the great escape
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It wasn't a sex night, but much more → JONAH&LUBJA

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Keith O. Phillips
there's no place like berkeley
Keith O. Phillips
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MessageSujet: It wasn't a sex night, but much more → JONAH&LUBJA It wasn't a sex night, but much more  →  JONAH&LUBJA EmptyLun 9 Sep - 23:01

❝ hoy es noche de sexo, voy a devorarte ❞
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LUBJA&JONAH cestprive  Première journée sur le campus, après ces vacances, et je n’y allais même pas pour assister aux cours. Je n’y allais que pour voir le professeur de mathématiques et lui dire que je ne pourrais pas l’assister pour cette première semaine. Je partais en vacances. Cela peut vous paraitre plutôt étrange de voir quelqu’un partir le jour de la rentrée. Ca peut l’être, je l’avoue. Mais n’oublions pas que j’ai quasiment passé la moitié de ces vacances en prison, et obligée de rester le reste du temps sur San Francisco. Comme si j’allais m’enfuir. Je m’étais rendue moi-même, alors pourquoi je partirais ? La police américaine. Et maintenant qu’on m’avait annoncé que j’étais totalement libre, je n’avais qu’une envie : partir, et découvrir un autre pays. De plus, je ne suis qu’ici, encore, car je l’ai décidé. Décidé de continuer des études, alors que normalement je ne devrais être là qu’en tant qu’assistante du professeur, et peut-être avoir un poste d’enseignante en mathématiques. La sociologie c’est bien, mais beaucoup moins intéressant que les mathématiques. Je suis une mathématicienne, pure et dure. Je ne vis que pour ça, et la sociologie, je ne l’ai pris que pour en savoir un peu plus. Voilà la raison de ma présence sur le parking du campus. Un peu pressée par le temps, mon avion décollait à 14h, et il était déjà 10 heures, mais c’était l’heure où le professeur arrivait. J’aurais pu lui envoyer un mail, mais je voulais faire ça bien. Je m’étais même très bien habillée pour cela. Pour paraitre un temps soit peu professionnel. J’avais pris un costume blanc, avec une petite cravate féminine un peu plus sombre. Avec des talons. Si ça, ce n’était pas professionnel, je ne comprenais pas. Je savais que le professeur ne m’en voudrait pas, mais tout de même. C’est ainsi que lorsque je me garais, je ne fis pas attention à la voiture d’à côté. Je fonçais en plein dessus. Oups. Je regardais par la fenêtre, oh ça va. Il s’agissait là d’une vieille voiture. La personne allait surement m’aimer, d’avoir une raison pour changer ce déchet. Mais non. A peine mis-je le pied en dehors de ma voiture, j’entendis un jeune commencer à crier sur moi. Ce devait être le propriétaire de la voiture. Oh non. Il va me faire perdre du temps. J’allais m’excuser, lui promettre de payer les dégâts, ou même de lui offrir une nouvelle voiture, parce que rouler avec ça, c’est vraiment la honte. Mais lorsque je vis le visage du conducteur, je n’eus même pas assez de salive pour parler. Ou tout simplement de prénom à mettre sur son visage. Je ne l’avais vu qu’une seule fois, et il avait apparu dans ma vie tel un ange gardien. Je ne l’avais jamais vu auparavant. Et encore moins après. J’avais vraiment cru avoir rêvé de lui, ainsi que de son apparition. Mais non. Il était bel et bien réel, et vivant. En chair et en os. Lorsqu’il m’aperçut, il se tut aussi. Et ensembles, on en restait là, face à face, à ne pas parler. Mais après quelques secondes, je me décidais tout de même à parler, et m’excuser « Je… je suis vraiment désolée. Je ne voulais pas. » Et je me mordis la lèvre inférieure, tout en mettant ma main dans ma chevelure. Je me jetais sur sa voiture, pour voir les dégâts que j’avais causés à sa voiture. Bon ce n’était pas si grave que ça. Puis ensuite, je regardais ma voiture. Pas de dégâts visibles. Je me retournais vers lui, et rajoutais « Je ne voulais pas… encore moins après ce que vous… tu as faits pour moi. » Je ne savais pas comment je devais m’adresser à lui, ou même si je devais reparler de cette nuit. J’étais perdue, devant lui. Et son regard me perturba encore plus. Je soufflais, tout en regardant encore une fois sa voiture.
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MessageSujet: Re: It wasn't a sex night, but much more → JONAH&LUBJA It wasn't a sex night, but much more  →  JONAH&LUBJA EmptyLun 16 Sep - 17:53

It wasn't a sex night, but much more  →  JONAH&LUBJA 130916061908377258L'administration, quelle plaie. Le système de Berkeley me déplaisait d'autant plus qu'il fallait poiroter. Je n'aimais pas attendre, encore moins pour un papier. C'était plus que mes nerfs ne pouvaient supporter. Voilà plus de dix que j'attendais dans une file qui ne diminuait jamais. C'était bien trop long pour moi. La patience me manquer, c'était indéniable. Qu'importe, je ferai sans ce papier, même s'il était important pour que je puisse confirmer mon inscription. Entre le Starbucks et ce bordel administratif, je commençais à croire qu'ils voulaient ma perte. Une genre de ligue faite pour me punir la vie. Qu'ils aillent se faire foutre, je n'avais plus la patience d'attendre. Je me barrais de cette cage en prenant bien soin de claquer la porte en sortant. Histoire de réveiller les bureaux qui n'étaient pas vraiment fonctionnels. J'avais laissé le peu de patience qu'il me restait à l'intérieur de ces bureaux. L'heure tournait et je n'allais pas tarder à devoir aller bosser. Je croisais déjà les doigts pour ne pas être à la bourre. Ouais, malgré ma gueule de rebelle, je tenais quand même à avoir quelque chose dans mon assiette. D'autant plus qu'Elzbieta ne supporterait pas longtemps de vivre avec un clochard si je perdais mon emploi. Bref, je vivais la vie de milliers de fourmis : je courrais après les obligations tout en perdant le peu de liberté qu'il me restait. Avais-je le choix ? Non, depuis bien longtemps maintenant ce luxe m'était interdit. J'étais déjà énervé pour le reste de la journée. Je courais après la montre et je détestais cette sensation de perte de contrôle sur tout. M'allumer une clope sur le chemin qui me conduisait à ma voiture serait le meilleur moyen de décompresser quelque peu. Ni une, ni deux, ma clope était dans ma bouche en moins de temps qu'il faut le dire. Heureusement, le temps était en ma faveur. Il faisait incroyablement chaud, une fin d'été comme je les appréciais. Pour tout dire, j'avais plus envie de me dorer la pilule chez Aislynn, plutôt que me faire chier à aller bosser. Il fallait que je chasse ces idées paradisiaques de ma tête : aujourd'hui serait une journée très longue, sûrement animée par les cris de mon hystérique de supérieure. Je ne savais pas si c'était véritablement la cigarette, ou bien mes pensées, mais je me sentais d'une humeur moins assassine, résigné certes, mais de meilleure humeur tout de même. Il fallait que j'accélère sévérement le pas si je ne voulais pas me prendre un avertissement. Au fond, je me foutais de me faire virer, des boulots ingrats j'en trouverais à la pelle, je ne voulais pas laisser à ma supérieure l'opportunité de me virer. Bouge ton cul, bouge ton cul, c'était les mots qui me venaient sans cesse à l'esprit. J'accélérais l'allure de croisière, je n'étais pas à la course, mais presque. Les cheveux au vent, je n'avais pas vraiment le temps de faire attention à ma coiffure. Au fond, c'était comme le reste : je m'en tapais la plus part du temps. Enfin j’apercevais ma caisse. Il était largement temps que je prenne la route. Une fois devant la serrure celle-ci se mit à faire des siennes. Putain, c'était pas le moment. Bon, il fallait que j'emploie la manière forte, je mis un coup de poing dans la portière pour déverrouiller le système de sécurité. Ma voiture n'était plus à ça près, bon ok elle ne payait pas de mine comme toutes ces putains de voitures d'Epsilon, mais bon elle m'évitait de marcher, c'était l'essentiel. Il fallait que je me mette à chercher mon portable que je ne trouvais plus depuis ce matin. L'avais-je oublier dans la voiture ? Sûrement car il était introuvable dans mes poches. Je me mis à sa recherche dans l'habitacle de ma voiture. Après avoir regarder sur les sièges arrières, je me penchais vers le siège passager. La tête planquait sous ma boite à gant à essayer de trouver ce putain de portable, je n'eu le temps de réaliser ce qui se passer à l'extérieur. Bam, mon crâne se fracassa sur le plastique. Putain que ça faisait mal. Il me fallait quelques secondes pour comprendre ce qui venait de se jouer dehors. Un regard dans le rétroviseur, ma main sur le crane je compris qu'on venait de ma percuter. Avais-je besoin de ça aujourd'hui ? Non, pas vraiment. Ma tête me faisait mal, et l'idée qu'on ait abîmer ma voiture également. Je me voyais déjà en train de faire le tapin pour payer les réparations. Il ne manquait plus que ça. Sortir de ma voiture et bouffer ce ou cette chauffarde serait le moyen de me défouler.  Mon crâne de lancer une douleur intense jusqu'aux cervicales, putain c'était vraiment pas le jour. Je regardais le pilote fautif de mes maux. Elle ne m'était pas étrangère, sa tête me parlait étrangement. Impossible de me rappeler qui elle était. Avais-je coucher avec elle ? Je l'ignorais, je ne savais pas d'où elle sortait mais une chose était sûre : je l'avais déjà rencontré. Il fallait avant toute chose que je regarde les dégâts, je me précipitais vers l'arrière. Elle se mit à parler. Ah, je savais où je l'avais rencontré. Ça me revenait, je ne savais si c'était le choc qui me mettait dans un état second mais le résultat était là. Combien ça allait me coûter encore ? La chaleur montait étrangement dans mes veines. J'avais vraiment envie de casser des têtes. Je me retournais vers elle et lui lançais-je. « TU M'REMERCIES EN DÉFONÇANT MA BAGNOLE ?! » Je n'avais plus de patience, elle avait tué le peu qu'il pouvait encore rester. Ca y est j'étais à bout. Le pire c'est qu'elle jouait les victimes à demi-mot, était-elle sérieusement ? Je ne croyais pas vraiment aux dictons, pourtant je commençais vraiment à croire que "femme au volant, mort au tournant".
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Keith O. Phillips
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MessageSujet: Re: It wasn't a sex night, but much more → JONAH&LUBJA It wasn't a sex night, but much more  →  JONAH&LUBJA EmptyDim 13 Oct - 22:00

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LUBJA&JONAH cestprive  Avec tous ce se passait dans ma tête, ainsi que tout ce qui s’était passé dans ma vie dernièrement, on ne peut pas dire que je suis la femme la plus concentrée au monde. Faisant gaffe à ce qui se passe autour, ou au contraire ce qui ne s’y passe pas. Je joue un peu à l’égoïste, en ne pensant qu’à moi. Mais je le mérite bien non ? D’avoir mes propres vacances, pour faire un bon point sur ma vie. Et malgré que ce choix soit légitime, je n’arrive pas à me sentir bien par rapport au fait que je vais abandonner le professeur pendant quelques temps. Derrière toute cette apparence, j’ai un cœur, je suis sensible. Je dirais même que je suis une grosse sentimentale. Je n’arrive pas vraiment à être méchante. D’ailleurs, en y pensant, je n’ai pas vraiment d’ennemies. Non vraiment. On pourrait penser le contraire à cause de la confrérie que je fréquente. Que je suis une réelle garce comme la plupart de mes consœurs, et pourtant : non. J’avais beau m’amuser avec les hommes, je ne leur faisais pas pour autant de mal. D’ailleurs, la plupart du temps c’était plutôt moi la victime. Quant au reste, les filles, la majorité du temps si elles ne m’apprécient pas, ce n’est pas parce que je leur ai fait un coup bas, mais plutôt parce qu’elles sont jalouses. Jalouses de quoi ? Je ne sais pas, car je ne vois rien en moi à envier. Encore moins en ce moment. Tout cela pour dire que ce n’était vraiment pas volontaire, le fait que j’ai foncé dans cette voiture. Et spécialement dans celle de ce jeune homme. Même s’il était mon pire ennemie je ne lui aurais pas fait ça. J’aurais soit fait pire, soit je l’ignorerais tout simplement, car nous savons tous que l’ignorance est la pire des choses. Je me retournais alors vers lui pour me mordre les lèvres, tout en m’excusant. Au vu de comment il avait dégagé mon patron lors de cette nuit où il m’avait protégé, je ne souhaitais pas l’avoir contre moi. Mais plutôt continuer à l’avoir à mes côtés. Seulement, il semblait réellement en colère. « Non… Mais euh… je vais te payer la réparation ! » Et en voyant la voiture, j’en eus même presque de la peine, alors je lui proposais, sait-on jamais « Je t’en achète même une nouvelle si tu veux. » Mais en attendant, je sortais déjà mon téléphone pour appeler mon garagiste. Au moins s’il choisissait de garder cette voiture, si nous pouvons appeler ça comme ça, elle serait entre de bonnes mains. C’était la moindre des choses que je pouvais faire pour lui, en cet instant. Je le regardais. Je le reconnais de l’autre soir, certes, mais il me semblait différent à la lumière du jour. Toujours aussi charmant, mais il semblait avoir un visage plus dur. Il ne semblait pas être un mec dont j’ai réellement besoin à mes côtés en ce moment. J’en eu presque le sentiment qu’il pouvait faire partie des Gamma. J’en ai assez avec les Gamma. Et pourtant, il restait tout de même mon sauveur. On ne sait pas ce qui aurait pu se passer cette nuit là, s’il ne serait pas intervenu. Je lui devais une belle chandelle. « Je ne t’ai pas bien remercié après tout ça… mais je t’assure que je n’ai pas oublié ton geste. » J’aurais pu essayer de le retrouver. Si seulement je ne serais pas passée par la case prison quelques jours seulement après. Mais comment on le dit si bien : vaut mieux tard que jamais. « Je suis Lubja. » lui annonçais-je en lui donnant ma main. Il ne voulait peut-être pas savoir comment je m’appelais ou même me serrer la main, mais qui ne tente rien n’a rien. Il ne souhaitait peut-être pas faire connaissance avec la femme qu’il a protégée, mais moi je voulais faire connaissance avec lui. Ou au moins savoir son prénom, pour en mettre un sur ce si beau visage.
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MessageSujet: Re: It wasn't a sex night, but much more → JONAH&LUBJA It wasn't a sex night, but much more  →  JONAH&LUBJA EmptyMar 29 Oct - 18:58

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