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Charlotte de la Croix - Phil Daniels - Je t'ai écoutée me parler de tes soucis de fille, écoute aussi les besoins que j'ai.

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MessageSujet: Charlotte de la Croix - Phil Daniels - Je t'ai écoutée me parler de tes soucis de fille, écoute aussi les besoins que j'ai. Charlotte de la Croix - Phil Daniels - Je t'ai écoutée me parler de tes soucis de fille, écoute aussi les besoins que j'ai.  EmptyLun 6 Oct - 2:54


Alors quoi ? Je suis un mec, pas un journal intime.


T
u devais me rejoindre à la salle de la bibliothèque, nous devions parler, dû moins. Je devais exprimer ce que je pensais. Je n'étais pas le genre de type à perdre mon temps avec les histoires et les soucis des autres, moi-même, j'en avais et j'évitais de prendre du temps aux autres. Alors qu'avec toi, cela était différent, j'avais su t'écouter, être présent lorsque t'es crises étaient au rendez-vous, te retenir de toute bêtise. Mais moi ? Dans tout cela ? Je n'avais rien eu, mise à part quelques banales sorties ensemble. Quelques verres bus enveloppés de tes histoires dramatiques. Au fond, je comprenais, parce que nous sommes tout humains et que n'importe qui finirait par craquer. Mais aux fils du temps, tu aurais dû poser un regard sur moi, je n'allais pas être ton journal intime, celui à qui tu annonces tout et que tu renfermes par la suite comme de rien. Je courrai pas derrière les filles et je disparaissais dès que celles-ci commençaient à bien trop parler à mon goût. Mais je me répète, je t'avais laissé une chance. Une chance que tu bouges et que tu effaces mes besoins masculins. Bordel, tu étais au courant aussi ! Je t'avais parlé de mon besoin de sexe constamment et tu me comprenais vu que toi, dans un sens tu étais pareil ! Alors, comme tu arrives à me laisser là ? Sous cette faim ?! Rien que d'y penser, cela me donne clairement la gerbe. Soit cette soirée s'avançait dans un sens que je voudrais, loin de l'amour, je ne ressentais guère cela, je ne l'avais jamais senti d'ailleurs. Mais dans le sens, où moi, j'avais besoin de marques d'affection. Soit, cette soirée irait terminer dans des drames et tu viendrais à perdre ton " journal intime " comme tu le savais si bien dire.

Vêtu d'un simple jean déchiré au niveau de mes genoux, ainsi qu'un simple tee-shirt blanc sur les épaules. Je m'installais à une table, vide, éloigné des autres personnes qui demeuraient dans la même pièce. Je n'aimais pas réellement venir dans ce genre d'endroit, mais c'était une pièce neutre et je pense que c'était la meilleure façon de te faire réfléchir un minimum. Mes mains étaient posées sur mon bouquin, un bouquin où mes yeux n'avaient croisé aucune ligne. Fallait juste voir mes pupilles où elles étaient dirigées, dirigées en direction de la porte. Celle où tu allais prochainement passer. Un passage rapide de ma muqueuse entre mes lippes afin de les humidifier légèrement, j'abaissais mon regard sur les livres qui étaient à mes côtés, ce n'était pas les miens, mais le titre disait tout " abandon d'un fils " Putain, même dans ce genre de moment, mon passé voulait me tourmenter. Je serai la mâchoire, les yeux figés sur ces bouquins qui me donnaient l'envie d'exploser. Mais je ne fis rien, je me levais, mes phalanges les prenant en marquant ma nervosité à travers mes doigts qui firent quelques pressions. Je les rangeaient, personne et je dis bien, personne devait me connaître. Aux yeux de l'université, j'étais le type normal. Et je veux le rester. Et je ferai tout, pour le rester. Quel que soit l'épreuve.

Dès lors où je reposais mon corps sur la chaise, je te voyais apparaître peu à peu, ta carrure féminine, aux longues jambes, ce regard à dévorer chaque personne ici présente. Ta démarche, je me demande encore comment j'ai fait, pour ne pas te plaquer contre le premier mur et t'embrasser. T'avoir, entièrement entre mes mains. Je chassais ces pensées, ta silhouette désormais face à la mienne ton sourire présent, le mien, il était resté chez moi. < Tu peux t'asseoir. Je t'ai proposé de venir ici, parce que c'est le moment de clarifier les choses, les choses qui se passent, depuis de longs mois déjà. > Je n'avais peur de personne, tu m'en mets une, crois-moi que je me vengerai jusqu'à la dernière goûte sans que tu vois qui s'était. Mes dents s'acharnaient sur ma lippe inférieure, alors que mes mains se posaient calmement sur la table, mon tic. Celui que tu connaissais après des longs mois d'échanges. Celui de nouer mes doigts ensemble, en frottant du bout de ceux-là, le dos de mes phalanges déjà amochée par mes actes multiples. < Charlotte. Quand est-ce que tu penseras à moi ? C'est quand que, tu verras que moi aussi, j'ai des besoins. Je suis présent pour toi, depuis de longs mois, je traverse tes crises et je reçois rien en échange ? > Les yeux dans les yeux, la mâchoire crispée. Je repris de plus belle. < Je ne voulais pas en arriver-là, je pensais que tu l'avais compris, que tu n'étais pas si aveugle que ça, je te tend ma main, la moindre des choses et de me retourner la tienne. > Je détournais le regard, un quart de secondes. Mes pupilles se consumant par le désir, de t'avoir. Toi. < Je ne te demande pas grand-chose, laisse-moi t'avoir, une nuit. Je suis persuadé que je peux te donner ce que les autres, n'ont pas pu t'offrir. >


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MessageSujet: Re: Charlotte de la Croix - Phil Daniels - Je t'ai écoutée me parler de tes soucis de fille, écoute aussi les besoins que j'ai. Charlotte de la Croix - Phil Daniels - Je t'ai écoutée me parler de tes soucis de fille, écoute aussi les besoins que j'ai.  EmptyJeu 9 Oct - 14:28

«Je t'ai écoutée me parler de tes soucis de fille, écoute aussi les besoins que j'ai. »
Charlotte & Phil


Acapella by Karmin on Grooveshark




 Aujourd'hui j'avais rendez-vous avec Phil. Phil était devenu au fil des mois un ami -avec lequel je n'avais pas couché- qui m'apaiser comme il le pouvait. Ma vie n'était pas facile, elle n'avait rien de dramatique non plus, mais je restais dans ma spirale infernale ne me rendant pas compte qu'il fallait seulement que je lève le bout de mon nez pour m'apercevoir que finalement rien ne devais m'abattre que j'étais une fille forte.  Tout aurait pu être autre chose avec Phil, nous étions deux accros aux ébats intimes pourtant je ne ressentais rien de tout ça en le voyant. Dans la vie faut choisir dès le début quel genre de relation on souhaite avec une personne. Visiblement moi j'avais choisi d'avoir un ami pour une fois et ne pas mêler le sexe dans tout ça comme avec Zayn. Sauf que Zayn et moi c'était bien trop électrique un coup je t'aime, un coup je te déteste. La soirée d'il y a quelques soirs me restait au travers de la gorge je n'avais qu'une envie c'était de lui reparler, qu'on puisse se dire des choses simples et rires de nos conneries mais ce n'était pas son cas. Il m'en voulait pour la même bêtise qu'il avait fait il y a quelques mois.  Bref j'étais devant mon dressing et je ne savais pas quoi mettre pour voir mon ami. La veille je n'étais pas sortie pour une fois du coup mon visage semblait moins grave, moins marqué. J'avais même le sourire sur mes lèvres, essayant de profiter de chaque moment comme il venait. Je me décidais finalement dans une jupe taille haute et d'un petit tee-shirt qui débordait pardessus de la jupe, mes compensées aux pieds j'étais prête à le voir. Je ne m'attendais certainement pas à tout ce qui allait suivre. Je devais être un peu naïve sur les bords. Le sourire aux lèvres j'approchais de la bibliothèque heureuse de voir un ami. J'ouvrais la porte quand je le voyais assis là au fond de la bibliothèque. Plus jeune j'avais appris à marcher droit, comme si chaque endroit où je marchais était un tapis rouge. Je laissais mon regard se perdre un peu dans les individus qui y siégeait. Je revenais très vite vers Phil à qui je lui administrer mon plus beau sourire -chanceux-. Mon sourire était la seule chose qui pouvait vraiment être sincère chez moi, à force de manipulation de faux semblants, les gens se perdaient. Ne sachant plus qui était la vrai Charlotte. Une fois à sa hauteur la main sur la chaise en bois, il me disait que je pouvais m'asseoir ce que je faisais car bon je n'allais pas rester debout comme un piquet. Puis il commençait à parler, instinctivement je me plaquais contre le dos de ma chaise, de façon à ne pas être trop proche de lui. Vu ce qu'il commençait à me dire j'avais des doutes sur le bienfait de cette rencontre. A la fin de sa phrase je lui disais aussi froidement que le ton qu'il employait « Je t'écoute Phil. » Je plantais mon regard dans le sien, attendait qu'il continue de parler, il se mordait les lèvres en même temps que ses mains se posaient sur la table. Il était donc sérieux et nerveux, enfin je ne dirais pas nerveux mais disons qu'il voulait vraiment mettre quelque chose au clair. J'aurais pu poser mes mains sur les siennes pour le calmer mais non. Je le scrutais attendant ce qu'il avait à me dire. Puis la bombe tomber. Je levais mes yeux aux ciels, tout le monde tourner autour du sexe ce n'est pas vrai à la fin. Quand je me donnais en amitié avec quelqu'un c'était jusqu'au bout, mais là ça m'agaçait. Ce n'était pas vraiment le bon moment pour m'agacer. Non pas vraiment. J'étais déjà bien en rogne contre la gente masculine.  Je lui disais en lui coupant la parole «  Tu veux peut-être un bon point pour bonne conduite ? ». Je jouais avec les mots, je savais ce qu'il voulait. Il posait son regard dans le mien, il avait l'air bien crispé le jeune homme. Doucement la colère montait, je le laissais finir sa tirade disant que je lui devais quoique soit. Mais il a vraiment un grain ce type c'est pas vrai. Je me mordais l'intérieur de la joue pour ne pas m'emballer de suite. Mon nez se retroussait face à la colère qui montait à petit feu. Je ne répondais pas de suite, il fuyait son regard. J'avais bien vu ses pupilles se dilater en un quart de secondes mais ça ne m'affectait pas. Il me demandait de coucher avec lui ? Ils avaient quoi tous en ce moment à me promettre qu'ils peuvent tous me donner ce que personne ne me donnerai. Un petit rire sortait de ma bouche à la fin de sa phrase. Pathétique. Il ne connaissait pas la mauvaise Charlotte, mais malheureusement quand on se fout de Charlotte, qu'on fait semblant juste pour avoir son affection, la de la Croix que j'étais se mettait bien trop vite en rogne. Je cherchais dans mon sac un billet de cent dollars que je posais violemment sur la table tout en le regardant avec colère «  Si tu as besoin de baiser, va aux putes je t'en prie, je te l'offre pour tes loyaux services. » Puis je remettais un billet de cinquante. «  Tu devais t'imaginer aussi qu'en me disant ça, j'allais te sauter dessus, et que j'allais peut-être au mieux te sucer qui sait ? Tiens j'en rajoute pour l'intégrale. ». Ca y'est mon côté vulgaire ressortait. Pas que Phil était moche ou autre mais c'est juste que je n'étais pas le genre de nana à qui fallait faire semblant. Mes lèvres lâchaient un simple «  Tu me dégoûtes. ». Les personnes présente dans la bibliothèque nous demandait de nous taire. Je le regardais avec dédain avant de me lever posant mes deux mains sur les siennes en lui disant «  Va te faire voir Phil Daniels, tu ne m'offriras rien, je n'ai pas besoin de toi. ». Voilà quand on cherche une Gamma les représailles... Que vas tu faire  .. ?


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MessageSujet: Re: Charlotte de la Croix - Phil Daniels - Je t'ai écoutée me parler de tes soucis de fille, écoute aussi les besoins que j'ai. Charlotte de la Croix - Phil Daniels - Je t'ai écoutée me parler de tes soucis de fille, écoute aussi les besoins que j'ai.  EmptyVen 10 Oct - 2:54


Alors quoi ? Je suis un mec, pas un journal intime.


J
étais à l'aise, je savais comment les femmes réagissaient et c'était loin de me surprendre. Je passais le bout de ma muqueuse entre mes lippes, lorsque tu vins à t'ouvrir les ailes. Sincèrement ? Me donner de l'argent ? J'avais l'air d'un pauvre ? Puis les putes... Les expressions reprisent encore et encore des nanas. Blasé, j'en soupirai même de désespoir. Je ne te pensais pas de ainsi, mais au fond j'essayais de me mettre à ta place... Et j'y arrivais pas, tu repousses du plaisir ? Comment on peut repousser du plaisir ? Certes, je pense pas que je te donnais si envie que cela, mais au point de lâcher autant de mots, alors que tu pourrais faire plus court en disant " non " ? Tu m'excuseras, mais c'est un peu difficile à croire. Je haussais les épaules, en détournant mon regard sur les élèves qui nous regardaient. Avant de les reposer sur ton faciès. < Le jour, où tu arriverais à être calme, tu pourrais plus souvent causer avec les gens. Je suis pas ton journal intime où tu balances ce que tu veux. Et sérieusement t'as pas trouvé mieux que les putes ? J'ai une tête à ça ? > J'en souriais d'amusement, avant d'abaisser mon regard sur mes mains, près de tes billets, je n'allais pas les prendre, je ne jouais pas avec l'argent, surtout que cela me faisait penser à mon bordel de passé. Et il était hors de questions que je me tourmente le cerveau pour une nana. < si tu ne voulais vraiment pas, t'aurais simplement dit non, en sachant parfaitement que ne t'aurai pas couru derrière, tu as déballée tous ce que tu veux, tous sauf.. Que tu ne désirais pas coucher avec moi. > J'en déduisais simplement après que j'aille raison ou non, je m'en fichais royalement. Tu vins à me dire que tu n'avais guère besoin de moi, c'était le genre de phrase que je ne croyais pas, balancer par l'énervement. Et qui ne me blessais pas. < Je n'en doute pas une seule seconde Charlotte, tu n'as pas besoin de moi, parfait. Mais est-que, tu le penses sincèrement ? Qu'est-qui te gêne ? Que j'ai été honnête avec toi pour te le dire ? Ou bien tu aurais préférée que je ne le dise pas, mais j'aurai pu tenter des choses ? Réfléchis vraiment à tes propos. Je ne te demande pas de me sucer, quoique tu as une très belle bouche. Mais la question n'est pas là. Il existe des amitiés filles et mecs, mais crois-tu une seule seconde que le mec ne sait jamais imaginer coucher avec la nana ? Pitié Charlotte, même les filles se sont déjà réveillées d'un rêve où elles couchaient avec un pote. > J'inclinais mon visage à droite, avant de me redresser tout en te tendant tes propres billets. Mes yeux encrés dans les tiens, un fin sourire aux lèvres. < Tu devrais réfléchir un petit peu plus, et t'imaginer un peu plus loin. Le plaisir que je pourrais te donner, juste un soir, juste un moment. Personne n'est obligé de savoir, je ne te prends pas pour une fille facile, ce n'est pas pour rien, que je te le demande avec respect. Même si tu crois le contraire. >

En haussant une nouvelle fois les épaules, j'ajustais mes fringues, avant de prendre un livre, peu importe lequel, c'était juste pour ne pas laisser paraître que je venais ici pour rien, avant de débuter un seul pas, je me tournais vers ta personne une dernière fois, il fallait choisir, soi tu acceptais, et tant mieux, soit tu refusais et tant pis. < Je t'attend, dans dix minutes dehors, si tu n'es pas là, c'est que tu ne le veux pas, et si tu es là, c'est que tu le veux. Je ne t'oblige pas. Tu as tout de même mon amitié. > en me dirigeant vers la porte, je savais que tu n'allais pas venir, tu étais loin d'être une fille facile, mais prendre du plaisir pour moi, ce n'est pas être cela, c'est juste s'ouvrir. Je m'avançais de quelques pas à travers la bibliothèque, tout en sachant que non, tu n'aurais pas mon amitié ensuite et que pour moi, c'était simplement terminé. Ou on pourrait en discuter avec un peu plus de calme, mais tu étais une boule de nerfs à toi toute seule. Et bon Dieu pour t'inciter à être calme.

Je ne regardais pas en arrière, je passais tout droite, devant les élèves qui eux n'allaient sans doute pas oublier le spectacle, tu savais que je détestais être vu par les gens, et tu avais fait un cirque pas possible. C'était loin de me plaire. Les mains dans les poches, je m'arrêtais à la porte, tournant mon visage vers ta personne quelques secondes avant de disparaître derrière la porte. Adossant mon corps au mur, mes yeux fixés sur ma montre, dix minutes, ni une de plus. Tu étais grande, tu savais prendre tes choix. Soit nous rentrions ensemble, soit séparés. Quel choix vas-tu prendre ?




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MessageSujet: Re: Charlotte de la Croix - Phil Daniels - Je t'ai écoutée me parler de tes soucis de fille, écoute aussi les besoins que j'ai. Charlotte de la Croix - Phil Daniels - Je t'ai écoutée me parler de tes soucis de fille, écoute aussi les besoins que j'ai.  EmptyLun 13 Oct - 14:43

«Je t'ai écoutée me parler de tes soucis de fille, écoute aussi les besoins que j'ai. »
Charlotte & Phil


Acapella by Karmin on Grooveshark




 La colère était montée à moi comme ça d'un seul coup. Puis le fait qu'il soupire à chaque fois que je lui adressais un mot, à chaque fois que ma voix portait. Je lui balançais l'argent, comme il me balançait l'amitié dans la première poubelle qui se trouvait dans le coin. Nos yeux plantaient dans le regard de chacun,je me pinçais les lèvres pour me taire et l'écoutais. Bien sûr qu'il avait une tête à ça, il était un accro tout comme moi sauf que dans la vie il faut choisir les relations je n'aimais pas qu'on attendre quelque chose de moi alors que je n'avais donné aucun geste, ni même mot pour lui donner envie de moi ou quoique soit. «  Je suis calme, et je cause très bien avec les autres, c'est toi ta façon de parler, ta façon de te poster là devant moi et faire comme si ce que tu me demandais c'était banale ou normal. ». Son sourire commençait à m'exaspérait également. Je regardais du coup moi aussi ces mains qui se tenaient près des billets sans les toucher.  Je raclais ma gorge très bien, il veut de l'honnêteté en voici «  OK très bien, je ne veux pas coucher avec toi. ». Puis je m'énervais de plus belle, car je ne supportais pas ta façon d'être si lascif face à mes mots, comme si tu ne comprenais pas ce que je disais. Je mordais ma joue intérieurement a sa tirade sur les amitiés filles-garçons. Comme quoi à chaque fois l'un des deux désiraient l'autre. C'est à ce moment que ça me faisait penser à Athanaël, c'était vrai depuis le début nous nous désirions l'un, l'autre et je le rejetais tout en jouant avec lui jusqu'à ce fameux jour où tout avait basculé entre nous.  Bien que cette relation me plaisait je ne voulais pas que ça dérape encore à croire que jamais je ne pouvais me contenir, comme si l'appel de la chair, était omniprésent dans ma vie. Je ne répondais pas à ça. Je n'avais pas envie de me justifier sur mes raisons, sur ce que je voulais, ni à lui, ni à autrui. Je marchais sur les gens, les piétinais même si je le voulais. Je me calmais doucement quand il me tendait à nouveau mes billets. Je ne détachais pas mon regard du sien tout en l'écoutant à nouveau. «  Phil tu me demandes ça juste pour une pulsation, je n'ai rien contre ça  mais il fallait choisir c'est tout ». Je rangeais ces billets, puis je le voyais faire. Partir comme ça d'un coup ? Me laisser là après m'avoir balancé cette bombe comme si de rien était. Je bouillonnais à l'intérieur, il commençait à me rendre folle. Je le laissais alors partir, le regardant partir comme tous les autres élèves le faisait. Une fois qu'il avait franchit la porte, les autres élèves me fixaient comme si j'étais une harpie et que j'avais fais une connerie. En fin de compte ce n'était rien de spécial, juste une partie de jambes en l'air une de plus.  Puis parce que je ne voulais pas que ça se finisse comme ça juste par des cris. Je sortais de la bibliothèque en trombe, j'avais mis neuf minutes et trente secondes avant de me retrouver face à lui le plaquant avec force contre le mur. «  T'es chiant Phil, t'es détestable, t'es un baratineur et en plus t'aimes ça. ». Finalement mes lèvres étiraient un sourire car finalement il me proposait ce que je proposais à de nombreux hommes. Je me rapprochais bien trop près de lui tout en plantant mes yeux dans les siens. «  Du coup depuis le premier jour tu écoutes mes histoires, juste pour coucher avec moi, j'ajouterai la patience à tes qualités. ». Voilà le jeu pouvait réellement commençait, mais Phil me connaissait, et savait un minimum quand j'étais un boule de nerfs, il fallait me calmer.

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MessageSujet: Re: Charlotte de la Croix - Phil Daniels - Je t'ai écoutée me parler de tes soucis de fille, écoute aussi les besoins que j'ai. Charlotte de la Croix - Phil Daniels - Je t'ai écoutée me parler de tes soucis de fille, écoute aussi les besoins que j'ai.  EmptyLun 13 Oct - 23:18

Phil & Charlotte

"C'est un homme dans le besoin. Sa peur est évidente, il est perdu... quelque part dans les ténèbres. Ses grands yeux sombres sont emplis de tourment. Je peux le sauver. Le rejoindre un bref instant dans les ténèbres, pour le ramener dans la lumière."

Avec toute ma sincérité, je ne pense pas que tu irais à revenir vers moi, c'était impensable, une femme comme toi, au fort caractère, j'avais été honnête avec toi, d'une quelconque façon, même si je n'aimais pas être le journal intime, quelques fois, je pouvais voir et sentir que quelqu'un avait aussi passer des mauvais jours. Mais c'était différent, je revenais toujours sur le même sujet. Le sexe, c'était sans doute ce que je désirai le plus, une façon de me défouler, une façon d'exprimer les choses qui s'enterraient de plus en plus dans mon cerveau. J'observais longuement droit devant moi, près à partir à dix minutes. Sauf que là, lorsque dans ma vision, je vins poser mon regard sur ta carrure féminine, bordel. Tu étais là. Je fronçais les sourcils en me sentant reculer contre le mur derrière moi, tu me connaissais juste un peu, mais le minimum, tu devais tout de même savoir que je n'étais pas quelqu'un d'insistant, et que si la personne ne désirait rien, et bien tant pis. Je t'observais longuement ajouter tes dires, avant de rouler des yeux. Bordel, faudrait arrêter d'me foutre des étiquettes, surtout que non, personne ne me connaissait. < J'aime être la personne que je suis Charlotte, dis-moi, qui m'aimerait si moi-même, je ne m'aime pas ? > Je te fusillais du regard, en aucun cas j'étais méchant, mais je voulais au moins te calmer sur tes propos. Je connaissais le respect, je t'avais offert mon respect malgré mon désir envers toi, alors tu n'avais en aucun cas le droit de hausser le ton et de m'imposer des étiquettes sur le front. < Je me répète, qu'est-qui te dérange chez une personne honnête ? Le fait de perdre le contrôle ? Avec moi, tu n'as aucun contrôle. Et tu n'auras jamais le contrôle. Je me répète Charlotte, tu auras beau me foutre des étiquettes sur le front, je me connais. T'es loin de me toucher. > Je soupirai longuement quand je vins sentir tes lippes proches des miennes, sacrée provocation, mais bordel que c'était bon. C'était comme si cela me travaillait, mon bas-ventre me travaillait soudainement, et mon esprit voyageait rapidement dans les désirs. Personne ne m'avait mis des étiquettes sur le front, et ceux qui m'en mettent, ne me connaissaient pas. Et sont loin de savoir. J'approchais peu à peu mes lippes des tiennes, mes phalanges venaient se poser sur le creux de tes hanches avant de t'accoler contre moi, discrètement. < Je suis quelqu'un de patient. Je pensais que tu le savais déjà. > Mon sourire venait se fondre sur ma bouche, alors que je venais simplement frôler mes chaires contre les tiennes. Et je me retirais, enfilant mes phalanges à l'intérieur des poches avant de mon jean. < Je t'aurai Charlotte. Qu'importe le temps. Ton corps sera mien, le temps d'une nuit. > Pourquoi je partais ? Nous étions dans les couloirs, et j'avais l'air du type qui faisait n'importe quoi aux yeux de tous ? Absolument pas.

Je me tournais vers ta personne, les mains pénétrant dans l'intérieur des poches avant de mon jean, je te regardais, longuement. Est-que, tu allais me suivre ? Je me souvenais lorsque j'avais quitté la salle, tu avais prononcée comme quoi tu ne désirais pas coucher avec ma personne, et pourtant tu étais bien là, prête. Du moins, je le pensais, et tu ne faisais qu'être en accord avec moi. C'était qu'une partie de jambes en l'air. Nous irions à être des amis comme auparavant, c'était cela ma promesse. Stupide, je l'étais. Mes masques fonctionnaient, et je savais où, et comment toucher la personne, quels que soit le sujet, la situation, peu importe. Je te fis signe de la tête afin que tu me suives au plus près en direction des toilettes de l'université. Mon sourire accroché aux lèvres. Tiens, c'était, je pense un des seuls endroits où je n'avais rien fait. Peut-être que cela irait changer ? < Je rentre, puis tu rentres quelques minutes après, si tu veux que cela reste entre nous. Tiens-toi à mes règles. Et ne fait pas ta nerveuse, je te connais. > Les sourcils froncés, je m'adossais au mur des toilettes afin d'entendre ce que tu avais à dire. Certes, c'était loin d'être le lieu le plus chic, mais dans ce genre d'envie, même un banc au milieu des champs feraient l'affaire. Croisant les bras sur mon torse, mes pupilles claires passant de ton faciès, à ta poitrine, de tes longues jambes, à tes hanches.


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«Je t'ai écoutée me parler de tes soucis de fille, écoute aussi les besoins que j'ai. »
Charlotte & Phil


Acapella by Karmin on Grooveshark




 Certaines filles ont besoin de délicatesse, de tendresse d’un peu d’amour pour se sentir mieux pour se sentir vivante et limite utile. Être dans les normes, être la petite fille parfaite, le bébé pour son homme le parfait petit amour ? Très peu pour moi, en effet j’étais un électron libre qui ne s’attachait pas, j’étais nulle part et partout à la fois. Je me dématérialisé grâce à tous ses petits cristaux qui demeuraient aux creux de mes narines. Je n’avais pas besoin de red-bull pour prendre mes ailes celles du désespoir m’emmenaient elles même vers un avenir plus sombre, plus laborieux que mon passé. Je ne savais pas à quoi j’étais vouée, à ce que j’allais inspirer plus tard. Etais-je une bipolaire comblé d’une nymphomane alcoolique ? Dure réalité. J’étais complètement perdue que je n’avais même pas vu les signaux que m’avait lancé Phil, pourtant ce n’était pas comme si le grand blondinet ne m’avait pas fait des sous-entendus mais encore trop penché sur les revers de ma vie je n’avais même pas fait attention. Quoiqu’il en soit je me taisais pour la première fois de ma vie car quelqu’un avait le contrôle sur moi et me remettait à ma place sans avoir peur de ce que je pourrais dire non, si j’allais le suivre ou au contraire prendre la fuite comme je le faisais à chaque fois. Non j’étais bien derrière lui un peu en retrait, comment pouvais-je faire face à mes désirs ? Je suis une femme faible à qui une caresse adressée balancer tout en l’air pour succomber. D’un rapide coup d’œil je balayais le lieu où nous nous trouvions me rendant bien compte que le seul moyen que Phil avait de m’avoir entre ses mains. Le voilà entrain de s’adosser contre le mur me reluquant comme si c’était la première fois que nous nous rencontrons. Si Phil pensait avoir des masques et se cacher derrière, j’en avais aussi et celui qui m’allait le mieux était celui de la provocation.. Je claquais mes talons contre le sol marbré de l’université. Je plantais mes yeux dans les siens tout en ondulant pour l’atteindre, frôlant à peine je surélevé un de mes sourcils tout en laissant mes lèvres s’étiraient dans un sourire non dissimulé.  Je riais légèrement au nez du jeune homme quand il me disait d’attendre quelques minutes. J’avais beaucoup de vertus, mais pas la patience alors j’approchais mes lèvres de son oreille en lui murmurant «  Je n’ai pas peur, je n’ai rien à cacher si on couche ensemble la terre entière peut le savoir, ça m’excite.. ». Je lui léchais sensuellement son cou tout en ouvrant habilement la porte des toilettes qui se trouvait derrière son corps. Tout en poussant Phil dans la pièce certes étroite mais assez grande pour faire nos affaires. Plaquée contre le mur, je referme la porte tout en agrippant le haut du jeune homme pour l’attirer contre moi et de lui dire entre ses lèvres « Montre-moi, tout ce que j’ai raté pendant des mois alors.. ». Ma langue passa sur ses lèvres d’une beauté saisissante. Je glissais mes mains sur son torse, en mordant légèrement sa lèvre inférieure sans pour autant en avoir pris possession. « Par contre moi je n’ai pas de patience, Phil ». Mon cœur palpitait littéralement j'étais dans un autre monde. Je laissais mon regard découvrir ton corps, comme si mes pupilles arrivaient à voir à travers ses vêtements l’Apollon qui était en lui

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