Sur la plage abandonnée, coquillages et crustacés. [PV Jonathan C. ]

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Il y a avait bien longtemps que Sally-Ann ne s'était pas levée si heureuse, d'habitude confrontée à sa mère dès le levé, aujourd'hui tout était différent, elle etait seule et adorait ca. Ca n'était pas son reveil-matin roseringard qui l'avait tiré du sommeil ce Samedi, c'était le soleil. De grands rayons bleus, colorés par les rideaux transparents de S-A, baignaient la pièce de lumière à seulement 11h45... Attendez un instant, 11h45 ?! Oh que la vie est belle lorsqu'on est en vacance ! La jeune fille avait dormie 10h cette nuit, et cela faisait bien longtemps qu'elle revait d'une cure de sommeil pareille à celle là ! Elle se leva donc, toute contente d'Elle-même, ouvrit les volets et contempla le ciel azur un long instant. C'était le temps idéal pour aller faire une ballade à la plage. Sally-Ann hésita : Y aller seule ? Etait-ce une très bonne idée ? Ca faisait un peu "sans amis" et elle n'avait pas vraiment envie qu'on ai cette image d'Elle. Mais bon, ce n'était pas plus mal comme ca, ca lui permettrait de rencontrer du monde, Elle qui adorait faire de nouvelles connaissances !

Elle prit donc sa petite voiture de collection, une mini cooper rose qu'un conscessionnaire lui avait fait pour ses 16 ans en édition limitée, et roula à toute allure, son sac de plage et son bikini sur elle, direction Ocean Beach !

Arrivée sur la côte, ses cheveux légerement secoués par le vent marin, elle retira ses chaussures coutures et sauta de l'autre côté de la barrière, dans le sable aussi chaud que fin. A cette heure là de la journée, en pleine vacance, la plage n'était pas bondée, mais presque. Beaucoup préféraient venir plus tard dans la journée, quand le soleil tapait moins. Elle s'installa donc sur sa serviette, se mit en maillot et mis une bonne couche de crème transparente ( non merci les traces blanches !) pour protéger sa peau lactée.

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Jonathan était encore bien endormie quand un oiseaux vint troubler son sommeil. A vrai dire, il était même très bien endormie ! Profondément endormie, plongé dans un monde qui était bien loin de la réalité. D'ailleurs, il avait fait un rêve bizarre. Il était dans le Hollywood Tower du célèbre parc d'atraction Disney Land. Sauf que l'attraction n'avait rien à voir avec celle qu'il connaissait. Enfait, elle n'avait rien à voir avec ce qu'elle était tout simplement. Il devait passer des épreuves et aller sauver la princesse. Malheureusement il avait toute une armée à ses trousses. Par conséquent, il avait du opéré dans la plus grande discrétion. Enfait c'était un mélange de compte de fée et du jeu video Assassin's Creed. Bien que son rêve soit des plus loufoques, Jonh' aurait bien aimé savoir la suite de cette histoire. Et puis, il aurait bien aimer voir la gueule de la princesse, parce qu'il n'avait pas eut le temps de la sauvé dans son rêve, et pourtant il l'a voyait de loin. Bref, il voulait surtout savoir à quoi elle ressemblait et si elle était bien foutu. Hey ! Un mec reste un mec non ? Quoi qu'il en soit, il n'eut pas le temps de se replonger dans son histoire fantaisiste, puisqu'une Pie vint se poser sur le rebord de sa fenêtre. Cette saleté de bestiole venait à chanter alors qu'il n'était que 9h du matin ! En plus, c'est pas pour dire mais cette race d'oiseau a vraiment un chant horrible. Bref, ouvrant un oeil puis un autre, Jonathan ne mit pas énormément de temps à accepté le fait qu'il ne pourrait pas se rendormir. Il regarda donc le réveil qui se trouvait juste à côté de son lit dans sa chambre universitaire. 9h00 ... Il était bien trop tôt pour le jeune Crawden ! Malheureusement, une fois réveiller, il ne pouvait plus s'endormir, c'est pour cela qu'après cinq bonnes minutes à regarder ses deux colocataires complétement endormie qu'il se leva. Il était en boxer, c'est donc cette fine tenu qu'il se dirigea directement vers la salle de bain. Il resta prêt d'un quart d'heure sous la douche chaude, laissant couler l'eau le long de on corps de dieu grec. Puis, après avoir profiter de la chaleur de l'eau et s'être laver, il sortie de la douche pour mettre une serviette autour de sa taille. Qu'allait-il faire aujourd'hui ? Ca il ne le savait pas. Du moins, avant qu'il ne tombe sur son déodorant. En effet, alors qu'il s'apprêtait à se mettre du déo', la marque de celui-ci l'interpela. En effet, c'était un déodorant Thaiti. Magnifique île de la polynaisie Française. Un île qui le fit directement pensée à Hawai qui n'était qu'autre que son île natal. Il y avait quand même vécu jusqu'à ses 14 ans. Là bas, il avait tout appris, que ce soit de son sport fétiche à comment embrasser une fille. Bref, tout un tat de mon souvenir lui vint en tête, et quand il se regarda, il rigola légèrement en constatant qu'en arrivant sur la côte Ouest des USA il avait perdu son beau bronzage Hawaïn. Bref, il se rappela non seulement du fait que c'est là bas qu'il pratiqua la Boxe Thailandaise et le MMA, mais aussi qu'il pratiqua le surf. C'est alors qu'il eut le déclique. Aujourd'hui, il irait faire du surf sur la plage ! En espérant qu'il y est des vagues, même si elles ne seront jamais aussi grande que celle de son île natale. Alors qu'il avait envisager de s'habiller d'un Jean et d'un t-shirt gris à motif noir, il changea d'avis. Il alla donc chercher ses souvêtements, ainsi qu'un short Hawaïen et d'un simple t-shirt blanc avec Quicksilver écrit en rouge dessus. Ce matin là, il ne se rasa pas puisque sa barbe de deux jours n'était pas encore trop longue. Ce qui lui permettait de garder sa coupe fétiche. Il enfila des tongues, pris ses clefs de voiture, mit ses lunettes Ray-Ban sur le nez, puis finit par prendre sa planche de surf dans son armoir. Un dernier accessoir et il pouvait partir : sa sacoche marron dans laquel il avait mit son téléphone portable ainsi que son argent. C'est donc habiller dans sa tenue d'Hawaïen, sa planche de surf sous le bras et sa serviette sur l'épaule qu'il sortie de la maison de sa confrérie pour se diriger vers le parking. Ses affaires une fois dans le coffre il pu rouler tranquillement au volant de Jaguar noir d'origine anglaise fraichement payer avec l'argent du compte de papa, tout cela en musique avec la chanson de Nada Surj - Always Love. C'est quelques minutes après qu'il arriva à la plage, cela sur les coup de 9h45.
Pedant 2h00, le beau brun fit du surf et à vrai dire, en tant que pure Hawaïen, il s'avait s'y prendre. Il avait poser sa serviette ainsi que ses affaires sur le sable chaud tandis qu'après cela, il enlevait son t-shirt, pour faire baver toutes ces demoiselles qui se trouvaient à proximité de lui. Au moins, il était sûr que ce n'était pas elles qui iraient lui voler quoi que ce soit. Une fois torse nu, il pris sa planche et alla dans l'eau qui était un peu fraîche. Encore un truc à regretter par rapport à Honolulu. Bref, c'est 2h00 après qu'il ressortie afin de faire une petite pause. Planche sous le bras, ses cheveux encore trempés, ainsi que son corps imbibé d'eau, il marcha sur le sable laissant derrière lui quelques regards de jeunes femmes qui bavait sur son corps. Bien entendu, il laissait aussi quelques disputes et crises de jalousie de la part des petits copains jaloux. Malheureusement son sourire amusé s'estompa lorsqu'il reconnu un Beta qui s'installait juste à côté de sa serviette. Il ne l'a connaissait pas plus que ça. Juste de vu, cependant, il la voyait suffisament pour savoir que c'était une Beta. Et c'est connu ... les gamma n'apprécie pas la plus part des Beta en général ... Particulièrement John'. C'est bien pour cela que quand il arriva tout prêt d'elle, il planta dans le sable sa planche orné de flammes rouges et orange derrière un dragon dans le même style que celui de son tatouage sur le bras droit, tout cela accompagner d'un pinthagrame dans dans cercle. Puis il prononça de son air arrogant, et supérieur qui était bel et bien destiné à la rabaisser :

- Tiens Tiens Tiens ... Je ne savais pas qu'ils acceptaient les pimbèches croisées rats sur cette plage. Je croyais qu'ils avaient fermé l'accès à ce type bestiole.

Après avoir dis cela d'un ton des plus aimables, il retira son regard supérieur orné du bleu azur qui séjournait dans ses yeux depuis sa naissance pour le poser sur sa sacoche. Il se baissa pour la prendre afin de se servire dans son paquet de clope. Il se releva ensuite, allumant sa cigarette pour commencer à la fumer tranquillement avant de prendre sa serviette pour se sêcher cheveux.

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Sally-Ann se trouvant bête, sans rien avoir à faire, décida de se trouver une occupation, en attendant de croiser une amie sur la plage. En effet, si elle était venue à la plage seule, c'est aussi parce qu'elle savait très bien qu'elle croise toujours quelqu'un qu'elle connait la bas, et qu'elle aurait bien vite trouvé de la compagnie. Elle farfouilla longuement dans son sac de créateur, secouant gloss, agenda, bonbons, mp3, pour enfin tomber sur une revue essentiellement portée sur la mode qu'elle s'empressa d'ouvrire, toujours allongée sur son dos.

C'est lorsqu'elle allait entamer une rubrique annoncant : 'Comment se faire un corps de rêve en 10 jours ?' qu'elle vit une silhouette, qui elle n'aurait pas besoin de ces conseils là, à l'horizon. S-A ne reconnut pas tout de suite de qui il s'agissait, il faut dire que le jeune homme était entrain de surfer et à cette distance, dans l'eau, il n'était pas facil de deviner son visage, mais c'est lorsqu'il regagna la plage que la grande blonde regretta amèrement ces premières pensées son égard. Maintenant, elle voyait parfaitement de qui il sagissait, elle l'avait croisé à plusieurs reprises dans des soirées de gamma où Miles l'avait ammenée ou même encore sur le campus. Et croyez le ou non, même avec cette tête d'ange, ce mec était le diable en personne, n'hésitant pas à rabaisser et à se croire supérieur à toutes personnes qu'il rencontrait. Elle connaissait plusieurs filles qui auraient payé pour être à ses côtés sur la plage, mais pour Sally-Ann c'était différent. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, même si l'apparence d'un garcon jouait beaucoup, pour elle, rien ne valait mieu que sa personalité. Elle grimaca lorsqu'il arriva à sa hauteur et qu'elle constata avec désolation qu'elle était installé à 2m tout au plus de lui. Pourquoi a t'il fallut qu'elle choisisse cet endroit ?!

Sally-Ann n'était pas du genre à chercher des embrouilles avec ceux qui n'avaient rien contre elle : Quand elle n'aima pas particulièrement quelqu'un, elle l'ignorait ou l'évitait au mieu. Mais quand en revanche, on faisait tout pour l'enerver en lui parlant mal, ou pire, en la rabaissant, la réaction ne se faisait pas attendre. Surtout étant quelqu'un de très suceptible, elle prit assez mal l'attaque du jeune homme et lui répondit du tac-o-tac :

" - Et moi je ne savais pas que les brutes épaisses et mal élevées dans ton genre savaient faire des phrases."

La jeune fille ne l'avouerait jamais, mais elle avait toujours un peu envié les gamma. Ce sont des étudiants indépendants, qui font ce qu'ils veulent, quand ils veulent et surtout, oh oui surtout, sans penser aux conséquences de leurs actes, sans penser au regard des autres. Ils sont LES rebels, ils se fichent de ce que peuvent penser les autres, et ca, Sally-Ann ne le pourra jamais. Il lui arrivait souvent de regretter sa petite vie ordonnée, de vouloir de quelque chose de plus exitant, de moins conformiste, mais le changement lui faisait peur et surtout la réaction de sa mère. Ayant déjà des problèmes, la rebellion de sa fille serait le coup de grâce.

Sally-Ann essaya de se replonger dans sa lecture, puisque de toutes facons, aucune conversation civilisée n'était envisagable avec ce genre de grossier personnage ! Elle qui avait imaginée une douce aprés midi à la plage, avec ses amies à parler fringues et garcons, disons que ce n'était pas du tout ca. Elle se retrouvait en compagnie d'un désagréable étranger qui la comparait à un rongeur... So charming !
Elle oublia l'article minceur, étant déjà assez maigre et se rendit directement à la rubrique Horoscope, celle qu'elle lisait à chaque fois, sans y croire vraiment. Elle chercha son signe du regard, et lorsqu'elle tomba enfin sur Belier, elle lut dans sa tête : "Une semaine où vont alterner les bons moments sentimentaux et les contrariétés de la vie quotidienne, du style vous partez en week-end amoureux et votre voiture tombe en panne ou bien vous perdez vos bagages. Ne laissez pas les détails de la vie matérielle assombrir votre humeur, ce qui compte c'est l'amour et le bonheur, et ne mettez la faute sur le dos de personne. Vous découvrez des personnes très différentes de vous qui ouvrent des horizons de réflexion, les vacances ça permet aussi de se mélanger aux autres, pensez-y."SA se demanda une fois de plus, pourquoi elle avait ENCORE lu son Horoscope, puisqu'à chaque fois c'était la même chose, elle trouvait sa completement bidon. Elle ferma brutallement son magasine et mit ses bras deriere sa tête, en fermant les yeux.

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Les vagues n'avait pas été grandiose en ce début d'après midi. Et à vrai dire, c'est dans ces moments là que le beau Jonathan regrettait sa vie à Honolulu. Bon okay, ce n'était pas le meilleur endroit pour devenir quelqu'un de connu et de respectueux, mais de toute façon, Jonh' ne rêvait pas de cette vie. Tout ce qu'il voulait c'était hériter de la fortune de son père. Pourquoi ne pourrait-il pas simplement prendre son fric et se casser à Hawaï ? Ra ! Les parents. Mine de rien, même si notre beau jeune homme est un rebel qui fait ce qu'il veut de ses journées, aussi bien pour glander que pour ramener des filles dans sa chambre, il y avait une chose où il était obliger de devoir obéïssance à ses parents : Son avenir. Par conséquent, il avait été obliger d'aller à l'université, et pas n'importe laquelle puisque c'était la 3em meilleur du pays. Mais bon, il n'allait pas se pleindre. Il était en californie prêt de San Francisco où reigne le soleil et la bonne température, puis ce n'est pas comme s'il se trouvait à un endroit où il lui était impossible de surfer. Donc, certes il regrettait son départ de Hawaï par moment, mais au final, il se plaisait bien en Californie. Et puis ici au moins, il y avait des fêtes, de l'alcool et des filles à gogo ! Et puis, dans un autre sens, Honolulu, il y retournait régulièrement pour ses vacances, donc bon, au final, sa vie était toujours aussi agréable qu'il l'avait connu. Il y avait juste ces petits moments de nostalgie qui raignait quand il pouvait constater que sur l'êle Volcan, il y avait quelque chose qui ne se trouvait pas à San Francisco. Mais pour tout dire, Hawaï lui était sortie de la tête dès lors où les deux belles brunes venait de le dévoré du regard, l'une lui lancant même un petit coucou de sa main droite. Ce sourire ravageur, angélique et amusé d'apparance et arrogant et sournois officieusement. Cependant, une nouvelle fois, ses pensées furent boulversé. Puisque ses pensées fanstasme s'évaporèrent à partir du moment où la tête d'une certaine Beta vint s'incruster dans sa ligne de mire. Quelle idée de se foutre à deux mètres de sa serviette aussi ?! Pfff ! Quoi qu'il en soit, au moins ça mettrait de l'ambiance sur cette plage. Cette fois-ci, ce serait pas une dispute dans un couple à propos d'une crise de jalousie qui éclaterait sur ce vaste espace border de sable fin. Mais un guerre entre deux personne qui ne peuvent s'apprécier.
Le bel hawaïen qui avait troquer sa planche contre une cigarette venait de lancer à la tronche alors que celle-ci n'avait rien demandé. Oui ça c'est dans la nature de Jonh', quand il n'y a pas d'embrouille, croyez moi, il sera là pour les créé. Il adore ce foutre dans ce genre de situation. Il est dans son élément dans ces moment là. D'ailleurs, ça a toujours été comme ça, et ce, depuis qu'il est tout petit. C'est d'ailleurs ce que lui a toujours repproché sa petit soeur qui était bien plus sage que lui malgré qu'elle ne soit pas l'enfant parfaite que ses parents aurait désiré avoir. Enfin bref, le beau jeune homme n'y avait pas été de main morte en allant directement sur les insultes alors que la pauvre jeune femme n'avait rien demandé. Mais bon, Croyez vous vraiment que Jonathan s'en souciait ? Non pas du tout ! Au contraire, ça la mettrait plus en rogne. Cependant, alors qu'il pensait avoir réussit à la casser, c'est lui qui fut remit à sa place après que la Beta répliqua en y allant franco à son tour. A vrai dire, si le jeune n'avait pas autant de fierté et d'orgeuil, il aurait avoué qu'elle l'avait bien cassé, mais Jonathan, c'est Jonathan. Par conséquent, il était hors de question qu'il se laisse faire. Un léger sourire amusé s'afficha sur ses lèvres. Ca mettrait du piment dans la "discution". Cette jeune femme, il l'a connaissait de vu, son colocataire Miles l'avait à plusieur reprise ramener lors de fête de Gamma, mais il n'avait jamais vraiment fait attention à elle. Cependant, il l'avait suffisament regarder pour savoir qu'elle avait l'air d'être le genre de fille plutôt bien élevé qui écoute ce que sa mère lui dit de faire. C'est d'ailleurs ce qui expliquait le fait qu'elle fasse partie des Betas et non des Gammas. C'était vraiment là la différence entre ces deux fraternités. Quoi qu'il en soit, Jonh' était décidé à ne pas la laisser avoir le dernier mot. Il avait déjà sa petite idée en tête de ce qu'il pourrait bien dire, cependant, il prit son temps pour répondre, la regardant feuilleté son magasine pouvant appercevoir, du haut de sa position, une page sur l'horoscope. Il garda sa cigarette à la bouche, afin de pouvoir remettre sa serviette étaler sur le sol comme elle l'était avant qu'il ne s'en serve pour sécher ses cheveux. Il prit sa cigarette à la main pour le regarder avec son air supérieur puis, après l'avoir fixer de ses yeux bleu azur, qui en avait envouté plus d'une, il prononça sucptillement :

- tu apprendras que les brutes épaisses et mal élevé comme tu dis savent faire bien plus de chose que tu ne le penses. Aussi bien verballement que physiquement ... Mais ça ce n'est pas dans tes bouquins de gonzesse pour pauvre névrosé que tu vas l'apprendre.
cette phrase dite, la jeune femme pouvait la comprendre de tout un tat de manière, mais la première qui venait à l'esprit, c'est que Joe la rabaissait en la prenant pour une moin que rien insinuant qu'elle ne comprenait rien. Mais il y avait surtout quelque chose d'autre que Jonathan insinuait. En effet, lorsqu'il parlait de chose qu'il savait faire physiquement, il ne parlait pas spécialement du fait de frapper sur quelqu'un comme il savait si bien le faire et comme une tierse personne pourrait le comprendre, mais il parlait d'une autre activité physique. A la fois perverse et constructive, c'est comme ça qu'il fallait prendre la tournure de la phrase. La partie qui donnait naissance à une vantardise du jeune homme dans les domaine plus personnelle était à comprendre rapidement puisque la manière dont le bel hawaïen l'avait prononçait laissait tout particulièrement comprendre de quoi il parlait. Tout cela étant bien entendu pour mettre l'accent sur le fait qu'il était comparé à une grosse brute épaisse et mal élevé. Mais aussi histoire de relancer le dialogue quelque peu non-civilisé et pimenté leur rencontre

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Sally-Ann était de nature très posée, pas du tout du genre à s'enerver pour un rien, restant calme dans toutes les situations, et celle ci également. Elle avait la chance de ne pas panniquer dans les cas critiques, pour pouvoir réfléchire et trouver une solution adequat, plutôt que flipper. La situation suivante était tout sauf critique pour elle, bien sur elle avait connue bien mieu, mais elle ne se sentait pas mal non plus. Disons que pour l'instant, le jeune homme n'avait pas encore été trop loin, et heureusement. Elle ne savait jamais à l'avance comment elle allait réagir, disons que cela dépendait des gens, mais surtout de son humeur, étant une jeune femme assez lunatique.

Son meilleur ami étant un gamma, elle en savait un paquet sur les bad boys et leurs habitudes. Ca lui avait toujours plus ou moins fait envie, mais elle avait toujours nié et dit qu'au contraire, elle preferait l'ordre des Beta. C'était faux, elle avait assez de tout cet ordre, elle ne revait que d'une chose, mettre le bazarre partout et surtout, se ficher de se que penserais les autres. Gamma était une confrérie parfaitement à son opposé, mais Miles était la preuve qu'on pouvait tout de même s'entendre, mais elle devait avouer qu'elle avait du mal à s'imaginer à une bonne soirée entrain de rigoler avec Jonathan. Disons qu'il était le Bad Boy poussé à l'extreme, Il refletait seulement les mauvais côtés des rebels quoi. Elle ne le connaissait pas et n'aurait pas vraiment du le juger mais étant une fille qui apportait beaucoup d'importance aux apparencec, la première impréssion était importante, et pour le coup, elle n'était vraiment pas bonne. Mais bon, elle ne comptait pas changer quoi que ce soit en lui, c'était sa nature d'être agressif et mal poli, soit. Il était quand même dommage qu'il donne une si mauvais image des Gammas, alors qu'ils n'étaient, bien heureusement, pas tous comme lui.
Lorsque Jonathan fit une drole d'allusion à de sois-disant compétences au lit, elle eut un petit sourire moqueur, qui n'était pas du tout habituel chez Elle. Alors ce serait un bon coup ? C'est le genre de chose qu'il faut vérifier, pensa t'elle legerement perverse. La plupart des filles qu'elle connait se serraient senties très fébriles à l'évocation de pareills atouts et n'auraient pas su quoi dire, mais elle, était plus amusée que mal à l'aise. S'il comptait la gener en parlant de ca, il allait avoir du mal au moins de lui parler très cruement, car si elle est un peu coincé dans la vie générale, c'est une fille qui aime prendre du plaisir et qui l'assume totalement.

" - J'ai un peu de mal à te croire sur parole quant à tes competences "physiques", je ne crois que ce que je vois. Et bon, j'aurais été justement une "pauvre névrosée", j'aurais sauter sur l'occasion pour te demander de me le prouver, mais il faut croire que ce n'est pas le cas... "

Bon, elle ne disait pas non plus qu'elle serait partie en courrant s'il lui avait proposer quelques activitées pour adultes, mais son attitude envers elle poussait à tout sauf à l'apprécier, lui. Parce que apprécier son corps, ca, c'était autre chose.

Sally-ann pouvait parler très serieusement et puis changer radicalement de ton et s'attaquer à des sujets légers en très peu de temps. Pour l'heure, elle était plus d'humeur à rigoler et heureusement, elle ne voulait pas se prendre la tête avec lui, ni avec personne d'autre. N'étant pas quelqu'un qui cherche les embrouilles, elle se trouvait bien bête devant ce mec qui visiblement ne comptait que la rabaisser. Est-ce que ca marchait ? Bof. En tout cas, elle l'avait compris qu'il ne l'aimait pas, elle n'en connaissait pas les raisons et trouvait son jugement un peu hatif mais bon, il ne fallait pas trop lui en demander le pauvre...

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A vrai dire, si entre Sally et Jonathan tout les opposait, ils avaient au moins un point commun, aussi bizarre que cela puisse paraître. En effet, tout comme son adversaire de taille, John' possédait un caractère très posé. Il ne se prenait pas la tête, relativisait la moindre de chose. A vrai dire ce n'était pas du tout le genre de mec stressé de la vie. Cependant, même s'il était relativement serein et zen, il était un chieur né. Et ça, ce fut depuis toujours. Il se rappelle encore les journées passé avec ses nourices. Il faisait son maximum pour les pousser à bout alors que sa petite soeur était là pour montrer que les enfants calmes et sérieux ça existait. Ces nombreuses fois où, lorsqu'il était encore enfant, Jonathan allait voir les demoiselles et venait les embêter. A vrai dire, si aujourd'hui Joe se montre parfois gentleman et bourreaux des coeurs, à l'âge enfant, il ne l'était pas vraiment. Il était plutôt détester des filles. Et il ne s'en préoccupait pas plus que ça, trouvant nettement plus intéressant de les embêtter plutôt que de sympathiser. Oui ç vrai dire, depuis tout petit le jeune Crawden était comme cela. C'est donc tout naturellement qu'aujourd'hui, il continuait dans la lignée de ses actes précédents. A la seul différence qu'il était plu cru et plus chieur. C'était dans ses moments là que l'aîné des Crawden se montrait complexe. Parce que d'un côté, il était quelqu'un de très zen, un peu fainéant sur les bords même. Mais de l'autre, il savait comment faire pour foutre sa merde auprès des autres personnes, ce qui s'opposait parfaitement à son caractère de tous les jours, autrement dit, celui de petits glandeur, no-stress plein aux as. Après, c'est surement le fait qu'il ait les moyens de se sentir supérieur qui le rendait aussi désagréable avec les autres. Quoi qu'il en soit, il n'était pas là pour se soucier du pourquoi du comment de ses actes, mais plutôt pour les réaliser. Qu'en avait-il à faire de ce que pensait les gens de lui ? Qu'en avait-il à faire de savoir pourquoi il faisait tout ça ? Honnêtement, ce n'était certainement pas ça qui l'empêchait de dormir la nuit. C'est bien pour cela qu'il ne se reteint pas de venir faire chier son monde ce matin là sur la plage. Quand il agissait ainsi, ce n'était pas à lui qu'il gachait la journée, mais aux autres, alors honnêtement, ce n'était pas les remords qui allait s'abattre sur lui.
C'est bien pour cela qu'il n'appliqua pas le célèbre proverbe "il faut savoir tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler" à la lettre, en venant directement frapper son adversaire de paroles disgrassieuse. Tout cela au sens littéraire bien entendu. Cependant, l'adversaire du jour ne se laissait pas abattre et avait, apparement, été à bonné école pour parré la moindre attaque et y répondre en le ruant de coup dur. Il fallait l'avoué, la petite savait se défendre et ne se laissait pas faire. En plus de ça, elle restait tout aussi zen que Jonathan. Le jeune homme avait beau être de nature impulsive, ce n'était pas du tout dans ce genre de situatoin que l'envie de frapper au sens propre son interlocuteur lui prenait. Non, loin de là. Ces moments d'incapacité à se contrôler intervenait quand l'adversaire touchait les points faibles du jeune homme, en particulier quand celui-ci se trouvait être un homme. John' n'était pas encore assez fou pour frapper une femme. Non pas qu'il les sous-estimait, juste qu'il conservait son éduquation noble et qu'il avait apprit à voué un minimum de respect envers les femmes, cela même si la plus part de ses actes de drague et de rapport intime avec celle-ci pouvait parfois faire pensé le contraire. Mais revenons à nos moutons, témoins d'une bataille qui s'annonçait rude. Certes, intérieurement, la jeune homme pouvait constater qu'au final la jeune Beta grimpait un temps soit peut dans son estime - même si elle était loin de faire partie de ces personnes qu'il respecte - il était loin d'abandonné le combat, refusant catégoriquement de la laisser avoir le dernier mot, cela même si elle avait répliquer astucieusement. Il rigola légèrement au moment où elle lui répondit qu'elle doutait fort de ses performances physique et que contrairement à ce qu'il pourrait pensé, elle n'aurait point envie de se rué pour en avoir la preuve. Au moins, elle était ouverte d'esprit et n'avait pas l'air choquer de son allusion, ce qui finalement était un bon point. Mais bon, l'idée principal étant de la dégouter plus ou moins, il fallait qu'il se reprenne pour assurer une réplique sanglante à son tour. Pour cela, il s'assied sur sa serviette, reprenant sa cigarette dans la main, afin de cracher la fumée qui avait parcourru ses poumons après avoir emprunter l'allé directe de sa trachée, laissant se dissimuler tout un tat de substance néfaste. Après cela il redéposa son regard sur elle. Un regard qu'il avait déplacer afin de le diriger vers l'horizon, ne regardant rien de précis, le temps qu'il laisse s'échapper la fumer facteur d'un probable futur cancer. Puis, il prononça d'un air arrogant et pourtant moins provocateur que les phrases précédantes, le troquant contre un air défieur :

- Après ta phrase, deux scénario s'impose. Le premier, est simplement qu'au final, tu aurais plutôt peur de ne pas te ruer sur l'occasion de peur de ne pas être à la hauteur. Ou sinon, c'est que vu ton anthousiasme ironique fasse à la chose, et ce renoncement à un corps qui en fait baver plus d'une, on pourrait en déduir qu'à la fin, ce ne serait pas les hommes qui t'attirent mais la gente fémine. Soit, si je prenais en considération ces deux hyppothèse, tu répondrais surement que ce serait surement moi qui ne serait pas à la hauteur ou que je ne serais qu'un simple Matcho minable. Par conséquent, laissant ces deux avancés prendre le trône de l'hyppotèse et non du fondé. Quoi qu'il en soit, tu as l'air bien sûr de toi ... Et de ce que tu avances. Mais peux-tu réellement confirmer la chose sans même avoir pu récolter un témoignage ou même une preuve ?
Dans cette phrase là, sans même savoir pourquoi, il entendit raisonner dans sa tête "c'est ceux qui en parlent le moins qui en font le plus". Ce qui le fit sourire intérieurement parce que la phrase était non seulement vrai pour la plus part, mais serait aussi très bien a utilisé contre lui.

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Sally-Ann commencait à trouver la situation assez comique, ne s'attendant pas du tout à ca au départ. Elle aurait pensé, au contraire, qu'ils allaient tout deux monté le ton peu à peu, pour finir en répliques terriblement blaissantes. Mais pour le coup, bien qu'ayant commencé assez fort en comparant la jeune fille à un animal, il avait comme changé de registre, faisant maintenant carément des sous entendus. La belle blonde apréciait beaucoup le fait, qu'aprioris, il soit aussi calme qu'elle, n'ayant pas un mot plus haut que l'autre. Car il faut le dire, les garcons n'était pas réputés pour être des personnes très patientes et zen dans toutes les situations. De cette facon, ils pourraient s'entretenir, certe pas gentillement, mais au moins sans hurler, ce qui était déjà pas mal.
Beaucoup, beaucoup de filles aurait adoooooré étre à sa place, et auraient sauté sur l'occasion pour lui proposer un plan cul. Beaucoup, mais pas Sally-Ann et pourtant ce n'était pas du genre à dire non, si vous voyez ce que je veux dire. Pas mal de fille aurait avalé leur fierté et aurait oublié le fait qu'il soit un chieur qui se fiche du monde entier, sauf de lui, et que trois secondes plus tot, il les rabaissait. Mais la jeune fille était très orgueilleuse, et il lui faudrait beaucoup, beaucoup, BEAUCOUP, d'alcool dans le sang pour s'oublier avec jonathan, bien qu'il faut le dire, correspondait parfaitement au genre de S-A et étant très apetissant.

"- Moi lesbienne ? A vrai dire, je crois que j'aime bien trop les garcons pour passer aux filles maintenant."

Elle disait la vérité, Sally-Ann était une grande amoureuse, elle adoooooorait les garcons, les petits, les grands, les bronzés, les blacks, les petits blancs, les bruns, blonds, les roux. Elle les aimait tous, et adorait séduire, se sentir aimer, se sentir désirer... Vous me direz, un peu comme tout le monde, mais pour elle s'était poussé à l'extreme. C'était une grande gourmande, voulant gouter à tout, tout le temps. Elle se souvenait encore de ces longues soirées ou elle avait du choisir en Patati ou Patata, pour finallement retenir les deux. S-A était jeune et belle, elle en avait conscience, alors elle comptait en profiter pleinement ; Mais pas au point d'avaler sa fierté. Elle choisisais quand même bien ses partenaires, ses conquetes. Même si elle se laissait parfois séduire par un BadBoy ou un Rebel, parce qu'ils lui plaisaient, elle finissait par dire non et c'était toujours le petit mec bien rangé qui finissait dans son lit. Une question d'image comme toujours, bien qu'il fallait avoué, qu'elle avait quand même cédé à la tentation quelques fois et qu'elle s'était sentie bien mieu dans les bras d'un Rebel. Elle s'était toujours demandé pourquoi ? Surement le goût de l'interdit.
Et même si elle l'aurait été, SA n'aurait jamais pu vivre son homosexuellité pleinement, vous imaginez la tête de sa mère si elle apprenait que sa fille était lesbienne ? C'était hors de question.

"- Tu as tout à fait raison, je n'ai aucune preuve de ce que j'avance. Mais jamais aucune fille ne m'a vanté tes mérites, et pour ce qui est de moi, je ne compte malheuresement pas verifier ca par moi même. Et en effet, je suis assez sure de moi, et je pense qu'il y a de quoi. Mais toi, tu parles, tu parles mais tu ne fais toujours rien. "

Pour un grand parleur, le jeune homme n'était pas très audacieux, et surtout peu convaincant. C'est en pensant à ca que Sally-Ann se rendit compte à quel point la discussion était partie en vrille, mais pour le coup, ca l'amusait plus qu'autre chose et ne regrettait rien. Elle était sure d'elle, et quand bien même elle se planterait, elle n'en ferait pas tout un drame, relativisant. Surtout quand il sagissait d'un mec comme Jonathan, n'ayant pas plus d'impact que ca dans la vie de la grande blonde. Elle ne le connaissait pas, même pas son nom, ce n'est pas comme si il comptait pour Elle. Mais il est sur, qu'elle prennait toujours mal que quelqu'un ne l'aime pas, alors qu'elle ne lui avait rien fait de mal.
Le soleil commencait a taper serieusement sur sa peau, et elle eut bien peur que sa creme d'indice 40 ne suffisse plus vraiment à proteger la peau très fine de son visage. Elle se retourna donc sur le ventre, pour exposer son dos qui était bien moins fragil que le reste. Elle ne se détacha pas son haut, bien qu'elle en ai l'habitude, pour pas avoir de trace de bronzage. Elle ne voulait pas que le jeune homme interprete ca comme un signe ou un invitation, les garcons avait toujours tendance à comprendre les choses de travers. Peu être plus tard, histoire de voir sa réaction et pour le titiller un peu, ca pourrait être drole.[/size]

Invité

Plus le temps passait, plus la discution devenait sévère en critiques. Alors que d'un côté, Jonathan parait ses attaques de vantardise pour finir avec une supposition des plus absurdes afin de mettre un peut de piment dans l'histoire. De l'autre, il y avait Sally-Ann, qui restait d'un zen déconcertant et qui, astucieusement, répliquait en cassant littéralement le jeune homme qui devait l'avoué, avait surement trouver plus fort que lui. Mais croyez vous honnêtement qu'un jeune homme doter d'une fierté et d'un orgeuil de cette envergure l'avouerait ? Ah ça jamais ! Du moins, certainement pas devant elle. Il se devait de répondre tout aussi astucieusement qu'elle et ce pour que ce soit à son tour d'être en position d'inferieurité dans l'histoire. Si au premier quart temps de la compétition qu'opposait John' à Sally, le bel hawaïen se montrait gagnant, la deuxième partie du match se montrait en la faveur de la petite blondinette. Le match s'annonçait serrer malgré une légère domination de la jeune femme. Mais ne dit-on pas "dominé n'est pas gagné" ? En effet, John' c'était fait avoir à son propre jeu pour ce début de dialogue. Maintenant, ce serait à lui de coincé la blondinette dans ses filets en lui retournant la situation en pleine face. C'était, tout naturellement, que cette confrontation fut serrer. Mais en tant que sportif et compétitif assuré, Joe n'allait pas se laisser faire aussi facilement. Et contrairement à ce qu'on raisonnement laissait pensée, il n'était pas moins destabilisé de la voir si vite répliquer tout en puissance. Habitué des compétitions en tout genre, que ce soit dans le domaine sportif avec le MMA, ou il y a plusieurs années le surf, ou alors dans le domaine privé comme la conquête d'une jeune femme, John' n'avait jamais eut l'habitude d'abandonné. Et pour tout vous dire, il préférait avoir affaire à quelqu'un de son niveau plutôt que quelqu'un inférieur. Donc s'il était en position de défaite à ce moment là, c'était plus bénéfique à sa motivation plutôt qu'à sa destabilisation. Mettez lui une fille qui lui résiste, il persistera à la conquérir et lui prouver qu'elle succombera - cela, biensure, si elle l'intéresse -, ceci à l'image de la belle Jenny. MAintenant, mettez lui une petite peste qui joue de ses paroles pour le casser, et vous obtiendrez un John' dans son élément qui fera tout pour avoir le dernier mot. Le jeune Crawden aimait le défi et cet après midi là, il avait été servit !
La jeune femme lui répondit donc qu'elle était bien trop attiré par les hommes pour se laisser séduir par une femme. De quoi mettre les choses au clair bien rapidement, même si elle n'écartait pas l'idée qu'elle pourrait changer de bors un jour où l'autre. QUoi qu'il en soit, là n'était pas le sujet de la conversation. Car en effet, tout avait tourner sur les performances sexuel du jeune homme. John' décida donc de laisser de côté l'homosexualité qui en passant, ne l'avait jamais déranger le moins du monde, n'ayant vraiment aucune raison d'être dégouter ou même horrifié par cette préférence. Oui parfois, John' peut se montrer humain et compréhensible ^^ Quoi qu'il en soit, il fallait qu'il revienne sur ce que la jeune avait dit quand elle parla du fait que jamais une fille n'était venu vanter ses mérites. Sur le coup il ne pu s'empêcher de rire amusément sur le coup de la phrase, puis il prit une fausse mine outrée et déçu de ses paroles, tout cela bien abusément pour faire comprendre qu'en rien ce propos ne remettrait en question son expérience pour lui. Puis, elle passa au fait qu'il parlait beaucoup pour ne rien faire. Sur ce coup là, elle avait peut être été un peut trop loin, dans la mesure où John' n'avait encore pas vraiment parler mis à part de ses performances physique. Un nouveau sourir amusé s'afficha sur ses lèvres. Au vu de toutes ces réactions, n'importe qu'elle idiot pourrait comprendre que John' trouvait cette situation des plus amusantes et des plus plaisantes. C'était à qui serait plus arrogant que l'autre en cette heure, malheureusement, l'arrogance ne faisait pas tout chez la jeune femme puisqu'elle fit preuve de ce qu'on pourrait appelé intelligence. Par conséquent, il répliqua alors :

- Aucune fille ne t'a vanté mes mérites ? Oh je suis profondément blessé ! A un tel point que tu ne peux imaginer. En attendant, je ne vois pas alors pourquoi elle reviendrait, encore et encore, me suppliant de recommencer. Succomber à l'envie n'est pas anodin et n'est pas non plus par hasard. Si certaine d'entre, continuent de me fréquenter, C'est qu'il y a une raison non ? Pour revenir au fait que je n'agis pas beaucoup, tu n'aide en rien. La seul chose que j'affirme est mon expérience sexuelle. C'est vrai qu'on ne peut pas écarté l'hyppotèse du fait que je ne ferais rien, mais en attendant, tu ne m'aide pas. Comment pourrais-je te prouver mes dires, si toi même tu ne participe pas à la chose ? Ne faut-il pas être deux pour cette acte ? Ne faudrait-il pas que tu en fasse partie pour que je te prouve ce que j'avance ? Je n'ai pas encore le statu de violeur, et je n'ai pas l'habitude de brandir mes trophées si celles-ci n'ont pas été consentante. Par conséquent, tu es toi même en faute dans tes dires.

Par la suite, elle changea de position. Il la regarda d'ailleurs, de haut en bas à ce moment là, n'ayant aucunement peur d'être aussi peu discret dans ce qu'il regardait. Mais à ce moment, ce n'est pas une envie de la mettre dans son lit qui lui vint en tête, mais plutôt l'envie de remporter ce match. Une chose est sûr, c'est qu'à ce moment même, elle ne l'attirait pas. Malgré qu'elle soit doter de courbe bien généreuse et qui ne soit pas désagréable à contempler. Non, honnêtement, il ne la voyait pas dans cette position. Cependant, il retouta le fait qu'elle dise qu'il ne soit pas capable d'assurer ce qu'il disait, et qu'il ne soit pas aussi directe que ses paroles et son attitude laissait entre voir. Par conséquent, il ne lui laissa même pas le temps de répondre qu'il se pencha sur son corps, pour proncer d'une voix désabusé et en même temps, parcourir son dos de sa main afin de finir par détacher le haut de son maillot de bain :

- Que me diras tu après ? Que je ne suis pas assez entreprenant contrairement à ce que je laisse pensé ? Tu veux moins de blabla et plus d'acte ? Okay ...

Le long de ces paroles, donc, il passa sa main sur son dos partant des fesses pour remonter lentement du bout des doigts le long de son dos, faisant même un petit détour sur le côté de son dos, passant légèrement sa main sur sa poitrine pour finalement repartir sur le milieu du dos afin de détacher son maillot de bain. Ayant prononcé ceci Non loin de son oreille, il se redrassa ensuite, pour se repositionné sur sa serviette, les coudes sur le sol lui permettant de prendre appuis dessus, laissant donc son torse magnifiquement bien dessiné, doré au soleil. Une fois cela dit, il prononça d'un air tou à fait normal et à la limite du foutage de gueule :

- Ce sera quand même plus facile pour bronzé du crois pas ? Et pour ce qui est de mes dires, la seule raison pour laquelle tu ne pourras pas vérifier mon talent, après le fait que tu ne sois pas non plus, plus entreprenante, est qu'au final, tu ne sois pas plus attirante que ça. Je reviens donc sur ce que j'avais dis ... Tu n'aide vraiment en rien.

En y allant franco sur le fait qu'elle n'était pas attirante, bien qu'elle soit très bien former, Jonathan s'attendit à ce qu'elle soit légèrement blessé. Elle ne pourrait en rien répliquer quoi que ce soit sur son physique, puisqu'après tout, ceci faisait partie de l'un de ses atouts majeures. Ce qui mettait une entrave entre lui et ses conquêtes était généralement son caractère et son attitude, cependant, il arrivait que parfois l'envie soit plus fort que la raison, à l'image de la petite Jenny. Quoi qu'il en soit, pour ce qui était du match qui opposait Joe à Sally, le jeune hawaïen devait faire preuve de tact, pour empêcher la jeune blondinette de trop l'énervé, ce qui mettrait en rogne le jeune homme qui pourrait devenir ... disons méchant, en s'écartant un peu de l'optique de l'amusement. Il ne fallait surtout pas qu'il se laisse atteindre par le moindre de ses propos.

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Sur la plage abandonnée, coquillages et crustacés. [PV Jonathan C. ]

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