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( À quelle famille appartient cet écu ? ) ▶ OLYMPIADES

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Adriel Eynsford-Baxter
there's no place like berkeley
Adriel Eynsford-Baxter
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MessageSujet: ( À quelle famille appartient cet écu ? ) ▶ OLYMPIADES ( À quelle famille appartient cet écu ?  ) ▶ OLYMPIADES EmptyLun 17 Déc - 1:21

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❝.MESSIRE, MESSIRE, UN SARRASIN DANS UNE CHARIOTE DU DIABLE ! C'EST TOUT FLAIRE Y A POINT D'BOEUF POUR TIRER !.❞
Je me tordais sur mon siège, obnubilé par cette insatiable envie de fumer qui me tiraillait depuis désormais une heure. D'ordinaire, je me laissais le privilège de fumer dans la voiture. Le problème d'aujourd'hui résidait dans le fait que j'empruntais la voiture de ma marâtre et qu'en bonne vieillotte parfumée Chanel 5 qu'elle était, cette vieille pouffiasse sentirait l'odeur de la nicotine sur les sièges avant même que sa ceinture ne soit bouclée. Repose en paix ma voiture chez le garagiste pour la visite annuelle, j'affrontais les remontrances perpétuelles de ma mère qui me prévenait que si j’abîmais sa voiture californienne, elle viendrait m'arracher les yeux elle-même de ses griffes de sorcière. Et je la croyais et c'est bien pour cela que je ne fumais pas dans la voiture. Et interdisait à ma charmante compagnie, assise à mes côtés, de grignoter dans l’habitacle. Chacun sa punition. Une heure de torture heureusement arrivée bientôt à son terme, puisqu'à l'autre bout de la ville, après des heures et des heures à balader la Camélia dans tout San Francisco pour qu'elle puisse se dégoter un cadeau de Noël de ma part, je voyais enfin le bout du voyage. Du moins, la pause qui me permettrait de fumer allègrement et de dîner. Midi et demi s'affichait, Camélia et moi avions décidé de nous rendre au restaurant et de rentrer à Berkeley par la suite. Toutefois, je conduisais dans une partie de la ville que je ne connaissais pas, car beaucoup moins reluisante que les quartiers où j'avais l'habitude d'évoluer. Néanmoins le restaurant que nous avions choisi se trouvait sur les hauteurs et pour arriver à destination, il nous fallait arpenter de bien sombre recoins. Conduisant avec prudence, ne souhaitant pas cabosser le bijou de la mère Eynsford, mes prunelles s'égarèrent un instant sur un décor bien étrange. Des tentes de toiles moyenâgeuse dressée dans les ruelles, des bottes de pailles clairsemant les trottoirs, des fripons vêtus de guenilles. Un peu plus et j'en faisais un crise cardiaque. Un panneau d'annonce planté au plein milieu de la route nous indiqua qu'ici se tenait des festivités auxquelles nous ne prendrions jamais part, même pas pour plaisanter. « .Festival médiéval. Tiens, c'est comme ça que les Gamma appellent leur réunion annuelle maintenant. » sifflais-je d'un ton narquois. Mes iris toisèrent les miséreux en train de festoyer la période médiéval et je jurais ne jamais m'être senti plus prince qu'à cette heure glorieuse. La braderie aux pouilleux, exactement le genre de manifestation pleine de débauche et de décadence dont raffolait ces pendards de Gamma. La mine révulsée par un tel spectacle, je décidais de contourner cette partie de la ville et d'emprunter une route plus déserte. Voilà, à cause de la bleusaille de notre époque, je me retrouvais à perdre vingt bonne minutes, encore ! Mon envie de fumer me tiraillait les poumons, ma faim me brûlait l'estomac. Poussa un profond soupir, je me frottais les yeux du bout des doigts, avant que sur notre route ne déboule l'un des mendiants échappés de la foire au beauf et ne me force à appuyer sur la pédale de frein d'urgence. « .Mais qu'est-ce qu'y fait lui !. » grognais-je, les mains crispés sur le volant. Et comme échappé d'un autre monde, le belligérant s'accorda un break picole en vidant la gourde qu'il tenait en main avant de nous regarder avec appréhension. Super, un gueux imbibé en plein milieu de la route, cela ne pouvait être que pour nous. Il s'approchait, examinait la voiture, nous examinait de loin. Et ma patiente commença à doucement s'effriter. « .Écarte-toi, bouseux ! Sinon je te roule dessus. » rouspétais-je sans retenue, fenêtre baissée, avant d'appuyer sur trois fois avec insistance. D'ordinaire patient et plein de bonne volonté, mon envie de cigarette et de prendre place devant un bon plat de n'importe quoi qui serait comestible eut raison de mes bonnes manières. Et à mon plus grand dam, mon vendetta tonitruant ne poussa absolument pas l'individu à se pousser, bien au contraire. Un glaive tout droit sorti de sa poche se dressa en l'air et vint frapper le capot de la voiture, laissant une entaille qui me sembla sur l'instant gigantesque. Sursautant sur mon siège, la réponse violente de notre assaillant me fit littéralement péter un plomb. « .Mais c'est un malade !. » m'égosillais-je, énervé au possible. Dernière fois que je me souvenais avoir piqué une crise comme ça, Manon Petrov-Versier était dans les parages. Aujourd'hui je perdais la boule pour un vulgaire gueux visiblement bien entamé par l'hydromel. « .Putain, bouge pas, je vais le tuer. » Oh Adriel, toi qui est si poli, qui n'insulte jamais personne ( de manière vulgaire du moins ) et qui n'est, du coup, jamais vulgaire, tu te retrouves à dire ''putain'' grossièrement. Détachant ma ceinture et décidé à aller en découdre, j'adressais un dernier regard courroucé à Camélia avant de le reporter sur la route et constater que l'idiot du village s'était enfui prestement. « .Putain, sa mère à lui. » deuxième putain, très mauvais signe. Tout cela dans un français ravageur comme je le parlais rarement. « .Ce fut une grande joie de te connaître. Tu pourras venir fleurir ma tombe toutes les deux semaines. Prend note que je déteste le jaune et le rose. » soupirais-je, consterné, les mains sur le volant, le front posé sur son sommet. Ma mère allait m'exploser.
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MessageSujet: Re: ( À quelle famille appartient cet écu ? ) ▶ OLYMPIADES ( À quelle famille appartient cet écu ?  ) ▶ OLYMPIADES EmptyLun 17 Déc - 14:23

❝Messire, messire, un sarrasin dans une charriote du diable ! c’est tout ferré y’a point d’bœuf pour tirer !❞
Quelle chance j’avais aujourd’hui ! En guise de chauffeur, j’avais eu le droit à mon doux et attentionné Adriel. Oui, je dois bien l’avouer je l’avais tanné un petit peu pour qu’il m’accompagne au marché de Noël et dieu seul sait que ça n’avait pas été tache facile pour moi de l’emmener faire le touriste en recherche de cadeaux. Bien entendu je me fis un plaisir de parcourir toute l’entendue de magasins qu’il pouvait y avoir. Monsieur Eynsford quant à lui, a décidé de m’attendre à l’entrée. Je n’allais pas lui en vouloir, s’était déjà pas mal que monsieur soit venu m’accompagner, et je profitai de ces instants seuls pour lui acheter ses cadeaux de Noël, car oui il y en avait plusieurs, le traditionnel cadeau déconne à savoir un tablier avec un homme nu dessus, je l’imaginais déjà m’apportant mes gaufres du matin, avec ce joli tablier complètement nu en dessous bien entendu. Mais s’était peine perdu d’avance. Et le deuxième cadeau un peu plus sérieux. J’ai déniché une petite boutique de gravure, j’avais donc acheté un magnifique briquet en argent blanc, et pris le soin de graver le nom du jeune epsilon, un cadeau ravissant offert par une ravissante jeune femme, que demander de mieux. Mais le plus important c’est qu'enfin, après plusieurs recherches, j’avais déniché le cadeau parfait que mon prince charmant Eynsford allait pouvoir m’offrir, bavant devant un merveilleux ensemble sac et chaussure signée de notre belle impératrice Coco Chanel. Je m’empressai de faire mes yeux de biche qui lui était exclusivement réservés et c’est avec bonheur que je le vis, avec son air désespéré demander un paquet cadeau and this is fabulous. C’est presque deux heures après notre arrivée que je rejoignis enfin la voiture et m’installais auprès de mon ami pour retourner à bon port. Confortablement installé, c’est avec stupéfaction que nous assistions à ce qu’on pourrait appeler une assemblée de savant chevalier, enfin pour moi l'époque médiévale se prénommait plutôt « les gueux ». Je souris à la remarque d’Adriel qui apparemment avait la même conception des gammas que moi et repris aussitôt. « Demande donc à ton frère, avec un peu de chance il y a peut-être même participé. » Pour une fois cette remarque n’était pas sarcastique, Cameron avait été un gamma par conséquent je n’avais pas eu le choix de répondre. Quoi qu’il en soit gamma ou pas ça ne m’avait pas empêché de passer du bon temps avec lui. Par chance il faisait maintenant partie des omégas. Toisant l’assemblée, je prenais presque peur quand mon acolyte pris une route déserte, étant une malchanceuse de base, il était évident que quelque chose de pas normal allait arriver. Dieu une fois de plus m’avait écouté, seul trois minutes ont passées avant que je ne sois propulsée en avant tant la force du freinage avait été prononcé et avant qu’un mécréant de l’assemblée médiéval fasse son apparition. La seule vue de ses mains d’une couleur noire charbon me donna la nausée. Et c’est sans étonnement que mon Adriel grognon refit apparition. « Il doit être perdu, pauvre chose. » Déclarai-je presque peinée de la tenue vestimentaire du jeune gueux face à nous. L’odeur de son breuvage venaient nous piquer nos clauses nasales et encore une fois une nausée fit son apparition. Décidément il faut vraiment que je vois ce médecin. Je me fis presque toute petite quand la chose s’approcha de la voiture. Non je n’avais pas peur, mais oui je ne voulais pas recevoir toutes les choses que le gueux pouvait émaner de lui. « Allons et prendre le risque d’abimer tes enjoliver, Adriel ne fait pas ça je t’en prie. » Très bien, le gueux n’était pas vraiment décidé à se pousser, mais aucun problème, il allait connaître la colère de nos deux jeunes epsilons s’il continue ainsi. Mais je n’allais pas tenir le même discours après avoir vu le gueux presque embrocher la voiture de la maman Eynsford. Et bien bizarrement l’inconnu faisait preuve de beaucoup plus de volonté pour accomplir sa mission destruction. Un petit saut en arrière et mes yeux écarquillé, c’est à cet instant que je compris que les choses allaient mal se passer pour la suite. « Mais … mais … seigneur dieu je suis au bout de ma vie... » ajoutai-je encore stupéfaite de la scène. Je n’avais encore jamais vu mon petit Adriel énervé comme ça, si la scène n’était pas exécrable et énervante au plus haut point, je lui ferais remarquer que cet air de Bad boy enragé lui allait terriblement bien et lui donnait cet air vraiment très sexy. « Oh Adriel, s’il te plaît pas de malheur. » Dis-je d’un air presque suppliant, je n’avais pas envie qu’il arrive un malheur, surtout que je n’étais pas en état de prendre la fuite de n'importe quelle façon, mes pieds étant déjà mort par ma longue virée shopping. « Arrête un peu, on ne va quand même pas le laisser partir après s’être fais plaisir sur le véhicule non. Attends voir, il ne sait pas de quel bois je me chauffe celui-là. » Grommelai-je en détachant à mon tour ma ceinture, je sortis de la voiture et retirai un de mes magnifiques escarpins éditions limités signés Louboutin, et je lui lançai telle une joueuse de base ball tentant de faire une bonne action. « Touché le gueux ! Reviens un peu ici pour réparer ta connerie, espèce de chose insignifiante.»
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Adriel Eynsford-Baxter
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Adriel Eynsford-Baxter
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MessageSujet: Re: ( À quelle famille appartient cet écu ? ) ▶ OLYMPIADES ( À quelle famille appartient cet écu ?  ) ▶ OLYMPIADES EmptyMar 18 Déc - 18:26

« .Sans aucun doute. » grommelais-je sans enthousiasme. Que mon frère soit un ancien gamma, soit. Qu'il ait participé à ce genre de foire aux bovins idiote, soit aussi. Tout homme est libre de faire ce qui l'amuse, même de prendre part aux activités dégradantes de cette bande de bécasse de gamma. Toutefois, plutôt que de me répandre en commentaire, je préférais encore oublier ce moment atroce où mon nom de famille s'était retrouvé mêlé à la basse cours rebelle. Perdus en pleine pleine campagne, un cheval pour seul compagnie sur le bord de route et de l'herbe à perte de vue, je me demandais sur le moment si nous n'avions pas quitté le pays sans faire attention. Le cheval pouvait encore suffire amplement à implanter le décor, toutefois le bas peuple plantant le campement au beau milieu de nulle part, mais surtout en plein milieu de la route, par contre, là, je trouvais cela trop indécent pour n'être qu'un paysage de rase campagne. Prodigieusement agacé par cette soudaine apparition et par le choc d'une séquence freinage trop brusque, mes doigts tapotèrent nerveusement le sommet du volant que je tenais avec poigne. « .Qui s'en préoccupe, un enjoliver ça se change. Ce n'est pas un pouilleux qui va affoler mon assurance. » grommelais-je, scrutant le miséreux avec aversion. La vermine me révulsait a un point tel que l'imaginer sous les roues de ma voiture me sembla être une délectable perspective. Et puis, vu la façon dont conduisait ma mère, proche de celle de Cameron en somme, cette voiture devait en avoir vu de toutes les couleurs. Un peu plus, un peu moins. « .Elle a pas durée bien longtemps ta vie alors. » soulignais-je d'un ton narquois, allouant un regard à ma comparse qui de son impétuosité, signa un tournant décisif dans la scène qui se jouait sous mes yeux. Une paire de chaussures expansives jetée dans les airs et voilà que notre anonyme du jour se retrouvait assailli par la souveraineté. « .Pas mal, bon tir. » me moquais-je plus encore, en oubliant presque que la capot de la voiture était déjà endommagé. Heureusement, la voiture fonctionnait encore et après cet assaut digne d'une italienne, nous pouvions reprendre notre chemin. Dans le pire des cas, je porterais plainte et nous ne parlerions plus que comme un étrange souvenir de sortie. Toutefois, le mécréant revint à la charge, d'autant plus énervé qu'a l'accoutumé et cette fois-ci accompagné d'un pseudo chevalier. Plus grand, plus gros, plus armé et vraisemblablement plus ivre encore puisqu'il nous asséna d'un fatras de surnoms échappés d'une époque lointaine. « .Tu vois ! A enlever tes pompes, tu as attiré le reste de la cavalcade. » sifflais-je, pointant du regard le duo improbable arrivant dans notre direction. Et si je n'étais pas un poil impressionné par cet assaut, le fait que le chevalier dégaina son épée et un espèce de nunchaku de fer me poussa à m'inquiéter. « .Il a pas l'air content lui. » et il a l'air surtout très bien armé... avec un armada d'outils de son époque qui semblaient avoir, pour la plupart, des pics criant une douleur que je ne voulais même pas connaître. Et il était très clair que ce n'était pas avec ma taille mannequin que j'allais jouer les Rocky Balboa avec Godefroy de Montmirail et son ménestrel alcoolisé. Quand bien même, je ne touche pas la bleusaille et je la remercierai gracieusement de ne pas me frôler non plus. Toucher les gueux, être effleuré par le bas peuple, tripoté par l'infamie. Jamais, plutôt me pendre sur le champ plutôt que d'être touché par la médiocrité de ces gens-là. L'Adriel n'a jamais les mains sales et ce n'est pas aujourd'hui que cela va commencer mes amis ! « .T'approche pas le hardi, où ta tête va faire connaissance avec... » avec rien, puisque toi tu n'as rien pour te battre Adriel et qu'en plus tu n'aimes pas ça, te battre. Levant les yeux au ciel, je décidais de fermer la portière de la voiture et d'aller attraper Camélia, lui pressant le pas en la poussant dans le dos. « .Trace, trace, trace. » ordonnais-je, pressé. Et mon empressement s'intensifia lorsque l'arme de la mort frappa le pare brise de la voiture et que les grognements atypiques du duo s'approchèrent de nous. « .Qu'est-ce que je disais ! Des malades ici ! Mais cours ! On s'en fiche de tes chaussures. » ordonnais-je, avant de la pousser plus prestement à courir. Qu'elle veut récupérer ses chaussures me passait au dessus de la tête, après tout, elle n'avait qu'à pas les balancer en pâture aux fripons. Quand bien même, je venais de lui en payer une paire neuve. Toutefois agacé qu'elle ne soit pas plus sportive, plus cadencée que ça, plus déterminer à courir un marathon, alors que mon envie de taper un sprint n'avait jamais été aussi puissante, j'en devenais presque ronchon. « .Si je meurs parce que tu n'as pas voulu courir, je viendrais te hanter tu m'entends ? Te hanter jusqu'à ce que tu sois vraiment, profondément, intensément au bout de ta vie. » dis-je, d'une traite, un doigt pointé sur elle, avant de l'attraper par la taille, passer mes bras autour de ses genoux et de l'emporter à bout de bras plus loin. Déposant la demoiselle sur le bord de la route plus loin, je constatais alors que la voiture était bonne à envoyer à la casse et que les médiévaux prenaient fuites … à dos de cheval. « .Ils viennent de kidnapper un cheval et de partir dessus au galop. » après avoir éclaté la voiture de mère Eynsford. Je soufflais, complètement sidéré par l'inédit de la scène. Poussait un soupir, puis un second. The lord is testing me. « .Maintenant c'est moi qui est au bout de ma vie. » soufflais-je, avant d'entrelacer mes doigts dans ma nuque et de contempler le désastre. Ou du moins, contempler la perspective de ma vie prenant fin lorsque la mère découvrirait l'état de sa voiture.
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MessageSujet: Re: ( À quelle famille appartient cet écu ? ) ▶ OLYMPIADES ( À quelle famille appartient cet écu ?  ) ▶ OLYMPIADES EmptyMar 18 Déc - 20:04

❝Messire, messire, un sarrasin dans une charriote du diable ! c’est tout ferré y’a point d’bœuf pour tirer !❞
« Que veux-tu on m’exaspère tellement souvent» m’exclamais-je avec mon air dépité des mauvais jours. C’est bien vrai, l’expression « au bout de ma vie » je l’utilisais bien trop souvent, que se soit quand je suis fatiguée, énervée, ou bien même désespérée, elle ne me quittai plus. Elle m’était propre et je l’utilisai avec charme et classe habituelle. « Merci Papa Da Volpedo de m’avoir au moins appris une seule chose dans ma vie. » je n’allais certainement pas partir sans rien dire, notre fierté MA fierté avait été touché. Et je ne pouvais définitivement pas rester avec cette once de dignité en moins. Après ma frappe réussie avec succès je me tournai vers mon camarade ce petit rictus de satisfaction se dessinant sur mon visage. Mais ce bonheur allait-être de courte durée quand j’aperçue le gueux revenir de plus belle, mais cette fois-ci accompagné de son servant chevalier. Bien entendu les choses ne peuvent jamais être simple avec nous, il faut toujours qu’il y ait cette petite chose qui fait que. Cette odeur nauséabonde refaisait surface fois double, et cette fois si les armes que possédait le nouveau venu étaient beaucoup plus imposantes que celles du petit bouzeux. Une épée royale tel un chevalier de la table ronde. Une fois de plus mon visage se décomposer, et je pris ma respiration tous en gardant un contact visuel avec Adriel qui avait l’air plus rassuré que moi pour le coup. « Et si je lui offrais ma deuxième chaussure pour sa femelle, ça le calmerait surement. » Toujours consternée par l’attitude des jeunes campagnards je me demandais encore comment une telle chose pouvait arriver de nos jours. Nous jeunes partisans de l’upper east side de la Californie, habitant de loin dans les quartiers les plus huppés, nous étions tous proche d'un peuple démuni de moyen mais surtout de bon sens. À quoi bon ce déguisé ainsi. Décidément je n’avais pas encore totalement connaissance du monde dans lequels je vis actuellement et j’avais et de loin encore beaucoup de choses à apprendre. Observant mon ami prôné des menaces à l’encontre du servant chevalier, je savais que se combat était perdu d’avance, nous n’avions absolument rien pour nous défendre mis à part quelques présents très fraichement achetés par nos soins. « Seigneur » dis-je plus affolé que jamais, cette fois-ci pas le temps de réfléchir, mon meilleur ami n’allait pas m’en donner l’occasion et me poussa dans le dos de façon assez prononcé me forçant à avancer. Avec ma démarche à cloche pied, je ralentissais le troupeau pour retirer ma seconde chaussure avant qu’un autre drame n’arrive qui s’appelle la chute. C’est en enlevant mon second escarpin que j’aperçois le premier à quelque mètre de là, et il était hors de question qu’il reste ici seul. Pressant mon pas j’allais à sa rencontre pour la récupérer provocant la colère d’Adriel, sans parler du fait que la voiture s’apprêter à subir le pire massacre de l’histoire. « Très bien je laisse tout, mais demain tu es bon pour m’en racheter. » Cour qu’il me dit, depuis toute petite le sport était un sujet tabou pour moi, démuni de force physique je ne pouvais pas courir, je n’avais aucune endurance et Adriel allait vite finir par s’en rendre compte. Quand je commencerai à courir avec difficulté. Me marchant presque dessus je le sentais à quelques centimètre derrière moi, affolé contre moi dans cet état. La colère montait en moi, contre moi, contre mes difficultés à ne pas avancer comme je l’aimerai. « Tu ne vois pas que je cours comme une chèvre, même une tortue pourrait me voler la victoire, je ne peux pas faire mieux. » Oh Adriel, oui j’imagine bien, Ô combien tu pouvais me détester là maintenant. « Mais porte moi Adriel, porte MOI ! » et c’est en à peine trois petites secondes que je me retrouvai tête en bas et les quatre fers en l’air, admirant les protagonistes derrière moi continuer le massacre de la voiture. Je ne suis pas grosse, mais je suis loin d’avoir une taille de guêpe et j’imaginais bien la difficulté que je donnais à mon ami à cet instant. « Est-ce que par hasard nous avons été emmené ou transporté dans un autre temps ou quoi ? » dis-je quand Adriel finit enfin par me reposer. Bizarrement je n’étais pas essoufflé pour un sou, lui par contre avant du mal à s’en remettre et j’allais presque en être vexée. Mais je me devais d’admirer les capacités physiques de mon cher compatriote epsilon. Me glissant une main dans les cheveux, j’observais le carrosse dans un état critique, non réparable à mon humble avis. « Si organise un faux kidnappage et qu’on fasse porter le chapeau aux kidnappeurs j’imagine que cela ne prendra pas avec elle ? » Et si tu arrêtais avec tes idées farfelues et que la vérité soit votre seule excuse ?
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Constance La Tour Dubois
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Constance La Tour Dubois
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MessageSujet: Re: ( À quelle famille appartient cet écu ? ) ▶ OLYMPIADES ( À quelle famille appartient cet écu ?  ) ▶ OLYMPIADES EmptyMar 25 Déc - 20:42

Verrouillé, merci :plop:
les résultats sous peu :look:
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Zachariah La Tour Dubois
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corbeille
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