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Until the end of the night [PV Edward]

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MessageSujet: Re: Until the end of the night [PV Edward] Until the end of the night [PV Edward] - Page 3 EmptyMar 11 Oct - 21:44

    C’est clair, Maria avait beaucoup de chance, elle allait bientôt épouser l’homme quasi parfait. Mais bon Edward était un mec, et donc avait forcément des défauts. Ils en avaient tous c’était bien connu. Les femmes aussi d’ailleurs. Mais il faut l’avouer c’était quand même plus marqué chez le sexe masculin. Bah quoi c’est vrai, non ? Il n’empêche que Brooke aurait bien aimé vivre dans la peau d’un mec juste le temps d’une journée. Parce que l’homme était une énigme pour la femme, et la blonde était persuadée que si elle passait vingt quatre heures dans la peau d’un gars, elle en serait plus sur cette espèce que la femme ne comprendrait jamais. Mais bon c’était utopique. Enfin avec toutes les idées des chinois, on pouvait s’attendre à tout.

    Ouais enfin c’est plus facile à dire qu’à faire.


    Justement, son physique n’était pas forcément un atout. Il pouvait y avoir un connard à trois cent kilomètres à la ronde, il était pour elle. Être blonde, jolie et avec des formes bien placées offrait pas mal d’avantages c’est sûr, mais pour trouver un garçon bien c’était en rien utile. Bien sûr elle n’était pas à plaindre, mais disons qu’elle avait certainement plus d’efforts à faire que d’autres filles. Comme quoi le monde était vraiment mal foutu, parce que même une nana jolie n’arrivait pas à avoir le mec des ses rêves. Du coup elle se contentait de sortir avec des mecs qui ne l’intéressait pas vraiment, et de ce fait, elle n’arrivait pas à s’investir à cent pour cent dans une relation, donc le mec s’en rendait vite compte, ce qui il faut le dire arrangeait Brooke.

    J’imagine que ça doit être superbe, l’Europe est un continent tellement riche.


    Avoir des parents fortunés avait permis à la blonde de voyager à travers le monde. Elle était encore de loin d’en avoir fait le tour, mais quelques pays n’avaient plus de secrets pour elle, la France, l’Italie, l’Angleterre, l’Allemagne… Chaque été, ses parents embarquaient les quatre sœurs Rowen-Glaswell pour un voyage à travers l’Europe, et chaque fois la destination était différente.

    Le fait qu’Edward accepte sa demande lui fit réellement plaisir. C’est vrai que les liens amicaux qui les unissaient étaient de plus en plus forts. Comme quoi, l’amitié entre une fille et un garçon était possible. Ce qui d’ailleurs faisait toujours halluciner les amies de Brooke quand elle leur racontait son lien avec le beau O’Malley. Toutes n’avaient qu’une question, à savoir si il ne s’était jamais rien passé entre eux, mais la prof de maths avait beau leur certifier qu’absolument rien n’était arrivé, elles avaient du mal à les croire. Mais Brooke avait des principes et jamais elle n’irait dragué un homme en couple qui plus est avec des enfants, et sur le point de se marier.

    Brooke se mordit la lèvre. La proposition est plutôt alléchante. Elle lui donna un coup sur l’épaule, c’est vrai que le voir nu devait être un plaisir pou les yeux. Je te dis que je te considère comme un frère, alors te voir à poil même si ça doit être agréable, me fera vraiment bizarre, donc on va se contenter de ta chemise. Brooke se déshabilla donc devant lui après tout, elle portait des sous vêtements, et elle n’avait aucune gêne. Elle passa la chemise d’Edward sur elle. Il est clair que si quelqu’un arrivait maintenant, lui torse nu, elle couverte de la chemise de son ami, il pourrait se poser des questions. Edward O’Malley, t’es fort, c’est déjà la deuxième fois que je me déshabille ce soir. Elle se mit à rire. Les voici donc partit direction le rayon sport. Brooke enfila une paire de roller, ça faisait plusieurs années qu’elle n’en avait pas fait, mais a priori c’était comme le vélo, ça ne se perdait pas. Brooke qui avait prit son sac à main avec elle, sortit son téléphone portable. Viens là, faut absolument qu’on immortalise ce moment. Elle prit donc une photo d’eux deux. Bon passons aux choses sérieuses. Elle jeta un regard dans le magasin. Le circuit sera le suivant. Le départ est ici, l’arrivée au rayon sucrerie. Après tout, ils n’avaient pas mangé de dessert. T’es prêt ? Quand il lui fit signe que oui. A trois on part. Un, deux… Bien sûr Brooke ne compta pas jusque trois, et démarra. Elle était morte de rire, cette soirée allait se terminer aussi bien qu’elle avait commencé, et ça c’était juste magique…
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MessageSujet: Re: Until the end of the night [PV Edward] Until the end of the night [PV Edward] - Page 3 EmptySam 15 Oct - 12:09

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Il est vrai que les atouts physiques de Brooke n'étaient pas nécessairement des points positifs. D'ailleurs, je ne supporte que difficilement de voir des hommes la regarder de haut en bas comme des pervers en manque. Et quand je suis témoin de ce genre de chose – pour me trouver à côté d'elle à ces moments là –, je n'hésite pas à fusiller du regard tel ou tel type s'il venait à lui manquer de respect uniquement avec les yeux. Je suis très protecteur envers Glaswell, et elle sait que s'il venait à lui arriver quelque chose, si un homme venait à lui faire des avances contre son gré et qu'il se montrait trop lourd, je n'hésiterai pas une seule seconde à aller le voir pour mettre les choses au clair, quitte à devoir user de violence s'il le faut. On ne manque pas de respect à Brooke, et encore moins en ma présence. De cette même façon, si elle venait à avoir une histoire avec un homme, un minimum sérieuse ou non, je n'hésitais pas non plus à vérifier s'il ne se fout pas d'elle. Je vous l'accorde, ça a quelque fois fait fuir quelques uns de ses prétendants. En effet, lorsqu'elle m'en présentait un, je faisais à ce dernier un véritable interrogatoire, comme pourrait le faire un père pour le petit ami de sa fille, ou bien un grand frère pour la conquête de sa petite sœur. Et lorsqu'il ne m'inspire pas confiance, mais que l'interrogatoire s'est bien passé, il m'arrive de le menacer, de lui expliquer que s'il venait à la faire pleurer ne serait-ce qu'une seule fois, je l'attendrai au tournant pour lui faire avaler toutes ses dents, une par une. Au final, soit on prenait peur, soit on estimait que j'étais secrètement amoureux d'elle et que notre complicité traduisait des sentiments réciproques. Disons que c'est uniquement un grand côté protecteur.

Je ne cache pas que Maria pouvait trouver cela un temps soit peu agaçant. En effet, elle avait beau avoir confiance en moi, elle n'appréciait pas qu'une femme comme Brooke tourne autour de moi. J'avais beau lui répéter qu'elle n'était qu'une très bonne amie, elle restait parfois sceptique. Le soucis, c'est qu'elle n'a jamais vraiment eu confiance en elle vis à vis de notre relation. Elle se trouve bien trop vieille et parfois peu attirante, ce qui est totalement faux. Et ça serait presque dans l'ordre des choses, à ses yeux tout du moins, que je vienne à fantasmer sur des femmes beaucoup plus jeunes. Mais ce qu'elle oublie bien souvent, c'est que je ne vois qu'elle. Bien sûr, Brooke est très attirante. Ce n'est pas sa chevelure blonde qui m'attire, et encore moins sa poitrine avantageuse – même si je ne peux pas qualifier ses atouts de « laids » – mais davantage ses yeux ou bien ses lèvres charnues, sa façon d'être, son humour et son intelligence. J'avais beau trouver Brooke à mon goût, je restais amoureux de Maria et cette dernière restait la seule et l'unique à attirer autant mon attention.

« Je te dis que je te considère comme un frère, alors te voir à poil même si ça doit être agréable, me fera vraiment bizarre, donc on va se contenter de ta chemise. » Un sourire malicieux fendit mon visage en deux, alors que je venais de tourner la tête vers elle. La complicité qui nous unissait m'aidait à me retrouver torse-nu devant elle. Non pas que j'avais honte de mon corps, même si les poils châtains qui le parsemaient ne plaisait pas à toutes, mais plutôt de la longue cicatrice peu esthétique qui traversait à la verticale mon sternum, souvenir de ma transplantation cardiaque l'année dernière, suite à un arrêt de mon cœur en plein amphithéâtre. Depuis, je restais assez gêné à l'idée de me retrouver avec une telle marque rougeâtre et gonflée sur la poitrine. Mais je me disais que Brooke ne ferait aucune remarque désobligeante dessus, connaissant l'enfer que j'avais pu traverser l'année dernière.

Elle se déshabilla donc, également sans gêne. Je m'attardais un peu sur ce corps superbe qu'elle venait de dévêtir. Puis mon côté gentleman prit le dessus, si bien que je détournais mon regard bleuté et regardais en l'air, comme si le plafond était devenu d'un coup beaucoup plus intéressant. « Edward O’Malley, t’es fort, c’est déjà la deuxième fois que je me déshabille ce soir. » Un léger rire s'échappa de ma gorge. « Ce sont des années d'expérience. », lui répondis-je alors que je continuais de détailler le plafond. La voir ensuite vêtue de ma chemise lui donna un air encore plus sexy et ce fut la raison pour laquelle je souriais à nouveau. Je la suivais jusqu'au rayon destinés aux équipements sportifs. Je trouvais des rollers à ma taille et les enfilais. Souhaitait-elle perdre ? Parce que j'adore le roller et encore aujourd'hui, il m'arrive de débarquer en cours avec, pour le plus grand plaisir des étudiants.

Brooke voulu ensuite que nous prenions une photo de nous deux. J'acceptais bien vite et m'approchais d'elle. Et une fois n'est pas coutume, je faisais l'enfant, si bien qu'elle appuya sur le bouton au moment où je l'embêtais, c'est-à-dire en gênant son visage avec ma main. Au final, on put la voir sur le photo en train de se défendre contre ma main, les yeux fermés, et le sourire aux lèvres, alors que moi, je gardais ma bouille innocente. Puis je l'embrassais sur la joue, comme pour me faire pardonner.

Au moment où l'on commença la course, Brooke ne termina même pas le décompte avant de prendre son envol. « Tricheuse ! », lançais-je d'une voix amusée, à l'unisson avec le rire qui s'échappait de sa gorge. Puis je m'élançais à mon tour, particulièrement à l'aise sur les roues. Et comme j'avais des jambes plus grandes que les siennes, je ne pris pas beaucoup de temps avant de la rattraper. Ainsi je voulais l'embêter en faisant des queues de poisson juste devant elle, pour lui faire perdre l'équilibre ou bien pour l'obliger à freiner. Puis je roulais à reculons, face à elle donc, cherchant à lui chatouiller les côtes avec mes mains. La seule chose qui m'arriva, fut que je ne vis pas que j'étais sur le point de louper un tournant. Ainsi je me pris de plein fouet une grande pile de boîtes de conserve. Je crus entendre Brooke éclater de rire alors que je poussais une plainte de surprise, désormais par terre. « J'aurai dû deviner avec le sourire arrogant que tu avais ! » Puis je me mis à rire.
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MessageSujet: Re: Until the end of the night [PV Edward] Until the end of the night [PV Edward] - Page 3 EmptyMar 18 Oct - 17:24

    Edward O’Malley était la personne du sexe masculin, après son père bien sûr, que Brooke aimait le plus au monde. Il était drôle, beau, sexy, intelligent, protecteur, attachant, délirant, puérile, il cuisinait divinement bien, matait ailleurs quand une nana se changeait, il était presque le garçon parfait. Brooke l’aimait parce qu’entre eux, il n’y avait aucune prise de tête et que chaque moment qu’ils passaient ensemble se transformaient toujours en un moment inoubliable. Un ami, comme lui, il est clair qu’il n’en existait qu’un, et que Brooke se rendait bien compte de la chance qu’il lui avait été donné. Il est vrai qu’il jugeait chaque petit ami potentiel de la jeune fille, et même si parfois certaines de ses réflexions à l’encontre de ses mecs, l’agaçait quelque peu, elle ne changerait leur relation pour rien au monde. Elle se souvenait même d’un soir, où elle avait croisé Edward par hasard, alors qu’elle avait un rendez vous avec un homme, un certain Anthony. Par le plus pur des hasards, le garçon était assis au bar non loin d’Ed’. Quand Brooke arriva, elle n’eut pas le temps de saluer celui qui l’attendait, qu’elle fut embarquée par son ami. Celui-ci connaissait le gars avec qui elle devait boire un verre. En effet, Anthony était un coureur de jupon de première, tout San-Francisco le savait, excepté Brooke. Mais super Edward était arrivé à la rescousse et avait empêché la jeune fille de se faire, mais qui plus du coup, elle avait posé un lapin magistral à Anthony, chose qui n’était encore jamais arrivé à Casanova. Brooke avait quand à elle finit la soirée dans un autre bar, avec Edward et des amis à lui. Enfin bref, ce qu’ils avaient était tellement rare, que jamais ça ne serait gâché par un baiser à la con à cause d’un verre de trop.

    La course était lancée, et plus mauvaise perdante que Brooke, tu mourrais. Donc forcément la jeune fille avait trichée. Mais bon, le peu d’avance qu’elle avait fut vite rattrapé par Edward, et celui bien qu’il la doubla, ne parti pas devant gagner la course. Non il préféra l’embêter, ce qui il faut l’avouer n’étonna pas la blonde. Il la chatouilla ce qui la déconcentra. La suite était à mourir de rire. Brooke vit très bien que le beau allait se prendre un mur de conserve. Mais son côté espiègle empêcha sa bouche de s’ouvrir pour l’alerter. Du coup, il se le prit de pleins fouets. Elle s’avança vers lui morte de rire. J’ai presque envie de dire que j’ai gagné la course par k.o ou devrais-je plutôt dire par assommement du à des boîtes de converse. Elle le regarda malicieusement et ajouta. A moins que bien sûr ma victoire soit du au fait que je sois meilleure que toi. Ce qui me parait la réalité. En fait tout s’explique, t’es tellement nul, et t’avais tellement peur de perdre, que pour pas que je ne t’inflige une humiliation, t’as fais exprès de tomber. De nouveau elle pouffa de rire. Elle lui tendit sa main pour l’aider à se relever. Donc j’ai gagné. Elle lui prit le bras direction le rayon sucrerie. La soirée allait bientôt se terminer, et il était hors de question qu’ils ne se quittent sans manger un dessert. Et Dieu sait que la belle Rowen-Glaswell était une grosse gourmande. Mais avant le dernier défi de la soirée. On part chacun de notre côté, et tu me ramènes quelque chose que quand tu le vois tu penses directement à moi. Je ferais pareil du mien. Rendez vous dans cinq minutes rayon ‘prise de poids’. Elle se marra et partit à la recherche de l’objet. En fait elle ne mit pas longtemps à le trouver. Car à chaque fois qu’elle allait dans un centre commercial, elle pensait automatiquement à Edward. C’était complètement débile, mais tout le temps, quand elle voyait cet objet elle pensait à Edward. Quelques minutes plus tard, elle revint donc vers lui. Tiens. Elle lui tendit une bouteille de whisky irlandais. Puis elle se marra. L’alcool à chaque fois que je vois une bouteille d’alcool, je ne peux que penser à mon ami alcoolique Edward O’Malley. Bien sûr elle plaisantait et se mit donc à rire. Sérieusement voici ce qui me fait penser à toi. Elle lui tendit un gros nounours qui avait un cœur gigantesque collé sur la poitrine. Pas que tu sois gros et poilu. Mais c’est le cœur énorme qu’il a qui me fait penser à toi…
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MessageSujet: Re: Until the end of the night [PV Edward] Until the end of the night [PV Edward] - Page 3 EmptyDim 23 Oct - 15:38

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« A moins que bien sûr ma victoire soit du au fait que je sois meilleure que toi. Ce qui me parait la réalité. En fait tout s’explique, t’es tellement nul, et t’avais tellement peur de perdre, que pour pas que je ne t’inflige une humiliation, t’as fais exprès de tomber. » Je levais les yeux au ciel – ou plutôt au plafond – en l'entendant s'exprimer. Elle savait tout aussi bien que moi que j'étais plus doué qu'elle sur des rollers. Combien de fois m'a-t-elle vu débarquer à l'université, élégamment vêtu d'un costume, avec aux pieds ces grosses chaussures avec des roues dessous ? Mon côté gamin et mon côté sportif. Quand il fait beau, j'apprécie ne pas avoir à prendre ma voiture ou bien ma moto. Quoi qu'il en soit, je suis un féru de rollers. « On t'as déjà dit que tu parlais trop ? Mais tu as sans doute raison. » Je lui adressais un large sourire qui creusait mes fossettes sur mes joues légèrement barbues. Mon regard ne cessait d'être malicieux. En aucun cas je ne suis mauvais joueur et j'accepte très bien de perdre. Mais jamais je ne laisserai gagner quelqu'un de peur qu'il s'énerve s'il n'emporte pas la victoire. Ça, c'est mon côté chieur.

Finalement je prenais sa main quand elle me la tendit. Ainsi, je me relevais avec plus de facilité. Elle m'entraina dans le rayon des sucreries. Grimace de ma part. Je n'ai jamais aimé les bonbons. Quand j'étais petit, les autres enfants me regardaient comme si je venais d'un autre monde. Eux, usaient leur sous après l'école pour s'acheter de gros paquets de bonbons ou autres sucreries. Pour ma part, je préférais économiser pour m'acheter quelque chose qui à mes yeux était plus utile, comme un ballon de Basket, un bouquin, ou bien un petit train pour mettre dans ma chambre. Je préférais de loin les pâtisseries aux sucreries. Voilà pourquoi j'ai énormément apprécié mes séjours en France. Un vrai pain au chocolat, des croissants. Le simple fait d'y penser me mettait l'eau à la bouche. Au final, j'avais chercher dans les rues de San Francisco dans l'espoir de trouver une boulangerie française. Désormais, j'y allais tous les matins par pure gourmandise.

Puis elle proposa de trouver chacun de notre côté un objet ou bien un aliment nous faisant penser à l'autre. Je ne pouvais retenir un sourire alors que je me dirigeais sans plus attendre dans un rayon en particulier. Quand nous revînmes, nous cachâmes notre trouvaille dans notre dos. Je la laissais commencer. Une bouteille de Whisky. « L’alcool à chaque fois que je vois une bouteille d’alcool, je ne peux que penser à mon ami alcoolique Edward O’Malley. » Je roulais mes yeux tout en souriant. Elle savait que je n'appréciais pas le stéréotype de l'irlandais alcoolique. Néanmoins, je ne pouvais nier le fait que le Whisky restait mon alcool préféré. « Je t'aime plus ! Nah ! », lui lançais-je sur un ton enfantin avant de lui tirer la langue, faussement vexé. Puis, à ma grande surprise, elle sortit un peluche. « Pas que tu sois gros et poilu. Mais c’est le cœur énorme qu’il a qui me fait penser à toi... » J'éclatais de rire. « Gros, je ne pense pas. Poilu, déjà plus ! En tout cas, on devrait arrêter d'avoir les mêmes idées. » Je sortais de derrière mon dos une peluche représentant un mouton, que j'avais trouvé à l'entrée du magasin. « Quand j'étais petit, la première peluche qu'on m'a offert c'était un mouton. Je l'ai encore et c'est resté un grand ami pour moi et une source de réconfort énorme. » Petit sourire gêné et timide.
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MessageSujet: Re: Until the end of the night [PV Edward] Until the end of the night [PV Edward] - Page 3 EmptyMer 26 Oct - 20:30

    La blonde était une mauvaise perdante. Habituée, à être la première en tout, elle ne connaissait que très peu la défaite. Alors forcément, quand elle avait lancé le défi de la course de rollers, elle était sûre de perdre. Car elle avait en face d’elle, l’expert en la matière. Donc elle avait du ruser, et s’octroyer la victoire en trichant. Tout comme elle avait démarré la course, en partant avant lui. Brooke n’était pas une tricheuse née, loin de là, elle avait toujours tout réussi le plus honnêtement du monde. Et elle s’en voulait presque d’avoir agi de la sorte, mais c’était la seule solution pour qu’elle gagne, qui plus est, Edward lui aurait mis une raclée, et déjà qu’elle était à moitié à poil, il était hors de question qu’elle perde. Elle savait bien qu’avec ses propos, elle avait agacé le futur marié. Mais comme d’habitude, il n’eut aucun geste ou aucunes paroles déplacées. Ce mec était une perle rare, Maria était la plus chanceuse de Berkeley, c’était clair.

    Ils étaient donc partis tous les deux à la recherche de ce fameux objet. Lui aussi rapporta un nounours à la blonde. Bizarrement ça ne l’étonna pas du tout. Bien qu’il soit un garçon, et elle une fille, ils se ressemblaient tellement. Autant, par leur côté enfantin, que par leur grand cœur. Un nounours en forme de mouton ? Je ne sais pas comment je dois le prendre. Bien sûr, elle plaisantait, et pour la énième fois de la soirée se mit à rire. Ce qu’il dit ensuite la toucha énormément. C’est réciproque. Je t’aime de trop mon O’Malley. Elle lui déposa un baiser sur la joue. La soirée avait été parfaite, et la conclure sur de si belles paroles était génial. Brooke récupéra ses affaires, et rendit sa chemise à Edward. Elle laissa son numéro de téléphone sur la porte d’entrée, expliquant brièvement qu’elle avait été bloquée, et qu’il ne fallait pas hésiter à appeler si elle devait faire un chèque. Certes, ils avaient utilisés le restaurant italien, mais ils n’avaient pas commis de dégâts. Brooke garderait cette soirée en mémoire longtemps. D’un parce que comme chaque soirée qu’elle passait avec Edward était culte, et de deux parce qu’à chaque qu’elle pénétrerait dans le centre commercial, elle aurait une énorme pensée pour lui. Cet endroit serait un peu leur lieu à eux deux, et c’était juste génial. Bien sûr, elle garda la peluche avec elle, et quand elle aurait une baisse de morale, elle le savait, rien que de regarder le nounours elle aurait de nouveau la pêche. Avant de quitter son ami, elle le prit dans ses bras. Prends soin de toi Edward, sinon je raconte à tout le monde que je t’ai battu à une course de rollers. Elle lui fit un clin d’œil et partit direction sa voiture le sourire aux lèvres, de tous les sens à chaque qu’elle quittait Ed’, elle était sur une petit nuage…


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MessageSujet: Re: Until the end of the night [PV Edward] Until the end of the night [PV Edward] - Page 3 EmptyMer 26 Oct - 23:37

:out:
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