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« she got both feet on the ground and she's burning it down » ;; aureleya

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« she got both feet on the ground and she's burning it down » ;; aureleya Empty
MessageSujet: « she got both feet on the ground and she's burning it down » ;; aureleya « she got both feet on the ground and she's burning it down » ;; aureleya EmptySam 10 Nov - 2:08

présentation à venir :plop:


    L’Italie. Si Meleya avait déjà entendu ce que je pouvais lui dire entre deux engueulades, s’était que j’adorais ce pays plus que tout, mais malheureusement beaucoup trop de chose faisait que j’étais également amené à le détester. Beaucoup de chose que je devais maintenant dire à ma jumelle, si je voulais que l’on commence à s’entendre comme … oui comme deux vrais sœurs. J’avais appris son existence, il y avait presque un an maintenant. Un an où tout était arrivé, le pire comme le meilleur. Depuis son mariage, je n’avais pas eu beaucoup de temps pour la voir, en même temps entre les études, et son cher et tendre époux, difficile de la partager. Et à vrai dire, la voir partir comme ça, j’avais la sensation de l’avoir perdu un peu, d’avoir raté quelque chose. S’était peut être pour ça aussi que j’avais pris la décision de lui donner rendez-vous devant le Colisée de Rome. Pas de sortie culturelle organisait par les Alpha – Dieu merci – elle n’avait donc pas beaucoup d’excuse pour refuser cette sortie imprévue, qui risquait même de la surprendre. J’étais bien plus couverte que je ne l’étais en Californie, en Europe, dans cette période le temps s’avèrent être un peu plus frais. Heureusement que je connaissais le pays par cœur, ça m’avait permis de ne pas faire de fausse note sur ce que j’avais décidé d’emmener dans ma valise. Enfin soyons clair, j’avais tout de même des fringues on ne pouvait plus sexy pour mes soirées avec Lucile dans les boites de nuit de Rome. S’il y avait une chose qui ne changeait pas non plus avec le temps, s’était le sang chaud des ritals, et être entre leur main étaient un pur plaisir. J’avais beau mettre assagit quelque temps au niveau des relations physiques entre adultes consentants à cause de mon opération, j’avais repris mes bonnes habitudes depuis que j’avais surmonté ça avec ma Gamma favorite. Autant je me mélangeais rarement avec ce type de confrérie réellement sans importance, Lucile avait joué un grand rôle autour de moi, et je comprenais pourquoi elle faisait parti de l’une de mes meilleures amies – au même titre qu’Eden, mais ça s’était du passé.
    J’avais marché jusque la place, évidemment mon esprit n’était pas très rassuré. Je savais qu’ici, Rafael pouvait me retrouver pour le peu qu’une de ses connaissances ne me voit ou que lui-même se baladerait dans le coin. Etais-je réellement prête à l’affronter ? Ça je n’en étais pas vraiment sur. Qui vivra, verra. Devant le Colisée, je l’admirais comme si s’était la première fois que je le voyais alors qu’avec le temps où je vivais chez Rafael, j’avais débouché plus d’une bouteille de champagne de bas goût pour arroser tout le monde et souvent faire des nuits blanches. Evidemment ici, ce n’était pas Florence, mais j’avais ma voiture à disposition pour partir si l’envie prenait à Meleya de voir mon ancienne maison, où le lieu où mon frère Enzo vivait en attendant que je puisse venir le chercher. Je ne savais pas trop commencer la journée allait se dérouler. Dans mon esprit, j’attendrais tout simplement que Meleya pose ses questions et au fur et à mesure j’y répondrais. Je me demandais tout de même quelles questions elle pourrait poser. Ma jumelle pouvait parfois être surprenante mine de rien, bien que son côté intello faisait qu’on devinait les choses en avance. Quoi que, si j’avais deviné en avance qu’elle irait se mettre devant un autel pour dire « oui » à un mec que sa mère lui avait choisi, je l’aurais surement empêché. Si je ne savais pas pour sa fausse couche, j’aurais sérieusement cru qu’elle se mariait pour ça. Non mais être la femme de quelqu’un à dix huit ans, s’était ridicule. Rien que le fait d’appartenir à quelqu’un, de se promettre devant une tonne de gens qui n’ont qu’une envie, picoler un bon coup et manger gratuitement, ça aussi s’était ridicule. Je n’étais toujours pas pour ce mariage, et j’attendrais avec impatience le divorce pour lui dire mon fameux « je te l’avais bien dis » en face. Meleya arrivait ce qui me tira de mes pensées pénibles de son mariage. « J’espère que tu n’as pas eu trop de mal à trouver jusqu’ici. » dis-je en embrassant ma jumelle sur la joue. Même si le Colisée était un très grand monument, de là où nous étions logés à ici, ce n’était pas forcément évident. Avant de laisser un blanc s’installait, j’expliquais enfin à Meleya pourquoi je l’avais fait venir. « Meleya, tu m’as souvent reproché de ne pas me livrer à toi, de ne pas te dire qui j’étais, et blablabla. je prenais un air désapprobateur de ses repproches, car à ce moment, il n’était aucunement question que je me livre à une parfaite inconnue. Aujourd’hui, je te donne la possibilité de me poser toutes les questions que tu veux. Profites-en tu n’as qu’un seul et unique après midi pour ça donc n’oublie rien. » Même si j’avais décidé de me livrer à quelques confidences, il n’était pas question non plus de me faire harceler de question tous les jours dès qu’un truc lui revenait en tête ou je ne savais trop quoi. C’était aujourd’hui, point. Je regardais Meleya pour savoir si elle approuvait ma décision, en même temps, s’était à prendre ou à laisser, à elle de choisir. Avant de commencer une quelconque visite, d’avoir la première question, je me questionnais sur ce que vivait Meleya en ce moment. D’autant plus que je n’avais plus aucune vue sur elle. Avoir un sentiment de contrôle sur Meleya ? Ce n’était pas impossible. « Alors ce mariage, tout va bien ? » Sous-entendu, tu as bien emménagé ? Gaulthier prend bien soin de toi ? Et toi alors comment tu vis tout ça ? Mais je n’étais pas du genre à poser un million de questions, j’avais tout de même ma fierté, et lui dire que ça faisait drôle de vivre avec une bande de ploc en cohabitation plutôt que dans notre luxueuse villa, jamais de la vie.
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June D. J. Martin
there's no place like berkeley
June D. J. Martin
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MessageSujet: Re: « she got both feet on the ground and she's burning it down » ;; aureleya « she got both feet on the ground and she's burning it down » ;; aureleya EmptyVen 23 Nov - 0:05


Ne vous demandez pas pourquoi les gens deviennent fous. Demandez-vous pourquoi ils ne le deviennent pas. Devant tout ce qu’on peut perdre en un jour, en un instant... Demandez-vous ce qui fait qu’on tienne le coup... AURELEYA SISTERS ABOVE ALL

❝ T’es mal placé dans la chaîne alimentaire pour faire ta grande gueule !❞

    L'Italie. Je n'avais jamais visité ce pays, je n'avais guère eu l'occasion cela étant. J'en avais certes entendu des dizaines, voir des centaines de fois parlé par Aurea, me contant monts et merveilles de ce pays, mais jamais je n'avais pu foulé la terre des romains. D'une certaine manière, j'avais la douce impression de connaître ce pays comme ma poche, tant Aurea m'avait décri en long et en large, ce que l'on pouvait y trouver, comment se comportaient les gens, quels étaient les paysages italiens... Dans ma tête, j'avais une image plus que préconçue, à la limite des préjugés, et j'entendais bien changer ces idées en débarquant sur le continent européen, et plus précisément, sur la péninsule italienne. J'étais d'ailleurs bien contente que l'Université ait pu mettre en place un tel projet, ayant pour but de rapprocher les confréries les plus contradictoires et opposés de Berkeley, les Gamma, les Epsilons et les Alphas. Je devais reconnaître que ces trois confréries avaient tout pour ne pas s'entendre sur le papier. Mais je savais que des exceptions étaient possibles, preuve en était l'amitié qui unissait Aurea, epsilon, et Lucile, gamma. Aussi, dès lors que j'avais atterri à Rome en compagnie des autres étudiants, j'avais entrepris de me mélanger à tout le monde, dans le simple but de faire en sorte que le voyage, n'ait pas été organisé pour rien. Gaulthier n'avait pas pu faire le déplacement, ayant des examens, je me retrouvais seule dans ce pays inconnu. Dans un sens, je trouvais cela dommage qu'il n'ait pu venir, ce voyage aurait pu être l'occasion de célébrer notre mariage, une sorte de voyage de noces improvisé. Le mariage une fois célébré dans la grande Cathédrale Sainte Mary de San Francisco, nous n'avions guère eu le temps de s'organiser un voyage de noce, ou même un simple weekend pour fêter à notre manière, notre union sacrée. Tant pis, nous trouverions un autre moment, une autre solution pour marquer le coup. Enfin cela ne m'empêchait guère d'être heureuse d'avoir épousé Gaulthier, d'être devenue une Levy Carcenac, d'être entrée dans la bourgeoisie française. Certes, je faisais partie de la très haute bourgeoisie, voir aristocratie Bulgare, mais avoir cette double casquette me plaisait fortement je devais bien l'avouer. Et puis, la simple idée de m'imaginer avoir des enfants franco-bulgare me plaisaient d'autant, que par ce biais, ils seraient polyglottes de manière très facile et c'était le plus important à mes yeux. Malgré tout, je n'en revenais encore pas qu'un homme ait réussi à me passer la bague au doigt, un an après ma venue à Berkeley. Certes, les raisons n'étaient pas amoureuses, mais quand bien même, je n'aurai pas pensé que toute ma vie aurait basculé de cette manière là en une année de temps. Je n'allais cependant pas m'en plaindre, j'étais des plus heureuses depuis que je menais cette vie de grand train et grand standing.

    Deuxième jour après avoir osé le pied à Rome, Aurea s'enquérait de me faire visiter sa ville, et de me faire découvrir les charmes italiens. La connaissant, les charmes italiens pouvaient se décliner sous plusieurs formes, tant sur le plan géographique avec ses paysages, que sur les charmes masculins des hommes. Mais qu'importe. C'était là l'occasion pour moi de me rapprocher de ma jumelle, avec qui les choses avaient toujours été compliquées. Ces derniers temps, je devais bien reconnaître qu'elle et moi nous nous étions drôlement rapprochées. L'une comme l'autre, nous avions vécu une douloureuse épreuve durant cet été, chacune ayant survécu à une fausse couche. Même si ma soeur avait souffert physiquement, elle semblait l'avoir mieux vécu que moi, ne désirant pas devenir mère. Pour ma part, j'en avais souffert, grandement, remettant totalement en cause tous les principes que j'avais bien pu vouloir me forcer à suivre depuis mon enfance. J'avais renié la religion, renié le Dieu qui m'avait suivi depuis toujours, et m'étais mise en tête de révolutionner ma vie, et devenir comme tous ces omégas, une fêtarde invétérée, ne jurant que par les coucheries à droite à gauche. J'avais même tenté de changer de confrérie, mais heureusement pour moi, je ne les avais pas dupé, et mes quelques déboires sentimentaux et médicaux avaient fait échos. Je n'avais donc pas quitté ma confrérie, et ce n'était que pour le meilleur puisque je m'y épanouissais au maximum. Après avoir quitté l'hôtel, je m'enquis de prendre un taxi afin de retrouver ma soeur. En quelques minutes, j'arrivais à sa hauteur, devant le Colisée. Aurea me déposa une bise sur mes deux joues avant de me regarder avec un petit sourire. Elle se tut quelques instants, avant de m'annoncer qu'elle comptait se dévoiler tout à moi, sur tous les points, prête à ne rien me cacher et se livrer à cent pour cent. Je cachais ma surprise mais je devais bien reconnaître que je l'étais totalement. Aurea qui me proposait clairement durant tout cet après midi, de répondre à toutes mes questions était tout ce que j'aurai pu toujours rêvé. Il restait bien des secrets qu'Aurea ne m'avait pas dévoilé, et gardait toujours dans un coin de sa tête, que je rêvais d'apprendre pour enfin comprendre qui était ma jumelle. "Oui j'ai rapidement trouvé ne t'inquiètes pas! Indiquer le chemin du Colisée à un taxi n'était pas si compliqué que cela va!" Expliquai-je tout en souriant. Je ne savais que répondre à sa proposition, de tout me dévoiler, tant la surprise me tenait au corps. Peut importe, le moment venu, la question pointant le bout de son nez, je la poserai. Mais pour le moment, je préférai profiter de l'instant présent en compagnie de ma soeur, m'en jaillissant d'un moment de paix et de calme entre nous deux, trop rare à mon goût. Ma jumelle m'interrogea de manière générale sur mon mariage, bien que je me doutais que derrière cette simple question, s'en cachait une multitude d'autres, afin de savoir comment me traitait Gaulthier. " Ne t'inquiètes pas, je m'épanouis pleinement dans ce mariage. Mais merci de t'en inquiéter, je sais que ça peut te tracasser que tu le montres ou non!" Aurea ne l'avouerait jamais officiellement, mais elle s'inquiétait sincèrement pour moi, et je trouvais cela très adorable de sa part. Je relevais doucement la tête pour faire face au Colisée, mastodonte, master piece de l'antiquité romaine. Je n'en revenais pas de me tenir debout, face à lui. Clairement, je me sentais minuscule, comme insignifiante tant l'architecture de l'amphithéâtre romain était imposante. "Une visite du Colisée ça te dirait? Tu as eu la chance de visiter Rome, mais personnellement, j'aimerai profiter un maximum de mon temps ici!" Sous entendu, une visite impromptue du Colisée, l'air de rien, cela peut amener à une discussion ma cocotte. Aurea acquiesça à ma demande, et nous prîmes la direction de l'entrée du Colisée. Tout en faisant la queue, une chose me taraudait l'esprit. "Comment as tu réussi à t'échapper de l'influence de Rafael?"
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MessageSujet: Re: « she got both feet on the ground and she's burning it down » ;; aureleya « she got both feet on the ground and she's burning it down » ;; aureleya EmptyMer 16 Jan - 18:02

corbeille
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MessageSujet: Re: « she got both feet on the ground and she's burning it down » ;; aureleya « she got both feet on the ground and she's burning it down » ;; aureleya Empty

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