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it's a revolution I suppose (ronandrixie).

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MessageSujet: it's a revolution I suppose (ronandrixie). it's a revolution I suppose (ronandrixie). EmptyMar 16 Juin - 3:28


ronaldo ∞ vixie ∞ andrew.
Go ahead and sell me out, and I'll lay your shit bare
See how I'll leave with every piece of you


Inhumain. Il n'y avait pas d'autres mots pour qualifier la température de ce territoire hostile. Voilà de nombreuses années qu'elle résidait à New York, qu'elle tentait de s'adapter du mieux qu'elle pouvait aux caractéristiques de cette ville à la réputation très surfaite. Certes, loin d'être conciliante, Vixie était connue pour ses positions fixes et son entêtement mené sur tous les fronts et durant toutes les batailles. Nul doute qu'aucune nouvelle terre d'accueil ne saurait trouver grâce à ses yeux, tout simplement parce qu'un morceau de son cœur était resté au Brésil, sa terre natale, son chez-soi, le pays qui l'avait vu naître et grandir. Cela dit, il fallait admettre qu'elle faisait des efforts pour essayer de se plaire à New York. Elle trouvait même de nombreuses qualités à cette ville, mais la température et le climat n'en faisaient définitivement pas partis. Courant sous la pluie, protégée par son trench beige, et le parapluie noir qu'elle avait du mal à stabiliser à cause des rafales de vent qui faisaient barrage à son parcours, Vixie eut tout le mal du monde à poursuivre ce dernier jusqu'au hall d'entrée. Une fois arrivée à l'intérieur, elle soupira bruyamment, heureuse d'avoir enfin remporté la victoire contre le temps de chien qui faisait la loi à l'extérieur. Et puis, comme toute fille qui se respecte, elle râla : « le soleil, ils ne connaissent pas ici ... » La grimpée de l’ascenseur lui donna l'occasion de s'apercevoir dans le miroir. Catastrophe. Les joues excessivement rosées par la course qu'elle venait de mener, ses longs cheveux bruns à la sauvageonne, éparpillés de droite à gauche, de manière totalement désordonnée. Le vent avait eu raison de sa coiffure. Rien de pire pour la rendre ronchonne. Elle pria pour ne pas avoir une réflexion d'Aniya, ou de tout autre domestique d'Andrew, sur son accoutrement, car Vixie n'était pas de ceux qui savaient tolérer les remarques lorsque celles-ci survenaient après une journée déjà bien trop remplie. Heureusement, c'était mal connaître les serviteurs qui, une fois de plus, firent preuve d'une parfaite bienveillance, humilité et discrétion. Ils avaient tout à y gagner, cela dit, en vivant auprès d'une personne telle que Vixie Oswald-Macieira. Une fois arrivée à la destination qu'était sa chambre à coucher, elle s'élança sur son lit, et ce sans la moindre élégance, prenant quasiment toute la place qu'offrait le matelas. Et elle comptait rester là, dans cette position, jusqu'à ce que mort s'en suive. Ou du moins, jusqu'à ce que son estomac gronde. Car s'il y avait une seule chose qui pouvait être à la hauteur de son mauvais caractère, c'était bien son appétit. Mais c'était sans compter sur le fabuleux timing de ses parents qui savaient toujours autant donner le coup de grâce sur une journée déjà assez éprouvante, un talent dont Vixie se serait bien passée au cours de sa vie. En effet, la jeune brésilienne sentit son portable vibrer au creux de sa main droite. Dans un grognement de mécontentement, elle concentra le peu d'énergie qui lui restait dans son bras, afin d'élever le portable de manière à ce que son regard puisse s'inquiéter du message sur le cadran. Et pour ce qu'elle venait d'en lire, elle n'aurait jamais dû. Une réunion de famille, avec son fiancé, bien évidemment. Nouveau grognement. Elle lâcha, sans ménagement, son portable sur la couette. Vixie se devait de trouver la force de se lever, de peur de ne pas y parvenir avant le lendemain. Tant qu'elle en avait encore le courage, la brune quitta son lit, sautilla en quelques pas vers la salle de bain, retrouvant l'énergie qui la caractérisait habituellement pour une raison précise : l'envie de prendre une longue douche chaude. En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, elle quitta la robe qui la recouvrait et glissa dans la cabine située à la droite de la baignoire. Se détendant au contact de l'eau brûlante, la brésilienne se concentra sur événement qui l'attendait, le lendemain. L'idée de revoir ses parents ne l'enchantait guère, ces derniers temps. Autant dire qu'ils n'étaient pas forcément en bons termes depuis que ses géniteurs avaient décidé de choisir le tournant que devait prendre sa vie, notamment en organisant ses fiançailles, il y avait de cela déjà plusieurs semaines. Elle se demandait qu'est ce qu'ils allaient bien pouvoir leur annoncer, encore. Avaient-ils décidé du jour, du lieu, et des conditions dans lesquelles Andrew et elle devraient concevoir leur premier enfant ? Sa propre vulgarité ne l'étonnait même plus depuis que l'irrespect de sa famille envers sa personne s'était révélé sans limite. Mais son mécontentement était largement tempéré par l'élément positif : le terme "réunion de famille". Or, la famille, c'était ses parents, son fiancé, mais aussi son frère. Celui qu'elle chérissait, celui qu'elle protégeait, celui qui trouvait toujours grâce à ses yeux, même lorsqu'il avait tort. Celui dont elle s'occupait autrefois, lorsqu'il était malade, et qu'elle ne faisait que quelques centimètres de plus que lui. En somme, son frère était tout pour elle. Et le fait de le revoir lui donnait instinctivement le sourire. Elle n'avait malheureusement plus la chance de le voir aussi souvent qu'avant, dernièrement. En d'autres termes, depuis les événements récents. Entre son aménagement dans l'appartement d'Andrew, les bras de fer avec ses parents peu scrupuleux, et les nombreuses apparitions publiques orchestrées dans le but de montrer au monde l'amour éclatant de deux fiancés de la haute société, Vixie n'avait pas eu véritablement de se consacrer à quoi que ce soit d'autre. Ses songes ne furent pas lavés par l'eau chaude qui coulait sur son corps, malgré le temps qu'elle avait passé dans la cabine. A contre-cœur, au bout de trois quart d'heure, elle se décida à quitter la douche, enveloppée dans une large serviette blanche. Sa longue chevelure humide recouvrait ses omoplates dénudés, tandis qu'elle tâchait de défaire les nœuds à l'aide de sa brosse. Ce n'est qu'à ce moment-là qu'elle leva les yeux vers le réveil-matin. Vingt-trois heures. Elle réalisa alors qu'elle devait prévenir Andrew. Elle fut d'ailleurs surprise que celui-ci ne soit pas déjà rentré. Le travail le forçait parfois à rentrer au-delà des vingt heures, mais cette fois-ci, ce devait sans doute être une sortie en compagnie de son frère ou de ses amis qui le retenait. Assise au bord de son matelas, elle se munit de son portable pour le prévenir :

vendredi, 23h07. texto de vixie.
Max, appel d'urgence de la plus haute importance.
Demain, réunion de famille chez les Macieira. Faut y être à 16 heures, tout beaux, tout pimpants. Comme d'habitude, en somme. Il y aura mon frangin, aussi, bien sûr.
Je ne sais pas à quelle heure tu rentres, mais si tu rentres demain, fais en sortes d'être à quinze heures à l'appartement, on prendra ma voiture.
Et ne t'avise même pas de m'imposer ton chauffeur.


Un texto à la Vixie. Dans toute sa splendeur. Peu importe, il était au courant, et pouvait réserver sa journée. Épuisée, elle ne réalisa même pas qu'elle venait de s'allonger sur la couette, étendue. Quelques minutes suffirent pour que la fatigue l'emporte. Elle n'en fut tirée que de nombreuses heures plus tard, lorsqu'Andrew fit claquer la porte d'entrée, aux alentours de midi. Étourdie par une longue nuit de sommeil, les yeux de la brésilienne papillonnèrent avant de tomber sur l'heure digitale présentée par le réveil-matin. A cette vue, son sang ne fit qu'un tour, et elle marmonna des jurons en portugais : « porra, porra, porra ! » elle passa une main rapide dans ses longs cheveux ondulés, le tout en tentant de trouver un certain équilibre après un réveil particulièrement malmené. Heureusement qu'Andrew s'était bruyamment manifesté, sans cela, marmotte qu'elle était, Vixie aurait pu dormir deux heures de plus encore. D'ailleurs, où était-il passé ? Venait-il à peine de revenir, ou faisait-il des allés-retour durant sa journée, le temps que madame emmagasine ses treize heures de sommeil ? Le mieux était de lui demander. Après avoir quitté la serviette de bain qui la recouvrait, évidement. Enfilant rapidement une robe blanche, la jeune fiancée quitta sa chambre et rejoignit les escaliers qu'elle descendait pas à pas, pieds nus. Elle aperçut alors l'homme qui partageait son appartement, au détour du couloir principal : « bonjour » sa voix encore toute endormie la trahissait. Peu importe. Elle frotta doucement ses yeux, rejoignant la terre ferme et se permit de demander à Andrew, qui paraissait bien plus frais qu'elle ne l'était présentement : « t'étais passée où, toi ? » contrairement à ce qu'on pouvait penser, son timbre de voix n'était en aucun cas agressif. Non, il était doux. Elle ne lui demandait pas des comptes, elle ne se l'était jamais permis, d'ailleurs. Seulement, c'était la question sur laquelle elle avait trouvé le sommeil, il était naturel qu'elle lui pose à son réveil. Le regard encore brouillé, elle fronça légèrement les sourcils et sa voix s'éleva telle une révélation : « Café. Café. » elle ne serait pas capable de tenir une conversation avec son fiancé tant qu'elle n'aurait pas eu sa dose de caféine. A croire que la dizaine d'heures de sommeil qui venait de lui tomber dessus l'avait rendue plus brouillée qu'autre chose. Marchant tel un zombie vers la cuisine, elle se retourna vers Andrew juste avant d'y pénétrer et affirma : « on doit être chez mes parents dans quatre heures. Fais toi beau. » et sur ce, elle se dirigea vers la salle qui lui promettait le breuvage suprême [...] Quinze heures quarante cinq. Elle gara sa Boxster blanche le long de la villa, surprise par le peu d'hostilités qu'Andrew et elle s'étaient échangés durant le trajet. Ils diminuaient en agressivité, visiblement. Elle remonta l'allée principale auprès du principal intéressé qui connaissait déjà la maison, puisqu'ils s'y étaient rendus une fois ensemble, le lendemain de l'annonce publique des fiançailles. Autant dire qu'à cette époque, elle aurait pu le frapper de toutes ses forces avec son sac à main, il n'y aurait pas eu de grandes différences tellement son hostilité était grande. Aujourd'hui, Vixie restait calme en apparence, malgré les questions qui se bousculaient. Que devaient leur annoncer ses parents ? Peu importe. L'essentiel est qu'elle allait pouvoir se trouver aux côtés de son frère, même si elle se doutait qu'il serait en retard, comme toujours. Il était l'enfant de la famille. L'irresponsable. Plus encore qu'elle ne pouvait l'être. L'insupportable. Mauvaise langue, elle était. Parce qu'une fois le couple à l'intérieur, les yeux de la brésilienne se posèrent sur une silhouette : celle de son frère, confortablement installé sur le canapé en cuir dont le dossier faisait face à l'entrée. Un sourire sur le visage, la jeune femme fit quelques pas rapides, et entoura le buste de son frère de ses bras fins et bronzés, le prenant dans ses bras malgré sa position de dos, et elle posa sa tête sur son épaule. Car oui, Vixie était du genre tactile et impulsive. Que ça plaise ou non aux principaux concernés. Elle était comme ça, et ne changerait certainement jamais : « ronaaaaan, criança mimada ! Esta é a primeira vez que você vem antes de mim ! » traduction. Sale garnement, c'est bien la première fois que tu arrives avant moi.
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MessageSujet: Re: it's a revolution I suppose (ronandrixie). it's a revolution I suppose (ronandrixie). EmptyMar 16 Juin - 10:49

- viens chez moi, tu boiras pas d'la grenadine -

« Qu'est ce que c'est que s'pays … il fait au moins, moins 8000! » J'émergeais dans le lit, la couette entièrement sur mon corps alors que nous étions en été. A vrai dire, j'avais beaucoup de mal à m'adapter au soleil new-yorkais, que je trouvais vraiment dégueulasse comparé à celui du Brésil, la terre d'accueil ultime de la chaleur selon moi. Je regardais l'heure, il n'était que sept heures. Je passais une main dans mes cheveux, pour les remettre en place, alors qu'ils tiennent juste en apparence, juste dans ma pensée. Je bougeais quelques temps dans mon lit, les jambes, puis les bras. J'avais une flemme aiguë très présente au levé du jour, surtout au levé du lit. Je baillais continuellement, cherchant une source de motivation pour mon petit cerveau déjà bien embrumé. Marie dormait dans la chambre d'à côté, mais peu importe, il fallait que je bouge pour me motiver, laissant donc mon corps nu rouler au sol jusqu'à ce que mon caleçon viennes s'enrouler autour de ma tête. Heureusement qu'elle dormait, je me demandais bien sa réaction si elle tombait sur cette image pour le moins insolite : moins, nu comme un vers avec le slip sur la gueule. Je pense qu'elle aurait rigolé, enfin moi personnellement, je serais tombé. Je laissais ma carcasse d'abrutit se relever avec difficulté, avant de saisir le caleçon et de l'enfiler. En avançant, mon pied se prenait dans l'encadrement de la porte, murmurant par la suite quelques insultes pour ne pas réveiller la petite blonde qui dormait encore à poing fermé. Je me couchais sur le canapé du salon, laissant mes mains venir au secours de mon orteil, sans même aucune explication plausible. Juste une manie de l'être humain.  Je restais allongé là, la main dans le caleçon, prenant mon portable dans l'autre, avant de voir un message s'afficher. « Coucou chéri, c'est maman. Demain passe à l'heure du thé anglais, vers 16h, il y aura Vixie&Andrew aussi. Beije meu menino » Franchement, c'est cool. Un petit message de ma mère me redonnait toujours du baume au cœur, mais savoir qu'il y avait l'autre tâche d'Andrew me rendait plutôt nerveux. Il m'avait vu dealer et fumer de la drogue, je ne sais où et depuis il me fait bien chanter. Malheureusement pour lui, il a trompé ma sœur et c'est réciproque. D'ailleurs je compte lui faire payer le prix fort, comment tu veux coucher avec une autre femme que ma sœur ? C'est la plus belle du monde, je comprends. Quel con. Pour une fois, j'avais décidé de m'inviter à midi, parce que j'avais la flemme de faire à manger et être à l'heure était impossible pour moi. Alors être en avance de quatre heures étaient une chose parfaite. Je me glissais sous la douche, remplissant les formalités d'hygiènes, avant d'enfiler une tenue correct, me dirigeant jusqu'à la porte d'entrée. Je saisissais un stylo, me rappelant qu'il fallait que je laisse un petit mot à Marie, bien qu'elle ne soit pas ma femme, pour lui avertir de mon absence durant une grande partie de la journée. « Je vais chez mes vieux copine, bisous, fait pas cramé l'appartement et pas de chocolat, j'en veux pour ce soir. Biz' » Je posais le mot sur la table avec son petit déjeuner en faisant bien exprès de disposer sur la table tout ce qu'elle n'aimait pas. Un vrai connard parfois, mais elle m'aimait ainsi la petite blonde. Le chauffeur de mes parents m'attendait en bas, avant de m'emmener dans un bar pour siroter un petit verre de jus d'orange en jouant tel un gamin de six ans aux yeux d'arcades.
11h. Le hibou sortait de l'horloge afin de me rappeler que j'étais attendu à midi chez mes parents pour déjeuner. Je rentrais une nouvelle fois dans la voiture, jouant à des jeux inutiles cette fois-ci sur mon portable. « Vous n'avez vraiment pas changé depuis votre enfance monsieur » Dit le conducteur familial qui m'emmenait déjà depuis la primaire. Je souriais, il n'en fallait pas plus pour qu'il comprenne que j'approuvais grandement ses dires. J'avais une grande passion pour les jeux vidéos depuis ma plus tendre enfance. C'était un don chez moi et j'avais même pensé à en faire mon métier, mais non.. Un jour peut être, ma vie ne faisait que commencer après tout, inutile de s'affoler. Arrivant au domaine familiale, je pénétrais dans l'intérieur de la résidence, avant de croiser ma pieuvre de mère, me serrant dans les bras, contractant chacun de mes muscles, broyant limite ma colonne vertébrale. Hurlant comme à son habitude des paroles portugaises en hommage au dieu tout puissant qu'elle vénérait, elle me rappelait mon pays, ce doux continent d'amérique latine. « Graça a deus estou aqui mae sim (grâce à dieu je suis là maman oui.) » tournant les yeux pendant un dernier câlin de sa part. Mon père venait se présenter à moi d'une manière plus modeste, avec une simple bise et un salut mon fils. Je n'ai jamais été vraiment proche de mon papa, donc rien de bien choquant, même si l'envie d'avoir une relation fusionnelle avec lui ne m'était jamais venu à l'idée puisqu'au contraire de ma mère, lui ne me manquait pas. Il n'était pas un étranger, loin de là, mais il n'a jamais vraiment été là pour moi. Je me mettais ainsi à table, dialoguant avec mes parents, dans un déjeuner qui durait une éternité, comme d'hab'. Après plus de trois heures de consommation, je décidais de reposer mon corps dans le canapé du salon, dos à l'entrée. Je commençais à piquer du nez quand soudain j'entends la porte s'ouvrir. J'entends une gazelle s'élancer sur moi, me serrant dans ses bras, la tête contre mon dos. Aucun doute possible, c'était ma sœur. Une vraie conne parfois, je me demandais encore comment elle avait eu cette idée de câlin qui ne me serait même pas venu à l'esprit, et pourtant. Je souriais bêtement, avant de comprendre qu'elle me piquait tout de suite sur mon éternel ponctualité. Je laissais cette remarque fuir la discussion avant de lui répondre d'une voix chaleureuse et enjouée « Temos de começar por algum lado irma ( il faut un début à tout petite soeur) » je me séparais de son étreinte avec de venir déposer un bisous sur sa joue, serrant son corps entre mes petits bras. Posant ensuite mon regard sur Andrew, lui serrant la main froidement, ajoutant avec une pointe de sarcasme « Je savais pas que maman avait également invité le jardinier » arborant ensuite un sourire en coin. Je ne l'aimais pas et c'était réciproque, qu'il en soit ainsi.
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MessageSujet: Re: it's a revolution I suppose (ronandrixie). it's a revolution I suppose (ronandrixie). EmptySam 29 Aoû - 23:41

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