the great escape
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Je m'amuse pas toi ? - Léo

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MessageSujet: Je m'amuse pas toi ? - Léo Je m'amuse pas toi ? -  Léo EmptyVen 24 Mai - 19:13




Sixtine et Léo
Quand arrêterai-je d’écouter mon démon ?

    Aujourd’hui, ce n’était pas franchement le jour de me faire chier. Je n’ai pas arrêté du matin au soir, d’essayer de contacter ma tante qui se trouve à l’autre bout du monde en Russie. Mais bien sur impossible ! Putain de réseau de merde ! Qu’est ce qu’elle va penser de moi ? Déjà que notre séparations à mon départ pour la Californie a était dure. Je ne peux même pas lui souhaiter un bon anniversaire ? Tss.
    Avec ma Tante on est assez proche même très proches. Je la considère comme ma mère parce qu’elle ma élevé ok mais ce n’est pas pour autant que je l’ai une seule fois appelé maman. Ce petit nom sans aucune importance pour beaucoup de personnes c’est beaucoup pour moi. C’est sacré, comme une vache en inde. Et seule une personne peut avoir ce nom : Ma mère. C’est tout. Puis ça me semble logique. Quand j’étais petite et que j’habitais encore ne Russie, ma tante très compréhensive et affecté par la mort de ma mère, sa sœur donc, me permettait d’allait souvent, presque tous les jours sur la tombe de ma mère. C’était le seul moment où je pouvais dire maman. Ok, je le disais à une tombe, mais et alors ? Moi je sais qu’elle était là, et qu’elle me répondait mais que je ne pouvais pas l’entendre parce qu’un monsieur avait pris ma mère et l’avait mis dans les nuages pour qu’elle puisse être heureuse de me voir grandir. C’est ce qu’on m’avait fait croire. Maintenant je sais juste qu’elle est morte à cause d’une hémorragie lors de ma naissance, mais je ne sais toujours pas et je ne serais surement jamais dans mon vivant si elle peut me voir et m’entendre. Enfaite je crois que ça seul toi peut le décider. Avec ta pensée, ton cœur.. Si tu as simplement envie de croire que la personne chère que tu as perdue et toujours là, bah elle le sera.
    Je me sens conne à tourner dans tous les sens mon portable en l’air de droite à gauche à essayer de rappeler toutes les 5 minutes en destination de St Pétersbourg. Je marche sans vraiment savoir ou je suis n’y ou je vais, trop occuper à regarder mes messages en quête d’un petit moment de réseau. Puis là.. BOOOOOM !
    Je crois que je viens de cogner quelques chose, oui quelques chose, c’était bien trop dur pour être une personne ! A moins que ! Ce soit un putain de gars bien gaulé avec des beaux abdos ! Le temps de reprendre mes esprits et de rêvassé sur qui je mettais cogné, j’entends bien des rigolades autour de moi. Encore des gens moqueurs ! C’est là que j’ai réalisé que je mettais cogné à un poteau ! Oh my fucking god ! La honte ! L’affiche ! Je me suis tâté le front du bout des doigts pour déterminé ou se trouvait la grosse bosse que j’ai dû m’arranger bien comme il faut. Pas de signes de bosses, pour l’instant. Bon maintenant je n’ai rien à dire contre les autres qui riait. Je comprends. J’aurais fait pareille. Cette fois je me suis décroché du téléphone pour regarder autour de moi pour voir où me poser. J’avais le choix entre les rebords de la fontaine et un banc à l’ombre d’un arbre. Je suis directement parti vers le banc parce que aujourd’hui la fontaine.. On va éviter. Nerveuse comme je suis un faux mouvement et plouf !
    Le temps de traversé toute l’herbe, ma robe à eue le temps d’essayer de se soulever pour dévoiler mes sou vêtements au monde entier. Comme si je ne mettais pas assez fait remarquer ? Bon même si ce que je vais dire fait un peu biatch. Montrer mes sous-vêtements ne m’aurait en aucun cas humilié ! Ils étaient aujourd’hui assortit à ma robe en top imprimé léopard avec lequel j’ai associé des boots en cuir et plusieurs bracelets dans les même tons de couleurs. Et puis avec une paire de lunettes de soleil Ray-Bann.
    Enfin arrivé sur ce banc, je me suis calé au fond en croisant les jambes et j’ai pu enfin revenir à mon téléphone.
    Toujours pas ! Toujours pas et encore toujours pas ! J’étais au bord de la crise de nerfs quand j’ai entendu un rire. Par n’importe lequel. Je le connaissais, c’était un rire de fille. Je me suis de suite redressé en direction de ce ricanement. Léo ! Qu’est ce qu’elle fout là ?! Bah elle est l’université pardi. Que je suis bête. Bon bref, en tout cas je ne peux nullement rester en sa présence et l’entendre ricaner. Ce n’est qu’au moment de me lever que je me suis rappelé mon objectif de ma présence. Ma petite vengeance. Mais j’ai aussi pensé à Mavis qui ne voulait pas que je me gâche la vie à essayer de me venger pour rien. Qu’Est-ce que je fais ? J’y vais ou pas ? Mavis ou moi ? Moi ! Je peux lui promettre de ne pas abuser, mais pas de ne pas m’amuser. J’ai pris mon sac et j’ai posé la sangle sur mon épaule droite et je suis partit en direction de cette blonde.
    Je suis posté derrière elle, et elle ne m’a pas vu – Humm humm ! en mettant ma main devant la bouche, comme si je toussais légèrement. J’attendais qu’elle se retourne pour lui faire un gros sourire un peu faux cul sur les bords.
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MessageSujet: Re: Je m'amuse pas toi ? - Léo Je m'amuse pas toi ? -  Léo EmptyDim 26 Mai - 14:35

    Je m'amuse pas toi ? -  Léo Tumblr_mlsh2puaFO1qjbcbao1_500J'avais traversé en coup de vent les couloirs de l'université. D'habitude j'avais toujours ce pas bien prononcé qui indiquait juchée sur mes hauts talons, mon arrivée imminente mais finalement je n'avais jamais besoin de jouer les prodiges, je savais pertinemment que dès que j'aparraissais, les gens ne pouvaient s'empêcher de me dévorer du regard. Je le savais et en jouais. J'étais belle, grande mince, le genre de beauté qu'on ne trouvait pas partout. Rien que mes courbes ne pouvaient être que péché. J'eus un sourire en remarquant un groupe de garçons me dévisager au loin comme si de rien n'était. Allez-y mes agneaux essayez de croquer dans la pomme de la luxure, elle est déjà bien loin devant vous. J'eus un sourire. J'avais eu énormément de conquête et pourtant il était bien difficile de m'approcher. Après tout, j'étais assez lunatique de ce côté là et combien de fois j'avais repoussé des hommes alors que j'acceptais les mêmes stéréotypes deux mètres plus loin en tant que boyfriend attitré ? Bon évidemment, il ne restait jamais longtemps. Pourquoi ? Tout simplement parce que je n'étais jamais amoureuse. Je m'entichais, je devenais accro et puis me lassais. C'était toujours comme ça avec moi, les hommes étaient comme de nouvelles paires de Lamboutin. On craquait devant leurs grands airs, devant leurs formes et manière de s'accorder avec tout ce que l'on portait et puis au bout d'un temps, on tombait sur des jimmy choo. Pauvre petite Lamboutin... En attendant j'avais toujours vécu ainsi et traitait ma vie comme on traite ses affaires de princesse. Le monde est à vos pieds et alors tout vous souris. On vit dans une bulle sans penser qu'un jour quelque chose viendra la faire exploser. Mais alors que je continuais à marcher d'un pas décidé vers les chambres universitaire pour aller parler à Casey de la passion qui nous avait dévoré la veille, je fis volte face lorsque je vie qu'il n'était à l'université. Il suffisait que j'apperçois le tweet qu'il venait de poster pour me faire comprendre qu'il était bien inutile d'aller plus loin, il était en ce moment même avec Jayson. Mince. Bon, pour le coup, mon plan était plus que raté c'est pourquoi je finis par me diriger vers les parcs de l'université en espérant y dénicher une idée pour m’extorquer de la tête Casey et Mavis pour au moins une journée si ce n'était trop demander. Voila la personne que je cherchais alors. Marni et Harper. J'eus un sourire en les appercevant et elles s'approchèrent en me serrant dans leur bras chacune. La discussion s'enchaîna alors entre nos trois têtes de meilleures amies et j'oubliai pour un temps les idées qui me trottaient dans la tête et m'empêchais d'être totalement sereine. Malheureusement, ce ne serait pas aujourd'hui que cela pourrait se faire. J'entendis un raclement de gorge derrière mon dos qui annonçait qu'il fallait que je me retourne. Coupée dans mon discours avec les filles, je me retourna vers ... Catherine. Ou du moins Sixtine si j'avais bien compris. Aujourd'hui, elle voulait se faire appeler par son deuxième prénom quelque chose que je comprenais pour elle mais qui était bien difficile à assimiler pour moi. Quoi qu'à l'époque il fallait le dire, elle était bien la seule à m'appeler Alisson préférant se distinguer des autres. Mon visage se décomposa et je sentis mes amies à mes côtés se tendres comme si elles allaient bondir sur la jeune femme. Je ne pus qu'imiter un semblant de sourire. Il faut que je vous laisse les filles, on en reparle plus tard ! Grand sourire faux aux lèvres, je pris Sixtine par le bras et m'éloigna avec elle comme de bonnes vieilles copines jusqu'à ce que mes amies ne nous voient plus. Je relâcha alors mon étreinte, mon sourire et la regarda avec méfiance. Qu'est-ce que tu me veux S. ? Mon ton froid montrait que je n'avais pas envie de jouer mais je savais qu'elle pouvait se montrer la meilleure amie du monde comme la personne la plus détestable qui soit lorsqu'on était dans son collimateur et en l'occurrence, je m'y trouvais.
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MessageSujet: Re: Je m'amuse pas toi ? - Léo Je m'amuse pas toi ? -  Léo EmptyMar 4 Juin - 18:25




Sixtine et Léo
Quand arrêterai-je d’écouter mon démon ?

    J’ai remarqué que depuis mon arrivé à Berkeley, il n’y avait que des meufs super bien foutus taille mannequin tout ça et des gars pas trop mal non plus. Où est passé cette légende urbaine que tous les américains était obèses ? Je ne crois pas que ça vient du fait qu’ils ne mangent pas aux faste Food ici, non au contraire.
    Certes cette faculté rassemble un nombre important de gens de toutes origines, de toutes apparences et caractéristiques distincte. Et donc pas seulement des Américains, mais je pars de la théorie que à partir du moment où tu as posé tes valises sur le sol Américains pour ta vie ou pour 2 ans, tu es Américains.
    C’est une énigme pour moi, en tant que Russe fière, qui a grandi dans une population rempli de cliché. Ma famille et moi-même d’ailleurs tournons aux clichés sur les autres pays. Et pour nous les Américains, c’était les « gros «. Je parle au passé parce que depuis mon arrivé cette opinion à changer et je m’en veux d’ailleurs d’avoir je ne sais combien de fois à ce sujet entre amis.
    Je ne cache pas que moi-même je suis un mystère pour moi. Je suis la première à manger pratiquement que du faste food, c’est presque une règle de vie chez moi, une drogue, une dépendance. Et malgré cela, sans me vanter, je garde mon corps qui fait rêver plus d’un je le sais.
    Ca me fais penser à toutes ces phrases qui ont pour sens de dire que une telle personne et plus belle que celle-là.. Je ne suis pas de cet avis. Je ne dis pas que je ne trouve pas des gens, pas à mon goûts non. Parce que oui je ne le cache pas plus d’une fois je me suis moqué du physique de quelqu’un, surtout de ceux qui ne « savent » pas s’habiller. La corpulence d’une personne est pour moi bien loin d’être un critère de moquerie.
    Je crois plutôt, je suis sure même que, nous sommes tous beaux ! – oulala ça part en morale hippie - Physiquement ou moralement ! C’est juste que certaines personnes ne savent pas se mettre en valeur. Et c’est bien dommage.
    Grace à cela on pourrait peut-être éviter des moqueries inutile qui poussent un bon nombre de gens innocent et qui sont loin de méritaient ça, à se suicider. Si je devais faire quelques choses dans ma vie comme œuvre caritatives, ça serait sans hésiter pour défendre ces gens-là. Bien sûr ceux encore en vie…. Pas les morts….
    M’enfin tout ça pour dire que ici à Berkeley les gens sont plutôt des sexy ! Et ça me rend heureuse ! Comme ça je n’aurais pas besoin de m’énerver et de m’attirer biens des ennuis pour défendre des victimes de ses paroles diffamatoires. Oui on peut me prendre pour une folle avec ça ! Mais bon quelque fois ! Il m’arrive de critiquer des personnes qui ont un look parfait, mais ça c’est juste de l’énervement…
    Mais je suis catégorique à ce sujet ! Et je ne peux tolérer aucuns trucs de ce genre. C’est juste impossible. Je ne sais pas si j’étais comme ça avant mon accident. Encore un truc que je pourrais savoir si j’étais proche d’une amie de « avant «, mais je sais que depuis mon réveille, c’est comme ça.
    En tout cas je suis loin, je pense, d’avoir un petit ou non renseignement sur la Sixtine d’avant ! Plutôt la Catherine. Mais elle c’est du passé. Rien que de voir Léo. Ça m’énerve. Perché sur ses talons vertigineux qui faisait voir de loin sa taille de guêpe. Avec son air de fille qui se laisse désirer. Qui ne pouvait pas voir qu’elle était en train de snober le groupe de gars qui la mater sans arrêts. Sur ce point je ne sais pas si c’est de la jalousie ou non. Parce que je sais que moi aussi j’ai la capacité de faire comme elle, et de me laisser désirer dans tous les coins de l’université. Peut-être que je le fais déjà, mais en tout cas c’est inconscient et peu marqué.
    Elle s’est retourné, à commencer à me prendre par le bras pour me tirer plus loin en laissant ses copines en leurs disant qu’elles se verraient plus tard. Je l’ai laissé faire et je me suis contenté de la regarder, son petit sourire aux lèvres.. Huuuuummmf.. J’ai envie de la baffer pour le lui retirer ! Hypocrite !
    Quand nous sommes arrivés plus loin, elle me regarda d’un air carrément plus froid, limite comme si elle avait peur de ce que je pouvais faire. Je le comprends au fond. – Tu me fais pitié. Commençai-je à lui dire d’un ton moqueur. – Avec ton petit sourire complètement faux culs comme si tout allez bien entre nous ! On aurait pu rester là-bas tu sais. Avec tes copines, là où tout le monde nous voyaient. J’aurais bien aimé voir tes « copines » se jetaient sur moi pour m’arracher les membres un par un pour démontrer leurs solidarité envers toi. Lui dis-je d’un ton persuasif – Mais non voyons ! Sa majesté tiens trop à sa réputation de filles parfaite et sans ennuis qui n’a strictement rien à ce reprocher !!! En montant légèrement la voix assez énervé.
    Je luis en veux vraiment, et je tiens à lui faire comprendre, que malgré ces allures de filles « parfaite » qu’elle essayé de montrer à la face du monde, c’était loin d’être le cas ! M’enfin elle a encore de la chance, elle aurait pu avoir un meurtre à dissimulé sous ses apparence parfaite. Bien heureusement je me suis réveillé !
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MessageSujet: Re: Je m'amuse pas toi ? - Léo Je m'amuse pas toi ? -  Léo EmptySam 8 Juin - 17:46

    Je m'amuse pas toi ? -  Léo Tumblr_mlsh2puaFO1qjbcbao1_500Je ne l'avais même pas apperçue que j'avais sentie son regard noir de haine sur mon dos. Une sensation de brûlure indolore qui m'avais permis de détecter que satan était derrière moi. Oh oui. Avec mon visage d'ange, mes grands airs de princesse et tout ce qui allait avec, on ne pouvait penser que Léo-Alisson Woobleforth pouvait avoir des ennemies. Après tout, je n'étais pas méchante, ne faisais pas de mal aux gens que j'aimais, encore moins aux gens que je ne connaissais pas et même si j'avais de grands airs hautains et que je faisais beaucoup de conneries digne d'une starlette avec les mecs ou autres, il en venait que ce n'était pas bien méchant et que ça me rendait surtout bien plus attendrissante. Les gens qui ne m'aimaient pas n'étaient que les jaloux. Je ne comprenais pas. Ce n'était parce qu'on avait un corps de rêve qu'on devait pour autant être maudit par les gens qui n'avaient pas eu les mêmes avantages à la naissance et surtout, j'avouais que le physique m'importais peu chez les autres lorsque je leur adressais la parole ! Pour les hommes c'était différent mais passons ! J'avais fais mine, sourire aux lèvres d'être calme et de garder mon sang froid c'est pourquoi, même si je sentais mes amies crispées en vu de la jeune femme, je leur avais fait signe que tout allait bien et que j'allais discuter avec elle. J'avais horreur des confrontations et surtout, elles me rendaient nauséeuses. J'avais encore plus de mal lorsqu'il s'agissait de Catherine. Sixtine. Fin peu importe, il fallait vraiment que je m'y habitue ! Son regard était noir et moqueur. Je l'imaginais parfaitement se délecter du fait que je pouvais couper une discussion avec mes amies juste pour elle seule alors que je savais pertinemment que ce n'était pas pour refaire amie amie. Pourtant nous en avions déjà discutés et lui avais bien montré que ce n'était pas moi qui était la cause de son accident. Je n'avais fait qu'être sur place et être complice. Elle n'avait pas non-plus l'air de comprendre que j'avais pu m'en aller malgré que je lui avais donné de bonnes explications comme le fait que j'étais piégée par un beau chantage d'une de nos amies qui semblaient être le grand manitou de la bande. J'avais mes tords mais pas autant que ce qu'elle semblait m'avoir mis sur le dos et au bout de quelques temps de panique je commençais à me dire qu'il y en avais assez. Elle ne voulait plus être mon amie ? Elle ne voulait pas tourner la page malgré mes explications ? tant pis, je pouvais comprendre. Mais qu'elle veuille me rendre la vie impossible était autre chose. Je l'entendis alors débiter quelques paroles et je ne pus m'empêcher d'avoir un blanc devant sa manière sèche et désagréable de ma parler. Elle semblait être une personne bien différente. Je l'a connaissais douce, gentille et bienveillante et j'avais réveillée la garce qui était en elle. elle avait perdu deux ans de sa vie en partie à cause de moi et comme j'étais la fille la plus proche d'elle à l'époque, c'était à moi de payer pour tout le monde. Dur erreur, j'apprendrais la leçon pour une prochaine fois ! Ecoutes Catherine ou devrais-je dire, Sixtine, tu peux faire ce que tu veux, essayer de me rabaisser plus bas que terre, sache que je serais beaucoup moins compréhensive si tu n'oses qu'adresser la parole à mes amis. Rien ne les concerne, c'est entre toi et moi, j'espère que tu as compris ! J'avais sortie mon ton le plus sec n'ayant j'avais eu ce genre d'accrochage. Je me savais aimée. Je ne savais pas que ça pouvait être le contraire. Et surtout, je pensais à elle et Mavis ce que je ne supportais pas mais je comprenais. Il avait été un vrai ami pour elle mais l'aurait-il fait dans ma situation ? Oui sûrement, il n'avait de compte à rende à personne alors que j'avais une image dans le monde et des parents qui m'écarterais au prochain faux pas. Et puis je l'entendis, me rabaisser, essayer de cracher sur mon visage d'une manière que je n'appréciais pas. Je sentais la colère montée mais j'essayais tout de même de me contenir. Mais tu crois que ça me fais plaisir ? De te voir là ? Toi et moi à essayer de régler nos comptes alors qu'on était amie ? Ce que je t'ai dis la dernière fois ne t'as donc servit à rien en faîtes. J'aurais pu être l'auteur de l'accident que ce serait revenue au même j'ai l'impression !
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MessageSujet: Re: Je m'amuse pas toi ? - Léo Je m'amuse pas toi ? -  Léo EmptyDim 9 Juin - 20:24




Sixtine et Léo
Quand arrêterai-je d’écouter mon démon ?

    On est là, face à face et je ne cesse de me demander pourquoi ?
    Comment je suis arrivé là ? Comment nous sommes arrivés là ? A ce qu’on m’a dit on était super proches, le genre « meilleure amies du monde « je suppose. Je n’y croyais pas franchement vu du faite qu’on m’a aussi raconter qu’il était fort possible qu’elle soit une des responsables de mon accident. Je l’avais imaginé de toutes les façons possibles suivant ce qu’on m’avait dit. J’en étais arrivé une conclusion plus fondée que les autres : c’était une fille attachée à ses amis.
    Et c’est tout à fait ce que je peux voir en la regardant pour de vrais, enfin, parce que le moments dans les toilettes de la dernière fois n’était pas vraiment.. Déjà c’était dans les chiottes et puis, fein je ne sais pas. Je sais juste que cette dernière fois, mes souvenirs ne c’étaient pas autant agité dans ma tête en la voyant. Il y à peine 10 minutes elle était encore une inconnue, presque, à mes yeux, une inconnue qui occupée tous mon esprit accompagné de propos malsains. Ok.
    C’est hyper dégelasse, peut être que je me mets en phase « destruction « que sur elle, parce que je sais qu’elle n’était pas seule. Ca d’accord ! Mais dans ma logique, il n’y avait personnes de ces nanas à mon réveille, encore moins Léo qui apparemment était, ma plus proche amie.
    Je n’ai pas envie de montrer que ça me fait du mal malgré les apparences, de jouer les garce envers elle. Je ne crois pas que ça pourrait se voir facilement, surtout par elle. Elle est habitué à me voir douce, gentille la jeune fille sensible. Je crois que mon séjour dans le noir pendant 2 ans ma bien fait changer. Du moins en apparence.
    Je suis toujours la fille sensible et gentille à ses heures perdues, j’ai juste appris à dissimuler tous ca derrière ma carapace qui me fait devenir une fille mystérieuse et presque antisocial, sur la qu’elle on pourrait presque dire qu’elle n’a pas de cœur. Mais tous cela est bien faux. Les séquelles morale sont bien là, et ce sont pires que des fissures. Je dirais même des crevasses énormes presque sans fond, ou difficile à trouver.
    D’un ton sec elle s’est mise à me menacer du faite que j’avais parlé de ses amies qui n’avait, certes, rien à voir la dedans. Je comprends très bien dans mon intérieur que je pourrais appeler « Catherine « mais ça ce n’est plus possible, malgré que la Catherine ne soit pas partie, et qu’elle est juste « recouverte « je ne veux plus quelle existe.
    Ma vie je la vois en deux parties distincte maintenant : la partie « Catherine « et « Sixtine « . Sixtine ? Pourquoi avoir changé ? C’est un signe de renaissance – Bon écoute intègre toi vite que Catherine n’est plus là. Elle ne reviendra jamais ! Sixtine à prit sa place ! Je n’aurais surement pas besoins de dire que ma carapace ma aussi donné de la nervosité, et ce nouveau côté colérique et spontané, presque violent. – Et puis, arrête ! Tu ne sais pas t’énerver. Rassure-moi, et dis-moi que je n’étais pas comme toi avant. J’aurais bien trop honte. C’est le début d’un séisme haut placé sur l’échelle de Richter qui se prépare dans ma tête en ce moment même.
    Je l’avais voyais s’énerver malgré ses tentatives de le cacher. Peut-être pourrait-elle essayer de lever la main sur moi ? Ça serait simplement marrant. – Ce que tu ne comprends pas c’est que, qui que ce soit qui a fait que je me retrouve 2 ans dans ce lit d’hôpital, peu d’importance, c’est que il n’y avait personne !! Cette fois je ne me contentais plus de haussé la voix, je gueulais en la regardant directement dans les yeux. – On m’a raconté des choses sur toi avant que je vienne ici ! Je m’étais déjà fondé une idée sur toi et comment on était toutes les deux avant, notre relation ! Là je t’ai devant moi et j’arrive petit à petit à me ressouvenir ! J’étais énervé à un point que je retenais mes larmes qui sortait toutes seules avec la nervosité. – Sans cesse je me demande pourquoi tu étais mon amie ? Parce que si c’était juste à cause d’une nana, putain d’égoïste qui t’avais dit de m’oublier pour ne pas finir en taule ! Je me demande surtout si j’ai perdue 2 ans de ma vie avec des grosses garces qui au final m’ont laissé dans la merde quand j’avais besoins, vraiment besoins d‘elles. Cette fois une larme s’est mise à couler mais c’est pas pour autant que je gueulais moins – Surtout toi, que je suis vraiment sure qu’on était amis.. Du moins qu’on restait ensemble, parce que amie.. Je ne sais pas ! Toutes mes reproches dans ma tête étaient en guerre pour qui allait être la suivante à sortir. – Putain mais.. Enfaite tu ne comprends surtout pas que tu me manques et que tu es essentiel pour, pour reboucher certains trous dans ma tête ! Je me suis retourné et j’ai fait quelques pas en avant pour essuyer mes larmes et me calmer un peu, sinon j’aurais pu lui mettre une claque.. Ce que je venais de dire, je sais que ça devait être assez confus peut-être même dure à comprendre. Mais s’ayait je sais pourquoi je lui en veux vraiment : d’être quand même partie sous les ordres de cette nana, malgré toute la confiance et l’amitié que je pouvais lui donner..

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MessageSujet: Re: Je m'amuse pas toi ? - Léo Je m'amuse pas toi ? -  Léo EmptyJeu 13 Juin - 0:27


    Je m'amuse pas toi ? -  Léo Tumblr_mlsh2puaFO1qjbcbao1_500Elle avait de suite réagit lorsque je n'avais pu m'empêcher de l'appeler Catherine. En faîtes c'était tout à fait voulu de ma part et je savais parfaitement que ce prénom pouvait la faire sortir de ses gonds. Mavis m'en avais touché deux mains. C'était pourtant délibérément que j'avais essayé de l'énerver encore plus en lui mettant en plein visage une vérité qu'il avait dû mal à avaler. Elle ne voulait plus se souvenir, elle voulait faire mine de n'être plus la même personne parce qu'elle était bien plus bléssé que je ne pouvais l'imaginer. Je le comprenais mieux qu'elle ne pouvait le penser mais ce n'était pas pour autant qu'elle devait dénigrer tout ce qui s'était passé avant l'accident. Nous avions tous des douleurs qui ne se voyaient pas et qui, pourtant, restaient ancrées au fond de nous et qui nous faisait veiller tard au fond du lit. cela ressemblait à une vraie bête noire. Le genre qui pouvait vous tenailler le ventre pendant des heures, ne pas vous laisser fermer l'oeil de la nuit et vous inventez une petite voix dans votre tête pour venir hanter inlassablement chaque moment de votre vie. Les regrets. Les regrets on en aurait pas si on avait pas de souvenir. J'aurais voulu devenir amnésique. Pour beaucoup de choses. C'était peut-être ça le secret après tout. Se foutre la gueule sur le bitume pour pouvoir tout simplement oublier ce qu'on a vécu. Mais j'avais décidé de fuir à la place. J'étais fragile mais ne le montrait pas. Il mettait impossible de montrer aux yeux de tous mes faiblesses. Seules Mavis et Casey pouvait lire en moi comme dans un livre ouvert. Quoi que je devais dire que ma relation avec l'omicron avait bien changé depuis nos retrouvailles hasardeuses. Et puis son ton monta et monta sans que je ne puisse contenir la rage qui se déferlait d'elle pour venir s'écraser sur mon visage. Mes joues s'empouprèrent et j'encaissais chacune de ses paroles en essayant de tenir le choc. Elle avait raison. Malheureusement, elle ne voulait peut-être pas se le montrer mais la Catherine que j'avais connu et la Sixtine qui était devant moi était toujours les deux mêmes personnes. Au fond, je revoyais la jeune femme qui poussait des gueulantes lorsqu'elle n'était pas d'accord pour tout et rien. Je revoyais son visage d'ange derrière ces traits tirés par la colère et l'incompréhension. Je pouvais même dicerner les fossettes que son sourire faisait apparaître, caché derrière cette mine sombre et hargneuse. Elle était la même à l'intérieur mais en surface, c'était un démon qui en était sortit et c'était moi qui l'avait libérer. A quoi m'attendais-je après tout ? Après notre discussion dans les toilettes il fallait le dire que je mettais sentie soulagée d'un point de lui avoir tout dit du début à la fin mais cela n'allait pas arranger les choses. Ce n'était pas comme si je pouvais réparer ces deux années d'absence où je n'avais pas été présente. J'aurais dû être là mais je savais que cela n'avait pu être possible. J'avais des problèmes de mon côté que seule la personne qui se tenait en face de moi connaissait. En faîtes, elle connaissait tous mes secrets et certains plus houleux pouvaient me faire tomber très bas. Bien trop bas. Elle n'aurais jamais voulu ça pour moi et pourtant je comprenais qu'elle m'en veuille de mettre sauvée plutôt que d'avoir joué le rôle de la meilleure amie en toute circonstance de cause. Pourtant, je savais que si je lui en aurais parlé, elle m'aurait dit de fuir et de ne pas tomber, de ne pas révéler mes lourds secrets qui pouvaient m'enterrer et me faire passer une bonne partie de ma jeunesse en prison. Mais aujourd'hui elle ne voyait rien. Elle était aveuglée par la solitude qui l'avait accompagnée inexorablement pendant ces deux années. Ces deux ans où je l'imaginais se réveiller sans personne autour d'elle. J'essayais de retenir les émotions qui étaient sur le point de se déverser. Colère, angoisse, panique, tristesse... Tout se mélangeait au moins. Je ne savais si je devais la supplier de me pardonner, lui hurler dessus pour lui faire entendre raison ou pire encore... Elle avait le droit de tout. Je n'étais pas à sa place. Ce qu'elle avait vécu je ne le souhaitais à personne alors je comprenais son désarrois et laissait sa colère surgir mais au fond de moi, je savais qu'il y avait bien d'autres choses entre nous et il fallait que ça sorte. Tu veux savoir qui t'étais avant ? Tu étais le genre de personne qui te serait battue pour moi, qui ne m'aurais jamais laissé croupir en prison à cause de certains de mes secrets car en faîtes c'est ça Six. Tu crois vraiment que j'aurais pu faire de la taule pour l'accident ? Tu crois qu'un mois m'aurais terrifié au point de ne pas te voir pendant deux ans ? Tu crois que c'est juste ça ? Une histoire d'accident que j'aurais pu nié sans problème ? Mon ton n'avait fait que grimpé au fur et à mesure et je sentis la frustration poindre le bout de son nez. Elle voulait parler ? On allait parler et pas qu'un peu. Il semblait qu'elle avait réfléchit. Qu'elle s'était retenue de me mettre la main au visage depuis notre dernière discussion. Ok pas de soucis mais cette fois-ci, après avoir écouter tous ses reproches, c'était à mon tour d'hausser le ton pour qu'elle comprenne même si l'abandonner était un acte que je ne me pardonnerait sans doute jamais. Tu l'as connaissais autant que moi ! Prête à tout ! Elle était notre meilleure amie comme notre pire ennemie. Elle en a détruit des vies tu le sais ! On se disait tout, on aurait peut-être pas dû ... Elle avait tellement la trouille de se retrouver en prison qu'elle aurait bien pu balancer tous les dossiers qu'elle avait sur moi pour être sûr de pas croupir à côté d'un connard ! Je me rapprochais alors d'elle comme si mes paroles auraient plus d'impact, son regard planté dans le mien. Tu connais tout sur moi. T'es bien la seule et surtout, tu sais ce que je risquais. J'en ai fait des choses dont je ne suis pas fière mais à l'époque on en rigolait ! Tu crois que les flics auraient rigolé eux en découvrant la vérité sur les gosses de riche du pensionnat ? Nous avions fait tellement de connerie. Entrée par effraction chez les gens, piqués de l'alcool à toute heure dans le bureau des profs et du directeur mais le pire était la nuit où j'étais rentrée trempée et lui déclarant que j'avais renversé un type. Je mettais tirée illico, sans permis sans rien. Elle savait la trouille que j'avais eu, elle savait que je pouvais risquer gros et m'avait obligé à ne pas me mêler du reste. Elle en avait elle aussi bien des secrets et elle savait qu'il fallait se protéger tant qu'il le fallait. Et puis son ton changea et j'eus un temps d'arrêt en entendant ses dernières paroles. Je lui manquais. Elle me manquait aussi terriblement et pourtant je ne pus m'empêcher de fermer les yeux, de froncer les sourcils, empêchant mes larmes de couler car si elle me manquait j'avais encore beaucoup de choses sur le coeur dont une en particulière. Je te manquais tellement que tu t'es rapprochée de Mavis pour te souvenir de moi c'est ça ? Dis moi que votre relation n'est que platonique ... j'avais besoin de savoir...
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MessageSujet: Re: Je m'amuse pas toi ? - Léo Je m'amuse pas toi ? -  Léo EmptyMar 25 Juin - 15:35


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Quand arrêterai-je d’écouter mon démon ?

« Best ennemy or best friend ? »

Depuis l’accident je pleurais mais je ne savais jamais pourquoi. C’était des moments de solitudes et de vide ou j’essayer de m’empêcher de pleurer mais je ne pouvais m’arrêter. Là je suis devant ma pire meilleure amie et je pleurais mais cette fois je sais pourquoi. Et je crois que c’est encore plus frustrant que dans l’ignorance. On se gueule dessus en essayant de comprendre l’une et l’autre, on essaye de décrypter des choses que l’autre essaye de cacher, ou de montrer. On pourrait en finir aux mains, mais au final nous sommes juste deux filles qui voudrait juste que tous redeviennent comme avant et qui essayent de se cacher derrière des facettes crée de toutes pièces pour éviter de montrer nos erreurs passées, des filles superficielles exactement. Au lycée on était jeunes, innocente, réunis, on ne se cachait pas, maintenant on est des adultes normalement responsables qui doivent essayer de se contrôler. Je lui reproche son erreur qui est ultime à mes yeux mais je sais bien que je ne suis pas parfaite et je me souviens de quelques conneries que j’ai pu faire. Il y avait surement des choses atroces parce que me connaissant, je suis une peste qui ne sait pas vraiment s’arrêter. C’est pour ça que j’ai besoins d’elle, pour me rappeler de nos délires et en rire, ou en pleurer. Avant, on se serait fait la gueule pendant 1 semaines et après de multiples coups dans le dos et moqueries, on serait revenues ensemble pour recommencer nos gamineries. Mais là c’est plus dure, la rancune fait que nous ne pouvons pardonner si facilement. Elle me regardait avec des yeux profonds, comme si elle voulait faire passer un message, sincère, un message peut être le moins hypocrite qu’il soit. Elle commençait à monter le volume, en me gueulant dessus. Je faisais paraitre que je m’en foutais qu’elle gueule toujours plus haut, que je m’en foutais que tout le monde nous regarde. J’étais comme une pierre sans bouger, juste à encaisser. Mais je comprenais tous, j’analysais en réalité, je pleurais intérieurement comme une fontaine. Je sais que non. Je sais que tu me reproche bien d’autre chose que je vais vite savoir d’ailleurs. Je sais que t’aurais voulu venir, ok tu ne pouvais pas selon ce que tu dis. Mais non c’est faux, cette fille n’était pas posté 24/24 devant l’hôpital pour guettait qui venait me voir, moi endormi, sans pouvoir parler, mais à tout entendre. Tu peux me croire que si tu serais au moins venus me voir en tant que amie et non entant que la fille qui à manigancer la voiture, tu aurais pu te livrer à moi, j’aurais pu rien dire, rien dire au flic, qui aurait su que tu faisais partie des filles qui m’avait mis dans cet état ? Juste moi, et les autres. J’aurais compris, surement. Tu m’aurais dit que tu venais au moins juste me voir une fois pour ,t’excuser et tous me raconter que tu préférais ne plus venir pour ne pas réveiller les soupçons de nôtres «  amie «. J’aurais compris. On n’en serait pas là. Elle commençait vraiment à s’énerver, comme pour essayer de me faire réaliser. Réagir. Mais je réagis depuis bien longtemps sans qu’elle ne le sache. Au moins je sais que si j’ai besoins d’un exemple pour montrer que même une fille de 20 ans, censé être adulte, peut être tout à fait immature. Ok. La prison ce n’est pas cool je la souhaite à personne, même à toi. Mais là je comprends que t’assume pas vraiment tes actes. Pour ce qui est d’assumer moi je j’ai rien à me reprocher, tous mes petits «  crime » de jeunesse n’ont pas refait surface. Mais croit moi que si je devais aller au tribunal face à une famille pleurant en m’accusant d’avoir renversait leurs père sous mes roues quand j’étais un peu alcoolisé, j’le dirais que c’est moi. Et ne me fais pas le topo que tu me connais et que je ne le ferais pas. J’ai plus 16/17 ans. J’assume mes actes en grande, contrairement à certaines. Elle s’était avancée vers moi. Je l’ai poussé assez violement par les deux mains sur ses épaules. Une larme se mit à couler sur ses joues. A la base je suis assez sensible, mais même malgré le cœur de pierre que j’ai essayé de bâtir depuis el début de conversation, une larme a aussi coulé sur mes joues, comme quand deux amies pleurent parce que l’une d’elle s’était d’abord mise à pleurer. J’ai du coup baissé la tête pour ne pas trop que cela s’aperçoive. J’écouter malgré tous et le simple mot de Mavis me faisait immédiatement remonter la tête. Comment elle peut dire ça ? Mavis c’est le seul en qui j’ai tout à fait confiance maintenant. Le seul avec qui je suis libre d’être moi. Le seul avec qui je ne me prends pas la tête. Sa phrase sonné un air de jalousie doucement caché. Mais étant jalouse moi-même, il m’était facile de le voir. Ça va les chevilles ? Ouais tu me manquais mais et alors ? Je ne suis pas du genre à me servir des gens pour me rappeler des autres ! On a fait une sorte de promesse tous les deux : ne jamais entamer la discussion pour parler de Léo. Et puis ! Ma jalousie sortait peu à peu. Tout en m’avançant vers elle en la pointant du doigt vers la poitrine en la regarder droit dans les yeux, déterminé, en la forçant à reculer, je lui exprimais tout mon amour/amitié ou je ne sais trop quoi pour Mavis, car on le sait, lui et moi c’est ultra compliqué. Lui je le ne connaissais pas vraiment, mais il était là pour moi, tu vois, il était là, tous les jours, il me parlait, me raconter sa vie, il était là !! Peut-être que tu ne le sais pas mais, Mavis et moi c’est.. Peut-être mieux que quand j’étais ta meilleure amie. Avec lui je m’éclate, que ce soit sexuel ou purement amical. Jamais je n’ai pensé à me servir de lui pour quoi que ce soit. C’est mon pilier. On s’est juré de ne jamais se quittait, et je ne veux que en aucun cas que quelqu’un vienne briser tout ça !  Parce que la, je peux te dire, qu’elle peut changer de pays. Je me suis arrêté de la poussé, et je l’ai regardé avec l’air d’un Rottweiler près à attaquer la première proie qui bouge.

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MessageSujet: Re: Je m'amuse pas toi ? - Léo Je m'amuse pas toi ? -  Léo EmptySam 6 Juil - 20:58

    Je m'amuse pas toi ? -  Léo Tumblr_mlsh2puaFO1qjbcbao1_500Elle avait raison. Elle avait raison et elle le savait. Elle en jouait jouant sur tous les petits détails qui pouvaient discréditer totalement mes paroles. Elle m'affaiblissait rien que par le son de sa voix. Chacune de ses paroles étaient comme une blessure qui n'entaillait qu'un peu plus celle que j'avais depuis des années. Son absence m'avait été insupportable mais la mienne l'avait été encore plus. L'image de celle qui était à l'époque ma meilleure amie seule à l'hôpital m'avait longtemps hanté. J'en avait fait des erreurs de jeunesse mais celle-là était bien la pire. Mavis me l'avait rappelé. Même Casey mon meilleur ami et le seul au courant de cette histoire savait que j'avais fauté. J'avais fauté mais il ne me disait rien. Il me regardait avec un visage entendu, le genre de regard qui veut tout dire et pourtant qui montrait que quelque soit les choix que j'avais pris et les terribles conséquences que cela avait engendré, il ferait mine de toujours être d'accord et de me soutenir car j'en avais besoin. j'avais besoin de me sentir protégé. De sentir que je n'étais pas une erreur à moi seule et une erreur d'une vie entière. Celle de Sixtine. Elle avait eu peut-être tord de m'avoir fait confaince c'était vrai. Moi qui était le genre à ne jamais lâcher mes amis car ils représentaient tout pour moi, il fallait le dire que j'étais une fausse. Du genre à s'exclamer, faire des promesses et se plonger dans les bras des gens qui vous aimaient pour ensuite les trahir par derrière. Je n'aurais jamais pensé être une de ces personnes que je maudissais en silence et ne comprenais pas et pourtant c'était ce que j'étais. Ce que j'étais devenue ? Je ne pensais pas. Cette histoire m'avait tellement blessé que je n'imaginais pas refaire de mal de nouveau à une personne qui me serais aussi chère que l'avait été Sixtine. Je me sentais sale. Sale de défauts, d'imperfection. Sale d'une erreur qui datait de deux ans et pourtant qui me collait à la peau comme une maladie qui ne s'en ira jamais dans l'esprit car c'est ancré en vous. J'étais salie par cette erreur qui était impardonnable et aujourd'hui j'en payais le prix cher et je comprenais. Elle avait raison. Elle avait raison sur tout et bien que je mettais énervée en lui répliquant quelques vérités, mon regard se déformait peu à peu sous ses paroles pendant que sa colère était bien plus grande et que je comprenais qu'en faîtes, elle avait raison sur toute la ligne et qu'encore une fois, je mettais cachée sous des faux semblants. J'avais eu la frousse. J'avais montré le côté le plus faible de moi-même. Je mettais convaincue que j'allais tomber et que ma famille me renierait à jamais. Mais je savais au fond de moi qu'il aurait suffit d'une lettre, d'un échange, une parole, qu'importe pour pouvoir lui prouver même de loin que jettais toujours là malgré la distance et que je ne la quitterais jamais dans mes pensées jusqu'à ce qu'elle rejoigne. J'aurais pu et au lieu de ça je mettais terré par peur d'affronter le courroux d'une personne que assez vil pour vouloir me faire du mal. J'aurais dû prendre mon courage à deux mains et lui dire non. Jouer à son propre jeu car j'aurais pu. Mais je n'avais pas eu cette force de caractère. Je me prenais pour la reine du monde et pourtant n'était qu'une sotte. La force de caractère de ma mère, sa poigne et sa détermination, je ne l'avais pas eu. Au lieu de ça j'étais devenue une bête de foire qui me faisais pousser par mon ancienne amie sans l'empêcher de rien. Mon regard montrait ma confusion et qu'aurais-je pu répondre ? Tu as raison. Cette simple phrase allait peut-être la destabiliser. Après ces répliques cinglantes elle s'attendait peut-être à ce que je renchérisse de plus belle. Et bien non. Je n'avais plus rien à dire. Elle m'avais bouclé mon caquet. Tu as raison sur tout. Mais je le remarque, je pourrais m'excuser sur tout que ça restera toujours impardonnable. Je t'ai perdu et c'est de ma faute. J'admettais enfin mon crime sans tourner autour de quelques défenses que ce soit. Et pourtant mes yeux embués de larmes, mon esprit brisé par cette amitié qu'elle déplorait à mon visage, je sentis l'angoisse remonté lorsqu'elle continua sur le sujet Mavis. Et ses paroles me firent virer au rouge. Oubliant la tristesse et la panique je sentis ma main se lever et s'écraser sur son visage avec tant de force que je ne me reconnus pas. Il me fallut quelques secondes pour réaliser mon geste alors que ce n'était en rien justifier et pourtant... Ces paroles étaient belles mais une phrase m'avait marqué. Ils couchaient ensemble. Tel un animal pris en cage, j'avais pris la première opportunité et lui avait sauté au visage sans crier garde à savoir si c'était justifier ou non. Je plaqua alors ma main sur ma bouche montrant le choc que mon geste avait provoqué aussi pour moi. J'aurais dû m'excuser, regretter de l'avoir frapper et pourtant je sentais cette haine grandissante monter en moi. Je suis ... Non en faîtes je ne le suis pas. Je t'ai fait du mal ok. Il a été là pour toi ? Je ne renierais jamais ça. Mais tu savais aussi que c'était le seul homme pour lequel j'avais des sentiments. Pour lequel j'ai toujours des sentiments. Alors c'est ça ta vengeance hein ? Essayer de me prendre l'homme dont je suis amoureuse hein ? Et dis moi, après te l'être envoyé, il fait la comparaison entre nous ou quoi ?! Mon ton avait augmenté lorsque je parlais, j'avais repris du terrain. Elle m'avait fait reculé et l'avait laissé faire mais là, ma rage était telle que c'était à moi d'avancer comme une bête qui va bondir à tout instant.
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MessageSujet: Re: Je m'amuse pas toi ? - Léo Je m'amuse pas toi ? -  Léo EmptyJeu 18 Juil - 16:17


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Quand arrêterai-je d’écouter mon démon ?

« Best ennemy or best friend ? »


    Je suis sure d’avoir raisons et têtu comme un âne que je suis, rien ni personne ne me fera changer d’avis. Je veux effacer cette image de fille géniale sans reproche à ce faire de ma tête que je suis en train de me forger. Mais je n’y arrive pas. Tant d’heures, de minutes à me lamenter en me demandant si j’avais fait quelques choses de mauvais, ce qui n’allait manifestement pas chez moi pour qu’on m’abandonne de la sorte. Je m’étais réduis à une pauvre fille qui finirait seule, je ne voulais plus rien faire de ma vie car j’avais perdue « mes » piliers, mes raisons d’êtres. Sans complicité, sans rien, sans affections, je ne peux vivre. J’avais bien Mavis, c’est d’ailleurs bien grâce à lui que je n’ai pas fait de graves erreurs totalement irréversible. Ça peut sembler abusif, mais c’est comme si vous perdez votre sœur/frères de façons, si brutal, sans explications. Arracher votre cœur à vif.
    Mon déclique à était de savoir que Léo était à Berkeley. C’est à ce moment-là que Catherine à disparu. Sixtine la remplacé en amenant son caractère sauvage avec elle. Mon oncle et ma tante tout deux choqué par cette motivation si soudaine et cette force de caractère qu’il n’avait jamais vu de ma part, il ne pouvait nullement hésiter à m’envoyer à Berkeley ! Bref. J’essaye de chasser cette idée de fille parfaite que je crois être. Je suis en train de m’engueuler en publique avec une fille à qui je reproche justement de se prendre pour une nana sans problème. Mais comment y résister ? Elle ne peut me critiquer sur mes défauts car elle le sait, c’est elle la fautive. Je n’attendais pas à ce qu’elle argumente plus. La vérité était là, juste devant elle, et aucun moyen de s’en échapper, surtout dans l’herbe avec des talons de 12 centimètres. Malgré les quelques larmes qui avait réussi à se montrer, un petit sourire se fait voir sur un coin de ma bouche. Tout est dit. J’ai eu ce que je voulais. Et j’eu une sensation des plus bizarre. Serai-ce l’envi de la prendre dans mes bras qui pouvait revenir ? Pourquoi ? Je crois surtout que la seule chose que je voulais c’était enfaite d’avoir mes explications pour lui pardonner, peut-être pas comme avant, ça ne le sera jamais, c’est là, ça reste. Si j’étais indifférente vis-à-vis d’elle je n’aurais pas pleuré. Bon et maintenant ? On se fait un câlin, on pleure l’absence de l’autre sur son épaule et on se fait une soirée arrosée ce soir ? C’était sincère malgré que je le dise de façons à ce que cela paraisse ironique.
    De toutes évidences l’histoire de l’accident en générale est «réglé » mais il reste manifestement d’autres dégâts bien encore présents qui ne dépende strictement que de l’accident. Mavis. Je crois qu’on avait eu raisons tous les deux de cette fixer la règle d’éviter la discussion : Léo. Mais cette fois c’est différent. C’est Léo et moi qui parle de Mavis sans fixer aucunes règles. Le ton serein qui avait réussi à s’imposer à vite changer de curseur. Sans limites, non, aucunes. C’est d’ailleurs Léo qui lance le 1er round avec la belle gifle en publique qu’elle à oser me donner. Tandis que elle, elle était choqué par son gestes moi je tenais ma joue avec ma bouche grande ouverte, je l’avoue, aussi choquée qu’elle. Tas pas osé ?! Certes je l’ai peut-être un peu violenté, je ne sais pas, par el faite que je l’ai poussais, mais jamais j’aurais osé la gifler ! En l’occurrence c’est 1-0 pour Léo. Mais qu’elle ne compte pas sur moi pour que je me laisse faire !! Je lui ai sauté dessus, nous sommes tombées à terre. Je suis positionné sur elle, mais cela ne l’empêcher pas de débité des paroles des plus grotesque. Mais putain !! Je m’en foutais que tu avais des sentiments pour lui ! J’étais mal ! Je ne faisais confiance que à lui, il m’a permis de m’éclater, de me libérer le temps de plusieurs nuits quand on couché ensemble ou alors quand on était dans de simples phases amicales ! Il m’a permis ça. Alors quand tu me parle de vengeance, mais je rigole !! Ahaha ! Ça aurait-était profité de lui, et je te l’ai dit : c’est faux ! Je ne l’ai jamais forcé de faire tout ce qu’on a fait ensemble, c’est lui proposé. Alors je me demande d’où tu vois de la vengeance ??! Et puis non aucunes comparaisons, parce que lui est tolérant, on n’avait dit pas de Léo comme discussion ! Le ton monté toujours plus haut et j’étais encore ne position de « domination » sur elle.






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