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PHIL DANIELS - EMY CONWAY / "Je vous désire terriblement, surtout maintenant " [HOT]

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MessageSujet: PHIL DANIELS - EMY CONWAY / "Je vous désire terriblement, surtout maintenant " [HOT] PHIL DANIELS - EMY CONWAY / "Je vous désire terriblement, surtout maintenant "  [HOT]  EmptyVen 3 Oct - 22:58

PHIL DANIELS - EMY CONWAY / "Je vous désire terriblement, surtout maintenant "  [HOT]  Rx2k


23h30, la soirée battait son plein. L'alcools coulaient à flot, les femmes se déhanchaient, et les hommes savouraient ces scènes comme des chiens affamés. Accolé à un mur, mon faciès s'orientant sur les alentours, observant discrètement les personnes qui étaient présentes à cette soirée, soirée pour laquelle je n'aurai loupé pour rien au monde. Soyons honnête dans ce genre d'endroits aucune femme n'étaient à l'abri d'aucuns hommes, et surtout... Elles ne le désiraient pas, leurs tenues courtes, leurs façons de bouger, ne venez pas me dire qu'elles étaient toutes ici pour simplement danser et picoler. Cela serait un mensonge aussi grand que la tour Eiffel. Je souris, à mes pensées sans doute idiotes. Mais des pensées qui reflétaient la vérité de cette génération. Les femmes étaient bien plus libres, et c'était sans doute un plaisir pour la gente masculine. Du moins, c'était un plaisir pour moi. Je savourai, un verre à la main, habillé d'un jean G-STAR, et d'une simple chemise blanchâtre où les bouts pénétraient à l'intérieur de mon bas. Ainsi que de simples baskets aux pieds. J'étais du genre classe, sans pousser dans l'extrême et de rabouler en costard cravate. Mon sourire figé sur les coins de mes lippes légèrement humidifiées par le liquide qui traînait au fond de mon verre, je voulais en avoir une, je visais de mon regard les différentes femmes qui voyageaient à travers mes pupilles dilatés par l'alcool. Des femmes fines, aux longues jambes, des femmes un peu moins jolies, et des femmes aux formes généreuses. " Phil, regarde-là, y a une nana qui te regarde depuis avant. " Un pote vint à me chuchoter ces mots au creux de l'oreille. Mon visage se redressait à une hauteur où aussitôt mon regard vint à rencontrer le tient. Intéressants, fines jambes, les cheveux longs, une taille où mes mains seraient parfaitement à l'aise. Parfaite. Je te voyais peu à peu disparaître du hall, vu la taille de l'hôtel, c'était pour moi impossible de te perdre des yeux, surtout que maintenant. Tu étais dans mon champ de vision, et Dieu sait à quel point de retirer une femme de là, était quasiment impossible, dû moins jusqu'au moment où j'en aille fini avec. Ma muqueuse passait vaguement entre mes lippes en retirant le surplus d'alcool qui s'était incrusté. Ce goût excellent qui descendait le long de ma gorge. Mon crâne m'envoyait déjà des signaux. J'avais envie de sexe. J'étais comme lié à ça, sincèrement. Je détestais toute autre relation sauf celle-ci, à croire que je me nourrissais du plaisir que la personne pouvait avoir, grâce à moi.

Je m'avançais, pas à pas en dehors de la soirée, sacrée soirée au passage, heureusement que les femmes étaient au rendez-vous, sinon clairement c'était une soirée aussi pourave que les autres. Mon regard lubrique se posait alors sur ta démarche, sur ton fessier se mouvant de gauche à droite par tes pas qui se fit de plus en plus bruyants, tes escarpins tapant le sol, ne faisant pas louper ta présence auprès des employeurs. Merde, mon verre. Je me tournais sur moi-même afin de trouver une issue et de poser rapidement le verre quelque part, et cela fut rapide. Derrière une plante, à même, le sol. Ce n'était pas moi qui nettoyais, ce n'était pas mon boulot. Mes phalanges glissaient lentement dans l'intérieur des poches avant de mon jean, me laissant aller dans une démarche plutôt rapide puisque je ne voulais en aucun cas te perdre de vue. Mais tu le savais, n'est-ce pas ? Que j'étais ainsi derrière toi ? Je suppose que tu avais bu quelques verres, et donc... Légèrement dans les vapes. Est-que cela en valait le coup ? D'approcher une nana qui irait oublier la nuit passée avec moi ? À l'intérieur de moi, un ange et un démon me tapaient sur le système. Un me disait que ce n'était pas bien, et l'autre disait simplement " elle fera comme toi, sauf que toi, tu ferais mine d'oublier, et elle aura réellement oublié, c'est 50%50, ou même plus, puisque toi, tu aurais du plaisir. Et qu'elle, ne s'en souviendra pas " C'était des questions à me tourner la tête à l'envers. Mais si je n'étais pas autant à la recherche d'une femme, je ne serais pas ici, derrière toi. Marchant à une allure exagérée pour réussir à t'attraper. Du moins, juste être à quelques mètres derrière ta personne.

Tu avais une clef qui pendait d'une main, alors comme ça, tu avais tout prévu ? Tu avais prévu de ramener un homme dans ta chambre ? Donc forcément, tu ne serais pas si bourrer que cela... Enfin, je pense. Les sourcils froncés, les traits de mon faciès tendus par tant de questions, je te vis monter les marches, jusqu'au premier étage où je m'arrêtais afin d'identifier la chambre dans laquelle tu pénétrais. Chambre 240. Une chambre parmi tant d'autres, mais qui en cette soirée serait bien différente. Et je souriais, comme un con heureux. Putain, je n'arrêtais pas de penser au plaisir que j'allais recevoir. J'allais à nouveau utiliser mon masque, enfin mon ? Un seul ? Oh non, le genre de masque où je laissais simplement les bons côtés apparaître. Le mec parfait, zéro défaut. Sympathique, honnête, gentleman. Les trucs que les nanas adorent non ? Dès que je voyais ta silhouette disparaître, je m'avançais pas à pas en ta direction. Cette porte sentait déjà le sexe. Bizarre non ? L'une de mes mains quittait la chaleur de la poche de mon jean, afin de percuter à trois coups, discrets sur cette dernière. Mon corps se reculait d'un pas, puis deux. Détournant mon regard sur les alentours, m'assurant qu'aucune personne ne m'aille vu partir de la soirée, et arriver là, devant une simple porte. Le sourire encré sur le côté droit de mes lippes, ressortait la malice et la perversité de mes désirs.
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MessageSujet: Re: PHIL DANIELS - EMY CONWAY / "Je vous désire terriblement, surtout maintenant " [HOT] PHIL DANIELS - EMY CONWAY / "Je vous désire terriblement, surtout maintenant "  [HOT]  EmptySam 4 Oct - 12:58

Je vous désire terriblement, surtout maintenant  


Je m'étais redécouvert ce côté prédatrice avec les hommes. J’étais célibataire, je ne devais plus rien à personne et ne risquais plus de tomber amoureuse, alors pourquoi se priver ? Autant profiter de la vie, de la croquer à pleine dent .On a qu'une vie et cela je ne le savais que trop ! J'avais eu cette chance de survivre et combattre le cancer à deux reprises. C'était ma revanche sur la vie que d'avoir mis tout en œuvre pour créer ma propre société, qui ne cessait de s'élargir aux delà des frontières de notre État.  Ce soir, soirée de fête, hommes et femmes de tout genre, sachant se préserver et ne pas se faire remarquer ou bien alors tout le contraire, se faire voir de façon attirer la foule et le regard des hommes tout particulièrement. Je n’étais pas de celles-la, du moins pas de cette manière à rire à gorge déployée ou encore à me vêtir de façon à ne cacher que mes parties intimes. J’étais soft, distinguée, attirante, sachant que les hommes me contempleraient. Rien à voir avec ses pétasses de bas étages. J’étais au dessus de la cela, du haut -standing sans vouloir me vanter. Un parti convoité et médiatisé. Une jeune femme d'affaire entrant dans ce monde de requin, fille de milliardaire -lui aussi homme d'affaire- célibataire et intrigante. Dur en affaire je l'étais également avec la gente masculine.Je décidais où ? Quand ? Comment ? Mais ce soir, le destin vint frapper à ma porte.
Ayant atteint ma chambre clef en main pour plus de précaution lors de ce genre d’occasion, voici donc que je vis un jeune homme , grand, brun, distingué, au regard profond que je ne dis pas un mot sur l'instant. Il était culotté mais avait eu du cran de monter jusqu'ici. Le regardant  dans les prunelles, j'ouvris davantage la porte, afin de l'inviter à entrer. Lui laissant le passage je ne pus me résoudre à le regarder de la tête au pieds. Je l’avais aperçu lors de cette fête qui se poursuivait au rez-de chaussée de cet établissement luxueux. Mo  verre de vodka en main je jetais un dernier coup d’œil dans les couloirs ou je ne vis personne avant de refermer la porte sur nous.
Marchant sur ses pas, je passais à ses côtés d'un pas de velours avant de me diriger vers le bar sans un mot sur l'instant.
« Scotch, whisky, vodka, Champagne ? » En bonne hôtesse que j’étais autant lui offrir un verre non ? Lui servant la boisson de son choix , je revins à son encontre, lui la tendant. Toujours ce regard impassible, restant distante, je le jaugeais.
« Soit vous étés téméraire, soit vous êtes gonflé? Mais en tout cas, c'est courageux de votre part d'avoir osé monter jusqu’ici. »Me tournant et allant 'installer sur l'un des fauteuils, je croisais mes fines jambes que laissait apparaître ma robe longue fendue. C'était excitant et divertissant de voir un si bel homme venir jusqu'à moi pour passer du bon temps ? Oui ne soyons pas bête, pour quelle autre raison il s'était frayé un chemin jusqu’à ma chambre ?
« Les lieux vont plaisent-ils ? Et encore vous n'avez rien vu. On a une vue imprenable ..d'ici »J'esquissais un sourire qui en disait long. Je l'observais pour pouvoir lire en lui. Observer les gestes et le comportement des gens pouvait révéler bien des choses et ce petit jeu m'amusait. Surtout qu'étant alcoolisée mais pas ivre non, j’avais encore toutes mes facultés à réfléchir et à savoir de quoi ou de qui j'avais envie...Serait-il aussi culotté à vouloir s'aventurer pour cette nuit ? Il avait les cartes en main, à voir s'il saurait en tirer partie. La curiosité envahit mon esprit et mon corps était réceptive si toutefois il se tentait à jouer avec le feu. Je ne cherchais pas plus loin à connaître ses réelles intentions, à savoir ces réelles motivations à venir se frotter à une personne telle que moi. De toute façon quoi qu'il puisse se passer en tout sens, j'aurais toujours main mise sur la situation et saurais toujours me sortir de situation délicate. J’avais de la ressource, du potentiel et puis un statut qui faisait que j'étais couverte.L'argent ne fait pas le bonheur mais il y contribue. Comme pour me sortir d'un mauvais pas quelconque. Et puis chacun sait également que l'argent peut acheter n'importe qui sur cette Terre. Maintenant je n'attendais qu'une seule chose, savoir ce qu'il me voulait, même s l'ambiance ici présente respirait la tentation et peut-être même le sexe ? Mon sourire s'élargissait sans que mes yeux ne le  quitte  une seule seconde...

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MessageSujet: Re: PHIL DANIELS - EMY CONWAY / "Je vous désire terriblement, surtout maintenant " [HOT] PHIL DANIELS - EMY CONWAY / "Je vous désire terriblement, surtout maintenant "  [HOT]  EmptySam 4 Oct - 16:31


La soirée ne fait que commencer.


M
on regard voyageait sur les fins traits de ton visage, tu étais... Élégante, distinguée, fine, tu savais sans doute ce que tu désirais et tu savais comment l'avoir. Cela tombe bien, moi aussi, je savais comment avoir les choses. Mon sourire faux se posait sur la longueur de mes lippes légèrement asséchée par le manque de liquide. En vin, heureusement que tu vins à m'en proposer. Je haussais les épaules, m'avançant de quelques pas afin de faire disparaître cette distance qui s'était aventurée entre nous. < je n'aime pas la Vodka, alors je vais prendre un Scotch. > mes phalanges, toujours, enfuient à l'intérieur des poches de mon jean, j'observais la longue robe que tu tenais sur tes épaules féminines. Longue, cachant le fantasme des hommes, intéressant. Lorsque tu vins à me tendre le verre, je l'enveloppais de ma phalange, mes doigts tapant vaguement contre le verre, avant de l'approcher de mes lippes et de les plonger dans ce liquide, oh non, je n'allais pas boire. Je n'aimais pas être bourré, je n'aimais pas perdre le total contrôle de moi-même et ce n'est mieux pas. Pour la personne qui était en face de moi, cela serait un tout autre cinéma du bon vieux Phil. Tu vins à me dégager de mes pensées, mon faciès se redressant vers le tien, tu étais assise et c'était une position qui était... Soumise à la mienne, bien que je n'allais pas t'attaquer comme un chien affamé, j'espérai que tu gardes cette même position. De quelques pas, je fis un tour sur moi-même afin de poser mon regard sur la décoration de cette chambre d'hôtel de luxe. < Je prendrai le mot courageux, si je peux me le permettre. Mais vous êtes aussi courageuse que moi, n'est-ce pas ? Ouvrir à un inconnu, ce n'est pas ce que font les femmes en général. > Mon sourire pendait littéralement sur ma bouche, enfin, c'était une drôle de situation, nous avions tous les deux envies, dû moins, j'irai à chercher ce petit grain en toi si ce n'était guère le cas. Mais je n'étais pas dupe, en même la seconde où tu m'avais ouvert, cela signifiait pas mal de choses. Et non, je ne pense pas à simplement boire un verre et discuter entre inconnus. Mon corps se remettait droit, derrière ta personne au moment où tu t'intéressais à la vu que nous avions depuis ici. Penses-tu réellement que j'étais intéressé par cette vue ? Enfin si, une autre vue, celle d'une femme à la longue robe et une voix envieuse, que n'importe quel homme seraient à genoux.

Ma carrure s'approchait petit à petit afin de m'installer en face de toi, debout, un verre à la main, un sourire malice et pervers suspendu et accrocher aux traits de mon faciès, le sommet de mon corps vint à se pencher en avant, face à face, mes pupilles dilatés et gober par la noirceur de la nuit, vins à ce pointer dans les tiennes. Délicieuse, tu étais extrêmement délicieuse à voir. Je détournais néanmoins quelques fractions de secondes afin de poser mon verre plein sur le meuble à tes côtés. Les mains libres, du moins pour le moment, venaient se placer sur chaque côté des accoudoirs du fauteuil dont tu étais installé. < Je vous désire terriblement, surtout maintenant. > Direct ? C'est ce que les femmes aiment, enfin n'importe qui aimeraient. Je ne suis pas quelqu'un qui tourne autour du pot des dizaines de fois. Sois la femme a envie de moi, sois elle n'a pas envie, mais dans ce cas-là, c'est un autre chapitre à explorer. Mon visage était si proche du tien, que ta fine respiration venait à s'évaporer sur le coin de ma mâchoire, m'offrant ainsi de douces caresses et des frissons qui réveillaient mon bas-ventre. Bon sang, j'étais complètement fou des femmes, elles savaient comment abattre des hommes, juste par un abaissement de cils. Mais n'ai-je pas dis que j'étais égoïste et faux ? Je voulais qu'une chose en ce moment et j'allais faire en sorte de l'avoir aussi rapidement que possible.

< Navré, je ne désire pas être impolis, mais nous savons tous les deux comment cette soirée va terminer, vous êtes... Très attirante, cela serait dommage de terminer cette soirée par quelques verres. > Je me reculais lentement, mon corps d'homme se postant face à vous, alors que j'ajustais le col de ma chemise. Avant d'engouffrer mes phalanges à nouveau dans leurs endroits favoris. Les poches de mon jean.

Je me demandais bien, comment est-que cette soirée irait débuter, bien entendu, je suis quelqu'un de patient et de galant, mais quand j'arrive dans un terrain que je connais parfaitement, il est pour moi très difficile de faire marche arrière et d'attendre sans arrêt un signe de la personne. Je savais ce que je voulais, je voulais te faire partager un moment de plaisir. Grâce à moi et avec moi. Qu'importe l'endroit, partant d'un mur, du lit luxueux aux draps de soies. Le sol, ou même les fenêtres, toi, qui juste avant m'a parlée de cette vue imprenable, cela serait une bonne façon de la voir... Plus précisément. L'une de mes phalanges se redressait jusqu'à frôler du bout des doigts la ligne parfaitement bien tracée de ta mâchoire, descendant à peine jusqu'au début de ton cou. Tu étais tiède, je pouvais sentir sous mes doigts les frissons qui te parcouraient. Et l'intensité de cet instant. < Laissez-moi vous combler en cette nuit, je serai ravi de passer ce moment en vous. > Il faut bien faire la différence entre être un type sale et un type direct qui sait néanmoins s'adresser aux femmes. Mon pouce regagnait peu à peu ton visage, le laissant quelques secondes à peine, pour dévaler la longueur de ta lippe inférieure. Mon regard encré dans le tien, avalant et mémorisant cette scène typiquement érotique.


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MessageSujet: Re: PHIL DANIELS - EMY CONWAY / "Je vous désire terriblement, surtout maintenant " [HOT] PHIL DANIELS - EMY CONWAY / "Je vous désire terriblement, surtout maintenant "  [HOT]  EmptyLun 6 Oct - 18:15

Je vous désire terriblement, surtout maintenant


Il était étrange, intriguant et terriblement séduisant autant physiquement que dans sa manière d'être. Je ne pouvais détourner mon regard du sien. Comme attirée par la prunelle de ses yeux. Il avait ce côté mystérieux qui ne faisait qu'attirer mon être tout entier vers lui.Mais je sus garder ma place sur ce fauteuil, me délectant de ma vodka tandis qu’il savourait son Scotch. Je pouvais le sentir sur moi, son regard tel une douce et intense caresse, ce qui me fit intérieurement frissonner. Il avait un tel sex-appeal que ça en était renversant, frustrant , excitant ! Il avait ce sourire à faire chavirer la gente féminine, il le savait et en jouait. Séducteur et provocant à la fois il savait mener sa barque pour qu'une femme lui cède ses charmes. Ce qui étira davantage mon sourire. Sourire qui s’effaça un tout petit lorsque je me surpris à être en position de faiblesse. Mon cœur battait a tout rompre. Était-ce l'alcool ingurgitée de la soirée ou bien cette atmosphère chargée d 'hormones ? Les deux probablement ; Sans oublier cette proximité qui vint ensuite que son souffle vint se plaquer contre ma peau.une douce et sulfureuse chaleur qui se qui me laissa béat, les lèvres demi-ouvertes à ce contact...Ces mots eurent le dont d'éveiller ces papillonnements en mon bas du ventre. Tout ceci était érotique, sensuel que je dus me faire violence pour ne pas lui sauter dessus sur l'instant. Il me désirait, me le fit comprendre qu'il finit par me l'avouer clairement et à haute voix. Ce geste de recul me donna l’impression de respirer à nouveau. Une bouffée d’air frais avant de me reprendre ; je voulus me relever à mon tour pour lui faire face, tandis qu'il réajustait son col mais à quoi bon ?Mai coupée dans mon élan il vint de nouveau à me frôler , subtil et osé à la fois. J’étais déjà sienne il m'avait conquise de façon que je baissais les armes ; Rares étaient ceux qui arrivaient à me dompter de la sorte. Même s’il n'en savait rien, ou du moins ne lui avouant pas – mon regard ou encore mon souffle devaient me trahir en ce moment même. Oh cela c'était de la franchise ! Des mots crus dans une tournure des plus exquises. Il avait dû en fondre plus d'une ce veinard. Mais en même temps il avait tout pour lui. Un physique bien défini, un style simple et classe à la fois, une façon de se faire remarquer , pour mieux s’attirer les faveurs de ses futures conquêtes. Il me rendait dingue. Attirée à lui comme un aimant, son pouce sur mes lèvres que je vins à y déposer un doux baiser, avant de relever quelque peu le visage vers lui, le souffle court. Puis d'un geste non brute mais plus directe,je l'attrapais par la chemise et le fis reculer d’un pas, me relevant par la même occasion. Il m'avait obligée à réagir, le jeu était lancé, le feu commençait à prendre et ce n’était que le commencement. Avançant d'un pas félin jusqu’à lui , je l'attirais par le col doucement mais avec une certaine ardeur, pour venir l'embrasser et lui mordiller la lèvre inférieure. Le mélange d'alcool ainsi que nos souffles partagés m’enivraient bien plus que tout ce que j'avais pu boire ce soir ; Je n’étais pas ivre, j'étais alcoolisée mais je savais très bien garder mes moyens. Je planais simplement , prenant le tout avec légèreté. Même si ce soir je n’aurais pas le contrôle absolu sur sa personne et sur les moindres faits et gestes, , je désirais en profiter et prendre du bon temps, en y gardant de bons souvenirs. Et puis ne sachant parfois pas sur qui nous tombons, il était toujours plus sûr de ne pas s’enivrer à ne plus pouvoir mettre un pied devant l'autre. Me détachant de lui, doucement, sans ôter ma main de sa chemise ni baisser le regard, j'osais enfin lui partager mes envies et mes désirs.
« Vous avez dit me désirez terriblement, dois-je vraiment vous croire ou bien me faut-il prendre quelques devants ? »Arquant un sourcil. Bien sûr que je le taquinais, mais autant faire cela de façon excitante et non pas bestial, du moins pas tout de suite. Je n’étais pas contre, loin de là, mais il avait quelque chose de particulier et j'aimais sa façon d éveiller en moi un profond désir sexuel. C'était presque douloureux et jouissant à la fois. Ma main de libre glissa le long de son torse pour descendre jusqu'à la taille, libérant la chemise de son pantalon. Mes doigts doux et frêles, effleurent le corps chaud du jeune homme. Mes mains défirent chacun des boutons qui renfermaient un buste musclé et viril. Et ce sans jamais quitter son regard.je pouvais voir de mes mains son corps sculpté avant de revenir sur cette ligne invisible, redescendant jusqu'à retirer cette fois le premier bouton de son pantalon, afin de ne pas y être trop à l'étroit. Je me mordillais quelques peu la lèvre, lui montrant que j’étais joueuse, délicate, taquine mais sensuelle à la fois sans paraître vulgaire. Envieuse également je l’étais que mon corps semblait donner la note au sien , vibrant de toute part. Avant de venir lui déposer un baiser chaste au départ pour un baiser plus sulfureux ensuite. Mes mains dans son dos, ayant sa chemise ouverte, pouvant sentir ses pectoraux contre mon décolleté.
« J'en serais ravie également , comblons nous ensemble de la manière qui vous semblera la mieux adapter, en cette nuit »Reprenant quelques peu ses mots lui faisant ainsi comprendre que j’étais partante pour ce moment qui allait être intense à coup sur comme sur le fait que j’étais ouverte à toute pratique peut-être ou presque, dans des positions cocasses, ou des lieux insolites. Cette immense chambre luxueuse nous offrait pleins de possibilités jusqu'au petit matin. Un plaisir partagé ne devrait jamais se refuser. On a qu'une vie et pour ma part j'ai e une seconde chance, la vie a eut beau vouloir me briser, je me suis toujours relevée alors vivons et éclatons-nous.

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MessageSujet: Re: PHIL DANIELS - EMY CONWAY / "Je vous désire terriblement, surtout maintenant " [HOT] PHIL DANIELS - EMY CONWAY / "Je vous désire terriblement, surtout maintenant "  [HOT]  EmptyLun 6 Oct - 21:46


Ton corps, entre mes mains. Cette fascination.


J
e te désirai, je te voulais et je savais que je t'aurais. Dans n'importe quelle façon, j'étais là, dans cette chambre d'hôtel, près à bondir sur ta personne. Et pourtant, je ne laissais pas ce côté affamé apparaître, c'était loin de plaire aux femmes et c'était loin d'être dans mon éducation que je m'étais fait, seul. Ta phalange venait happer ma chemise blanchâtre, tu te levais, face à face, mes yeux s'orientaient sur ta bouche féminine, les traits de ton faciès extrêmement avantageux, tu étais belle. J'arrivais à peine à croire que tu me laissais t'avoir de la sorte pour une nuit, une nuit ? Nous ne savions même pas le prénom de l'autre, et pourtant, c'était un besoin de dingue qui enveloppait mon corps. Dès que ta main me touchait, mon bas-ventre se réveillait, soumis à mes désirs les plus profonds. J'allais être en toi, dans peu de temps. Tu allais m'appartenir dans quelques minutes, tu allais être mienne, j'allais pouvoir t'offrir une nuit parfaite, qui je suis persuadé, irait rester gravée dans ta mémoire durant de longues années. Personne ne devait m'oublier, et pourtant, moi. Je m'autorisais d'oublier quiconque venait d'entrer dans ma vie, que cela soit pour une nuit. Aucune fille ne devait penser que j'étais intéressé par elle. Mais toi, en ce moment, c'était... Différent ? Dans le sens, où je ne savais strictement rien de toi, mais j'avais ce besoin irréversible de t'avoir au creux de mes phalanges, te faire mienne. Entièrement mienne. Ta bouche venait rencontrer la mienne, alors que j'étais dans mes pensées les plus sombres, cela m'arrive. De ne rien voir, de voir mes stupides pensées ! Je plissais des yeux, tandis que mes mains venaient se joindre à l'arrière de ton corps, s'imposant contre le bas de ton dos, t'attirant, t'incitant à être, contre moi. Ta poitrine s'écrasant contre mon torse. Bordel, tu étais d'une rapidité telle qu'un fin rire vint à s'échapper de mes cordes vocales. Torse à l'air, tes mains dévalant la longueur, j'abaissais mon regard sur celles-ci, tu avais de petites mains, des fines mains typiquement comme toutes les femmes finalement. Je me mordais quelque peu violemment la lippe inférieure en te laissant le total contrôle de ce moment, car non. Profite bien, car tu n'allais en aucun cas avoir du pouvoir en cette soirée. C'est moi qui commande, personne d'autre.

< Vous êtes mienne. > Dis-je en encrant mes pupilles dans les tiennes, mon sourire malicieux venait enfin apparaître sur mes lippes, laissant mes yeux se faire gober par la noirceur du désir. Si tu savais où tu te mettais. J'empoignais tes poignets afin de te faire volte face et coller ton dos contre mon corps dominant, je t'obligeais à avancer de quelques pas en direction des grandes vitres, tu avais parlée juste avant de la fantastique vue que nous avions depuis ici. Et bien moi, je te propose de la voir, de plus près. Mes mains se redressaient afin de plaquer tes paumes contre les vitres fraîches. Une position, qui était une de mes préférés cela dit. Mon visage s'inclinant à droite, afin de faufiler mes lippes dans le creux de ta nuque, y laissant maints baisers légèrement humides, mais remplit de passion. Mes phalanges dérapaient lentement à l'arrière de ton dos, où mes doigts, habiles et rapides, venaient descendre la fermeture éclair. Le corps d'une femme, ciel, pour moi, c'était la plus belle chose au monde et encore plus en ce moment. Tu étais l'élégance pure, tu n'étais, en aucun cas, vulgaire, tu faisais partie des femmes à qui on pourrait mettre des choses osées, mais jamais prononcer le mot vulgaire. Dès lors que je détachais ta robe longue, mes mains pénétraient à l'intérieur de celle-ci, mes doigts voyageaient à travers ton ventre plat, tes hanches, sous ta poitrine. Avant, de chuchoter, au creux de ton oreille. < Ne fermez pas les yeux. Regardez la vue, juste la vue. Elle est magnifique. Tout comme vous. > Mon nez s'enfouissant entre tes racines, humant discrètement ton parfum qui valsait sous mes narines. Un parfum sucré, mais amère, un léger signe de ta personnalité, sans doute. L'une de mes mains, déjà la limite de ton bas-ventre, venait tout simplement s'imposer sur ton intimité, ma paume contre celle-ci, mes doigts caressant pardessus ce fichu tissu qui m'éloignais du but précis. Je soupirai, de bien-être. Je rejetais un léger gémissant afin de te signaler l'excitation montante.

Mon bassin s'appuyait férocement contre ton fessier, débutant de léger mouvements d'ondulation, tu devais me sentir, tu devais sentir ce que tu me faisais. Je serai la mâchoire assez violemment, ma main sur ton intimité, restait là. Appuyer dessus, je ne vais pas la quitter d'aussitôt. Tandis que mon autre main se levait peu à peu jusqu'à ta poitrine. Je me doute qu'avec ce genre de robe, mettre un soutien-gorge ne devrait guère aller. Tant mieux, pour moi. Un sourire pervers se dessinait sur la totalité de la largeur de mes lippes, bordel. J'encerclais ton sein gauche de ma main, jouant malicieusement avec ton téton pointant. Tirant, pressant dessus. Cris, cris pour moi. Et uniquement pour moi. < Ne me touchez pas, laissez vos mains de la sorte. > Ma voix était dominante, je savais ce que je voulais et je savais ce que je ne voulais pas. Je ne voulais pas qu'on me touche sans autorisation, plusieurs femmes n'ont pu que toucher mon visage, mes mains, mon entrejambe, mais il est hors de question de toucher autre chose. Deux de mes doigts, réussissaient à se faufiler à travers le fin espace de ton bas, regagnant ainsi, la partie supérieure de ton intimité, juste là, où mon index débutait de légers cercles afin d'appuyer ma peau contre ton clitoris.


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MessageSujet: Re: PHIL DANIELS - EMY CONWAY / "Je vous désire terriblement, surtout maintenant " [HOT] PHIL DANIELS - EMY CONWAY / "Je vous désire terriblement, surtout maintenant "  [HOT]  EmptyMar 7 Oct - 11:28

"Je vous désire terriblement, surtout maintenant " [HOT]  





Je savais que rien ni personne ne ferait que nous ferions marche arrière. Tant le mental que le corps était prisonnier dans ce tourbillon de sensations mélangées. L’envie, le désir, l'excitation que pour rien au monde je ne voulais que cela s'arrête. La tension était palpable, l'ambiance pesante ressenti par nos corps à m'écoute de l'un et de l’autre. Se contenir jusqu’ici avait été un challenge. Bien qu'étant encore sur la réserve il ne nous tarda pas à nous rapprocher, nous frôler, nous toucher, nous embrasser. C'était enivrant à tout point de vue ! Javais décidé ce soir plus qu'un autre de me laisser tenter à une aventure sans même savoir qui était ce qui ajouta une touche de piment à cette future nuit, qui sera sans nul doute, mémorable. Ton charisme et ta volonté à partager des moments intenses ne firent qu’accroître ma libido. Je ne pensais aux sentiments, mais simplement au plaisir que j'allais prendre, pour oublier et effacer pour une durée les blessures du passé. Pourquoi aimer une personne si ce n'est pour nous abattre ensuite ? Donner son corps était bine plus dangereux et blessant que de donner son corps. Étant tous deux consentants je ne voyais aucun problème à se libérer en bien des points. Une chose malgré tout, changeait avec toi. D'habitude, je ne perdais pas mon temps à mettre en scène une quelconque « rencontre ». On s'envoyait en l'air, l'homme repartait ensuite l'invitant gentiment à quitter les lieux pour terminer ma nuit seule, dans un grand lit vide, jusqu'à me réveiller au petit maint comme si de rien, reprenant mon quotidien, et revêtant cette image de femme d'affaire impassible que j'étais devenue depuis quelques mois maintenant.
Ce toucher, ces caresses me firent frissonner que s'en était presque chamboulant. Était-ce ta manière de faire à chaque fois avec la gente féminine ? Peu n'importait j’aimais cet instant tout ce qui se rapprochait à ta personne. Ce fut à mon tour de sourire à tes mots, qui me plaisaient je devais l'avouer. Cela signifiait-il que tu dominerais ? Tu avais toutes les cartes en main pour me séduire, pour me faire chavirer et même pour me contrôler. Dominateur ? Cette question me traversa l'esprit sans en connaître la réponse du mois jusqu'à ce que tu me fasse « voir » cette vue. Je me voyais dans un remake de « Shame » sachant pertinemment ce qui m'attendrait. Être soumise ou plutôt l'objet de tes désirs me faisait perdre mes moyens que je ne pus faire autrement que de t’obéir silencieusement.
C'était insoutenable. Ma respiration devenait plus lourde, au tracé de tes doigts sur ma peau frissonnante et à tes lèvres dans mon cou. Je fermais un bref instant les yeux pour en apprécier toute la saveur avant que ut ne me rappelle à l'ordre. Libérée de ma tenue je me retrouvais désarmée, face à toi, l'étranger d'un soir ce qui étira de nouveau les lèvres. Je te contemplais dans le reflet de la vitre. Que tu était séduisant, sensuel et doué pour faire monter le désir. Mon corps semblait déjà  t'appartenir sans même que tu ne t'en rende compte. A peine avais-tu poser les yeux sur moi que j'en avais été troublé. Purement sexuel ? Physiquement, tu n’étais pas « basique » tu avais ce petit quelque chose dans le regard que j’avais déjà vu par le passé. Une part d'ombre, refoulée ou bien cachée. J’avais toujours eu le don de me frotter à ce genre d'homme, indomptable, au caractère fort, intriguant et dominateur parfois même. Tu étais exactement ce qu'il me fallait ce soir. J'oublierais ainsi tous mes problèmes , atteignant le septième ciel, j'en étais certaine. Je fus vite sortie de cette sensation de déjà lorsque ta main vint à l'encontre de mon intimité. C’était une telle attente, je te désirais déjà depuis un moment. J'espère ne pas perdre pied de suite. Je devais faire le vide dans mon esprit, me retenir mais tu avais le don et la manière d’éveiller en moi une multitude de choses. Mon bas-ventre me tiraillait de plus en plus, je devenais déjà humide rien qu'à ce contact qui fut vite accompagné de cette autre main sur mon buste. J ne savais si je devais t'apprécier ou te détester ?! Toi aussi je te sentais en pleine excitation. Tu étais débordant d'envie, ce qui fit grandir encore et encore mon désir. Intérieurement je te suppliais de me prendre, ou bien de te stopper.perdue entre la douleur de ce corps qui me tiraillait à cause de cet appétit sexuel qui grandissait sans cesse ou bien à l'inverse à me donner du répit pour reprendre le contrôle de mon âme et de mon corps qui s'affolait au rythme de des battements de mon cœur. Ma poitrine se soulevait sous ma respiration rapide, ainsi que sous l'effet que tu me produisait. Je me mordais la lèvre inférieure, sachant que je ne devais pas bouger, mais m'exécuter à ta volonté..
Mon corps vint à la rencontre du tien, sentant ta virilité en peine éveil, et c'était peu de le dire. L’objet de mon désir pour cette nuit qui serait fameuse. Je laissais échapper quelques soupirs ne pouvant faire autrement. L’excitation toujours présente et montante. Et cette demande explicite étant presqu'un ordre.oui je te détestais au point de te vouloir en moi maintenant. Pourquoi tant de supplices ? Voila que le premier contact intime me fit m’élever doucement ne pouvant retenir quelques gémissements tout en ondulant le bassin, et me frottant contre le tien ardemment dressé. Je n'avais pas le droit de bouger, du moins de te toucher de mes mains, très bien, je ferais autrement du moins pour l'instant...
« Vous regretterez amèrement ...ce supplice ...que vous m’infligez ... »
je me déconnectais peu à peu du monde réel, plus rien ne comptait, ni les gens en bas à boire ou a danser, de ce lieu qui semblait ne plus appartenir à un espace temps. C'était ailleurs, telle une bulle hermétique qui n’existait que pour cet étranger de passage et moi même. Mes mains 'appuyèrent de plus en pus contre la baie vitrée, au fur et à mesure qu'il me rendait folle. Je tenais à me contrôler, mais c'était impossible qu’après un petit moment j'eus un premier orgasme. Les lèvres à demi-ouvertes je laissais des cris de jouissance s’en échapper toujours en ne fermant pas les yeux.De la buée recouvrait peu à peu la vitre sous la chaleur qui émanait de mon corps en fusion C’était d’autant plus excitant et jouissif...Mais je ne bougeais de ma position il guidait, il ordonnait et je m'exécutais.Ce jeu de dominant-dominé rendait la chose plus attrayante, mais fallait il encore savoir parfois échanger les rôles ?





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MessageSujet: Re: PHIL DANIELS - EMY CONWAY / "Je vous désire terriblement, surtout maintenant " [HOT] PHIL DANIELS - EMY CONWAY / "Je vous désire terriblement, surtout maintenant "  [HOT]  EmptyMer 8 Oct - 20:12


Tu es mienne, durant une nuit.  


R
egretter ? Je ne regrettais jamais rien, que cela soit mes actes les plus stupides, elles faisaient partie de moi et il était hors de question que je me regarde dans le miroir pour regretter chaque geste que j'ai pu faire le long de ma vie, parce que sinon, juste mon reflet irait à me dégoûter. Mes pupilles se posaient sur nos reflets à travers la fenêtre, tu étais sans doute une des plus belles femmes que j'eus entre mes mains, cette sensation intense de te faire du bien jusqu'à la pointe de tes cheveux, me rendait des plus excité. Mes doigts se mouvaient lentement sur ton clitoris, alors que l'autre demeurait à sa place depuis un petit moment, ton sein, ton téton maltraité entre mes doigts pervers et habiles, prenant un certain goût de te voir te tendre de la sorte, tes hurlements traversaient la pièce entière jusqu'à parcourir mon esprit. Je venais de t'offrir un orgasme digne de cela grâce à mes doigts, j'étais satisfait, je savais que j'étais doué, c'était classique. Je n'allais pas dire le contraire n'est-ce pas ? Ma main remontait sur ton ventre où je vins le caresser du bout de mes doigts, ma bouche parcourant la largeur de ton cou jusqu'à remonter progressivement vers ta mâchoire, où je lâchais maintes et maintes baisers. Mon corps contre le tien, cette douceur où l'atmosphère était bercée par la passion et l'envie.

< Je ne regrette jamais rien Mademoiselle. Chaque acte que je fais, est réfléchi. > Ma voix était basse, finement brisé par ma respiration saccadée, mon coeur battait d'une certaine violence ma cage thoracique comme si j'avais l'impression qu'il allait sortir de mon anatomie. Mais c'était dingue, je ne pourrai jamais sortir de ce genre de ressentit, c'était être en transe, perdre la totalité du sens de la vie, c'est se créer une bulle pendant un instant avec la personne et ne voir rien d'autre que ça. Et ne pas vouloir voir autre chose. Ton corps était contre le mien, mes mains s'étaient rejointes au niveau de ton ventre où mon bassin ne cessait ces ondulations érotiques contre ton fessier. Ce n'était que le début d'une soirée, une soirée que j'allais faire éterniser un maximum de temps. < Je reviens. > Je me décollais de ta personne, me tournant sur moi-même pour m'avancer vers le lecteur, je retirai mon Iphon de la poche de mon jean, afin de le brancher à ce dernier. Nous dit-on pas qu'avec une musique cela doublait l'intensité du moment ? Et bien, moi, j'étais plutôt d'accord avec ceux-là. J'oubliais quasiment de mettre un bordel de masque sur mon visage pour ne pas que tu puisses sous-entendre quoique se soit, mais cela en devenait bien trop tentant. Je choisissais une musique plutôt douce, pourquoi ? Puisque les femmes aimaient être soumises à ce genre de mélodie comme si elles étaient bercées sous les notes. Je crois même que j'avais créé une sorte de dossier avec le genre de musique que les femmes, préféraient. Malsain ? Oh non. Intelligent. Dès que la musique commençait à débuter. Je t'observais, mon corps face au tien, pourtant une distance était entre nous, mais je profitais de passer mon regard sur chaque partie de ton anatomie. Tes bras, tes longues jambes, ainsi que ton ventre, tes seins, ton intimité.

Mon sourire était présent et je savais que j'allais t'énerver en restant de la sorte, affamée, tout comme moi, bien entendu. J'ôtais lentement ma chemise que je posais sur le canapé à mes côtés. Avant de m'avancer à nouveau près de ta personne où mes mains, poser sur tes hanches t'invitaient à te tourner et dons te placer comme avant. Poitrine contre la vitre, nos vues vers ce paysage remarquable, dû moins, par ta personne. < Je resterai le dominant, que vous le vouliez ou non. > J'étais clair à ce niveau, aucune femme ne m'avait dominée, jamais et j'avais l'impression de ne pas vouloir ce genre de " truc " Grâce à l'un de mes genoux, je vins t'inciter à t'écarter les jambes, que très légèrement, mais suffisamment pour pouvoir faire les mouvements que je désirai. Ma main droite, venait happer l'une des tiennes, la faisant glisser à l'intérieur de mon jean, ainsi que mon boxer. Où d'un simple effleurement, tu pouvais sentir mon entrejambe dressé par ta guise. Sens-tu à quel point tu peux me faire plaisir ? Je t'incitais à mouver ta main d'en haut en bas, de façon à me faire légèrement gémir en inclinant mon visage en avant, comme pour étouffer mon plaisir au creux de ta nuque. Mais je dis, entre quelques gémissements. < Je ne désir pas... Jouir... De la sorte.. > Je voulais juste... Encore un peu, après tout, je venais de t'accorder un plaisir solitaire, alors je pense avoir le droit d'en recevoir un, même si cela n'allait pas être jusqu'au bout. Il me hâte d'être en toi, mélanger nos gémissements et t'offrir ainsi, comme prévu, une soirée mémorable.

Mon corps était aussitôt soumis par les tes gestes, ma verge tendue par ta fine main féminine, me laissant fermer les paupières tout en me concentrant par ce unique plaisir. Mais soudainement j'happais ton poignet te retirant, le coeur battant, l'envie circulant dans mes veines à une vitesse de dingue, je te plaquais contre la vitre en abaissant mon jean, mon boxer. Bordel, c'était insoutenable, je devais être en toi, je devais assouvir nos propres désirs, je devais te faire mienne, même pour une nuit. J'enveloppais la base de ma verge d'une main, inclinant mes genoux afin de me permettre une visibilité précise. Mon gland glissant le long de ton fessier jusqu'à trouver l'entrée de ton intimité. Dès lors, ce n'était plus qu'une question de seconde, d'une ondulation, je vins te pénétrer juste le bout de ma verge, écartant machinalement tes parois intimes, en crachant un cri de plaisir si intense que ma main venait à se placer sur l'une de tes fesses, plantant mes doigts dans ta chair en te laissant une certaine marque.




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MessageSujet: Re: PHIL DANIELS - EMY CONWAY / "Je vous désire terriblement, surtout maintenant " [HOT] PHIL DANIELS - EMY CONWAY / "Je vous désire terriblement, surtout maintenant "  [HOT]  EmptyJeu 9 Oct - 19:11

"Je vous désire terriblement, surtout maintenant " [HOT]  


Bien sûr qu'il allait regretter de vouloir tout contrôler car je n’étais pas du genre à subir sans rien donner en retour ; Fifty-fifty non ? Je me réservais pour après. Oui, il y aurait un après et non des moindres. Il me faisait subir de telles souffrances débordantes à me faire venir de la sorte mais surtout de façon très inattendues mais appréciables que j'aurais ma revanche. Son reflet, son souffle, sa respiration, l'envie que je pouvais déceler chez lui surtout si je me cambrais peu à peu contre son bassin. Que c'était excitant et enivrant que je me faisais violence pour ne pas t'attraper et me jeter sur toi. Mais comme chacun sait, les hommes aiment le pouvoir, tout diriger, se montrer virils et en pleine possession de leurs moyens. Il entamait donc la partie pour l'instant, oui pour l'instant...Cette sensation d’être désirée à un tel point, et d’être l'objet sexuel d'un homme était des plus jouissif. Il ne fallait pas avoir honte de ressentir un tel sentiment. Et puis prendre du plaisir n'a jamais tué quelqu’un si ? Je me délectais de chacune de tes caresses perverses ou non que j'atteignis une première phase, m'offrant ainsi un orgasme mémorable.
Essoufflée , ressentant une chaleur qui était propre à ce genre d'activité que j’avais l'esprit embrouillé, en parallèle avec ce corps, le mien qui criait intérieurement de se faire prendre.
Il avait de la suite dans les idées. C'était un homme complet au point de savoir à l'avance le sort qu'il me réserverait. A coup sur je serais H.S le  lendemain. Mais peu importait, tout ce qui comptait était cet instant présent ou tous les sens s’entremêlaient. il me torturait et savait comment me rendre totalement accro à la situation, à ce petit jeu et à lui par la même occasion ? Ce n'était que du sexe, une rencontre d'un soir, ni plus, ni moins, aucune question ne devait entrer en ligne de mire.ni maintenant, ni jamais. Un chapitre s'écrivait, un seul.
Enfin j'eus un peu de répit reprenant mon souffle la tête posée à même la vitre, ou mon souffle chaud embuait encore la fenêtre. Puis j'eus cet instant de l'observer, à savoir ce qu'il allait parti faire. Il mettait la chêne en route. Espérons que ce ne soit pas trop rock’n’roll .Et la nos regards se croisent à nouveau, une flamme brille dans les prunelles de tes yeux. Devais-je avoir peur ? Ou bien me régaler par avance du sort que tu me réservais ? Mon cœur repris une course folle, les battements s'acharnaient en ma poitrine qui se soulevait. Les lèvres à demi-ouvertes, laissaient filer un courant d'air tiède et asséché.
Je te suppliais presque du regard de ne pas me faire subir une trop longue attente, réelle souffrance pour mon corps qui te réclamait intensément. J'aurais du me sentir flattée que tu m'admires de la sorte, je me sentais en cet instant si fragile et tienne à la fois. Un frisson me parcourus le corps. Comment arrivais-tu à me faire un tel effet ? C'était presque frustrant. Je ne cherchais nullement à me cacher dans ma tenue d'Eve.
Tu es insupportable, tu joues avec mes nerfs mon corps que cela ne fait qu'amplifier mon désir ardent pour toi. Je te maudis, je te haïrais presque. Je te regarde, te dévoilant peu à peu, un corps sculpté, plaisant, attirant , j’étais comme fasciner par tout ça. Le déroulement d'une simple nuit tournait au film érotique le plus éprouvant qu'il soit et j’avais cette sensation d'en être l'actrice phare. Te revoilà, présent à mes côtés, face à moi, sur moi, je fermais un instant les yeux , tu avais le don de me déconcertait, rare car personne jusqu’ici n’avait réussi un tel exploit. Silencieusement je me soumis une nouvelle fois à ta volonté. J'en étais excitée. Les papillonnements en mon ventre revinrent en force, j'étais humide et prête à te recevoir a moins que tu n’aie décidé de me faire languir encore pendant un temps. Encerclée entre le chaleur de ton corps musclé et la froideur de la vitre rigide, j'avais cette sensation de suffoquer. Comme si j’allais perdre mon souffle sous tous ces châtiments que tu fais subir.
Fermant les yeux, écoutant ses mots si autoritaires et délicieux à mon oreilles, qu'un sourire se dessina sur mes fines lèvres. Je me laissais guider, mon corps réagissant au tien. Sous ta volonté ma main alla a la rencontre de ton intimité dressé. Savoir que l'on faisait de l'effet était agréable que je ne m’étais pas faite prié pour te donner à mon tour ce même plaisir ressenti auparavant de ta part. Ton souffle s’accélérait à fur et à mesure que mes caresses se faisaient plus intenses, sur toute la longueur de ton membre. Les lèvres s’étirèrent davantage à tes paroles saccadées. De façon plus ou moins rapide au rythme de cette douce mélodie enivrante. C'est moi en cet instant qui menait la danse et toi qu en appréciait tout le sens. Je te sentais te raidir davantage, tes hanches se mouvoir légèrement jusqu'à se contracter. Mais tu mis vite fin à ma cadence, à mon geste pour reprendre la partie à ton avantage. Tout s'accéléra de manière que tu étais au bord de mon antre pour ensuite me posséder. Je ne pus retenir également  un gémissement de plénitude. J'aurais dû me sentir délivrée de toute cette tension mais  ce fut l'inverse qui se produisit. Dans un élan j'appuyais sur la parois vitrée comme pour me décaler d'elle.je vins à pousser mon bassin contre le tien pour mieux te sentir en moi. Je n 'étais pas soumise, je n'étais pas spectatrice voulais participer et te faire subir également ce châtiment. Cette douleur qui m’envahissait le bas ventre te réclamant en voulait plus, toujours plus que j'entrepris un jeu du bassin. Peu importe que cela te plaise ou non ? Ce genre de choses se font à deux, et je voulais t’entendre à mon tour apprécier toute cette jouissance. J'accélérais mes déhanchements de façon à te faire céder. Je te voulais, je t'aurais et la passion l'emportant je pense que comme tout homme tu te laisseras aller dans ton excitation d'aller au bout de l’extase. Atteindre le summum ! Comment allais-tu t'en sortir ? Céderais-tu à l'envie refoulée depuis bien trop longtemps à mon goût ou bien arriverais-tu à tes fins de la manière dont tu le souhaiterais ? J’étais curieuse de voir de quoi tu étais capable. Avais-tu été simplement manipulateur et faux ou bien étais-tu réellement un dominateur expérimenté au point de mettre fin à cet acte pour attiser davantage  l'envie de me faire languir de nouveau, telle une réelle punition ? Je gémissais sous mes a coups , les yeux fermés comme pour mieux ressentir et apprécier ses va et vient partagés et intenses. ayant ralenti la cadence pour plus de profondeur et de ressentis. Peu importe que tu agrippes à moi, au contraire cela pimentait ce que vous étions en train de vivre. Entre douleurs et extase la limite était mince non ?
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MessageSujet: Re: PHIL DANIELS - EMY CONWAY / "Je vous désire terriblement, surtout maintenant " [HOT] PHIL DANIELS - EMY CONWAY / "Je vous désire terriblement, surtout maintenant "  [HOT]  EmptyVen 10 Oct - 2:05


Je ne connais même pas ton prénom.


Il
ne faut pas croire que j'allais te laisser faire, quelle que soit la situation, c'était moi qui commandais et c'était moi qui dictais les actes de l'autre, en dehors cela m'importais peu, mais lorsque la personne partageait un moment intime avec moi, c'était hors de question que je me laisse dominer. Je te sentis soudainement débuter des mouvements en arrière afin de te pénétrer de toute la longueur de ma verge, me faisant lâcher une injure que je masquais à l'intérieur de ta nuque, bordel. C'était horriblement bon, mais mes idées, elles ne changeaient pas. Mes phalanges venaient s'abattre sur tes hanches, t'arrêtant aussitôt, bloquant tes mouvements, tout en stoppant mes propres ondulations. On ne joue pas avec moi, on perd vite la partie, surtout dans ce genre d'instant. < Ne bougez pas. > Je murmurais cela dans le creux de ton oreille, j'étais plutôt doux, je voulais vraiment que tu ne bouges pas, dû moins sans mon autorisation, je sais. Je l'avais vu que tu étais le genre de nana qui n'aimait pas être dominé, mais est-que, tu te plains ?! Je veux dire, bon sang, tu prends ton pied non ? Considère cela comme un marché équitable, surtout que moi. Je prenais autant de plaisir, tu ne pourrais même pas imaginer. C'était juste le comble, quoi de mieux ? Certes, j'avais vu des paysages mieux, mais là, c'était de la baise avec une femme des plus belles, et surtout avec cette vue qui était pas mal non plus, un bon mélange non ? Je mordais violemment mes lippes l'une contre l'autre, mes deux mains revenant sur ton ventre puis pardessus tes seins en t'incitant à redresser ton corps, accolant ton dos à mon torse, ton visage s'appuyant sur l'une de mes épaules. Entre nous, c'était une de mes positions préférées. J'avais la totale maîtrise de ton être, de mes coups, d'absolument de tout, et c'était loin de me déplaire, et à l'entente de tes gémissements, je ne pense pas que cela te dérange autant. < Ciel... > Je fermais les yeux quelques fractions de seconde en me laissant envelopper par la sensation de plaisir, remplir une femme, se sentir à l'étroit en elle, était l'endroit qui à mon goût... Était parfait. L'une de mes mains remontait progressivement sur ton épaule, m'y tenant et là. Dès ce geste, mes genoux se pliaient, mon bassin se bloquait, mes muscles se crispaient. J'entamais des va-et-vient rapides et féroces au point de faire claquer mes bourses contre ton fessier. Les bruits mélangés par la mélodie de la musique, tout cela était érotique.

Je gémissais, je gémissais horriblement que la moitié de l'hôtel pouvait m'entendre que je n'en avais rien à faire, clairement. Au moins, ils pourraient entendre un vrai plaisir. J'accentuais petit à petit mes coups de reins, au point que dès lors, les minutes passaient plus ton fessier virait dans une certaine couleur chaude, mes coups étaient violents, je maltraitais complètement l'intérieur de ton intimité, j'étais régulier, mes pénétrations étaient rythmées à la cadence de mon coeur qui percutait à mille km ma cage thoracique. Tu me faisais un bien fou, est-que, tu t'en rendais compte ? Et surtout, putain, je ne connaissais même pas ton prénom. Je ne savais non plus pas si on allait se revoir et je ne voulais surtout pas entendre que tu avais d'autres gars, c'était un truc qui me trottait dans la tête, tu avais tes droits, tu n'étais qu'une inconnue qui prenait un pied de dingue entre mes phalanges. Je nous fis reculer petit à petit, j'voulais plus, je voulais encore plus de positions. J'étais essouffler, ma verge me faisait horriblement mal à être autant tendue, je nous fis être à côté du canapé, où a contre coeur je vins me retirer de ta personne, lâchant un soupir de frustration, bordel, je détestais faire cela. Mes mains happaient tes poignets t'obligeant à me faire face, yeux dans les yeux, j'admirai les fins traits de ton visage que je n'eu le temps de bien voir. Avant de te pousser sur le divan, sur la longueur bien entendu, je vins me positionner à genoux entre tes cuisses, l'une de mes mains empoignant la base de ma verge afin de me placer à la perfection entre tes proies intimes. Et je me poussais entièrement en toi, accolant mon corps contre le tien, mes coudes de chaque côté de ton visage, mes doigts s'emmêlant dans tes longs cheveux foncés. < Enlacez ma taille de vos jambes. > C'était pas franchement une question, c'était ce que tu devais faire. Ma bouche venait s'appliquer à maintes reprises sur la longueur de ta mâchoire, déviant de temps en autre sur ta fine bouche féminine. Me laissant aller dans un délire sexuel. Sans savoir qui se trouvait sous moi, pour une énième fois.

Mon bassin se mouvait toujours dans le même rythme que précédemment, mes muscles contractés, je me laissais envelopper du plaisir de cette soirée. Je m'en foutais de la soirée en bas, moi, là. Je prenais un pied d'enfers. J'imposais mon visage au tien, ma bouche légèrement ouverte, laissant m'exprimer par des gémissements incompréhensibles, y avait des injures, de simples bruits, tout étaient mélanger dans ma bouche, tout comme dans mon bas-ventre qui réclamait une délivrance. Putain, je n'ai pas de mis de préservatif, je fronçais les sourcils en plissant des yeux, soit je viens en toi, sois... Je viens sur toi, dans tous les deux cas, je n'allais pas rester sur ma faim, puis tu devais sans doute prendre la pilule. J'appuyais mon bassin contre le tien, pour que mes mains viennent prendre les tiennes, en les plaquant au-dessus de nos visages, nos doigts emmêlés, je voulais que tu sentes, que je prenais un pied pas possible. < comme ça... Oui.. Encore.. > Je fermais les yeux, serrant la mâchoire par les ressentis qui travaillaient mon être, des brûlures au niveau de mon bas-ventre, mon esprit était ailleurs, prisonnier par un échange de dingue.




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