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jules Δ we're raw and invincible

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MessageSujet: jules Δ we're raw and invincible jules Δ we're raw and invincible EmptyVen 15 Mai - 5:59

raw & invincible
We aren't models, We aren't actors. We are those who sit up in the rafters After all that's where You will find the action. We're searching For something, Just trying To make it happen. We listen To no one. Don't forget we won't forgive. They'll write a story of the lives we lived Δ fucked up kids by the maine

Après avoir regardé autour de lui pour s’assurer que personne ne le verrait, Asher s’autorisa à prendre trois chaises dans l’aire d’attente de l’aéroport, histoire de faire une petite sieste et s’y  allongea de tout son long. Après tout, il avait encore trente minutes avant que l’on appelle les passagers de son vol pour qu’ils embarquent dans l’avion qui le mènerait à destination. Et comme il avait hâte d’y être, à destination. ce vol de nuit avait débalancé son sommeil. Il était certain qu’en arrivant dans la grosse pomme, le point c de son voyage, le dernier arrêt, il ferait une sieste. C’était presque devenu quotidien pour lui de dormir trente minutes à un moment quelconque de la journée. Il fallait remercier la tournée pour ça. Il dormait quand il pouvait et c’était souvent à des heures inhabituelles pour la plupart des gens. Il n’était pas rare qu’il n’arrive à fermer les yeux et se laisser emporter dans les bras de Morphée aux alentours de quatre heures du matin pour se réveiller le lendemain seulement trois heures plus tard. C’était un des désavantages du métier, mais avec le temps, Asher avait fini par s’y habituer. Il le fallait bien. Enfin, à peine cinq minutes après avoir fermé les yeux, alors qu’il sentait déjà le sommeil l’envahir, son portable se mis à vibrer dans la poche de son jeans. Il poussa un soupire, ouvrit les yeux et glissa la main sous ses fesses pour extirper l’appareil, non sans difficulté, de la poche arrière de son pantalon. T’es ou? Asher prit le temps de s’assoir avant de répondre.  Salut, Bash. Content de te parler. ça va bien, si ce n’est que je manque cruellement de sommeil, merci de t’en soucier. Lâcha-t-il d’un ton mi- blagueur, mi- sérieux. Il manquait réellement de sommeil et dans ces cas-là, il était souvent bougon. Il essuya rapidement ce manque de politesse d’un revers de la main et répondit finalement à son interlocuteur au même moment ou la voix d’Abi se fit entendre en arrière-plan. Chicago, une escale. Pourquoi? Il connaissait déjà la réponse, mais l’entendre le faisait toujours rire. Abi tenait absolument à savoir ou tu étais. Elle pense que tu n’arriveras pas à temps. Asher roula les yeux. Elle était véritablement comme leur mère à toujours veiller sur eux. Dis-lui que j’arrive bientôt. Je dois te laisser, je rentre dans l’avion. On se voit dans deux heures.  Et sur ce, asher éteignit son téléphone, le rangeant alors que l’hôtesse s’arrêta à ses côtés. Il lui offrit un sourire poli avant de s’emparer de son iPod. Plus que deux heures et il serait finalement à New-York. Il glissa les écouteurs dans ses oreilles et baissa les yeux pour regarder les titres qui étaient affichés à l’écran. Il fit glisser son doigt sur le verre et fit défiler la liste de chansons avant de sélectionner une de ses favorites. Il laissa la mélodie de Transatlanticism par Death Cab For Cutie emplir ses oreilles tandis que l’avion prit son envol. il regarda le sol s’éloigner, les immeubles devenir de plus en plus petits. Un sourire se dessina sur ses lèvres lorsqu’ils traversèrent les nuages. Le ciel était magnifique, ayant pris des teintes à la fois d’orangé, de mauve et de jaune. Le soleil se levait et en ce moment, dans la tête du chanteur, il était clair qu’il n’y avait pas de plus beau spectacle que celui qui se déroulait sous ses yeux à l’instant même. Il ne l’admira pas très longtemps puisqu’à peine l’avion était-il en vol, stable, que le blondinet avait fermé les yeux, prêt à récupérer ce sommeil qui lui manquait cruellement.

***

Il ouvrit lentement les yeux tandis qu’une femme lui tapait légèrement sur l’épaule. Nous sommes arrivés à destination. La voix de la femme était douce et Asher remercia les cieux de l’avoir fait assoir à ses côtés plutôt qu’aux côtés d’une personne de peu de classe. Il la remercia et la gratifia d’un sourire avant de s’emparer de ses effets personnels et, avant de quitter l’avion, jeta un coup d'oeil à sa montre. Huit heures, pile dans les temps. Alors qu’il entra dans l’aéroport, il glissa ses lunettes de soleil sur le bout de son nez. C’était un piètre déguisement, mais parfois, c’était efficace. Une fois au carrousel, il s’empara de sa valise et se dirigea vers la sortie. À son grand malheur, l’aéroport était bondé. Il soupira avant de se frayer un chemin à travers cette masse de monde. Désolé. Murmura-t-il après qu’il eut accidentellement accroché une jeune femme. Il ne jeta qu’un coup d’œil pour jauger l’expression affichée sur son visage et continua sa route lorsqu’il réalisa qu’elle ne semblait pas en faire tout un cas. Après ce qui sembla être une éternité, Asher put enfin respirer l’air frais de New-York. Enfin, frais était un bien grand mot sans doute inapproprié pour décrire l’air de la ville.  Une fois au bord du trottoir, il leva la main pour faire signe à un taxi de s’arrêter. Une fois que le véhicule j’aune fut immobilisé devant lui, l’anglais déposa sa valise dans le coffre et embarqua dans la voiture. Wyndham Midtown 45. Dit-il au chauffeur avant de se caler dans son banc. Il resta silencieux pendant les vingt minutes que durait le trajet, tentant de se remémorer le visage de la femme qu'il avait bousculé quelques minutes plus tôt. Il lui était familier, mais rapidement, il n'aurait pu mettre un nom sur ce visage. D'ou pouvait-il bien connaitre cette personne et surtout, comment s'appelait-elle? Une fois arrivé, il paya le chauffeur et sorti du véhicule. Il jeta un coup d’œil à l’hôtel avant d’y entrer pour y déposer ses bagages. Ash-. Il déposa ses valises sur le sol de sa chambre et jeta un rapide coup d’œil aux gens présents. Je vais déjeuner. Je reviens plus tard. Ils n’eurent même pas le temps de lui parler que le chanteur quittait déjà la pièce. Il voulait manger quelque chose de mieux que les collations qu’on lui avait offert durant le vol. C’était sa priorité et ne voulait pas s’encombrer du service aux chambres. Après tout, la dernière fois qu'il avait mangé un bon repas remontait au soir précédent et il était maintenant presque huit heures 30. Il trouverait bien un resto sympa pas loin de l’hôtel ou encore un Starbucks ou il pourrait se prendre un Frappuccino, ce qui lui permettrait de tenir le coup toute la journée. Glissant les mains dans ses poches, il sortit de l’hôtel et commença à errer dans les rues. Si on avait besoin de lui, on n’avait qu’à l’appeler. Et puis, marcher l’aiderait sans doute à se réveiller. La journée allait être longue, il le sentait.
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MessageSujet: Re: jules Δ we're raw and invincible jules Δ we're raw and invincible EmptySam 16 Mai - 1:25

raw & invincible
and i tell ya, it’s just nostalgia. it’s as vague as a disease like fibromyalgia. but instead of unexplained pain, it’s unexplained pleasure, buried deep in your brain, like pirate treasure. i know there’s lots that i’m forgetting. but i choose to remember the music and the heavy petting Δ Nostalgia by The Burning Hell

« Nous informons nos aimables passagers de l'arrivée imminente du vol A397, à destination de New York. L'atterrissage est prévu à huit heure moins le quart, heure locale. Veuillez ... » La voix doucereuse de l'hôtesse de l'air extirpa, non sans peine, notre jeune protagoniste des bras de Morphée. Si bien qu'il lui fallut quelques minutes pour recouvrer ses esprits et se souvenir qu'elle traversait actuellement Lower Bay. Cette seule pensée suffit à lui coller le bourdon. La boule au ventre, Jules tacha de penser à autre chose et chasser cette vilaine pensée de son esprit. Non, tous les vols à destination de New York ne se plantaient pas dans le décor et non, tous les voyages en avion ne finissait pas comme dans Destination Finale. Puis, à ce qu'elle sache, elle n'avait eu aucun pressentiment, si ce n'est d'éviter de manger des macaronis au fromage avant le vol. Mais ça, entre nous, cela tenait davantage du bon sens...

Ainsi, la belle passa le plus clair de l’atterrissage à tacher de déchiffrer les inscriptions inscrites sur le dos de la bouteille de Pepsi Cola de son voisin de circonstance et se répétait la composition en boucle. Un peu à la façon d'une formule magique, comme si cela pouvait la protéger d'une fin incertaine.
Pourtant assez pragmatique à l'habituée, la jeune Murphy semblait perdre tout sens des réalités lorsqu'il s'agissait d'avion. Une peur irascible qui la terrassait depuis les dramatiques incidents de 2001 qui avait causé la perte de près de 3 000 personnes, mais également, par la force des choses, de son frère Mat.

Ce n'est qu'une fois les pieds sur la terre ferme, alors qu'elle remontait le tarmac en direction de la zone de débarquement, que Jules reprit consistance et retrouva ses couleurs d'origine.
Si, par nature, notre blondinette affichait un teint marmoréen, il ne manquait pour autant pas d'éclat... Or, cet aller simple dans la ville à la grosse pomme semblait lui avoir ôté toute nuance et en cinq heures de temps notre jeune protagoniste était passée de la Vénus de Milo à Vampirella...
C'est grâce à des journées comme celles-ci que notre ingénue se félicitait de faire cavalier seul et n'avoir à partager ces instants suppliciés avec personne d'autre que son ego meurtri.
C'est qu'il en avait prit un sacré coup le bougre, entre ça et l'altercation avec Noah. Enfin, si on peut appeler ça une altercation... Une chicane, à la rigueur. Mais passons.

Jules pressa le pas pour remonter le terminal en direction de l'aéroport. Une fois sur le tapis du terminal, elle s'accorda une courte pause afin de retrouver une apparence à peu près humaine. Elle passa négligemment sa main dans ses cheveux, comme pour les peigner. C'est alors qu'elle repensa à Stana et sa brosse de petit poney portative, ce qui lui redonna irrémédiablement le sourire. Elle, qui pourtant s'était lourdement moquée de ce gadget de Barbie, rêvait à présent de posséder un objet similaire. C'était sans nul doute plus pratique que ses doigts qui formaient à présent de jolies paquets e nœuds dans sa crinière blonde. Tant pis, elle n'aura qu'à porter un bonnet. Cache misère par excellence, Jules s'empressa de sortir son couvre chef de prédilection de son sac. Noir, on pouvait y lire l'inscription « Bad hair day » sur le revers.
Des plus rudimentaires, elle seyait pourtant merveilleusement bien à la situation et dissimula la touffe qui servait de chevelure à notre jeune héroïne.

Une fois arrivée au carrousel, elle tacha d'extraire sa valise du tapis roulant avant de se frayer un chemin dans la horde qui s'engouffrait vers la sortie de l'aéroport. Il était huit heure. Bon nombre d'hommes d'affaire s'était emparé de l'aérogare et  fourmillaient de part en part, ne laissant même pas à Jules le loisir d'immortaliser cet instant. En effet, à peine essaya-t-elle de s'emparer de son argentique qu'un importun vint l'en empêcher, la bousculant violemment. Jules accusa le coup, sans broncher. Quelque peu secouée, il lui fallut quelques secondes pour recouvrer ses esprits et abdiquer. Au diable cet importun, la photo et tout le reste... Elle n'aspirait plus qu'à une chose : un peu de quiétude. Et il n'y a qu'en sortant de cet aéroport qu'elle en trouverait.

C'est ainsi qu'elle suivit la foule qui partait à l'assaut des taxis et dégaina son smartphone pour lancer l'application Über. Elle n'était pas d'humeur à jouer les filles des airs et alpaguer un Cabman...

***
« Direction Wyndham Midtown 45. » lança-t-elle avant de s'introduire dans la Berline noire, valise à la main. Il n'y a pas à dire, ces petits bagages à la main étaient des plus pratiques lorsqu'il s'agissait de prendre le taxi ou tout autre moyen de locomotion requérant une certaine dextérité pour s'y hisser. Tellement pratique qu'elles faisaient même double emploi et pourraient, au besoin, se transformer en massue si sa sœur, Prudence, avait décidé une fois encore qu'il serait bon pour Jules de renouer avec le paternel et retrouver un semblant de vie familiale. Car s'il y a bien une chose dont Jules se passerait bien, c'est de croiser son père. Et même sa sœur. Mais ça, notre blondinette savait qu'elle n'y couperait pas. C'est presque si Prue ne la harcelait pas pour savoir quand elle allait atterrir à coup de FaceTime, Snapchat et j'en passe.

Ainsi, elles s'étaient données rendez-vous à quatorze heure à la gare de Manhattan. Le temps pour Prudence de quitter le travail, marcher jusqu'au métro, faire les quelques changements et arriver au lieu dit sans trop se presser.
Ce qui laissait à notre ingénue six belles heures à tuer. Et une chose est sûre, il était totalement exclu qu'elle les passe à lambiner dans sa chambre d'hôtel. Ce n'est pas tous les jours qu'on fait halte dans « la capitale du monde » !

***
Fin prête à partir à l'assaut de la ville monde, Jules glissa ses lunettes de soleil le long de l'arrête de son nez avant de pousser la porte battante de l'hôtel. « New York, me voilà ! » pensa-t-elle, amusée en se dirigeant d'un pas assuré vers la quarante cinquième avenue. Où ces pas la guideraient, ça, elle n'avait aucune idée.... Mais une chose était sûre, cette matinée risquait d'être riche en émotion.
Elle le devait.

Sinon, comment pourrait-elle seulement espérer survivre à son entrevue avec Prue ?

Elle fit halte dans le premier café du coin, afin de se commander un grand café latte, histoire de se remettre les idées bien en place et tâcher d'élaborer un semblant de planning. Il lui fallait être stratégique et trouver de quoi s'occuper non loin de la gare afin d'optimiser ses déplacements et ne pas avoir à courir le tout New York pour un rendez-vous qui la faisait déjà doucement suer. Heureusement que Prue n'était pas le seul but de sa visite. Jules préparait, en effet, une exposition et avait rendez-vous avec un galeriste très en vogue et apprécié de l'élite new-yorkaise. Elle avait d'ailleurs un brunch de prévu, enfin d'y rencontrer tout le gratin et peut-être y vendre deux-trois clichés. Enfin, c'est ce que son agent s'était mis en tête, car soyons claire, Jules était tout sauf une commerciale dans l'âme. La pauvresse ne savait déjà pas se vendre dans un entretien, alors vendre le fruit de son travail... Impensable !
C'est ainsi qu'après moult réflexions, elle se mit en tête de visiter une fois de plus le MoMA. Le café à la main, elle se jeta littéralement sur la trois voies qui séparait la 45ème de la 5ème Avenue, les bras en l’air. Il y aurait bien un chauffeur assez censé pour ne pas la renverser et la prendre comme passagère. Après tout, les taxis new-yorkais ne devaient pas être tellement différent que ceux de SF... Et qu'elle le sache, Gainsbourg et Boris Vian avaient toujours survécu à leur tentative d'arrêt de chauffeur. Même si cela se terminait plus souvent au poste qu'au lieu dit...
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