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« Un tableau était une somme d'additions. Chez moi, un tableau est une somme de destructions. » | Pv.

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MessageSujet: « Un tableau était une somme d'additions. Chez moi, un tableau est une somme de destructions. » | Pv. « Un tableau était une somme d'additions. Chez moi, un tableau est une somme de destructions. » | Pv.  EmptySam 8 Fév - 2:52


« Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre. »


Les États-Unis, le contraire totale de l'Europe, de l'Italie. Tout est bien si différent ici, à terres inconnues, nouveau visage ? J'aurais préféré, mais rien n'est une vie sans les démons du passé, où tout est là pour vous rappeler les erreurs les plus graves que vous ayez faîtes sans pouvoir en retirer une leçon et sans pouvoir s'interrompre, s'arrêter de peur de la perpétrer sans le vouloir consciemment. Alec n'est pas effrayé : il est tétanisé, chacun de ses faits et gestes et réfléchi, mais parfois, ce n'est pas réellement lui qui a les rennes de son propre esprit, il n'est pas seul chef de sa propre entreprise. Un associé dans l'ombre ? On peut dire ça, mais on peut aussi l'associer à un Mr. Hyde et Dr. Jekkyl. Mais en est-il réellement  ou bien va t-il devoir attendre un meurtre, que la police s'en mêle pour s'assumer pleinement ? Alec n'est pas le genre de personne qui n'assume pas ses méfaits, au contraire, le code de l'honneur lui exige et il respecte cela, autant que sa famille, sa sœur, et ses ami(e)s. Mais cette ombre en lui, n'est pas de cet avis, et parfois, l'on fait des choses que l'on fait tout pour oublier et qui parfois resurgissent devant vous. Comme le fait par exemple de prendre le téléphone de sa propre sœur et de récupérer un seul numéro sur pas mal d'autres : un seul l'intéresse. Un esprit diabolique dans un corps innocent, voilà ce qu'Alec était, une réincarnation de Satan ? Pas impossible, mais dur à croire, et il ne l'acceptait pas en tant que fervent croyant dont la foi reste intacte malgré les méandres de son passé. Il n'en fallait pas plus à Alec et il quitta la compagnie de sa sœur pour se retrouver seul, lâchant un léger mais audible « A plus tard sister. » d'un anglais sans défaut avec un accent européen qui rendait le tout encore plus sexy que cela pouvait l'être.

Il suffit de quelques pas dehors pour savoir ce qu'il voulait faire, depuis qu'il avait su que Lysa et sa sœur étaient bel et bien sur le même campus, dans la même université, la chose qui le préoccupait le plus n'était que la belle blonde qui l'avait ignoré dans toute sa jeunesse et qui encore aujourd'hui ce faisait un malin plaisir à l'ignorer. Mais cette fois, elle n'en aurait pas l'opportunité et elle allait voir ce que ça fait le sentiment d'être ignoré, puis jeter sous le feu des projecteurs. La propre apparition d'Alec dans cette histoire tordue, vicieuse et ô combien satisfaisante à ces yeux et son esprit, allait débuter. Il lui suffit d'envoyer un SMS, court mais direct « Si tu tiens réellement à ta tranquillité médiatique, ramène toi sur le toit du bureau de l’administration. Quelqu'un qui veut jouer. » Une signature claire et précise aussi, afin de ne pas lui faire croire qu'il n'était pas sérieux. Alec l'était, ô grand malheur de Lysa, et elle en paierait le prix même si à ces yeux elle est totalement innocente et une partie d'Alec serait d'accord avec ça, mais l'autre, elle n'est au contraire pas du tout d'accord, et surtout, encore moins passive. Profitant une dernière fois de son anonymat envers Lysa. Alec allait s'en servir afin de la piéger et qu'elle tombe en disgrâce mais bien sûr, tout cela est un avant goût, l'amener doucement à braver les interdits, à la faire tomber, voilà ou en était le vrai but. Mais à Berkeley, les identités secrètes ne le reste jamais longtemps, la direction de ce bâtiment en était sûrement consciente et relaxerait sûrement une fille de rockstar, mais rien n'est moins sûr en ce bas-monde, et par sa foi, Alec ferait tout pour que la belle blonde, qui au fond pourrait lui plaire s'il y faisait plus attention, tombe et tombe tout au fond du terrier du Lapin Blanc.

Viens donc Alice, je t'attends.. Tic.. Tac.. Tic.. Tac.. .
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MessageSujet: Re: « Un tableau était une somme d'additions. Chez moi, un tableau est une somme de destructions. » | Pv. « Un tableau était une somme d'additions. Chez moi, un tableau est une somme de destructions. » | Pv.  EmptyJeu 13 Fév - 22:01

Lysalec :plop:

▶. Le mal du pays, voilà ce qui submerge Lysa depuis quelque temps déjà. Rester à Berkeley toute une année scolaire est finalement bien plus compliquée qu'elle ne le pensait et même si elle c'était laisser deux ans pour s'y habituer, aujourd'hui elle n'avait plus qu'une seule envie : voyager. Oui, Voyager mais pas n'emporte où, retourner au pays, dans son pays. Son Italie natal lui manque au plus au point... Toute sa famille se trouve là-bas et même si elle voulait les éviter en emménageant à Berkeley, aujourd'hui elle donnerait beaucoup pour pouvoir les retrouver. Retrouver son petit village où tout le monde se connaît et où il n'y a aucune hostilité. Ce village où elle a grandi et tans appris. La belle blonde avait tenté d'isoler cette envie de voyager en abandonnant ses études de langues - étant donné qu'étudier l'italien ne faisait que remuer le couteau dans la plaie - au profit d'étude un peu plus sérieuse mais tout autant douloureuse ; L'étude de la famille à travers le monde. Choix assez ironique quand on visualise la sphère familiale des Dickens/Rose remplis de mensonges et de non-dit . Une famille qui essaie de garder le cap malgré certaines rancunes, mais une famille tout de même aimante. Depuis combien de temps n'a-t-elle pas eu ses parents au téléphone ? Si seulement eux pouvaient prendre des nouvelles de temps en temps plutôt que cela soit toujours Lysa qui dépense des sommes astronomiques pour les avoir deux minutes au téléphone. Mais il faut bien les excuser, leurs voyages aux quatre coins du monde font qu'ils ne sont jamais sur le même fuseau horaire que leur fille unique. Lysa est une jeune femme indépendante certes et malgré sa rancune envers sa mère, ses parents lui manque beaucoup et parfois elle aurait bien besoin d'eux pour l'aider dans toutes les paperasses de l'université ou d'autres organismes extérieurs. Le système américain ne fonctionne absolument pas comme ceux qu'elle avait connus jusque-là et c'est dur pour elle de s'y faire. Oui, elle aimerait pouvoir revoir ses parents rien qu'une petite heure et repartager des choses comme avant, mais la découverte de ses origines avait bouleversé leurs relations fusionnelles et Lysa n'a pas la force de pardonner à sa mère. Pourtant son père adoptif lui l'a fait sans la moindre hésitation, par amour paraît-il. si seulement la mère Dickens n'avait pas ameuté la presse avec son test de paternité, Lysa aurait sans doute réusis à lui pardonner...Elle n'est pas vraiment rancunière, seulement c'était à elle seule de décider si elle voulait bousculer sa vie en ses faisans connaitre des médias. Heureusement pour elle, l'affaire fut vite étouffée et aujourd'hui seul quelques rares photographes suivent ses faits et gestes. Assis sur son canapé, un paquet de chips entre les mains Lysa s'apprête à se passer un petit film de célibataire loin de toute agitation, tentations ou questions. Sa vie n'est plus aussi simple que lorsqu'elle avait quinze ans, elle est adulte désormais et doit vivre avec ses soucis et ses responsabilités d'adultes, même si elle n'en a pas la moindre envie. Grandir avait toujours été une source d'angoisse pour elle. Vieillir lui fait peur, devenir adulte lui fais peur ! La jolie blonde avait même sombré dans une petite dépression à cause de cela une fois sa majorité passée, en se rendant compte qu'elle n'était désormais plus considérée comme une enfant. Ses relations avec les autres changent également, en devenant plus mature elle avait appris que les gens ne sont pas toujours bon et que certaines personnes vous veulent du mal. De tendances trop gentille et serviable, Lysa est persuadée que les gens ne peuvent pas être foncièrement mauvais sans raison et pourtant le nombre de délinquances, meurtres ou autres actes criminels sont en perpétuelle augmentation. Mais Lysa vit loin de tout ça ; elle est dans son monde, se protégeant de l'extérieur. D'un geste lent elle consulte sa montre et soupire bruyamment à l'approche de l'heure pour son cours de danse. Dix minutes, c'est le temps qu'il lui reste pour se préparer et faire route jusqu'à la salle de sports de l'université. C'est une heure plus tard que la danseuse se rend à son vestiaire pour se changer. Une consultation rapide sur son téléphone lui indique qu'elle a reçu un nouveau texto. Un SMS anonyme lui demandant de se rendre sur le toit si elle voulait garder sa tranquillité médiatique. Pousser par la curiosité, sa peur de se faire démasqué et sa naïveté, elle suit ce conseil -qui est plus un ordre qu'autre chose- et se rend sur le toit comme on lui avait indiqué. Ses yeux s'habituent difficilement à la pénombre de la nuit qui venait de tomber et le vent fit frissonner la belle blonde. Un mauvais pressentiment envahit Lysa et elle sursaute en entendant la lourde porte se refermer derrière elle. « Y a quelqu'un ? » Murmure-t-elle alors doucement en attendant de voir ce qu'on lui voulait.


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MessageSujet: Re: « Un tableau était une somme d'additions. Chez moi, un tableau est une somme de destructions. » | Pv. « Un tableau était une somme d'additions. Chez moi, un tableau est une somme de destructions. » | Pv.  EmptyVen 14 Fév - 2:04


« Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre. »


Une envie destructrice. Cette pulsion, la seule et principale motivation d'Alec. Posséder par une entité qui n'est pas celle de tous les jours, quand il s'agit de cette blonde : Lysa Marie-Rose Dickens. A la seule pensée qu'Alec détestait Lysa pour une raison qu'il ne pouvait dévoiler et qu'il ne connaissait pas lui-même a le don de le rendre nerveux, instable mais toujours maître de lui-même. Un homme qui perd le contrôle de soi, même dans les moments les plus sombres, n'en est pas réellement un, la fierté et l'honneur que ses parents lui ont inculqués font d'Alec quelqu'un qui ne se trahira jamais même au plus bas de sa forme et si un jour cela devait arriver alors les temps auraient bien changé et lui aussi. En dehors, le soleil commence à se coucher et je n'ai toujours pas reçu l'accusé de réception comme quoi la demoiselle a reçu le fameux SMS de pression. Il ne vaut mieux pas que l'on voit Alec rester dans les parages avec cet air grave, cela est trop suspect. Il lui suffit d'un regard à droite puis à gauche et de s'engouffrer par la porte marqué d'un grand « Interdit » et de monter quatre par quatre les marches. Tout cela prend une tournure sinistre, tel un thriller qui s'installerait doucement sur Berkeley et tout cela commencerait avec un scène de crime, du moins, aux yeux d'Alec, une première réelle rencontre, frappante. Assis sur le toit à l'ombre du soleil couchant qui faisait glisser son ombre sur le sol du toit du bâtiment de l'administration de Berkeley, le temps suit son libre cours et la nuit apparaît doucement et Alec ne reçoit toujours pas cet accusé de réception. Le temps passe doucement, et l'assoupissement eu raison de lui. Allant doucement rêver d'un passé qu'il ne veut plus se rappeler, d'un passé qu'il fuit avant de ne plus le vivre, de ne plus en souffrir. 8 ans en arrière Alec avait tout, une petite amie qu'il aimait et une fille qu'il détestait, cette fille est toujours en vie et Elizah ne l'est plus tout simplement à cause d'un débile qui ne savait pas conduire à Rome. Elle disparu, son amour remplacé par sa haine et des remords qu'un gamin de 15 ans ne peut supporter seul et pourtant il le fait, chaque jour : il fuit seul. Alec, au jour d'aujourd'hui se déteste, et il déteste en Lysa tout ce qu'il a aimer chez son premier amour de jeunesse. Les regrets d'un homme qui a toujours assumer ses actes sont dur à accepter, il ne se pardonnera sans doute jamais. Tel est la vie et le supplice qu'il s'inflige afin de ne pas oublier quel monstre il a pu être. En parlant d'être un monstre, il sortit de sa rêverie par le vibrement de son téléphone : l'accusé de réception lui était parvenu, à partir de maintenant elle n'allait pas tarder à arriver et un sourire sadique et machiavélique se loge sur son visage. Un sourire froid. Alec se leva et aller se mettre à l'abri des regards -encore plus même sur ce toit- en attendant l'arrivée de la belle et jolie blonde à qui la blague ne ferait pas rire autant que ça lui plaisait à lui. L'excitation, le plaisir parcourt son corps, du hérissement de ses poils au non contrôle d'un sourire pleinement jovial sur son visage : il adore ça. Le temps paraît d'un coup tellement plus long, mais Alec est une personne patiente et droite, alors pourquoi est-il comme ça avec Lysa ? C'est un italien et il est bien trop fier pour se l'avouer, la seule qui l'ai compris sans qu'il n'est à parler et sa petite sœur Nalya ou Lila comme il aime l'appeler, une amie de Lysa, cette Lysa qui l'a tant ignoré exprès ou pas, aujourd'hui elle ne pourrait plus.

Des bruits de pas, la poignée qui tourne et la blonde qui entre en scène. Le palpitement du cœur d'Alec est si fort que ne pas l'entendre résonner tel un clocher qui annoncerait l'heure est surprenant. Deux parties de lui sont bien présentes sur ce toit mais une seule dirige ce soir, la partie obscure de sa personne celle qui domine quand cette blonde est près de lui. Toujours dans l'ombre, il ne dit rien, se glissant peu a peu dans la lumière non pas de son âme mais à la clarté de la lune. Il ferme la porte et empêche quiconque d'entrer et surtout, de sortir. Il n'allait pas lui faire du mal. Ce n'est pas son genre, mais la torturer, peut-être : cela il sait faire, il en est le premier expérimenté. Sortant une photographie qu'il lui envoie, profitant d'un souffle de vent qui étant dans sa direction pour le lui envoyer sur elle de sorte que la photo ne s'envole pas ailleurs, espérant qu'elle soit adroite. « C'est moi, sur la photo. Tu ne te souviendras pas de moi, alors autant faire les présentations – Laissant un temps qu'elle comprenne la photo, s'agissant une photo de ma sœur, Nalya en compagnie de Lysa, et Alec dans le fond – C'est ma sœur et toi Lysa, tu es une fille qui se doit d'être connu, tu ne penses pas ? » Un sourire pervers, sadique et malsain se loge sur son visage le rendant même encore plus sexy qu'il ne l'est déjà sans cette artifice de sentiments et d'émotions qu'il ne peut contrôler mais dont il a besoin pour calmer cette douleur au fond de lui, une douleur qui pour la première fois depuis bientôt neuf ans, s'apaise enfin. Savoir que l'on a au fond raison sans l'admettre et une prochaine étape mais pour l'instant tout est à faire, ô oui. Impatient de sa réponse, Alec ne montre cependant rien qu'un sourire froid et un regard d'une lueur étrange : mixé entre désir passionnel et extase d'une douleur atténué.
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MessageSujet: Re: « Un tableau était une somme d'additions. Chez moi, un tableau est une somme de destructions. » | Pv. « Un tableau était une somme d'additions. Chez moi, un tableau est une somme de destructions. » | Pv.  EmptyJeu 27 Fév - 16:00

Lysalec :plop:

▶.Le passer... Certains vous diront que cela ne sert à rien d'y vivre, d'en parler et de s'en remémorer de bons -comme de mauvais- souvenirs. Pour Lysa ce n'est absolument pas le cas, elle qui donnerait beaucoup pour pouvoir revenir quelques mois en arrière ; lorsqu'elle était encore en voyage avec ses parents. Pour Lysa, son passé n'a aucune zone sombre, s'en souvenir n'évoque pas spécialement de douleur quelconque mise à part son mal du pays et du voyage. Son adolescence n'a pas forcément été une période difficile de sa vie, elle l'a abordée en toute sérénité et sans soucis particuliers. Il faut dire que contrairement à certains, lysa n'a pas eu à se soucier de l'acné, des kilos en trop et des préjugés des autres. C'était une adolescente tout ce qu'il y a de normale, loin des enfantillages et moqueries des autres. Mais également une adolescence qui ne l'a pas endurci, qui ne l'a pas fait traverser certaines épreuves et donc qui la rendent aujourd'hui un peu plus fragile qu'une fille qui aurait pu en tirer beaucoup de force. Certains vous diront que Lysa a eu une vie parfaite et c'est vrai qu'à des yeux extérieurs les gens ont vite fait de penser cela mais c'est loin d'être le cas, ce n'est qu'une carapace. Être seule dans une grande ville, loin de toute sa famille, tout juste majeurs c'est loin d'être chose facile. Cela dit, si Lysa a appris une chose lors de certains de ses voyages, c'est que se plaindre ne sert strictement à rien ! Après tout, on a la vie qu'on se donne ; alors si elle était réellement triste de cette distance et de cette situation miss Dickens aurait trouvé un moyen de renoncer à tout cela et de retourner auprès de sa famille. Du moins si sa famille était resté tel qu'elle l'était il y a quelques années, avant l'annonce de ses véritables origines, avant que sa famille ne se disloque... Toujours percher sur le toit de l'université, Lysa commence sérieusement à avoir un mauvais pressentiment; c'était de la folie d'être monté sur ce toit, à l'abri des regards et où personne ne pourrait l'entendre si jamais elle devait avoir à crier au secours. Après tout cela ne peut pas être autre chose que quelqu'un lui voulant du mal qui l'a attiré sur ce toit... La question est, pourquoi ? Pourquoi l'attirer elle dans un qu'étampent, elle qui ne fera jamais de mal à une mouche ? Le texto faisait visiblement allusion à son véritable père et à l'anonymat qu'elle essaie de préserver, l'auteur de ce texte ne peut donc pas être attiré par de l'argent pour la simple et bonne raison qu'elle n'en a pas ! Et qu'elle refuse d'en toucher de la part de son géniteur. Ses spéculations s'arrêtent net lorsqu'une ombre se glisse devant elle d'un pas lourd et assure. La moitié d'un visage lui apparaît enfin, un visage sombre, torturé et qui n'inspire aucune confiance. Un visage qui lui est totalement étranger. Une photo jeté à ses pieds éveil la curiosité de la jolie blonde. Ce cliché a été pris il y pas mal de temps déjà, Lysa posé avec une très bonne amie à elle, en arrière-plan se trouve le visage qui se tien devant elle aujourd'hui. En l'écoutant parler, Lysa sent un frisson glacé la parcourir. Ses dires sont totalement incohérents, ce mec semble déranger... « Je ne comprends pas ce que tu veux dire... Je ne te connais pas alors que veux-tu ? » demande alors la danseuse d'un ton assuré pour ne pas montrer à son adversaire qu'elle est en vérité morte de trouille....

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MessageSujet: Re: « Un tableau était une somme d'additions. Chez moi, un tableau est une somme de destructions. » | Pv. « Un tableau était une somme d'additions. Chez moi, un tableau est une somme de destructions. » | Pv.  EmptyVen 28 Fév - 15:55

Lysalec ♦
« Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre. »
Une bouffée d'oxygène. Une libération, je sens au fond de moi toutes ces émotions qui se bousculent. La plus sauvage, celle qui veut lui sauter dessus et tel un vampire lui sucé le sang, la faire souffrir physiquement. L'autre plus froide, plus calme mais tellement malsaine, celle qui veut la rendre folle, la rendre complètement tordue afin que la douleur que je ressens ne soit plus mienne, mais nôtres. Je veux la partager, qu'elle souffre comme j'ai souffert, qu'elle hurle comme j'ai hurlé, qu'elle se perde comme je me suis perdu. Ces deux émotions fortes se battent en moi pour contrôler ne serait-ce qu'un peu de mon cerveau, de mes désirs, de mon envie du moment. Je ne peux pas lui faire trop de mal, les traces seront à mon désavantage, mais j'en ai tellement envie.. . Que faire à présent ? Attendre. Attendre tout simplement que la roue tourne, que le temps avance, que son regard d'incompréhension se change en regard apeurée, désespérée. Je veux sentir le désespoir dans sa voix, dans son regard. Rien ne m’intéresse plus que cela, mais je sais que ça ne sera pas aussi facile, alors en attente de sa réponse je joue avec mon téléphone, le cachant à sa vue pour qu'elle ne devine pas que c'est un téléphone mais qu'elle pense plus que ce soit un couteau ou une arme blanche en tout genre, de quoi la faire un peu paniquée. Je ne la quitte pas des yeux, j'attends qu'elle remarque ces choses-là, que l'incompréhension singe son visage, que la peur doucement s'y glisse, mais pour l'instant c'est la curiosité qui y est. Elle regarde la photographie d'elle, ma sœur et moi, dans le fond. Et finalement, elle retrouve la parole, courageuse, confiante.. . Elle semble être assurée, confiante en elle-même. Un peu trop. Rien n'est fait pour qu'elle ne transpire pas la peur alors doit-elle faire semblant ? Je peux facilement le vérifier tout en n'étant cependant titiller par sa réponse. Peste. Femelle vile et futile. Qu'ai-je fait du respect envers les femmes que j'ai toujours eu ? Cette galanterie légendaire qui faisait de moi un gentleman respectable et respecté ? Elle a disparu, l'espace d'une soirée pour se glisser de manière vil dans mon ombre et en pousser celle-ci. Me rapprochant doucement d'elle, cette blonde pulpeuse qui attire ma peau, mon regard et mes envies les plus ardentes mais dont je fais une abstraction totale pour le seul plaisir psychologique et non plus et simplement physique, j'aurais tout le loisir si l'envie me prend. L'instabilité est une arme chez moi qui me permet du plus profond de mes envies les plus obscures être quelqu'un dont je n'ai même pas idée et dont la conception et la présence m'est totalement inconnu. M'approchant assez près d'elle à présent, mon regard dans le sien, plus doux, plus tendre mais tellement froid dans le fond. « Tu ne me connais pas Lysa Dickens mais moi je te connais. Plutôt sous le nom de Lysa la rockstar.. ? -Laissant un blanc pour admirer sa réaction sous l'évocation de sa célébrité encore anonyme puis dans un sourire faux je repris- Désolé.. je n'ai pas encore trouvé de surnom qui t'irait bien en tant que fille de star.. tu dois en avoir des privilèges n'est-ce pas ? » Les réponses à ces questions je ne les connaissais pas, mais autant profiter de l'obscurité du lieu, des émotions que tout deux avons pour obtenir un mélange d'information, de plaisir charnel et de rencontre choc. Doucement ma main libre glissa sur la peau de la demoiselle, sa main en occurrence et y faire tomber son portable ou son sac, ou les deux. Je ne voyais rien et je ne m'en préoccupais pas du tout, son regard ne quittant pas le mien. Je ne tremblais pas. Ma main continuant à monter le long de son bras dans un frisson charnel et arrivait à son menton afin de murmurer doucement de terribles mots « Tu devrais comprendre à présent. N'est-ce pas ? -Lui laissant le temps d'ingurgiter toute cette dose d'information et surtout de contact charnel- Ce que je veux ? Rien.. Rien de grandiose. Juste.. Juste un baiser langoureux de ta part pour commencer. » dis-je dans un sourire diabolique avant de reprendre une nouvelle fois en me retenant de rire de façon démente « Au fait, moi c'est Alec. Tu connais ma sœur, tu n'as pas besoin d'en savoir plus sur moi. » Un regard profond, vide et noir. Il ne me reste plus qu'à attendre, qu'à être tout simplement, patient. Heureusement pour moi, je suis un homme extrêmement patient et c'est ainsi que je pourrais regarder les émotions de Lysa se transformaient indéfiniment tant que je ressens en moi cet émoi, ce plaisir sombre de la voir sombrer dans les méandres du jeu que je suis en train de créer.
©flawless
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MessageSujet: Re: « Un tableau était une somme d'additions. Chez moi, un tableau est une somme de destructions. » | Pv. « Un tableau était une somme d'additions. Chez moi, un tableau est une somme de destructions. » | Pv.  EmptyMar 4 Mar - 18:03




« Lysalec :plop:

 

 
 
Garder son sang-froid ; c'est ce que Lysa tente de faire sur ce toit, priant intérieurement pour que les choses ne s'aggravent pas et que quelque chose, ou quelqu'un la sorte de cette situation. Ne pas laisser paraître ses émotions, rester froide et confiante devient de plus en plus compliqué face aux mots et aux gestes du brun face à elle. La pousser à bout, c'est ce qu'il cherche et même si Lysa est de nature fragile, son instinct de survie la force à ne pas crier ni pleurer, à ne pas céder à la panique. Elle est visiblement plus forte que le jeune homme ne le pensait puisque rien ne paraît sur son visage lorsqu'il joue avec quelque chose dans sa main, une arme peut-être.. La panique se propage dans la tête de la danseuse, mais elle ne doit pas lui donner ce plaisir. Après tout, pour avoir regardé plusieurs films à suspense avec des situations similaires, elle sait que seules les filles fortes survivent. Son agresseur jubilerait de la voir paniquer et Lysa ne pouvait pas se permettre une telle chose. Tout en fixant le jeune homme en gardant la tête haute, Lysa tente désespérément d'appeler sur la touche "appel d'urgence" de son téléphone portable afin de contacter la police. Malheureusement pour elle, le garçon a dû le voir et tout en lui attrapant délicatement la main, il fit tomber son portable qui heurta violemment le goudron en se brisant en plusieurs morceaux.Un frisson la parcours alors quand elle sent les doigts de l'inconnu monter le long de son bras puis sur son épaule et au final sur son menton. Elle aurait eu envie de se dégager, mais la peur la paralyse alors. Elle aurait pu le pousser violemment et tenter de s'enfuir ou même le gifler, lui asséner un coup de pied là où cela fait mal, mais cela aurait pu aggraver les choses et décupler sa colère. Lysa n'a aucune idée de la profondeur de la folie du brun et le mettre en colère pourrait être encore plus dangereux pour elle. Il lui parle alors de son père et des privilèges qu'elle doit avoir, lysa ne relève pas préférant ne pas partir sur ce terrain-là avec lui. Si c'est une simple question de jalousie, resté humble et modeste en lui prouvant qu'elle n'a pas plus de privilèges que madame tout le monde risquerait une fois encore de le mettre en colère ; il faut s'attendre à tout avec ce genre de personne. « Ce que je veux ? Rien.. Rien de grandiose. Juste.. Juste un baiser langoureux de ta part pour commencer. » Cette fois Lysa ne peut réprimer son dégout et une grimace s'installe sur son visage. Non pas que le jeune homme soit immonde, au contraire ; il pourrait être assez attirant dans d'autres circonstances et sans cette lueur de folie dans les yeux , mais là ce soir il n'est rien d'autre qu'un inconnu dangereux et fous aux yeux de la sportive. Un baiser ? Mais quel genre de type saint d'esprit pourrai demander un baiser langoureux à une fille qu'il vient tous juste d'aborder sur le toit d'un bâtiment universitaire ?! « Rêve » murmure-t-elle alors sans se débattre pour autant. Une petite provocation qui normalement ne devrait pas aggraver son cas. Ils sont tellement proches l'un de l'autre que si vraiment il tenait à son baiser il pourrait le lui voler sans soucis. Lysa reste droite. Alec, c'est un prénom qui ne lui rappelle pas grand-chose. Certes Lysa connaît la fille sur cette photo, mais elles étaient gamines, alors se rappeler d'un homme qu'elle a dû apercevoir quelques rares fois il y a peut-être dix ans de cela c'est carrément mission impossible. « Enchanté Alec, tu pourrais me lâcher maintenant je n'apprécie pas vraiment la façon dons tu m'abordes » elle lui adresse un maigre sourire hypocrite, s'impressionnant elle-même de la force et du courage dons elle fait preuve. Lysa n'a jamais été du genre garce ou peste, mais la peur fait parfois des miracles il paraît.

   
© MISE EN PAGE PAR YOUNG.HEART.
 
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MessageSujet: Re: « Un tableau était une somme d'additions. Chez moi, un tableau est une somme de destructions. » | Pv. « Un tableau était une somme d'additions. Chez moi, un tableau est une somme de destructions. » | Pv.  EmptyMar 4 Mar - 19:36

Lysalec ♦
« La haine est l'amour qui a sombré.  »
 
Je jubile intérieurement. Elle ne le sait sans doute pas, mais la résistance qu'elle oppose à ma personne est un plaisir que je ne peux nommée. Le plaisir en moi se fait par vagues, vagues qui se sont fracassés sur la cuirasse résistante de la belle blonde près de moi. Je ne m'y attendais tout simplement pas, la Lysa douce et fragile ne le serait-elle plus ? L'aventure à Berkeley lui insufflerait-il courage et force ? Il semblerait, et a contrario je me voyais, voir sentais moins fort à ces yeux, moins délirant ? Le délire que je subis actuellement n'est pas quelque chose tirée d'une fiction mais bel et bien de la réalité, une réalité bien trop dur à mettre sur mots devant elle et je n'oserais jamais, qu'importe le cas. Malheureusement pour elle je suis un homme patient, très patient et parfois, voir même, trop. Mon regard ne quitte cependant pas le sien, le mien, fou, délirant mais d'une froideur contrôlée qui ne peut donner l'apparence d'un homme fort et qui a du vécu dans cette vie d'ici bas. Au contraire du regard de Lysa qui lui est défiant, semble fort et assurée alors qu'au fond de moi je sais la vérité, mais peut-être je me trompais. Il me fallait vérifier tout cela et cela ne me dérangeait pas le moins du monde. Mon sourire froid devint jubilatoire à entendre le fracas que son téléphone portable vint de faire sur le toit de l'université. Nous étions tout deux encore très proches et lorsque je lui avais répondu ce que je désirais d'elle, elle me répondait que je devais rêver. Peut-être, mais ne serions nous pas plutôt dans un cauchemar.. voir même le sien dans ce cas de figure à sa réponse. Mais non, c'est bel et bien la réalité, dur et horrible à regarder, une lassitude a emplie mes yeux avec le temps et ce n'est qu'en étant là, devant Lysa à la terroriser et la voir me tenir tête que j'oublie cette blessure ouverte au fond de moi et ne cesse de me faire mal. Elle est encore jeune et bien trop naïve, et c'est cela qui me plaît chez elle, car tout comme mon premier amour, la naïveté et la jeunesse faisait parti de ces qualités que je ne pouvais lui dérober et dont je fus épris. M'avouer épris de Lysa était tellement gros à penser alors à dire ?! Jamais. Mais le temps fera les choses selon le désir malsain qui pour une fois ne dort pas mais est totalement maître de ma personne. Je ne suis que l'hôte de moi-même, encore quelque chose d'irrationnel dans un esprit encore prisonnier de cette vie raisonnable. Lysa est raisonnable, un peu trop et moi je le suis encore aussi tout ça car un souvenir hante ma vie, un amour détruit par ma seule et unique faute -théoriquement parlant- et l'innocente Lysa allait prendre pour ces années d'oubli et d'indifférence et surtout, surtout : car la ressemblance avec Elle, mon premier amour, est tellement déroutante que je ne le supporte plus. Un rictus déplaisant à cette seule pensée me fit frémit de plaisir et de dégoût en même temps. De dégoût à la pensée mais de plaisir à la voir me résister mais elle s'enfonçait toute seule dans une prison ou je serais son geôlier et son sauveur, et cela, elle ne le sait pas, pas du tout. « Le rêve est ta vie, non ? Une belle jeune femme dont l'histoire n'est plus à compter, pour ceux qui la connaissent. Fille bien élevée dans sa petite famille avant d'apprendre que sa petite famille ne l'est pas réellement et pour les rares qui savent qui tu es, ma sœur en faisant partie, tu es la fille qui vit dans un rêve alors que sa vie n'en est pas un. Tu as l'air d'attendre quelque chose.. une claque en plein visage pour te réveiller ? -dis-je d'un regard noir sans pour autant suivre le geste à la parole- Le rêve n'existe pas avec moi, la vie est une réalité bien affreuse et belle en même temps pour perdre son temps à être naïve et ne pas réellement vivre. Alors dis moi, Lysa.. vis-tu réellement ta vie comme tu l'entends ? Ou bien laisses-tu les autres aléas de la vie te changer ? » J'allais sans doute en profondeur, je sais très bien ce qui m'arrive. J'extériorise mon mal-être sur la petite et naïve Lysa en essayant de lui faire comprendre la vérité de la vie. Rien n'est fait pour durer quand l'on n'est pas destiné à l'avoir. Gabriela me manque, mais par ma faute, par cette dispute, pas ces regrets et remords je ne pouvais vivre réellement. Je reste accrochais à une partie de ma vie alors qu'une autre partie de moi, elle, a continué à vivre, pour moi, pour les autres et qui maintenant s'amuse à commettre des choses que l'honneur italien ne laisserait pas faire, mais étant donné que je suis en marge de l'histoire et de la vue des autres, rien n'est réellement proscrit dans cette honneur que je semble avoir oublié, ce soir. « Tu es enchantée ? Tu devrais faire plus d'efforts pour le montrer, ça ne doit pas être ton fort. A ta place je réfléchirais un peu plus et me prouverais qu'une blonde a réellement un cerveau. Tu sais, je suis un journaliste et j'ai récemment été pris dans le journal de la ville, coin sport certes, mais.. les nouvelles vont si vite dans un atelier d'information. -Mon regard ne la quitte pas et je désire ces lèvres, je veux la voir plonger. Après une minute de silence, je reprends- Embrasse-moi si tu veux garder cette tranquillité dans ta vie où seul moi deviendrait la seule perturbation. » Dis-je en me rapprochant un peu plus d'elle. Ne prenant pas la peine de lui répondre à sa deuxième question, je ne l'abordais pas du tout, au contraire, ça allait être elle. Il me serait facile de l'embrasser de moi-même, mais je ne voulais pas la facilité, je voulais qu'elle tombe du haut vers moi, tout au fond. Afin que je ne sois plus seul dans les tréfonds de la réalité et de la nuisance à autrui ? Non. Le mystère reste entier, et doucement, délicatement ma main se pose sur sa taille, l'aidant un peu mais pas trop dans la tâche que j'espère la voir entreprendre.  
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MessageSujet: Re: « Un tableau était une somme d'additions. Chez moi, un tableau est une somme de destructions. » | Pv. « Un tableau était une somme d'additions. Chez moi, un tableau est une somme de destructions. » | Pv.  EmptyJeu 6 Mar - 17:02




« Lysalec :plop:




Il y a dans les yeux de ce fameux Alec une lueur de folie qui commence à réellement inquiéter Lysa. Miss Dickens n'avait jamais été confronté à une situation similaire, elle qui avait tendance à fuir lorsque les situations devenaient un peu trop compliquées... La danseuse a toujours eu tendance à éviter les conflits, de même chaque fois qu'un homme semblait s'intéresser de trop près à elle, Mailys-Rose prenait des distances allant parfois même jusqu'à ne plus leur donné de nouvelles. Elle n'est pas méchante mais l'amour ne l'intéresse pas réellement et si elle est proche de certains garçons c'est purement par amitié et rien d'autre. Pourtant, pas mal d'hommes lui tournent autour et semblent très près d'elle, tellement que parfois leurs relations sont mal interprétées. Entre John-Thomas qu'elle a embrassé il y a quelques jours, Bruce qui a pris soin d'elle lors de son agression, Luke qui lui a évité de se faire photographier en pleine rue et Nate qui n'est toujours pas au courant de leur lien de parenté ; les gens parlent et s'imaginent des choses. Comme la fois où Lysa avait dû essuyer pas mal de rumeurs et de regards lorsqu'elle avait été un peu trop tactile avec son meilleur ami Xavier. Heureusement pour elle qu'elle n'est pas du genre à se soucier de ce que les gens peuvent penser. Xavier lui manque énormément, depuis son départ de Berkeley elle n'avait pas eu de nouvelles de lui. Certes elle n'en avait pas beaucoup prises non plus, à vrai dire elle avait trop peur de revivre la même histoire qu'avec le cousin de ce dernier : Soren. Son seul et unique amour. Le seul qui a eu le droit de poser ses lèvres sur les siennes, le seul qui a eu le droit de toucher son corps ; son amour de jeunesse... Au fond d'elle, Lysa avait toujours regretté de l'avoir laissé, mais sa vie de voyages aux quatre coins du monde avait bien plus d'importance à ses yeux... Ce n'est pas étonnant qu'elle ne soit pas arrivée à retomber amoureuse suite à cela. Soren était son prince charmant, l'homme parfait dons elle rêve secrètement et aucun homme n'arrivent à égaler cela. Il faut dire que la belle Lysa a des critères de sélections assez strictes. Un homme doit avoir toutes les qualités qu'elle recherche pour pouvoir la séduire....
La voix de l'italien ramène Lysa à la réalité. Elle n'est pas du genre à s'énerver facilement, seulement le jeune homme touche une corde très sensible en parlant de sa famille. C'est un sujet dons elle ne parle jamais, même à ses plus proches amis. Apprendre qu'elle n'est finalement pas le fruit d'un amour entre deux parents, mais le fruit d'un adultère - caché durant des années qui plus est - n'a vraiment pas été facile pour une jeune femme de seulement quatorze ans. Lysa n'avait pas vraiment fait sa crise d'adolescence, mais il est vrai qu'en apprenant sa véritable paternité elle n'avait pas très bien réagi. Apprendre que son père est enfaite une rock star, la plupart des jeunes femmes en auraient été ravies, mais pas lysèrent. Elle refuse même de toucher l'agent que son géniteur dépose sur son compte une fois de temps en temps. « Ne parles plus de ma famille. » prononce la iota en détachant chacun de ses mots et en cherchant à se dégager de son bras qu'il commence à enrouler autour de sa taille. Elle l'écoute lui demander si elle vit réellement sa vie comme elle l'entend avant de secouer la tête et de se rendre compte que ce mec est totalement malade. Elle ne sait pas très bien s'il parle de la vie de la blonde ou bien de sa propre vie à lui. Lysa grimace de plus belle en comprenant qu'Alec lui fait du chantage ; un baiser c'est ce qu'il voulait d'elle pour ne pas qu'il divulgue certaines informations dans son journal. Lysa sent les larmes lui monter aux yeux lorsqu'elle comprend qu'elle n'aura bientôt plus d'autres solutions que de l'embrasser si elle ne veut pas que sa vie soit détruites. Elle était sur le point de céder, de lui donner exactement ce qu'il cherchait, mais surtout elle était sur le point de laisser sa peur prendre le dessus. « Tu es complètement malade ! » Se mit-elle alors à crier en laissant sa panique prendre le dessus. Les sanglots menacent alors de sortir et elle détournent son regard du sien en posant ses mains sur ses épaules pour tenter de s'écarter le plus possible de lui. Elle ne devait pas céder, mais pendant combien de temps encore peut elle faire la femme forte face à Alec ?...

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MessageSujet: Re: « Un tableau était une somme d'additions. Chez moi, un tableau est une somme de destructions. » | Pv. « Un tableau était une somme d'additions. Chez moi, un tableau est une somme de destructions. » | Pv.  EmptyVen 7 Mar - 19:08

Lysalec ♦
« La haine est l'amour qui a sombré.  »
Malade, oui. Je le suis, complètement. Du moins, je ne m'en rendrais pas compte de suite, mais sans doute plus tard. Mon regard est complètement sur elle ainsi que ma personne. Présent contre elle, présent dans son esprit, je vais le marquer à vie, je l'espère d'une manière forte et dévastatrice. Mes mains sur son corps, les siennes sur le mien, du moins, sur mes épaules en tentant de se débattre et en me menaçant de ne plus parler de sa famille. Je la trouve pitoyable. Je sais qu'elle va craquer, je vois les larmes doucement naître dans ces yeux et je n'aurais pas pensé que cela aurait été si facile. Je ne ressens plus d'excitation au fond de moi, le plaisir est totalement amoindri, elle m'a donné de la résistance et à présent, elle cède. Merde. La folie qui circule en moi est comme une drogue, se répandant dans tout mes organes, les rendant accroc à cette sensation de liberté totale et d'aucune limite. Mon corps est empreint de cette sensation et jamais, ô grand jamais il ne voudra s'en défaire à présent que je l'ai connu. Lysa est en face de moi, contre moi, je pourrais lui faire ce que je veux mais je n'ai demander qu'un baiser, qu'un simple baiser. J'aurais pu la violer, la détruire, lui faire du mal, la tuer. Mais je n'étais pas si fou que ça, je ne voulais qu'une douce vengeance envers cette belle blonde sulfureuse à l'aspect fragile. Aspect que j'ai pris plaisir à détruire mais qui semble bien défait à présent. J'avais parler d'elle, de sa famille et de sa vraie famille, elle est à présent acculée au fond d'elle même, seule sur ce toit en ma compagnie, qui n'est pas des plus horribles, mais la pression que je mets sur ces frêles épaules ne fait pas de ce 'rendez-vous' quelque chose de romantique. Le goût, le plaisir est parti. Je n'ai pas envie de la laisser partir cependant, je veux qu'elle résiste de nouveau, mais je ne sais pas comment lui donner de nouveau de la force, j'en serais trop gentil si je le faisais, et je ne veux pas l'être, pas avec elle. Je veux ce baiser, peut-être qu'il me donnerait d'autres envies, plus profondes, plus obscures ou réveillerait-il une douceur endormie en moi ? Je n'en sais rien et je m'en fiche totalement. Mon regard se pose sur elle et je pose deux doigts sur ces lèvres, je ne veux plus l'entendre parler. « Silence. Tu es face à un choix, fais-le et accepte-en les conséquences. J'ai été clair, je n'ai pas envie de me répéter, alors fais un choix où je ferais ce que j'ai dis. » J'étais méchant, encore plus que précédemment, je ne lui avais pas laisser le choix, soit elle m'embrassait, soit sa vie ne serait plus comme maintenant et elle serait harcelé tous les jours. Je ne supporte pas cette attente, je suis impatient, pour la deuxième fois de ma vie je ressens de l'impatience et c'est une femme qui ressemble tellement à celle que j'ai aimais qui me donne ce sentiment. Encore. J'en deviens en colère mais je ne laisse pas cette émotion se mette en travers de ce chantage, de la situation actuel. Restant maître de moi-même j'attends alors, avec toute la patience que je peux mettre actuellement, dans l'attente de l'issue de cette première étape seulement. Doucement je quitte l'étreinte que nous nous donnâmes, lui donnant l'espoir que je la libère, je regarde la porte puis elle, avant de m'amuser à enlever la poignée de la porte pour lui montrer que nous sommes coincés ici et qu'elle ne peut s'échapper. Bien évidemment j'avais dévissé au préalable cette poignée afin que nous ne soyons pas réellement coincé, c'était juste de la mise en scène, de quoi accroître le désespoir et la peur qui naisse en elle et qui se font de plus en plus lourd sur ces épaules. Je finis par me rapprocher d'elle, lui sourire tendrement bien qu'aussi sadique et murmurer à son oreille « Ton choix ?! » d'une froideur et d'une force contrôlée, en attendant que doucement, elle cède.
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