the great escape
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The safest psychotic bitch in town ♦ PV

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Constance La Tour Dubois
there's no place like berkeley
Constance La Tour Dubois
prénom, pseudo : julia.
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MessageSujet: The safest psychotic bitch in town ♦ PV The safest psychotic bitch in town ♦ PV  EmptyJeu 23 Déc - 1:50

The safest psychotic bitch in town ♦ PV  Tumblrlbr52jmcf91qdq9jo
You don't really think that you can kill me with that, do you ?
CALM DOWN AND ACT LIKE A BITCH •• And as I watch you disappear into the ground, my one mistake was that I never let you down so I'll waste my time, and I'll burn my mind on miss nothing, miss everything. I’m miss fortune, miss so soon, I’m like a bottle of pain. Miss matter, you had her now she’s goin’ away ♪THE PRETTY RECKLESS • MISS NOTHING

Mon regard inquisiteur arpentait les moindres détails se déployant devant mes yeux. La cour de ma seconde maison revêtue de blanc et de rouge accueillait, depuis désormais plusieurs heures, les cris de joies et la bonne humeur du campus de Berkeley qui ce soit laissait tomber les rancunes inter confrérie pour profiter de l'esprit d'équipe instauré par les présidentes iotas et leurs confrères deltas. Confrère, rien que cet adage, j'eus envie de cracher mon venin dans le gobelet de celui qui ce soir ajoutait une ombre à mon parfait tableau. Chanceux qu'il pouvait être, je n'avais accordé aucune attention à ce cher Drew Léonard McFendders, si ce n'est les salutations d'usages et une paire de regards vindicatifs. La présence de ce déchet de société affublé d'un second prénom à dormir dans la rue me donnait envie de vomir, ma vie auparavant gravitant autour de la présence de ma soeur ainée n'était désormais que ruine depuis que cette dernière s'était précipitée en Suisse. Auparavant enjouée à l'excès et d'une bonne humeur effarante à tout instant, je reprenais désormais mes plus profonds réflexes, à savoir l'irrespect d'autrui et la destruction du peu d'estime de sois même que pouvait avoir les individus me côtoyant. Ce soir n'échapperais pas à la règle et au fur et à mesure que les secondes défilaient, j'envoyais paitre la plupart de mes convives à coup d'ironie insultante, toujours emprunte de ce sourire méchant, à la pointe de la niaiserie, gardant mon venin le plus toxique pour celui qui serait ma cerise sur le gâteau de la soirée. Aislynn m'ayant prévenue qu'elle repartirait en compagnie de son président Delta favoris, j'en concluais que Drew et moi devions clore les hostilités de la nuit. Quel con. À chaque instant où mes prunelles noisettes croisaient sa démarche, je m'exaspérais de ne lui avoir offert aucune réflexion désobligeante. Je me perdais dans ma méchanceté, fut un temps où la seule personne pouvant calmer mon caractère le plus volage, la méchanceté et mon énergique audace se serait trouvée à cette soirée, au bras de Drew ou non, là n'était pas la question. L'absence de Fleur et ma vie auparavant placée sous les plus beaux éloges, se dégradant maintenant à vitesse grand V résultait des seuls mauvaises actions du McFendders qui, non loin de moi, souriait à l'assemblée tandis que la grande Berkeley sonnait les douze coups de minuits. Heureusement, Estevan était là pour calmer mes ardeurs, mon frère jouait les catalyseurs ce soir et ce fut à l'instant même où la grande horloge fit claquer son carillon sur nos murs que je réalisais que j'avais occupé toute sa soirée par ma seule présence, alors qu'il aurait eut tellement mieux à faire que d'apaiser mon humeur sarcastique et moi de même. Consciente que ma nature douce et chaleureuse reviendrais probablement en même temps que ma sœur ferais son retour dans notre vie et que j'aurais fait le plein d'insulte au niveau des couples amoureux, je prenais plaisir à torturer les esprits. Après tout il vaut être mieux être crainte que de se faire écraser lorsque l'ont est une reine née. Ne comptant plus le nombre des fois depuis le début de soirée où l'ont m'avais complimenté sur ma tenue et où j'avais répondu qu'en revanche, untel avait l'air obèse dans cette robe, ou que l'obsession que certains me portait alors qu'il me répugnait commençait à être pesante, j'attendais avec impatiente la fin de cette soirée initialement prévu pour affirmer la suprématie des rouges et des bleus sur le campus, dans un second objectif prévu pour que tout un chacun puisse se trouver une excuse histoire de ne pas passer le réveillon de noël en famille.

Je m'épuisais à coup de jus de fruit vodka, rien de bien grandiose, la simple vue de ce regroupement d'anciens petits amis, d'histoire d'une nuit agrémenté de leurs petites amies haineuses, mais pourtant si admirative, me rendait pensive. Heureusement, mon frère s'amusait et son naturel protecteur était désormais occupé à choisir laquelle aurait la chance de quitter la soirée à son bras. Grâce à lui je m'amusais par procuration en quelque sorte, divaguant de bras en bras au gré de la soirée et des rythmes imposés par mes convives. Parlant d'invités, surprise de ne pas avoir vu Edward dans les premiers arrivés, je questionnais son frère Maxwell qui m'informait que mon aimé - qui ne l'était plus - avait troqué sa réputation de coureur de jupon pour une toute nouvelle veste étiqueté du sigle Alpha. Lui qui vouait, fut un temps, une haine sans merci à son ainée Alpha Nathaniel, voilà qu'il me jetait son hôpital qui se fout de la charité sur un plateau d'argent. Mais qui étais-je pour me moquer de celui qui représentait ma seule et unique faiblesse en ce monde, après tout il était le seul qui puisse désormais me sortir de mes ténèbres, Fleur étant bien trop loin pour cela, Estevan trop occupé. Penser à lui m'assena encore un coup de poignard. Damn you Atwoodth. Malgré moi maintenant, je vivais avec l'idée qu'il me faille subsister tout en ayant une énorme faiblesse, encore heureux que personne ne sache que j'aimais beaucoup plus Edward que je ne le prétendais, je mettais un point d'honneur à être difficilement cernable depuis … ma naissance. Peu importe, même la plus grande des garces de ce monde vit avec une faiblesse, lorsque Katherine Pierce a Stefan, Constance a Edward.

PARALYZED FROM THE WAIST DOWN ... AND DEAD !
TICK TOCK


Chaque claquement de paupières exportais des personnes hors du pavillon iota, soulagée de voir qu'à quatre heures du matin les gens commençaient enfin à voir que père Noël ne passerais pas tant que tous ne seraient pas couchés, je saluais les derniers visiteurs chaleureusement, usant ainsi mes dernières forces de l'année à leurs sourires et les remercier de leurs venus. Derrière moi Aislynn' me saluait d'un revers de mains tandis qu'elle grimpait à l'étage se coucher dans le pavillon de la confrérie iota en compagnie de l'un des présidents delta. Ne me sentant pas non plus d'humeur femme de ménage, ni même d'humeur à rentrer chez moi, sentant qu'aucun de mes trois colocataires ne se sentirait enclin à passer me prendre à une heure pareille, je décidais de passer la nuit dans le pavillon en compagnie de mes iotas chéris, convaincue que ce ne serait pas Ethan Daniels ou Matthew Crawford qui refuseraient ma ravissante compagnie pour le peu d'heure de sommeil que je pourrais m'offrir pour aujourd'hui. Persuadée d'être la seule encore levée, j'en avais presque oublié Drew, dont je vis la silhouette se profiler dans la grande salle tandis que j'y apposais mes premiers pas, en vue de fermer les lieux au plus vite histoire d'aller me coucher. Je le dévisageais, de haut en bas, de bas en haut, celui que j'avais un moment considéré comme un '' amis '' étais à mes yeux dès maintenant la source de bien tant de maux que nous aurions pu éviter si Fleur ne nous avait pas infligé, nous comme à elle-même, sa présence. La seule raison pour laquelle j'aurais voulu être un jour gentille avec lui s'était enfuis au fin fond de notre Suisse natale et à la vue du Delta j'eus envie de lui cracher mon venin en plein visage, le découper en morceaux et disperser ses restes au fond de fosses septiques aux quatre coin du monde. Pourtant, sereine en apparence, j'attrapais mon téléphone resté posé à l' abris des regards sur une chaise. « Et voilà le pire petit ami jamais vu » annonçais-je d'un ton solennel, emprunt d'une ironie de circonstance, ton associé à mon visage le plus sarcastique. M'amusant à regarder sa mine effroyable, je baladais mes doigts sur une table jouant les barrières entre nous. Je n'avais aucune envie de nettoyer ce foutoir, pas maintenant, tout en sachant qu'un claquement de doigt suffirait à l'aube pour que beaucoup le fasse à ma place. « Espérons que tu sois meilleur homme de ménage que petit ami ... quoi que on peut difficilement faire pire tu me diras. » lâchais-je amusée. C'était d'une aisance et d'une jouissance extrême que de lui envoyer de petits piques empoisonnées, même si je devinais aisément que je ne devais pas être la seule à piquer ses nerfs au vif. J'entamais un monologue, n'avais aucunement besoin qu'il ne me réponde tellement lui proférer mes petites boutades innocentes dans une demi mesure était amusant, consciente tout de même que je n'étais pas au meilleur de ma forme niveau fausse plaisanterie. Je m'approchais d'une scène aménagée spécialement pour l'occasion, y passait un rapide coup de ballais avant de le balancer sur un tas de saleté déjà regroupé par les deltas avant qu'ils ne quittent la soirée, serviable les deltas. Constatant qu'il se trouvait un micro sur un prompteur, j'eus soudain une envie de rire, souvenir souvenir. Posant mes doigts sur le micro, je fis mine d'être songeuse, une pointe déçus. «  Pas de discours officiel aujourd'hui ?  » . Cette fois-ci impossible de retenir quoi que ce soit, je lâchais un petit rire, face au putain de souvenir que me procurais la simple vision d'un micro, je me projetais quelques mois auparavant, lui et sa gueule désespérée haut placé sur une estrade vêtu d'un costume moyenâgeux, son «  veux-tu être ma petite amie officielle » et le fou rire non dissimulés d'augusto qui éclataient presque en sanglots dans mon cou en tendant de cacher ses larmes de joies et ses éclats de rires. Finalement je descendais de mon perchoir, restant tout de même à une bonne dizaine de mètres de lui, je croisais les bras, le « bitchant » défiant presque du regard, toujours ce sourire détestable coincé à la commissure de mes lèvres qui dessinaient un rictus entre la gentille pouffiasse et la méchante échappée du ciel, un visage d'ange et le diable au corps. «  Tant qu'à faire fuir fleur, autant faire fuir toutes les gonzesses du pays avec tes déclarations à la con.  » I'm sorry, I just can't hear you over the sound of me being so awesome !
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MessageSujet: Re: The safest psychotic bitch in town ♦ PV The safest psychotic bitch in town ♦ PV  EmptyVen 24 Déc - 1:59

    Encore une soirée insipide et pleine de vapeurs d'alcool et de joint qui se terminait à Berkeley. Combien de temps le Delta allait-il encore s'infliger cela ? Il ne le savait pas lui même à vrai dire mais ce dont il était sûr, là tout de suite, c'était qu'il ne pouvait plus vivre dans un monde où il ne se sentait pas à sa place, il avait perdu pied au moment où Fleur l'avait quitté et il savait que sans elle, il n'était rien... non rien ! Il lui avait tout donné, tout ce qu'il possédait il était prêt à lui donner et pourquoi ? Pour se retrouver à l'aéroport avec un billet unique pour San Fransisco et un simple mot de sa fiancée qui lui disait qu'elle avait besoin d'air et qu'elle partait ! Ah l'amour ! Quelle belle chose sur le papier ou dans les séries TV mais dans la vraie vie ça ne sert à rien à part vous mettre à sac, vous dépouiller de toute dignité et vous laisser comme une pauvre loque humaine.
    Drew était venu à cette soirée simplement pour y voir une dernière fois ses amis, ceux qu'il avait bien connu et ceux qu'il detestait... il voulait un dernier hommage à sa personne car il fallait dire qu'il en avait vécu des choses depuis qu'il était à Berkeley ! Tout d'abord ses histoires d'une nuit à répétition avec la moitié des filles de la fac, avant de passer à Roxanne, la pauvre vierge effarouchée, puis à Kirsten et son complexe de polygamie, sans oublier Coleen, la nymphomane sans coeur et on finit évidemment par la meilleure ! Fleur La Tour Dubois ! La seule fille qu'il aimait autant qu'il la haïssait en ce moment. Il avait passé tout son temps à la servir et à être aux petits soins pour elle et comment elle le remerciait ? En le quittant lâchement après une période d'abstinence à la limite de l'indécence vu leur jeune âge et le passé de Drew. C'était inadmissible oui mais pourquoi avait-elle fait ça?
    Drew c'était posé la question un million de fois dans sa tête et il en était arrivé à la conclusion que tout était de sa faute, si elle était partie c'était forcément qu'il avait fait quelque chose qu'il ne fallait pas ! Il faut dire que l'histoire du bébé avec Coleen avait été une immense erreur et elle ne lui avait surement jamais pardonné cette période noire de leur histoire. Il la comprenait, lui non plus ne se serait pas pardonné, il était pitoyable, oui vraiment minable et il ne méritait qu'une chose en cet instant, c'était de finir au fond d'une boite, six pieds sous terre, là où il ne pourrait plus souffrir autant qu'il le faisait maintenant. C'était comme si quelqu'un lui arrachait le coeur directement de sa poitrine, où qu'un vampire venait lui pomper tout son sang jusqu'à la dernière goutte...

    S'avançant doucement dans la pièce désormais vide et pleine de déchets, il ramassa quelques gobelets qu'il posa au milieu des autres empilés sur la table du fond, après tout les Iotas et les autres Deltas pouvait bien se rendre un peu utile ! C'était lui et les autres présidents qui avaient organisés cette petite sauterie et tiens, en parlant de présidente voila surement la plus sadique, minable et garce qui venait de faire son apparition devant ses yeux ! Elle le toisait du regard, d'une façon qui ne lui plaisait guère et il fit de même avec elle en la dévisageant et la regardant de haut en bas, il s'attendait à une réplique de sa part après tout elle était la petite soeur de Fleur et elle allait certainement prendre sa défense en ayant la moitié de la version de l'histoire ! Elle faisait pitié dans son accoutrement de trainée, encore à allumer tous les mecs pour les jeter ensuite comme elle avait fait avec Edward un de ses frères Deltas désormais alpha... elle ne devait pas être inconnu à ce soudain changement de confrérie ! Dommage qu'il n'ait plus le temps de lui faire payer ça... mais attendez... bien sûr qu'il avait du temps pour ça !

    Voila la pire garce de la soirée ! Quel déplaisir de te voir dit-il en s'inclinant sournoisement avec un sourire sadique sur les lèvres. Elle semblait effectivement avoir la partie de l'histoire où il passait pour le salaud et Fleur pour la victime dans tout ça, il était temps de remettre les pendules à l'heure. Si tu savais comme tu es à côté de la plaque... j'ai été un petit ami exemplaire, je me suis plié en quatre pour ta soeur mais apparemment ce n'était pas suffisant ! Elle a préféré me faire croire qu'elle était une sainte pour ensuite me planter un poignard dans le coeur, une tare familiale à ce qu'on m'a dit. dit-il en se mettant à tourner et à feindre de ranger un peu alors qu'en fait il se contentait de passer et repasser devant elle pour la provoquer du regard un peu plus comme elle le faisait.

    Non il ne pouvait pas supporter de se faire rabaisser par elle, non jamais ! Elle ne connaissait rien à leur vie, tout ce qui l'intéressait était sa petite personne et de cracher son venin sur tout le monde, encore une de ces petites filles à papa qui se croit tout permis et n'a qu'à ouvrir les jambes pour avoir ce qu'elle veut... avec lui ça ne prendrait pas aussi sexy soit-elle, son âme pleine de boue noire et putride se reflétait sur son visage de démone psychotique. En cet instant, Drew avait juste envie de retirer sa main de sa poche, de sortir, son 9 mm et de la torturer lentement d'abord en lui explosant les genoux, puis les mains, les pieds pour terminer par sa tête aussi vide que l'antarctique. Lorsqu'elle commença à partir sur le terrain de son fameux discours "officiel" qui l'avait ridiculisé devant tout ses amis il souria légèrement toujours aussi calme alors que dans sa tête il bouillonnait.

    Je sais que ça te dépasse ce genre de déclaration, il n y aucun mec qui a eu assez de couille pour faire ça pour toi ! Ou alors aucun mec qui pensait que tu le méritais... je pencherais plutôt pour la deuxième solution pas toi ? dit-il en se mettant face à face avec elle, baissant la tête car elle était légèrement plus petite même avec ses talons aiguilles et plissa légèrement les yeux une main toujours serrée sur son arme, la sortir, ne pas la sortir ? Telle est la question... Si j'avais du faire une déclaration officielle ce soir ça aurait été pour te remettre le prix de la traînée de l'année, slut dit-il dans un murmure à l'oreille de celle-ci avant de retourner vaquer à son "ménage fictif". C'est lorsqu'elle parla de la fuite de Fleur, sujet sensible, qu'il tapa tu poing sur la table, un silence se fit et un sourire se dessinait déjà sur le visage de la belle qui avait réussi à l'atteindre là où ça fait mal. Il tourna la tête vers elle qui était tout à côté avant de répondre. Pas la peine de me le rappeler je sais bien qu'elle est partie à cause de moi ! cria t-il presque en balayant d'un coup tout ce qui se trouvait sur la table qui se retrouva directement par terre. Tu veux du scoop ? Tu veux du lourd ? Oui Elle est partie et oui c'est ma faute, je suis un enfoiré, elle m'a quitté en me laissant une pauvre lettre mais je suis l'enfoiré ! C'est ça que tu voulais entendre ? Très bien tu l'as eu, maintenant lâche moi ou alors... tu pourrais le regretter dit-il en lui tournant le dos, caressant toujours la gâchette qui le démangeait de son doigt en attendant le moment propice à son exécution...
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Constance La Tour Dubois
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Constance La Tour Dubois
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MessageSujet: Re: The safest psychotic bitch in town ♦ PV The safest psychotic bitch in town ♦ PV  EmptyJeu 30 Déc - 0:12




THE EVIL SLUT WHO ONLY LOVED HERSELF
Le bordel complet régnant autour de nous, l'odeur mélangée de transpiration, d'alcool et de cigarette me donnaient déjà envie d'aller le terrer dans les profondeurs de mes draps tièdes, le souvenir la bonne odeur du frais et du propre que dégageait les draps de l'endroit le plus sécuritaire à mes yeux, mon lit, me donnait envie de rentrer chez moi à toute hâte. « Voilà la pire garce de la soirée ! Quel déplaisir de te voir » Déjà importuné par l'odeur et l'ambiance que dégageait le Dancing Queen en fin de cette soirée mouvementé, la vision écoeurante que me dépeignait les traits de Drew me fixant naïvement, sont air de chiot à qui l'ont s'apprête à arracher la fourrure n'atteignant même pas une infime fibre de compassion que j'aurais pu un jour posséder. À croire qu'il se pensait sorti de la cuisse de Jupiter, je le toisais faire allégeance, fière de sa première supplique alors qu'il n'y avait pas de quoi jubiler sournoisement d'une pareille entrée en scène. Son semblant de sourire sadique ajouté à sa courbette lui donnait un air encore plus idiot qu'il ne pouvait déjà l'être à mes yeux. Je n'avais de respect que pour très peu de personnes seulement je choisissais qu'en plus d'éprouver un profond irrespect pour Drew, je ne pouvais rester indifférente à sa personne, même si je l'avais voulu corps et âme. Mon amour pour ma famille m'enfermais dans mes sentiments, même avec tout le bon sens et la hargne dont je pouvais faire preuve, fleur m'avait imposé ce grand benêt annexé gros sac à problème, depuis j'avais l'habitude d'y prête un minimum d'attention, le chemin retour vers l'ignorance étant impossible, lui cracher ma bile venimeuse semblait la meilleure manière possible de lui débiter la haine farouche que je lui vouais depuis le départ de Fleur. « La pire ? La meilleure tu veux dire. » ajoutais-je, levant les yeux au plafond. Quitte à jouer le jeu dans la fille au cœur de pierre vide de tout amour dévoué à autrui, autant le jouer à fond. L'idée de vivre avec le fait que les personnes autour de moi me prenne pour la pire des pestes en puissante ne me révulsait guère, dans ce monde où les plus faibles et les plus miséreux se laissent écraser par les plus charismatiques, je préférais nettement choisir le camp de ceux qui écraseraient les autres sans pitié aucune. Plutôt les autres que moi. Même si je ne pouvais nier que j'aimais beaucoup de personne, beaucoup trop à mon goût, je ne pouvais réfuter ce que tous avouait sans honte, j'étais et restais une petite emmerdeuse. « Si tu savais comme tu es à côté de la plaque... j'ai été un petit ami exemplaire, je me suis plié en quatre pour ta sœur mais apparemment ce n'était pas suffisant ! Elle a préféré me faire croire qu'elle était une sainte pour ensuite me planter un poignard dans le cœur, une tare familiale à ce qu'on m'a dit » Je décidais de ne lui accorder sur l'instant aucun regard, même si sa présence m'importunait au plus au point et ma rancoeur à son écart s'accroissant au fil des minutes, doublant ainsi ma haine, je ne pouvais nier qu'il me faisait pitié. Laissé pour compte du jour au lendemain par ma soeur qui se tirait enceinte vers d'autres horizons, moi-même si l'instant je n'avais pas saisi le concept. Mieux, j'avais été du côté de Drew sur le départ, me remémorant notre séjour parisien dans la même maison je me souvenais du comportement indécent et outrancier de ma soeur enceinte jusqu'au os jouant avec les nerfs du pauvre Drew se courbant l'échine à la satisfaire. Seulement, le fait de l'avoir vu embrasser une autre, ajouté à tout ce dont Fleur m'avait parlé au cours de leurs relations, la corse et tout ce qui s'en suit et cerise sur le gâteau, les disputes incessantes par téléphone interposés entre mon ainée et moi, le destin s'acharnait sur lui, je ne pouvais que le détester, lui, sa personne, son caractère, sa mine effroyable, sa façon de s'habiller. J'avais envie de lui sauter sur le dos, attraper sa colonne vertébrale histoire de le paralyser et dans un craquement, mettre un terme à sa vie dans le creux de mes doigts. Ses paroles m'agaçaient, autant que sa vielle gueule et dans un long soupir d'ennui je répliquais après quelques minutes d'un long silence de mort. Blah Blah Blah. Ne me fais pas perdre mon temps à écouter un ta vie inintéressante et pathétique, garde ta salive pour aller raconter tes conneries à quelqu'un d'autre, tu nous sauveras un temps précieux. annonça-t-elle d'un ton ferme, c'était à perdre patience avec lui. Ses discours à la mords-moi l'noeuds commençait à corroder ma maigre patience. De plus belle, la fin de sa phrase sonnait comme un retour de flamme dont je ne supportais pas la chaleur. Edward. Encore il y a très peu de temps un Delta, le fait qu'il évoque une « tare familiale » me renvoyait droit au visage mes mots de rupture avec le nouvel alpha des Atwoodth. Si Drew cherchait à me toucher avec ses sous-entendus pitoyables, c'était chose faite, foutu faiblesse. Mes regrets l'emportaient sur ma bonne humeur habituelle, pour autant ma méchanceté et mon cran légendaire restaient parfaitement intact. Le fait d'être touché en plein cœur par ma détresse vis-à-vis d' Edward n'usant en rien ma répartie, je m'octroyais le plaisir de m'esclaffer ouvertement au visage de mon interlocuteur en guise de réponse à sa maigre tentative de lancer la guerre des nerfs.

«Je sais que ça te dépasse ce genre de déclaration, il n y aucun mec qui a eu assez de couille pour faire ça pour toi ! Ou alors aucun mec qui pensait que tu le méritais... je pencherais plutôt pour la deuxième solution pas toi ? » Sa carrure prenait des allures de résidus, même un tas de déjection sur la voix publique aurait eu une plus grande importance à mes yeux que ce qu'il pouvait représenter. Je laissais transparaitre un amusement vague, très peu intéressé par sa remarque, le pauvre ne savait pas de quoi il parlait, une fois parmi tant d'autre, même si je lui pardonnais d'être bloqué dans ses imbécillités, avec le temps ça passe. La vue de ce minable ascendant crétin doublé trou du cul me brulait les yeux, en apparence calme et sûre de moi comme toujours et jamais, mon moi intérieur me hurlait de lui arracher tripe et boyaux à chaque parole dérobés, seulement m'énerver serait lui concéder qu'il rongeait chacune de mes veines, hors de question. Il n'était qu'un crapaud, un crapaud qui dans son ambition avait tenté de toucher une colombe tout en continuant à gober de la mouche en veux-tu en voilà. Pis les crapaud c'est trop laid et ça sert a rien de toute façon. Du haut de mon estrade, je le dévisageais, me retraçant encore la douce saveur de la moquerie dont Augusto et moi-même avions fait preuve le soir du fameux et désormais mythique discours officiels, les fou rires que nous pouvions encore nous attraper sur le dos du McFendders. Détournant mes prunelles de sa carrure, j'attrapais un verre vide et y versait un mélange whisky coca basique histoire de faire passer la conversation plus facilement avant d'aller m'endormir dans les bras de Morphée. C'est en décidant de me retourner pour lui faire face une nouvelle fois que je remarquais qu'il me faisait face. Bien qu'il soit beaucoup plus imposante que moi, je restais stoïque face à telle proximité, montrait mon je m'en foutisme par un sourire sournois bordant le coin de mes lèvres alors que mes lèvres jouaient avec le rebord de mon gobelet. « Tu serais surpris vois-tu. Mais enfin, dieu merci tu n'es qu'un exemplaire unique en ton genre, donc c'est clair que niveau discours d'amour de bas étage, je suis épargnée. » Je n'étais pas branchée amour, toujours, plus que tout et compagnie, alors les déclarations, très peu pour elle. Je ne comptais plus le nombre de fois où j' avais entendu mainte et mille mièvreries et où j'avais répondu par de simple « oh c'est gentil, merci ». Certes, je ne méritais pas toutes les déclarations que l'ont aie pu me faire jusqu'à présent, seulement je n'avais jamais eu la prétention de vouloir être aimée d'amour, loin de là. Je lui accordais, une fois encore un sourire niai. « Si j'avais du faire une déclaration officielle ce soir ça aurait été pour te remettre le prix de la traînée de l'année, slut » Son souffle chatouillait mon encolure, amusée par tant d'attention et par son sens de l'ironie, je passais sur la petite insulte lamentable. « La trainée de l'année, annoncée par le trou du cul abandonné et pathétique de l'année, ça en serait presque risible. » Mon rire résonnait tel une douce mélopée dans le vide obscure. Je m'amusais, de lui, de nous, de sa vie décadente et de ses malheurs, en oubliant ainsi les miens pour mon plus grand plaisir.

Fleur restait le sujet sensible entre nous et c'est lorsqu'il frappa du poing la table que le calme nocturne fut troublée par un bon. Surprise, mais pas le moins du monde effrayée, je souriais, satisfaite de soutirer réaction de cette masse de muscle. Ne faisant pas attendre le face à face, je lui adressais mon antipathie la plus profonde. « Pas la peine de me le rappeler je sais bien qu'elle est partie à cause de moi ! » m'aboyait-il, dans son excès de colère. Et moi je jubilais, riait presque, n'arrivait pas à me dépêtrer de cet air détestable qui possédait mes traits à chaque fois que j'obtenais ce que je voulais. Le voir entrer dans cette colère noir, s'en était limite jouissif. Tenant mon téléphone en main, je m'amusais à l'ignorer. « Tu veux du scoop ? Tu veux du lourd ? Oui Elle est partie et oui c'est ma faute, je suis un enfoiré, elle m'a quitté en me laissant une pauvre lettre mais je suis l'enfoiré ! C'est ça que tu voulais entendre ? Très bien tu l'as eu, maintenant lâche moi ou alors... tu pourrais le regretter » Ce que je voulais ? Ce que je voulais se trouvait bien loin du « je veux que tu dises que c'est de ta faute si fleur est partie ». Bien sur que c'était de sa faute, c'était déjà tout vu pour moi. Non tout ce que je voulais c'est qu'il pète une durite, jouer avec ses nerfs comme je jouais avec le coeur d'autre. Challenge Accepted et je gagnais sans artifice, il devenait raide dingue à balancer les tables et gobelet par-dessus bord. Waw. C'est drôle, à chaque fois que je me dis que tu ne peux pas être pire que ce que tu n'es déjà, tu arrives à me prouver le contraire. Affligeant, pathétique. Je jouais avec mes cheveux bouclés, le bout de mes doigts jouant à la valse avec les boucles que dessinait ma crinière brune, je lui faisais dos tout comme lui. La scène prenait des allures de western, deux entités s'éloignant pas a pas, dos à dos, l'une de l'autre et le premier à tirer et tuer l'autre serait décerné vainqueur. Encore fallait-il que je possède les armes pour me battre car à part mon téléphone, la seule chose que je pouvais encore lui lancer à la figure, c'était mes sous-vêtements. Heureusement, j'avais encore mon caractère de cochon et ma répartie à lui cracher à la gueule avant de lui envoyer mes jarretelles au visage. Cependant, je restais bloqué sur la fin de sa phrase. Oh oui vas-y menace moi ! Je t'en pris, c'est tellement de ton niveau, à la pointe de ta médiocrité. Regretter quoi ? Dire tout haut ce que tout le monde pense tout bas ? Certainement pas. Te pousser à bout ? Encore moins. Mes doigts jouaient avec mon téléphone, je réalisais qu'au bout de ma patience, je n'allais pas tarder à remonter et qu'un message à l'intention de mon camarade de la nuit, Matthew, ne pourrait être qu'apprécié, même s'il ne le lisait pas, au moins l'intention y était. Donnant un coup de pied dans le foutoir que Drew venait de balancer, je remarquais que nous étions tous deux désormais d'un bout à l'autre de la pièce. Après quelques minutes de silence, je le balançais sereine : Quelqu'un seras toujours là pour te rappeler que tu n'es qu'un moins que rien Drew et fais-moi confiance, j'y prendrais un malin plaisir. Si ma soeur est partie, c'est de ta faute, uniquement et entièrement. Ça n'est pas ce que je voulais entendre, seulement c'est la stricte vérité. annonçais-je, sérieuse et sereine, avec aplomb. Je le pensais, ma soeur me manquait, ma colère et ma raison parlait, je n'en pouvais plus de me disputer avec Fleur vis-à-vis de sa fuite soudaine, seulement je ne me rendais sur l'instant pas compte que Drew et moi étions dans le même bateau, abandonné par la personne que l'on aime le plus au monde, celle qui tenait nos deux vies en équilibre. Ma vie tanguait vers l'enfer ces derniers temps, tout comme celle de McFendders. Une seule personne vous manque et tout est dépeuplée, faut croire.
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MessageSujet: Re: The safest psychotic bitch in town ♦ PV The safest psychotic bitch in town ♦ PV  EmptyJeu 30 Déc - 18:33

    La meilleure garce de la soirée ? C'est vrai que son postérieur aurait été parfait entre les mains expertes du Delta et il n'aurait certainement pas refusé un seul instant si la jeune femme n'était pas la soeur de l'amour de sa vie, et qu'elle ne lui vouait pas une haine sans égal jusque là ! Au jour d'aujourd'hui, Drew et Constance n'avait plus aucun sentiment de respect l'un pour l'autre mais que s'était-il passé ? Comment une relation aussi bonne qu'ils avaient eu en passant leur temps à errer dans la même maison avait-elle pu se dégrader à ce point ? Elle défendait sa soeur tout simplement. La voila la fameuse réponse à un million ding ding ding, nous avons un gagnant n'appelez plus ! Drew était assez intelligent et réfléchi pour ne pas aggraver les choses, surtout lorsqu'il était en tort et qu'il savait qu'il avait pu être facteur de mal pour certains, mais aujourd'hui, il avait la vision comme brouillée par l'acte irréparable qu'il s'apprêtait à commettre plus tôt...
    En effet, le doigt caressant doucement l'objet qui lui servirait à tirer le coup fatal, le Delta se demandait toujours au fond de lui si tout cela en valait la peine ? Terminer sa vie sur une dispute c'est un peu mélodramatique non ? Lui qui avait prévu tout simplement de se mettre une balle dans la bouche et tomber dignement, telle un oiseau qui fait cui-cui et s'envole super haut, allait devoir porter la croix que lui alourdissait de plus en plus la Iota qui, sans vergogne lui recrachait toute sa haine au visage.
    Drew avait pourtant l'impression que Constance le comprenait, qu'elle avait bien remarqué que Fleur était odieuse et insupportable avec lui la plupart du temps à Paris, et que, pourtant, il avait toujours fait ce qu'elle voulait, sortir au milieu de la nuit pour chercher des fraises à mademoiselle, c'était lui ! Lui apporter le petit-déjeuner au lit, c'était lui ! Ne plus pouvoir la toucher, à peine pouvoir l'embrasser... c'était... lui aussi... cette dernière pensée lui provoqua un pincement aux lèvres tant il se sentait stupide d'avoir pu céder à un chantage aussi pitoyable et de n'avoir jamais rien dit ! C'était donc ça l'amour ? Devenir bête à pleurer, niais à souhait et passer son temps à concéder le moindre caprice de l'autre ? Mais "que diable allait-il faire dans cette galère ?" dixit Géronte le fameux personnage de Molière, eh bien cette réplique s'appliquait tout à propos de Drew aujourd'hui !
    Il fallait avouer que question galère le Delta était le roi, mais lorsqu'il s'agissait de trouver une solution pour résoudre le conflit, c'est là que les choses se compliquait... Drew affrontait toujours les choses au front et bien sûr il y laissait toujours des plumes. C'est en avouant à Fleur qu'il était littéralement en manque, il n y a pas d'autre façon de le dire, qu'elle était partie d'un coup, sans crier gare ! Comment est-ce qu'on pouvait partir comme ça ? Dire à quelqu'un qu'il était l'homme de sa vie avant de s'enfuir comme une voleuse ? C'était tellement illogique que Drew ne pouvait accuser le coup correctement ! Il restait dans une espèce de limbe entre la vie et la mort, sans trop savoir ou se situer... ce qu'il pouvait assurer en tout cas c'est que quelque chose était mort en lui, au moment où il avait découvert ce simple mot de la seule fille qui avait su faire battre son coeur de cette manière.
    Tout simplement hocher la tête et encaisser. C'est ça qu'elle attendait de lui ? Elle allait être déçue parce que ce soir, le delta national et officiel avait la langue bien pendue ! Non il ne voulait ni ne pouvait se laisser marcher sur les pieds de cette façon, cette bougresse avait le don de l’énerver et quand elle s'y mettait elle pouvait vraiment être une vraie emmerdeuse ! Ce n'est pas parce qu'elle était habillée comme une vulgaire catin qu'elle pouvait agir comme telle, qu'elle l'apprenne !

    Tu sais très bien que je dis la vérité, tu étais là à Paris ! Arrête un peu de faire l'autruche et avoue que j'ai fais tout mon possible pour elle c'est juste que... ce n'était toujours pas suffisant apparemment... Et je me demande encore lequel de nous deux est pathétique tu vois... la pauvre fille délaissée, personne ne l'aime, tout ce qu'on veut d'elle c'est son ass... bouh ouh... dit-il en imitant une grossière caricature de la jeune femme en train de pleurer.

    La pauvre fille ne comprenait rien à rien, elle ne connaissait rien à la vie! Elle restait guindée dans son petit monde bourge sans voir ce qui se passait à côté mais lui savait comment ça se passait ! La vie était cruelle, trop cruelle pour qu'il puisse encore espérer évoluer dans ce monde où l'hypocrisie et la tromperie sont reines. Il avait perdu sa mère qui l'avait lâchement abandonné, puis son frère, puis son père qui le reniait, maintenant Fleur et bientôt ce sera qui ? Edward ? Bradley ? Jamais le Delta ne s'était retrouvé aussi désœuvré et il se demandait sérieusement ce qui avait bien pu lui arriver ! Le mec populaire, un peu dragueur, un peu farceur était passé où ? Bientôt mort et enterré on pourrait assez vite oublier son corps, son souvenir s'effacerait peu à peu et personne ne le pleurerait de toute façon, non personne...

    Jamais un mec ne pourrait avoir l'idée saugrenue de te faire une déclaration dans le but de te dire qu'il t'aime, soyons sérieux ! Tu n'est qu'une garce, égoïste, vantarde, imbue de sa personne et tout ce que tu as pour toi c'est ton apparence, sans cela tu n'es rien, absolument rien ! Alors tu as raison passe ta vie devant ton miroir pendant que les autres essaient de faire quelque chose de leur vie !

    Leur petit jeu en devenait presque enfantin, c'était le jeu de ping pong verbal le plus ridicule qu'on avait jamais vu car les deux ne pouvaient s'empêcher de se balancer des horreurs tout cela à cause de Fleur car elle était sa soeur et que lui défendait son point de vue. Mais dans le fond, ils s'étaient toujours bien entendus, il avait bien rit à Paris et avaient passé des soirées mémorables ensemble ! Malgré tout la haine qu'il éprouvait pour elle en ce moment l'aveuglait tellement qu'il aurait été prêt à... la tuer là, tout de suite !
    Quelle douce idée que de voir son sang s'évader lentement de son corps sans qu'elle ne puisse plus rien y faire... elle serait surement moins bitch avec une balle dans la tête ! Ils étaient désormais dos à dos, marchant chacun vers un extrême de la grande salle de bal désormais vide de monde mais pleine de déchets, dont un déchet humain qu'il fallait exterminer de toute urgence... Faisant le tour de la pièce lentement à se scruter à s'analyser tout en la voyant déblatérer ses platitudes à pleurer, Drew revint vers la table où elle se trouvait, menace sous le bras et yeux inquisiteurs en joug.

    Si moi je suis un moins que rien, toi qu'est ce que tu es ? Rabaisser les autres pour te sentir plus puissante, plus forte ? c'est ça être quelqu'un pour toi ? Laisse moi t'apprendre deux ou trois choses alors dans ce cas... je suis venu ce soir dans un but bien précis, m'amuser, prendre un dernier verre avant de... disons... faire le grand saut mais tu viens de me faire changer mon fusil d'épaule. Il me reste une dernière tâche à accomplir avant de partir, oui pourquoi ne pas effacer de la surface de la terre ton image terreuse de fouine arrogante et prétentieuse ! dit-il avant d'enfin commettre l'acte tant attendu et redouté.

    Drew avait agit en un instant, la colère le guidant, il avait attrapé la crosse de son pistolet pour le sortir de sa poche et venir le planter directement sur la tempe de la jeune Iota, prête à rendre désormais son dernier soupir. Alors toujours envie de sourire, de cracher ton venin de perverse satanique ? Si tu as une dernière parole il serait temps de faire amende honorable ! dit-il resserrant l'objet de mauvais augure contre elle. Alors dis moi est ce que je devrais te faire sauter la cervelle ou plutôt te faire exploser le coeur de pierre que tu as, hein ? dis moi ! Tu as perdu ta langue ? dit-il en faisant passer l'arme de sa tête à son coeur en riant. Si tu te voyais maintenant... tu es simplement pitoyable et je vais te faire regretter d'avoir un jour osé dire que Drew Mcfendders était un moins que rien dit-il s'éloignant légèrement et pointant son arme vers elle, prêt à tirer, le baisser de rideau approchait et le dénouement serait pour le moins tragique, true story...
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Constance La Tour Dubois
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MessageSujet: Re: The safest psychotic bitch in town ♦ PV The safest psychotic bitch in town ♦ PV  EmptyVen 7 Jan - 19:40

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SO GET YOUR ASS UP ! SHOW ME HOW YOU BURLESQUE He has got to go, you need to be like you are the weakest link goodbye! Punchy, the tribe has spoken. Please pack up your knives and go. Your work of art, didn't work for me. You're times up. I have to ask you to leave the mansion. You must leave the chateau. Your tour ends here. You've been chopped! You've been evicted from the Big Brother house. Your desert just didn't measure up. Sashay away! Give me your jacket and leave Hell's kitchen! You did not get a rose. You have been eliminated from the race. You are no longer in the running to be America's Next Top Model. You're fired. Auf Wiedersehen. BARNEY STINSON • SEASON 6 EPISODE 9 • GLITTER

« Tu sais très bien que je dis la vérité, tu étais là à Paris ! Arrête un peu de faire l'autruche et avoue que j'ai fais tout mon possible pour elle c'est juste que... ce n'était toujours pas suffisant apparemment... Et je me demande encore lequel de nous deux est pathétique tu vois... la pauvre fille délaissée, personne ne l'aime, tout ce qu'on veut d'elle c'est son ass... bouh ouh... » Et lors de toutes ses paroles dénuées de sens, ma concentration n'eut d'yeux que pour le petit singe frappant ses timbales en mon esprit. Tellement il blablatait et répétait le même sac de connerie à toutes paroles, j'en venais à ne même plus avoir une pointe d'intérêt pour ses paroles se voulant assassines. Je n'étais pas le moins du monde heurté parce qu'il pouvait dire, ses moqueries et autres caricatures grossièrement affligeantes étant tellement représentative du personnage que je ne pouvais me laisser avoir par telle démonstration de pitrerie. Je lui adressais un rire amusé, à la pointe de mon arrogance. « Tais toi imbécile et épargne moi ta propre caricature, il y a assez d'une pour se moquer de toi dans cette pièce. » entonnais-je, divertis par mes propres propos. Ce que cela pouvait être amusant, le voir s'emporter vers monts et merveilles de stupidité, tandis que je n'avais que faire de tous ses boniments. Ce qu'il pensait de moi ne m'atteignait pas et encore une fois il se trompait sur toute la ligne. Comment se sentir délaissée alors que ma famille à l'image d' Estevan passait son temps à me protéger, qu'un tas de garçons seraient prêts à s'ouvrir aux quatre veine pour une soirée en ma compagnie et que j'avais les meilleurs amis qui puissent exister. Même si quelques ombres persistaient à apparaître dans mon paysage, ma vie n'était pas aussi minable qu'il le pensait, mieux encore elle étai bien moins minable que la sienne. Fort heureusement, j'avais bien trop de répartie et d'estime de moi-même pour répondre à ses pseudo attaques. J'avais mis tellement de temps à l'accepter dans notre famille, désormais il bafouait tout et le peu d'amitié que j'avais pu ressentir à son égard fut un temps avait disparu depuis bien longtemps comme neige au soleil. D'un regard figé entre le mépris et la moquerie, je le contemplait se mutiner lui-même sans même éprouver une once de compassion, il était la raison de mes maux les plus décisifs, ma sœur me manquait atrocement et le seul moyen que j'avais trouvé pour pallier cette absence, c'était bien de le torturer. Remarquant qu'il commençait à m'énerver et mieux, à s'énerver tout seul, je levais les yeux au ciel. J'avais beau dire, si jamais il décidait de m'en coller une, faire voler ma tête à l'autre bout de la pièce lui serait bien aisé. Surtout pressentant que nous prenions un malin plaisir à faire perdurer la conversation, je composais rapidement un petit message à l'intention de l'un de mes iotas favoris sur les touches de mon téléphone.
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CONSTANCE LA TOUR DUBOIS •• MATTHEW CRAWFORD-WARRENS
Enfile un pantalon mon tout beau, ton copain mcfendders va avoir besoin d'une épaule sur laquelle pleurer cette nuit. Dancing queen, hurry hurry !
« Jamais un mec ne pourrait avoir l'idée saugrenue de te faire une déclaration dans le but de te dire qu'il t'aime, soyons sérieux ! Tu n'est qu'une garce, égoïste, vantarde, imbue de sa personne et tout ce que tu as pour toi c'est ton apparence, sans cela tu n'es rien, absolument rien ! Alors tu as raison passe ta vie devant ton miroir pendant que les autres essaient de faire quelque chose de leur vie ! » Sonofabitch. Pas une, ni deux, ni trois, ni quatre, mais bien un discours entier de vérités qu'il m'envoyait texto. Je ne pus s'empêcher de ricaner, il se faisait prêcheurs de toutes les institutions, instituteurs de toutes les morales alors qu'en réalité il ne valait guère plus qu'un tas d'ordure faisandant dans une décharge. De plus belle, il me répétait ce qu'il venait de dire dix minutes auparavant, a cour d'argument, il répétait une fois de plus ce que j'aimais le plus chez moi. Mon caractère et mon apparence. C'est comme ça que ça marche maintenant, lui se prétendait être un mec bien, on voyait bien le résultat. J'atteignais le sommet de ma popularité, personne n'osait m'emmerder, j'avais une vie dorée parfois tachée d'ombre que je gommais instantanément, tandis qu'il touchait les bas fonds en restant le serviable Drew, accrocs à la brune Fleur, alors que fut un temps nous avions partagés le même caractère, les mêmes moeurs et habitudes. Il me faisait rire, j'eus envie de lui lâcher une bonne crise de fous rires en plein visage, comédienne que je pouvais être. Je me fichais qu'on m'aime, du moment qu'on me craignait, de piétiner les autres ne m' importaient que très peu. C'est ça qu'il ne semblait pas comprendre, crétin. « En effet. Mais moi au moins je suis sûre que Fleur La Tour Dubois m'aime...Oui parce que le but de cette conversation ce n'est pas de savoir qui est la plus pute entre toi et moi, c'est de savoir qui de nous deux Fleur fuit... » It's all about fleur. Il semblait s'évertuer à me débiter ses vérités empoisonnées, déviait du sujet ainsi du sujet enflammées et contrariant, alors qu'il était la seule raison qui nous poussait à s'adresser la parole. « Lequel de nous deux Fleur a largué... » au début de notre intermède, je m'en serais surement voulu un tant soit peu de le foutre au pied du mur de la sorte, seulement les minutes et les paroles, ajoutés à la fatigue nocturne et a mes nerfs à vifs de ces derniers temps me poussaient a foutre le feu à son coeur et à le piétiner. Nous avions été bons amis, mais cette époque était désormais révolus, je me battais pour la faveur de ma soeur, il se battait pour la sienne. Ainsi soit-il. « Lequel de nous deux va passer le restant de ses jours à crever d'amour pour elle... » him. J'en faisais le tour, le toisait dans toutes sa splendeur tandis que d'aventure j'effectuais un cercle a pas lent autour de lui. « Je pense que toi et moi connaissons déjà la réponse ... » murmurais-je d'une voix veloutée non loin de son oreille, avant d'entreprendre une marche lente à son opposé.

Je m'appuyais sur une table, ennuyés au possible par sa présence, j'avais envie de dormir et j'étais sûre qu'il pourrait ranger et trier les ordures aisément seul, après tout il était dans son milieu à présent. Seulement il m'énervait, j'avais une douce envie de le voir chialer face à mes mots, même si j'en demandais surement trop, rien que le fait de le voir répliquer à mes attaques m'apportaient une bonne satisfaction, il s'énervait, n'était pas indifférent comme je pouvais l'être, là était notre différence, je n'avais que faire de ses verbes assassins. Peu préoccupé par ses regards, je jetais un coup d'oeil à mon téléphone, un accusé de réception provenant du téléphone de Matthew, qui je l'espérais ne tarderais plus, j'avais affreusement envie de dormir et Drew commençait à doucement me faire chier avec ses sermons à la con. « Si moi je suis un moins que rien, toi qu'est ce que tu es ? Rabaisser les autres pour te sentir plus puissante, plus forte ? c'est ça être quelqu'un pour toi ? Laisse moi t'apprendre deux ou trois choses alors dans ce cas... je suis venu ce soir dans un but bien précis, m'amuser, prendre un dernier verre avant de... disons... faire le grand saut mais tu viens de me faire changer mon fusil d'épaule. Il me reste une dernière tâche à accomplir avant de partir, oui pourquoi ne pas effacer de la surface de la terre ton image terreuse de fouine arrogante et prétentieuse ! » Voilà qu'il me donnait des conseils en plus celui là, encore une fois. N'avait-il donc pas finis avec ses recommandations. Il m'agaçait au plus haut point, lui et ses réflexions à deux balles, sa gueule, sa dégaine de merde et ses grands airs de prince alors qu'il était le bouffon, je ne pouvais plus le supporter. « Forte est mieux que faible ! Tu choisis ta nature, je choisis la mienne. » je répondais du tac au tac. Que ça lui plaise ou non, j'étais comme j'étais et ne changerais pour personne, du moins certainement pas pour lui. Mieux, j'envisageais de rester la salope frigide rien que pour lui, si un jour je devenais gentille, pour autant je ne serais pas stupide, chasser le naturel il revient toujours au galop, surtout pour les crétins comme lui. Seulement, j'eus du mal à gober la suite. « Le grand sa... » Mon regard d'assurance et de mépris se changeait en un rictus intéressé, d'incompréhension. Je le dévisageais. Le grand saut. Un flash. Il voulait se suicider ce soir. Je lui adressais un regard d'incompréhension, croisant les bras sur ma poitrine, je ne pus m'empêcher de le dévisager une fois encore. « Tu comptais te suicider après le bal ? » . Je ne comprenais pas, vraiment pas. D'ailleurs, je ne comprendrais surement jamais, déjà qu'il était l'une de mes plus grandes énigmes, son attitude et ses aspirations totalement opposés au personnage qu'il avait été il était une fois. De ma méchanceté infernale, je me calmais. « Moi qui pensais que tu étais plus fort et plus intelligent que ça, encore une fois tu m'as trompée... » Ma voix c'était radoucies, qu'il ait même pensé à suicide me rappelais combien il avait été drôle de discuter avec lui dans notre appartement parisien, me dire qu'à l'époque l'envie de mort était bien loin de gouter son amertume, j'avais pitié de lui. Même si j'étais une salope entière avec lui, je savais que le fait qu'il se suicide boufferais ma sœur de tristesse et empathique que j'étais avec mon ainée, je ne pouvais rester de marbre face à tel aveux.

Une seconde, deux tout au plus. Je me retrouvais assiégés pied et poings liées, bloqués entre une table que je heurtais de plein fouet, cherchant à m'écarter de Drew, l'effet du choc, la table versus mes côtes droites, je lâchais un « putain » audible sur la légère douleur. Je sentis un froid, sur ma tempe, le plomb glacé vint faire crépiter mes sens, mes yeux cherchèrent a taton ce qui pouvait bien tenir mon visage dans le froid. « Alors toujours envie de sourire, de cracher ton venin de perverse satanique ? Si tu as une dernière parole il serait temps de faire amende honorable ! » Je plantais mon regard paralysé dans ses prunelles, comprenant ainsi que je n'avais plus les clefs de mon destin entre les mains mais que d'un revers, il pouvait désormais faucher le fil de ma courte vie. Il était dans une position de force que je ne pourrais jamais combattre, ni même pas ma force de caractère, ni-même par les mots et dans mon plus grand désespoir, il semblait déjà avoir choisis ce dont allait être fait mon lendemain. Je lâchais un soupir effrayé, tandis qu'il resserrait l'arme sur mon visage, serrait la bouche et fermait les yeux, dans l'espoir vif qu'un miracle ne me sauve à l'instant, l'espoir quasiment vain, je me voyais déjà sombrer vers d'infinis ténèbres. « Alors dis moi est ce que je devrais te faire sauter la cervelle ou plutôt te faire exploser le coeur de pierre que tu as, hein ? dis moi ! Tu as perdu ta langue ? » Tagueule et finis en ! Je n'osais rien répondre, de toute façon quoi que je dise, il était en force contre moi, tous mes mots ne suffiraient en rien, notre combat perdait désormais tout son sens, il était la dernière pièce de notre jeu d'échec, il ne lui restait qu'une pièce avant de faire le "échec et maths". L'arme portée sur ma poitrine, je n'osais pas baisser le regard tellement la peur me saisissait à la gorge, s'il y avait bien une chose à laquelle je n'avais jamais pensé, c'était bien de mourir jeune, encore moins de mourir assassinée. « Si tu te voyais maintenant... tu es simplement pitoyable et je vais te faire regretter d'avoir un jour osé dire que Drew Mcfendders était un moins que rien » Je le regardais s'éloigner, mes prunelles fixant ses traits acérés, il en riait, alors que j'étais bien à milles lieux de vouloir rire de la situation. Merde s'il voulait crever, ne pouvait-il pas me laisser en dehors de tout cela et aller tirer sa révérence dans son coin ? Seulement j'avais tout vu et tout cherché. Je savais que même avec la plus grande chance qu'il me laisse filer, je ne pourrais jamais oublier la sensation du plomb froid sur ma peau. Je le regardais s'éloigner, jouant une fois encore les western avec moi, sauf que cette fois-ci ma guerre des nerfs n'auraient plus rien à jouer, j'étais seule face à ma destinée et la garce me pointait d'une arme. « Elle va revenir bientôt et tu le sais... elle va te détester. » Je ne pus m'imaginer une scène similaire, Drew au fond du gouffre, Fleur à ma place. Rien qu'une telle pensée, mon coeur se serra, finalement je réalisais que c'était la meilleure solution, plutôt moi que ma soeur. Vallait mieux encore qu'il ne pète son plomb aujourd'hui sur moi, qu'un autre jour sur ma Fleur. « Si tu es prêt à vivre ou mourir avec l'idée que la personne que tu aimes le plus au monde te jurera une haine éternelle, alors vas-y, tire. » annonçais-je, peu sûre de moi. J'étais terrifié à l'idée de mourir, là où il avait envie de rendre son dernier soupire, j'avais envie de perdurer dans notre monde, j'avais tellement de choses à faire et à dire, mourir ici, en plus avec ce détritus, quelle fin miséreuse pour le personnage que j'étais. Je serrais les dents, autant crever avec dignité merde. Je lui adressait un regard effronté, même si en mon être intérieur je tremblais comme une feuille en plein vent. Constybitch. Je croisais les bras une nouvelle fois. « Tu ne feras que m'entraîner dans ta chute vers les enfers. C'est moi qui vais te tenir compagnie une fois dans l'au-delà, je suis sûre que cette perspective te réjoui n'est-ce pas.» lâchais-je, provocatrice. muhaha. Je me préparais à mourir dans tous les cas, autant la jouer fine une dernière fois, je n'étais pas du genre à supplier et ne le serais pas dans mes derniers instants, lui cracher à la gueule plutôt que de supplier. Je fis un pas en arrière, me préparant au jugement final, annotant que le choc sur la table d'avant me faisait légèrement souffrir, je me plissais légèrement avant de m'appuyer des deux bras sur le rebord de cette même table. J'étais terrifiée, j'espérais encore dans ma propre utopie que mon prince charmant viendrais me sauver...
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MessageSujet: Re: The safest psychotic bitch in town ♦ PV The safest psychotic bitch in town ♦ PV  EmptySam 8 Jan - 18:11

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