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Te raconte pas d’histoire t’as le cœur entre les cuisses.

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MessageSujet: Te raconte pas d’histoire t’as le cœur entre les cuisses. Te raconte pas d’histoire t’as le cœur entre les cuisses. EmptyVen 1 Aoû - 12:35

« Te raconte pas d'histoire t'as le coeur entre les cuisses »
Anastasia & Lucas



Enfin arrivée au Camp Rivendell ! Après un début juillet riche en rebondissement j'étais contente d'être ici. Je voulais cette pause dans ma vie prendre soin des autres et ne plus penser à moi. J'avais ce besoin incessant d'aider les autres à défaut de m'aider. Partir au camp était aussi bénéfique pour mon amitié avec Adrian, j'avais peur de le perdre et s'il fallait que je sois loin de lui pour mieux le retrouver alors d'accord. Mais trop de choses étaient dans ma tête, la mort de ma famille adoptive par exemple. Quelques semaines à peine, mais je n'avais pas le choix d'avancer. Dans la vie on est pas que sur pilotage automatique, il faut savoir sortir et prendre sa vie en main. Il était tôt le matin quand j'arrivais au camp. Je ne savais pas quel rôle j'allais avoir au sein de la colonie des "mauvais gamins". Animatrice et infirmière. J'étais contente, car personne en pouvait mieux gérer des enfants difficile qu'une enfant difficile. J'étais tellement un diable à l'orphelinat que je savais comment leur parler, comment agir avec eux. Ils ne m'énerveraient pas je voulais les aider. Dès que j'arrive un jeune homme de treize ans je dirais arrive l'arcade complètement en sang me demandant si je travaillais ici. Je haussais un sourcil. Déjà ? Alors c'est partit. Dans un sourire je lui explique que je suis animatrice et infirmière. Il me montrait de plus près son ouverture. Je me pinçais les lèvres, sou ouverture n'était pas belle du tout. Je lui disais de m'attendre là contre le mur le temps d'aller trouver de quoi le soigner. Ne sachant pas s'il y avait une infirmerie ou non. Je prenais mes sacs et je me dépêchais de trouver un endroit où je pouvais chercher de quoi le soigner. Je regardais le plan du camp et je voyais au fond d'un couloir une inscription pour l'infirmerie. Je me dépêchais et j'arrivais à l'infirmerie toute chaude face à ma course. J'ouvrais doucement la poignée de la porte je regardais à l'intérieur personne aux environs. J'entre sans faire attention à la porte. En allumant la lumière, je vois des lits, et tout ce qu'il faut pour soigner les enfants. Je souris et me dirige vers le désinfectant et les compresses. Je laisse mes affaires ici ne pouvant pas me déplacer aussi vite que je le voulais avec mes affaires. Une fois que j'avais finit de prendre ce dont j'avais besoin, je m'apprêtais à sortir. Mais comme on dit il ne passe pas une journée sans galère. Et là pas de poignée du moins elle ne marchait pas. Je forçais comme une malade pour sortir mais impossible. Je grognais, bref un vraie teigne. Mais rien n'y faisais, j'avais faim en plus je n'avais pas eu le temps de prendre mon petit déjeuner. Je ne hurlais même pas qui viendrait ici ça n'avait pas l'air d'être d'utilisation depuis des lustres. Je poses mes fesses sur le lit en écoutant de la musique à fond sur mon Iphone. Attendant que quelqu'un arrive. Alors que les minutes passent mes yeux se ferment pour mieux savourer cette musique enivrante. Mais la suivante ne me plait pas alors que j'ouvre mes yeux je vois un homme de mon âge arrivait. Au moment où j'allais lui dire de tenir la porte pour qu'on sorte elle lui glissa entre les doigts. Je me lève, énervée. Bon ce n'était pas de sa faute mais même maintenant on allait être coincé, et je n'aimais pas les hommes du moins leur compagnie. Je levais  les yeux aux ciels en me levant et en lui crachant ses paroles :

Bravo à cause de toi on est coincés ! Tu ne pouvais pas faire attention à la porte non ?

Bravo Ana, c'est bien de mettre la faute sur les autres. En me levant je remarquais que le jeune homme avait le genou couvert de sang. Au moins il était venu pour une bonne raison je m'approche doucement mais pas trop près de lui. Il était aussi amoché que le môme précédant. Je laissais mes yeux se posait contre son regard un instant avant de lui demander en montrant son genou en sang :

T'as essayé de te taper la copine de ton meilleur ami et il t'as tabassé avoue !

Je lui souriais. Oh bah non je ne savais rien de sa vie mais quitte à être coincé autant rire un peu et ne pas se taper dessus. Je reposes mes fesses sur le lit tout en le scrutant. C'était un charmant jeune homme, je m'imaginais bien combien de femmes il avait eu dans sa vie. Mais tout ça m'était égale le sang coulait et le jeune homme n'avait pas l'air très en forme non plus. Je lui soufflais.

Je suis animatrice et infirmière cet été, alors allonges toi si tu veux car je ne vais pas me mettre à genoux pour te soigner. Je me mets à genoux que pour prier.

Non je ne priais pas mais je trouvais que cette remarque pouvait au moins lui décrocher un mot. Avec les enfants difficiles il n'y avait pas de problèmes mais avec les gens ce n'était pas du tout facile j'étais froide ne laissant aucun sentiments prendre le dessus et ne racontant pas ma vie à qui bon me semble. Je me levais alors pour lui laisser la place en me mettant contre le mur tout en l'analysant légèrement.

Et ne crie pas ça sert à rien, personne nous ouvrira faut juste espéré qu'une âme en détresse vienne nous ouvrir. Puis j'ai mal au crâne alors on fait ça en silence

Le sourire toujours sur les lèvres. Je n'étais pas méchante et la taquinerie était mon domaine. J'aimais ça, j'aimais pousser les gens à me détester pour ne pas m'attacher. Stupide attitude mais la mienne.
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Kevin F. Tatcher
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MessageSujet: Re: Te raconte pas d’histoire t’as le cœur entre les cuisses. Te raconte pas d’histoire t’as le cœur entre les cuisses. EmptyJeu 21 Aoû - 20:50

“And if you're in love, then you are the lucky one,
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musique Ça faisait à peine quelques jours que j’étais ici, au camp. Et je m’étais déjà bien rapproché de quelques jeunes. J’avais gagné leur confiance, tout en sachant me faire respecter. C’est ça d’être un bon animateur. Pas trop sévère, mais pas trop gentil non plus. Les garçons m’appréciaient beaucoup pour mon côté sportif, mais aussi ma conversation. Quant aux filles, apparemment elles aiment beaucoup être à mes côtés, juste pour être à côté d’un joli garçon. Que je les regarde, et que je leur adresse un petit sourire. Autant les femmes ça ne me dérange pas, autant les adolescentes c’est un peu gênant. Oui, c’est plaisant de se faire regarder par toutes sortes de femmes, mais ça reste gênant tout de même, à cause de l’âge forcément. Depuis mon arrivée, je n’avais proposé que des activités sportives. La directrice m’avait en quelque sorte donnée ce rôle, étant donné que c’est là où j’excelle le plus. Les jeunes avaient un petit temps de libre, je leur avais donc proposé de faire un petit basket à l’extérieur. Ils furent tous heureux. Comme quoi, une petite activité avec un petit ballon peut rendre heureux une bonne vingtaine d’enfants. Évidemment, j’avais besoin d’un autre animateur avec moi. Je ne pouvais pas être seul avec tous ces jeunes.

Après des bonnes minutes de jeu, un jeune se fit mal. Je ne sais pas trop comment le tout s’était passé, mais il se retrouvait avec une arcade sourcilière ouverte. Et avant même que je puisse l’accompagner quelque part, je l’avais perdu de vue. Tant pis, il devait bien avoir trouvé un autre animateur. De plus, les autres enfants m’appelaient pour continuer le match. J’arrêtais de me faire attendre, et je revins sur le terrain. Pour me faire mal moi-même au genou. Un jeune, assez costaud, m’avait foncé dedans, me faisant tomber par terre. J’avais donc glissé sur quelques mètres sur le sol. En me relevant, je vis du sang partout sur ma jambe. Ne voulant pas faire paniquer les jeunes, je me retournais tout de suite, appelant mon collègue et lui laisser les jeunes. Je comptais bien revenir dans 5 minutes. Ma blessure ne pouvait pas être grand-chose. Je devais m’être fait une petite égratignure, rien de plus. La quantité de sang ne veut rien dire. Je tentais tout de même de ne pas trop regarder mon genou, car la vue du sang, je n’en raffole pas. Alors que je comptais aller aux toilettes pour passer tout simplement de l’eau sur mon genou, je me souvins que la directrice nous avait dit qu’une nouvelle infirmière allait arriver aujourd’hui. Je regardais l’heure : elle devait déjà être là. Je suivis les flèches qui menaient à l’infirmerie. J’y entrais, et avant même que j’ai pu dire quoique ce soit, je me fis engueuler dessus. Oh oh, il se passe quoi ? C’est qui elle ? Pourquoi elle me gueule dessus ? J’ai rien fais ! Aaaaah la porte. Je me retournais, et comme un gros bourrin, je tentais de l’ouvrir. Je suis un homme, et la force m’aidera à l’ouvrir. La vraie mentalité du mec par excellence. Voyant qu’il n’y avait rien à faire, je soupirais, et m’avançais vers un des lits pour m’y asseoir. Je regardais la jeune femme. « Puis déjà tu n’es pas infirmière, mais assistante sanitaire ! Sauf si infirmière est ton métier de tous les jours, que tu as un diplôme et tout ! » Eh bah quoi ? Elle n’avait pas été très gentille avec moi, je ne voulais pas spécialement l’être aussi à mon tour. Je ne saisis même pas les petits sous-entendus qu’elle lançait en parlant. Il faut dire qu’elle ne me plaisait pas trop, avec sa méchanceté, mais aussi que ma blessure commençait réellement à me faire mal. Ça ne devait pas être une simple petite égratignure, et mince alors ! « Évidemment, tu n’as pas ton portable c’est ça ? Tes quelle genre de meuf toi ? » On aurait pu appeler de l’aide, voire carrément les urgences. Je ne souhaitais pas être mal soigné par cette fille, et devoir être amputé de la jambe par la suite.




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MessageSujet: Re: Te raconte pas d’histoire t’as le cœur entre les cuisses. Te raconte pas d’histoire t’as le cœur entre les cuisses. EmptyJeu 21 Aoû - 23:31

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C'était quoi un mec au fond ? Un corps remplit de testostérone pour montrer qu'on descend vraiment bien des singes. Sûrement car en voyant la prestation du jeune homme en face de moi face à la porte bloquée. Je laissais malgré moi un petit rire s'échappait, après tout il était drôle dans sa manière d'être. Puis j'avais moi aussi le droit de rire un peu je n'étais pas bonne qu'à pleurer. Nous étions assis l'un en face de l'autre à croire deux enfants de maternels qui se lançait des regards noirs. A croire qu'il en fallait peu pour énerver les gens de nos jours je lui avait fait quoi deux trois remarques et il se prenait la tête. Je soupirais en même temps que lui tout en croisant mes jambes sans vraiment l'écouter. Je levais aux ciels quand il parlait mais quel con celui-là tous les mêmes. Je n'avais pas envie de justifié mes aptitudes depuis mes huits ans j'avais aidé les infirmières dans l'orphelinat, recousue des gosses j'avais eu mon brevet de secourisme certes ce n'était pas le diplôme d'infirmière mais je pouvais recoudre quelqu'un sans problèmes et sans lui faire de mal par la même occasion. Je le fixais un peu en penchant légèrement ma tête, il semblait plutôt bien foutu et il était le stéréotype du parfait playboy je le lâchais enfin du regard avant de lui sortir tout aussi blessante :

Bon la barbie tu vas te calmer, joues avec les mots si tu veux ce n'est pas moi qui puisse du sang !

Je le regardais gémir, il saignait de plus en plus fallait que je fasse quelque chose sinon il allait vraiment perdre beaucoup de sang. Je me levais sans répondre à ses attaques et je m'avançais vers son genou en me pinçant les lèvres légèrement. J'essayais de voir où il avait été coupé mais c'était difficile sans toucher. Le jeune homme n'avait pas l'air de vouloir de mon aide mais pourtant il n'allait pas avoir le choix. Je me reculais de lui de peur d'avoir franchit une limite qui aurait causé encore une colère enfantine avant de me relever debout face à lui à quelques centimètres de son visage avec un regard un peu trop agressif :


Tu crois vraiment que si j'avais eu de la batterie je serrais là à t'écouter te lamenter.


Je raclais ma gorge, j'avais peut-être était méchante dès son arrivée mais ce n'était pas la peine de me prendre pour une idiote. Je me mordais la lèvre pour contenir ma colère ces mots me rendaient nerveuse, je ne supportais pas l'arrogance alors que j'étais moi même arrogante. J'appuyais sur son genou en sang, j'entendis un petit cri de douleur ou de surprise je ne savais pas trop :

Je suis le genre de meuf qui peut te soigner sans te faire mal, car là juste une pression tu as mal imagine dans quelques minutes si on ne sort pas de là? Ta jambe serra engourdit, le sang va s'infecter et oui là effectivement tu vas devoir trouver quelqu'un de plus compétent que moi pour te soigner.

Nos regards azurs se croisaient dans un ballet de diables, celui qui allait peut-être prouver qu'il en avait plus dans le ventre que l'autre. Je ravalais ma salive en laissant une main sur sa cuisse valide comme pour le rassurer. Comme je faisais aux enfants, quand je devais les recoudre à vif :

Barbie, laisses toi faire. Je ne te ferais pas mal.

Ma voix s'était adoucie, car après tout je devais garder mon self control, et que je n'avais pas l'habitude de soigner des hommes de mon âge j'étais plus habituée aux enfants, alors le contact avec le jeune homme me gênait, mais ça je n'allais pas l'avouer.

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Kevin F. Tatcher
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MessageSujet: Re: Te raconte pas d’histoire t’as le cœur entre les cuisses. Te raconte pas d’histoire t’as le cœur entre les cuisses. EmptyJeu 25 Sep - 18:51

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musique La jeune fille osait m’appeler « Barbie », mais de quoi elle se permet, elle ? Si je suis bien quelqu’un dans le couple de poupée, je suis bien Ken, mais loin d’être la Barbie. Quant à elle, elle est loin de l’être. Ça serait plutôt Cendrillon. Oui, ici, dans ce camp, je la voyais plutôt bien comme la femme de ménage, la femme à tout faire. Avec ses cheveux noirs bouclés, et cette bouille. Et je ne suis même pas désolé de penser une telle chose, mais je n’aime pas quand on me provoque de la sorte. C’est elle qui avait commencé. De vrais gamins. « Ça va, je vais te laisser faire. Après tout Cendrillon sait tout faire … ! » Euh… Je ne pense pas que ce soit la meilleure des choses à dire juste avant que quelqu’un nous recouse. Surtout lorsque je veux que ce soit bien fait. Elle peut très facilement faire en sorte que ma blessure soit mal recousue, et que ça s’infecte, etc. Ce que je peux être bête des fois. Seulement, je n’allais surtout pas m’excuser. Trop d’orgueil en moi pour faire une telle chose. Et puis pourquoi m’excuser auprès d’une fille comme elle ? Elle est vraiment agaçante. Et oui, elle est bête ! Qui de nos jours n’a plus de batteries sur son portable en pleine journée ? Elle ne sait donc pas qu’il faut les charger la nuit ? C’est ce que je disais, elle est idiote. « Décidément je suis coincée avec une idiote. » C’était sorti tout seul. Vraiment. J’avais pensé à voix haute. Mais elle faisait tout pour me pousser à bout aussi. A croire qu’elle s’était fixé un but en se levant ce soir. Faire chier le premier venu. Et à ce moment-même elle me fit mal, en appuyant sur ma blessure. Ce qui me fit pousser un petit cri de douleur, mais surtout de surprise. Je ne voulais pas qu’elle me prenne pour un sensible. Se faire appeler Barbie c’est déjà assez suffisant comme ça. Je n’en veux pas plus venant d’elle. Elle tenta de m’expliquer la situation. Et pour le coup elle réussit à capter mon attention. Je la regardais dans les yeux, et ce n’est qu’à ce moment-là que je m’aperçus qu’elle avait un tout aussi beau regard que moi. J’avais presque l’impression de voir le reflet de mon regard. A sa façon de m’expliquer la situation je voyais bien qu’elle savait ce qu’elle faisait, qu’elle s’y connaissait. Ce qui est bien pour les enfants. Seulement je n’en suis pas un moi. Je prenais tout de même le temps de réfléchir. La laisser faire, ou non. « Je te laisse faire si tu arrêtes de m’appeler comme ça ! » Ce qui est un bon compromis non ? Je sentis alors sa main sur ma cuisse, ce qui me fit sentir une sensation assez bizarre. Un frisson parcourra tout mon corps. Sans savoir vraiment pourquoi. Je ne me sentais pas totalement à l’aise avec sa main sur ma cuisse. Laisse un espace entre nous quand même hein ! Je ne te connais pas, et je ne laisse généralement pas les inconnus me toucher comme ça.




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MessageSujet: Re: Te raconte pas d’histoire t’as le cœur entre les cuisses. Te raconte pas d’histoire t’as le cœur entre les cuisses. EmptyJeu 16 Oct - 16:26

« Te raconte pas d'histoire t'as le coeur entre les cuisses »
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Parfois le feeling avec une personne passe bien, et parfois c'est tout le contraire, on n'arrive pas à faire semblant, on n'arrive pas à se ranger derrières des faux sourires alors qu'on à toutes les mauvaises attentions. Je ne dirais pas qu'avec le jeune homme tout allait mal se passait mais je savais qu'il nous faudrait vraiment quelque chose pour arrêter ce jeu d'enfants. Je devais être un peu suicidaire de me frotter comme ça aux inconnus que je côtoyais. Un jour quelqu'un va me remettre salement en place et je ne pourrais plus rien dire, plus rien faire.  J'étais en face du jeune homme entrain de le regarder tout en le provoquant comme une gamine. Quand il m'appelait Cendrillon je ne pouvais pas détrôner le sourire sur mon visage. J'aimais bien trouver quelqu'un qui ne se prenait pas la tête  et qui pouvait s'amuser avec vous. Après tout nous étions coincés ici, autant bien occuper notre temps, au lieu de se murer dans un silence sans nom. J'arquais alors un de mes sourcil faisant une mine offusquée «  Je te demanderai à mes petites souris de te recoudre, je pense que c'est carrément mieux... » Mon ton ironique lui prouvait que mon sens de l'humour était déplorable mais bon valait mieux ça que quelqu'un qui boude dans son coin avec une mine renfrognée . Il me demandait pourquoi je n'appelais personne, je lui avouais que je n'avais pas de batterie. Il se fout de ma gueule, il à qu'a appeler aussi.  « Pff, tu n'as trouvé que ça comme insulte, tu as deux ans d'âge mental ou quoi ? ». Pff finalement il m'agaçait un peu trop pour que je ne dise rien face à cet assaut. Pour lui redonner la monnaie de sa pièce j'appuyais sur sa plaie ouverte pour lui expliquer que si je ne faisais rien oui il devrait sûrement consulter un médecin. Du coup je me rapprochais de lui plantant mon regard dans le sien, afin de le captiver pour qu'il écoute bien ce que j'avais à lui dire, pour le rassurer. J'imaginais bien quelqu'un qui débarque que vous ne connaissez pas vous dit qu'il va vous recoudre comme ça, ouais ça fait peur. Mais bon je n'allais vraiment rien lui faire de mal, et j'allais y aller doucement. Quand il me disait qu'il me laissait faire, un mince sourire s'étirait sur mes lèvres «  D'accord. ». Pas un mot de plus, ni un de moins. Ne me demandait pas pourquoi j'avais mis ma main sur sa cuisse, l'habitude je pense avec les enfants. Instinctivement, mes joues devenaient rouge et je retirais ma main comme si je venais de me brûler « Ex..Excuses moi, j'ai l'habitude de faire ça avec les enfants pour le rassuré.. ». Je mettais un espace assez important du coup entre nous me sentant vraiment mal sur le coup, je n'étais pas de nature tactile à part avec les petits, car ça demandait de l'attention, et de l'affection. Je levais mes yeux aux ciels tant je m'exaspérais moi-même de mon comportement. Je raclais ma gorge pour adoucir ma voix avant de lui dire «  Allonges-toi, le temps que je cherche ce dont j'ai besoin d'accord ? ». Je retournais mes talons cherchant de l'alcool, du fil, des panses, une aiguille afin de pouvoir faire ce que j'ai à faire, du désinfectant, enfin tout ce qu'il faut, et un torchon. Une fois de nouveau face à lui alors qu'il était allongé je me mettais bien face à lui en lui demandant de façon gentille même pour une fois « Je ne sais pas comment tu t'appelles mais voilà je t'ai pris un torchon au cas où si ça fait mal tu mords dedans, ça te va ? ». Un sourire apparaissait encore entre mes lèvres, avant de lui dire de façon ironique «  Sauf si t'es superman et que tu n'as jamais mal.. ».
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MessageSujet: Re: Te raconte pas d’histoire t’as le cœur entre les cuisses. Te raconte pas d’histoire t’as le cœur entre les cuisses. EmptyJeu 6 Nov - 14:58

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Je ne savais pas du tout pourquoi je l’avais surnommé Cendrillon. C’était sorti comme ça. En plus, elle est loin de ressembler à Cendrillon, qui est blonde elle. Cette jeune fille serait plutôt les demi-sœurs, les deux horreurs là. Bien qu’elles soient vraiment très moches ces deux-là. Alors que la jeune fille en face de moi, était plutôt mignonne dans son genre. Elle avait ce petit quelque chose qui pourrait vous faire craquer. Moi, elle ne me faisait pas craquer. Mais ça serait mentir de dire qu’elle n’est pas jolie. En tous les cas, elle avait de très jolis yeux. Pour m’embêter, elle me dit qu’elle appellerait ses souris pour me recoudre. Je la regardais, et souris. « Non mais t’es pas la vraie Cendrillon, parce qu’elle au moins, elle a réussi à sortir de sa chambre fermée à clef, à l’aide de ses souris ! » Eh oui miss, tu pensais avoir le dernier mot sur moi, concernant les Disney ? Eh bien non ! Je suis très calé sur ces dessins animés, et je veux absolument avoir le dernier mot quand il s’agit de Walt Disney ! Alors chut, ne me réponds rien s’il te plait. Sinon on va se prendre le chou. Quoique… apparemment elle souhaite vraiment qu’on se prenne la tête. Je l’avais insulté d’idiote, exprès pour ne pas vraiment l’insulter. Mais ça ne lui allait pas. Ah ces filles… « Je respecte les filles ma belle ! J’ai fait exprès de ne pas utiliser une vraie insulte. Remercie-moi plutôt que de me chercher des poux… idiote. » Ah cette petite insulte allait rester, je le sens. Décidément je ne comprendrais jamais les filles. Je suis gentil, je fais attention à ne pas être trop méchant avec elle, mais ça ne lui convient pas, et elle trouve toujours de quoi râler. Je crois comprendre : le mot râleuse est synonyme de fille. Oui, ça doit être ça. Et alors qu’elle venait de me râler dessus, je retrouvais sa main sur ma jambe. Je la regardais, surpris. Tu fous quoi là ? Arrête de me toucher va. Mais bien vite, elle s’excusa. Ouais ouais c’est ça. Tu fais bien. Et quelle vieille excuse que tu me sors là. « Tu trouves vraiment que je ressemble à un enfant ? » Pff. Tu crains, pauvre meuf va.

Elle me dit alors de m’allonger, le temps qu’elle aille chercher le reste du matériel. Heureusement qu’on était dans l’infirmerie. Une fois couché, je fermais les yeux. Presque sur le point de m’endormir. Il faut dire que les journées en tant qu’animateur sont très fatigantes. Je ne dirais pas non pour me reposer un peu. Je l’entendis alors me dire qu’elle m’avait ramené un torchon. Au cas où j’avais mal. Je me levais. « Mais t’es sérieuse ou quoi ? T’as cru j’étais un faible ou quoi ? » Ah ça y est, elle m’avait énervé là. Je ne voulais plus qu’elle me touche, et pour le coup, j’allais m’asseoir près de la porte. Comme si m’asseoir là-bas allait faire ramener quelqu’un plus vite. La pointant du doigt, je lui dis « Toi tu me touches plus, tu restes où t’es. Va faire ce que tu veux avec ton torchon… par exemple laver le sol. » Pauvre naze va. Ah décidément, ça n’allait pas être le grand amour entre elle et moi.







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MessageSujet: Re: Te raconte pas d’histoire t’as le cœur entre les cuisses. Te raconte pas d’histoire t’as le cœur entre les cuisses. EmptySam 15 Nov - 23:25

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