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Il n'est jamais trop tard pour régler des comptes

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MessageSujet: Il n'est jamais trop tard pour régler des comptes Il n'est jamais trop tard pour régler des comptes EmptyMer 11 Juil - 21:27






Angel devient de plus en plus un gars normal. Bien sur on oublie jamais son passé, on oublie jamais comment on est mais voilà il devient un peu plus sociable qu’il ne l’était avant (certains vous dirons que ce n’est pas difficile). Après s’être pris la tête avec une riche Epsilon qui est en plus de ça une future reine de Suède. Après avoir fait la connaissance de son demi-frère avec qui il n’a pas été tendre. Il a rencontré sa mère adoptive, une mère qui n’a jamais voulut de lui et qui lui en a toujours fait baver. Autant dire que les retrouvailles n’ont pas été tendre, Angel n’étant pas le genre de mec qui prône le « On ne frappe pas une femme même avec une rose ». Lui il en a particulièrement rien à faire de savoir qui se trouve en face de lui. Homme, femme enfant si quelqu’un se trouve face à lui et veut l’empêcher de faire quelque chose ou lui a fait quelque chose il frappe. Et il frappe fort, vestige de son passé de taulard ou la violence entraine le respect. Le respect entrainant ensuite la tranquillité, en gros pour vivre tranquille en prison soyez musclé et violent et là c’est le bonheur.
Vous vous demandez donc tous en quoi il est devenu plus sociable ? Et bien tout simplement parce que depuis son arrivé à Berkeley il a été dans une soirée étudiante (il y était forcé et y a tapé un scandale et alors ?), il a été dans un bar et ce soir le revoilà une nouvelle fois dans un bar. Pas le genre de bar ou il allait avant, vous savez les bars qui craignent pas mal, ou quand on y va en boit uniquement de l’alcool et surtout la fin de soirée se finit toujours de la même façon en bagarre. Aujourd’hui ou plutôt ce soir le voilà dans un bar pas si miteux que ça de San Francisco. Seul bien sur comme à son habitude, mais comme il aime le dire « Je préfère de loin être seul, qu’être avec ses connards de Berkeley ». Quand on a connut la rue quasiment toute son adolescence et son début de vie d’adulte c’est difficile de trainer avec des gens de Berkeley. Quoi que l’on en dise les 99% des élèves de Berkeley sont des gens qui ont de l’argent ou des bourses qui permettent d’en avoir. Rien à voir avec Angel qui lui est là pour des raisons assez obscures. Allez comme il vient d’arriver je vais encore vous l’expliquer. Il est là tout simplement parce qu’il c’est fait choppé et après un deal il avait le choix entre la prison ou Berkeley. Croyez-le ou pas il avait proposé la prison au policier qui l’a arrêté mais voilà quand la police à quelque chose en tête hors de question de faire autre chose. Voilà pourquoi il c’est retrouvé catapulté ici à Berkeley en plein mois de juillet. La police lui payant une chambre d’étudiant et lui filant un peu de pognon histoire. Le but ? Arrêter les conneries et fournir des informations à la police sur les gros dealeurs qui pourraient reprendre contact avec lui. Qu’ils courent toujours, Angel est bien décidé à reprendre discrètement ses affaire, continuer sur sa lancer tout en étudiant histoire d’avoir un job pourquoi pas !

Quand vous avez la rue dans la peau les gens le sentent. Rajoutez à ça la gueule de pas gentil qu’il se paie et vous comprendrez qu’il ne peut pas facilement s’intégrer. Alors quand certaines personnes le voient entrain d’acheter une arme, ou entrain de fournir un peu de drogue à quelqu’un alors là sa réputation va bien vite. Enfin réputation c’est vite dit, personne ne balance sur lui, enfin surtout cette personne là. Son prénom ? Lui l’ignore mais nous on le connait, c’est la belle Jordanne. Qui malheureusement pour elle c’est trouvé au mauvais endroit et au mauvais moment. Angel n’attend qu’une chose tomber sur elle un moment ou il n’y a pas grand monde, histoire de lui faire peur pour qu’elle ne parle pas si elle comptait le faire.
Et comme quoi la vie peut lui faire des cadeaux parfois. En voulant sortir du bar quelqu’un le bouscule et commence à lui prendre la tête jusqu’à ce qu’elle croise le regard du jeune homme. Sans doute aucun c’était Jordanne qu’il avait en face de lui. Il ne perdit pas un seul moment, il le savait elle allait très certainement vouloir se barrer. L’attrapant par la main comme on pouvait attraper sa copine, sauf que la force qu’il déployait fit rapidement comprendre à la jeune femme qu’il valait mieux qu’elle ne fasse rien et ne dise rien.

    Vient chérie !

Dit-il avec un sourire vilain sur le visage. Loin des yeux de tous, voilà ce qu’il fallait qu’il trouve comme lieu pour être tranquille et régler quelques problèmes. Une fois dehors ils se dirigèrent vers une petite ruelle sombre (comme on en trouve tant dans les films). La poussant comme il le fait tout le temps contre le mur il la regarda de haut en bas. Il fut un temps cette jeune femme se serait violé, mais étrangement il avait un peu évolué et le viol ne faisait plus forcement des choses qu’il faisait. On ne dit jamais, jamais donc attention.

    Ben alors chérie, on fuit ? Qu’est ce qu’il y a je fais si peur que ça ?

Il était beau gosse et bien bâtit, en gros il pourrait être le mec qui plait aux femmes, surtout que le coté méchant garçons elles aiment ça. Oui mais voilà il faut qu’il soit un parfait connard et que dans ses yeux on lise la haine, ses yeux la pire chose chez lui. Sombre et qui en disent long.
    Depuis que je te cherche, je t’ai enfin trouvé. Alors je voulais savoir, tu me suis ou quoi ?

Elle allait très certainement savoir de quoi il voulait parler et si ce n’était pas le cas bien sur qu’il allait s’énerver.

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Edison L. Allen
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Edison L. Allen
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MessageSujet: Re: Il n'est jamais trop tard pour régler des comptes Il n'est jamais trop tard pour régler des comptes EmptyLun 23 Juil - 23:48

❝ Moi le matin, je casse le vent, je fais chier les gens ça me purifie c’est important. ❞

    Seule. Toute seule. Voilà ce que j’étais désormais. Roman était parti suivre ses rêves et je me trouvais désormais seule au monde. Je ne pouvais pas le blâmer, je l’avais poussé à partir dans cette école de rêve. C’était la meilleure chose à faire pour lui, pour son bonheur et son avenir, cela allait sans dire. Mais je ne pensais pas que son départ creusait un si gros trou dans mon cœur et dans ma vie. Evidemment, j’avais conscience de l’importance que j’accordais à mon meilleur ami, mais de là à ressentir un si grand vide, non je n’aurai guère deviné cela. Heureusement que ma venue à Berkeley ne résidait pas uniquement au fait de suivre Roman, sinon, c’était clairement sur que j’aurai déprimé et que j’aurai très mal pris son départ. Mais en venant à San Francisco, j’avais aussi fait le choix de rejoindre Thiago et Manon, mes deux amis d’enfances, mes deux compères de toujours, mon frère et ma sœur de cœur. Les retrouver à Berkeley était presque inespérés pour moi, tant ils pouvaient compter à mes yeux. C’était bien simple, ils savaient tout de moi, de mon passé de gymnaste, à mes excès en tant que tueuse de kidnappeur. Ils étaient certainement les personnes qui me connaissaient le mieux, bien mieux même que Roman. Aussi, lorsque Roman était parti, les deux lascars s’étaient empressés de s’occuper de moi et de me changer les esprits, en bons amis qui se respectent. Que ce soit autour d’une journée shopping – hum merci Manon – ou bien une soirée football – merci Thiago -, les deux avaient été présents pour moi, et avaient réussi à me changer les idées, un exploit. Mais ce soir, je devais retrouver Thiago, seul, pendant que Manon se prélassait sous le soleil de Tahiti, en compagnie de je ne sais quel homme, qui avait succombé à son charme – rien de bien difficile - . Aussi, le jeune homme et moi-même devions nous retrouver pour prendre un verre. Me souler en sa compagnie était loin d’être une mauvaise idée, tant je me sentais en confiance et en sécurité près de lui. Aussi, je quittais mon appartement désespérément vide et silencieux aux alentours de vingt-deux heures, avant de grimper dans ma petite Porsche, cadeau expédié d’Israël par papa chéri. Avec un tel bolide, pas besoin de faire dans la dentelle, ni même d’aller doucement, j’enfonçais mon pied sur l’accélérateur, de sorte que j’arrivais en un rien de temps devant l’établissement nocturne. Je sortis de la voiture mes longues jambes à la peau claire, prête à faire tourner les têtes, bien qu’aucun homme ne pourrait arriver à la cheville de Roman, ni même à parvenir à leur fin sur ma petite personne. Cheveux relevés en un chignon bud, maquillage style œil de biche, j’étais sur de faire tourner plus d’une tête, et c’était pile ce dont j’avais envie. Faire bader quelques mecs, les faire imaginer monts et merveilles avant de les rejeter comme les moins que rien qu’ils étaient, oui tout à fait ce dont j’avais besoin. Je poussais la porte du bar, et m’installais confortablement au comptoir, en attendant Thiago. Ce dernier m’envoya rapidement un message pour me signifier qu’il aurait un peu de retard, et que je ne devais pas l’attendre pour commencer à picoler. Ca tombe bien, je ne comptais pas l’attendre. Je commandais donc une vodka sunrise. Une fois celle-ci arrivait, je l’avalais d’une traite, avant d’en redemander une seconde, puis une troisième. A avaler les verres si rapidement, je commençais à avoir la tête qui tournait mais qu’importe. Je me fichais totalement de l’état dans lequel je pouvais bien être. Aussi, je commandais trois shooters de vodka caramel, sachant pertinemment dans quel état je serai après coup. Qu’importe, Thiago serait là d’ici peu, et m’aiderait à rentrer chez moi. Sauf qu’une fois mes trois shooters terminés, je jetais un œil à mon téléphone, et m’aperçus que Thiago m’avait appelé et laissait un message, il avait du aller à l’hôpital, un petit accident de rien du tout, mais qui l’empêchait d’être à mes côtés. Damned it. Et dans tout ça comment je rentrais moi ? Borf, je conduirais, ce n’était pas comme si j’étais effrayée de conduire bourrée. Enervée, j’attrapais mon sac au vol, et sortis en trombe du bar, avant de percuter quelqu’un. J’allais me rebeller et lui aussi quand il me reconnut, tout comme je le reconnus. Oh boy, je n’avais vraiment pas besoin de croiser son chemin. J’aurai aimé m’éclipser l’air de rien, mais il était loin d’être d’accord sur ce point là. Je me retrouvais emportée dans une petite ruelle adjacente au bar, et coincée entre ses bras musclés et bien trop fort pour moi, du moins dans l’état actuel. « Peur ? Non pas vraiment. Je ne vois pas pourquoi j’aurai peur d’un gros crétin dans ton genre. Et je ne fuyais pas, je rentrais chez moi, rien de plus compliqué. Alors évites de te faire des films. » Angel. C’était son nom. Du moins, c’était le nom par lequel j’avais entendu les gens l’appeler. J’aurai bien sur préféré ne jamais le savoir, tellement il allait m’attirer des ennuis avec ses conneries. J’avais eu le malheur de le surprendre en train de dealer de la drogue, et surtout le malheur de me faire remarquer. Aussi, j’avais tout fait pour le fuir, pour ne pas me trouver dans son sillage, et éviter ainsi les ennuis. J’étais certes téméraire et en quête d’adrénaline, mais je n’en restai pas moins prudente, j’avais un secret à cacher. « Répète ta phrase, et vois un peu le paradoxe que tu me sors. Tu me cherches mais c’est moi qui te suit ? Pas très logique le gars quand même. » Déclarai-je d’un ton cassant et plein de dédain. J’avais déjà bien un sale caractère, n’ayant pas peur d’affronter les gens, mais l’alcool en plus me rendait totalement incontrôlable. Aussi, je tentais de me dégager de l’emprise du gros balourd, mais je savais que c’était peine perdue. Il était bien trop fort pour moi, il allait bien falloir que je m’y résoude. « Bon tu veux quoi ? Tu m’as vu, tu m’as trouvé, maintenant tu peux me laisser partir c’est bon ? »
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MessageSujet: Re: Il n'est jamais trop tard pour régler des comptes Il n'est jamais trop tard pour régler des comptes EmptyMar 24 Juil - 19:00






Angel ne comprenait pas pourquoi les gens n’aimaient pas se retrouver seuls. Lui aimait ça la solitude surement parce que dans sa vie on lui avait souvent imposé d’être en groupe. Dès tout bébé il c’était retrouvé dans un orphelinat entouré des dizaines pour ne pas dire de centaine d’enfant. Certains voient ça d’un bon œil, le bébé est en éveil, il est toujours entouré. Oui mais voilà être nombreux veut dire pas d’attention particulière, pas d’amour de parents aimant. Il avait donc très rapidement manqué de ça, puis quand on n’a pas quelque chose on s’y fait. Il été ensuite tombé dans une famille de riche ou il avait été une nouvelle fois noyé dans la masse, beaucoup d’enfants et lui passait en dernier. Son seul souhait être tranquille, être un peu seul quoi ! Puis la rue, il a fugué et contrairement à ce que l’on pense quand on est dans la rue on est loin d’être seul. L’endroit ou il a été le plus entouré ce fut dans la rue. Il y a une entraide énorme, tout le monde est dans la merde donc tout le monde s’aide. En tombant dans le trafic de drogue il pensait tomber un peu seul au monde mais que dalle. Plus il avait d’argent et de pouvoir plus des gens étaient dépendant de lui et surtout plus ils le collaient. La prison, endroit par excellence ou vous n’êtes jamais seul. Vous dormez avec trois gars dans 8 m², vous mangez dans un réfectoire, vous allez en promenade sur un terrain de football alors que vous êtes 100. Vous prenez votre douche en commun donc pas un moment tranquille. L’armée donne la même chose mais avec une impression de plus grande liberté et le moyen de gagner de l’argent.
Donc en faisans le calcul Angel avait passé toute sa vie sans être jamais seul, sans avoir un seul instant pour lui. Il n’en pouvait plus et c’est surement tout ça qui avait fait de lui quelqu’un d’agressif, quelqu’un d’impatient et surtout de pas social du tout. Depuis qu’il était forcé d’être à Berkeley il avait beaucoup de chance, tout le monde avait peur de lui. Et ceux qui avaient le courage de venir le voir et bien il était tellement aimable qu’ils disparaissaient tous de sa vu. Il était pour la première fois de sa vie seule, étrangement cela lui faisait du bien. Etre seul une fois, ne pas avoir de compte à rendre, sauf peut être à la police qui le surveillait. Pouvoir faire ce qu’il veut quand il veut sans déranger quelqu’un. Il revivait et pourtant cela ne se voyait pas le moins du monde sur son visage. Les traits agressifs étaient toujours aussi bien souligné par sa facilité à ne pas sourire. Son visage abimé par le peu d’année qu’il avait lui donnait un air pas très sympathique. Personne ne connaissait son passé, la police faisant bien attention à tout caché et pourtant quand on le croisait on l’appelait le taulard !

Le voir dans un bar branché aurait très certainement surpris pas mal de monde est pourtant le jeune homme était tout simplement entrain d’évoluer. Enfin c’est ce qu’il disait pour faire surface, comme carapace. Le jeune homme qui a toujours été dans la rue ne réfléchit que comme un mec de la rue. Ce n’est pas parce qu’on lui offre une seconde chance, ce n’est pas parce qu’il est fliqué qu’il ne peut pas tranquillement faire son business au nez et à la barbe de la police. Pour le moment il commence à cerner les gens de Berkeley et surtout il a mit la main sur quelques dealeur de là bas. Les menaces, ils les avaient menacé, leur avait fait peur et maintenant il touchait une petite commission. Pourquoi se salir les mains quand les autres le font pour vous. Il visait maintenant les gens riches, il ne les supporte pas certes mais ce sont eux qui ont la tune. Voilà donc ce qu’il été venu faire ici, simplement observer. Vois qui consomme, qui vend et en plus il venait de voir la petite de Berkeley. Une belle blonde, enfin fausse blonde surement qui l’avait capté plusieurs fois en mauvaise posture. Il se rappel l’avoir vu quand on lui passait une arme, l’avoir vu quand il filait de la drogue et dans d’autres moments assez embarrassant.
Alors quand il fut bousculé par quelqu’un et s’aperçut que c’était elle il eut l’impression de gagner au loto. On lui offrait la personne qu’il recherchait su un plateau d’argent. Pas la peine de la traquer au risque de se faire repérer elle venait de se mettre dans la gueule du loup. Surtout que là ou elle était et avec la musique elle pouvait crier autant qu’elle voulait personne ne l’entendrait !

    Je ne vais pas répondre à toutes les conneries que tu as dites. Juste le temps de te souligner deux trois petites choses. Même si t’es bien trop ivre pour t’en rappeler demain ce n’est pas grave si il faut je te retrouverais. Pas la peine que toi est moi on soit en froid. Alors tu sais quoi, les fois ou tu m’as vu faire certaines choses. Ben tu les oublies puis comme ça on se reverra plus. Bon deal non ?

C’était rare de le voir aussi diplomate et aussi agréable que ça. Oui, oui il se présentait actuellement sur son meilleur jour. Il avait simplement compris que la jeune femme aussi ivre qu’elle était n’aurait qu’une envie, le contre dire et le faire chier. En la jouant fine et en faisant gaffe à ce qu’il dit et fait elle se montrerait peut être plus facile. Enfin il valait mieux pour elle, il n’hésiterait pas du tout à lui en coller une si nécessaire. Mais pour montrer sa bonne fois il desserra quelque peu son poignet histoire de ne plus lui faire mal. Sa présence devrait l’empêcher de s’enfuir, mais si elle prenait le risque c’été à ses risques et périls. Elle le savait armé, mais peut être pas assez fou pour s’en servir

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Edison L. Allen
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MessageSujet: Re: Il n'est jamais trop tard pour régler des comptes Il n'est jamais trop tard pour régler des comptes EmptyMer 1 Aoû - 15:31

❝ Moi le matin, je casse le vent, je fais chier les gens ça me purifie c’est important. ❞
    Thiago, Thiago, Thiago. Si tu savais comme je te maudis de me lâcher ce soir. Comme si j’avais besoin de me retrouver seule à boire comme un trou alors que j’avais besoin de compagnie. Bien sur, la possibilité je ramène un mec à la maison pour la nuit était toujours vraie, mais sincèrement, je n’avais aucune envie de me retrouver avec un inconnu dans mon lit au petit matin. Au pire, je passerai un coup de téléphone à Danahiel, ou même Lennon, j’aurai de la compagnie pour la nuit, et au moins, je saurai avec qui je passe un bon moment. Bien sur, Thiago aurait été présent, je n’aurai pas chercher le même type de compagnie avec lui. Mais qu’importe, il n’était pas là, et c’était bien là le plus gros problème. Je n’avais pas pris la peine de répondre à son message, étant bien trop énervée pour lui souhaiter un bon rétablissement ou que sais-je encore. A la place, j’avais dégainé mon téléphone et étais parvenue à joindre Manon. Je m’étalais étalée de long en large et en travers sur l’incapacité de Thiago à être présent pour moi, et il fallut tout le sang froid de la Petrov-Versier pour me calmer, et me faire entendre raison. Finir à l’hôpital était selon elle, l’excuse la plus valable qu’il soit. Oui bon soit, j’en convenais tout à fait. Mais quand même. Quelle idée de se faire une entorse lui aussi. Enfin, cela n’allait définitivement pas m’empêcher de rentrer à bord de ma sublime voiture, dont j’étais plus que fière. Je n’avais jamais été du genre à étaler ma richesse, mais la porsche faisait figure d’exception, tant j’adulais ce cadeau de mon père. Je payais donc ma consommation – mes – et sortis pour tomber nez à nez avec un Angel plus que remonté contre moi. Rien d’étonnant, je l’avais vu dealer et il devait s’inquiéter. Allais-je le dénoncer ou n’allais-je pas le dénoncer ? Telle était la question. Personnellement, je me foutais comme de la dernière pluie de ce qu’il pouvait faire et je n’allais certainement pas attirer l’attention sur moi en allant faire acte de délation. Seulement cela, il n’était pas censé le savoir, et je me doutais bien qu’il allait chercher à s’assurer de mon silence. Mais plus il me ferait chier, et plus j’en ferai de même. Je ne dirai peut-être rien à la police, mais il était hors de question que je m’incline à ses dires. Aussi, lorsque je me retrouvais coincée dans une ruelle en sa compagnie, je devinais que j’allais en prendre pour mon grade. J’écoutais donc son petit discours, auquel je répondais avec aplomb. Hors de question de me défiler devant un gros lourd comme lui, l’alcool n’aidant certainement pas à me calmer. Décidemment, il avait mal choisi son soir pour me prendre entre quatre yeux et me faire entendre raison. « Ah parce que c’est moi qui dit des conneries ? Bah putain, on se demande ce que tu fais dans une université alors si tu n’es pas capable de voir les bêtises grosses comme le monde que tu es capable de sortir. » Lâchai-je à son attention. Prendre des gants ? Des pincettes ? Très peu pour moi. Il n’y allait pas par quatre chemins, je n’allais très certainement pas faire l’inverse moi aussi. « Ivre ? Oui je le suis très certainement. Mais il y a une différence entre être ivre et ivre morte. Alors ne t’inquiètes pas pour moi, je me souviendrai parfaitement de notre conversation. » A croire qu’il n’avait jamais vu une fille capable de tenir l’alcool lui. Quel imbécile celui là alors. Sincèrement, je me demandais comment il avait fait pour rentrer à l’Université tant son discours était décousu de sens. « Manque de chance, j’ai une très bonne mémoire, et il m’est difficile d’oublier des choses sur commande. Après, rien ne dit que je ne tiendrai pas ma langue. Mais c’est sur qu’avec un comportement comme le tien, ça ne me donne vraiment pas envie de passer à autre chose. » Oh boy, je m’enfonçais encore dans une histoire… Tant pis hein. J’avais réussi une fois de plus à me fourrer dans je ne sais quel pétrin, et je me demandais comment j’allais faire pour m’en sortir cette fois. La dernière fois, j’avais vu l’apparition salutaire d’un homme que je ne connaissais ni d’Eve, ni d’Adam, qui m’avait permis de prendre la fuite, et m’avait aidé à m’exiler aux Etats-Unis. Mais aujourd’hui, la situation était différente, et je n’avais pas de sauveur à portée de main. Tant pis, je me débrouille par moi-même. « Qu’on ne se voit plus ? Hum c’est bien dommage, toi qui a avoué me chercher depuis quelques temps déjà, tu vas être triste si l’on ne se voit plus non ? » Provocation, pas provocation. Jordane dans toute sa splendeur. L’alcool décidemment, ne m’était pas d’un grand secours, bien au contraire. Angel relâcha la pression sur mes poignets, peut-être en signe de paix, ou plutôt en gage de bonne fois. Je me massais légèrement le poignet, plutôt en réflexe que signe de vraie douleur. L’alcool annihilait toute douleur chez moi, mais me faire passer pour la victime auprès de lui ne me déplaisait pas tant que ça, bien au contraire. Bien sur, j’avais pleinement conscience que le faire culpabiliser était une idée totalement saugrenue, à laquelle je n’arriverais même pas dans mes rêves les plus fous. « Et maintenant que tu as entendu ce que tu voulais entendre, à savoir que je garderai ma bouche bien fermée, je peux partir maintenant ? » Je ne savais pas ce qu’il avait prévu, de quoi il était capable non plus, mais ce que je savais, c’était que plus loin je me trouverai de lui, mieux ce serait. Sa proximité m’était de plus en plus insupportable, d’autant que j’avais l’impression d’être passer sous une nouvelle menace, telle une épée de Damoclès au dessus de ma tête. La peur de me faire découvrir par la police Israélienne me tenaillait déjà suffisamment l’estomac comme ça, pour qu’en plus je rajoute la peur constante de voir Angel m’en faire voir de toutes les couleurs.
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MessageSujet: Re: Il n'est jamais trop tard pour régler des comptes Il n'est jamais trop tard pour régler des comptes EmptyMer 8 Aoû - 11:43






Le sexe, l’alcool et la drogue. Voilà les trois choses qui motivent les jeunes de Berkeley et c’est pour ça qu’ils restent tellement prévisible et surtout tellement malléable. Rajoutez à ça la sainte horreur qu’ils ont à être seul et vous avez un troupeau de mouton qui ne pense qu’à une seule chose la réputation. Angel crache dès qu’il le peut sur la réputation et pourtant il oublie que lui aussi la chassait il y a peu de temps. Que ce soit en prison ou dans la rue ce que l’on chasse c’est le respect, plus on fait peur, plus on a fait de choses plus on est respecté. Mais le respect de la rue ou de la prison représente sans aucunes failles la réputation de ces jeunes branleurs. Alors oui Angel faisait surement office de petit mouton noir dans le troupeau de Berkeley pourtant l’année n’avait pas encore commencé. Quand il serait obligé de se mélanger au peuple, quand les gens le verront trainer lui et sa gueule d’ancien taulard dans les couloirs. Quand les gens qui savent des choses sur lui ou les gens qui ont eut des problèmes sur lui commenceront à parler il deviendrait le centre d’intérêt. Ce qu’en gros tout le monde cherche ici en Amérique, mais lui non. Pour plusieurs raisons tellement simple à comprendre. La première, son passé, on a beau faire le gros lourd, le gros méchant on a tous peur de quelque chose. Et bien lui c’est des gars de la mafia locale qu’il a un peu froissé en jouant sur leur plates bandes. Alors moins on entendra le nom Stankovic mieux Angel se portera. Seconde raison, la police ne veut pas qu’il fasse de vague et lui n’aime pas être le centre de l’attention.
Voilà pourquoi dès que quelqu’un le voit en mauvaise posture ou autres conneries qui pourraient faire parler il s’arrange toujours pour faire taire les gens. Alors ce n’est pas souvent la meilleure des solutions. Ce que lui et son petit cerveau n’ont certainement pas compris c’est qu’en faisant mine de rien sa passe. Alors qu’en venant agressé verbalement ou physiquement les étudiants ils ont tout de suite envie de parler. La preuve en était avec la jeune femme devant lui. Il ne savait ni son prénom ni son nom et s’en foutait royalement. Ce qu’il savait c’est qu’elle l’avait vu entrain de prendre de la drogue, non pas de la vendre mais de s’en faire filer par d’ancienne connaissance. Elle l’avait vu aussi se faire offrir une arme ou plutôt se faire passer une arme par une élève de Berkeley qui ne savait même pas ce qu’elle foutait là. En gros elle savait qu’il été armé, qu’il pouvait dealer, c’était déjà beaucoup trop ! Alors oui la piégeant dans une ruelle il fut surpris de la voir avec autant de bouche.

Il ne comprenait pas totalement tout. Lui qui avait fait l’armée, de la prison et la rue n’était jamais tombé sur des gens avec si peu d’argument et autant de bouche. Quand on tombe sur quelqu’un de dangereux on attend et on courbe l’échine. On ne fait pas le malin. Enfin un début de réponse voit petit à petit la lumière dans les yeux du jeune Serbe. A Berkeley la violence n’est pas la loi suprême, les gens parlent beaucoup mais savent très bien que personne ne viendra leur mettre une claque derrière la tête pour les calmer. C’est une chose qui choc tout de même un peu Angel. Tomber sur quelqu’un qu’il pourrait écraser d’une main et l’entendre jacasser une torture !

    Sa me rassure que tu te souviennes de notre conversation. Si tu pouvais te souvenir et surtout comprendre tous les mots qui vont sortir de ma bouche se serait parfait !

Les joutes verbales, véritable point faible du jeune homme. Il était toujours aussi décontenancé quand il voyait que quelqu’un n’avait pas peur de lui. Enfin le mot n’est pas juste, il était décontenancé devant l’inconscience des gens face à un mec comme lui. Tuer quelqu’un il n’avait jamais fait mais n’avait pas hésité à mettre des coups de couteaux à quelqu’un. Il avait déjà tiré avec une arme à feu sur quelqu’un et laissé pas mal de mec dans un état pitoyable après les avoir passé à tabac. Il ne faisait pas partie de ses petites frappes qui ne mettaient jamais à exécution leurs menaces.
Sortant comme à son habitude son couteau pour faire glisser sa lame sur ses doigts. Geste qui n’avait pas un but d’intimidation, non il avait simplement ce tic là. Toujours à jouer avec les choses dangereuses, la mort ne lui faisant pas vraiment peur.

    Ben comment formulé ça à l’intellectuelle que tu es. Ah oui en plus tu n’as peur de rien. Donc te menacer ne sert à rien. Quel dilemme tu es. Mais bon faire la femme forte sa marche avec les types que tu fréquente, moi sa m’impression pas forcement.

Le peu de lumière pour ne pas dire la présence totale d’obscurité, la proximité du jeune homme pour éviter qu’elle s’enfuie et surtout pour faire monter la tension faisait qu’il était dans son élément. Rangeant son couteau pour s’approcher une nouvelle fois d’elle. Ne regardant que le haut de son crane et non ses yeux comme il avait l’habitude de faire. Il n’avait qu’une envie la frapper, fort, très fort pour qu’elle ferme sa grande gueule ! Elle n’arrêtait pas de piailler et blabla et blabla. S’approchant une nouvelle fois d’elle il prit le visage de la jeune femme avec sa grande main avant de descendre sur sa bouche et de serrer de plus en plus fort avant de la bousculer pour qu’elle recule dans la ruelle. Il y avait de moins en moins de lumière tout comme lui avait de moins en moins de patience.

    Je veux que tu oublies totalement ce que tu as vu. Ah ouai puis que tu fermes ta grande gueule sa ferra le plus grand bien !




Désolé du retard :sorrysnif:
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MessageSujet: Re: Il n'est jamais trop tard pour régler des comptes Il n'est jamais trop tard pour régler des comptes EmptyLun 20 Aoû - 22:17

❝ Moi le matin, je casse le vent, je fais chier les gens ça me purifie c’est important. ❞
    S’il y avait une chose que les gens ne savaient certainement pas à mon sujet, c’était bel et bien le fait que je sois une meurtrière. Les seules personnes à Berkeley qui étaient au courant de cette information me concernant n’était autre que Thiago et Manon, la Petrov Versier, la seule et l’unique. Ces deux lasquars me connaissaient depuis que j’avais quatre ans, autant dire qu’il était normal qu’ils soient au courant de ceci, de même qu’ils connaissaient mon véritable prénom. Ils savaient pourquoi j’avais changé de prénom, pourquoi j’avais arrêté la gymnastique du jour ou lendemain. J’avais un jour péter un plomb, mais littéralement, en voyant mon grand frère rentrer à la maison, après s’être fait enlever et traumatiser. C’était bien simple, mon sang n’avait fait qu’un tour dans ma tête et j’avais foncé retrouver l’homme qui avait ainsi fait souffrir Ness. Je l’avais retrouvée, et je l’avais sadisé avec un plaisir que peu de gens auraient pu prendre dans une telle situation. Oh oui j’avais aimé cela, j’avais jubilé même. J’avais certes éprouvé certains regrets, d’avoir commis un tel pêché, mais le fait d’avoir vengé mon frère reprenait le dessus sur tout le reste. Cela m’avait même provoqué une certaine addiction à l’adrénaline, au point que je partais régulièrement en quête de sensation. Ma porsche répondait d’ailleurs très souvent à cette attente, et c’est pour cela que je me rendais souvent sur les circuits, histoire de ne prendre aucun risque niveau permis de conduire. Il était déjà rare de voir une fille fréquenter ce genre de lieux, mais cela l’était encore plus quand la demoiselle amenait sa propre Porsche, l’un des derniers modèles sortis. J’avais beaucoup d’argent, mais seule ma voiture en trahissait l’existence. Je n’aimais pas montrer à quel monde j’avais pu appartenir par le passé, voulant éviter d’exposer qui j’étais réellement. Au fond, cela ne me dérangeait guère puisque j’étais quelqu’un de très peu dépensière et surtout de très cachotière. Je ne dévoilais que rarement d’informations à mon sujet, et même lorsque j’étais en confiance, je me gardais bien d’en dire trop. Au fond, c’était cette peur d’offrir ma confiance à quelqu’un, et ce goût du risque qui me permettait de tant parler avec affront à Angel. Sans ça, j’étais quasi certaine de ne pas lui parler ainsi. Mais je disposais maintenant de toutes ces qualités, et autant dire que je ne me faisais pas prier pour lui montrer qui j’étais et de quoi j’étais capable. S’il pensait tomber face à une petite fille chétive, craintive et se pliait à toutes ses demandes, alors il allait très vite déchanté. Face à celui que je savais être un grand dealeur armé, je ne me laissais pas faire, et démontais toutes ses théories et idées sans queue ni tête. Je le critiquais même plus ou moins ouvertement sans qu’il n’y voit réellement l’allusion que je pouvais faire. Too bad. « A l’inverse de ta petite personne mon vieux, je comprends les choses mêmes bourrée, alors que toi-même sobre tu ne les comprends pas. Donc ne t’inquiètes pas, j’ai enregistré ce que tu m’as dit. » Ironisais-je. Toujours plus dangereux, toujours plus provocante, je lançais des petites piques bien placées à l’attention du Iota, et j’étais sur qu’il n’allait guère l’apprécier. Je voyais bien que l’échange verbal n’était pas son point fort, qu’il préférait la méthode musclée. Cela se lisait dans sa façon de bouger, et son attitude puisqu’il me maintenait très fermement par le poignet. Il devait penser que j’allais m’enfuir en courant ou que sais-je encore. Pourtant je n’avais guère l’intention de me défiler, préférant clairement lui faire face et l’affronter coute que coute. Je l’écoutais d’ailleurs déblatérer à mon sujet et même me j’étais un dilemme pour lui. Hum d’une certaine manière, il me complimentait et cela me plaisait plutôt bien. J’étais bourrée autant dire que n’importe quoi me plairait comme compliments. « Tu me connais peut-être ? Tu sais qui je suis et avec qui je traîne pour pouvoir affirmer de telles choses ? Non je ne pense pas ! Si j’ai une attitude de fille forte, c’est pour une bonne raison, alors évites de juger les gens. » Claquai-je Je n’allais encore pas me laisser me démonter et je lui faisais front, quitte à prendre des risques bien réels. J’étais dans une ambiance sombre, une ruelle peu éclairée, peu de bruits avec seulement quelques extraits de musiques venant taper au creux de mes oreilles, autant dire, rien de bien rassurant dans une telle situation. Mais je n’y pensais guère, tellement l’alcool absorbée dans mon corps me montait à la tête. A croire que cela ne lui avait pas plu du tout puisque je le sentis me repousser de force plus loin encore dans la ruelle, là où le son se faisait beaucoup plus doux, et la lumière beaucoup plus absente. Il maintenait une pression sur mon visage que je ne pouvais pas du tout repousser, au point que cela en devenait douloureux. « Que j’oublie ? Oui il est fort possible que j’essaie de garder ces images bien loin dans mon esprit. Quant au fait de fermer ma gueule, non là je pense que tu prends trop tes rêves pour la réalité. » Haletai-je avec difficulté. J’éprouvais de plus en plus de difficulté à respirer, la faute en était à la main posée contre mon cou. Je commençais à tousser, et tentais de me débattre en arrachant le bras d’Angel avec force. J’avais pris moi un plaisr à lui en faire voir de toutes les couleurs, et le voilà maintenant qui en faisait de même, mais cette fois, en me faisant souffrir physiquement. Il finit par dégager sa main, un rictus affiché sur le visage, montrant le plaisir qu’il prenait dans cette situation. « Et bien, on ne peut pas dire que la douceur soit ton fort. Et ça marche ça avec les filles ? J’en doute fortement ! Entre toi et moi, soyons honnête, tu ne peux miser que sur le physique ! » Et bim, mange ça dans ta face de dealer. Il avait beau avoir relâché la pression, je restais toujours aussi ironique.


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MessageSujet: Re: Il n'est jamais trop tard pour régler des comptes Il n'est jamais trop tard pour régler des comptes EmptySam 1 Sep - 22:39

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