the great escape
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C'est toi contre moi. ♪ Serres toi contre moi ♪

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MessageSujet: C'est toi contre moi. ♪ Serres toi contre moi ♪ C'est toi contre moi. ♪  Serres toi contre moi ♪ EmptyMer 10 Sep - 23:48


Parfait. Parfaite. Plaire. Séduire. Aengus envoyait son poing dans le miroir de sa chambre. Un hurlement creva entre ses lèvres. L’image même de son âme entre les mains d’autrui. Le geste se répéta encore et encore. Les hurlements ne parvenaient à rien, ni à se faire entendre, ni à soulager son âme. Que faire alors ? La douleur tirailla la paume de sa main. Une coupure rougit contre les plies de sa peau. Aussitôt, un chiffon appuya sur la blessure tandis qu’une main tremblante maintenait tant bien que mal.

La colère ne tarissait pas pour autant. Une seule solution alors. Si la nuit s’allongeait et que le jour n’arrivait jamais, autant rejoindre Alec, l’homme capable d’aspirer et supporter la fougue de la gamma. Sans réfléchir plus encore, la blonde se faufila jusqu’à la sortie. Chaussures sombres, allure nonchalante et un jean presque trop largue pour ses fines hanches ciselées. La jeune femme atterrissait essoufflée devant un immeuble trop grand pour être regardé de haut. C’est pourtant avec condescendance qu’elle appuya sur un bouton puis un autre. Pourquoi personne ne répondait ? Il n’était que 21h30 après tout ! Y a que des vieux pour dormir à cette heure !

« C’est la police. Madame. On vient pour le petit délinquant en bas de chez vous. »

Pourquoi est-ce que les vieux ouvraient toujours naïvement au mot « police » ? Qu’importe, elle pouvait entrer presque partout de cette façon. La porte de poussée, la carcasse épuisée se faufila dans l’ascenseur. Il ne manquerait plus qu’elle se perde dans l’escalier. Voilà qu’une tête se frayait un chemin vers le couloir pour admirer la soi-disant police au travail. Aussitôt, le majeur d’Aengus se dressa sous le nez de la vieille. C’était presque trop pour elle après tout. Combien de jeunes passaient la voir dans la journée ? Probablement aucun. Voilà, Aengus venait de s’occuper d’une mamie et d’embellir sa journée.

« C’est un crime d’être debout à cet âge. Crevure! » Grogna la gamma avant de tambouriner sur la porte d’Alec
.
« T’vas bouger ton cul ! » Hurla-t-elle en jugeant qu’il mettait beaucoup trop de temps pour lui répondre. Un Alec devait être plus réactif. Rien ne pouvait plus énerver Aengus que de sombrer dans l’impatience.

Enfin, la porte fit place à la bouille trop parfaite du crétin qui l’avait fait poireauter.

« Je t’ai manqué ? » Interrogea Aengus en forçant presque le passage pour se mater l’appartement du garçon. « Sérieux ! Pourquoi t’habite aussi loin de la fac ? Tu ne pouvais pas te payer une chambre à l’université comme tout le monde ?»

Bien sûr qu’elle se fâchait ! Il habitait trop loin de chez elle à son goût ! Il lui avait coûté une demi-heure de son temps pour atterrir ici. Passant une mèche de cheveux derrière son oreille, elle repensa vaguement au rapide bandage qu’elle avait passé autour de la paume de sa main.

« Je me suis battue, ok ?! C’est pas la fin du monde ! » Grogna-t-elle en devançant la question d’Alec.

Niveau mauvaise humeur, on avait atteint les sommets ou presque. Alec avait connu la blonde dans de pire moment.


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MessageSujet: Re: C'est toi contre moi. ♪ Serres toi contre moi ♪ C'est toi contre moi. ♪  Serres toi contre moi ♪ EmptyJeu 11 Sep - 16:10

Tu me sauves chaque jour.
   Du désespoir de l'amour.
« Qu’est-ce que tu fais là ? »

Douce musique que sont les rubans de scotch, les cartons emballés et le bruit d'un dernier repas dans un appartement pratiquement vide à présent. Il est encore classe et meublé, seuls mes affaires sont emballés et posés sur la table en attendant que demain arrive et que je déménage enfin de cet immeuble qui ne me sied guère. La solitude est une compagnie que je n'ai que trop apprécier, mais il est temps pour elle de trouver une nouvelle personne à rendre visite, je ne veux plus faire parti de son top 5 de visiteurs. Les choses vont changer et bientôt je n'aurais pas un colocataire mais bien une. De quoi rendre jalouses certaines personnes et de quoi pimentée un peu cette vraie rentrée à Berkeley que j'aborde enfin comme un véritable étudiant ici. En espérant que cette année je n'ai pas à quitter l'université pour quelconque histoire, il faut que je me recentre sur mes études afin de ne pas perdre une miette d'un brillant avenir que je peux encore plus faire briller, en Italie mais aussi partout dans le monde. En particulier ici, aux États-Unis, là ou l'univers du football n'est pas apprécier à sa juste valeur, malheur à eux. Dès demain, donc, je serais de nouveau sociable. A quel point, je ne le sais pas encore, mais c'est décidé, il ne me reste plus qu'à confirmer ce que mes ressentis me disent : en clair, que ma colocataire risque bien de me mettre du fil à retordre, si son corps est aussi sensuelle que sa voix, je risque d'avoir de la difficulté. Bien évidemment, je me considère comme un homme fidèle, un homme qui s'est marié à Las Vegas certes, mais marié quand même aux yeux de la loi, et pourtant dans le secret absolue de toutes personnes. L'amour, le vrai, se vit cacher, mais aux dernières rumeurs que j'ai pu entendre, l'amour ne dure pas si longtemps et parfois, il n'est qu'illusion. Voilà pourquoi je romps avec la solitude et me met avec une colocataire, afin de ne pas perdre au change et surtout de redistribuer les cartes pour une nouvelle partie longue de dix mois. C'est donc tranquillement en train de manger un plat de pâtes et en regardant une émission à la télévision de l'appartement que je mangeais. Spaghetti à la bolognaise, manger avec appétit évidemment, la cuisine de ma mère me manque mais je dois faire avec, demain, je cuisinerais ma colocataire pour qu'elle me fasse à manger, machisme quand tu nous tiens. En attendant ce jour béni, on frappe à la porte. Fais chier. Je suis confortablement assis en train de manger et on me fait chier en plein match. Une femme sûrement, il n'y a qu'elle pour faire ce genre de choses. Alors j'ignore. Je ne sais pas qui sait et ne veut pas le savoir. Mais l'absence de curiosité de ma part à l'air d'égayer l'impatience de cette intrus indésirable ! Je finis par me lever, ouvrir la porte, et soupirer. Aengus est dans la place. Et même qu'elle me pousse et rentre, surprenant venant d'elle. La tornade blonde est dans le reste de mon appartement, elle est étrange, comme d'habitude. Même un peu plus que d'habitude. J'ai l'habitude avec elle, on ressent un peu les mêmes choses.. Quand notre corps ne supporte plus de refouler certaines émotions ou situations qui sont dérangeantes et qui doivent exploser, quelque part, avec quelqu'un, qui que ce soit. Ce n'est pas impossible. Son regard en dit long et je sais ce qu'elle me veut, du moins, plus ou moins clairement. Je ne réponds pas de suite à ces remarques et je remarque sa main, qui elle, saigne. Cette dinde s'est blessée, stupide femelle. Je ne réponds toujours pas, de quoi l'enquiquiner un peu plus et surement la rendre plus qu'impatiente pour qu'elle explose. Je prends quelques trucs dans un des cartons et me dirige vers elle, je prends sa main en forçant dessus quitte à lui faire mal. Je mets de l'alcool sur un coton et désinfecte rapidement la plaie avant de la couvrir d'un pansement et de jeter ce qu'elle considérer comme tel. Je lui lance un regard accusateur avant d'enfin ouvrir la bouche " Bonsoir, ça fait toujours plaisir de te voir arriver dans cet état. Oui, tu m'as manqué, et quand je vois avec quel envie tu es arrivée, je pense que toi aussi. C'est d'un charmant. - Léger blanc de quoi supporter ces regards incisifs face à mes suppositions modestes - Justement, comme tu peux le voir, je déménage dans les prochains jours, plus près de la fac.. sans que ce soit près en fait, bref, je te montrerais dès que j'en saurais plus sur ce qui t'arrive espèce de folle blonde. " Dis-je presque avec délectation lorsque je lui dis ces doux mots. Sans attendre un mouvement de sa part, je m'assois nonchalamment sur mon canapé, lui montrant une place près de moi ou bien sur le fauteuil d'en face, à sa guise, elle est grande, vous le savez, les femmes aiment leur indépendance inexistante.

   
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MessageSujet: Re: C'est toi contre moi. ♪ Serres toi contre moi ♪ C'est toi contre moi. ♪  Serres toi contre moi ♪ EmptySam 27 Sep - 15:43

Je te déteste
 de tout mon coeur


   
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MessageSujet: Re: C'est toi contre moi. ♪ Serres toi contre moi ♪ C'est toi contre moi. ♪  Serres toi contre moi ♪ EmptySam 4 Oct - 14:17

:out:
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MessageSujet: Re: C'est toi contre moi. ♪ Serres toi contre moi ♪ C'est toi contre moi. ♪  Serres toi contre moi ♪ Empty

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