"Et Dieu Créa Jonathan" {Pv Miss Queen}

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Les Gammas sont connu pour leur salle caractère et leur mauvaise réputation. Jonathan était loin d'être une exception. Il était même surement l'un des pires cas qu'ait connu la confrérie. Avec une moyenne scolaire ridicule, un casier judiciaire déjà remplie, une fâcheuse habitude à faire plus la fête que dormir et à tendance destructeur aussi bien matariel qu'humain, on pouvait dire que le jeune Crawden était vraiment un cas particulier de l'université. Et il y avait des jours comme ça où il avait envie de foutre la merde. Autant parfois le jeune homme était saint d'esprit et relativement calme ; dans ces moments là il résumait sa journée en une arrogance méprisable ; mais à l'inverse, il y avait surtout les jours où il avait envie de s'éclater et d'emmerder son monde. Par moment, il se contentait de déclancher une baston ou une dispute quelque part sur le campus, puis de temps en temps il foutait réellement la merde dans le genre dégradation de matériel, humiliation dur à encaisser pour une jeune bizu ou simplement trainer dans un bar et foutre la merde. Dans tous les cas, il ne faisait pas bon de se mettre le jeune homme à dos dans ces moments là. Ce soir là, il se faisait particulièrement chier. En fait, il avait commencer sa journée plutôt bien. Un réveil aux alentours de 10h pour un cours d'éco' à 14h. Pour une fois qu'il se sentait de bonne humeur pour assister à son cours ! Bref, il avait prit son temps pour se préparer, pour aller manger tranquillement en compagnie de quelques potes et d'occupée son après midi à "étudier". Jusqu'à ce qu'un con de Iota vienne foute sa merde dans sa journée de bonne humeur. Tout avait commencer quand le bel hawaïen vint à surprendre une conversation de quelques Iotas qui critiquait les Gamma. Bien évidemment, Jonathan vint se rajouter et foutre sa merde pour défendre les couleurs de sa confrérie. Bref, une petite engueulade se déclancha et quelques insultes plus tard, une bousculade qui se termina en un crochet du droit du jeune Crawden directement parti dans la machoir du Iota qui avait oser le bousculer. Un coup de genou au niveau de l'estomac de quoi le faire se tordre en deux lui permettant de finir avec un simple coup de coude au niveau des reins. Bref vous l'aurez compris, le jeune Gamma remit rapidement le Iota à sa place. Il faisait bon de pratiquer les arts martiaux permettant de se défendre sans grande difficulter. Mais il ne faisait pas bon de se mettre toute une confrérie à dos. Après cet échange fructueux, le jeune homme ne tarda pas à repartir comme si de rien était, le problème était que le Iota garda en tête sa petite vengeance qu'il réalisa part le biait de pneus de voiture crevés. De quoi foutre en rogne la beau brun aux yeux bleus. Ce soir, il préparerait sa petite vengeance magistral.
C'est donc tout particulièrement énervé que le beau jeune homme rentra à sa résidence en fin d'après midi avec en tête une petite idée. Il s'occupa de régler l'histoire de sa voiture avec son garagiste, puis attendit sagement que la nuit tombe. Le soir arrivé, il prépara son sac d'entrainement et se dirigea en direction de la salle de dance, juste à côté du gymnase. Il attendit sagement, contre un poteau que les derniers entrainement des équipes des Iotas se termine afin d'être sûr qu'il serait seul ce soir pour son entrainement particulier. Ainsi, sur les coup de 22h, il se dirigea vers la salle de dance. Il n'eut aucun mal à se faufiler dans les couloirs du bâtiment en passant par le gymnase. L'affaire se "corsa" à partir du moment où la porte de la salle en question était fermé. Il n'eut pas de mal à fraquasser la fenêtre encadrée dans la porte après avoir soigneusement protégé sa main en l'enroulant dans un linge. En deux temps trois mouvement, il se retrouva dans la salle désiré. Il alluma les lumières afin d'user un maximum d'électricité, puis se changea. Il enleva ses chaussures, se retrouvant nu-pied. Il strapa d'ailleurs sa cheville gauche vu que c'était son pied d'appui, il avait besoin d'un minimum de maintient. Il était habiller d'un pentalon de couleur noir qu'il portait assez bas avec un maillot assez moulant à col V, il avait aussi une chemise noir qu'il avait garder ouverte, mais il l'enleva en arrivant afin d'être un maximum à l'aise. Strappant ses poignets et mettant ses gants de boxe thai, il commenca quelques enchainement qu'il effectua devant le glace. Pratique comme salle. Cependant, après une bonne demi-heure, il eut quelque peu chaud. Il enleva donc son t-shirt se retrouvant ainsi torse nu de quoi lui permettre de constater qu'il n'avait en aucun cas perdu sa musculature si alléchante. Quoi qu'il en soit, il continua encore quelques enchainement avant de frapper un grand coup dans le grand miroir ce qui le brisa légèrement avec la force du coup. Un choc quelque peu bruiant mais ammorti par les gants qu'il portait. Un sourire s'afficha sur ses lèvres, maintenant échauffer, il pourrait exercer sa petite vengeance personnel. Ainsi, il enleva ses gants, les laissant à terre prêt de son sac laisser dans un coin. Il prit une cigarette et l'alluma, de quoi enfumer la salle qui était pourtant un endroit dans lequel il était interdit de fumer. Prenant tout son temps pour fumer sa cigarette, il se dirigea vers son sac où il sortie de la peinture en bombe. Prenant bien soin de laisser la fumée se répendre dans toutes la pièces, il taga la quasi totalité des mur de la salle jusqu'à ce qu'il finisse sa clope. Après cela fait, il mit la bombe de peinture dans sa poche de pentalon puis se dirigea de nouveau vers son sac. Il en sortie une batte de baseball. Avec ceci, il frappa dans le moindre meuble qui se trouvait dans la pièce sacageant tout sur son passage. Puis il sortit un nouvelle clope, ne tardant pas à l'allumer afin de la fumer. Une fois cela fait, il reprit son activité, mais cette fois-ci frappa dans le miroir le brisant toujours plus, tout en continuer de fumer sa clope. Agissant tel un vrai délinquant sans pour autant faire ressortir une quelconque rage sur son visage. Il faisait ça d'un calme et d'un naturelle déconcertant. Il prenait tout particulièrement son temps, ne se pressait pas, ne se souciait pas de qui pourrait bien l'entendre. Il se contentait de frapper dans tout ce qui était fracassable. Juste pour le plaisir de tout casser et pour satisfaire sa petite vengeance envers ce Iota qui s'était un peu trop amusé au gout du bel hawaïen.

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Claire soupira lorsque son réveil sonna. La porte de sa chambre souvrit dans la foulée et une jeune femme entra, un bloc note dans la main... Elle ouvrit rapidement les rideaux puis pria Claire Queen de se lever. Beaucoup aurait put se demander qui était cette mystérieuse jeune femme qui forçait d'une manière quasi brutal la belle mais garce Claire Queen qui était sans contest la reine de Berkeley à se lever ?! Et bien c'était simplement la jeune femme qu'avait pris la jeune Iota à sa botte pour prendre tout son boulot et la suivre comme un chien en s'occupant de toutes les futilités qui faisait de la vie de Claire une succession de choses fades. Elle avait eut l'idée de prendre quelqu'un à sa botte pour s'occuper du salle boulot et heureusement la belle n'avait qu'à claquer des doigts pour que toutes une troupe de filles qui l'aurait suivit jusqu'au bout du monde arrivent à ses pieds ! Bref, après que l'instrus lui est donné son café ni trop chaud ni trop froid, Claire la congédia et se leva, vêtue en tout et pour tout d'une nuisette ... Une fois dans la salle de bain, elle mit au moins une heure pour savoir ce qu'elle allait mettre aujourdh'ui mais bref, elle se décida pour uhhn jean moulant et un débardeur Ralf Lauren. Enfin, elle sortit de sa chambre et la jeune femme qui l'avait réveillée un peu plus tot vint tout de suite à sa rencontre. Lui tendant le journal universitaire que Claire lui avait demandé de récupéré, elle s'éclipsa de nouveau. Claire jeta un oeil dessus. En tant que rédactrice en chef du journal et membre du comité des activités extra-scolaire et des fêtes, elle avait beaucoup de choses à faire et dans e cas ci, elle devait regarder tous les articles fait par les journalistes de berkeley pour sélectionné les meilleurs et mettre tout en place pour sa parution...

Claire passa sa journée à travailler sur le journal ce qui était vraiment épuisant puis enfin, elle sortit rejoindre ses deux meilleures amies Taylor et Lina. Après plusieurs heures de shopping et de potins croustillants, elles se laissèrent et partir. Ce soir pour une fois, Claire ne sortirait pas et donc ne ramènerait pas un garçon chez elle. Elle avait décidé de bosser la nouvelle corégraphie des cherleeders pour le futur match qui allait bientôt se dérouler en dehors de Berkeley. Ce rôle aussi, Claire y tenait et elle faisait tout pour arriver à jongler entre son post d'organisatrice, de rédactrice en chef, de cherleeder et les cours. Oui, c'était énorme vous deviez vous en doutez mais ce n'était pas n'importe qui ! Claire Queen était connut pour être la fille à qui on ne disait jamais non et qui menait tout le monde par le bout du nez. C'était iné chez elle ! Enfin dans le gymanse, elle enleva son pantalon pour laisser apparaître ses jambes fines et son mini short noir ainsi que son débardeur blanc... Elle s'entraîna alors pendant au moins une heure lorsqu'elle entendit des bruits sourds venant de la salle de danse. Elle y alla rapidement laissant ses affaires au gymnase lorsqu'elle ouvrit grand la bouche. Un jeune homme avait tout dévasté et elle crut qu'elle allait péter un plomb ! Oui, certaines filles auraient hurlé et aurait courut chercher quelqu'un mais Claire était différente et même si d'autres filles n'auraient pas osé s'interposer devant ce mâle en furie, elle s'en fichait et faisait bien peur lorsqu'elle se mettait en colère ! D'ailleurs, à chaque fois, les gens pensaient que la troisième guerre mondiale éclatait !

Mais qu'est-ce que tu fais ? Arrête toi tout de suite sinon je te juste que tu as le regretté !

Waah, on avait dû mal à croire qu'elle n'avait pas peur du garçon mais en l'occurence, c'était exact !

C'est bien t'es content ? Tu t'es lâché ? Maintenant tu vas me faire le plaisir de dégager !

Mais Claire Queen devait l'avouer, ce jeune homme était charmant... Mais qu'est-ce qu'elle racontait ?!

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Jonathan s'en donnait donc à coeur joix de détruire cet endroit pour le simple plaisir d'assouvir une petite vengeance. On avait osé toucher à sa voiture ? Alors on en payait le prix ! Comme si la raclé que lui avait fichu Jon' cet après midi ne lui avait pas suffit, cet abruti avait eut besoin de jouer les durs à cuir en touchant aux biens du bel hawaïen. Dans le langages du jeune Gamma ça voulait dire qu'il avait chercher la guerre. Et quand on le cherche on le trouve. Généralement, le beau brun n'avait pas pour habitude de faire les choses à moitié. Quand il avait une idée en tête, il ne l'a lacher pas. Et ce soir, son idée était de donner une bonne leçon à ce petit Iota ridicul. Quand il verrait la tête de la salle il comprendra surement qu'on ne rigole pas avec Jonathan. C'est donc en fin décorateur qu'il remit un peu d'ambiance à cette salle quelque peu monotone. Quelques écrits rouge, un petit message que seul le responsable et sa victime comprendrait ainsi que quelques effets de décoration à l'effet dévastateur et voilà que la pièce était refaite à la façon Crawden. Une grande satisfaction pour l'artiste qui en était l'auteur. Ca faisait un petit moment qu'il n'avait pas fait de connerie du genre qui risquerait de lui retomber dessus, et pour tout vous dire il ne le regrettait en rien. C'était tellement pratique pour se défouler. Et puis au moins, on arrêterait d'essayer de jouer aux jeunes rebelles avec lui sachant que le méchant dans l'histoire c'était bel et bien lui.

Il s'en donnait donc à coeur joix ce soir là, cigarette à la main histoire de bien enfumé la salle. Cependant, il fut rejoin à un moment donné par une charmente jeune femme. A en voir la tenu, c'était une de ce Iota qui se croyait tout permis. Mais ce corps plutôt bien fait lui enlevait se défaut. Quoi qu'il en soit, ce n'était certainement pas son ton persuasif qui allait arrêter Jonathan dans sa course. Lorsqu'il l'entendit hurler, il se retourna sans se presser, quelque peu surpris. La toisant du regard, il n'eut pas vraiment de réaction particulière. Il fit tournoyer la batte de Baseball d'un mouvement de poignet. Ne réagissant pas instantanément à sa phrase, il prit une dernière taffe à sa cigarette, gardant un petit moment la fumée néfaste dans ses poumons avant de la recracher dans un long nuage épais. Ayant fait ce qu'il avait à faire, il défia du regard la jolie jeune femme avant de prononcer dans un sourire narquois et méprisable :

- C'est quoi ça ? Le nouveau Slogan de l'équipe des loser de Berkeley ?

S'approchant lentement de la jeune femme tout en faisant de nouveau tournoyer la batte de base ball à l'aide de mouvements de poignet, il reprit sur un ton moqueur et digne de la philosophie "foutage de gueule" :

- Tu devrais revoir tes rimes ma jolies. C'est pas encore ça.

Il la regarda avec ce sourire en coin avant de chantonner d'une façon narquoise :

- Arlequin dans sa boutique, sur les marches du palais, il enseigne sa musique, à tous ses petits valet, A Monsieur PO, A Monsieur LI, A Monsieur CHI, A Monsieur Nell, A Monsieur POLICHINELLE.

Dit-il en se foutant de sa gueule en reprenant les paroles d'une vieille comptine insinuant ainsi que les rimes que nous sortaient la majorité des Cheerleader lors de match ou autes compétitions sportives étaient d'une ridicul né. Après avoir fait ce gros sous entendu en ayant prit soin de choisir une comptine qui aurait pu ressembler à un slogan, il prit de nouveau une longue taffe sur sa cigarette et recracha la fumé en plein visage de la belle blonde.

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Claire regarda les dégats occasionés par le beau jeune homme devant elle. Bien qu'il était très beau, elle devait le dire, il était un sacré con ! Après tout, même si il était en colère, il n'avait pas à détruire une salle entière de Berkeley ! Surtout lorsque cette salle était censée être pour tout le monde ! En faisant ça, il sanctionnait tous les élèves qui avaient envie de s'entraîner ou juste de danser pour le plaisir ! Les murs étaient dans de piteux états. Tagué dans tous les sens, elle lut rapidement un message sur l'un deux qu'elle ne compris pas. Mais ce qu'elle comprit, c'était que le garçon avait fait ça par revanche. Contre qui ? Dans quel but ? Pour que son adversaire continue et que leur gueguerre dur éternellement ? Bref, elle ne comprenait pas bien les garçons lorsqu'ils se mettaient à jouer aux plus forts bien que ça ne lui avait jamais vraiment déplut lorsqu'un jeune homme se battait pour elle mais bref, il n'était pas question de sa personne pour l'instant ! Les mirroirs dans lesquels Claire s'était souvent regardé étaient en piteux état et à certains endroit, les bout verre s'était répandut sur la surface du sol. La colère monta en elle mais elle souffle pour ne pas se laisser aller. Après tout, il valait contenir sa rage car en général lorsqu'elle explosait, cela ne donnait rien de bon, au contraire ! Bref, elle belle tourna des yeux révulsés vers le fautif de tant de dégats en le regardant de haut en bas. Torse nu, une cigarette à la main, le stéréotype même du gars qui faisait tout pour qu'on le remarque. Dans son comportement comme avec son physique mais bon ça, Claire ne pouvait le nier, elle l'aurait bien croquer...

Va te faire foutre !

Elle lui fit un faux sourire qui marquait bien ce qu'elle venait de lui dire et s'avança vers lui d'un pas assuré et non inquiet de ce qu'il pourrait lui faire. Se mettant à quelques centimêtres de lui, elle le foudroya de son regard bleuté :

Et toi tu devrais revoir ton cas à Berkeley car je ne suis pas sûr qu'après ce massacre, tu revoyes de si tôt notre école !

Puis il se fouta d'elle en chantant une comptine qu'elle connaissait pour l'avoir chanté en primaire. Elle croisa les bras sur sa poitrine et leva les yeux au ciel. Il se foutait vraiment d'elle et elle avait envie de le gifler pourtant, quelque chose la retenait. Ce n'était pas comme si, elle était un modèl de pureté et qu'elle n'avait jamais fait la même chose... En faîtes, avec des amis dans son ancien bahut, elle avait fait la même chose mais elle était saoul avec ses potes à ce moment là, sa ne comptait pas ! Elle se calma quand même essayant de garder son calme :

Ho moins, il y aura enfin une nouvelle décot...

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Plus le temps passait et plus Jonathan remarquait combien la jeune femme qui l'avait surpris en plein délits était tenace et ne devait pas avoir l'habitude de se laisser marcher sur les pieds. La plus part des filles auraient hurler en finissant soit par partir en courant avertir quelqu'un ou sinon simplement avoir peur. Mais cette jeune femme faisait totalement l'inverse de ce qu'une autre aurait pu faire. Elle était là, se tenait face à lui et le défiait même du regard. Droite, froide et insensible. Pas même une pointe de peur. Rien ! Nada ! Et pourtant, ça ne faisait pas chier Jonathan. Au contraire, il trouvait ça nettement plus amusant. Et puis pour tout dire, ça lui donnait une pointe de charme à cette jeune femme qui osait lui tenir tête. Le jeune Crawden avait toujours préféré ce genre de rencontre. Après tout, le difficile était toujours plus tentant. Si elle était partie en courant ou l'aurait supplier de ne rien lui faire, le jeune Gamma n'aurait trouvait aucun intérêt à la contre dire ni même à essayer de l'énerver. Hors là, le fait qu'elle le mette plus ou moins au défi et tape directement dans son estime de lui même en lui montrant combien il ne lui faisait pas peur l'obligeait plus ou moins à être cet homme méprisable ; cela même s'il n'en avait jamais eut vraiment besoin puisque l'arrogance et ce comportement détestable était un quotidien pour lui. La situation avec un gout tout particulièrement appétissant. C'était connu que Jon' aimait ce qui était mauvais, de quoi expliquer son comportement, et encore plus ses réponses sanglante. Se foutre de la gueule du monde c'est ce qu'il aimait. Et c'était encore mieu quand la personne d'en face entrait dans son jeu. Ce soir, il avait décider de foutre sa merde en pénalisant toute une partie des élèves Berkeleyens et pour tout dire ce n'était pas ça qui allait l'empêcher de dormir. Après tout, tout avait commencer avec ce con de Iota qui avait toucher à sa voiture. Il était d'ailleurs curieux de savoir si après cela, il se sentirait de taille pour répondre à sa provocation. Et il était clair que Jonathan ne lâcherait pas le morceau dans que ce morveux n'aurait pas compris que dans ce jeu là, c'était lui le meilleur. Si ça avait été un concours de Basket ou une épreuve intellectuel, Jonathan se serait incliner. Cependant, là la Iota avait eut la débilité de se lancer dans un mode de jeu qui appartement à la confrérie Gamma. Bref, il s'était aventurer dans des eaux profondes dans lesquelles le bel hawaïen s'y sentait comme un poisson dans l'eau.
Il était donc là, en simple jean, torse nu en tenu d'entrainement à la différence qu'en général il était en jogging. Batte de baseball dans une main, clope dans l'autre, il ne se souciait pas le moindre du monde de l'image qu'il pouvait bien laisser transcrire. Il savait qu'il était loin d'être repoussant et en jouait. Il avait travailler trop longtemps sur son corps pour ne pas être récompenser par le regard des autres. Alors au jour d'aujourd'hui, se trimbaler à moitié à poile n'était plus un problème pour lui. Quand à son comportement, que la jeune femme le prenne pour un pseudo-ados-en-mal-d'attention, il s'en contre fichait royallement. Il se souciat plutôt de la manière à laquelle il devrait s'y prendre pour l'énerver un maximum. Il avait dans sa manière de parler et de bouger cette petite (grande) dose de je m'en foutisme royal, et c'est avec cette attitude qu'il s'était ouvertement foutu de la belle blonde. Et celle-ci lui répondit dans le même état d'esprit. Ce petit sourire mesquin et hypocrite était à la fois attirant et source de haine. Jonathan détestait toutes ces pseudos-reines de l'établissement et pourtant c'était tellement attirant de se retrouver dans une situation de défi entre ces personnes là. Et puis, il avait beau les détester, il ne pouvait pas nier qu'au fond, il était de la même greine, avec le statu de roi en moins. Quoi qu'il en soit, après l'avoir envoyer chier, la belle pom pom girl lui répondit qu'il devrait plutôt revoir sa position dans le lycée puisqu'après le sacage qu'il avait fait dans cette salle, il ne serait pas prêt de remettre les pieds à Berkeley. Un sourire amusé s'afficha sur ses fines lèvres. Berkeley ne lui avait pas ouvert grand ses portes, c'était "Mr" qui avait payer pour. Il n'avait jamais désirer y entrer, il y avait plutôt été contraint, et pour tout dire, le Doyen était plutôt habituer à ce genre de comportement avec les élèves dans le genre de Jonathan. Il parlait toujours d'exclusion, mais se laisser si facilement soudoyer par un chèque en blanc. Pourquoi croyer vous qu'au jour d'aujourd'hui, il y avait autant d'argent dans les caisses de l'université ? Simplement parce que Papa-Maman payait chère pour que leurs enfants entrent dans cette prestigieuse université, et certains, plein aux as comme un certain John-Douglas Crawden, payaient deux fois plus pour permettre à leur petit bout de choux de rester à nouveau. Il répondit donc dans un ton amusé et ironique :

- Ah t'en fais donc pas pour moi. On me remerciera plus tard quand mon chèque de ré-inscription payera tes nouveaux uniforme pour te dandiner devant une bonne de pervers qui reluquerons ton derrière.

Un sourire hypocrite identique à celui qu'elle lui avait lancé auparavant s'afficha sur son visage. Si Jonathan aimait quelque chose, c'était bien se foutre de la gueule du monde. Et ce soir, la belle blonde lui offrait ce cadeaux ! Finalement, peut être qu'il pourrait apprécier un Iota pour une fois. Par la suite, elle regarda les dégats avant d'insister sur le fait qu'au moins il y aurait une nouvelle décos avec cela. Le beau brun aux yeux bleux riat quelque peu à sa remarque avant de tiré une dernière taffe de sa cigarette qui était à présent plus consomable. Il jeta le mego par terre avant de l'écraser sur le parquet de la salle. Il cracha son dernier nuage de fumé et regarder la jeune femme telle on aurait regarder un petit labrador :

- Bah tu vois ! Finalement on sera tous content à la fin de l'hitoire.

Prononça-t-il tout en lui souriant comme s'il avait parler à un petit mignon animal, en passant son doigt sur le bout du nez de la jeune femme. Puis après lui avoir lancer un autre de ses sourire narquois, il s'écarta de la jeune femme pour illustrer ses paroles de gestes :

- J'aurais défoncer cette salle ideuse comme je le désirais, et toi tu pourras éxercer tes pas de danse ridicul dans une toute nouvelle salle. T'as vu, on ne pouvait pas mieux s'entendre toi et moi.

Il frappa donc de nouveau dans un meuble lorsqu'il parla de défoncer la salle, puis immita un pas de danse tout à fait ridicul lorsqu'il parla de la chorégraphie que pouvait faire les pompom girl. Un pas de danse qu'il arrêta après avoir faire une sorte de révérence à la jeune femme avec le but de se foutre de sa gueule une nouvelle fois. Il termina ainsi ses paroles sur un clin d'oeil désabuser en direction de la belle blonde typiquement californienne.

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Lorsqu'il s'y mettait celui-là, il devenait vraiment exécrable ! Après tout, ce qu'il disait n'était peut-être pas tout à fait faux mais c'était vraiment bas et blessant pour elle qui aimait par dessus tout le "métier" de chauffeuse de terrain comme certains les appelait. Après tout, sans elles, l'équipe n'était qu'à 50 pour cent et en de plus, qui s'était plaint un jour de voir des pompom danser devant eux tout eux criant pour encourager leur équipe ? Elle fut d'ailleurs un peu coqué que le jeune homme lui dise ça car après tout, il avait tout l'air de bien se rincer l'oeil lorsqu'elles se mettaient à danser sur le terrain! Pour qui se prenait-il ? Pourtant, il continuait à e regarda avec ce regard méprisable qu'elle aurait bien arrêter d'une bonne giffle si seulement ses paroles ne sonnaient pas comme celles qui annoncent les défis. Comme beaucoup, elle relevait vite les défis seulement, elle savait quand s'arrêtait et surtout, elle connaissait ses limites ! Pourtant, elle n'avait pas vraiment envie de rentrer dans le jeue du garçon qui continuait encore à la regarder avec ce petit sourire mauvais. D'ailleurs, son regard s'attardait un peu trop sur son corps à son gout mais d'un côté, elle ne pouvait lui en vouloir ! Elle n'était habillé que d'un mini short noir et d'un débardeur blanc ! franchement, si elle voulait que les garçons ne la remarque pas, mieux valait changer de fringues tout de suite! Bon elle n'avait pas non-plus eut l'intention d'aller arrêter un fou furieux qui détruisait toute une salle de danse ! Et puis, il n'était pas mal dans le genre aussi ! Après tout, il ne portait qu'un simple pantalon de sport et il ne portait pas de haut ce qui laissait voir qu'il était vraiment fier de son corps musclé. Bon, c'est vrai aussi que Claire s'était attardé principalement sur ses abdos car si elle était en confrontation avec lui, elle n'en demeurait qu'une jeune femme qui aimait les hommes et surtout qui adoraient être en leur compagnie ! Bref, elle comprit vite son jeu et il continua de ses petites phrases mesquines à se foutre d'elle et de la confrérie à laquelle elle appartenait. Franchement, elle était sûr que si elle faisait de même, il n'apprécierait pas non-plus, ça, elle en était persuadé ! D'ailleurs cela revenait à la question du pourquoi il avait dévasté cette salle ? Un problème avec un iota ? Bon, c'est vrai, elle devait le dire, les Iotas étaient souvent vaniteux et se croyaient tout permis mais d'un autre côté, c'était la confrérie qui réunissaient le plus de personnes populaires et de personnes animant pour ainsi dire la vie de Berkeley !

Je penses que tu fait partit de ces pervers comme tu le dis et tu devrais par ailleurs surveiller tes propos avec moi, tu pourrais amèrement le regretter car tu peux me prendre pour une de ces cherleeders prétencieuses n'empêche que moi au moins, j'ai la descence d'affronter mais problèmes de face !

Elle faisait surtout allusion au fait qu'il avait détruit une salle au lieu de détruire la personne qui l'avait énervé autant ! ou peut-être qu'elle se trompait sur la cause mais en tout cas, elle était l'une des plus riche étudiante de berkeley et donc, bien qu'il est beaucoup d'argent, elle était sûr que si elle forçait la main à ses parents, ils pourraient vite payer pour que ce jeune homme se retrouve à la rue ! Elle était las de ce qu'il disait et ses paroles devenaient de plus en plus moqueuse mais elle continua à ne pas ciller devant ses remarques désobligeantes ce qui était étonnant lorsqu'on savait la rapidiyté à laquelle certaine fois elle se mettait en colère !

De toute manière, ça ne m'étonne pas, tu n'es qu'un gamma...

Oui, ça elle en était sûr et ce qu'elle savait aussi c'était qu'elle avait sûrement touché un point sensible. Après tout, il n'y avait qu'un gamma pour ne pas affronter les autres en face ! Elle se demandait bien comment il allait réagir et Claire se dit qu'elle aurait quand même préféré le rencontrer dans une autre situation... Après tout, elle était sûr qu'ils se seraient bien entendut. Il avait peut-être raison sur ce point au moins !

waah, le rêve...

Passionant ce qu'il disait n'empêche qu'elle leva encore les yeux au ciel à sa remarque qu'ils étaient fait pour s'entendre. Elle avait parlé d'un ton méprisable pour bien lui montrer que ce qu'il disait était aussi exaspérant que sa personne. Elle ne put quand même s'empêcher de regarda encore son corps musclé. Arg, laissons le côté séducteur pour un autre jour Claire !...

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Mais c'est que la petite cherchait à le mettre sur les nerfs. D'où est-ce-qu'elle se permettait d'oser prétendre qu'il n'était pas capable d'affronter ses problèmes en face. A ce que je sache, ce petit Iota ridicule, il l'avait affronter bien en face en lui offrant la plus belle raclé qu'il n'ait jamais reçu. Et il ne manquerait pas de remettre ça sur le tapis une fois qu'il le recroiserait à la fin d'un cours - si déjà il décidait d'y assister - mais faire chier toute une confrérie au passage était tellement plaisant ! Il possédait un mobile et une terrible envie, rien ne pouvait plus l'arrêter pour faire ce qu'il avait envie. Et maintenant, il recoltait le serman d'une pom pom girl qui se croyait tout permis pour faire sa psychianalise du bel hawaïen ! Nen mais pour qui elle se prenait ? Bon okay, Jonathan n'était pas vraiment mieux en ce moment même en auto-proclament solanellement sa supériorité face à n'importe qu'elle être qui pourrait se présenter face à lui ce soir. Mais quand même ! Sérieusement ! Son petit sourire de peste lui donnait vraiment envie de la remettre à sa place celle là. Mais d'un autre côté, ça mettait du piment dans leur conversation. Et dieu seul sait combien Jonathan aimait les plats épicés ! Puis pour tout dire, ça la rendait tout particulièrement sexy ce petit air supérieur qu'elle essayait de prendre avec lui. On n'allait quand meme pas lui en vouloir d'avoir l'esprit quelque peu mal placer quelques secondes quand on voyait la petite tenu qu'elle portait, et le corps qu'on ne pouvait qualifié que d'avantageux qui était sien. Alors qu'elle avait réussit à l'énerver quelque peu avec ses remarques, il se rendit compte qu'il était entrain de tomber dans son propre jeu. Voilà donc une nouvelle raison pour l'obliger à continuer dans cette voix. Il aimait tellement ces situations qu'il ne pouvait pas refuser l'opportunité de déguster un bon plat épicé comme il les aimait ! Ainsi, il continuerait sur cette voix.
Il monta les yeux au ciel quand elle parla d'affronter l'adversaire en face. Elle n'avait pas été là pour voir son pote le Iota se faire ridiculiser lors d'une bagarre qui avait été à sens unique, ça se voyait. Il fit à son tour cette sorte de sourire de peste comme pour simmuler le fait qu'il aurait été blesser. Il marcha dans la pièce, laissant un léger blanc s'installer comme pour faire durer le suspense avant de prononcer de cet air ironique qui visait à prendre son interlocutrice pour une conne :

- Hum ... t'as p't'être raison ... Sur les deux points. J'suis un gros pervers qui aime te reluquer - et j'vais pas te cacher que je le fais en ce moment même - et ... j'devrais peut être régler mes problèmes avec la personne visé ... Oh ! Mais que suis-je bête, j'crois que ça c'est déjà fait ! C'est vrai que ça c'est un truc de Iotas. Ca se vente quand on arrive à faire une petite pirouette ridicul, mais quand on se fait botter le cul on en entend pas parler. Ca me fait penser ... il ne te reste pas un peu de ce produit magique pour caché les impurtés ? Non parce que sérieusement, il va falloir lui en passer pour camoufler les traces de cette période de la journée où j'ai régler le problème. Mais le problème, c'est plus que vous, vous êtes un peu trop orgeuilleux pour laisser les BG dans mon genre prendre le dessus. Mais bon, à quoi bon parler plus, comme tu l'as dis, j'suis "qu'un" Gamma. J'aime foutre la merde c'est tout, tout comme vous Iotas, vous adorez vous persuadez que vous êtes les meilleurs alors qu'au fond vous savez que vous nous arrivez pas à la cheville !

Ah ! Et dire qu'elle avait réussit à lui faire dire ce qu'il ne voulait pas dire. Mais d'un côté, la mettre au défi était quelque chose dont il avait terriblement envie. Oui ! Et l'envie amer de lui prouver combien il pouvait être meilleur qu'elle dans n'importe quel domaine grimpa en lui comme un fiel qui laissait couler le long de son âme envieuse le besoin de la battre à son propre jeu. Les filles de son genre se prenaient pour les reines du monde sous pretexte qu'elle savait faire un pas de danse, or Jonathan aussi pouvait bien se mettre à danser s'il le voulait. Après tout, à Honolulu il avait participer à plus d'un concours de danse. Le tango tout comme la Salsa il s'y connaissait un minimum, de plus, qui ne s'était pas déjà déhancher sur une piste de danse. Qui n'avait pas délirer une fois ou deux en bougeant son popotin sur les airs des nouvelles chansons de comédie musical ? Et qu'elle ne lui parle pas de figure acrobatique ! Après tout, la pratique du MMA - qui était plus un sport de spectable qu'un sport comme un autre - lui avait enseigner l'art des figures accrobatique tout en sachant maîtriser la technique que les coups demandait. Bon, bien, sûr à cela, il fallait enlever les pointes de pied et la grâce, mais la technique et l'impressionisme était là lorsqu'en plein combat, il frappait l'adversaire tout en effectuant une figure visant à gagner des points auprès des spectateurs. Bref, ce soir, Jonathan eut l'impression d'être submerger part cette envie de défi et de prouver combien lui aussi pouvait être bon en quoi que ce soit. Lui lansant donc un dernier regard défieur, il écarte les bras et fit des mouvements de mains comme pour dire "vas-y approche, montre moi donc ce que tu sais faire".

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Bon c'était claire, le garçon lui en voulait de s'être interposé entre son carnage et lui mais d'un côté, c'était son devoir en tant que personne importante de cette université ! Bon d'accord, là elle commençait à se vanter mais si on avait laissé tous les gens comme lui saccagé les salles de cours ou d'activités sportives lorsqu'ils avaient un truc de travers, non mais Berkeley aurait été rayé de la carte depuis longtemps ! Juste une école évaporée, un souvenir qui se serait estompé de mémoires en mémoires. A cause de petits prétencieux dans le genre de jeune homme comme celui-ci, avide d'avoir le dernier mot, sans jamais formulé clairement ses pensées et sans jamais refleté le moindre doute sur son visage parfait. Oui, c'est vrai, Claire avait toujours craqué pour les vilains garçons et bien qu'il en fasse indéniablement partit, elle ne se laisserait pas partir dans des débats avec un tel comportement de sa part ! Oui, vous deviez qu'elle avait des airs de petite bourge à parler comme celà mais c'était le cas, elle faisait partit de la haute aristocratie et le lui montrer ne serait que perdre son temps ! Ses parents ayant sûrement de l'argent comme il l'avait dit ne devait pas être très fier et devait vraiment l'aimer beaucoup pour payer une fortune pur le mettre dans une école qui ne devait, à l'évidence peu lui plaire ou, où il avait la facheuse tendance à se faire passé pour un bad boy désabusé... Son attitude le montrait bien d'ailleurs et il la mit rapidement au défi. Au défi de quoi se demandait t'elle ? Hoho, monsieur se croyait sûrement meilleure qu'elle. Voilà ce qu'elle avait toujours détesté envers ses autres personnes, il croyait que les Iotas se prenaient pour le centre du monde mais en attendant, ils faisaient la même chose de leur côté ! Personne n'était vraiment différent lorsqu'elle y pensait et biensûr, tout le monde ripostait de la même manière, en se traitant de vantard... Pour sa part, être une cherleeder ne lui apportait pas toujours que de la gloire, la preuve encore aujourd'hui mais elle sûr que même ses paroles n'était purement pour l'énerver et qu'il était forcémment l'un des mecs qui la regardait sur le terrain en train de danser ! Biensûr, elle savait que ces mecs pensaient sûrement que c'était simple de s'entraîner et de voltiger en l'air en montant sur les épaules de ses camarades n'empêche que beaucoup avait le vertige et puis, il fallait au moins avoir confiance en ses partenaires pour se laisser propulser en l'air et attendre dans sa chute que les deux personnes qui doivent la rattraper fassent leur boulot ! Non, ce n'était pas une pure partie de rigolade ! Après tout, Claire s'était toujours entraîner dur pour être l'une des meilleurs en tout et être cherleeder en faisait partit ! Oui, elle avait toujours aimé danser pour les autres et ce qu'elle aimait dedans c'est qu'en se bougeant son popotin comme il disait, elle faisait transmettre une énergie aux joueurs et une plus grande détermination ! Elle c'est comme ça qu'elle le voyait et biensûr, il l'avait bléssé dans ses paroles mais tout comme lui, elle ne le montra pas et resta avec ce regard insensible et toujours aussi stable...

Donc nous sommes tous des pourris et toi y compris ! C'est pathétique cette petite gueguerre entre les confréries ! Nous n'avons pas la même façon de voir les choses. Tu me reluke ? Vas-y je t'en pris mais franchement tu crois que les gens vont te monter en estime après tout ça ? Et puis, on est peut-être vantard mais nous au moins, on a des raisons de l'être ! On participe à la vie de Berkeley ! Tu fais quoi toi avec ta confrérie appart foutre la merde ? Biensûr, comme vous êtes les rebus de service, vous avez du mal à comprendre pourquoi les gens sont fascinés par nous... Redescend sur terre et arrête de réfléchir avec tes pieds !

Elle le regarda droit dans les yeux pour lui montrer qu'elle commençait à ne pas se contrôler ! Il commençait sérieusement à la chauffer mais elle ne craquerait pas. Après tout, ce n'était rien d'autre qu'un jeu pour lui et bien que ce n'était pour Claire Queen qu'un amusement de plus, il fallait l'avouer, il avait de bonne répartie ! Malheureusement, si il voulait faire le malin c'était raté car Claire l'avait remis à sa place de nouveau bien qu'elle savait que ces échanges ne ceseraient sûrement pas avant que l'un se jette sur l'autre de fureur ! Elle soupira en le regardant s'éloigner. Elle vit bien qu'il la mettait au défi. De quoi ? Elle comprit vite dans son regard qu'il voulait lui montrer que lui aussi savait danser. Comment elle le savait ? Peut-être son invitation d'entrée sur la piste de danse qui n'était presque plus rien. Elle eut un sourire. Il était sérieux ? Elle était sûr qu'il ne lui arriverait pas à la cheville ! Elle était même sûr qu'elle devrait sûrement lui apprendre à danser ! Après tout, la richesse ne lui apportait pas que de nouvelles fringues de grands créateurs ! Elle s'offrait aussi beaucoup de voyage dans les îles et là-bas, elle avait développer un plaisir soudain pour les danses en tout genre et c'est à force de séjour là-bas qu'elle avait appris rapidement la salsa ou le tango. Oui, elle adorait ses danse qui exprimait la passion et le désir et qui se laissait exprimer par des pas de danse avec un partenaire. Oui, elle dansait beaucoup c'est vrai mais en rentrant ici, elle était toujours déçut de voir qu'elle ne pourrait se remettre à danser seulement lorsqu'elle retournerait en voyage ! Bref, elle haussa un sourcil pour lui demander si il était vraiment sérieux de vouloir l'affronter. D'ailleurs elle n'était même pas sûr qu'il parlait de danse mais elle voulait lui prouver qu'elle ne savait pas que danser en bouger "ses fesses" comme il le disait, deux pompoms dans les mains ! Elle lui fit signe d'approcher avec son index et avança vers le centre de la salle :

Je n'avais pas prévut de donner des cours de danse ce soir !

Elle soupira. Elle n'avait jamais trouvé de cavalier et le garçon se croyait bien malin. Il le serait moins lorsqu'il partirait à cause qu'il lui est marché sur les pieds trop de fois !

Au fait, je ne danse pas avec n'importe qui... Moi c'est Claire Queen.

Bien qu'il était présomptueux et d'une abominable arrogance, elle devait l'avouer, il avait un incroyable cran !

Invité

L'existence d'un homme se joue dans sa virilité et son besoin continuel d'assouvir les désirs orgueilleux de sa fierté. Monter dans l'estime de sois et des autres était même un but universelle qui n'appartenait pas qu'au sexe masculin. Depuis la nuit des temps l'Homme possède en lui ce parasite qui sens cesse se nourrit de la haine et de la jalousie. L'hypocrisie règne dans n'importe qu'elle âme, malgré sa forte dévotion pour l'honnêteté. Qui n'a jamais mordu à l'hameçon de cracher tout son venin dans le dos d'une personne après lui avoir fait la révérence auparevent ? Il était dans la nature de l'Homme comploter contre ceux plus fort. On ne peut pas faire de gâteau sans oeufs. Il en vallait de la survit de notre existence de se nourir des discutions portant sur intel ou intel. Pouvons-nous trouver un sujet de conversation qui ne se rapporte pas à une personne extérieur au dialogue ? Il en était fortement incertain. Quelque soit le plat auquel on goutait, il y avait toujours plus ou moins indirectement un ingrédient qui ne se trouvait pas de notre garde manger. Ce phénomène universelle se fondant sur la simple jalousie des uns envers des autres, de la fierté orgueilleuse et cet estime intatiable et mobile. Les conflits empruntait alors le même chemin. L'Homme ne peut se satisfaire de ce qu'il a. Il aurait sans cesse besoin de ce que l'autre a, ou n'a pas, s'obligeant lui même à se surpasser pour l'obtenir. L'histoire est faite de conflit, quelque soit leur grandeur. Si certains sont unutil et évitable, les plus quotidiens, eux, sont nécéssaire au bon développement d'une civilisation. S'il n'y avait plus de conflit journalier, de quoi parlerions-nous ? Quelles seraient nos raisons de vouloir être meilleure. La compétition et l'envie de surpasser les autres était ancré dans les gènes de n'importe quelle espèce vivante. Jonathan faisait parti de cette évolution psychologique. A la différence que lui faisait parti d'un groupe de personne ayant un égaut surdimenssionné et une estime de sois bien plus important que la grande majorité de la population. Et quand deux grands orgueilleux se rencontre, ça faisait d'autant plus de conflit. Mais que voulez-vous ? C'était dans la nature de Jonathan. Avoir le dernier mot, quelque soit le moyen pour l'obtenir. Il avait grandit avec cette philosophie et ce n'était pas demain la veille qu'il stopperait cette façon de penser. Et ce n'était certainement pas une petite peste bien foutu qui allait lui faire changer sa façon de penser sous pretexte qu'elle faisait partie de l'élite de Berkeley. Au contraire, ce comportement désinvolte et supérieur faisait naître en lui une plus grande soif de raison. Ce soir, son but avait changer. Il n'était plus ici pour remettre à sa place un Iota qui avait oser crever les pneus de sa voiture, mais il était là pour prouver à cette petite prétentieuse qu'il n'y avait de la place que pour un orgueilleux dans cette pièce.
Le bel hawaïen ne pu s'empêcher de rire lorsque la belle blonde monta d'un degré d'énervement. Participé à la vie de Berkeley ? Mais jusqu'à preuve du contraire, s'il y avait des choses à amélioré ici c'était grâce aux gens comme Jonathan. S'il n'y avait pas d'acte de vandalisme et de revendiquation, il n'y aurait pas de changement. Quand à l'argent que sa famille déverserait pour le ré-inscrire, il ne serait pas du à un amour surdimensionner pour sa personne, mais plutôt pour la réputation de la famille. Oui, voyez-vous, "Mr" se préoccupait plus de la réputation des Crawden que du bien être et de l'avi personnel de sa progéniture. Soit, ce n'était pas jonathan qui allait le lui enlever. Il avait apprit à vivre avec il en faisait une raison de plus pour être exécrable. La jeune femme en rajouta donc une couche et le beau brun ne pu retenir sa terrible envie de remettre un peu de sa sauce dans la recette qui se préparait ce soir :

- Mais qui te dis que le but est de remonter dans l'estime des gens ? Et si tout était dans l'envie de se contre fiche de l'avis des autres ? Et entre toi et moi, il n'y aurait plus de participation à la vie de Berkeley si nos attitude ne vous obligeaient pas à vous démener pour trouver des solutions. Toutes améliorations passent par une revendication ... Mais quoi qu'il en soit ma jolie, on va en terminer la pour ce débat. J'te laisse la victoire pour ce round pour te laisser une toute petite longueur d'avance, parce que prépare toi à te faire boter le cul sur le champ.

En effet, le défi était lancer. La belle voulait conserver son titre, tandis que le renégat voulait détrôner sa majesté. Il mit fin aux hostilité déclarant forfait. Il fallait l'avoué, la petite en avait dans le crâne, et il savait qu'il ne pourrait pas contredire ses dires éternellement. Et il préférait perdre sur un choix que sur une humiliation du à la défaite contre une simple cheerleader. La jeune Iota accepta donc le défi pour le plus grand plaisir de son adversaire. Il fit une fausse mine blesser après la remarque de la jolie blonde avant de répondre :

- Et je n'avais pas prévu de remettre barbie danseuse étoile au placard.

Sur un sourire vaniteux et narquois, il fit le tour de la pièce tout en ne lachant pas du regard son adversaire comme pour l'observer avant d'attaquer. Il s'approcha de son sac dans lequelle se trouvait son matériel d'entrainement, ainsi que ce qu'il avait emporter dans le but de sacager la salle. Il enfila sa main dans celui-ci afin d'en sortir son téléphone portable haute gamme. Il y jeta un coup d'oeil et alla dans certain menu qui l'emmenère à un dossier de chanson qu'il avait stocker. Une chance que ce jeune homme soit partager entre les gouts musicaux de son père et ceux de sa mère lui donnant une diversité de préférénce musicales à sa porter. En deux temps trois mouvement, il lanca une chanson parfaite pour danser à deux. Mettant le son en haut parleur. La chanson se fit donc entendre dans toute la salle. Une rythmique parfaite pour avoir un minimum d'entrain à leur défi, un tempo de quoi les mettres en ambiance, un son contemporain histoire de rester un minimum dans l'air du jour tout en gardant un minimum de mélodie pour laisser libre cours à une danse tel le Tango ou la Salsa qui pourrait se pratiquer avec un peu plus de modernisme. [Chanson ICI] En plus de ça, la titre se prettait parfaitement à l'enjeu. C'est donc sur l'air de Dance With Me que Jonathan s'approcha d'un pas assuré vers la belle blonde. Arrivé face à elle, il ne passa pas par quatre chemins. Il posa directement sa main gauche sur sa hanche et pris de sa main droite, la main de sa partenaire tout en se mettant en position. Il n'hésita pas à coller son corps au sien pour la simple et bonne raison que ce genre de danse nécéssitait un minimum de contacte. Puis, accompagner d'un sourire en coin, il prononça fiérement :

- Hein ... c'est donc ainsi que ce nomme celle à qui je vais botter le cul ce soir ... Jonathan Crawden, pour vous foutre une racler mademoiselle.

On lisait sur son visage son assurance ce qui, il fallait l'avoué, donnait une certaine sensualité à ce début de danse qui n'allait pas tarder à commencer. Ainsi sur ces paroles, il commenca à l'entrainer avec lui. Un pas en avant, un pas en arrière, deux mouvements de bassin de gauche à droite avant de la faire basculer en arrière, la retenant en passant sa main dans son dos la faisant passer de manière sensuelle de gauche à droite telle une vague l'aurait emporté pour finir par la remonter, recollant son torse à son corps, approchant son visage du sien dans un sourire fier pour prononcer dans un élan d'arrogance :

- Laissez moi vous montrez ce que le sang hawaïen peut faire.

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"Et Dieu Créa Jonathan" {Pv Miss Queen}

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