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On ne choisi pas sa famille ¤ ft Cassiopea

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MessageSujet: On ne choisi pas sa famille ¤ ft Cassiopea On ne choisi pas sa famille ¤ ft Cassiopea EmptyMar 3 Sep - 11:45

Cet été avait pour le moins été assez compliqué à gérer. Nous n'avions pas pu partir en vacances à cause de ce meurtier qui courait toujours... Je ne connaissais pas le gars qui avait été tué. Par contre, ce petit c*n s'en était pris à ma soeur et ça c'était quelque chose que je n'avais pas vraiment très bien pris. Disons que j'avais eu envie de tuer le gars qui avait balancé Ebony dans un escalier. Mais comme j'ignorais qui il était, je ne pouvais rien faire. Il me fallait donc attendre que la police le retrouve et que la justice se fasse. Je n'étais pas juriste pour rien, il ne fallait pas que je me venge de façon illégale, il suffisait juste de tout faire pour qu'il passe sa vie en prison. Et j'avais les moyens autant que l'envie que ce soit ce qu'il se passe.
En attendant de pouvoir me venger légalement, je passais donc de soirée en soirée, comme chaque été, sauf que j'étais contraint de me cantonner à San Francisco. D'ailleurs, ce soir, je devais assister à une fête chez un ami qui appartenait aux Lambdas. Mais pour ça, il fallait que je sorte de devant la télévision pour me préparer. Mais je n'en avais pas la force. Je venais de rentrer d'un footing de plus d'une heure, ce qui m'avait littéralement explosé. Mais, avant de décider d'aller courir, j'avais eu droit à un coup de téléphone avec mon père. Ce qui m'avait donné envie de taper dans quelque chose. Avant même de me demander comment j'allais, il avait commencé par m'agresser parce que je n'étais pas venu le voir depuis plus d'un an. Deux choses m'avaient mis en rogne dès le début de la conversation : le fait qu'il n'ai pas demandé à voir Ebony qui était sa fille tout autant que j'étais son fils et secondement parce qu'il savait parfaitement que je ne pouvais pas quitter la ville cet été, à cause du meurtre. Il le savait parce que je lui avais dit lors de notre dernière conversation. Mais il s'en fichait, comme de tout hormis mes notes, ma réputation et mon poste futur dans son entreprise. Certes, même si j'avais pu, je ne serais pas allé au Texas, mais de toute façon, il n'était pas obligé de le savoir. Ensuite, il avait enchainé avec mes relations. Il ne comprenait pas pourquoi j'étais venu au Texas chez les Silverwood sans passer le voir. Selon lui, cela ne me servait à rien de trainer avec la fille du veuf Silverwood puisqu'ils ne pourraient jamais me donner les relations dont j'avais besoin pour réussir dans la vie. Là encore, il commis deux erreurs, d'une Maëlle sortait avec un milliardaire qui avait énormément de relation, et deuxièmement, j'étais ami avec la bêta parce que je l'appréciais. Autant vous dire, que mon père venait encore de perdre des points en pagaille avec ces quelques phrases. J'étais tellement en colère que j'avais décidé de me venger en dépensant, une fois de plus, beaucoup d'argent. Je lui avais demandé de me faire un gros virement sur mon compte pour changer mon ordinateur. Bien sûr, il avait oublié que je l'avais déjà changé un mois plus tôt et il avait accepté avant de me demander si je viendrais pendant les vacances de noël. J'esquivais la question et racrochais quelques secondes plus tard. Non, je n'irais pas au Texas pour noël, je ne voulais pas voir ma famille qui passerait son temps à critiquer mon jumeau qui avait tous les torts du monde. Casser du sucre sur le dos des morts ? Très peu pour moi. D'autant plus qu'il m'avait fallu longtemps pour me remettre de la mort de Cameron.
Bref, après le coup de téléphone, j'avais acheté un second ordinateur portable, ça pouvait toujours servir. Bien entendu, j'avais pris le plus cher que j'avais trouvé, ensuite, j'avais choisi un nouveau téléviseur. Et puis, j'avais refait toute ma garde robe. Sans me sentir mieux. Mon père avait le don pour me mettre le moral dans les chaussettes. Bon sang, si je pouvais j'éviterais bien de répondre au téléphone quand il m'appelait, mais je ne voulais pas prendre le risque de le voir débarquer en Californie.
C'était donc pour me calmer les nerfs que j'avais décider d'aller courir. Et j'avais passer une heure à courir à pleine vitesse avant de me sentir mieux. En rentrant, je m'étais posé sur le canapé et j'avais allumé mon nouveau téléviseur.
Ce n'est qu'une heure avant le début de la fête que je réussi enfin à m'extraire du fauteil pour me rendre sous la douche. Je trainais encore une heure et demi dans ma chambre avant de sortir pour me rendre dans San Francisco, là où avait lieu la fête. Je m'arrêtais au passage, acheter une bouteille d'alcool.
Mon moral n'était pas au top de sa bonne humeur, et je pensais que je profiterais de la soirée pour boire afin d'oublier ce coup de fil.
Ce n'est qu'environ deux heure après mon arrivée dans l'appartement du Lambda, et après quelques verres d'alcool, que je remarquais une jeune femme que je n'avais encore jamais vu. Je m'approchais d'elle. "Salut ! Tu t'amuses bien ?"
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MessageSujet: Re: On ne choisi pas sa famille ¤ ft Cassiopea On ne choisi pas sa famille ¤ ft Cassiopea EmptyMer 4 Sep - 21:56


Maël Asher Grey &
A. Cassiopea De Gallucci

Bip. Bip. Bip. Je fronce les sourcils avant d'ouvrir les yeux. Je frotte mon crâne en réalisant que je me suis endormie alors que je lisais simplement dans la douceur de mes couvertures. Je ne m'étais pas dévêtue en me disant que je devais repartir dans moins d'une heure pour une fête ; bien sûr, parce que j'étais une femme qu'on invitait dans presque toutes les fêtes. Je ne m'en plaignais pas, puisqu'elles me faisaient sortir de ma chambre. J'attrape alors mon téléphone avec l'intention d'arrêter cette sonnerie qui m'agresse les oreilles, oreilles qui sortent tout juste du sommeil. Je regarde attentivement l'écran qui s'allume dans mes mains dans une nouvelle série de sons divers qui - au final - forme ma sonnerie de portable.

« - Allô ?
- ...
- Je suis en route déjà, je ne suis pas si en retard que ça !
- ...
- Bon, d'accord, je l'avoue. Je serai là dans une dizaine de minutes, c'est promis.
- ...
- Mais oui, mais oui ! »

Je dépose mon téléphone contre le matelas avant de déposer ma tête sur le coussin. Mal de crâne, bonjour.

* * *

J'avais passé une dure journée. Debout à six heures du matin, prête a ma course matinale dans les rues de San Francisco, puis lorsque le chemin parcourus fut terminé, je suis revenu dans ma chambre, puis aller hop les études. Non, il n'y a rien de trop beau. Ma mère me répète souvent qu'à force d'en faire voir de toutes les couleurs à mon corps, il finira par me lâcher. Je n'y crois pas trop, alors je continue. Je fête, je dors peu, je fais du sport, pour finalement, aller en classe, étudier, fêter ... et la roue continue de tourner. Et, à quelques reprises, je tombe de fatigue dans mes moments d'études ou de .. liberté, simplement.

* * *

Je me lève alors rapidement, allant occuper la salle de bain ; parce que sinon j'aurai jamais le temps de terminer de me préparer. J'enfile des shorts assez courtes, une chemise sans manches et des ballerines. Il ne me reste plus qu'à me maquiller et me coiffer - ce que je fais assez rapidement, sans faire les coins ronds - bien entendu. Je regarde l'heure qui s'affiche sur mon téléphone avant d'hausser légèrement les épaules ; il est encore assez tôt, je n'avais même pas l'intention de m'y rendre plus tôt, m'enfin .. maintenant que je suis prête, autant partir. Je sors de ma chambre, filant à travers la maison, puis je me rends finalement jusqu'au stationnement extérieur où ma voiture noire est garée. Petit cadeau de ma mère, ou du moins, je pense qu'il est d'elle, sinon de mon père. En tout cas, je m'en fiche réellement. Je fais biper le système d'alarme, puis entre dans le véhicule avant de décoller en direction de la fête. Je me frappe le front avec ma paume avant de me souvenir que je devais passer chercher de l'alcool, chose que je n'ai pas encore fais. Je change de direction, puis lorsque les achats furent faits, je me rends à la fête.

En arrivant à l'endroit convenu, je suis accueillis avec joie. Certainement parce qu'une de mes copines m'attendait pour l'alcool. Je lui passe les clés de ma voiture pour qu'elle aille chercher ce qu'elle veut, puis je pose mon attention sur les autres gens qui sont là. On commence à discuter simplement, alors que je m'assois sur le bras de l'un des fauteuils du salon. Je commence à discuter avec mes copains, oui, je bois, je parle, je bois encore, je parle plus fort, je rigole. Je m'accroche au cou d'un de mes amis, comme je le fais toujours, puisqu'il est toujours là lors des fêtes où je suis invitée. En même temps, nous avons le même réseau d'amis, alors c'est un peu normal, on s'en fais pas pour ça. Je me relève debout, j’époussette mes vêtements, puis lance un regard aux gens de la pièce dont la plupart ne me porte aucune attention ; ce qui est naturel aux vues de la masse qu'il s'y entasse, étonnant même qu'on ne soit pas tous aussi coincés les uns contre les autres. Je plaque mon dos contre le mur du salon, pour être certaine de ne pas m'effondrer et là, je vois un garçon qui s'approche de moi. Les gens se sont dispersés pour aller soit se chercher à boire, soit aller faire autre chose ailleurs. Étrangement, la seule personne qui restait avec moi s'éclipse aussi tandis que j'évite son regard pour une dizaine de secondes avant de relever les yeux vers lui. Il s'arrête et m'adresse la parole. Je lui fais un bref sourire. « Bonsoir. Oui, je m'amuse bien, merci. » Après ça, je redresse légèrement la tête et le regarde droit dans les yeux. Un mouvement derrière me déconcentre et un sourire étire mes lèvres tandis qu'une amie me fait de grands mouvements de bras, elle est stupide. Je reporte mon attention sur l'inconnu. « C'est une belle fête, n'est-ce pas ? Quoi qu'un peu calme, comparée à celles que j'ai connues. Dis .. On se connait ? » Habituellement, les gens ne viennent pas comme ça à la rencontre de quelqu'un sans jamais lui avoir adressé la parole et il ne me semble pas lui avoir déjà parlé, ni même déjà l'avoir vu dans l'un ou l'autre de mes cours. Allez, mystérieux inconnu, quel est ton prénom, et que me veux-tu ? Je souris un peu en prenant une gorgée du verre que je tiens dans ma main, sans le lâcher des yeux.
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MessageSujet: Re: On ne choisi pas sa famille ¤ ft Cassiopea On ne choisi pas sa famille ¤ ft Cassiopea EmptySam 7 Sep - 18:41

Cette soirée était très bien organisée, heureusement que j'avais des amis qui savaient s'amuser. Je savais que je n'en profitais pas aussi bien que j'aurais pu le faire. Mais, après tout, je n'avais pas envie de m'amuser. J'étais venu plus pour m'occuper les pensées que pour m'éclater. Et pourtant j'aurais pu trouver une ou deux belles jeunes filles avec qui passer la soirée. D'ailleurs, plusieurs de mes conquêtes étaient présentes ce soir. Bien sûr, jusqu'à juillet dernier, j'avais plus ou moins été en couple avec Aya, mais celle-ci avait eu la magnifique idée de retourner au Japon. Je ne savais pas vraiment pourquoi, après tout, elle était bien avec moi. Mais je ne voulais pas penser à ça, pas ce soir alors que je frôlais un retour à la dépression... Enfin, selon mon père, j'avais été malade pendant quelques mois, voilà comment il présentait ma tristesse auprès des autres. Parce qu'on ne m'avait pas vu pendant quelques semaines, que je me terrais dans ma chambre. Et ben, toute la famille pensait que j'avais eu une mononucléose. Tout ça parce que mon p*tain de père n'avait compris que j'avais le droit d'avoir du chagrin à la mort de Cam'. C'était mon jumeau, celui qui finissait mes phrases, qui savait toujours ce que je pensais, qui me connaissait moeux que moi même. Nous étions deux, et d'un coup, je me retrouvais tout seul alors j'avais le droit d'être effondré par cette nouvelle vie qui s'annonçait, une vie de solitude. Mais mon père, qui n'aimait aucun de ses enfants, n'avait pas réussi à le comprendre. Je crois que ma mère avait vu cet aspect de sa personnalité avant tout le monde et que c'était la raison de leur divorce. Mais quand j'étais encore qu'un ado, j'idôlatrais mon père. Il avaut fallu que je perde mon frère pour me rendre compte de son ignoble nature. Bony arrivait bien mieux que moi à passer outre et à ne pas ressentir cette haine qui m'habitait depuis maintenant trois ans. J'enviais ma soeur pour ça parce que mes sentiments me pourrissait la vie. Comment avancer quand je n'arrivais pas à oublier un foutu coup de téléphone. Forcément, ma soeur adoptait le même comportement que moi, faire cracher autant d'argent que possible -enfin, elle ne le faisait pas vraiment, mais je partageais avec elle- mais pour elle, ce n'était pas une forme de vengeance, du moins pas aussi poussée que la mienne.
J'avais toujours voulu des enfants, je savais que mon habitude de papilloner de filles en filles n'allait pas durer éternellement. J'avais un coeur après tout, et une japonaise avait été si proche de le capturer. Et pourtant, au vu du schéma familial dans lequel j'avais été élevé, je doutais de mes capacités à être un bon père. Je n'avais pas eu de bon exemple. Même quand je pensais que mon père en était un, il n'avait juste fait que me gâter pour me faire avaler toutes les séances photos et les inaugurations auxquelles je ne voulais pas assister. Je ne saurais probablement pas assurer auprès de mes enfants alors autant ne pas leur infliger un père comme moi. Tant pis, je resterais un infatigable papilloneur.
C'était un jour sans, un jour où je voyais le verre à moitié vide. Heureusement que j'avais changé depuis ma déprime, avant c'était par périodes complètes que je remettais en cause tout ce que je réussissais à construire quand j'allais bien. Sans doute que demain, j'aurais tout oublié, après un autre footing. J'avais trouvé dans le jogging un bon exutoire, il était facile de tout oublier en courant et en se forçant à repousser ses limites. Bien entendu, je n'excluais pas de finir un jour par vouloir aller trop loin et de me blesser. Mais je m'en fichais dans ces périodes alors...
J'avais passé la soirée à me balader de groupe en groupe, tout en buvant plus d'alcool que nécéssaire. Mais je m'en moquais, je tenais excessivement bien l'alcool. Et puis, je n'avais pas peur de passer pour quelqu'un de ridicule lors de cette petite soirée. J'étais un fêtard, c'était connu. Et puis, en tant plus tout à fait moi-même il m'était plus facile de jouer la comédie du gars qui va bien. Mais je faisais aussi des choses que je n'aurais pas fait dans mon état normal, comme approcher une jeune femme que je ne connaissais ni d'Adam, ni d'Eve. "Oui, c'est calme. Mais ça fait aussi du bien. Les soirées déjantées, ça peut être épuisant parfois" Et je parlais d'un sujet que je maitrisais à la perfection, après tout, j'étais un Oméga. "Nan, on ne se connait pas. Mais je dis toujours que les soirées sont le meilleur endroit pour faire des connaissances, après tout, hormis à l'université, c'est là qu'on voit le plus de personne en même temps, non ? Bon, forcément, je me mettais à dire n'importe quoi, et ce n'était même pas parce que cette fille m'avait tapé dans l'oeil. En général j'étais beaucoup plus subtil quand je voulais attirer une jeune femme dans mon lit. Mais comme c'était pas mon objectif de la soirée... "Au fait, je m'appelle Maël, et toi ? Tu as à Berkeley depuis longtemps ? Je ne t'avais encore jamais croisé"
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