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« Parfois, le temps arrange les choses...»

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MessageSujet: « Parfois, le temps arrange les choses...» « Parfois, le temps arrange les choses...» EmptyDim 6 Avr - 6:51

Tobias&Jamie ❥ From N-Y to S-F



Depuis que j’avais quittée New-York, ma vie avait prit tout un autre sens. J’étais retournée à Chicago avec ma famille, dans l’espoir de l’oublier. Ce jeune homme, les yeux bleus, la peau basané… Tobias avait tout du futur mannequin! Pourtant, le jeune homme était bien plus brillant qu’un homme dépourvu de personnalité, qui se modelait à la demande du créateur de la ligne de vêtements. La seule différence, c’est que lui, il avait porté son regard sur moi… Bien que je ne le voyais que comme un amour de jeunesse, Tobias avait prit une place énorme dans ma vie. Il ne se passait pas une seule journée sans que je ne reçoive un e-mail de lui ou un simple appel. Parfois, ce n’était que pour me souhaiter bonne nuit, mais pour moi, c’était beaucoup. Du jour au lendemain, j’avais quittée New-York, sans le lui dire, ni même l’avertir de quoique se soit… Je m’en étais voulu, affreusement, mais je n’avais pas le choix. L’amour que je portais au jeune homme prenait beaucoup de trop de place dans ma vie et ça m’effrayait… J’avais peur d’être réellement amoureuse de lui et qu’un jour, au moment où il allait entrer à l’université, il m’oublierait. Tobias avait tout de même deux ans de plus que moi, alors tout était possible… J’avais appris la mort de son père par les nouvelles locales. Ex-policier, leur mort était souvent annoncée. Je m’en voulais de ne pas être là pour lui, mais il le fallait…

Neuf ans séparait mon départ de New-York et aujourd’hui. J’avais changée. La mort de mes parents m’avait donné une certaine maturité que je ne pouvais pas renier. J’avais acquis des connaissances en affaire. Il faut dire qu’à leur mort, mes parents nous avaient légués, à ma sœur et moi, leur bien le plus précieux. Le Burlesque. Sans attendre, j’étais devenue cette jeune femme au sourire forcé, qui buvait de l’alcool directement à la bouteille… J’avais changée. Je n’étais plus celle que Tobias avait connue… Malheureusement. Le temps finit toujours par changer les gens, que se soit en bien ou en mal, il modifie le cours des choses. J’ai pour mon dire que rien n’arrive pour rien dans la vie… Ce qui devait arriver, devait se passer exactement comme le destin en avait décidé. Avec le temps, j’avais appris à me méfier de l’amour, des hommes en général. Bien entendu, j’avais rencontrée celui que je voyais comme mon âme sœur, Erwan. Pourtant, notre relation en dent de scie ne nous apportait aucun bien. Je l’aimais cet homme, plus que je ne m’aimais moi-même, faisant passé ses besoins avant le miens… Pourtant, je ne pourrais pas me séparée de lui… Après tout, il avait prit la peine de prendre l’avion pour venir me chercher à Chicago et moi, je l’avais trahis en allant voir ailleurs. Je payais le prix fort de cette petite aventure. Je portais un enfant, j’allais être mère dans quelques mois et suite à cette annonce, Erwan, mon cher Erwan, était devenu froid et distant…

J’étais assise face à mon miroir, brosse à la main et je regardais mon reflet dans la glace. Je ne savais plus trop où j’en étais. Je me préparais pour cette soirée caritative que le Doyen Fredericson donnait. La tenue de soirée était exigée et juste la pensée de devoir enfiler une soirée chic, me donnait la nausée. Enceinte de quatre mois et demi, je n’avais pas envie que tout le monde découvre ma grossesse. Je tenais à la garder secrète le plus longtemps possible… J’avais donc optée pour une robe longue, avec un ceinturon sous la poitrine, rien qui moulerait mon ventre. Une fois vêtue, maquillée et coiffée, je téléphonais à la compagnie de taxi et descendit dans le hall de l’hôtel où je séjournais. Depuis mon retour, je n’avais pas encore pris la peine de chercher pour un appartement. Avec le bébé qui s’en venait, je préférais me trouver une maison. Silencieuse, je pris place à l’arrière du taxi, donnant l’adresse au chauffeur.  La maison principale du chemin des grecs étaient tout simplement splendide. Elle était imposante et elle rayonnait par les petites lumières qui la décoraient. Une fois rendue, le chauffeur vient m’ouvrir la portière, je paya la course puis entreprit de me rendre à l’intérieur. J’étais seule et ça m’affolait quelque peu… Je n’avais jamais réellement prit part à ses œuvres de bien faisances… Un homme s’approcha de moi et m’invita à me rendre dans la salle de bal, qui se trouvait à l’étage. Silencieuse, j’entrepris de gravir les escaliers, levant le regard. C’est à ce moment que je le vis. Lui… Tobias était là, bien habillé, discutant avec d’autres étudiants. Il était toujours aussi beau… Cependant, neuf ans, c’est long… Je mordis ma lèvre puis une fois rendu, je m’éloignai de lui, je ne savais pas quoi faire, ni comment il allait réagir. J’attrapai une coupe de champagne au passage et la vida d’un trait, malgré ma grossesse. J’étais sur un pied d’alerte, moi qui détestait revivre des souvenirs, voilà que celui, dont j’essayer d’oublier, venait de se pointer le bout du nez… Comment allait-il réagir?
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MessageSujet: Re: « Parfois, le temps arrange les choses...» « Parfois, le temps arrange les choses...» EmptyDim 6 Avr - 22:14

Je souris parce que je pense que si l'on cache sa souffrance elle disparaît. Et dans un sens, c'est vrai : elle est invisible donc elle n'existe pas, puisque nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle ; elle est occultée.
ft. Barbara Palvin & Theo James ♡
Ce soir, s'était une soirée très spécial qui se produisait à la maison Grec du campus. Un endroit incroyable et qui pouvais nous faire croire que s'était les plus riche qui y vivait, mais lorsque j'ai reçu le faire part de cet événement, je ne pouvais pas refusé. J'ai eu la chance d'aller magasiné pour un habit propre. Je voulais quelque chose qui je pouvais bien sûr repporté et j'étais satisfait de mes achats. S'était assez rare que j'allais magasiner. D'habitude, j'attendais toujours pour aller avec des copains ou des copines, mais s'était une raison valable pour moi d'aller faire les magasins et de sortir de chez moi. Je pris le temps de repassé ma chemise blanche, mon veston et mon pantalon noir. Je passais un coup de chiffon avec de la cire noir sur mes chaussures propre et j'avais la cravatte de mon père avec un pandantif du NYPD qu'il avait depuis des années. Sa montre en or qu'il avait depuis son mariage avec ma mère. Ceci m'étonne qu'elle fonctionne encore et ceci me donnait une raison de la porté. Je plaçais le tout sur mon lit bien placé. Je sortie des souvêtements fraichement laver d'hier. J'ai été bien élevé et je vais continuer à être un homme bien élevé. J'ouvris l'eau de la douche et je passais un bon quinze minutes sous l'eau tiède parce que s'était quand même humide ce soir. Je m'habillais en me regardant dans mon miroir. Je ne veux pas manquer rien sur mon habit. J'enfilais la montre en or de mon père et je l'admirais avec un sourire. Mon cher papa, je ne vais jamais t'oublier. J'enfilais ma cravatte et mon veston par la suite. Je ne me cassais pas la tête pour enfiler mes chaussures parce que s'était déjà fais. J'étais maintenant prêt. Je me voyais comme si j'étais le marié qui s'apprêtais à aller rejoindre la mariée sur l'hôtel de l'église. Je mis mon portefeuille dans ma poche arrière et mon iPhone dans la poche de mon veston. Je pris une grande respiration et je pris mes clés de voiture parce que si je rapporte une fille ce soir, je veux qu'elle soit confortable dans ma voiture. Ce n'étais pas une voiture chic, mais j'entretiens toujours bien mon camion. Un camion de l'année, donc c'est assez évident que je l'entretiens à ma manière. Fermant la lumière de mon logement et barrant la porte, j'étais en route vers cette événement pour conclure une journée qui s'était très bien dérouler. Examen, quiz et présentation oral, j'avais plusieurs semaines de congé devant moi avant de reprendre des cours que j'ai du remettre plus tard à cause de ma mère. Elle va mieux aujourd'hui, mais si je peux les faires en ligne, ça serais super. Lorsque j'arrivais devant cette fameuse maison qui était incroyable. Je sortie de mon camion et le valet complimentait mon camion. Je le remerçiais et j'entendis mon nom se faire entendre plusieurs fois par des copains de l'université. Je montais les marches de la maison et mon copain Dexter me passait une coupe de champagne à la main. S'était vraiment une belle soirée ce soir. On pouvait venir accompagné, mais je n'avais pas cette demoiselle avec moi en ce moment pour être accompagné. Le plaisir était au rendez-vous. On se tenait près de la porte et parfois, on regardais les gens qui entrait et qui sortait. Les commentaires étaient populaire en provenant de plusieurs et pour ma part quelqu'un avait attiré mon attention. Souriant à une jeune fille et je la saluait, son visage m'étais familier. Peut-être que je me trompais aussi. Je terminais ma coupe et je quittais mon groupe pour aller visité un peu les lieux. J'essayais de suivre cette demoiselle qui était mystérieuse à mon regard. Je la regardais marcher, se déhancher avec des talons haut et lorsqu'elle tournait la tête pour regarder sur un côté, un flashback est venu me mettre dans les états. S'était Jamie. Je me sentais nerveux en ce moment. Elle s'arrêtais devant une porte vitré. Mon reflet apparaissait derrière et je voulais laissé tous les larmes de mon corps s'échappé, mais je ressentais aussi une sorte frustration en moi. Je ne savais pas comment me sentir ou même agir devant elle. Mon coeur battais la chamade dans ma poitrine et je tournais les talons pour aller prendre de l'air. Je ne voulais pas devenir fou, mais en ce moment, j'avais tous les raisons du monde pour l'être. Je m'arrêtais devant le lac artificielle et je me parlais dans ma tête en me disant que je me trompais, mais le contraire voulait me dire que s'était vraiment elle. Je détachais mon veston pour me laisser respiré librement et je voulais crier ma vie en ce moment, j'en étais tout simplement incapable.



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MessageSujet: Re: « Parfois, le temps arrange les choses...» « Parfois, le temps arrange les choses...» EmptyLun 7 Avr - 23:02

Tobias&Jamie ❥ From N-Y to S-F

La vie est parsemée d’embûche. Parfois elle est faite en fonction de nos besoins et d’autres fois, non. Malheureusement pour moi, la vie avait décidée que je ferais des choix, que je finirais par regretter. Bien qu’au plus profond de moi, je refusais de le croire, mon grand amour avait toujours été Tobias. Le seul problème, était que j’avais rencontré Erwan et malgré tout nos problèmes, je l’aimais à la folie. Cependant, avec l’annonce de ma grossesse, nous nous étions peu à peu éloigner. J’avais le cœur brisé, mais rien n’arrive pour rien dans la vie… Depuis mon retour à San Francisco, ma vie n’arrêtait pas d’être chambouler. J’avais appris ma grossesse à Stephen et lors de cette annonce, nous avions été attaqués par deux malfrats. Heureusement pour nous, nous n’avions pas été battus ou autre. Bien que je voulais que Stephen fasse partit de la vie de notre enfant, je savais qu’avec sa petite amie, la tension serait assez élevée. Tout ça, m’effrayait au plus haut point. J’étais terrorisée par ma grossesse, je me sentais affreusement mal à l’aise. J’étais seule, sans parents, ma sœur vivait toujours à Chicago et Erwan… Ce n’était pas lui qui allait m’aider avec le bébé.

Vêtue de ma robe longue, je marchais au travers les invités pour éviter le regard de Tobias. J’avais deux options qui se présentaient à moi. Rester ou fuir. Par le passé, alors que notre amour avait prit une touche plus sérieuse, j’avais fuis. J’avais pris la fuite pour éviter de me faire mal. Coupe de champagne à la main, je vagabondais dans la salle, sans remarquer que j’étais suivit. Au moment où je passais devant une porte patio, je remarquais sa présence. Mon cœur arrêta de battre. Je ne savais pas comment réagir. Son visage exprimait une certaine douleur et ça venait de finir de briser mon cœur. Je le vis partir vers l’extérieur. Au moment où j’allais le suivre, le directeur Frederickson monta sur le podium de commença son discours. Je m’arrêtais et l’écouta attentivement, cherchant un moyen d’aller rejoindre Tobias. C’est alors qu’un homme, un enseignant sûrement, passa près de moi. Son parfum effleura mes narines, me donnant automatiquement la nausée. Je posais une main sur son ventre puis je me dirigea vers la sortie. Le vent frappa ma peau, calmant peu à peu ma nausée. Je pris une longue respiration puis leva mon regard, avant de voir mon cher Tobias un peu plus loin, près du lac artificiel. Je remontais le bas de ma robe, retirant mes chaussures à talons puis les posa sur le rebord du sable, laissant mon sac à main du même coup.

J’arrêtais à quelques pas de lui puis laissais retomber ma robe, qui effleurait le sable. Ma main rejoint mon front et le frotta légèrement avant de soupirer. « Je ne croyais pas que tu finirais par me retrouver… » Je mordis ma lèvre puis m’approcha de lui à nouveau, venant poser ma main sur son épaule, j’étais placée derrière lui. Les souvenirs se bousculaient dans ma tête. Je ne savais pas quoi faire. Lui sauter au cou, l’embrasser ou tout simplement partir en courant. Mon cœur battait la chamade. Doucement, je le fis tourner pour qu’il soit face à moi, pour qu’il me regarde. Nos retrouvailles avaient tout d’un conte de fées. Lui, il portait un bel habit et moi, j’étais vêtue de ma robe longue. Un doux sourire se posa sur mon visage. J’aurais eu envie de me blottir contre lui, pleurer et tout lui raconter ce qui s’était passé au courant des neuf dernières années, mais la place était aux questionnements et aux retrouvailles. « Pardonne-moi… De ne pas avoir répondu à tes e-mails… J’avais… Je ne savais pas quoi te dire… » Je le contourna puis m’approcha du lac. La lune y imprégnait son reflet et elle illuminait légèrement ma peau pâle. Discrètement, je posais une main sur mon ventre, le caressant un peu. J’étais sur le point de savoir le sexe du bébé et les retrouvailles avec Tobias, ne tombaient pas au bon moment… Dos à lui, j’espérais qu’il me pardonne…
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MessageSujet: Re: « Parfois, le temps arrange les choses...» « Parfois, le temps arrange les choses...» EmptyMer 9 Avr - 21:35

Je souris parce que je pense que si l'on cache sa souffrance elle disparaît. Et dans un sens, c'est vrai : elle est invisible donc elle n'existe pas, puisque nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle ; elle est occultée.
ft. Barbara Palvin & Theo James ♡
Je me sentais bizarre dans mon habit. Je n'étais pas comme les héritiés du campus qui s'habillait parfois un peu trop propre pour venir étudier. Moi je fais chier plusieurs lorsqu'ils me voient en pantalon de sport avec un chandail de sport confortable avec des chassures de sport pour que je puisse me sentir confortable. Oui, malheureusement, beaucoup de personne sont déranger par la manière d'ont plusieurs se comporte ou s'habille dans la vie de tous les jours. Moi, je m'en fou parce que je ne vais pas changer pour autant. Je me sentais comme un prince dans mon habit noir. Je me sentais spécial, mais à fois très inconfortable parce que mon coeur battait tellement fort que ma chemise commençait à me serrer le coeur corps. S'était à cause de ma circulation qui était trop élevé, mais c'est toujours comme ça quand tu ignore que tu va retrouver une personne que ça fait des lunes que tu n'a pas revue. Je prenais une chance d'aller à l'extérieur pour faire baissé ma pression, mais je n'avais que son visage dans ma tête. Elle était ici, en bonne santé et toujours aussi belle. Comment ne pas être fâché contre elle ? Je le suis, mais je ne suis pas capable. Je ne comprends plus mes sentiments en ce moment. J'ignore comment m'exprimé en ce moment et mes yeux se noyais dans mes larmes chaudes. Je figeais pendant un moment. Des larmes s'échappais simplement en ressentant la mains de Jamie sur moi. Elle me parlais avec douceur et se sentais mal. Je voulais qu'elle se sente mal, mais je ne pouvais pas m'en prendre à elle parce que la peine m'avait pris pas surprise.

« Tu croyais que j'étais pour abandonner ? Tu sais pas à qu'elle point que j'ai pratiquement tout donner pour te chercher... » Dis-je en essayant mon visage. Il est rare que je pleure, mais en ce moment, j'avais une bonne raison.

Je pris une grosse respiration et je regardais le ciel qui commençais à être étoilé. Je ne savais plus comment me comporter. Elle était-là. Elle me touchais, elle avait sa voie aussi douce que du velour. Je voulais l'embrasser. Je voulais la prendre dans mes bras parce que je ne voulais plus qu'elle parte. J'étais dans un monde complètement en-dessus, dessous parce que je ne comprennais plus rien. Tournant dans sa direction, une grosse larme avait décidé de s'échappé. Je ne pouvais plus me retenir parce que ceci se faisait automatiquement. Elle me parlait. Je pris des grandes respirations et sa peine fis surface. Me contournant, je la regardais faire. Je peux pas être fâché contre. J'en suis incapable. Si on peut recommencé à zéro, je lui donnerais cette chance. Je voulais que Jamie dans ma vie. Je voulais l'aimé comme avant. M'approchant d'elle, je pris une mèche dans ses cheveux et je déposais une main sur son épaule nu en caressant sa peau douce et frèle.

« Je ne t'es jamais oublier Jamie. J'ignore comment moi aussi exprimé ce que je ressent en ce moment parce que je n'ai jamais arrêté de t'aimé. »



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MessageSujet: Re: « Parfois, le temps arrange les choses...» « Parfois, le temps arrange les choses...» EmptyMar 15 Avr - 2:47

Tobias&Jamie ❥ From N-Y to S-F

Pieds nus devant le lac artificiel, je regardais la lune montée dans le ciel. J’avais envie de me blottir contre lui, l’embrasser, humer son odeur, comme avant. J’avais toujours eut la chance d’être très poche de Tobias. Lorsque je l’avais rencontrée, je n’étais qu’une jeune adolescente en vacance à New-York… C’est simple, mes parents étaient venus dans la grosse pomme dans le but d’acheter un nouvel emplacement pour pouvoir ouvrir un club. C’est à ce moment que j’aie rencontrée Tobias. On était sur la plage, dans les Hamptons, je trainais avec des copines. Il était là, avec ses amis, à jouer au volley-ball. Il avait tout du mannequin, tout pour me plaire… Sans même attendre qu’il ne vienne me voir, j’étais allée le voir et je m’étais présentée. Rapidement, on s’était amourachés. J’avais ensuite fait mes études à New-York, continuant notre petite amourette. Au fur à mesure que les saisons avançaient, notre amour grandissait… Lorsque je dus quitter, je compris, que malgré tout ce que je ferais, je l’aimerais plus que tout.

Il était de retour dans ma vie, je craignais affreusement son regard sur moi. J’étais enceinte de quatre mois et j’avais bien envie de mener cette grossesse à terme. J’avais posée mes mains sur les épaules du jeune homme, prenant le temps de m’excuser de ma disparition… Il faut dire que j’en avais souffert, lui aussi, mais je ne croyais pas qu’il aurait continué de me chercher ainsi… Tout cela, m’effrayais. J’avais envie de l’embrasser, mais tout mon corps m’en empêchait. Alors que je l’avais contournée, je regardais au loin, silencieuse. Lorsque je sentis sa main se posée sur mon épaule, je frémis. Sa douceur et sa chaleur m’avait manquées. Prenant mon courage à deux mains, je lui fis face, posant mon regard bleuté dans le sien. C’est à ce moment que je ressentis un léger coup au niveau de mon ventre. Un triste sourire s’afficha sur mon visage. Les larmes me montèrent aux yeux. « Tu aurais due cesser de m’aimer… Moi… Je… Je t’ai… J’ai essayée de t’oublier… » Je soupirais puis replaça une mèche de cheveux derrière mon oreille avant de m’approcher de lui et de poser ma main sur sa joue.

« Malheureusement, les temps on changés… J’ai été follement amoureuse d’un autre, Tobias… » Je posa mon front sur son menton puis je lâchais un long et douloureux soupire. Je ne savais plus trop quoi faire, mais je devais le lui dire. Il devait être au courant, il en avait le droit… Après tout, il avait fait partit de ma vie et jamais, je ne pourrais me passer de lui. Je pris donc sa main, enlaçant mes doigts avec les siens puis les posèrent sur mon ventre, par-dessus ma robe. On pouvait très bien sentir mon petit ventre de femme enceinte. Après tout, quatre mois, ça commence à se voir. «Je suis enceinte… De quatre mois et j’ai décidée de le garder… Je vais mener cette grossesse à terme…  Seule… Je ne suis pas avec le père… » J’ignorais pourquoi je venais de lui donner cette information, mais je me sentais obligée de le lui préciser… Je savais que je lui briserais surement le cœur, mais après tout, il y avait un certain espoir, d’un avenir heureux et meilleur, non?

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MessageSujet: Re: « Parfois, le temps arrange les choses...» « Parfois, le temps arrange les choses...» EmptyMer 16 Avr - 2:11

Je souris parce que je pense que si l'on cache sa souffrance elle disparaît. Et dans un sens, c'est vrai : elle est invisible donc elle n'existe pas, puisque nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle ; elle est occultée.
ft. Barbara Palvin & Theo James ♡
Il faut souvent faire des sacrifices dans la vie pour essayer de retrouver notre chemain. Ce perde et de retourner sur nos pats pour retrouver notre chemain et de pouvoir trouver des réponses. Ceux qui nous tienne tellement curieux, celle qui nous font le plus mal et celle qui nous donne envie de foncé encore plus loin dans la vie. C'est un de mes buts les plus précieux que j'ai gardé avec Jamie. Je me suis promis d'endurer le mal et de lui pardonner. Je me foutais bien de ce que les gens pensais de mes décisions. Mes copains à New York essayais tellement de me faire changer de page, mais je n'étais pas capable. En ce moment, je reste sur cette même page simplement en la voyant. Peu importe ses paroles qu'elle prononce, moi je n'ai jamais changer mon avis à propos d'elle. Je n'ai jamais été capable de me prouver le contraire. J'étais incapable de me retenir. Mes larmes coulait sans que je puisse en demander l'effort. Elle pouvait dire ce qu'elle voulait, mais moi, j'avais cette marque sur mon coeur qu'elle n'avait jamais quitté mes pensés. S'était elle tout simplement. J'essuyais mon visage et je la regardais. Je me doutais bien de ses mots, mais je pouvais le sentir qu'elle voulait se sentir encore plus mal en me le disant ainsi.

« Arrête Jamie... je... moi je ne pourrai jamais enlever ma promesse que je me suis fais parce que tu es importe pour moi. Je le sais que tu as essayer et j'ai su au moment où est-ce que tu ne me répondais pas à mes couriels. Je le savais qu'il y avait un autre homme derrière tout ça, mais je n'ai jamais cessé de t'aimé Jamie. Et maintenannt quoi... tu crois que c'est ça qui va me faire changer les idées encore une fois ? Sache que je ne vais jamais abandonné. »

Elle le sait que je ne suis pas un bon menteur. Je ne suis pas capable de mentir. Je me sent tellement mal lorsque je ment parce que je ne me sent pas confortable. Elle prit ma main et l'enlassat entre mes doigts et elle déposais ma main contre son ventre. S'était rond et ferme. Quoi ? Elle fallait qu'elle me dise ses paroles qui me mis perplexe. Elle est enceinte ? Ceci joue les cartes differement, mais je le voyais qu'elle avait peur même si elle avait pris la décision, mais ce n'est pas ça qui va me faire changer non plus. Je suis une personne qui a une tête dure et je m'accroche beaucoup à ce que j'aime le plus.

« Jamie... » Dis-je en m'approchant en déposant mon autre main contre son ventre et caressant tendrement avec mes pouces... « C'est un être vivant que tu va aimé toute ta vie et je vais te supporté dans cette étape. Tu va avoir besoin de moi, mais j'ai besoin de savoir quelque chose... » Mes larmes avait réaparu et elle était chaude... « M'aime-tu ? »



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MessageSujet: Re: « Parfois, le temps arrange les choses...» « Parfois, le temps arrange les choses...» EmptyMer 4 Juin - 10:21

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