Aux grands maux, les grands remèdes. [ pv Holli]

Invité

Dans la salle de réception à l’entrée.

Cette soirée avait eu lieu parce que les dortoirs des confréries avaient vécu un vandalisme assez prononcés. En effet, lors de la soirée donnée à la faculté, des petits malins avaient le don d’aller fouiller dans les affaires des autres. Il y avait eu des vols, des tiroirs et chambres mis sens dessus-dessous. On pouvait bien dire qu’il y avait eu une tornade qui était passée dans tous les bâtiments des confréries. Pour les Sigmas, on avait donc vu qu’il y avait eu pas mal de dégâts. En résumé, la soirée enfin le concert que l’on donnait à la faculté nous permettrait de trouver des fonds pour pouvoir rembourser les vols et restaurer le bâtiment. La cohabitation dans le bâtiment Victor Hugo nous permettait donc de vivre tous ensembles. Sauf que cela ne donnait pas forcément l’intimité prévue pour chacun de nous. Je ne vivais pas trop cela comme il le fallait. Mon père s’inquiétait et bien que le service de sécurité soit le plus discret possible, l’ambassadeur qu’il était n’appréciait pas du tout cette situation. Puis avec mon statut de Bras droit de Rémy, je devais donner un maximum. C’était la raison pour laquelle, je donnais un coup de main à cette soirée.

Me trouvant dans le hall de la réception, j’avais ramené mon instrument chez mes parents au début de la fête. J’avais eu le temps de le déposer dans ma chambre. Etant revenue à l’heure, j’avais lancé les hostilités dans le but de pouvoir donner une meilleure image de notre confrérie. Il fallait aussi que j’aille chanter, mais bon, pour le moment, je préférais donc une fois de plus attendre que mon tour vienne. De toute façon, pour l’instant, je regardais aussi si les serveurs, la musique, et le reste fonctionnait convenablement. Bien que pour l’instant, je ne réalisais pas de suite que j’aurais encore l’impression de ne pas aller dans le bon sens. Ayant le calepin enfin le support tenant les feuilles volantes, j’avais mon oreillette toujours allumée pour pouvoir être prête au cas où. Finalement, je bougeais donc de ma place pour aller voir en coulisse. Alors que je m’occupais des plats qui circulaient au buffet. Je m’occupais donc d’une petite chose.

- « Bon allez mettre les fleurs sur le coin de la scène. Puis ajustait les plats au buffet. »

Regardant donc aussi que tout allait bien pour les boissons et le reste, je voyais qu’il était normal que je sois un peu fatiguée. Alors que j’entendais dans mon oreille : « Kono vient y a un souci à la réception. » - « J’arrive. » Puis disant que j’allais donc à la réception, je me dirigeais vers le hall d’entrée. Je trouvais là-bas un homme avec une femme qui râlait parce qu’il n’y avait pas de coffres pour les objets de valeurs. L’hôtesse essayait donc de les calmer, mais rien n’y faisait. Voyant qu’il s’agissait un homme politique de la ville, je le saluais à la japonaise. M’ayant reconnu vu qu’il m’avait vu une ou deux fois avec mon père, je l’entendais me dire : « Kono, rien ne va. Voyez-vous, il n’y a pas de coffre au cas où je souhaiterais déposer ma mallette. » Remarquant qu’il sortait de son travail, je voyais son service de sécurité qui se trouvait là proche de lui. Je lui répondais quand même.

- « Il faudrait quand même que vous alliez la déposer chez vous. On n’a pas de banque ni de coffre parce qu’on se trouve à la faculté. Navrée que vous n’ailliez pas ce service mais on a préféré ne pas le faire. »

Puis remarquant sa sécurité, je lui disais simplement. - « Votre sécurité va rester aussi ? » Alors que la réponse se fit affirmative, je lui répondais pas trop certaine que cela soit une bonne idée. - « Monsieur le Maire, soyons sérieux un instant voulez-vous. Si ces agents de police restent là, il faudra qu’ils soient tous discrets. Je ne tiens pas à avoir une balle perdue. » A sa tête, je remarquais bien que pour l’instant, il y avait bien entendu un souci. Regardant sa femme, je voyais bien qu’elle approuvait la situation. Alors que j’entendais qu’il reviendrait plus tard une fois sa mallette chez lui. Je le remerciais pour sa présence qui finalement permettait à la faculté de montrer qu’elle était capable de prendre conscience de la situation. Le voyant partir avec sa femme, je remarquais que des étudiants étaient encore en train d’arriver. Une fois le Maire partit, je savais qu’il reviendrait par la suite. Alors que j’allais partir, je voyais Holli arriver.

Elle était là devant moi, dans une tenue qui lui allait comme un gant. Elle était bien habillée et avait un petit sourire sur le visage. La saluant d’un signe de tête, je me tournais donc vers l’hôtesse. - « Prévenez-moi si le Maire revient s’il vous plait. » Lui souriant donc une fois de plus pour qu’elle puisse savoir que je comprenais donc sa situation. Puis je voulais partir sauf qu’Holli m’interpela.

Spoiler:

Invité

Bonsoir Konomi, tu es ravissante ce soir

dit donc ça à l'air de bien se passer j'espère que le concert va être aussi bien qu'il en à l'air.

bon et toi alors comment vas tu ? Ce n'est pas trop dur ?"

Invité

Dans la salle de réception à l’entrée.

- « Merci toi aussi. Tu ressembles à un sumo, aurais-tu trop mangé ou est-ce une bonne nouvelle que tu ne m’aurais pas dite ? »

Puis l’observant doucement, je me demandais bien comment est-ce que je pouvais donc faire pour répondre dans tout ce bruit ambiant. Tandis que je me demandais bien s’il était possible pour moi de lui répondre. Je patientais que le bruit baisse pour lui dire ceci. - « Pour le moment, tout va bien. Après on va voir si cela dure encore longtemps. » Tenant toujours mon classeur dans les mains, je me demandais bien comment est-ce que je pouvais une fois de plus oublier que j’avais encore des choses à faire. Seulement, pour le moment, tout allait bien, et je n’irai pas leurs casser les pieds de suite. Puis pour une autre fois, je me disais que je n’avais pas vu Holli depuis des mois et qu’il faudrait bien que l’on parle à un moment donné. Je ne pouvais pas l’ignorer sous prétexte qu’on n’avait pas le même avis sur JT. On était amies mais bon, cela était plus que compliqué entre nous. Je lui répondais toujours sur un ton amical, je ne tenais pas non plus à avoir une soirée gâchée par une dispute.

- « Bien et toi ? Pour le moment, cela va bien. »

Je me disais que je pouvais aussi continuer de discuter. Seulement pour l’instant, je me demandais bien comment est-ce que je pouvais lui parler si tout allait toujours en cacahouète. Puis pour une fois, je me demandais bien comment est-ce qu’il fallait que je réagisse pour l’instant. Je devais paniquer ou pas ? Puis pour l’instant, je me rendais compte qu’il fallait avant toute chose trouver une solution qui me conviendrait. Seulement, je ne voyais pas trop quoi dire ou faire pour changer les choses. Enfin bon, tenant toujours mon classeur, je voyais les gens venir de plus en plus. Puis regardant mon planning, je disais à Holli.

- « Tu passeras durant le diner au plat principal, c’est-à-dire dans une demi-heure. Bien entendu, tu auras droit à une chaise et tu seras seule sur la scène, les musiciens sont en bas devant. C’est un peu comme dans les théâtres ou les opéras, tu verras cela est sympa. »

Tandis que je ne voyais pas comment arranger le truc, je lui souriais sans réellement penser qu’on pourrait de nouveau nous parler comme avant sans nous crier dessus. Pour une fois, je me disais qu’il était préférable que je réalise aussi un effort. Mais pour le moment, je ne désirais pas me tromper. Holli se trouvait devant moi, et vu son ventre, elle m’avait planqué des trucs. Malheureusement pour moi, je me demandais bien ce qui s’était passé. Esme ne m’avait pas donné de nouvelles non plus, et à vrai dire je commençais à m’inquiéter. De plus, pour l’instant, je ne réalisais pas aussi que mon interlocutrice n’avait sans doute pas envie d’en parler. Même si je l’observais devant moi, elle avait aussi l’envie d’aller voir ailleurs. Ses amis l’avaient appelés, et je me demandais bien si je devais encore une fois lui parler. Tenant encore les rênes comme il le fallait, je me disais qu’il fallait que je prenne mon mal en patience, puis voyant Holli avec son gros ventre, je lui demandais.

- « Tu ne voudrais pas aller t’asseoir, avec ton ventre comme ça, je ne voudrais pas que tu te fatigues d’avantage. »

Je me doutais que pour l’instant, je marchais sur des œufs, et qu’il fallait que je fasse un effort en plus. Bien que l’envie ne me plaise guère, je ne voyais pas comment dire les choses. Mais pour le moment, je ne voyais pas comment faire en sorte que tout aille bien. Est-ce qu’il fallait qu’Holli me parle ? Est-ce qu’il fallait que je prenne encore des gants ? Est-ce qu’il fallait qu’on discute de JT ? Puis pour une fois, je voyais bien qu’il fallait que je fasse encore un effort. Maintenant, que je comprenais bien la situation, je me disais qu’il fallait que je reste encore une fois dans l’optique d’arranger les choses. Ensuite, pour le moment, je me demandais bien comment est-ce qu’il fallait que je réussisse le truc. Est-ce qu’il fallait que je fasse plus attention ? Est-ce qu’il fallait que je trouve une fois de plus autres choses à faire ? Est-ce qu’il fallait que je me concentre sur Holli ?

Invité

» Holli' & Elyas ♠ Bad Trip
» Le rire et le sommeil sont les meilleurs remèdes du monde. [Pv Emy-chou]
» Il n'y a que deux maux bien réels dans le monde ; et tout le reste est idéal...
» Isaac; Sloan. (+) L'amitié multiplie les biens et partage les maux... ou alors c'est la drogue qui fait ça !
» les grands ensembles.

Aux grands maux, les grands remèdes. [ pv Holli]

Aux grands maux, les grands remèdes. [ pv Holli]

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