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La vie est belle, les oiseaus chantent, on baise ?

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MessageSujet: La vie est belle, les oiseaus chantent, on baise ? La vie est belle, les oiseaus chantent, on baise ? EmptyVen 30 Nov - 16:50






Un dimanche matin banal, le genre de moment où tout le monde se demande quoi faire. Certains dorment, d’autres en profitent pour laisser le soleil venir caresser leur visage. Ne cachons pas qu’Andrew fait plutôt partie de ceux qui préfèrent rester dormir. Et pourtant ce matin à huit heures pile le jeune homme quitte son lit, heureux, tellement heureux. Pour lui le plus beau dimanche de sa vie commence à se profiler, il enfile un pantalon, une chemise, se brosse les dents et ne prends même pas le temps de se coiffer. Où file-t-il à cette allure ? Tout simplement dans une cathédrale ce matin il a besoin de faire quelque chose qu’il fait très peu, parler à Dieu et surtout le remercier. Alors voilà la première question qu’il est bon de se poser, que s’est il passé pour qu’il soit de si bonne humeur. La réponse arrive enfin, hier soir il a réalisé le plus beau de ses rêves, celui de coucher avec des jumelles. Un coup de maître, un coup qu’il n’arrivera certainement plus jamais à refaire. Passer une soirée à draguer une meuf et la faire boire, tout en s’absentant assez pour faire de même avec sa sœur jumelle. Les emmener toutes les deux à accepter un plan à trois dans le noir, puis bien sûr les réunir toutes les deux dans un même lit. Le tour est joué, bien sûr ce n’est pas sans quelques sueurs froides, mais c’est ce que le jeune homme aime le plus. La fin de soirée elle est bien plus corsée, la lumière s’allume les deux sœurs comprennent qu’elles ont couché ensemble et se mettent à le frapper, visage, parties intimes tout y passe.
Mais rien n’altérera la bonne humeur voir même l’euphorie du jeune homme en ce dimanche matin. A genoux devant l’autel seul dans cette cathédrale il se confie à Dieu.

    Mec, je sais je ne te parle pas souvent, mais là je voulais te remercier. Tu fais de ma vie un paradis, je suis sur d’une chose c’est que tu existes et qu’hier tu m’as envoyé le plus beau des messages en mettant ses deux salopes dans mes draps. Alors voilà j’ai réalisé un rêve, celui de coucher avec des jumelles, qui plus est des jumelles salopes. Mais maintenant Dieu file moi un coup de main, j’ai toujours rêvé de me taper une salope dans une cathédrale, un coup de main serait le bienvenue.

Il allait se relever quand la porte s’ouvrit, puis se referma de suite. Le sourire aux lèvres de la veille devint bien plus grand quand il s’aperçut que Francesca une fille avec qui il avait couché venait de rentrer dans la bâtisse. Sourire béat sur le visage et surtout léger bug qui le figea un petit moment histoire de voir si tout était vrai.

    Oh mon Dieu, je comprends maintenant tout. Le bien que ça fait quand on lâche ce mot et surtout merci d’être venu ici petite salope.

Dit il en s’adressant à Francesca et surtout en se rapprochant d’elle, assez pour pouvoir poser un doigt sur le haut de la jeune femme.

    Aujourd’hui tu vas être ma pute, ma grosse pute même. Toute manière vu comment tu as fait la chienne le dernier coup qu’on a couché ensemble ce ne sera pas trop dur.

Il se permettait tout, se pensant en jour de chance et surtout quasiment touché par la grâce il ne touchait plus terre. Comment ressentir la sensation de voler, de décoller alors que l’on a bel et bien les pieds sur terre ? Il était plus qu’euphorique, il pensait que sa bonne étoile était descendue tout droit de là haut pour lui porter chance ce week-end. Alors quand avec son doigt il fit tomber ce qui couvrait l’épaule droite de la jeune femme il ne s’attendait pas un seul instant qu’elle lui résiste.

    On fait ça où ? Devant l’hôtel ? Dessus ? Dans un confesse ? Franchement tu as le choix, dit-toi que c’est un peu ton mariage et que cette fois-ci tu ne fais pas ça pour de l’argent. Ne fais pas ta sainte ni touche, toute l’université sait que tu avales moins d’eau que de fluide masculin !

Il n’avait pas l’habitude de faire dans la dentelle, mais ce matin il l’était encore moins. Il ne pensait pas l’espace d’un instant qu’elle puisse lui répondre mal, il se voyait déjà en train de lui faire l’amour ou plutôt de la baiser comme il a plus l’habitude de le dire, n’importe ou dans la cathédrale pourvut qu’il s’amuse et qu’elle prenne pourquoi pas son pied.
Voyant qu’elle ne bougeait pas et surtout qu’elle était encore habillée il commençait à perdre patience, sentant son mojo partir au contraire de son sourire béat et impossible à effacer.

    Bon tu commences vraiment à me faire chier, fous-toi à poil et arrête de faire la conasse là !

Dit il avant de lui mordiller la lèvre et de reculer pour la voir se déshabiller. Il vivait dans un rêve, se sentait intouchable, une sensation qu’il ne connaissait pas, une sensation qui lui plaisait et lui donnait l’impression d’être la personne la plus heureuse sur cette foutue terre.


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MessageSujet: Re: La vie est belle, les oiseaus chantent, on baise ? La vie est belle, les oiseaus chantent, on baise ? EmptySam 1 Déc - 23:51

    Allongée sur mon lit, le soleil vint caresser mon visage et me sortit des bras de Morphée. C'était avec le sourire aux lèvres que je me levais ce dimanche matin. Cela faisait longtemps que je ne m'étais pas réveillée d'aussi bonne humeur. La raison ? J'avais appris une excellente nouvelle, une nouvelle qui marqua un tournant important dans ma vie: j'avais été acceptée dans le plus grand musée de San Francisco pour y faire un stage. Si cette nouvelle peut sembler banale pour beaucoup de personnes, pour moi, étudiante en arts, elle était incroyable et allait rendre mon CV très attrayant pour mes futurs employeurs. Ce musée prenne rarement des stagiaires, mais il faut croire que mon acharnement avait fini par payer, j'étais donc à l'heure actuelle, l'étudiante la plus heureuse de Berkeley! J'aurais voulu partager la nouvelle avec ma fille, mais elle était partie en week-end avec sa marraine, elle ne revenait que ce soir. Cependant, je comptais tout de même profiter de cette journée et crier à qui veut l'entendre que dans quelques semaines, je serai entrain de travailler au musée d'arts de San Francisco! Rien ni personne pourra venir gâcher ma journée car je suis tout simplement heureuse! Depuis que je suis arrivée à l'université de Berkeley, mon objectif était de faire un stage au musée d'arts de la ville. Plusieurs professeurs m'ont dit que mon projet était peut-être trop ambitieux et qu'il fallait que je voie moins grand, que je choisisse un plus petit musée, mais je n'ai jamais pris en compte leurs conseils. Je suis extrêmement têtue, alors quand j'ai une idée en tête, je ne l'ai pas autre part. Je veux le meilleur pour moi, peut-être que pour certains, cette attitude, c'est de la prétention, mais moi, j'appelle ça de l'ambition. Quand je veux quelque chose, je fais tout pour l'obtenir, quitte à écraser les autres. Ainsi, je n'ai jamais laissé tomber l'idée de faire un stage au musée d'arts de San Francisco, je leur ai envoyé des lettres, je suis allée les voir plusieurs fois pour leur vanter mes mérites, leur prouver ma motivation et après quatre ans de lutte acharnée, mon combat était terminé: en janvier 2013, j'allais être stagiaire! J'étais consciente que j'allais rendre beaucoup d'étudiants en arts jaloux et cette idée me réjouissait! J'allais faire des envieux, c'était évident, et ça me rendait heureuse! Au moment où le musée m'avait appelé hier pour me dire qu'il me prenait en stage, j'ai eu une pensée pour mes professeurs qui m'avaient conseillé de choisir un autre musée plus petit. Quelle bande de nuls! La première chose que je vais faire lundi en retournant à la fac, ça va être de me pavaner devant eux! La réussite, c'est jouissif! Je suis née pour me retrouver au sommet et il faut croire que j'allais faire un grand saut dans mon ascension ! Alors, c'est le coeur remplie de joie, que je quittais mon appartement pour me promener dans les rues de San Francisco, après quelques minutes de réflexion, je me décidais de rejoindre la cathédrale Saint-Mary, je n'étais pas une fervente pratiquante, mais en Italie, la religion a une place importante et quand j'étais jeune, il n'était pas rare que mes parents m'emmènent à la messe. Aujourd'hui, je ne vais pas à l'église tous les dimanches, mais j'aime bien m'y rendre de temps en temps pour me retrouver seule et faire le point sur ma vie. Aujourd'hui, ce recueillement avec moi-même allait être excellent, j'allais remercier Dieu de m'avoir dotée d'une motivation extrême qui m'a permis d'ouvrir les portes du musée d'arts de San Francisco! J'ouvris la porte de la cathédrale avec un sentiment de joie intense, mais à peine avais-je frôlé le sol, je me rendis compte que je n'étais pas seule dans la bâtisse. A mon grand étonnement, Andrew avait décidé de se rendre lui aussi à la cathédrale. Andrew, croyant? ça me donnait envie d'exploser de rire! La scène était assez marrante à voir, et si je trouvais ça aussi drôle, c'était certainement parce que j'étais complètement euphorique par ma bonne nouvelle de la veille. En temps normal, je lui aurais craché dessus, mais là, j'étais tellement heureuse que même lui ne pourrait pas entacher mon bonheur. Fidèle à lui-même, Andrew me provoqua et pour cette énième provocation, il utilisa des mots loin d'être raffinés. Si il pense que je vais me sentir vexée, il se met le doigt dans l'oeil. Heureuse comme je suis, rien ne pouvait m'abattre. Moi aussi, je voulais rire, alors je me laissais prendre à son jeu débile. Mais prends-moi où tu veux, mon petit enfoiré de première! Surprends-moi! dis-je, en commençant à défaire mon chemisier. Puis, je m'arrêtais et me mettais à rire. Cependant, cette fois-ci, il me demanda de me dépêcher de me foutre à poil. Est-il vraiment sérieux? Suis-je la seule à prendre ça comme un jeu. Je ne savais pas quoi penser, mais je continuais à jouer le jeu, car je n'ai pas envie de me laisser par abattre par cet abruti de première! Alors en m'approchant de lui et lui murmurais à l'oreille Ecoute-moi bien espèce de petit salaud, tu as intérêt à être à la hauteur, car la dernière fois je me suis fait chier à mourir! Prouve-moi que tu n'es pas qu'un pauvre looser comme je le pense. Bon dieu, le bonheur nous fait faire des choses complètement dingue, c'est le pied!
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MessageSujet: Re: La vie est belle, les oiseaus chantent, on baise ? La vie est belle, les oiseaus chantent, on baise ? EmptyDim 2 Déc - 19:00






Francesca et lui c’était une vieille histoire, non pas d’amour mais plutôt une histoire de cul. Il avait tout fait pour la mettre dans son lit, quand je dis tout c’est vraiment tout. Il en était même arrivé à lui mentir sur tout la ligne pour la mettre dans son lit. Elle sortait d’une histoire d’amour et il n’avait pas eut grand-chose à faire. Elle avait beau dire ce qu’elle voulait et surtout dire qu’elle avait peur de se réengager ou même de faire à nouveau confiance. Andrew avait lui trouvé les bons mots, il avait réussit à gagner sa confiance pour ensuite la trahir à nouveau. Il ne cherchait pas du tout l’âme sœur contrairement à ce qu’il avait pu lui dire, ce qu’il voulait c’été un coup d’un soir. Elle avait été sa proie et totalement consentante elle c’était couché dans son lit. Une folle nuit d’amour, ils c’étaient tout les deux amusés, lui par contre n’avait eut aucun scrupule à l’abandonner le lendemain. Elle lui en avait voulut, mais c’est le genre de choses qui ne durent jamais. Après ça elle était plutôt passée à un second stade, celui de souvent rire avec lui. Plus elle revenait vers lui, plus il abusait, faisant tout pour la mettre mal à l’aise. Alors oui parfois il lui arrivait de reparler de la nuit qu’ils avaient passé ensemble, allant même jusqu’à mimer ce qu’ils avaient fait.
Aujourd’hui tout était différent, ils allaient certainement remettre le couvert, il se sentait dans un jour de chance et surtout ne voyait pas comment elle pourrait lui résister. Quand il s’approcha d’elle et qu’elle commença à enlever son chemisier il pensait toucher au but. Un sourire encore plus éclatant fit son apparition, il se sentait totalement intouchable et rien ne pouvait lui faire perdre le sourire. Même pas ce qu’elle venait de dire, elle lui parlait d’une façon crue chose dont il n’avait pas l’habitude. Lui n’était pas le genre de mec que l’on veut présenter à ses parents, peu poli, pour ne pas dire totalement vulgaire. Le genre de mec que l’on veut dans son lit et non dans sa vie. Alors quand elle le lança sur le sujet de ses performances et surtout sur le fait qu’elle n’avait pas prit son pied avec lui. Il la coinça contre un mur, la levant d’un coup sec pour qu’elle se retrouve dépendante de lui. Elle avait donc ses jambes autour du bassin du jeune homme et le surplombait un minimum au vue de la position.

    Chérie ne joue pas à ça avec moi. Je sais très bien au même titre que mes voisins que tu as criés comme la chienne que tu es. Maintenant que l’on se trouve dans la maison de Dieu il faut dire la vérité, on ne ment pas devant Dieu c’est péché.

Etrange de voir un jeune homme dans son style croire en Dieu, pourtant c’était vrai. Il ne croyait en rien, en personne sauf au fait qu’il y avait un être supérieur qui nous avait tous créé et qui aujourd’hui encore faisait la pluie et le beau temps dans sa vie. Pas la peine de souligner qu’en cette journée il n’était entrain de vivre le plus beau temps que cette terre ait pu offrir de mémoire d’homme. Enfin il s’emportait surement un peu, mais que voulez vous lui reprocher à lui qui n’a jamais eut de sa vie l’occasion de réaliser deux rêves en moins de 48 heures. Le premier ayant déjà été réalisé la veille, le seconde étant en passe de se réaliser maintenant. Toujours la jeune femme en l’ai devant lui, il essayer de lui enlever son chemisier, il n’avait jamais été autant excité. Cela se voyait dans ses yeux, dans son boxer mais aussi dans sa bouche, elle était sèche comme jamais de sa vie. Il en avait presque les jambes qui tremblait, il était dans la peau du jeune enfant qui est devant la chose qu’il a toujours voulut avoir.

    T’es quand même vraiment une pute de dire que le dernier coup c’été pas ça, je suis certains que tu viens ici tout les dimanches histoires de pouvoir recoucher une nouvelle fois avec moi. Et bien voilà ton rêve va être exhaussé poupée.

Dit-il en enlevant à son tour son haut. Si quelqu’un rentré ce serait l’incident diplomatique, si un prêtre ou une bonne sœur rentrée se serait une mort qu’ils auraient sur la conscience. Mais pour le moment ils étaient tout les deux là, Andrew chaud comme la braise. Les deux totalement euphorique pour diverses raisons, lui pour le cul, elle pour sa réussite professionnel. L’histoire de sa vie pour le jeune Walton

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MessageSujet: Re: La vie est belle, les oiseaus chantent, on baise ? La vie est belle, les oiseaus chantent, on baise ? EmptyDim 2 Déc - 20:32

    Andrew est l'archétype du séducteur, et c'est donc exactement le genre de garçons qui ne m'attirent pas. Pourtant, il ne faut jamais dire jamais... Depuis mon histoire d'amour foireuse avec Jules, je me méfie de tous les hommes, je ne veux plus accorder ma confiance. Alors quand Andrew s'était rapproché de moi, j'avais bien la ferme attention de ne pas céder à ses avances, on m'avait mis en garde sur le garçon, on m'avait dit que c'était un connard de première, alors il était évident que j'allais le rembarrer. Cependant, en apprenant à connaitre Andrew, je me rendis compte qu'il était très loin d'être le garçon séducteur que l'on m'avait décrit. Il avait réussi à faire baisser mes barrières en trouvant les mots justes. Il avait gagné ma confiance et me laissai tenter par le jeune étudiant omega. Fatale erreur... A peine avais-je partagé un moment intime que je le regrettais déjà. Le prince charmant s'était transformé en crapaud... Dès le lendemain, le Andrew gentil et sensible était devenu un garçon prétentieux et mesquin qui me faisait bien comprendre qu'entre lui et moi, ce n'était que l'histoire d'une nuit. Quelle quiche, je m'étais faite baiser dans tous les sens du terme. Je crois qu'au fond, il ne se rendait pas compte du mal qui m'avait fait. Pourtant, je lui avais confié mes secrets, il savait tout de ma vie... Pour une fois, que je décidai de refaire confiance à un garçon, il fallait que je tombe sur un connard. Jules et Andrew : même combat! Cette fois-ci, je me faisais la promesse de ne plus jamais accorder ma confiance à un garçon, si les mecs peuvent coucher avec une fille puis la jeter le lendemain, pourquoi je ne pourrai pas faire la même chose? A moi, les aventures d'une nuit. Mais il faut croire que la vie est injuste, puisque un garçon qui couche à droite et à gauche est appelé un don juan, mais si c'est une fille qui agit de la sorte, elle est considérée comme une salope. Cependant, je n'étais pas du genre à me laisser abattre par ce que l'on pouvait dire de moi, je suis tombée enceinte à 17 ans, alors des insultes de ce genre, ça fait des années que je les prends dans la figure.
    Aujourd'hui, j'avais pour objectif de passer une excellente journée, une journée à mon succès, à ma gloire! Cependant, mon projet tomba à l'eau quand je croisais Andrew à la cathédrale. Qu'est-ce qu'il foutait là? Il remerciait Dieu pour une énième conquête? Mais je ne me laissais pas démonter, je souhaitais passer une très bonne journée et ce n'est pas ce con de première qui allait faire échouer mes plans. La galanterie, n'étant pas le point fort d'Andrew, il m'adressa la parole avec un vocabulaire cru: du grand Andrew. Mon euphorie rendait ce moment plutôt agréable, en effet, cela me faisait rire de voir ce pauvre garçon. Face à moi, un avenir prometteur s'ouvrait, lui, il allait certainement rester qu'un séducteur de pacotille, c'était jouissif comme sensation! Alors je me laissais prendre au jeu, s'il n'y a que ça qui l'excite, alors faisons-lui cette honneur! Et alors que je me mettais à son niveau, il me faisait un faux sermon sur le mensonge. J'éclatai de rire. C'est sûr que l'honnêteté, c'est ton fort! Menteur, mauvais coup, couillon, connard. Voilà l'image que j'ai de toi, mais peut-être que ça va changer. dis-je en me mordillant les lèvres. Certes, que cette scène se déroule au sein d'une cathédrale, c'était mal, mais faire poireauter le petit Andrew, ça me rendait encore plus heureuse. Déjà que j'étais réveillée de bonne humeur, mais ce petit jeu avec Andrew allait rendre ma journée encore plus belle! C'était comme une vengeance pour moi. Le garçon semblait vexé que je lui révèle que notre nuit ensemble n'était pas si exceptionnelle que ça et tout en prononçant ses mots, je le vis enlever son haut. Je reculais d'un pas. Si moi, je prenais tout ça comme un jeu, lui était vraiment sérieux dans ses intentions, ce qui me faisait encore plus rire. Je ne viens pas à l'église tous les dimanches, mais si l'envie me prenait d'y aller tous les dimanches, ça serait pour prier Dieu de me faire oublier cette nuit. Tu me dégoûtes. Regarde-toi ! Tu n'es rien! Qu'un pauvre type qui cache ses frustrations en couchant avec tout ce qui bouge. Tu n'arriveras à rien dans la vie, tu ne finiras seul, tu es tellement pathétique, que j'ai honte d'avoir partagé ce moment intime avec toi. Et si tu crois vraiment que je vais coucher avec toi une seconde fois, c'est que tu es encore plus con que je le pensais. Et voilà la vérité était dire et mon bonheur avait atteint son paroxysme! Je m'approchai de la sortie et avant de quitter définitivement la cathédrale, je me retournai une dernière fois vers Andrew. Allez, sans rancune looser! Je poussai un énorme rire qui résonnait dans toute la bâtisse et sortis. Cette journée était excellente...


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MessageSujet: Re: La vie est belle, les oiseaus chantent, on baise ? La vie est belle, les oiseaus chantent, on baise ? EmptyMer 16 Jan - 17:57

corbeille
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