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LES SUPER NANA ► bonheur excessif, supers pouvoirs, sexshop (perdita)

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MessageSujet: LES SUPER NANA ► bonheur excessif, supers pouvoirs, sexshop (perdita) LES SUPER NANA ► bonheur excessif, supers pouvoirs, sexshop (perdita) EmptyMer 28 Nov - 22:48

•• J’avais quitté la maison de mon parrain, avec un baiser sur la joue de ma petite princesse qui dormait déjà à poings fermés dans les bras réconfortant de celui qui était devenu son grand-père. Eleanore semblait apprécier cet homme sortit de nulle part et qui prenait tout le temps nécessaire pour s’occuper d’elle. L’absence de Dom ne facilitait rien à nos vies, j’avais espéré qu’il soit au moins présent pour sa fille. C’était pourtant ce qu’il avait souhaité à sa naissance, à croire que ses mots n’avaient pour but que de nous faire plus de mal. Cette sortie était tombée au bon moment, me changer les idées était exactement ce dont j’avais besoin. L’objectif que je m’étais donné pour la soirée était d’oublier ma vie et d’en profiter. Un seul mot d’ordre : s’amuser. J’avais donc rejoint quelques amis, un sourire illuminant mon visage. La nuit nous appartenait. Depuis que le médecin m’avait annoncé que mon état s’était détérioré, je ne ratais pas une occasion de prendre du bon temps, même si cela signifiait – dans la plupart des cas – ingurgiter des quantités d’alcool à ne plus en pouvoir. Je riais en m’imaginant la tête de mon médecin s’il venait à découvrir comment je passais mes soirées. « Perdiiiiiiiiiiii ! » Gloussais-je à l’attention de mon acolyte qui semblait obnubilée par tout sauf par ce que je voyais en face de moi. Posant une main sur son bras, je lui montrais la pancarte qui s’élevait au-dessus du dit magasin. Enfin, si on pouvait appeler ça ainsi. Poussant la porte, nous entrâmes dans ce lieu que nous n’avions pas prévu de visiter, du moins, pas ce soir. Notre soirée avait pourtant commencé avec nos confrères les Omégas, les soirées avec eux n’étaient que plus festives et, inoubliables. Enfin, quand on avait encore les idées claires en rejoignant nos lits. A présent que nous faisions partie de la même confrérie, Perdita et moi pouvions nous voir plus souvent qu’en temps normal et avec les fêtes, c’était encore plus simple. Surtout maintenant que je vivais également à la résidence. Le fait de vivre dans un appartement à San Francisco, en dehors de Berkeley durant les quelques années qui ont suivit mon arrivée dans cette ville, ne facilitait en rien nos rencontres, pourtant nombreuses. « Woaw ! » Lançais-je tandis que je laissais mon regard trainait sur les différents articles qui se présentaient à nous. Je devais bien admettre que c’était l’endroit rêvé pour pimenter la vie de couple, pour ne pas dire sexuelle. L’état dans lequel je me trouvais actuellement était – pour ainsi dire – des plus déplorables. Riant pour un rien, je ne pouvais m’empêcher de glousser à chaque mot prononcé par mon acolyte de ce soir. Je devais avouer qu’alcool et médicament ne faisaient jamais bon ménage. Strictement déconseillé surtout avec une insuffisance cardiaque et dans l’attente d’un nouveau cœur. Mon regard se posa sur un canard en plastique que je pris dans mes mains en le retournant dans tous les sens avant d’attirer l’attention de Pedita. « Tu crois que ça fera joli dans le salon ! » M’esclaffais-je tout en le lui montrant. Je le reposais à sa place puis laissait mes pas me guidaient où bon leur semblait tandis que mes yeux se posaient sur tous les articles qui se présentaient à nous. Je n’aurais souhaité, pour rien au monde, être dans ce sexshop avec une autre personne que la jolie blondinette qui était à mes côtés. A dire vrai, cela ne rendait l’expérience que plus attrayante. Je me rapprochais de mon amie et lui murmurais à l’oreille. « Qu’est-ce qui ferait plaisir à ton Roméo, dis-moi ? Tu as l’embarras du choix ici… » Un sourire amusé se peint sur mon visage, cela me changeait de mon humeur des dernières semaines. Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas prit autant de bon temps. Quoi que la soirée qui nous avait opposé aux Iotas n’avait pas été si désagréable, la compagnie de Zachariah encore moins. Défier les rouges qui ne semblaient pas connaître la signification du mot ‘s’amuser’ avait été une idée exquise, encore plus lorsque nous nous étions retrouvés à nous surpasser les uns les autres pour défendre nos confréries respectives. Les quelques rares acheteurs qui se baladaient parmi les rayons à notre arrivée disparurent comme par enchantement, nous laissant les seules occupant des lieux avec le vendeur qui – disons le – n’était pas pour me déplaire. « Et qui sait, avec un peu de chance on pourrait même avoir le vendeur comme bonus… » Il n’était pas interdit de rêver, non ?! Qui plus est, contrairement à ma confidente, je pouvais me venter de pouvoir prendre du bon temps avec n’importe quel homme sans que cela n’affecte ma vie privée. Dire que notre soirée avait débuté à mille lieux d’ici. ••
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MessageSujet: Re: LES SUPER NANA ► bonheur excessif, supers pouvoirs, sexshop (perdita) LES SUPER NANA ► bonheur excessif, supers pouvoirs, sexshop (perdita) EmptyJeu 29 Nov - 21:28



Il y a très peu de gens qui savent rire de leur folie.
Si un jour, j’avais pensé me retrouver dans un endroit pareil.. Je ne l’aurais certainement pas cru ! Depuis mon arrivée à Berkeley, beaucoup de choses ont changé. J’ai cherché à savoir celle que j’étais vraiment. Après avoir vécu au rythme de mon père, à l’écoute de ses règles et de ses raisonnements. J’avais décidé de me prendre en main, de faire comme bon me semble. Après une année chez les iotas, j’avais donc décidé d’intégrer la confrérie des fêtards, les omégas. J’y retrouvais des amis, des connaissances et un paquet de visages que je croisais quotidiennement dans les couloirs de l’université. Aujourd’hui, j’étais totalement moi. Surtout libre de mes choix, je prenais la vie avec le sourire. Je transformais mes faiblesses en forces. Je ne me laissais plus décourager. Je voulais y croire. Penser que la vie pouvait également me sourire. La preuve était que ce soir, je marchais dans une ruelle, accompagné de mon acolyte préférée. Une de mes plus belles rencontres. Mon Esméé ! Nous avions débuté la soirée aux côtés de nos omégas. Quelques-uns s’étaient réunis pour boire un coup, fêté un jour de pluie. Nous n’avions pas pu manquer l’occasion de partager un bon moment, de rire et de déconner. Je ne saurais même pas vous dire, comment on en est arrivé ici. Heureusement que je n’ai pas bu quelques verres supplémentaires, sinon je ne saurais même plus qui je suis. Alors, on peut dire que j’ai été réfléchie. C’est ce que je veux penser, parce que si mon petit ami me voyait dans cet état-là, je voyais déjà quel regard il me lancerait. Muni de ses fléchettes, Isaac n’hésiterait pas à faire de moi, une victime. Il me punirait d’avoir pécher et je ne pourrais qu’accepter mon sort. Mais la lumière de cette vitrine m’attirait et me faisait oublier le reste. J’étais comme hypnotisée par ce que je pouvais y voir. Il avait de tout, de toutes les formes et de toutes les couleurs. On se serait limite cru dans un remake du monde des bisounours. Esméralda me montra donc la plaque qui se trouvait sur la façade. On devait y entrer. Je voulais en voir plus. Allez savoir pourquoi d’ailleurs, parce que avec Isaac, je suis satisfaite. Totalement épanouie. Néanmoins, il faut croire que j’avais envie de découvrir ce monde, et mourir moins bête par la même occasion. J’attirais donc mon amie sans lui laisser le choix et nous entrions dans cette boutique très, très particulière. « Mon dieu ! » La vitrine n’était qu’un aperçu de l’intérieur. Je ne voyais pas le fond du magasin. Il y avait de tout, pour tous les genres et pour toutes les situations. « Ils en ont même pour les enfants. C’est dégueu. » Je lançais un regard étrange au canard que tenait en main mon acolyte de soirée. Il n’avait pas l’air méchant. Bien au contraire, avec son sourire et ses grosses lèvres orange, il me donnait même envie de rire. Je décidais pourtant de l’éloigner de mon regard. Tournant la tête, je continuais de regarder ce que la boutique proposait comme produit. Il y en avait un paquet et peut-être qu’il nous faudra la nuit entière pour tout voir. La technologie n’a vraiment aucune limite, pas même dans ce domaine. Mon attention s’arrêta alors sur ce masque. Il y avait des paillettes et des plumes. Il me rappelait ceux que l’on pouvait rencontrer pendant la période du carnaval. Cependant, la tenue qui allait avec n’était pas très adaptée pour un jour de carnaval. Vêtue de la sorte, je pense que je me ferais vite remarquée. L’attention sera portée sur ce costume plutôt inadéquat pour l’évènement et sur les formes qu’ils dévoilent. Je décidais donc de me limiter au masque, que je plaçais sur mon visage. Quand j’entendis la question de mon amie. Je me retournais vers elle. Masque autour des yeux et tenue qui était vendue avec, en main. « En tout cas pas ça ! Regarde. On dirait qu’il manque du tissu. Si une demoiselle décide de porter ça, elle risque d’attraper un rhume aux miches » Je réalisais mon langage. L’alcool avait touché beaucoup de ficelles, ce soir et la soirée était loin d’être terminée. Esméralda semblait conquise par le charme du vendeur et je décidais donc de nous faire remarquer. Comme ça, peut-être qu’elle aura sa chance. Même s’il serait bien bête de cracher sur une telle demoiselle. Je tournais mon attention sur les tenues à mes côtés. « Suis-moi. » J’en attrapais deux au passage et prenais la direction des cabines d’essayage. La poussant dans une, je lui tendis son paquet et gardais le mien. « Fait-moi confiance, enfile ça. » J’avais choisi le costume très sexy de policière à Esméralda. Tandis que je m’étais attribué celui de militaire. On allait bien rire. On allait clairement assurer. Au moins, on serait habillé en fonction de l’endroit. On serait limite incognito. On allait faire partie des lieux et donner une chance à notre imagination. Ce soir, on allait avoir droit à une double identité et pourquoi à des pouvoirs magiques. Il y a un vaste choix de baguette magiques dans le coin..
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MessageSujet: Re: LES SUPER NANA ► bonheur excessif, supers pouvoirs, sexshop (perdita) LES SUPER NANA ► bonheur excessif, supers pouvoirs, sexshop (perdita) EmptyDim 2 Déc - 17:54

•• Ce n’était pas le genre d’endroit que je fréquentais habituellement. A dire vrai, je n’y serais jamais venu si ce n’est dans une telle situation qui ressemblait plus à une comédie qu’à la réalité. Je savais que dans mon état et surtout avec la présence d’Eleanore dans ma vie, j’aurais dû faire plus attention, prendre plus de précautions. Seulement, jusqu’à maintenant, rester vigilante ne m’avait servit à rien. Je ne disais pas que j’étais sur le point de prendre tous les risques du monde, y compris mettre ma vie en danger pour me sentir vivante mais, j’étais déterminée à vivre pleinement ma jeunesse. Tant que je le pouvais encore. Heureusement encore que ma fille soit encore trop jeune pour comprendre ce qui se passait autour d’elle sinon, elle aurait été étonnée de ce que sa mère faisait de son temps libre. Aujourd’hui, je me retrouvais avec ma Oméga préférée à faire des folies, comme à chaque fois que nos routes se croisaient. Et ne faisant pas exception à la règle, on avait opté pour ce sexshop qui nous ouvrait d’autres horizons. Je n’aurais jamais cru me retrouver dans un tel endroit et si un jour, on m’avait dit que cela allait être le cas, j’aurais surement rit aux éclats. Ce soir, au contraire, je riais aux éclats parce que j’y étais. Mes pas suivaient ceux de Perdita tandis que mon regard se posait sur les différents articles présents. Comme quoi tous les domaines avaient leurs lots de surprises. Je ris aux paroles de mon amie alors que je regardais attentivement le vêtement qu’elle tenait en main. Enfin, si on pouvait appeler ça ainsi. « Mais, tu serais tellement belle dedans…Et imagine un peu la tête de ton copain s’il te voyait habillé ainsi ou je devrais dire déshabillé… » Une tête qui valait le détour, c’était certain. Je détournais les yeux pour voir les autres tenues mises à notre disposition avant de me sentir poussée du côté des cabines. « Tu veux vraiment qu’on essaye ça ?! » Demandais-je, le regard amusé. Non pas que cela me gêne mais, cela ne m’avait pas effleuré l’esprit une seule seconde. « Maintenant qu’on est là, autant en profiter ! » Terminais-je en pénétrant dans la cabine d’essayage pour en sortir quelques minutes plus tard relookée en policière sexy. Je m’avançais vers un miroir mis à la disposition des clients pour voir ce que cela donnait puis je me retournais vers mon acolyte qui resplendissait dans son costume de militaire. Déjà qu’en temps normal, on était sexy mais, là. On battait des records. « Les criminels ne feraient pas long feu si on décidait de devenir flics toutes les deux… » Me déplaçant un peu plus loin, j’attrapais ce qui s’avérait être une baguette magique de la main avant de me retourner vers elle. « Ouvre grand les yeux, je vais te montrer l’étendue de mes pouvoirs… » Un sourire énigmatique sur les lèvres, je recherchais du regard le vendeur qui m’avait tapé dans l’œil. « Je vais lui jeter un sort pour qu’il tombe amoureux de moi. » Je gloussais de ma propre bêtise. A quel moment de la soirée avais-je perdu le peu de raison qu’il me restait. Dire qu’une année auparavant, je n’aurais jamais passé le pas de cette porte, pour rien au monde et que j’aurais surement tout fait pour préserver ma fille du monde extérieur. La vie était parfois bien trop surprenante. Je levais ma baguette dans les airs tandis que je parlais d’une langue qui n’existait surement pas. « Si tu veux, je pourrais t’apprendre un de ces jours ! » Continuais-je sur ma lancée alors qu’un fou rire commençait à prendre possession de mon corps. Pas besoin d’un expert pour comprendre que je n’étais pas dans mon état normal. Je me retournais vers mon amie pour voir si elle était dans un meilleur état que le mien, en vain. A croire que c’était la pleine lune. Je sentis plus que j’entendis mon portable vibrer non loin de moi, un simple regard me suffit pour savoir qui venait jouer les troubles fêtes. Aucunement intéressé pour répondre, je mis un terme à ce bruit dérangeant en éteignant mon téléphone avant de me reconcentrer sur Perdita qui semblait dans son élément et sur le vendeur qui était loin d’avoir le même état d’esprit que nous. Ce n’était pas grave, je comptais bien lui rendre le sourire. J’avais toute la nuit pour ça. Qui plus est, mon acolyte était d’une bonne aide. « Il ne nous manque plus que les armes et les menottes et le tour est joué… » Lui dis-je lorsque je revins à sa hauteur. On était parfaite dans notre rôle de représentant de la loi. Au moins, si on ne réussissait pas dans nos domaines d’études, on pourra se reconvertir dans la police et l’armée. ••
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MessageSujet: Re: LES SUPER NANA ► bonheur excessif, supers pouvoirs, sexshop (perdita) LES SUPER NANA ► bonheur excessif, supers pouvoirs, sexshop (perdita) EmptyDim 2 Déc - 19:51



Roulez bourré, mourrez joyeux !
Je n’étais pas non plus, une habituée des lieux mais, la situation m’amusait. Depuis mon arrivée chez les omégas, je ne voyais plus ma vie de la même façon. J’avais juste envie de profiter. Comme à ce moment précis, en compagnie d’Esméralda, je me retrouvais dans un magasin unique. Je n’avais pas pour habitude de m’y promener ou d’y faire des achats. Mais, au moins, je n’allais pas mourir bête. J’imaginais déjà le lendemain. On rigolerait de cette soirée et je la partagerais certainement avec Isaac et Dmitri. J’imagine déjà leurs têtes, quand je leur raconterais mes péripéties. Je suis une aventurière, ils le savent. Cependant, ils seraient étonnés. Perdita dans un sexe shop, ce n’est pas tous les jours que ça arrive et encore heureux. Quoi que, si je décrochais un job dans la boutique pour me faire un petit de sous, ça pourrait le faire. Sauf si mon père venait à l’apprendre. Nous n’avons plus de contact mais, je suis certaine qu’il suit chacun de mes pas. Je le connais et avec les années, rien ne le change. Puis bon, aujourd’hui, je fais ce que je veux. Quand je veux ! Alors, je tenais cette tenue qui manquait de tissus au niveau de la poitrine. Je la découvrais avec mon amie, qui se faisait un malin plaisir à la compliquer. Elle est aveugle ou elle a trop bu ? Ou peut-être qu’elle a encore soif et que ça fausse son jugement. Je rigolais et ajoutais : « Tu es sérieuse. Je crois que Isaac serait choqué de me voir comme ça. Il se crèvera les yeux. Tellement c’est laid, tellement c’est vulgaire. Je peux être sexy avec autre chose, je t’assure. » Aussi vite prononcé, aussi vite emballé. J’avais trouvé ces deux tenues qui pouvaient nous aller à merveille. Esméralda avait plutôt intérêt à accepter mon challenge. Si je le fais. Elle le fera. En tout cas, elle ne sortira pas d’ici sans m’avoir comblée de plaisir, comblée de rire. Je veux m’éclater et autant s’amuser avec ce qu’on trouve dans le coin. C’est alors motivée qu’elle pénétra dans sa cabine. J’en fis autant et en moins de deux minutes, j’étais une toute autre femme. « Où ils feraient exprès de détourner la loi pour qu’on se charge de leurs cas ! » En tenue de femmes de loi, avec Esméralda, on gérait. J’avais un large sourire sur mon visage et ce n’était que le début de notre soirée, de notre idée masquée. Il nous faudrait aussi des armes. Au moins, avoir quelque chose pour se protéger. On avait la tenue. Il nous faudrait les accessoires qui vont avec. Mon acolyte se prêtait beaucoup au jeu. Je la voyais s’aventurer près de sa proie. Elle était déterminée et ça lui allait plutôt bien. Je plaçais une de mes mains, devant ma bouche. Retenant mon rire, histoire de ne pas le laisser s’éclater. Un peu de tenue, quand même. Non loin de la perfection, dans cette tenue, Esméralda me faisait remarquer une évidence. Menotte, essentiel ! Armes, indispensable ! J’attrapais aussitôt sa main et la menais dans le rayon que j’avais remarqué. Je rigolais, sans raison et je ne cherchais pas d’explication. Dans le rayon, j’attrapais une des plus belles paires de menottes. Fourrure rose. Parfaite. Ça fait très fille, très nous. Je décidais donc de nous attacher. Quoi qu’il nous arrive ce soir, mon amie ne pourrait plus me quitter et j’étais morte de rire. « Oh mon dieu, j’ai mal au ventre.. Tellement, je ris. Si j’avais su, on n’aurait pas attendu ce soir, pour venir se perdre ici. » Je la tirais toujours derrière moi. On avait besoin d’armement et j’avais déjà fait quelques repérages. Arrivées dans le rayon des nouvelles technologies, vibromasseurs et compagnie. Il y avait du choix et Esméralda trouverait bien de quoi satisfaire ses envies. Ironiquement parlant ! « Bon, je sais que ce n’est pas vraiment une arme quand tu les regardes comme ça.. Mais, on pourrait s’en servir comme d’une matraque. Je prends celui-là, le rose et regarde, un peu. » Il y avait un petit bouton à l’extrémité. Bien sûr, je ne me fis pas prier et appuyais. Vibrant entres mes mains, il faisait aussi de la musique. Oh mon dieu, qui a eu cette idée. Inventer un tel objet ! J’éclatais de rire, reconnaissant les musiques qu’il détenait. Je me demande si ça intensifié l’envie. Il y a vraiment de tout. Aucune limite. « Je crois qu’on doit aller dans le rayon un peu plus hard. Je crois qu’on peut y trouver un fouet et des cordes. Histoire de s’équiper. Tu ne penses pas. » Je lui souriais, comme une enfant de cinq ans qui se retrouvait dans un grand magasin de jouet. A peu de chose près, c’était identique.. Dans une main, j'avais mon vibromasseur qui est utile dans toutes situations. Je pouvais également m'en servir comme d'une baguette magique. Je suis sûr qu'on ne verrait pas la moindre différence. Puis, je le sentais à l'intérieur de moi, quelque chose avait changé. Je me sentais dotée de super pouvoirs, super magiques. J'étais super forte. Entre la superwoman et la super flic, j'avais la classe. Hermione Granger avait de quoi s'inquiéter.
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MessageSujet: Re: LES SUPER NANA ► bonheur excessif, supers pouvoirs, sexshop (perdita) LES SUPER NANA ► bonheur excessif, supers pouvoirs, sexshop (perdita) EmptyMer 16 Jan - 18:12

corbeille
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