrets pour moi, et pourtant, il reste une part de mystère. Cette part, je veux la connaitre. Oh, ce que je peux aller loin quand je me mets à penser.
Je ne savais plus quoi lui dire pour la convaincre. La convaincre que je peux être là pour elle, et sa fille. Peu importe que je sois son petit ami. Avant tout, je suis un ami. Et un ami, ça sert à ça non ? Ah bah tiens, j’ai trouvé une raison. Un truc pour lui dire qu’elle doit accepter mon choix. Ce choix que j’ai pris à l’aider. « Je suis avant tout un ami. Un ami est là pour aider. Oublie que je suis ton petit copain. Et vois mon aide en tant que celui d’un ami qui tient énormément à moi. » Je suis sur qu’elle ne dit pas non à Killian ou à d’autres. Tout ce qu’elle me dit ce sont des excuses bidons. Je ne changerais pas en l’aidant, en étant là pour sa fille. Comme dit plus tôt, je ne changerais pas aussi facilement. Je ne suis pas Lucas LaDouceur pour rien. Je m’aime trop comme je suis pour oser changer un temps soit peu. Elle devrait commencer à le savoir. « Peu importe comment ça ira entre nous. Je resterais toujours ton ami. Je le promets. » J’accentuais un peu, beaucoup, cette promesse. Qu’elle voit, qu’elle entende bien et qu’elle grave à jamais ce que je venais de prononcer. Moi et les promesses ça n’en fait qu’un. Et ça, elle le sait fort bien. C’est bien pour cette raison que j’insistais là-dessus. Qu’elle voit à quel point je peux être sincère, à cet instant précis.
Après qu’on ait déposé Hawen dans son lit, ce fut à mon tour d’aller au lit. Dans celui d’Aleyna plus précisément. Bon, ce n’est pas ce qui est le plus confortable, on fait avec. Ces lits sont généralement pour un, et non accueillir un couple à l’intérieur. Pas grave. En se serrant un peu, on peut facilement se sentir à l’aise. Dans mes bras, elle posa sa tête contre mon torse. Un vrai couple. Je souris. On avait enfin réussi à se trouver. A être ce couple que l’on souhaitait être depuis un bon bout de temps. Du moins, en ce qui me concerne. Je retrouvais ma chérie, et je ne pouvais qu’en être le plus heureux. Pour parler, je lui posais une certaine question. J’écoutais attentivement sa réponse. « C’est ce genre de trucs qui nous fait avancer dans la vie… C’est moche, mais grâce à ça tu peux oser dire que tu es très mature pour ton âge. Et tu es forte. Très forte. Puis, je suis fière de toi. Et content de te connaitre, de te tenir dans mes bras, et pouvoir coller mes lèvres contre les tiennes. Je suis conquis. » Oh bon sang Lucas, tais-toi. Laisse la tout simplement voir des étoiles dans tes yeux. Comme elle avait pu le voir le soir de l’hôtel. Cette soirée où elle te la dit et que tu l’as envoyé balader. Cette fois-ci, je ne me comporterais pas comme un goujat. Sa famille. Je me rappelais de ce qu’elle m’avait raconté à leur sujet. C’était triste. Je trouvais ça triste, étant donné que ma famille et moi, on s’entend merveilleusement bien. « Ma famille est la tienne… » Peut-être pas ce qu’elle veut entendre, mais je ne sais pas trop quoi dire. Je n’ai pas envie de dire tout ce qu’on a pu lui dire auparavant : que ça ira mieux avec le temps, etc. personne n’en sait quelque chose. De ma main, je lui caressais la joue, doucement.
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Sujet: Re: je suis tombé(e) sous le charme. [ft. Lucas] Mer 22 Mai - 18:11
Aleyna &' Lucas.
Lucas m’avait certes, fais du mal en allant voir un autre…durant ma grossesse, mais je pouvais lui pardonner tout ceci. Je l’aimais et je ne pouvais pas expliquer tout ce que je ressentais pour lui à l’heure actuelle. Non je ne pardonnerai pas encore une fois, mais une deuxième chance : oui. Une troisième ? Non. Je lui en voulais encore mais au fond il ne m’avait pas trompé physiquement…mais je lui en voulais. Je suis compliqué mais je suis une fille et une fille ce doit d’être compliquée non ? Je regardais mon bel et tendre étalon dans les yeux avant d’hocher doucement la tête. Bien évidemment que je l’aimais comme il était, sinon je ne serai pas là entrain de lui pardonner cette faute de parcours. Je pris doucement sa main avant de dire doucement. « Je t’aime comme tu es, oui. Je suis tombée amoureuse de la personne dont tu es et non de la personne que j’aimerai que tu sois. » Il était hors de question pour moi de le faire changer de A à Z. Ce n’était pas mon état d’esprit et j’espérais que c’était la même chose pour lui, de toute manière je ne changerai pour personne, jamais. On tombe amoureux d’une personne pour ce qu’elle est et non pour son physique ou pour la personne que l’on croit qu’elle est. J’ai la tête sur les épaules et je sais très bien où je me dirige…c’est tout. A peine étions nous ensemble que nous commencions déjà à ne pas être d’accord à un sujet. Ça commençait bien note petite vie de couple. Mais pas un couple comme les autres, un couple d’adolescents déjà parents. Au fond c’était comme si j’étais en couple avec le père de mon enfant, et pourtant c’est bien tout différent de ce que l’on pourrait penser. Il voulait être là pour ma petite fille, et ça me mettais très mal à l’aise, je voulais tout simplement qu’il profite de sa petite vie et qu’il ne se soucie pas trop à nous. Bien qu’au fond…Oui je suis complexe dans ma tête, et alors ? J’hochais la tête doucement. « D’accord…mais un ami est là pour aider, pour me faire rire et surtout pour m’épauler mais…pas pour éduquer mon enfant. Tu sais, je veux que tu profite, que tu étudie sans te soucier de tout ça. Je ne pourrais pas te dire assez merci pour tout ce que tu veux faire pour moi mais…au fond j’ai peur de te décevoir un jour, que tu m’en veuille de te retirer ta jeunesse ou autre. » Je la regardais dans les yeux, et je ne pouvais pas être plus sincère que ça. Oui je voulais qu’il m’aide. Oui je voulais qu’il m’épaule. Oui j’aimerai qu’il soit là en tant que père de substituions pour ma fille. Mais non, il fallait que je sois mature et raisonnable, je ne pouvais pas le lui demander. C’est comme ça. Je n’aurai pas aimé que l’on me mettre le couteau sous la gorge, c’était hors de question de faire aux autres … ce que je n’aimerai pas que l’on me fasse. « D’accord, je te fais confiance. D’accord j’accepte ton aide, mais seulement en tant qu’ami. » Je souriais avant de lui faire un clin d’œil suivit d’un léger sourire. Je voulais qu’il voie que je voulais bien de son aide mais, que je voulais également avoir un peu d’indépendance en quelque sorte. Oui j’allais enfin pouvoir rattraper le temps perdu avec Lucas, et ça allait me faire du bien. J’en étais persuadée. J’avais hâte de pouvoir le prendre contre moi, l’embrasser, le câliner, lui parler, prendre du bon temps à deux…uniquement à deux. Enfin il ne faut pas trop rêver car maintenant on sera trois mais rarement que tout les deux. C’est ça la vie de jeune maman, non ?! En pensant à tout ceci je mis ma petite dans sa couveuse avant de laisser Lucas venir me rejoindre sur ce lit d’hôpital. Laissant ma tête se mettre sur son torse je fermais doucement les yeux pour profiter de ce moment, tout en répondant à sa question et à l’écouter à nouveau. Oui Lucas est un homme, mais un homme bavard…oui oui ça existe. Croyez-moi bien. Je fus touchée par ce qu’il venait de me dire et je le regardais attendrit de tout ceci. « Cela me touche énormément de savoir que tu es fier de moi. Merci..» j’étais un peu mal à l’aise face à tout ceci car je n’étais pas très preneuse de compliments alors que je n’arrêtais pas d’en faire à tout le monde. C’est comme ça, c’est un peu comme l’arroseur arrosé, vous ne pensez pas ? « Je suis fière aussi d’être arrivée à passer au dessus de toutes ces épreuves mais, j’aurai aimé vivre comme tous les adolescents de mon âge, de ton âge. Mais je pense que tu comprends ce que je veux dire, non ? » Je lui fis un sourire complice avant de caresser sa cuisse doucement. Je me laissais partir dans mes pensées avant d’hocher la tête doucement et surtout d’être touchée une nouvelle fois, je levais la tête à nouveau pour le regarder dans les yeux pour lui faire passer toute la sincérité que je pouvais. « Ta famille est géniale, et…sache en profiter. On n’a qu’une famille. » Je me redressais doucement pour lui déposer un tendre baiser pour le terminer en un baiser passionné. Je souriais contre ses lèvres avants de poser mon front contre le sien et reprendre doucement. « Ils me manquent mais je suis prête à leur montrer que je peux me débrouiller seule...sans eux, et je sais qu’un jour ils seront fiers de moi. Je le sais. » Je lui souriais faiblement et lui volais un baiser avant de caresser sa joue tendrement. Je voulais jouer un peu avec lui, avec ses envies et que sais-je d’autres. Je pris doucement sa main pour la poser sur le haut de ma poitrine...oui actuellement je ne voulais pas qu’il touche mon ventre…autant un ventre rond qui abrite une enfant c’est beau, c’est magique…mais un ventre qui ressemble à un flan : non merci. Je le regardais dans les yeux avec un peu de malice et je l’embrassais avant de passer ma main sous son tee shirt. Oui je voulais jouer, et j’allais jouer, tout simplement. A ses risques et périls. Je savais très bien que j’allais m’en mordre les doigts, mais tant pis. Contrairement aux hommes, nous les femmes ont peut cacher ce genre de sensations, ce genre d’envie…pas eux. Dommage car j’avais pleins d’idées en tête pour le faire succomber, et je savais que cela n’allait pas être compliqué. Alors, prêt ?
Kevin F. Tatcher
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Sujet: Re: je suis tombé(e) sous le charme. [ft. Lucas] Lun 27 Mai - 19:37
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Aleyca ✖ Ce que c’est beau. De pouvoir ainsi parler avec sa chérie. Pouvoir lui dire tout ce qu’on a sur le cœur, ce qui nous passe par la tête, ce que tout simplement on pense. Mais aussi pouvoir l’entendre dire ce qu’elle pense. Et c’est l’une des raisons qui me dit que notre relation va fonctionner. J’ai toujours pensé que la base d’une relation était la communication, la franchise. Et c’est effectivement ce que nous faisons. Nous nous disons ouvertement ce que nous avons sur le cœur. Ce que nous aimons chez l’autre. Ce qu’on veut, ou non. Et je trouve ça beau. Presque aussi beau qu’une déclaration d’amour, car dire ce que l’on ressent vraiment, c’est difficile de l’avouer. Alors le fait qu’on arrive à le faire, c’est une réelle preuve d’amour. Ou du moins, moi je le vois comme ça. Ce n’est peut-être pas le cas de son côté. Peut-être qu’elle ne le ressent pas de la même façon. Mais elle semble tout autant comblée que moi. Notre relation, la relation officielle, n’avait débuté que seulement il y a quelques heures, et pourtant, j’avais l’impression d’être avec elle depuis un long moment. Je ne me sentais pas comme dans une nouvelle relation, avec elle. Et cela venait surement du fait que l’on s’est cherché depuis pas mal de temps. C’est comme si mon cerveau s’était déjà conditionné dans une relation avec Aleyna depuis un bon bout de temps. Je n’étais pas mécontent de cela. Ca me plaisait même. J’avais l’impression d’avoir une petite dispute de couple. Une dispute calme, où chacun n’était pas d’accord avec l’autre. Je voulais l’aider. Elle ne le souhaitait pas. Ou du moins, elle ne voulait pas que ce soit « officiel ». Que je l’aide de temps en temps, elle ne dit pas non. Elle ne veut tout simplement pas que je le dise à haute voix. Que ça fasse trop officiel et que je m’en sente obligé par la suite. Au fond, je peux la comprendre, mais ce n’est pas ça qui allait m’arrêter. J’avais donc décidé de jouer la carte de l’amitié. Ah, pour ça, elle ne pouvait pas dire non. Bien qu’au plus profond, apparemment il s’agissait d’une crainte. Elle avait peur. Je la regarde et lui souris. « Si un jour je veux blâmer quelqu’un pour avoir manqué ma jeunesse comme tu le dis, ça sera moi et non toi. C’est moi qui m’impose. » Après cela, elle me confia enfin me faire confiance et qu’elle acceptait. Mais qu’elle ne prenait cette aide qu’en tant qu’ami. Notre relation n’avait rien à voire dans cette aide que je lui offrais. Al’ sait que je suis là pour elle. Après tout, j’ai été là lorsque son copain est mort. Je l’ai connue lorsqu’elle était avec lui. J’étais un ami. Et le fait qu’on soit maintenant ensembles, n’allait rien changer dans notre amitié. On vivra tel un couple, mais notre amitié restera la même. Et cela, elle devait le comprendre. Elle allait, d’ailleurs, bien vite le remarquer.
On profitait comme on pouvait de notre moment à deux. Ce qui n’est pas tellement simple dans une chambre d’hôpital. Avec les visites intempestives des infirmières, et la petite Hawen qui se trouve dans la même pièce que nous. On pouvait tout de même se trouver dans le même lit, un peu serrés, mais tant pis. On souhaite tellement se retrouver qu’on n’y fait même pas attention. Et enfin de compte, nous avons trouvé une place plutôt agréable tous les deux. Nous sommes agréablement bien posés. Bien que sortir d’ici ne fera pas de mal à Aleyna je pense. Bien que cela signifiera qu’elle devra totalement s’occuper de sa fille, et d’elle-même. Je serais là. « Je comprends, mais tout ce que tu as traversé, c’est ça qui fait de toi la femme que tu es. Et celle que j’aime. Tu es spéciale à mes yeux, n’oublies jamais ça. » Ce que l’amour peut vous faire dire. Des tas de choses. C’est incroyable le pouvoir de l’amour. « Et puis, même s’ils ne le montrent pas, je suis sur qu’ils pensent à toi. Comme tu l’as dit, on n’a qu’une seule famille, et c’est pour la vie. C’est dur de ton côté, mais je pense que ça ne doit pas être facile de leur côté non plus. » Je rajoutai tout de suite après « non pas que je les défende, hein… mais tu as une famille ici de toute façon ; ta fille, et… moi… » Je lui disais ouvertement qu’on pouvait former une petite famille à nous trois. Ca devait avoir frôlé nos esprits à tous les deux, mais j’avais eu envie de le dire à haute voix. Espérant que ça ne l’effraie pas trop non plus. Au pire des cas à la faire fuir à son tour. Bien qu’apparemment ça ne la faisait pas fuir, au vu, ou plutôt à ses touchers. Ma main se retrouva sur le haut de sa poitrine, quant à ses mains, sous mon tee-shirt. Je la regarde, curieusement. Ce n’était pas elle qui avait dit non, soit disant à cause des infirmières, etc. ? Je parle, mais au fond j’adore ça. Et puis, elle en avait le droit de jouer. C’était moi qui avais joué la dernière fois, dans les cabines d’essayage. Nous sommes ce genre de couples qui arrivent à mettre du piment dans notre relation sexuelle. Je lui rends son baiser, avec envie. Oh oui je l’assume. Si elle me montre une quelconque envie de sexe, là, maintenant, je ne dirais pas non. Elle m’avait manqué. Et je le dis : il ne m’en faudra pas beaucoup pour devenir chaud bouillant. Tout en l’embrassant, je descends ma main jusqu’à l’un de ses seins. Par la suite, je continue mes baisers dans son cou, sur son décolleté, sur le sein en question. Ensuite, je la regarde coquinement, et lui dis « Espèce de petite joueuse va… » Je repose mes lèvres sur les siennes, pour les lui mordiller.
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Sujet: Re: je suis tombé(e) sous le charme. [ft. Lucas] Mer 29 Mai - 21:20
Aleyna &' Lucas.
C’est vrai que l’on dit que le vrai amour existe quelque part, que nous n’avons qu’une seule âme sœur dans ce monde. Moi, par exemple, je ne sais pas. Pourquoi ne pourrions-nous pas en avoir plusieurs ? Nous ne sommes pas fait pour seulement convenir à une personne…non ce n’est pas possible pas avec autant de personne sur ce Monde. Il y a des choses auxquelles je veux croire mais d’autres, je ne peux pas. C’est impossible et tout simplement sans sens. J’avais eu Keyon quelques années auparavant et je savais que si il avait toujours été là, il aurait été l’amour de ma vie et je ne serai pas celle que je suis à l’heure actuelle. Oui je me serais toujours battue pour l’avoir dans ma vie, pour être heureuse à ses côtés et le rendre heureux tout simplement. Oui Keyon est mon âme sœur, ou plus exactement l’une de mes âmes sœur. Lucas, était-il aussi une de mes âmes sœurs ? J’osais l’espérer car…je tombais de plus en plus amoureuse de lui et vivre d’amour nous fait du bien, vraiment du bien. Je suis heureuse à l’heure actuelle, et je suis comblée…heureuse avec mon accouchement et surtout la naissance de ma petite princesse mais comblée grâce à Lucas qui avait su être là à temps. Je n’aurai pas pu parier sur sa présence, surtout pas après nos dernières semaines mais il était bon en surprise, et la preuve aujourd’hui encore. J’étais ravie de le voir ici à mes côtés et surtout tout faire pour me rendre heureuse et pour m’enlever un peu de poids que j’avais sur les épaules maintenant que ma petite princesse était née. Je ne savais pas encore comment j’allais pouvoir faire et j’avais tout de même peur de ne pas assurer mais j’allais l’assumer comme depuis ce jour où j’ai su que j’étais enceinte. Ma petite fille, je l’aime et…je ne ferai pas la même erreur que mes parents, je ne lui tournerai jamais le dos. Personne ne le mérite à vrai dire. « Je le sais Lucas… je ne veux juste pas être la cause de ta tristesse c’est tout. » On est jamais mieux servit que par sois même non ? Je devais essayer d’arrêter de penser comme ça et surtout de laisser un peu de place aux autres quand ils veulent m’aider. Ce n’est pas une chose facile pour moi mais je dois travailler là-dessus, pour mon bien, et pour son bien aussi. Je le regardais avec un léger sourire avant de lui voler un baiser et de lui mordiller doucement la lèvre avant de rire doucement.
Ne jamais se laisser de côté, savoir profiter de tous les moments que la vie nous offre. C’est exactement ce que je faisais chaque jour. J’essayais de toujours fonctionner comme mon cœur me le disait, comme il me le dictait mais surtout de ne jamais regretter mes choix…ou essayer tout simplement. Combien de fois j’ai regretté ce qu’il s’était passé avec Lucas ? Combien de larmes avais-je versé face à ce refus catégorique de me voir, de me parler ? Certainement trop mais je ne lui dirai pas, je ne voulais pas qu’il le sache… je voulais qu’il me pense forte et non plus faible face à mes sentiments amoureux, bien que ça soit vrai. Je le gardais contre moi, alors que nous étions assis sur le lit d’hôpital…et rien que de pouvoir être là, était comme un cadeau tombé droit du ciel. Je caressais doucement sa main avant de le regarder et en souriant mais je retirais doucement ce sourire de mon visage assez rapidement puisque l’on parlait de ma famille…vous savez ceux qui ont décidé de ne plus me donner de nouvelles quand ils ont apprit pour ma grossesse non désirée…oui, eux. Rien de bien gai à vrai dire. « Je suis d’accord…je suis comme ça grâce à toutes ces épreuves que j’ai du traverser mais rien n’enlève le faite que mes parents me manque mais qu’ils m’ont, eux aussi, déçus avec leurs réactions. Tu sais aussi que j’étais très proche d’eux et de mon frère et là, plus rien…» Je fis une drôle de moue et je soufflais doucement en le regardant à nouveau avant d’hausser les épaules doucement avant de reprendre la parole assez tristement, je n’avais pas la même fougue qu’avant…non je n’étais pas trop motivée par tout ça. « Ils pensent à moi, oui certainement mais ils ne sont pas fier de moi et je le sais. Ils l’étaient avant car j’ai toujours été comme ils voulaient mais depuis ma chute aux enfers et ma grossesse, ils ne le sont plus. C’est comme ça. Je le sais et je l’accepte. » Puis je dis plus doucement. « Ce n’est pas grave, je n’ai pas le choix. » puis je soufflais doucement avant de le regarder à nouveau. Une chose est sur, je leur en voudrai toujours étant donné qu’ils n’avaient pas été là durant ma grossesse et ce n’est pas pardonnable à mes yeux, j’avais eu besoin d’eux comme jamais et…ils m’avaient renié ! Je ne voulais même plus en parler alors je m’arrêtais avant de verser une larme. Je souriais très faiblement avant de le regarder et de lui donner un baiser en guise de remerciement. « Ma nouvelle petite famille, oui… je t’aime. » puis je me mis dans ces bras doucement mais surement. Je voulais seulement me sentir protéger et comme une petite enfant que son papa protège, chérie et que sais-je encore. Il ne m’en fallait pas plus, seulement ces deux bras pour me faire du bien. Je souriais tout en fermant mes yeux.
Puis j’ouvris doucement mes bras par la suite avant de sourire et de commencer à vouloir jouer avec lui comme je le souhaitais. Je voulais le faire craquer, le faire fondre…lui donner envie de plus avec moi tout en étant assez inaccessible étant donné que nous étions actuellement dans une chambre d’hôpital…mais c’est comme ça, j’aime les défis. Et je me mis à rire doucement en me souvenant de beaucoup de moments ensemble. Puis alors que je commençais à jouer il se mit alors à riposter et à m’embrasser, descendre ses baisers sur mon cou et sur mon sein par la suite. Je ne pouvais pas succomber maintenant. C’était impossible d’être aussi faible surtout après un accouchement. « Très petite joueuse, je sais…oui. » puis je l’embrassais avec envie et amour avant de mettre ma main sur son entre jambe, toujours placé sur son jean et je souriais malicieusement avant de le regarder dans les yeux ayant de plus en plus envie de lui. « Je suis l’arroseur…arrosé. » je venais de me faire prendre par mon propre jeu…c’est comme ça, je ne pouvais que m’en vouloir à moi-même, même si je ne m’en voulais pas au départ. J’aimais ce genre de sensations et à l’heure actuelle je ne savais pas encore comment nous allions gérer tout ceci. Je lui caressais doucement sa joue tout en bougeant doucement mon buste tout en souriant en sentant sa main sur ma poitrine…chose que je ne pouvais qu’apprécier face à Lucas. Je me mis un peu plus à sa hauteur et collé à lui pour profiter de ce moment d’avantage. J’étais amusée de tout ceci…c’était le plus important, non ?!
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Sujet: Re: je suis tombé(e) sous le charme. [ft. Lucas] Mer 5 Juin - 12:25
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Aleyca ✖ Pour certaines personnes il leur est facile de demander de l’aide aux autres. D’ailleurs ces personnes-là, en abusent de temps en temps. A croire que leur entourage n’est que là pour les servir et les aider. Mais stop ! Les amis sont là pour nous aider, mais seulement dans les cas extrêmes. Je suis dans cette optique là, moi. Quant à Aleyna ? Peu importe la gravité du moment, elle évite le plus souvent possible de demander de l’aide. Ou du moins, c’est l’image qu’elle me donne, à moi. On sait tous comment c’est difficile d’élever un enfant seul, surtout à cet âge-là. Et pourtant, elle insiste sur le fait d’essayer le plus possible d’être la seule. De ne pas recevoir mon aide. Enfin de compte, c’est comme, elle, elle le souhaite. Je ne vais tout de même pas l’obliger. De plus, je n’ai aucun droit légal sur cet enfant. Je ne peux rien lui demander. Je ne peux pas réellement m’imposer, bien que j’impose le fait que je sois là pour elle. Le fait qu’elle puisse compter sur moi. Oui, j’insiste. Limite à en être chiant, mais je veux réellement qu’elle sache que je suis là pour elle. Qu’elle sache qu’elle peut compter sur moi. Mais mon idée n’est pas vraiment d’imposer ma présence dans la relation entre elle et sa fille. Génétiquement parlant, je ne suis pas du tout apparenté à cette petite fille, mais sentimentalement parlant, j’accepte d’endosser le rôle d’un père de famille. A voir si Aleyna accepte cette idée. Elle ne prendra surement pas sa décision de suite, mais le fait est que ça se fera surement naturellement. Après tout, nous sommes enfin en couples. Et qui d’autres pourraient être le « père » de cet enfant ? Killian son meilleur ami ? C’est une idée plausible. Mais encore une fois c’est à elle de faire son choix. « Je ne serais jamais triste par rapport à ça. Sois en sure. » Comment pourrais-je l’être ? Même si je regrette plus tard mon choix, j’aurais passé mes meilleurs moments en leur compagnie, et ça : ça ne peut pas se regretter. Avoir une famille autour de soi c’est ce qui peut nous rendre le plus heureux. Je suis très proche de ma famille, et heureux comme ça. C’est là que je me mis à penser à ma princesse. Celle dont la famille l’avait reniée. Comment une famille peut-elle couper les ponts ainsi ? Ne pas être d’accord, je suis d’accord. Oh, toutes les disputes que j’ai pu avoir mes parents à cause de désaccords je ne pourrais pas les lister, et pourtant nous sommes encore là les uns pour les autres. Je n’ai jamais connu la famille d’Aleyna. J’étais assez triste de me dire que je ne rencontrerais jamais ma belle-famille. Alors qu’elle, je compte bien la présenter à la mienne. Bien que j’aie peur que ça lui fasse du mal. Voir le bonheur de ma famille. Je ne saurais dire tout ce que je ressens au moment où elle me parle de sa famille. De ce qu’elle ressent. Cette déception. Je n’ai même rien à dire. Je la prends juste dans mes bras. Tout en lui déposant un baiser sur le front. Tous ces gestes qui prouvent d’une certaine protection. Ce que les hommes font aux femmes lorsqu’ils sont protecteurs envers elles. « Je t’aime aussi ma jolie. »
On passe de l’amour à « faire l’amour » ? Suis-je vraiment en train de vivre ça ? Oh, je ne fais pas mon surpris. C’est tellement fréquent entre nous. Passer du coq à l’âne. C’est aussi ce fait qui rend unique notre relation. On ne sait jamais à quoi nous attendre ensembles. On se laisser aller. Aux envies de l’autre. On en avait apparemment fini avec les déclarations. Al’ souhaitait apparemment passer d’un autre ciel, d’un autre univers. Passer de celui de l’amour au sexe. Elle n’a pas besoin de me le demander plusieurs fois. Vous savez, quand la fille que vous aimez vous chauffe de cette façon, après un moment d’absence, on ne peut pas vraiment se retenir. Oui, je l’avoue. Je laisse mes envies animales prendre le dessus. Tant pis qu’on soit dans une chambre d’hôpital, avec un nouveau né dans la même pièce. Après tout, c’était à miss Forzwood d’y penser avant. « Petite ? Je ne pense pas pouvoir être d’accord avec ça. Tu es loin d’être une petite joueuse. Tu en es une grande, petite perverse. » Et bien oui quoi. J’avais bien raison d’ailleurs, car une petite joueuse ne poserait pas sa main sur l’entre-jambe du mec. Elle se contenterait des baisers. Je la regardais, pour une fois assez surpris. « Je crois que ça m’appartient ça… » Je souris en suite, amusé de la situation. Nous avions chacun une main posée sur une partie intime de l’autre. Et vous voulez savoir ? Même si nous n’allons pas jusqu’au bout, je ne serais pas mécontent. Cette situation me suffit. Serais-je en train de me calmer question sexe ? Surement. Non pas qu’Aleyna ne m’excite plus, bien au contraire. Par ailleurs, je me mis à lui dégrafer son soutien gorge. Avec un sourire malicieux sur le visage. « Alors, très arrosée, même. » Et là, j’eus une petite idée de souvenirs, pour elle. « Dis-moi, ça te dirait d’avoir un souvenir de ce jour pendant quelques jours ? » Oh, elle allait surement comprendre de quoi je veux parler. Qu’est ce que je comptais faire. Mais peut-être pas non plus. Après tout, qui de nous deux aurait même pu s’imaginer une telle situation, là, ici ? De vrais petits fous que nous sommes. Je continuerais alors à dire que l’amour vous fait faire certaines choses vraiment inimaginables. Je suis même content de voir ce que nous sommes en train de faire au moment présent. Nous lui donnons notre propre empreinte. Je pense qu’il y a nous deux pour faire ça. Quoique, il existe surement d’autres fous dans le même genre.
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Sujet: Re: je suis tombé(e) sous le charme. [ft. Lucas] Jeu 13 Juin - 19:29
Aleyna &' Lucas.
C’est vrai que je dois avouer que rien n’est facile dans la vie. On ne peut pas savoir ce qui est acquis ou non, notre vie est sans cesse remit en cause. On relève un défis et à peine ce dernier fais on se doit d’en relever un nouveau. Après le décès de mon petit ami, j’ai du faire face à une descente vers l’enfer ainsi qu’une grossesse. Une grossesse pas comme les autres. Je n’aurai jamais pensé que cela allait m’arriver, car oui c’est bien connu : cela n’arrive qu’aux autres. Eh bien je suis la preuve vivante que non. J’ai juste décidé de ne pas m’arrêter de vivre même si au fond de moi quelque chose s’était éteins à sa mort. Durant des mois j’ai pleuré, durant des mois j’en ai voulu à cette maladie…mais grâce à mon meilleur ami et surtout à Lucas, j’étais arrivé à faire face et à essayer de voir le positif malgré la douleur. D’ailleurs j’étais prête à refaire ma vie, il était temps…et je n’ai que 21 ans, je ne peux pas m’arrêter de vivre maintenant, ma vie ne m’attendra pas. Je dois donc la saisir au plus rapidement possible. Vous ne pensez pas ? Je ne dis pas que je dois l’oublier, que je dois cultiver ce trou noir en moi. Impossible, il fait partit de ma vie et ça tout le monde le savait. Actuellement, j’étais sur mon lit à l’hôpital…alors que je venais de donner la vie à ma pitchoune et à ma plus grande des surprises Lucas était là, je ne savais même pas comment le remercier, comment lui donner tout l’amour que je ressens à ce moment même. J’étais heureuse, très heureuse, et je pense que ce sentiment ne fait que commencer. Je l’écoutais attentivement et j’avais l’impression de boire ces paroles, un peu comme toutes ces filles folle amoureuse d’un homme, de son âme sœur. Oui d’ailleurs je ne connaissais pas encore la signification de notre futur (si futur il y a) mais j’y crois dur comme fer. Nous deux…on ira loin. « D’accord, je te fais confiance et…j’accepte alors. Je veux seulement que tu continue de vivre comme tu le fais…sortir et tout ce qui s’en suit. » Je le regardais dans les yeux avant de reprendre simplement. « ça ne sera pas facile pour moi dans les premiers temps, parce que j’aurai toujours peur que tu t’amuse plus loin de moi qu’à mes côtés mais..je veux que tu vive comme tous les jeunes de ton âge. » Après tout ce n’est pas lui le père et il ne l’a pas porté cet enfant. La seule et unique personne qui doit l’assumer c’est bien moi. Le père de mon enfant est partit du jour au lendemain alors que nous devions nous voir pour l’écographie du 5ème mois. Oui je lui en ai voulu, je m’en suis voulu mais jamais je n’ai renié mon enfant…je l’aimais depuis le premier jour où je l’ai sentis dans mon ventre. N’est-ce pas l’une des plus belles preuves ? Je ne vais pas mentir, oui j’aurai aimé être enceinte de mon petit ami, oui j’aurai aimé faire vivre un petit bout de lui durant de longues années…mais tous nos désirs ne sont pas exhaussés. Je me laissais aller dans ses bras avant de lui déposer un tendre baiser et de fermer les yeux à l’écoute de ses quelques mots doux. Il me rend heureuse à l’heure actuelle, et je ne peux pas le nier. Je l’aime, lui et seulement lui.
Le manque. Voilà ce qui était entrain de se révéler entre lui et moi. Oui nous nous étions pas vu durant de longues semaines, nous n’avions pas pu nous parler, nous prendre l’un contre l’autre, nous toucher, nous embrasser et plus si affinité. Je suis quelqu’un de très tactile et ça me fends le cœur de ne pas pouvoir le faire et c’est aussi pour ceci que je voulais m’amuser avec lui. Je voulais voir qui allait succomber le plus rapidement et celui qui allait devoir prendre une douche froide pour se calmer...bien évidemment j’avais plus de facilité à le cacher alors que lui…il ne pourrait pas le faire durant des heures et des heures. J’arquais doucement un sourcil avant de regarder mon petit ami –oh que j’aime penser comme ça- et je lui volais un baiser. Oui je voulais le tenter mais rien de plus…enfin pas actuellement, je n’y pensais même pas...ou plus exactement : pas dans une chambre d’hôpital, hors de question. « Vraiment ? Je suis de loin une petite joueuse ? Alors…est-ce que cela veut dire que tu as peur de ce que je pourrais te faire ? Que tu as peur que je n’aille pas jusqu’au bout ? » J’allais le tenter, Oh oui ça je le savais et je voulais qu’il me désire de plus en plus… « Une femme ça se fait désirer…sache le. » voilà la seule chose que je lui dis, doucement, entre deux regard coquin. Puis je déposais doucement ma main sur son jean avant de commencer à jouer. Je lui retirais doucement sa ceinture avec un petit regard qui voulait tout dire… « Toi et moi on est en couple, pas vrai…alors tout ce qui t’appartient, m’appartient. » Je lui fis un clin d’œil avant de lui arracher un baiser et de lui mordiller doucement sa lèvre. Oui, cela n’était pas passé dans l’oreille d’une sourde. Lui et moi on était un couple, alors partageons tout (a) Puis je sentis qu’il était entrain de me dégrafer mon soutiens gorge, et je me mis à rire doucement avant de le regarder dans les yeux et de me mordre la lèvre avec un regard qui voulait tout dire. « Monsieur aurait-il besoin de plus... ? » puis je retirais ce dernier tout en laissant ma blouse d’hôpital sur moi…ce n’est pas la fête non plus. Je lui laissais doucement ma main où elle était si bien mise depuis quelques minutes avant de lever les yeux vers les siens. « Hm, je ne sais pas…qu’est-ce qui pourrait me convaincre ? » Il fallait qu’il trouve les bons arguments et je savais déjà qu’il allait en avoir. Je voulais juste voir ce qu’il avait derrière la tête, réellement. Nous avions tellement passé de bon temps lui et moi que je voulais être sur la même direction. Etre dans une telle situation, sur un lit d’hôpital…me faisait rire intérieurement mais j’avais ces quelques palpitations intérieurement puisque j’avais peur que nous soyons interrompus assez rapidement et de façon assez surprenante. Oui ce ne sont pas les visites qui manquent quand nous sommes en maternité et que nous venons d’accoucher. Oui les infirmi(ers)ères sont devenus mes meilleur(e)s ami(e)s depuis mon arrivée.
Kevin F. Tatcher
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Sujet: Re: je suis tombé(e) sous le charme. [ft. Lucas] Ven 14 Juin - 2:53
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Aleyca ✖ L’amour c’est comme ça. Il arrive dans votre vie lorsque vous ne vous y attendez le moins. J’avouerais que je serais prêt à croire en Cupidon. Après tout, certains croient en Dieu… Moi je crois en tout ce qui touche de près ou de loin au surnaturel, alors pourquoi pas Cupidon ? D’ailleurs, en parlant de ça, je me demande si Aleyna est au courant de cette partie de moi. Cette part en moi qui croit au surnaturel. Ca fait souvent flipper les gens, d’où la raison de mon silence à ce sujet. Les gens se trompent. Généralement, lorsqu’on leur annonce qu’on croit au surnaturel, ils vous perçoivent tout de suite comme une personne pratiquant de la « magie ». Loin d’être mon délire ça. En ce qui me concerne, je ne crois pas aux choses non élucidées. Et c’est à ce genre de choses auxquelles je mets une signification surnaturelle. Tout comme je le fais pour notre amour. C’est arrivé si… bref, c’était si inattendu quoi. Si inattendu que je n’ai tout d’abord pas cru en mes sentiments envers elle. Vous savez, lorsque vous couchez avec une fille comme ça, juste pour l’amusement, vous tentez toujours de vous mettre des limites. Ne pas ressentir un quelconque sentiment amoureux pour cette personne. J’avais dépassé cette limite, fort heureusement pour moi, Aleyna l’avait aussi fait. Et j’étais heureux que ce soit tombé sur elle, et non par exemple Benedikt. Avec qui je l’avais fait une fois. Oh vous pouvez pensez ça stupide, mais il aurait pu être possible que je tombe sous le charme de ce jeune homme. Personne ne sait quel est son réel destin. J’ai toujours pensé que Dieu jouait avec nous, tout comme nous on joue aux Sims. Si vous voyez ce que je veux dire. C’est une idée plutôt amusante, non ? Je la regarde, écoutant ses craintes. Je lui caresse alors doucement la joue. Un geste pour la rassurer. « Ne pense pas ça ma chérie. Et je te promets qu’on ira faire la fête de temps en temps ensemble. On demandera à quelqu’un de garder la petite. » Elle veut que je m’amuse, mais elle dans l’histoire ? Elle en aura tout autant le droit. Et je compte bien faire en sorte qu’elle puisse faire la fête au minimum une fois par mois. Au grand minimum. Après tout, je ne peux pas l’emmener dans toutes les fêtes de ma confrérie. Elle doit s’occuper de ses études et de sa fille. Certes, elle est jeune, et maman célibataire, mais je sais qu’elle arrivera, avec mon aide et l’aide de son meilleur ami, à concilier sa vie de maman et de jeune adulte. Je ne veux pas non plus qu’elle sacrifie sa jeunesse pour que je m’octroie de mon côté du bon temps en soirées. On arrivera toujours à trouver quelqu’un pour garder la petite. Ce serait mieux si on nous le faisait gratuitement, mais s’il le faudra vraiment, je serais prêt à payer une nounou pour faire sortir ma chérie. Voilà ce qu’allait être ma vie, notre vie. Je pourrais partir maintenant. Mais non. Je suis bien trop amoureux de cette fille pour la laisser maintenant. Amoureux, et prêt à beaucoup pour ces quatre beaux yeux.
Et ce qui en suivit me plut. Bien sur qu’en venant là je m’attendais à beaucoup de choses, mais pas vraiment à finir dans le même lit que ma princesse, et à se chercher. A jouer –sexuellement- ensembles. Je m’attendais à ce qu’elle m’envoie chier. Je m’attendais à ce qu’elle accepte mes excuses, mais sans plus. Je m’étais imaginé tellement de scénarios que je pourrais produire des films à ce sujet. L’histoire d’un homme qui laisse son égo de côté pour se faire pardonner auprès de la femme qu’il aime au moment de son accouchement. Ah, lorsque j’y repense. J’ai eu un certain courage à le faire. Pas beaucoup d’hommes l’auraient fait. Demander aux femmes, tiens. Elles vous riraient au nez. A ses paroles, je souris et lui laissa un baiser sur le bout de son nez. Impatient de voir ce qu’elle me préparait. Et lorsqu’elle m’annonça que tout ce qui m’appartenait lui appartenait, maintenant qu’on était un couple, j’explosais de rire. Elle m’avait bien eu sur ce coup là. Je l’avoue. Elle sait bien jouer, et elle réplique bien. « Je n’oublierais jamais ce que tu viens de me dire mon petit cœur. » Des paroles qui sont restées en mémoire, à tout jamais. Je me mis alors à lui dégrafer son soutien-gorge. Bien sur que j’en voulais plus, et je n’allais pas le lui cacher. « Tellement plus, tu n’imagines pas à quel point. Je serais capable de te kidnapper de ta chambre, et t’emmener quelque part dans l’hôpital où on ne pourrait pas nous trouver, pour te faire l’amour comme je ne te l’ai jamais fait. » Je lui glissai même d’autres paroles, bien plus crues. Mais ça restera entre nous deux. Bien que je puisse vous dire que sa main sur mon intimité commençait réellement à m’exciter au plus haut point. J’étais en manque. Elle aussi apparemment, car je ne l’avais jamais vu aussi entreprenante. Du moins, avec moi. Et j’aimais ce côté-là qu’elle me montrait. Et alors j’eus une idée. Qu’est ce qui pourrait la convaincre ? Bon ça veut dire oui, ça non ? Enfin, je prenais sa réponse telle quelle. Je me mis à lui déposer des milliards de baiser sur son cou, jusqu’à m’arrêter, la regarder, lui sourire et reposer mes lèvres sur son cou pour en laisser un suçon. En espérant que les médecins, infirmières n’inspecteraient pas cet endroit. Bien que même s’ils le faisaient, et bah alors ? On a le droit de s’amuser, même dans un hôpital. « J’aime ta peau. » Ca fait un peu psychopathe non ? Pas du tout. Je suis totalement normal. D’un coup, je nous changeais de position, me retrouvant alors sur elle. Me frottant même à elle. Bassin contre bassin. Tout en étant toujours habillés. Oh ça va ! Je lui pris ses mains et l’embrassa. J’étais tellement pris dans l’action que je n’entendis même pas que quelqu’un arriver dans la pièce, jusqu’à ce que cette personne tousse. Par réflexe, je me jetais à terre. Aïe. C’était une infirmière. Je me relevais, et dis d’un coup « Euh, elle avait mal. Et vu qu’il n’y avait pas de médecin, bah j’ai… euh, je l’ai diagnostiqué. » C’est ça Lucas ! Tu regardes trop la télévision toi. Mon regard se posa sur celui d’Aleyna et sourit. On avait été prit, en flagrant délit. La honte. Puis, l’infirmière devait avoir compris, au vu du regard qu’elle nous jeta. L’air amusé. Bon allez Lucas, met ton petit grain d’humour. « Je vous aurais bien proposé de la diagnostiquer avec moi, mais le lit pour trois… trop petit. Vous devriez investir dans des plus grands lits. » Et là, quel idiot. Pourquoi avoir dit cela ? Et si je tombe sur une infirmière coincée ? Je risquerais qu’elle porte plainte ou je ne sais quoi. Heureusement pour moi, elle le prit mal. Je vis même les deux femmes rire. Ouf. « Bon, euh, je vais chercher un café. » et je partis presque en courant. Il ne fallait plus que je recroise cette infirmière, oh la honte. Lucas apprend à fermer ta grande bouche.
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Sujet: Re: je suis tombé(e) sous le charme. [ft. Lucas] Sam 15 Juin - 19:16
Aleyna &' Lucas.
En faite ce qui a de bien dans notre relation avec Lucas c’était le faite que nous puissions parler de tout sans avoir peur d’être jugé et sans avoir peur qu’il ne vienne me critiquer. Je suis juste heureuse de le voir comme ça avec moi. Il me rend heureux et c’est déjà énorme, vous ne pensez pas ? C’est vrai que j’ai énormément de craintes, et de peur…sans parler de questions, en moi mais je savais une chose : il me comblerait dans tous les domaines. Je souriais légèrement avant de sentir sa main sur ma joue. EN un seul geste je me sentis rassurée et bien mieux. Je peux lui faire confiance. « Qu'est-ce que je ferai sans toi, ein ? Qu'est-ce que je pourrais faire si tu n’étais pas à mes côtés ? Si tu ne prenais pas de temps pour me rassurer, pour me protéger et tout simplement pour m’aimer ? » je souriais en coin, légèrement, avant de la regarder dans les yeux. Il me rend heureux et c’est aussi à cause de tout ça que j’ai peur de le perdre, qu'il trouve quelqu'un d’autre….plus jolie, moins grosse et surtout moins maman sur les bords. J’avale doucement ma salive avant de reprendre par la suite. « Je sais que je peux te faire confiance, que je peux compter sur toi pour me faire sentir jeune encore…mais…ça me fais peur. » dis-je doucement. Oui je ne regrette pas d’être mère, loin de là mais j’avais quand même peur de passer à côté de quelque chose de bien, de rester enfermer dans ma bulle de maman et pourtant c’est ce que j’allais devenir, ce que j’allais faire…je me connais et j’allais tout donner à ma petite puce. Elle mérite d’être heureuse, comme moi j’ai été heureuse. Je ne sais pas si ce sentiment n’est qu'éphémère mais je veux y croire, et je ferai en sorte que je puisse encore et toujours ressentir ce sentiment, oui il m’avait manqué lui aussi.
Je venais d’accoucher et pourtant j’avais l’impression d’être maman depuis bien plus que ça…peut être qu'au fond, on devient maman lorsque nous tombons enceinte et non pas lorsque nous accouchons. Non, je ne pense pas. Il suffit qu'un être grandisse en nous pour nous sentir forte, importante et…devenir quelqu'un d’autre, cette personne qui protégera, et aimera ce petit être qui grandit en soi : son propre enfant. Il n’y a pas un sentiment plus parfait que celui là. Enfin, je crois. En tout les cas, pour moi c’est le cas, surtout à ce moment même. Et puis vint le tour d’une situation assez complexe à vivre : une attirance physique, qui se créait de plus en plus fortement et de plus en plus rapidement. C’est vrai que nous nous étions pas vu depuis de longues semaines mais je ne pensais pas qu’il m’avait autant manqué. J’étais littéralement attiré vers lui et pas seulement mentalement, physiquement aussi. Je souriais alors que j’avais ma main sur son jean vers son entre jambe et je me mordais la lèvre en le regardant dans les yeux. Je lui fis un sourire malicieux alors que je venais de lui faire la remarque que nous étions au stade où nous devions tout partager, n’était-ce pas ce que nous recherchions dans un couple ?! J’arquais doucement un sourcil avant de lui arracher un baiser assez volage. « Vraiment ? Dommage que la petite est dans notre chambre…je crois que je t’aurai tout donné…comme jamais. » Voilà je venais de répondre à ses avances et surtout je venais de donner le ton. Est-ce trop cru de dire que je le voulais en moi ? Tant pis c’est dit. Je souriais toujours en le regardant dans les yeux et en pensant à des choses non catholiques et étrangement j’en étais heureuse et fière. Puis doucement et en ne lâchant pas ses yeux je repris. « Kidnappe-moi. » Je savais très bien que ça n’allait reste qu’au stade des paroles puisque je ne pouvais pas quitter cette chambre en la laissant seule. Oh que non. Et puis je me mordais les lèvres lorsqu’ils me firent d’autres déclarations au creux de mon oreille. Je fermais les yeux avant de mettre un peu plus de pression sur son jean, comme pour lui montrer tout ce que je ressentais lorsqu’il me parlait comme ça. Lorsque je sentis ces baisers sur mon cou et son suçon...je me mis à frissonner et je mis mon cou en arrière en appréciant le tout. « hmm » je ne pouvais même plus parler, c’était bien le seul son qui pouvait encore sortir de ma bouche. Mais sans que je ne puisse me douter de quelque chose il me changea de position et je le laissais donc prendre le dessus, bien évidemment j’avais laissé ma main migrer jusqu’à ces fesses et je souriais en le fixant tendrement droit dans les yeux. Nous nous embrassions avant que…nous remarquions que nous n’étions plus seuls. Il sauta du lit et je me mis à pouffer de rire en le regardant et sans laisser de son sortir de ma bouche « tu t’es fais mal ? » je lui fis un clin d’œil avant de regarder les infirmières tout en sentant mes joues devenir de plus en plus rouge. Oui j’avais chaud mais pas pour les mêmes raisons qu’il y avait quelques secondes. Par la suite je me mis à rire plus franchement et sincèrement. Je ne pouvais plus me retenir, ça en était trop pour moi. Au fond cette situation était vraiment drôle et Lucas était un vrai clown je dois bien le dire. Il voulait jouer alors j’allais jouer aussi. « Oui ils ne sont pas si pratique que ça ces lits…vous en avez pas des plus grands ? ou une chambre double, qui peut se fermer à clefs ? » Je regardais Lucas avant de rire doucement et puis il préféra fuir avant de prétexter vouloir du café. Le ridicule ne tue pas mon cher. Voilà ce que j’aurai pu lui dire. L’infirmière resta ici et elle fit quelques petites choses à ma fille avant de me parler, me poser des questions et me donner des conseils vis-à-vis de ma petite. Par la suite elle quitta ma chambre avec mon enfant pour lui faire quelques examens post-accouchement, et je restais seule dans ma chambre…un peu rêveuse.
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Sujet: Re: je suis tombé(e) sous le charme. [ft. Lucas]