Swan Cartwright-Hansen there's no place like berkeley › prénom, pseudo : brittany
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 |  Sujet: « Electric l Chuck.S & Taylor.C ... PRIVEE Jeu 26 Juin - 11:10 | |
|    « On n'est jamais trahi ; on se sert des autres
pour se trahir soi-même. »
Mademoiselle Taylor Calison se yrouvait en bas des escalier du San Francisco City . Elle essayait de ne pas être dégoûtée par le type allongé sur les marches derrière elle. Il avait le pantalon baissée et Taylor était presque sûre le sexe à l'air . ( Dégoutantt :beurk: ) . On s'habitue à ce genre de scènes quand on vit dans une grane ville comme San Francisco mais ça reste quand même bien dégoutant. Elle aurait voulue s'installer plus loin, mais lorsqu'elle observa l'horizon, elle remarqua un bande de jeunes qui draguaient des minettes, ou plutôt les forcés à passés du temps avec eux. Taylor se retourna discrètement vers le type derrière elle lorsqu'il lui dit : « Va te faire voir sale blonde ! » s'écria l'homme à la jeune femme qui se leva aussi tôt. Sur le trottoir, non loin, un vendeur de hot dogs était au téléphone. Taylor s'approcha pour entendre espèrant qu'il appelait les flics. Mais on aurait plutôtr dit qu'il parlait à sa mère, genre, parce qu'il n'arrêtait pas de répéter « D'accord. » Finalement, la jeune blonde décida de s'en aller discrètement de cet endroit, se disant pertinament que ces types de ses coins là n'étaient pas très fréquentables, voir pas du tout. Elle rentra chez elle pour enfiler une robe: elle était constellée de petites maeguerites en cristal, brodée d'un galon de velours blanc et ornée d'un gros noeud dans le dos, également en velours blanc. Finalement, elle resortit de chez elle pour partir à la plage : elle avait enfilée son nouveau bikini qu'elle avait acheté la veille sous sa magnifique robe.
« Vous pouvez vous arrêtez ici s'il vous plait ? » demanda Taylor. Le chauffeur avait emprunté la voie Franklin D. Roosevelt en direction du centre après le pont et il essayait de rejoindre une autre route, plus courte que le chemin habituel. La circulation n'était pas terrible, ils devaient s'arrêtés au même feu depuis dix minutes. Sur le compteur, Mademoiselle Calison voyait le prix de la course monter, monter et ils n'avaiçaient toujours pas. Elle aurait pu acheter trois nouveaux gloss M.A.C avec ce que lui coutaît ce taxi. C'était une belle journée d'été : elle pouvait rentrer à pieds, tans pis pour les talons.
Elle paya le chauffeur et descendit au coeur de la 79° avenue puis se dirigea vers l'ouest, Central Parck. Le soleil d'une fin de Juin était bas dans le cieil, Taylor plissa ses yeux. Elle marcha les mains enfoncés dans son sac à main. Elle essayait d'attraper son portable qui venait de vibrer. Lorsqu'elle le retrouva, il était trop tard, elle remarqua que c'était un numéro de téléphone caché : étrange n'hése pas ?
Miss Tay' se fraya un chemin à travers le parc, avant d'appercevoir la plage. A quelques mètres d'elle, un groupe de jeunes garçons jouaient au football. Taylor fut incapable de les quittés des yeux - l'un d'entres eux en particulier - Ses cheveux bruns foncés , dorés comme le miel, brillaient au soleil tandis qu'il dribblait ses amis avec agilité et tirait entre les potaux des buts de fortune. Soudain le balon traversa les airs, et il attérit puis repondit au pied de Taylor. Elle le regarda fixement avant de lui rendre le ballon avec un grand sourire. Finalement, des beaux mecs comme lui, elle en avait vue des centaines, voirs des milliers, enfin peut-être pas autant ... La jeune blonde se rendit sur la plage. Un vent assez fraid traversé la ville . Les cheveux de Mademoiselle Calison volaient un peu partout. Elle mit d'ailleurs une mèche derrière un oreille, avant d'observer l'horizon. Elle pensait soudain à son histoire avec Jamie Law: tout lui semblait étrange. Pas seulement son attitude, mais aussi sa manière de décrire les choses ... Sa vien était beaucoup plus compliquée qu'elle l'aurait pensée. Elle avait constament l'idée de Mister Law dans sa tête, ce qui a la fin la gênée beaucoup plus que cela puisse parraître.
Taylor était assise sur une serviette : elle n'avait pas encore enlevée sa robe. Nous étions en qu'en début d'apres-midi, et cela lui parraisait terriblement long : le temps sûrtout. Elle ne voyait ses amis que rarement, même sa soeur. La dernières fois remontait à la semaine dernière oû elles s'étaient simplement fait un signe de main dans les couloirs de l'Université. |
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