Sujet: TOPIC COMMUN ▶ Nos jours heureux, 1ère édition ! Mar 3 Juin - 18:37
Nos jours heureux, 1ère édition !
Le Camp Rivendell, célèbre pour accueillir chaque été de nombreux jeunes en difficulté, a réussi à recruter, de gré ou de force, une large main d'oeuvre pour la plupart issue de Berkeley. Que vous soyez ici par contrainte ou par envie, le camp compte sur vous pour veiller sur les précieux chérubins (toute tentative de noyade "accidentelle" sera sévèrement punie !). Histoire de vous plonger directement dans l'ambiance camp de vacances et son lot de scoops en tout genre, la Direction a programmé une soirée de bienvenue. Au menu, un buffet froid (ne vous attendez pas à des mets raffinés), des cocktails sans alcool et un peu de musique. Une fois vos bagages déposés dans vos chambres, vous êtes cordialement invités à vous joindre à la réception et faire connaissance - ou pas - avec vos futurs collègues. L'occasion de lier connaissance, de créer les premiers potins de l'été, ou de bien faire comprendre à votre rival de toujours que si les tentatives de noyade sur les enfants sont interdites, elles ne sont le sont pas "vraiment" sur les collègues...
Ce topic commun se déroule donc le premier soir d'ouverture du Camp. Tous ceux qui sont présents dès le début sont bien évidemment invités à y participer et à faire de ce topic en commun en événement riche en couleurs Pour les personnes qui rejoignent le camp par la suite, il est entendu que dans un souci de cohérence chronologique, il ne sera pas possible d'y participer, mais pas d'inquiétude, si ce sujet fonctionne bien, il n'est pas impossible que la Direction organise un nouveau pot d'accueil un peu plus tard durant l'été... Nous vous recommandons de poster relativement court, et vous êtes bien sûrs libres d'ouvrir d'autres rps, qu'ils se déroulent ce même soir, ou à un autre moment de l'été.
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Sujet: Re: TOPIC COMMUN ▶ Nos jours heureux, 1ère édition ! Ven 6 Juin - 15:14
Zayn - Le camp Rivendell que la fête commence..euh ou pas
Et voila les vacances étaient arrivés et Zayn s'en faisait une réelle joie -ironie quand tu nous tiens-, en effet il allait pouvoir profiter du bonheur d'entendre des enfants perturbés toute la journée et cela pendant tout l'été.. Oh mais quelle chance avait-il là. Punaise il aurait mieux fait de se jeter dans une bouche d’égout quand il a eu cette stupide idée d'essayer d'emprunter une voiture sous la fenêtre du bureau du principal. Ouh fâcheuse idée Zayn, on ne t'a jamais à réfléchir un peu avant de faire une connerie? Eh bien apparemment non, et maintenant il payait le prix cher, voila sa punition, faire le sois disant animateur pour jeunes. Genre ça allait être un étudiant gamma qui allait pouvoir maintenir ses jeunes calmes? Tu parles il sera le premier à foutre le bordel ou bien à tous les enterrer vivants, à choisir selon l'humeur.. Bref, le jeune homme n'avait aucune envie de se retrouver là, il aurait préféré aller avec Ebony profiter des feux sur la plage, un bon truc sympa quoi, pas une corvée pour l'été! Il était arrivé sur sa moto, l'air bougon, il avait déjà envie de tirer une gueule de trois mètres de long. Ca promettait tout ça! Son sac de sport rempli de fringues et d'autres trucs pour survivre ici, il s'était rendu à l'accueil pour savoir qu'elle chambre on lui avait attribué. Ses lunettes de soleil sur le nez et sa casquette bien enfoncé pour qu'on ne le remarque pas, il se rendit au numéro de la chambre qu'on lui avait attribué. Personne pour l'instant, chouette, il put choisir son lit, en même temps tu me diras..ils étaient tous aussi pourris les uns que les autres donc.. Il envoyé son sac sur le lit puis quitta la pièce. Après s'être fait quelques clopes derrière un arbre à l’abri des regards, il se dirigea vers une grande salle où était tenue une réception de bienvenue pour les saisonniers qui venaient majoritairement de Berkeley cette année. Il avait déjà eu envie d'envoyer valser un môme à la flotte sur le trajet alors qu'il n'arrêtait pas de gueuler pour que ses parents ne le laissent pas dans ce camp pourri. C'était ses mots, il n'inventait rien. Une fois à l'intérieur de cette salle, Zayn fit profil bas, il baissa la tête, les mains dans les poches de son jean, il se dirigea directement vers le buffet. Il avait faim, il avait rien mangé depuis midi, il fallait bien qu'il remplisse son ventre, quitte à ne rien laisser aux autres, ce n'était en rien dans ses préoccupations. Il espérait qu'il y ait du beau monde à emmerder..
› prénom, pseudo : noémie › date d'inscription : 20/04/2014 › nombre de messages : 5713 › disponibilité rp : cameagan› avatar : julian schratter
Sujet: Re: TOPIC COMMUN ▶ Nos jours heureux, 1ère édition ! Lun 9 Juin - 13:09
Sac de voyage sur l'épaule, Isay débarque sur sa nouvelle résidence pour le mois à venir, le camp Rivendell. Il est difficile d'imaginer un Isay volontaire pour participer à ce genre d'évènement. Le russo-suédois s'occupant de gamins, et quoi encore ? C'était sans aucun doute l'inverse qui allait se produire, mais Isay n'en avait que faire. Lui il était là parce qu'il n'avait pas souhaité rentrer chez lui pour les vacances, ayant débarquer à San Francisco à peine un mois et demi en arrière. Et rester en ville seul, non plus. Alors lorsqu'il avait remarqué que deux personnes particulières se rendaient au camp rivendell, il n'avait pas vraiment hésité. Le jeune homme ne prend jamais de décision au hasard. Et surtout il ne s'inflige jamais de contraintes de ce genre sans qu'il y ait une raison valable derrière. Il aurait très bien pu choisir d'aller en Grèce, ou au festival Coachella. Mais cet été à Rivendell s'annonçait bien plus amusant et rocambolesque que le reste. Isay se rend à l'accueil où on le renseigne sur sa chambre et ses colocataires. Il arque un sourcil à cette annonce. Ah parce qu'il n'y a pas de chambre individuelle, génial qu'il se dit. En espérant qu'il ne tombe pas sur deux plaies. Un rapide coup d'oeil aux noms de ces deux colocataires qu'il retira instantanément sa derrière pensée. Il allait partager sa chambre avec Zayn et... Silver. Silver, sa Silver. Celle avec qui il était en léger froid depuis le soir du bal. Celle avec qui il avait eu des antécédents sexuels disons et qu'il devait considérer à présent comme sa sœur. Weird, vraiment weird comme situation. Mais au moins le fait de partager leur chambre les forcerait à avoir une conversation. Une vraie conversation. Après avoir déposé ses affaires au pied d'un lit visiblement inoccupé, Isay décide d'aller explorer les environs. L'accueil l'a informé qu'un buffet se tenait actuellement dans la grande salle du camp afin d'accueillir les saisonniers. Après quelques recherches, il finit par entrer dans ladite salle pour s'apercevoir qu'elle est quasiment vide. Une personne est juste présente. Visiblement Isay et lui sont les deux premiers arrivés. Le russo-suédois se dirige vers ce gars et lui tend une main amicale une fois arrivé à sa hauteur. « Salut moi c'est Isay ». Poignée de mains viril. « T'es Zayn c'est ça ? A priori on partage la même chambre m'a-t-on dit à l'accueil. Et j'ai vu tes affaires lorsque j'ai dépose les miennes ». True story. Il est presque certain qu'il s'agit du Zayn avec qui il doit partager sa chambre. Etant le seul saisonnier présent avec lui et ayant vu des affaires posées dans leur chambre, la déduction est vite faite. « Ca a l'air bien pourri quand même ce camps » décrète-t-il, en mode au final, qu'est-ce que je fous réellement là ? Isay se sert un verre avant de laisser échapper un soupir là. Il n'a pas hâte de voir à quel poste il va être affecté, ça c'est certain.
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Sujet: Re: TOPIC COMMUN ▶ Nos jours heureux, 1ère édition ! Lun 9 Juin - 21:55
Cette incontrôlable valise allait avoir raison de moi. Je ne l'avais pas trouvé dans mon appartement alors même que j'allais sûrement louper le car qui m’emmènerais au camp de vacances. J'avais regardé ma montre, avait soufflé de désespoir et avait tenté en vain de retrouver ce foutu élément qui était des plus majeurs pour mes vacances. Ok très bien. En ouvrant la porte d'entrée de l'appartement, je l'avais aperçu toute seule, en bas des marches. Bon, soit mon colocataire Vitaly avait toujours un humour vraiment pourri, soit en ce moment je perdais la mémoire. Les deux solutions pouvaient être recevables. Et me voila, dans un taxi qui m'emmenais vers le camp où j'allais travailler cet été. Sauf que, lorsqu'il avait ouvert son coffre pour récupérer ma valise et me laisser faire le reste du chemin à pied comme une grande en vue des injures que l'on se balançait au visage depuis le début du trajet, la valise s'était faites encore une fois la malle et dégringolait la pente. Non mais on croyait rêver. A bout de souffle, j'avais couru pour la rattraper et, épuisée, avait tenté d'arriver au camp. Tout cet effort m'avait donné plus que faim mais à voir les noms qui s'accordaient au mien pour la distribution des chambres une fois à l'accueil, je me dis soudain que j'aurais préféré que ma valise disparaisse totalement pour avoir plusieurs jours de retard. J'avais une poisse d'enfer. Pire que ça, la guigne et le mauvais oeil, tout ça contre moi. A la rigueur, je pouvais tolérer Zayn parce que, malgré qu'il avait tout de même tenté de rentrer en douce sur le site de tournage sur lequel je travaillais, il m'avait fait rire plus d'une fois après un nombre incalculable de chamailleries. Mais Isay ? Ma mine s'assombrit. Je suis décontenancée au point de demander à ce que l'on me change de chambre parce que je suis pudique et que je ne pourrais jamais me retrouver à me changer comme une malpropre devant un homme que je connais peu et devant Isay comme si de rien n'était. L'idée m'effraie. Qu'on puisse se retrouver l'un et l'autre ensemble, aussi proche mais que rien ne soit plus jamais comme avant. Alors j'essaie de garder mon sang-froid et de faire bonne figure parce qu'après tout, je ne le laisserais pas déteindre sur ma vie de cette manière ce qui montrerait à quel point tout ce que je ressentais pour lui, avant que l'on pense que l'on était frère et soeur, n'avait rien avoir avec une quelconque amitié. Je dépose ma valise dans la chambre qui m'est dédiée pendant que j'observe les deux autres qui trônent au milieu de la pièce. Et en plus ils sont déjà arrivés. Mon air revêche ne me quitte plus à présent mais je dois faire mine que tout va bien au quel cas je risque d'exploser bien trop vite au goût de tous. Alors j'avale deux médocs supplémentaires pour calmer les battements irréguliers de mon coeur et parce que j'en suis accro à ces cochonneries et embarque avec moi ma caméra que j'allume aussitôt pour faire quelques plans de l'enceinte du camp. Je continue à filmer même au moment où j'arrive au réfectoire pour apprécier l'accueil des nouveaux saisonniers. Il s'ouvre sur une immense pergolas que je détaille à travers l'objectif lorsque, sur l'écran, je distingue nettement Zayn et Isay. Deux hommes de mon passé. Le monde est petit. C'est pas faute de me le répéter mais ce genre de coïncidences me choquera toujours autant. Et ben, on m'avait dit qu'il fallait me protéger contre les nuisibles mais je pensais pas qu'ils étaient de cette taille. La plaisanterie est de mauvais goût mais ma franchise à toute épreuve déborde souvent de mes lèvres avant même que je ne réfléchisse à mes paroles. En tant normal j'aurais balancé ces propos sans aucun état d'âme parce que je les connaissais pour savoir qu'ils s'en ficheraient très vite. Mais aujourd'hui Isay et moi, ce n'était plus comme avant et il allait falloir que je change radicalement d'attitude. Mais plus je suis nerveuse, plus je fais des boulettes du genre. Same on me. Zayn ... Je le salue d'un signe de tête en abaissant ma caméra et me détourne difficilement vers Isay. Son regard me fait l'effet d'une vive brûlure mais je ne laisse rien paraître. Salut ... Aïe, plus tendu tu meurs.
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Sujet: Re: TOPIC COMMUN ▶ Nos jours heureux, 1ère édition ! Jeu 12 Juin - 22:23
Camp Rivendell Topic commun
Ah les vacances d'été. C'est avec un plaisir non dissimuler que le jeune alpha les attendaient. Un moyen pour lui de s'évader, d'oublier tous les soucis qu'il a dû rencontrer durant cette année scolaire. Sans aucun doute, la pire année de sa scolarité à Berkeley. Non pas qu'il a chuter niveau scolaires, mais plutôt que ses fréquentations ne lui ont pas apporté que des bonnes choses. Tous comme lui, n'en a pas apporté à Abigail, Jamie ou même Harper. Partir de berkeley et plus généralement de san francisco ne peux lui faire que le plus grand des biens. Il y a trop de souvenirs pour lui là-bas et même si les choses se sont arrangées dans sa vie privée, il y a encore quelques plaies qui restent à vif. La proposition qui s'est alors présenter au bras droit ne pouvait pas être refusé : en effet venir travailler bénévolement dans un camp pour s'occuper d'enfants c'est un retour aux sources bien mérité et qui lui fera le plus grand bien. C'est donc avec une grande excitation qu'il sort sa valise de son coffre, heureux de pouvoir passer trois semaines dans un tous autre lieu qu'à SF. Partir sans Harper n'a pas été facile, mais la jeune femme s'est montrée très compréhensible et Erwan, en bon petit ami qui se respecte, s'empresse d'ailleurs de lui envoyer un petit message pour la rassurer quant à son arrivée au camp. Etre trois semaines loin d'elle alors qu'elle est enceinte n'est pas vraiment un plaisir pour le futur médecin, mais heureusement que l'on a inventé les appelles en visio n'est-ce pas ?! Poussant sa valise le long de sa jambe, Erwan observe les alentours. Un petit groupe d'adultes semblent s'être réunis, mais le jeune médecin n'a pas réellement l'envie de se montrer sociable maintenant, il lui faut trouver sa chambre et prendre ses marques avant de faire l'effort d'aller vers les autres. Un peu diva sur les bords le Erwan...
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Sujet: Re: TOPIC COMMUN ▶ Nos jours heureux, 1ère édition ! Mer 9 Juil - 16:35
« Je rentrerai début Août. » Il est six heures du matin à Stockholm, vingt-et-une heures à San Francisco. A l'autre bout du fil, mon père grommelle mais finit par acquiescer un peu sèchement. Ma gorge se noue, et les larmes me montent aux yeux. S'il y a bien une chose que je déteste, c'est lorsque Stieg Jaslang est en colère ou déçu par ma faute. « S'il te plaît, ne rends pas ça plus pénible que ça ne l'est déjà. J'ai vraiment hâte de te voir. » Murmurais-je, la voix presque éteinte. Mon diplomate de père soupire, puis se tait pendant quelques secondes, qui me paraissent être une éternité. « Je ne veux pas être injuste avec toi, mais comprends aussi mon point de vue. J'ai juste envie de te revoir, Valentina. Tu me manques. » Une larme glisse le long de ma joue, et je me sers de ma main libre pour me faire de l'air. Je m'en veux d'être aussi faible dès lors qu'il s'agit de mon père, que je tiens en haute estime. Partir étudier à Berkeley, en Californie, a été l'une des décisions les plus difficiles à prendre. Être éloignée de la personne qui me tient le plus à cœur et en qui j'ai le plus confiance est une contraire et une souffrance quotidienne. « Tu me manques aussi. » Soufflais-je après m'être reprise en main. « Je dois filer, je suis en retard. » Ajoutais-je après avoir jeté un coup d’œil à ma montre.
En retard. Pour changer. Je n'ai pas encore eu le temps de vider mes valises, mais j'ai néanmoins pris le soin de me changer. Malheureusement pour moi et mon bien-être physique et mental, j'allais devoir troquer mes hauts talons pour des baskets, et mes robes d'été pour un short et débardeur. Avant d'entrer dans la salle où se déroule la réception, je m'avance vers le panneau d'affichage où se trouve la liste de nos noms, et nos fonctions. Mes sourcils se froncent d'indignation lorsque je vois qui seront mes collègues. Kremer l'insupportable Gamma, Lindgren, l'insupportable ex petit-ami … et puis quoi encore ? Il ne manquait plus que Matthew et Lennon, et ce serait le jackpot. Mais mon enfer atteignit son comble lorsque je vis que j'étais affiliée au ménage. J'avais été enrôlée de force dans ce camp minable, je devais partager ma chambre avec des inconnus, j'avais des collègues insupportables et imbus d'eux-mêmes, et par dessus le marché, je devais m'occuper de la propreté des locaux. La haine. Je n'avais pas imaginé ça lorsque j'avais dit à la direction qu'ils pouvaient me placer là où bon leur semblait. Agacée avant même que l'aventure ne commence, je suis entrée dans la salle, déjà bondée. Mes yeux balayèrent la salle d'un regard, et s'arrêtèrent une seconde sur le trio Kremer, Lindgren et Elias-Bell. Le trio gagnant. J'ai continué mon inspection, et j'ai vu Erwan Hawthord. Alpha de son état, je le connaissais de vue pour deux raisons : il appartenait à la hiérarchie de sa confrérie, et sortait avec Harper qui, pour sa part, appartenait aux Bêta. Après une seconde de réflexion, je me suis avancée vers lui, prête à engager la conversation. Après tout, nous allions vivre ensemble pendant les prochaines semaines, et nous ne nous connaissions que de vue ; autant commencer à faire connaissance maintenant. « Salut Erwan. » Dis-je en arrivant à sa hauteur. « T'as l'air au moins aussi ravi que moi d'être là. » Fis-je remarquer après avoir constaté son air renfrogné.
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Sujet: Re: TOPIC COMMUN ▶ Nos jours heureux, 1ère édition ! Jeu 10 Juil - 17:52
Zayn - Le camp Rivendell que la fête commence..euh ou pas
Zayn n'avait clairement aucune envie de se retrouver là, ça se voyait en plein sur sa tête même s'il essayait de se terrer comme un rat pour pas qu'on vienne le faire chier des le premier jour. Il se sentait assez associable, sa mauvaise humeur étant de sortie. Et dire que c'est le jour d'accueil, il fallait se faire voir sous son meilleur jour pour avoir une chance de se faire des amis. Ahah la bonne blague, comme si le jeune gamma avait besoin de quelqu'un pour survivre, et puis il sentait déjà les gros cas arrivaient devant lui alors.. Casquette enfoncée sur la tête, il mangeait les petits fours sans faire de bruit, et alors qu'il pensait être bien caché, voila qu'on vint l'accoster. Isay disait-il s'appeler. Qu'est-ce qu'il lui voulait? Ah ils étaient dans la même chambre.. Chouette, il allait pouvoir se faire un nouvel ami.. Zayn le détailla de haut en bas avant de lui lâcher un quelconque mot, se demandant si ce mec avait le potentiel d'être cool ou bien pompeux pour lui. Mais à sa tête et à ses paroles, il sentait qu'ils allaient bien s'entendre. Vous savez ça ne se contrôle pas ses choses là! T'aurais dût tirer les cartes ou je ne sais quelle connerie car t'es plutôt bon pour deviner les choses! Ouai il fallait le faire quand même qu'il soit tomber sur le bon mec qui s'appelait Zayn, car il n'était pas le seul gars de la salle donc.. Mais il applaudissait son talent, enfin façon de parler. Tiens tu veux un petit four? Et voila qu'il lui en tendait un, se sentant l'âme charitable de les partager avec son nouvel ami. Il faudrait qu'il le dise à bony, elle qui dit toujours qu'il n'a aucun pote gars, là il pourrait lui fermer son clapet. Je te le fais pas dire.. Lui rétorqua-t-il la bouche pleine, et oui Zayn a la grande classe mais bon entre mâles ça dérangeait pas non? Bon j'espère que t'es pas trop emmerdant, pas trop maniaque, car sinon ça va pas le faire la colocation! Et vus que je suis arrivé le premier, ça sera à toi de dégager la place. Lui fit-il remarqué de tout son sérieux, okay il le sentait bien mais il pouvait tout aussi bien se tromper, sait-on jamais.. Et voila que débarqua..Silver. Oh tiens donc elle était de la partie elle aussi? Ahah je savais que t'avais une voix d’humoriste toute tracée. Lui déclara-t-il pour se foutre clairement de sa gueule après sa remarque mais bon il était content de la voir car il adorait l'emmerder. Zayn se sentait d'humeur conne ce soir, et ça ça promet jamais rien de bon pour les autres, mais lui s'en foutait bien. Il arqua un sourcil en voyant le malaise qui régnait entre Isay & Silver. WTF? Bref, il s'en fout, son regard se dirigea alors vers un duo qui capta son regard. Bam bam bam mais qui voila l'intello avec la barbie high level! On va bien se marrer! Oui il pensait à haute voix et d'ailleurs il ne se gêna pas pour aller à leur rencontre. Une fois à leur hauteur, il se permit de déposer un bras sur les épaules de Valentina, comme s'ils étaient de bons potes, ce qui n'était clairement pas le cas mais depuis le temps qu'il rêvait de l'emmerder.. Alors les loosers, on dirait bien qu'on va devoir se supporter un bon bout de temps?! Zayn et son beau sourire aux lèvres, bonne chance à vous les amis..
Sujet: Re: TOPIC COMMUN ▶ Nos jours heureux, 1ère édition ! Dim 13 Juil - 16:14
Camp Rivendell Topic commun
Erwan soupire. Même pas deux minutes dans ce camp et y si ennuie déjà. De retour dans la grande salle remplit de certains des membres du camp, Erwan les observe longuement. Il en connais certains de vue, notamment Valentina et Isay, mais il est vrai qu'il ne connait pas grand monde de façon officielle. Les réseaux sociaux ainsi que le journal universitaire permette aux étudiants de se connaitre sans s'être jamais vue. Il est donc facile pour le jeune homme de se faire des conclusions hâtives sur les autres jeunes présent dans la pièce. Malgré son côté soignant et altruiste, il lui arrive très souvent de juger les gens sur une simple réputation ou bien sa façon de se conduire. De toutes les façons, la race humaine est l'une des plus féroces et il sait très bien que l'on ne se gênera pas pour le juger également, notamment avec tout ce qu'il s'est passé dans sa vie récemment à propos de Jamie, Stephen et plus récemment Harper. Dans un sens, Erwan est bien heureux d'être loin du campus après le scandale du bal...Tout le monde l'a vu agresser Stephen et s'en prendre une en retours avant d'apprendre devant tout le monde qu'il allait être papa. Des choses qu'il aurait aimés garder pour lui. Des aléas de sa vie personnelle que tout le campus n'a pas besoin de connaitre, mais il y a toujours des oreilles indiscrètes... Le bras droit des alphas ne sort de ses pensées que lorsqu'il entend une voix féminine s'adresser à lui. Une voix qu'il ne connaissait pas forcément. Erwan porte alors son attention sur Valentina et un mince sourire s'étend sur ses lèvres.Salut Valentina. Disons que ce n'est pas ce que j'aurai rêvé pour mes vacances, mais certains sacrifices sont parfois nécessaires. Il adopte une moue septique avant de poursuivre. Tu es ici pour faire quoi ? lui demande-t-il plus par curiosité qu'autre chose. Son attention est alors attirée par un homme en short et chapeau, qui leurs demande le silence. Le dit homme leur annonce alors qu'une soirée entre membres du personnel est organisé ce soir même afin de faciliter l'intégration et la bonne entente. Des murmures commencent alors à s'élever dans la salle, certains semble déjà ravis, mais les dires de l'homme en short vont sans doutes les refroidir. Cela dit, ni alcool, ni autre chose ne sera présent ce soir. On vous offre un buffet à volonté et un cocktail sans alcool. Puisqu'il ne faut pas oublier qu'elle est faite pour faire connaissance. Sans alcool, la fête est plus folle n'est-ce-pas. Cela sera prêt d'ici une demi heure L'homme part alors de la salle dans un étrange rire qui n'inspire que dégout à notre futur médecin. De nouveaux murmures s'élèvent alors, bien moins enjoué qu'avant. Super... Lance Erwan à l'attention de Valentina qui semble elle aussi , assez dégouté de la situation... .
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Sujet: Re: TOPIC COMMUN ▶ Nos jours heureux, 1ère édition ! Lun 14 Juil - 23:23
Je n'aurais peut-être pas dû venir aussi tôt et arriver comme une fleur au milieu d'une réunion qui allait s'avérer houleuse finalement. Je coupais pourtant Zayn et Isay en pleine discussion. Qu'est-ce qu'il me prenait ? Ma solitude était ce qui me réconfortais le plus et aujourd'hui, sans même y faire attention, j'avais foncé vers les deux seules personnes que je connaissais et pour quoi ? Le plaisir de pouvoir se sembler entourer ? Mouais, entouré d'un Zayn complètement fou à lier et d'un soit-disant frangin avec qui j'avais couché. Ha ben là c'est sûr qu'on en faisait une belle brochette tous les trois ! Mon regard se tourne un peu aux alentours pour apercevoir les derniers arrivants mais rien qui ne valent la peine que je m'isole. Et puis maintenant c'était trop tard pour faire demi-tour alors j'allais devoir prendre mon mal en patience. Je grimace devant la remarque de Zayn et fais mine de ne pas être amusé par ses propos. Lui et sa grande bouche. Un truc de gamma. Pourquoi avaient-ils tous toujours envie de se donner en spectacle ceux-là ? Appelle moi Coluchette... Mais il ne pourrait même pas comprendre ma remarque soufflé à demi-mot étant donné que l'artiste que je cite est originaire de France. Pas sûr que Zayn ait un jour eu l'idée de s'intéresser aux humoristes venant de ce pays. Toujours est-il que je cherche le regard d'Isay parce que malgré nos remarques qui fusent pour détendre l'atmosphère - drôle de manière de le faire - je ne savais toujours pas où on en était et comment on se devait se comporter face à l'autre. Tout ce que je savais c'était que je remerciais limite le ciel de m'avoir apporter le gamma dans cette combinaison explosive. Au faites, j'ai vu qu'on était tous les trois dans le même bungalow. Enjoy. Un sourire s'épanouit sur mes lèvres mais il a l'air que peu franc en vue des circonstances. Zayn nous quitte alors. L'imbécile ... Je me retrouve face à Isay mais voit que son regard est tourné vers une Valentina qui se fait limite agresser par le gamma. Je lève les yeux, le séjour promet. Et puis finalement une annonce est proclamée. Parfait, sauvons le silence pesant qui s’exerce entre moi et ma mauvaise romance.
Après l'annonce et avoir grignoté, je me disperse dans la foule. La soirée est bien avancée puisque le ciel s'obscurcit rapidement. Le camp est vide, seul nous, étudiants de Berkeley sommes présents. Le lac scintille un peu plus loin et je me dis que je ne pourrais pas tenir une soirée à suffoquer face à la lourde atmosphère présente. Moi vouloir mettre de l'ambiance ? On aura tout vu. Toujours est-il que je disparais, je file vers mon bungalow et fouille ... Les affaires de mes deux compères. Ha ben bravo, t'as pas retenu la leçon Silver ? Et puis finalement je retourne sur le lieu de la soirée et brandit les bouteilles que j'ai trouvé. Il y en aura pour tout le monde. Les regards se tournent rapidement vers moi, les corps s'échauffent, les acclamations retentissent et d'un sourire envers Zayn, je continue sur ma lancée. Et si on tentait un, je n'ai jamais ? Sérieusement ? Silver quand elle est en vacances, elle devient une toute autre personne apparemment ...
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Sujet: Re: TOPIC COMMUN ▶ Nos jours heureux, 1ère édition !
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Pour les personnes qui rejoignent le camp par la suite, il est entendu que dans un souci de cohérence chronologique, il ne sera pas possible d'y participer, mais pas d'inquiétude, si ce sujet fonctionne bien, il n'est pas impossible que la Direction organise un nouveau pot d'accueil un peu plus tard durant l'été... Nous vous recommandons de poster relativement court, et vous êtes bien sûrs libres d'ouvrir d'autres rps, qu'ils se déroulent ce même soir, ou à un autre moment de l'été. 
Cette incontrôlable valise allait avoir raison de moi. Je ne l'avais pas trouvé dans mon appartement alors même que j'allais sûrement louper le car qui m’emmènerais au camp de vacances. J'avais regardé ma montre, avait soufflé de désespoir et avait tenté en vain de retrouver ce foutu élément qui était des plus majeurs pour mes vacances. Ok très bien. En ouvrant la porte d'entrée de l'appartement, je l'avais aperçu toute seule, en bas des marches. Bon, soit mon colocataire Vitaly avait toujours un humour vraiment pourri, soit en ce moment je perdais la mémoire. Les deux solutions pouvaient être recevables. Et me voila, dans un taxi qui m'emmenais vers le camp où j'allais travailler cet été. Sauf que, lorsqu'il avait ouvert son coffre pour récupérer ma valise et me laisser faire le reste du chemin à pied comme une grande en vue des injures que l'on se balançait au visage depuis le début du trajet, la valise s'était faites encore une fois la malle et dégringolait la pente. Non mais on croyait rêver. A bout de souffle, j'avais couru pour la rattraper et, épuisée, avait tenté d'arriver au camp. Tout cet effort m'avait donné plus que faim mais à voir les noms qui s'accordaient au mien pour la distribution des chambres une fois à l'accueil, je me dis soudain que j'aurais préféré que ma valise disparaisse totalement pour avoir plusieurs jours de retard. J'avais une poisse d'enfer. Pire que ça, la guigne et le mauvais oeil, tout ça contre moi. A la rigueur, je pouvais tolérer Zayn parce que, malgré qu'il avait tout de même tenté de rentrer en douce sur le site de tournage sur lequel je travaillais, il m'avait fait rire plus d'une fois après un nombre incalculable de chamailleries. Mais Isay ? Ma mine s'assombrit. Je suis décontenancée au point de demander à ce que l'on me change de chambre parce que je suis pudique et que je ne pourrais jamais me retrouver à me changer comme une malpropre devant un homme que je connais peu et devant Isay comme si de rien n'était. L'idée m'effraie. Qu'on puisse se retrouver l'un et l'autre ensemble, aussi proche mais que rien ne soit plus jamais comme avant. Alors j'essaie de garder mon sang-froid et de faire bonne figure parce qu'après tout, je ne le laisserais pas déteindre sur ma vie de cette manière ce qui montrerait à quel point tout ce que je ressentais pour lui, avant que l'on pense que l'on était frère et soeur, n'avait rien avoir avec une quelconque amitié. Je dépose ma valise dans la chambre qui m'est dédiée pendant que j'observe les deux autres qui trônent au milieu de la pièce. Et en plus ils sont déjà arrivés. Mon air revêche ne me quitte plus à présent mais je dois faire mine que tout va bien au quel cas je risque d'exploser bien trop vite au goût de tous. Alors j'avale deux médocs supplémentaires pour calmer les battements irréguliers de mon coeur et parce que j'en suis accro à ces cochonneries et embarque avec moi ma caméra que j'allume aussitôt pour faire quelques plans de l'enceinte du camp. Je continue à filmer même au moment où j'arrive au réfectoire pour apprécier l'accueil des nouveaux saisonniers. Il s'ouvre sur une immense pergolas que je détaille à travers l'objectif lorsque, sur l'écran, je distingue nettement Zayn et Isay. Deux hommes de mon passé. Le monde est petit. C'est pas faute de me le répéter mais ce genre de coïncidences me choquera toujours autant. Et ben, on m'avait dit qu'il fallait me protéger contre les nuisibles mais je pensais pas qu'ils étaient de cette taille. La plaisanterie est de mauvais goût mais ma franchise à toute épreuve déborde souvent de mes lèvres avant même que je ne réfléchisse à mes paroles. En tant normal j'aurais balancé ces propos sans aucun état d'âme parce que je les connaissais pour savoir qu'ils s'en ficheraient très vite. Mais aujourd'hui Isay et moi, ce n'était plus comme avant et il allait falloir que je change radicalement d'attitude. Mais plus je suis nerveuse, plus je fais des boulettes du genre. Same on me. Zayn ... Je le salue d'un signe de tête en abaissant ma caméra et me détourne difficilement vers Isay. Son regard me fait l'effet d'une vive brûlure mais je ne laisse rien paraître. Salut ... Aïe, plus tendu tu meurs.