Life with you could never be boring + briséis

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Je t'aime parce que tu ne cherches pas
à t'excuser d'être la personne que tu es.

what did you expect ? ; xavier & briséis La Floride et ses bombes. Du moins, c'est ce que Xavier attendait en venant dans cet Etat avec sa meilleure amie. Briséis et Xavier, les deux doubles incompréhensible de l'université de San Francisco. Le jeune homme avait entraîné sa meilleure amie dans le marathon des parcs pour les premières semaines de l'été afin se retrouver et d'enfin être eux seuls, loin de toute cette agitation californienne. Xavier avait été mal durant des semaines, se perdant dans la boisson et la drogue, laissant émerger ses mauvaises habitudes afin de ne plus penser à la peine qui enserrait son cœur meurtrie par une petite italienne sportive et adorable. L'anglais avait pleuré sa peine et son désespoir, entraînant Charlotte dans sa chute. Mais il était remonté, avait enfin trouvé dans l'air dans cette bulle pleine de fumée hallucinogène. Sans être d'une forme épatante, il avait enfin retrouvé son sourire sincère et brillant, celui qui était plein de vie et d'une joie présente même si elle était souvent recouverte d'une tristesse sous-jacente. Le soleil de Floride était bien présent, complet et brillant de chaleur lumineuse et implacable. Xavier avait revêtu un short en lin blanc léger afin de ne pas étouffer sous cette chaleur accablante floridienne, accompagnée d'un débardeur large et coloré. La chambre qu'il partageait avec la blonde sculpturale était assez grande pour supporter leur deux tempérament similaire. Les deux meilleurs amis étaient ensembles, envers et contre tous. Unis comme les deux doigts de la main, ils étaient ensembles, toujours et encore, tellement semblable dans leur manière que cela était étrange. Toujours dans une entente parfaite, le moindre désaccord était suivie d'une discussion houleuse et d'un câlin sincère. Pas de ressentis, de malaises. Ils savaient parfaitement que leur amitié était de celle que l'on raconte dans les histoires, dans les contes de fées et les séries à la télé. Xavier fut fin prêt, ajoutant une touche de gel à ses cheveux pour mettre encore plus la pagaille sur une tête déjà bien remplie de problèmes. Briiiiiiiii, tu te bouges qu'on ait de bonnes places pour Harry Potter !! Il entra dans la salle de bain occupée par la jeune fille depuis prrès d'une heure. Blonde, élancée, magnifique et surtout en petite tenue. Briséis n'était pas vraiment prête à partir. La jeune homme s'arrêta sur le pas de la porte, un peu surpris. Ils étaient proches, c'était sur mais pas à ce point. L'étudiante était belle, cela était un fait avéré et défini par toute l'assemblée estudiantine. Mais la voir dans cette tenue peu couvrante lui avait fait l'effet d'un électrochoc. Xavier aime les blondes, il ne peut pas résister à la candeur douce et agréable de ces jeunes femmes à la chevelure dorée, reflétant avec merveilles les rayons du soleil. Briséis ne faisait pas exception à la règle, car malgré l'amitié forte entre les deux jeunes gens, il ne pouvait pas s'empêcher de la draguer avec légèreté. Il referma la porte lentement, comme pour imprimer l'image d'une Briséis un pu furax mais si jolie. Il s'assit sur le lit, acceptant le fait que pour la première fois depuis que Lysa lui avait clairement dit que ce n'était pas possible, il avait enfin un espoir faible et complètement impossible surement mais un espoir de passer à autre chose. Il savait bien qu'il aimerait la iota toute sa vie probablement. C'était un amour sincère et puissant, un feu ardent dans son coeur vierge de ce sentiment il y a encore quelques mois. Mais l'amour est incontrôlable, presque spontané, agissant de lui même sans préavis. Alors comprendre qu'il pouvait envisager une relation avec quelqu'un d'autre était réconfortant, apaisant. Sa situation n'était pas perdu après tout. Néanmoins, que ce sentiment apparaisse pour Briséis le mettait dans un confort très minime. Ils étaient deux adultes en parfaite connaissance de leur moyen et avec une histoire plus qu'imparfaite. Eux deux, c'était presque impossible tant ils se ressemblaient. Et surtout, la chose la plus importante, Xavier ne voulait pas compromettre son amitié avec la blonde pour un rebond qui pourrait se résulter par un échec cuisant. La peur du rejet était déjà bien présente. Il avait fait l'expérience une fois, pas deux. Au bout de vingt minutes de silence, un exploit pour le jeune anglais, Briséis sortit enfin de la salle de bain. Xavier resta muet mais les gestes parlent plus que les paroles. Il prit la jeune fille dans ses bras et lui fit des chatouilles qui furent récompensés par des rires agréables à entendre. Détendre l'atmosphère, c'était la mission du jeune homme afin de ne pas remuer le couteau dans la plaie. Il avait prit sa décision : il ne tenterait rien avec la jeune fille. Du moins, pas sans parachute et assurances tout risques. Bon, on y va. J'ai besoin de voir les baguettes d'Olivander et de savoir dans quelle maison j'aurais été répartie si la génétique avait été généreuse avec moi. Sachant que le jeune homme étudiait la génétique depuis trois ans à présent, il était drôle d'entendre ses inepties sortir de sa bouche. La génétique n'avait rien à voir avec la magie. De même qu'elle n'avait rien à voir avec la stupidité assez flagrante dont Xavier faisait preuve très souvent. Portable dans une main, portefeuille dans une poche, il enfila ses sandales, vérifia une dernière fois sa coiffure et son allure dans le miroir en pied à côté de la porte de la salle de bain, prit la main de sa meilleure amie et l'entraîna dans les dédales de couloirs afin de se retrouver en plein soleil de Floride, en route pour Wizarding World of Harry Potter alias WWHP. Harry Potter avait été le roman qui a bercé toute l'adolescence perturbée du jeune russe. Harry, Ron, Hermione, ce trio d'or qui était une facette à chacun de la jeunesse anglaise. Perdition, problème de confiance, amour interdit, infraction d'un règlement bien trop stricte pour le jeune homme, il avait été prit de passion pour ce monde imaginaire et rêvait de baguettes magiques et de balais volants à seize ans. Un grand enfant le Xavier. Tu as faim ? J'ai faim moi. Y'a un stand de Hot Dog, t'en veux un ? Il était dix heure du matin. En clair, pas l'heure de manger un hot dog. En avançant vers le marchand ambulant, Xavier vit une bombe floridienne. Grande, blonde platine et poitrine opulente. Bref, le genre de fille qu'il ramène de soirée afin de se défouler avant de la jeter après l'affaire conclu. Malgré tout, Xavier avait envie de se sortir de la tête les pensées parasites toutes fraîches. Salut ma poulette. Je voudrais un hot dog mayonnaise/moutarde avec un supplément de ton numéro s'il te plait. Regard de braise et sourire en coin, il jouait la panoplie du parfait petit con qui drague sans mettre de gants. Rien à faire, il allait droit au but. La jeune fille commença à préparer le sandwich si cher à l'Amérique quand de l'eau atterrit sur le jeune homme, éclaboussant la vendeuse et le sandwich en cours de préparation.

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“ tu es semblable à une étoile, on ne te voit que quelques instants mais ta beauté est si intense que l'on s'en souvient toute notre existence ”

Floride ! C'était la destination qui attendait Briséïs depuis quelques temps maintenant. Cette Floride est ses palmiers, ses kilomètres de plage de sables fins, ses cocktails à plus en finir, les beaux hommes qui viennent jouer au volley-ball où faire du surf. C'était vraiment le coin idéale pour la demoiselle. Elle avait besoin de se changer les idées. De penser à autre chose que ses petits problèmes personnels. D'oublier le manque que Jayan avait réussi à construire depuis son départ. Elle venait de retrouver Jayan, qu'il partait encore une fois sans explication. Elle en avait gros sur le coeur. C'était la fois de trop, jamais elle ne pourrait lui pardonner ce geste. Néanmoins, si elle a rejoint la Floride pour le début de ses vacances. C'était en cause de son meilleur ami Xavier, qui ne voulait en aucun cas passé ses vacances seuls. Il avait opté pour faire un marathon des parcs. Briséïs ne savait pas encore pourquoi il avait choisi ce genre d'activité pour les premières semaines de l'été. Mais, elle ne tarderait pas a le découvrir certainement. Même si la belle blonde avait déjà perdu son duo, son Clyde. Elle avait retrouvé en Xavier la personne idéale pour l'épaulé. La remettre sur le droit chemin. Elle avait perdu pieds depuis quelques semaines de cela. Elle avait fini au commissariat pour une garde à vue. Mais, elle y passe que quelques heures simplement. Tout cela grâce à Jonas qui était venu payer sa caution pour la libérer. Elle avait commencé à refiler la drogue de Lux pour liquidé le stock de la jeune Thorp-Nox. C'est aussi en cause de ça, que Briséïs s'était fait prendre la main dans le sac. Sauf, qu'elle n'avait pas eu le courage d'avouer la vérité à Jonas, ni même à Xavier. Qui de son côté était au courant de rien. En même temps, ça fait plus d'un mois que les deux jeunes gens ne s'étaient pas retrouvés, rien qu'à deux. Finalement, ces vacances allaient certainement leur faire un bien chaud que ce soit pour Xavier, comme pour Briséïs. Pourtant, ces vacances annonçaient rien de bon. Étant donné que Xavier comme Briséïs, ont un tempérament de feu. Ils sont similaires, tellement similaire qu'il arrive à s'engueuler pour des broutilles. Cependant, ils étaient unis comme les deux doigts de la main, ensembles envers et contre tous. C'était ainsi leur relation. Toutefois, c'était assez intriguant, qu'ils soient aussi similaires. Xavier et Briséïs avaient toujours une entente parfaite. Si l'un d'entre eux avait un désaccord. C'était suivi d'une discussion plus qu'houleuse. Sans jamais avoir de malaises. L'amitié de Xavier et Briséïs c'est comme celle des contes de fées. Digne de Phoebe et Joey. Brooke et Nathan, Lemon et Wade. C'était une amitié simplement magnifique. Qui leurs ressemblent sans façon. Étant dans la salle de bain pour se vêtir d'une robe légère pour cette journée organisée par son meilleur ami. Même si ça faisait une heure qu'elle monopolisait la salle de bain, elle n'était pas encore prête. « Commence pas à me gonfler Xavier. On a encore deux heures devant nous ! » Maugréa-t-elle d'une voix grave sans savoir qu'il avait osé ouvrir la porte de cette fameuse salle de bain. Étant encore en petite tenue, Briséïs ne pensait pas une seule seconde. Que son meilleur ami allait la voir ainsi un jour. De plus, elle ne savait pas non plus qu'elle ait foutu un électrochoc à celui-ci. Elle s'était vêtue comme d'habitude, un ensemble de sous-vêtement agréable à regarder, pour la gente masculine. Briséïs n'allait quand même pas resté seule toute sa vie. Puis les relations d'un soir lui convient très bien en ce moment. Pourquoi elle se priverait telle d'un petit plaisir charnel. Toutefois, Xavier draguait avec énormément de légèreté la demoiselle. Mais, elle pensait que c'était pour plaisanter. Rien de bien méchant en somme. « Je vais t'exploser Cavendish ! » Marmonna-t-elle d'un ton plus qu'énervé. Il avait bien de la chance que son amitié comptait à ses yeux. Puisque sinon, il aurait fini en pâté pour chien cet idiot. Enfilant rapidement sa petite robe blanche légère. Elle sort enfin de la salle de bain pour faire une tête furax contre Xavier. Qui était de son côté assis sur le lit. Xavier aurait beau avoir une tête de chien battu, elle ne pardonnerait pas le fait qu'il soit rentré dans la salle de bain sans prévenir. Pourtant, elle ne pensait vraiment pas que Xavier pourrait ressentir quoique ce soit la concernant. Briséïs est plutôt du genre chiante, jamais contente, désagréable, grande gueule. Tout le contraire d'une femme idéale pour un homme. Cependant, quand Cavendish s'aperçoit que la jeune femme est sortie de la salle de bain. Il la prend dans ses bras pour lui faire des chatouilles. L'un des points sensible de Briséïs. Puisqu'elle est chatouilleuse, depuis sa naissance. Puis, ça permettait surtout de détendre l'atmosphère qui était plus qu'oppressant. « Elle t'aurait mis chez les Serpentard nabot ! Tu as la même tête que Drago Malefoy, on n'y peut rien. » Dit-elle pour clouer le bec au jeune homme. En même temps, c'était assez marrant de l'entendre parler de génétique, vu qu'il l'étudie depuis trois ans. Et qu'il n'a vraiment pas besoin de cela, pour savoir si elle avait été généreuse avec lui. Attrapant au vol son sac à main elle sort de la chambre main dans la main avec Xavier. Ils se faufilaient dans les couloirs afin de cet hôtel pour finalement se retrouver en plein soleil de Floride. Ils étaient en route pour la WWHP. Même si Briséïs n'est pas fan de Harry Potter. Ces romans avaient néanmoins bercé toute l'adolescence perturbé de la jeune femme. « Non merci. Je ne mange pas à dix heures du matin un hot-dog. » En remarquant, la vendeuse de hot-dog. Briséïs comprend de suite que ce n'était pas pour un hot dog mais, pour draguer la marchande. Le laissant s'avançait vers la marchande, Briséïs de son côté pris le soin de prendre une bouteille d'eau de deux litres. Pour s'avancer vers Xavier qui jouait le parfait petit dragueur à deux balles. Une chose, qu'elle ne supporte vraiment pas dans le caractère du jeune damoiseau. Du coup, Briséïs ouvre la bouteille d'eau avant d'arrosé le jeune homme, pour ensuite éclaboussé la vendeuse ainsi que la préparation du sandwich. Se retrouvant par la suite nez-à-nez avec Xavier, Briséïs affichait un sourire satisfait. Cela allait mettre hors de lui Xavier mais, elle s'en fichait. Il voulait retrouver pendant ses vacances, son amitié avec Briséïs. Mais, il jouait a petit con avec la première venue parce que Monsieur à des envies soudains. Il ne savait pas sur quel terrain il se lançait avec Briséïs dans les parages.

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C'est incroyable le nombre de gens dans la rue
qui se dévissent le cou pour te regarder.

what did you expect ? ; xavier & briséis Le passé est ce qu'il est. Lourd, chargé de toutes les peines que la vie nous a infligé et pleins de remords, de culpabilités. Il faut faire avec, toujours avancé et ne pas regarder éternellement en arrière pour ce qu'on a manqué et qui nous manque terriblement, afin de ne pas reproduire encore et encore les mêmes erreurs mais avoir appris et évolué. Xavier avait comprit depuis le bal que sa vie avait changé de manière irréversible, complète. Elle ne serait plus la même car Lysa serait sons doute une personne de moins à l'intérieur. Elle avait été claire, parfaitement claire. Il lui fallait du temps, beaucoup de temps. Mais Xavier n'allait pas passer sa vie à l'attendre. Et si il lui fallait trouver une autre pour passer le temps, si il lui fallait emmener une pauvre cruche en Angleterre et duper ses parents, il le ferait. Il ne serait plus le jeune garçon inconscient qui ne savait pas se débrouiller sans l'aide d'une personne extérieure. Il serait celui qui profitera de la vie et ne ferait plus l'erreur d'être celui qui a presque faillit tuer Charlotte. Plus jamais. Il revoyait encore le visage pâle de la jeune fille dans ses bras. Plus jamais. Il cligna des yeux afin d'effacer cette image de ses yeux et reporta son attention sur son autre, son double, sa blonde totalement différente de celle qui habitait son coeur. Briséïs ou la pire chieuse de l'univers. L'expérience de la découvrir en petite tenue aguicheuse avait remuée quelque chose dans la tête du jeune homme, un peu comme quand il avait compris que Lysa ne serait plus jamais qu'une simple meilleure amie particulièrement adorable, qu'elle serait plus. Décidément, Xavier avait le chic pour craquer sur les filles les plus inaccessibles et blondes de surcroit. Lysa, Eileen, Briséïs, bientôt il pensera être amoureux de Léo aussi pendant qu'il y ait. Son attention particulièrement volatile se reporta sur la vie présente, sur cette journée qui s'annonçait pleine de rebondissement et complètement folle. Les deux jeunes gens n'étaient pas partis avec les autres pour une visite en bonne et due forme. Non. Ils étaient ensembles, les deux mousquetaires contre tous. Briséïs et Xavier. Le soleil état accablant et si Xavier n'avait pas prit ses plus légers débardeurs, il serait en train de prier pour une bouteille d'eau à l'heure qui l'est. Mais Briséïs était mieux loti, dans sa petite robe légère, elle prenait la moindre once de vent qui passait et ne ressentait pas la chaleur que les hommes avaient lors de l'été. Mais bon, le russe n'allait pas se laisser accabler longtemps. Si tôt son petit déjeuner prit, il enlèverait son t-shirt entre chaque attraction et sans doute dessus aussi. La marchande de hot dog était vulgaire, sans doute déjà prise par un autre marchant de hot dog tout aussi graisseux mais Xavier n'avait envie que de distraction, pas d'une petite amie. Sourire angélique, regard mielleux, il faisait tout pour qu'elle tombe dans le panneau du mec charmant qui allait lui donner la nuit de ses rêves et c'était sans aucun doute le cas. Il n'avait pas remit le couvert avec la princesse de Vegas pour rien. Le sandwich allait être prêt quand un jet d'eau venue de nul part jaillis. Xavier regarda derrière lui et tomba face à face avec le visage furibond de sa meilleure amie. Briséïs, la bouteille coupable à la main, le regard en train de dire " tu te fous de moi ou tu veux la jouer comme ça ". Il laissa la marchande à son sandwich tout mouillé, prit sa meilleure amie par le bras et continua son chemin sauf que la blonde qui lui servait de meilleure amie ne voyait pas ça du même oeil et prit une autre direction. . Briséïs, c'est par là le parc. Tu te trompes de direction. . Dire les mauvaises choses au mauvais moment, spécialité du Cavendish. En cet instant, il avait désespérément besoin d'un joint bien roulé et coupé au shit pour supporter la folle journée qu'il allait devoir supporter avec la blonde incendiaire. Briséïs avait mauvais caractère, c'était sur, mais Xavier était con comme ses pieds dans ses relations, qu'elles soient amicales ou amoureuses. Il ne disait pas les bonnes paroles, n'agissait pas comme il fallait, donnait de mauvais conseils et agissait au mauvais moment. Il faisait tout de travers, il n'était pas stable. Et son habitude à draguer tout ce qui bouge en était la preuve. Briséïs le regarda avec ses grands yeux bleus pareil à l'océan. Ses lèvres frémissantes de colère et d'une envie de le remettre à sa place surement. Mais Xavier avait aussi les bras croisés, les lèvres pareilles à une ligne droite. Le sérieux était de mise et ils se fixaient comme deux statuts. Seulement, le russe n'était pas reconnu pour son sérieux malgré ses brillantes notes et son cerveau qui endurait plus que n'importe qui. Un rire le secoua de part en part. Il était complètement hilare de l'action de son amie. C'était tellement elle, tellement son type. . Comment tu l'as arrosé ? J'ai cru qu'elle allait se pisser dessus. Hilarant ! . Xavier aimait se moquer de son amie, la faire tourner en bourrique mais il voyait bien qu'elle n'était pas aussi hilare qu'il l'espérait. Briséïs était possessive envers lui, presque autant que lui envers elle. Il ne supportait pas qu'on ait joué avec elle, que Levy ait pu la tromper et que Jayan soit partis encore une fois, la laissant avec un coeur à réparer seule et une tête à remettre en place. Il voulait qu'elle rit, qu'elle profite de sa vie de jeune étudiante et non pas qu'elle se demande tous les jours qu'elles seraient les merdes qui lui tomberont dessus aujourd'hui. . Briséïs, roh ma petite princesse aux cheveux d'or. Tu sais très bien que cette pavre pouff n'égalera jamais la place que tu as dans mon coeur ni ta beauté ravageuse. Elle n'est rien et tu es tout. . Il pouvait être sentimental le Xavier. Autant il était un con doublé d'un idiot qui mettait les pieds dans le plat la plupart du temps, autant il pouvait avoir des éclairs de génie et dire de bonnes choses, mais un peu en retard. Il prit sa meilleure part de lui dans ses bras, sa moitié manquante, son double au féminin et la berça dans ses grands bras chauds et forts. Il voulait lui faire passer tout l'amour qu'il avait pour elle. Elle était tout, tout ce qui comptait. Leur amitié était forte, indestructible, un peu comme Matt et Elena qui même après une relation qui n'avait mené à rien si ce n'est à une amitié solide comme un roc. Ou encore comme Dan et Blair qui s'était trouvé grâce à cette relation. Une relation compliquée, étrange, incompréhensible pour leur entourage mais pleine de bons sentiments même si ils ne se l'avouaient pas à eux même. Briséïs était compliquée. Rectification. Briséïs est compliquée. Elle est un paradoxe à elle seule et c'est ce paradoxe qui animait Xavier dans ses conneries car il ferait tout pour la voir sourire comme avant, pour la voir vivre comme avant, pour la voir être sa Briséïs, sa petite princesse aux boucles d'ors. . Alors, on y va à ce parc ? . Il ne faut pas trop d'émotion pour le Xavier, sinon, il devient encore plus con qu'à l'accoutumé. Et c'est beaucoup dire.

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“ sur la musique, on va on vient, on s'éloigne et on reviens, puis tu t'élances et je te tiens, je te retiens du bout des doigts pour te ramener contre moi. ”

On peut le dire, la jeune femme a eu son quota de peines que la vie lui a infligé depuis sa naissance. Mais, pas que cela au final. Elle a eu pleins de remords et, de culpabilités. Pourtant, aujourd'hui elle fait avec tout cela. Elle n'a guère le choix au final. Elle se doit d'avancer avec son passé lourd et chargé. Briséïs doit arrêter de regarder en arrière, de regarder ce qu'elle a manqué et qui lui manque terriblement. Tout cela, pour ne pas reproduire le même schéma mais, surtout pour évoluer. Avancé coute que coute dans sa vie. Niveau relation sentimentale, on peut dire aussi que Briséïs a eu son quota de déception. Dès qu'elle s'attache quelques peu, celui-ci prendre la poudre d'escampette sans se retourner. Sans voir le mal qu'il procure à la demoiselle. Elle a ce don de tomber amoureuse de mauvaises personnes. Briséïs tombe amoureuse comme on tombe d'une chaise. C'est aussi pour ça, qu'elle a décidé de ne plus s'attacher. De profiter du moment présent avec n'importe quelles personne humain à ses côtés. Ne souhaitant que des relations sans lendemains, elle se risque moins à souffrir qu'autre chose. Elle préfère s'occuper de ses amies qui auraient besoin d'elle dans des moments difficiles. Comme c'est le cas actuellement avec Xavier. Il n'était plus le même. Plus le Xavier Cavendish qu'elle connait par coeur. Il n'est plus son double au masculin. Briséïs ne savait pas exactement ce que Xavier avait en tête ses derniers temps. Mais, ça semblait assez important pour qu'il change de comportement du tout au tout. Elle ne l'avait jamais connu ainsi. Et, pour la première fois de sa vie. Briséïs pouvait dire qu'elle avait peur pour Xavier. Non pas peur qu'il lui fasse du mal, peur qu'il fasse les pires conneries de son existence. Elle ne serait pas toujours derrière lui pour le surveiller et le protéger. Et, malgré qu'elle le sache que Xavier n'était pas de très bonne compagnie ces derniers temps. Elle avait accepté de partir avec lui faire le marathon des parcs à Orlando. Cela semblait être une bonne idée. Elle pourrait avoir un oeil sur lui mais, aussi profité pleinement de son meilleur ami. Y a des avantages et des inconvénients. Néanmoins, elle ne pensait pas que celui-ci allait rentrer dans la salle de bain sans frapper à la porte et la découvrir en petite tenue aguicheuse. Cela avait dû le perturbé quelques peu mais, elle s'en fichait. Elle était simplement remontée contre lui à un point inimaginable. Sauf, qu'elle ne peut lui résister bien longtemps après l'avoir envoyé valser comme il le fallait. Au final, les deux jeunes mousquetaires s'étaient enfuit de l'hôtel pour trainer dans les rues d'Orlando pour se rendre au Wizarding World of Harry Potter. Hors, ils s'étaient arrêtés à un stand de hot-dog parce que monsieur Cavendish avait une faim subite. Mais, Briséïs savait très bien que s'était pour la petite pimbêche blonde peroxydé qui le tenait qui avait attiré l'attention particulière de Xavier. Il ne s'attendait absolument pas à recevoir une bouteille d'eau fraîche sur la tronche ainsi que la vendeuse décolorée. Même s'il avait le droit d'engueuler Briséïs, il devrait plutôt la remercier vue le geste qu'elle venait d'avoir. Le jeune homme avait beau être habillé correctement d'un débardeur et d'un short, il puait la transpiration. Et, il avait besoin qu'on lui rafraîchisse les idées ainsi que la vendeuse. Briséïs était très fière de son geste et, l'assumait pleinement. Elle s'en cachait pas, elle sourirait grâce à sa petite victoire. Elle le regardait dans les yeux avant de prendre une autre direction. « .Je m'en moque de ton parc d'Harry Potter. Je m'en moque de la direction qu'il faut prendre. Je rentre à l'hôtel point barre Xavier. » Elle ne voulait plus passer le reste de l'après-midi avec le jeune homme. Elle avait en tête de rentrer à l'hôtel se reposer dans un bain avant de se changer et, sortir faire la fête toute la soirée. Tout cela loin, très loin de ce cher Xavier Cavendish. Il voulait jouer, très bien. Elle allait rentrer dans son jeu mais, elle est loin de perdre la partie. Depuis ce début de journée, Xavier accumule les âneries et, se faisait passer pour un con. Alors qu'il est loin de l'être cet abruti. Pourtant, avant de rejoindre l'hôtel elle s'était arrêtée pour fixer Xavier du regard. Ils étaient tous les deux comme des statuts. Mais, elle s'en contre fichait. Elle n'allait pas perdre cette bataille, elle ne lâcherait pas d'un seul pouce. Briséïs avait encore plus les nerfs quand elle voit Xavier commençait à rigoler. Il prenait tout à la légère ces derniers temps. Cela devenait pénible à force. Elle ne supportait plus ce Xavier. Elle était arrivée à un stade de saturation. « .Je n'ai clairement pas envie de rire Cavendish. J'en ai marre de voir un abruti devant mes yeux. Marre de ne plus reconnaître mon meilleur ami soit-disant. » Elle n'allait pas de main morte dans ses propos. Mais, il fallait un électro-choc à Xavier certainement pour qu'il réalise son comportement en ce moment. Qu'il réalise enfin que le jeune homme pourrait perdre Briséïs à tout moment. Qu'elle pourrait partir à un claquement de doigt si elle le désirait. Même si la jolie blonde est possessive envers lui, comme il l'est envers elle. La situation en ce moment pourrait tout faire basculer à un fragment de seconde. Ce n'est pas la première fois qu'elle est le coeur blessé, presque mort sans aucun sentiment. Elle en a marre que tous les hommes qu'elle fréquente, finisse par jouer avec son coeur, ses sentiments. Où qu'il fuit dans une autre ville sans se soucier du mal qu'il pourrait faire. « .Ce n'est pas parce que tu as révisé ta petite phrase mainte et mainte fois dans ta tête. Qu'elle fera certainement effet sur ma petite personne. Tu m'invites à faire ce marathon des parcs avec toi. Et toi tu ne penses qu'à sauter la première venue. Si c'était ton objectif en venant ici, tu n'aurais jamais dû m'appeler. » Ce n'est pas parce que monsieur avait eu un éclair de génie dans sa petite tête. Que Briséïs lui pardonnerait immédiatement son comportement. Elle avait envie de fuir cette ville, fuir ces vacances avec lui, le fuir tout simplement. Mais, c'était trop tard puisqu'il l'avait pris dans ses bras pour la bercer. Même si elle ressentait l'effet que Xavier voulait lui transmettre. Elle ne lui pardonnerait pas ce comportement d'aujourd'hui. Il faisait passer une inconnue avant sa propre meilleure amie. C'est un comportement indigne d'un meilleur ami. Malgré tout, leur amitié était digne de la relation Blair et Dan. C'est grâce à cette relation, qu'ils s'étaient trouvés. Une relation compliquée, étrange et totalement incompréhensible pour leur entourage. Mais, de très bons sentiments même s'ils ne se l'avouaient pas à eux-même. Cela dit, Briséïs sait très bien qu'elle soit compliquée. Elle est ainsi depuis des années, depuis qu'elle a quitté sa famille pour aller rejoindre l'homme qui l'aida financièrement. Briséïs ne sourirait plus à la vie, comme elle a pu le faire par le passé. La vie ne lui à jamais sourire. Alors, pourquoi elle devrait le faire à la vie ? Elle ne voulait plus aller à ce parc avec Xavier. Mais, étant donné que ses vacances étaient pour faire le marathon des parcs. Elle était dans l'obligation d'y aller malgré tout, contre son gré. « .Finissons en avec ce parc. » Il pouvait comprendre dans sa façon d'avoir répondu, qu'elle n'avait pas très envie d'y aller mais, qu'elle le ferait malgré elle.

Spoiler:

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Nous n'y sommes pour rien si nous ne pouvons pas savoir à l'avance ce qui va nous arriver. On marche, on tombe, on se relève mais on continue. Ainsi va la vie, ainsi va nos vies ensemble.

orlando, marathon des parcs. La vie était compliquée quand on avait un début difficile, quand dès que notre vie vient à paraître, un sentiment de rejet fait place dans l'esprit des parents nous concernant. Xavier avait toujours voulu l'approbation des autres, leur respect ou leur crainte, leur amour ou leur adoration, il voulait qu'on le voit, qu'on le remarque, qu'on pense que la vie était misérable quand il n'en faisait pas partie. Il cherchait la compassion dans l'attrait de ses traits russes, dans la douleur que l'on pouvait déceler dans son regard, dans ses discours langoureux et pleins de tristesse. Mais la vérité était qu'il se jouait de vous. Il se faisait passer pour le jeune homme malheureux et complètement dépassé par son début de vie chaotique. Xavier manipule, il joue, il regarde, observe et tire les ficelles. C'est ainsi et il ne changera pas. Il sait trouver les faiblesses des personnes qui l'entoure et le danger de sa présence réside dans la gentillesse avec laquelle il se joue de vous. Le danger est son moteur et il vous entraînera dans des endroits sombres de votre esprit. Du moins, quand il est de mauvaise humeur. Car l'attitude de Xavier est extrêmement lié à son humeur du moment, aux péripéties qui lui sont tombées dessus au cours d'une journée parfaitement banale pour vous. Il joue de sa vie comme un château de carte, la laissant être sous son joug total et ultime. Il joue avec les vies qui l'entoure de manière subtile. Quand il veut quelque chose, il l'obtient. Lysa, il l'aura. Il saura faire en sorte que la belle blonde qui est sa meilleure amie et la fille qu'il aime profondément soit sa femme un beau jour d'été sous un cerisier en fleur et dans une belle robe blanche. Il prévoit tout. Il la veut. Et bien que son envie d'elle soit énorme, il veut aussi pouvoir profiter de la vie qu'il a à présent. Et il profite avec Briséïs de ces vacances bien mérité après une année pleine de rebondissements et de malheur inopinés. Briséïs ou la fille qui est sa jumelle dans son coeur, celle qu'il aime énormément et qui a parfois envie de le tuer dans d'atroces souffrances mais qui est toujours là pour lui. Elle l'aide dans tous les moments de sa vie depuis si longtemps qu'il ne se souvient plus du point de départ de leur amitié. Une connerie qu'il a faite, sans aucuns doutes. Toujours est-il qu'ils sont là, tous les deux, Xavier trempé et la serveuse refaite de partout aussi. Il rit, encore et toujours. Il rit de la bêtise de la situation. Mais les paroles bien acérées de son amie lui remet les idées en place. Il est vrai qu'il n'est plus le même depuis son retour d'angleterre. Il néglige quelque peu ses meilleurs amis pour la drague et la drogue. Il détruit ses relations minutieusement et se fait un plaisir de se détruire. Il envoie Charlotte, une fille innocente dans la vie du jeune homme, à l'hôpital. Et bien que cette épreuve les ait rapproché de manière très singulière, il s'en veut encore de l'avoir utilisé de la sorte. Arrête Briséïs. Arrête. Il ne supporte plus rien, il ne supporte plus qu'on lui rappelle ses erreurs encore et encore. Lysa lui a déjà bien fait comprendre que son comportement était impossible, que sa manie de tout détruire sur son passage devenait beaucoup trop pesante et lourde sur les épaules de personnes qui ne demandaient rien de tout ça. Il se calme, lui sort une soupe au chou digne d'un navet et veut qu'elle le suive. Elle doit comprendre que sa vie n'est plus la même, que son coeur est entouré d'une carapace bien trop épaisse pour être brisée. Elle est trop dure, trop présente et en même temps, si encombrante. Il veut s'en débarrasser, retrouver l'ami qu'il était, retrouvé le Xavier qu'il était. Mais c'était dur, compliqué. On lui avait volé sa vie, son enfance, son futur. Il part avec son amie, du moins, si elle veut toujours l'être, vers le parc qu'il désire. Il est muet, il ne dit pas un mot. Il a honte de lui, il a honte de ce qu'il fait mais il ne peut pas s'empêcher de le faire. Il est dans cette spirale infernale de l'auto destruction, complètement à la ramasse dans sa vie et irréellement incapable de la reprendre en main sans blesser quelques personnes chères à son coeur au passage. Son envie d'être le meilleur en tout et de n'être que le meilleur peut le rendre odieux. Mais c'est aussi ça qu'on aime chez lui. Il essaye d'être le meilleur mais maladroitement, il devient attachant dans ses mauvais côtés et sans s'en rendre compte, il devient dépendant de tellement de personnes. Briséïs, son double, sa blonde infernale, son tout. Elle le remet à sa place aussi vite qu'il le faut, mais l'aime tout de même. C'est ce qui fait que Xavier ne peut pas la rejeter et que malgré qu'il dise tout pour mettre une distance, elle lui rappellera toujours pourquoi il tient tant à elle. Il est perdu la concernant. Elle est belle dans sa colère, ses yeux bleus deviennent sombres, hypnotisant, ses longs cheveux blonds lui fouettent le visage, -laissant une traînée d'or liquide devant les yeux du jeune homme, son visage devient comparable à une sirène. Briséïs a une beauté indescriptible, belle et sans aucuns artifices. Elle est ainsi. Il veut y aller à ce parc, et le pas soutenu qu'il prenait le montrait. Sa meilleure amie ne voulait clairement pas y aller, cela se sentait dans sa marche et ses paroles. Mais bon, elle y allait pour lui, elle lui avait promis. Elle était ainsi. Elle lui avait promis alors elle tenait sa promesse. Ne jamais la trahier, toujours la tenir. J'en peux plus d'elle. Être ami avec la blonde, être son meilleur ami, être celui sur lequel elle se repose quand elle est à son plus bas, être celui qu'elle appelle au milieu de la nuit car elle a besoin de parler, être celui qui sera toujours là pour elle, celui qui sera toujours son confident même à quatre-vingt dix ans, c'est du boulot mais cela apporte un bonheur palpable. Il prend le bras de la jeune fille dans un élan de fougue, il ne réfléchit pas et sans doute qu'il ne comprendra jamais que chacun de ses actes à des conséquences, qu'il ne peut pas partir du jour au lendemain en ne prévenant personne, qu'il ne peut pas demander à Lysa de le suivre dans une périple amoureux insensé, qu'il ne peut pas devenir un parfait idiot dès qu'une fille sans intérêt en dehors d'un lit est à quelques centimètres de lui, qu'il ne peut pas envoyer une jeune femme à l'hôpital et couper les ponts. Il doit assumer, encore et encore. Mais pour le moment, il ne pense qu'à une seule chose, les lèvres attirantes de la jeune fille qui sont à quelques centimètres des siennes. L'attirance est là, elle est inévitable. C'est ainsi, deux personnes aussi belle de coeur et d'esprit ne peuvent pas ne pas faire et passer une étape aussi significative. Xavier plonge son regard vert émeraude dans le lac bleu azur de la jeune femme. Il ne peut pas s'en empêcher, il sait que ce sera sans doute un acte irréparable mais il ne peut pas. Il l'embrasse. Doucement, une première fois. Il prend son temps car il sait que si la jeune femme est en colère, elle peut lui donner une ristourne et éclater de rire quelques secondes après. Elle est imprévisible. Complètement. Il l'embrasse encore, plus fort, avec plus d'insistance. Il ne la lâche pas. Essayer de te résister, c'est comme essayer de ne pas manger de chocolat lors d'une déprime. Même si on aime pas, on le mange quand même. Tu es mon chocolat, ma petite Briséïs. Et si tu penses que je te laisse tomber, que je ne prend plus soin de toi, détrompe toi. Je prendrais soin de toi car tu es la seule en qui je peux avoir pleinement confiance, Briséïs. Toi et toi seule. Il la prend dans ses bras. Elle semble ébahis, complètement sous le choc. Xavier l'est aussi. Il ne sait pas comment faire, il ne sait plus comment faire. Ton meilleur ami est toujours là Bri, il l'est encore. Tu es la seule à ne pas le voir mais aussi la seule à avoir le pouvoir de le faire revenir. Aide moi. Il est désespéré et au milieu de cette rue à Orlando, en face du parc Harry Potter, il est dans ses bras plus qu'elle n'est dans les siens. Il veut du réconfort, elle en veut aussi. Ils sont tous les deux perdus dans cette vie qu'ils n'ont choisis qu'à moitié. Briséïs est celle qui le fera revenir, il en est certain. Elle pourra user de tous les moyens possibles et inimaginables, elle pourra le maltraiter, le rendre fou, elle est son essentiel dans cette vie où l'amour de sa vie le rejette à cause d'une erreur composé de plusieurs. Aide le Briséïs, aide le où il se détruira à petit feu pour une vie de misère.

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“ C'est drôlement dangereux de s'attacher à quelqu'un , c'est incroyable ce que ça peut faire mal. Rien que la peur de perdre l'autre est douloureuse. Sans nouvelles d'elle, tout s'écroulait autour de moi. C'est moche de guetter un signe de quelqu'un pour se sentir heureux. ”

Faut dire que la demoiselle n'avait pas eu un début de vie très facile. Elle était largement compliquée et difficile. Jusqu'à l'âge de ses treize ans, Briséïs était la petite chouchoute de ses parents. Elle était très studieuse, voir trop quelquefois. En plus d'être studieuse, elle aimait dépenser son argent à tord et à travers. Du moins son argent de poche ainsi que les sommes d'argent sur son compte en banque pour des vêtements de bonnes marques, comme pour du maquillage. Puis soudain, la jeune femme apprend par l'intermédiaire de sa mère que la famille n'avait plus aucun revenu. Qu'ils finissent dès à présent se serrer la ceinture. C'est à partir de ce moment, que Briséïs s'est senti quelques peu rejeté par sa propre famille. En conséquence, elle demande une voir deux combine à ses amies pour ce faire de l'argent facilement et, sans contrainte. C'est à partir de là, que Briséïs s'est pris à fréquenter des hommes plus âgés qu'elle. Jusqu'à qu'elle rencontre monsieur Caldwell. Elle a ensuite fuir la domicile familiale pour suivre cet homme qu'elle ne connaissait ni d'Adam ni d'Eve. Mais, ayant un besoin irrévocable d'avoir de l'argent. La demoiselle ne pouvait pas faire autrement. Elle coupe tout contact avec sa famille. Une situation à l'heure actuelle qui la blesse énormément. Même si à l'époque cela avait été sa décision. Sauf, que quelques années plus tard, l'homme en question succomba de son cancer qui s'était propagée à vive allure depuis qu'il l'avait appris. Pour le coup, on peut dire que Briséïs avait eu une vie chaotique depuis sa naissance. De son côté, elle ne fait pas exprès d'avoir que de la misère dans sa vie. Elle qui venait d'arriver à Berkeley pour retrouver son duo, sa moitié du nom de Jayan. Celui-ci avait préféré partir vers d'autre horizon qui était NYC pour suivre son grand amour mais, pour surtout poursuivre ses études là-bas. Elle avait quand même eu un peu de chance en rencontrant Xavier. Son deuxième meilleur ami. Xavier ou l'homme qui était son double au masculin. Elle le considère comme son jumeau. Malgré tout, Briséïs avait accepté de passer des vacances bien méritées en sa compagnie. Elle en avait bien besoin après, cette année pleine de rebondissement dans sa vie. Cela fait quelques années que les deux jeunes gens se sont rencontrés. Ce fut un coup de foudre amical immédiatement. Du moins, pour Briséïs en tout cas. Même si cela lui arrive de vouloir tuer le jeune homme dans d'atroces circonstances et souffrances. Mais, contre toute attente. La jeune femme l'aide dans tous les moments importants de la vie de son meilleur ami, sans rien attendre en échange. Pourtant, ils étaient encore là, tous les deux. Xavier trempé et, la serveuse trempée de la tête au pied. Briséïs n'était pas allé de main morte, c'était le cas de le dire. Même si, la jeune femme faisait face à un jeune damoiseau à moitié mort de rire de la situation présente. Briséïs n'avait guère envie de rire de quoique ce soit. Elle voulait simplement remettre les idées en place de Xavier. Chose qu'elle avait dû arriver à faire avec ses paroles acérées qu'elle venait d'avoir. « .Je n'arrêterais que le jour, où tu auras décidé d'arrêter tes conneries, Xavier. » S'écrie-t-elle ! Elle en avait marre de devoir jouer la mère du jeune homme. De devoir, toujours protéger ses arrières. Elle en avait marre de faire la morale à un idiot infini que Xavier était devenu. Briséïs sait pertinemment qu'il en a assez d'avoir des remontrances de qui que ce soit. Mais, elle ne pouvait pas le laisser sombrer dans ce côté obscur de sa personnalité. Si Briséïs, venait à l'abandonner maintenant. Qui allait s'occuper de lui ? Qui allait l'aider à remonter la pente ? Personne, puisque même sa deuxième meilleure amie Lysa. L'avait également abandonné parce qu'elle ne voulait pas de lui. Même s'il y a quelques minutes auparavant, la jeune femme n'avait plus envie d'aller au parce qu'il désirait. Elle n'allait pas l'abandonner maintenant. Pas après la promesse qu'elle lui avait faite la nuit dernière. Cela n'empêche pas que Briséïs remet en place Xavier d'une vitesse monstre à chaque fois. Les deux jeunes gens s'engueulent très régulièrement mais, il lui rappellera toujours pourquoi, elle tient tellement à-lui. Avec un peu de recul, Briséïs avait décidé de ne pas aller au parc. Tout ça pour faire comprendre à Xavier qu'il ne pouvait pas faire des âneries devant les yeux de sa meilleure amie sans qu'il ait des circonstances. Elle voulait lui prouver que ce n'est pas parce qu'elle ne le laisserait jamais tombé que leur amitié n'avait pas de failles. Faut dire qu'elle a un sacré caractère la petite. Elle ne se laisse pas marcher sur les pieds et ça, Xavier le savait très bien. Cela donne un sacré travail au jeune Cavendish de soutenir la jeune Monaghan. Il fallait avoir un sacré caractère de son côté aussi pour supporter toutes les crises et, les engueulades que Briséïs pouvait créer. Malgré tout, elle continuait sa route vers l'hôtel quand elle sentait le contact de la main de Xavier sur son bras. Une sensation bizarre que Briséïs ressent. Ça n'avait jamais été une sensation aussi bizarre à l'égard de Briséïs. C'était la première fois qu'elle ressentit ce genre de choses envers son ami. Elle ressentait une maigre attirance pour Xavier. Néanmoins, avec la force que le jeune homme avait employée. Briséïs s'était retournée pour lui faire front. Elle venait de noyer son regard bleu azur sur celui de Xavier qui était vert émeraude. Même si elle semblait ancré son regard sur le jeune homme, elle avait également un oeil sur ses lèvres si attirants. Jamais, ô grand jamais. Elle n'aurait imaginé que son meilleur ami allait l'embrasser. Pour elle sa relation avec Xavier était claire. Elle était simplement son amie, rien de plus, rien de moins. Cavendish avait au final réussi à semer le trouble dans l'esprit de Briséïs. Mais, ce n'est pas pour autant qu'elle ait prolongé le premier baiser. Elle avait essayé malgré tout de le repousser. Puisqu'elle ne comprenait définitivement pas son action. « .Tu en as encore des comparaisons aussi puérils que celle-ci ? Tu me compares quand même à un chocolat. Un peu trop au soleil et, je pourrais fondre aussi ... Ce n'est pas cette sensation que tu donnes en ce moment Xavier. Tu représentes pleinement le petit con égoïste et impertinent. Un comportement que je ne peux tolérer malheureusement. » Cela avait le mérite d'être claire. Même si elle était ébahie par ses propos. Ça n'enlevait pas l'idée qu'elle s'était faite du nouveau Xavier Cavendish. Elle n'était pas la seule à le penser mais, la seule à le dire haut et fort. Briséïs a peur de rien. Tout le monde le sait, c'est aussi pour ça qu'elle était aussi directe avec Xavier. « .Je ne suis pas la seule à ne pas le voir, Xavier. Je ne suis pas la seule à penser ce que je viens de te dire. Je suis simplement la seule qui soit franche avec toi. Je veux bien t'aider si, tu veux bien qu'on t'aide. » Marmonna-t-elle. Elle ne savait pas ce qu'elle faisait. Elle avait besoin de réconfort, c'était inévitable. Xavier pourrait lui donner. Mais, pas dans ces conditions. Pas tant qu'il jouera le parfait petit con. Il a besoin d'aide, très bien. Briséïs est prête à-lui tendre la main. Mais, faut qu'il en ait réellement envie. Sinon cela ne sert strictement à rien. Il ne faut pas que ce soit dans un unique sens. Faut que les deux côtés veuillent s'en sortir. Cependant, même si Xavier semblait être plus dans les bras que Briséïs, qu'elle ne l'était dans les siens. Elle s'approche de lui davantage, comme pour lui faire un câlin. Pour ensuite approcher ses lèvres tendrement des siennes pour l'embrasser doucement. Il pourrait prendre cet acte comme un signe. Comme-ci elle acceptait de l'aider. Or, c'était pour montrer à celui-ci qu'elle n'avait pas été insensible à ses deux baisers volés d'il y a quelques minutes. Même si au premier abord, elle l'avait repoussé. C'est que Briséïs ne voulait pas se faire passer pour une femme facile, qu'on pourrait avoir dans n'importe quelles circonstances.

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» Cinderella is proof that a new pair of shoes can change your life ∞ briséis
» They say life's what happens when you're busy making other plans. But sometimes in New York, life is what happens when you're waiting for a table.
» My life Numerical life turns around those what I love and that I detest
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Life with you could never be boring + briséis

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